Le nouveau précurseur: journal du soir

1160 0
21 februari 1914
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1914, 21 Februari. Le nouveau précurseur: journal du soir. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/2804x5573x/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

samedi «1 et IMmaiicfie Février 1914 CINO CENTIMES 80« année - IV» £5» et £53 Le Nouveau Précurseur A.B03srtSrEME3STTS : ANVERS, on m 12-00 fr.; six mois 6.50 (r.; trois mois 3.50 fr. INTERIEUR, » 15.00 fr.; - 8.00 fr.; . 4.50 £r. HOLLANDB, « 33.00 fr.; • 18.00 fr.; . 8.00 fr. LUXEMBOURG, « 88.00 fr.; - 16.00 fr.; » 8.00 fr. UNION POSTALE, » 48.00 fr.; • Sl.OOfr.; . 10.50 £r. Tout abonnement s» poursuit Jusqu'à refus formel. ON S'ABONNE à ÀDYers au bureau du journal et dans toss tea burosnuc des postes en Belgique. JOURNAL DU SOIR TtLtPlDISS { ÎSSSiu.., "• { 39, VIEILLE BOURSE. - ANVERS. A.3STKT ON CE 3 OmaiîiatiB,IaprtiteUgns. fc. 0.30 | Réclames, U liyne. . . ir. 1 50 » 1 à 4 %aes . » 1.00 ! Faht» Dirais, la lijne. . . z 50 FuUNOiass, la %aa . . „ 0.50 Cmwweiqb* Ahtm ... 3^00 Lm tnnnvss de fttrmngm- ot dt te Utlçùp,* tant aussi par iWucuct Ilauzs, S, plate des Martyrs, à DrtuteXta, S, Pltm de la Jltttrio. à Paris, et *0 Hit/h Holkcrn, t Londres. Au Dehors ANGLETERR Le chancelier de l'echiquier ■ „ i lovd George est rétabli. Il est parti poi K timpagne où il va prendre quelques jou dt repos. Situation difficile K i ! tournée de jeudi a été mauvaise pour I L* Renient. En effet, la proposition de loi ESwne de constituer une nouvelle con 1 «requête au sujet de l'affaire Ma. Ki fut acceptée h la chambre basse, malgi E » forts du représentant du gouvernemen F. donc encore une série de révélatior W, nè neuvent que compromettre le prestig K hommes du gouvernement. E à les organes ministériels avouent que 1 l,»cit nn du gouvernement n'est pas très stabl. K les journaux conservateurs prennent-il KE de cet aveu pour amener l'opinion publi Bue à leurs vues et conclure à la nécessité d Ksoudre le parlement. FRANCE La défense de l'armée Bu sous-secrétaire d'état à la guerre a ré Bondu &ier' longuement aux interpellations con BLant l'état sanitaire de l'armée. Bm Maginet constate que sur l'effectif total K nombre des décès atteignit 1.11 pour mille Bonorlion annuelle atteinte depuis 1908. L; ■nation en février est plus mauvaise qu'ei ■vit-r L'orateur déclare, en citant les statistiques ' que la recrudescence de la moraliti Km les civils est pareille. M Maginot déclare qu'une des causes de 1< ■billion est incontestablement la présence df l&in jeunes classes sous les drapeaux. ( Cris fîl'extrême gauche: C'est la seule raison). pM Maginot réplique: Il ne faut exagérei Ktte raison. D'ailleurs il existait d'autres rai-Us militaires devant lesquelles nous devions nous incliner. (Applaudissements au centre el iur divers bancs.) Bîl- Maginot expose toutes les difficultés quelles se heurtèrent les services du génie d de l'intendance pour exécuter les décisions du [parlement. L'amiral Binaimé interrompant dit que le mi-nisliv de la guerre avait demandé 60 millions Hètplus correspondant à 40,000 hommes de plu- One vive controverse s'engage. j. Etienne proteste énergiquement n'avoir rien dit de pareil. M. Barthou, attaqué par les socailistes, dit : Vous voulez me renverser une seconde fois I 'ilUrev Appl. au centre et sur divers bancs à -.Mile: . sous-secretaire d'état dénonce la campagne menée contre (les mesura» mît détense nationale sur lesquelles on ne «ut pal décemment espérer voir revenir à quelques mois de distance. (Tonnerre d applaudissements à droite, au centre, et à gau che. Bruits croissant à l'extrême gauche.) M Maginot, malgré l'effervescence des so-■stes, ajgute: „Nous venons de traverser une période d'épreuves douloureuses inévitable! pendant l'organisation d un nouvel état de choses D'autres la traversèrent comme nous el n'en persévèrent pas moins dans 1 effort qu il. Kent devoir supporter." L,Répondant i des interpellations socialistes ■Maginot dit que le gouvernement est unanime sur ce sujet. L'entrée des malades dam les hôpitaux est en décroissance. Le gouverne-Lent fait tous ses efforts pour améliorer 1; santé et l'hygiène de nos soldats qut intéressen lois les Français. (Longs applaudissements su tous les bancs sauf à l'extrême-gauche Quani M Mapnot descend de la tribune, M. Doumer pie s'avance vers lui et lui serre la main au mi j- lieu d'acufimations presque unanimes de li chambre, sauf à l'extrême-gauche. ) 1 Mécontentement do l'extrême-gauche ■Les déclarations de M. Maginot en faveur d maintien de la loi de trois ans ont proyoqu sur tous les bancs une vive émotion, un re ■torque ensuite beaucoup la chaleureuse poi «rte de main, que M. Doumergue donna a ^Eus-secrétaire d'Etat à sa descente de la ti Jpune. m M Barthou, ancien président du conseil, soi [ lipn ce geste, disant: „Voilà une poignée c | main qui figurera à r„Officiel". Les radical qui votèrent contre les trois ans et les soci; Hstcs unifiés manifestèrent un vif mécontent* : ment. Certains estiment que cet important 11 Kpjdent pourrait bientôt modifier la compositn [ de la majorité. ALLEMAGN Rosa Luxembourg condamnée BtMme Rosa Luxembourg, Io farouche soeî i liste, a comparu vendredi devant la chaîne «minelle de Francfort-sur-Mein pour in« tltion à la désobéissance aux lois. Elle avt dans une réunion publique, déclaré :,,Si 1 devait exiger de nous que nous dirigions c Hmies meurtrières contre les Français et r R!-iutres frères de l'étranger, nous nous écr ■pions: Non, pas colal" Elle a été condamné( I «. un an de prison. SU ÈD Situation difficile B l'appel aux électeurs suédois paraît inc On ne peut nier que cet appel fore ^B'attention des peuples de l'Europe en ce s( Hqu ce sont des questions de là plus haute ^Btèrtance qui serviront de plate-forme électc aux différents partis. Les deux princip i'ints sont: la défense nationale et le coi ec le roi. L'espoir de Hammerkjold de ci r le parti radical et socialiste est vain, n appel n'a été entendu que par une ini ajorité. Son gouvernement ne sera donc qi inistère d'affaires ot l'on doute fort qu "ochaines élections les électeurs suédois issent influencer par la crainte dune inva isse. HUSS La police politique A la suite d'une enquête ordonnée par ,lnt du ministère de l'Intérieur, le géi junkowski, l'ancien chef de la police po ^ de Saint-Pétersbourg, le général Gue 01 a été mis à la retraite d'office. lïepuis sa nomination au ministère de •neur le général D junkowski procède ! oiiti as^inisr.ement du service de la p ««tique, où se • pratiquait en grand jusc ■ système des provocations au moyen d'at dateurs, tels les Azew. n est question de restreindre le don 'tous? ^-e P°^ce politique, et, eu outr ( P®ral ujunkovvski estime nécessaire de mer les agences qui furent créées à l'é '116m r°Ur les<^uelles on dépense des sor i PORTUGAL L'amnistie votée Dans la nuit de jeudi à vendredi, la Cham-£ bre a voté, par 102 voix, contre 24, le proje d'amnistie présenté par le gouvernement. Hier après-midi, le Sénat a voté la proposition ministérielle d'amnistie après avoir préa-1P lablement adopté, par 29 voix contre 20, une ,3 motion présentée par les droites et déclaranl que le sénat aurait désiré une amnistie plus étendue. p ITALIE le d Renforcement de la flotte Une nouvelle série de douze destroyers de é mille tonnes chacun est actuellement en con-t. struction en Italie. s Le premier de ces bâtiments a été expéri-e menté à Livourne. Malgré une mer houleuse, le navire a donné a une vitesse de presque trente-sept milles, i. Une note du ministère de la marine dit que s ce destroyer est actuellement le plus rapide du monde. e GRECE La liberté du fez Une grande partie de la population Israélite de Salonique de nationalité ottomane porte " encore comme couvre-chef le fez traditionnel turc. Il semble que le gouvernement hellénique ne voie pas d'un bon œil la coiffure du fez ' qui rappellerait la domination ottomane. ; En effet, d'après la „Nea Alithia", le chef x de la sûreté publique, M. Papaéconomon,s'est _ rendu auprès du Grand Rabbin de Salonique, i Jacob Meyer, et . lui a déclaré qu'à son grand étonnement, malgré les diverses recommandations faites aux citoyens israClites, ceux-ci t ainsi que les élèves des écoles juives, conti-; nuent à porter le fez comme couvre-chef. Pour la dernière fois, il recommandait au chef spirituel d'inviter ses ouailles à abandonner cette coffure que rien ne justifie; dans le cas contraire les autorités policières prendraient les mesures nécessaires contre les citoyens qui ne se conformeraient pas à cet ordre. Cet incident a produit une certa'ne émotion parmi la population juive de Salonique. BULGARIE Le procès des anciens ministres Hier devait commencer le procès des anciens ministres bulgares du chef d'irrégularités graves dans les conventions conclues entre l'Etat et des fournisseurs au 1907. Les débats ont dû être remis à cause de •l'absence motivée par la malade du général Sa-voff, le vainqueur des Turcs. Avec le général Savof doivent comparaître MM Ohcnodioff, yictrattruoiioi- c u duuucii. Il s'agit toujours de commander irrégUlièPeS j pour se~procurer des fonds. En réalité tout le monde sait bien que ces messieurs n'ont fait que préparer la guerre avec la Turquie et qu'il leur était impossible de faire ces préparatifs . S'il n'y avait eu le mécompte de la seconde guerre balkanique, les accusés d'aujourd'hui, au lieu de comparaître devant des juges auraient été portés en triomphe. TURQUIE La mission militaire allemande Le „Courrier de la Bourse" de Saint-Péters-' bourg a dit avant hier que toute la mission r militaire allemande va quitter Gonstantinople , et rentrer à Berlin parce que des différends I ont éclaté à plusieurs reprises entre ses membres et les officiers supérieurs turcs et parce ! que les officiers allemands qui composent la [ mission ne se sentent plus à leur aise pour la tâche qu'ils ont entreprise. On dément ce renseignement. Un seul officier allemand va quitter la Turquie, mais ce départ n'est motivé que par des raisons de j santé, - MEXIQUE n Un Incident grave Une dépêche reçue hier au département d'Etat à Washington, annonce la mort d'un ie riche fermier anglais, M. W. S. Benton, capturé x par le général Villa, chef révolutionnaire mexi-i- cain.L'ambassadeur anglais à Washington avait prié le gouvernement des Etats-Unis de faire i~ une démarche en vue d'obtenir la remise er »n liberté de M. Benton. Le consul des Etats-Unis à Juarez a informe la femme du sujet anglais Benton que soi Emari, reconnu coupable d'avoir trempé dans 1< complot tendant à assassiner le général Villa avait été condamné à mort par le conseil d< guerre et fusillé mercredi soir. Le conseil de guerre de Juarez avait reconni a- M. Benton coupable de conspiration, d'insult re et de provocation à l'égard du général Villa •i- M Benton fut exécuté le soir même. Dans 1 it, matinée, M. Benton avait déclaré qu'il allai on chez Je générai VP!a pour lui dire tout ce qu es pensait au sujet de la façon dont ses soldat os avaient pillé ses propriétés. Il était très nch ie- avant d'avoir été dépouillé par les rebelles. ; à 1 BILLETPÂrâËÏTAffl] Le 21 février im- La Chambre continue la discussion Je ra~ loi sur les habitations à bon marché; cl continue aussi à rejeter les amendemen ivi- présentés par l'opposition; un seul pet car amendement de M. Devèze a trouvé gr&i line devant M- Michel Levie et a été adopté, l'un Du reste, lis sort- Ses amendements pr< aux sentés par le rapporteur, M, Tibbaut, est ■ se môme,au point que ce dernier les retire po' S!0n ne pas poursuivre une discussion qui d yient sans intérêt devant le parti pris i tr la majorité de voter tel quel le projet pr 1 *-■ senté par le gouvernement. !fd'i A signale" deux incidents: M. de Woutf U«a- d'OpHntèr, èe subsu^t - J* des -asi- nances, ou en faisant fonction, _ ..rr;, projet de loi prorogeant jusqu'au 15 a.-1 In" délai de timbrage, à la taxe de faveur, t titres étrangers. IU'Icl Cette proposition a été envoyée b. l'es ;ents mon d'une commission spéciale, compo: de MM. Wauwermans, Pécher, Liebaert,B( mine trand et Nerincx. a< le La commission spéciale s'est réunie sét ce tenante et a adopté la proposition q îmes dit-011, sera votée mercredi prochain. Le Sénat la ratifiera le 3 ou le 4 mars » % *■ M. Franck, au nom de M. Royers, a dé claré que celui-ci retire son interpellatio concernant les travaux maritimes d'Anver: des négociations étant entamées entre l'Etc et la Ville. Jean G0S8INÛ. Nouvelles de l'Étranger Fortune prlnclère La princesse Elisabeth, fille du prlnce-héri tier de Roumanie qui épouse le prince héritie de Grèce reçoit du roi Garol une dot de cin millions et un apanage de 200,000 francs. Elle héritera, de plus, d'une partie de la for tune du roi Carol, évalué à 200 millions. Pour le tunnel sous la Manche Les sociétés agricoles de France sont actuel lement réunies en congrès à Paris. L'assemblée a émis le vote suivant. ,,'La 45me session des sociétés agricoles d< France, considérant l'importance des importa tions de denrées agricoles en Angleterre,émet h vœu que les pouvoirs publics, encouragent pai tous les moyens possibles la création du tunne sous-marin du Pas-de-Calais qui donnerait d< grandes facilités aux exportations de denrées agricoles et serait un gage certain de l'entente cordiale." La verrerie ouvrière d'Albl Le comité des syndicats ouvriers veut intervenir dans les conflits créés au sujet de la verrerie ouvrière d'Albi. Il a pris la décision suivante : ,,Le comité général de l'Union des syndicats de la Seine, en présence de la situation créée ù la verrerie ouvrière par le départ inexpliqué de l'ingénieur Spinetta, décide de demander d'urgence, au conseil d'administration de cette coopérative, la convocation immédiate d'une assemblée générale extraordinaire des actionnaires. ,,En outre, le comité général invite tous les syndicats parisiens, actionnaires de la verrerie ouvrière, à joindre leurs voix à celle de l'Union des syndicats de la Seine, en formulant au plus tôt auprès de l'administration de la V. 0., la même demande de convocation immédiate d'une assemblée générale extraordinaire. Cet ordre du jour a été adopté à l'unanimité." L'affaire Duvlgnon uuvignon, ie jeune déserteur de k M\ Dardenne pour lui voler son automoDire oints une excursion d'essai près de Paris a comparu devant la Cour d'assisses de Versailles. Le docteur Paul, qui a examiné M. Dardenne, déclare que des 7 balles que ce dernier reçut, trois ne purent être extraites, ce qui constitue un danger constant pour lui, car- il faudra certainement dans un temps déterminé recourir I à une nouvelle intervention chirurgicale. Le I docteur Dupré a examiné Duvignon au point de vue mental, il n'a constaté chez lui l'existence I d'aucune maladie nerveuse pouvant influencei I sa mentalité, mais il y a cependant chez lu: I quelques tares héréditaires du côté maternel I Deux de ses tantes sont devenues folles. Pour-! tant le docteur conclut à l'entière responsa-I bilité de l'accusé. Hier, à 5 h. 45' après une heure de délibé-1 ration, le jury rapporte un verdict de pleini culpabilité, mitigé par les circonstances atté nuantes. En conséquence, Duvignon est con I damné à 20 ans de travaux forcés et à l'inter I diction de séjour. L , . ^ I L'accusé reste indifférent en entendant l; I peine prononcée contre lui. Dans les couloir I du Palais sa mère s'évanouit. Sa victime l'in I génieur Dardenne, assistait au prononcé du ju 1 gement. Pour entrer aux Etas-Unis I Jeudi a été célébré, à Portland, dans l'O I régon, le mariage de miss Mary Lloyd, l'ar i tiste connue, avec M. Bernard Dilon. s I Ainsi trouv réglé l'incident auquel avait don I né lieu l'arrivée en territoire américain d cette cantatrice que les autorités du service d Kimmigrafion déclarai^*, Jneïisirable" parc I qu'elle voyageait avec un homme qui n'était pj son époux. Miss Mary Lloyd affirme qu'il n I avait dans son cas rien de répréhensible < 1 qu'eUe avait l'intention d'épouser son con I pagnon. Cette situation va se trouver régular I sée et rien ne s'opposera plus à la prolongatic I du séjour de l'artiste sur le territoire amér I cain. Les trucs du fiso américain 1 On sait que depuis quelque temps une gue I re ouverte existe entre les autorités militair I douanières américaines et le millionnaire Rock 1 feller. , I Jusqu'à présent, les employés des impôts n I vaient pas réussi à entrer dans la demeure « Roçkefeller et les employés durent recourir j une ruse de guerre. Ayant-hier, la nièce du i I américain du pétrole, assistait à un bal. Un je I une homme élégant s'approcha de la dame I dansa avec elle durant toute la soirée. A la . I du bal, il demanda à la nièce de Rockefel f l'autorisation de lui porter ses hommages le le I I demain; ce qui lui fut accordé. Lorsque le jeu J 1 homme se présenta le lendemain dans la e meure de Roçkefeller il fut naturellement inti I duit immédiatement. Mais à peine se trouvait I dans la demeure du multimillionnaire, qu il t I de sa poplie un dossier volumineux, soumit a pièce de légitimation comme employé des i i pôts et exhiba un protocole de saisie de plus ts 62 millions. Roçkefeller, se voyant dupé, it 1 forcé de payer de cette façon les 62 inillio *0 [ sous peine de voir mettre le scellé sur ses m( I blés.Après tout il a encore fait une belle affr i car les autorités n'ont pu fixer que mainten i 1 q-ie Roçkefeller avait encore 175 millions d le pôts en souffrance à payer de l'année dernn ^ I Ht li.s autP?ité§ creusent la tête pour trou ?- I ]e moyen do 's'introduire "yrïeore uno l'qi» dan le I demeure du roi du pétrole. La grève au port do (Vlarseillo. I La grève des officiers mécaniciens conti Isons incidents. La compagnie a désarme deu? de §ea c<* boats, le ,,Caucasse", desservant la mer N' et le ..Normand" allapt au Havre et à Lon< Les officiers mécaniciens des Transp Maritimes ont présenta dps dasigernta nno!''£ |M . —v des Messageries. K'iis ne reçoivent tLb à ceu~ iis ont l'intention de de ce soir satisfac a- quer. ;ée La peste 1 " Le vapeur postal allemand „Salsctte" assure le service' postal entre Bombay eu n." est arrivé jeudi dans ce port. Muis le Ps* U1> dut quitter sans avoir pris le courrier à un certain nombre de rats qu on croit att de la peste se trouvent h bord. Une explosion près de Glascovv Hier matin une double explosion a détruit ! □ une fabrique de dynamite, située à environ 30 . milles de Glascow. ( L'explosion a été entendue à quarante milles à-la ronde. Les vitres ont été brisées dans plusieurs localités. Les effets de la seconde explosion furent plus terribles encore. Un bâtiment dans lequel travaillaient 300 ouvriers, s'est effrondré dans la fonderie d'Aideer. Il y a plusieurs blessés. La population des environs accourue devant les portes de l'usine a été maintenue à distance par un service d'ordre. Il est défendu à quiconque d'approcher des lieux du sinistre. Sept ouvriers ont été tués sur le coup, il y y a plusieurs blessés. Un des blessés étant mort le nombre des & huit. L'atelier de mélange des gélatines où l'explosion s'est produite contenait 6,000 tonnes de gelatine. J Les suffragettes françaises I Hier, après-midi, le juge de paix du treizième arrondissement de Paris, a rendu son jugement dans l'affaire des suffragettes, portée devant lui par l'appel de Mlle Halwacks contre la décision de la commission de révision des listes électorales qui avait refusé son inscripton M Becker, le juge de paix, a fait droit aux conclusions de Mtre Lhermitte touchant la nullité de la décision de la commission, cette dernière ne devant pas écarter .,de piano" la de-, mande de Mlle Halbwacks. • ^ S,ur Ie,/on(i te juge repousse les prétentions , de la suffragette et déclare qu'il n'y a pas lieu . de 1 inscrire sur la liste électorale, i NOS ÉCHOS r.a santé du Roi Le Roi est dans un état de santé aussi bon que possible après la chute qu'il a faite pt la fracture du bras qui en a été la conséquence.Du reste, il tient à se montrer le plus possible, surmontant la douleur et voulant donner l'exemple du devoir accompli. Quoiqu il ait assez souffert de l'ecchymose que lui a faite à la jambe droite le coup de pied du cheval, il a fait des promenades à pied dans le jardin du palais. Hier il a fait une sortie en voiture au bois de la Cambre; il portait le bras en écharpe. Il n'a cessé de s'occuper des affaires de l'Etat et donne ses audiences habituelles. . * » Réponse du Roi Au cours du banquet annuel de la section et"a~la limita!' xtoyiflu 'p'it pi u„ ce cercle. M. Scbnaphauf vient de recevoir la réponse suivante: "Le Roi a été très sensible au contenu de votre chaleureux télégramme d'hier. Sa Majesté, dont l'état est entièrement satisfaisant, m'a enargé de vous en remercier très cordialement en son nom ainsi que tous les membres de la Section de tir du 2e régiment 3o bataillon de la garde civique. " Le chef du cabinet du Roi." ♦ * » A l'Ecole industrielle ! Dimanche prochain aura lieu la réouverture, et non l'inauguration, comme nous l'a-i vons annoncé par erreur, du musée de l'Ecole industrielle. i Avant cette réouverture, le sympathique 5 et dévoué directeur de l'école, M. Boonroy, a tenu à' faire aux représentants de la presse les honneurs de cette admirable institution et de ses nouveaux locaux. Disons immédiatement que tous ceux qui étaient là ont été émerveillés de leur visite. Dès l'entrée dans l'ancien bâtiment du Marché aux Chevaux, on est frappé par la façade grandiose qui s'étend sur toute la ~ longueur de la cour. C'est la nouvelle an-e nexe, due à M. l'architecte en chef Van Me-e chelênjelle abrite une vingtaine de classes J s spacieuses, de véritables ateliers de dessi-y nateurs, de sculpteurs, de peintres, de me-nuisiers, de charpentiers de navires, d'or-'3 fèvres, de mécaniciens, d'électriciens, etc.  Dans une autre annexe, se trouvent la forge, i- le laboratoire de chimie et d'analyses. Puis le grand bâtiment servant de musée où sont exposés les travaux des élèves et les collections de l'école. Si, en passant par les classes et les ate-g" liers, nous avons constaté avec quelle mé-thode perfectionnée et quelle science,_ on enseigne les divers métiers et professions a- aux jeunes élèves, nous avons été plus sur-ie pris encore en voyant dans le musée le ré-^ sultat obtenu. Tout ce qui est exposé là est oi parfait, nul n'oserait croire que ce soient là «t des travaux d'élèves et bien des artisans et ■in des ouvriers, en voyant ces divers modèles, er doivent regretter amèrement de ne pas avoir n- pu ou voulu,suivre les cours de cette école, ne si l'école industrielle possède un outilla-e" ge complet et perfectionné, elle est égale-°" ment dirigée par un directeur et un corps ira professoral absolument à la hauteur de leur sa tâche, m- Actuellement le corps professoral se com-de pose de 56 professeurs, tous spécialistes di-fut plômés et bientôt ce nombre sera porté à 64. ns» On prévoit que sous peu il faudra nommer î.u" d'autres professeurs encore, car, chaque an-ant n^e' nombre des élèves augmente dans de m- grandes proportions. En ce moment, l'école ■re. est fréquentée par 1,800 élèves; on prévoit ver que l'année prochaine, il y en aura 2,500 çiu 3 îft moins! Après leur visite, les journalistes se sonf réunis dans le cabinet directorial, où notre confrère Paul Billiet, au nom de tous, a re-QUe mercié le directeur de son aimable accuci et a exprimé le plaisir que nous ressentions go- tous {le voip complètement- rétabli le sym-»ire, patliique M. Boonroy. après la pénible ma-tees ladie qu'il vient de'faire. orts # * traire et défaire >ar- i Le département de la guerre se distingu par son incohérence et ses décisions priso 1 suspendues, rapportées, remises en vigueu I ou un cG"rt- laps de temps. Nous en somme qui j ]a désorganisation complète du servie den' d'intérêt général qui devrait être le mieu Wrd fil le plus sérieusom-nit. oresni^, .intà I Encore une mesure rapportée. ' Il y a quelque temps le ministre de 1 guerre avait décidé de procéder à la „mi.se en commun" du pain de troupe dans les unités, au lieu de le distribuer individuellement aux soldats. M. de Broqueville reconnaît aujourd'hui avoir été mal inspiré par son entourage on décrétant cette mesure, qui a donné lieu à un gâchis épouvantable dans les corps de troupe; il s'empresse donc de la rapporter, pour n'en pas perdre l'habitude. Etrange mentalité A propos de la petite exposition maritime à l'Olympia de Londres, nous avons montré que si la ville d'Anvers n'a pas été mise au courant des projets des organisateurs de cette exposition, c'est uniquement parce que le gouvernement belge a cru devoir garder pour lui seul et enfouir dans ses cartons, les renseignements que lui ont donnés ses représentants officiels à Londres. L'abstention d'Anvers à cette exposition est donc due principalement à notre ministre des Affaires étrangères. Du reste, cette abstention n'est pas tant à regretter, car l'importance de l'exposition de Londres est considérablement enflée par la presse cléricale et notamment par la Métropole, à l'affût du moindre petit grief il exploiter contre l'administration de notre ville, cela tout simplement dans un but politique bien étranger au véritable intérêt du port. Sait-on la seule chose que la Métropole trouve à répondre à -nos observations. Savourez ceci: „Nous lui répondrons d'une seule phrase: le Conseil communal de Rotterdam, notre implacable concurrent, a voté un subside de 75,000 francs — soixante-quinze mille francs — pour la participation officielle de son port à cette exposition." Alors tout ce qui se fait à Rotterdam est bien fait; les étrangers sont bien plus malins que les Belges; Rotterdam a toujours raison et Anvers toujours tort. Quelle étrange mentalité I Pourquoi notre confrère n'émigre-t-il pas îi Rotterdam. Y craint-il un échec retentissant? L'Espionnage La police de Bruxelles a arrêté hier matin un nommé Jean M. Rallinger,né en Lorraine en 1880. Cet individu portait plusieurs faux noms, notamment ceux de Iiort et de Lup-3in.Depuis longtemps, M. De Vos, juge d'instruction, ouvert une instruction à mandat de 30Ô francs qui lui était expeene par une agence d'espionnage. Hier matin, M. De Vos et M. Pholien, substitut, accompagnés du greffier De Vylder, de M. Ertel et ses agents, se sont rendus au domicile de ce personnage, et la perquisition faite sur-le-champ fit découvrir deux très petits appareils photographiques, ainsi que des photographies des forts et des ouvrages fortifiés d'Anvers, de Lierre, de Namur, de Liège, de Dunkerque et de Maubeuge; des cartes militaires de France et de Belgique dont plusieurs sont pointillées de rouge.Uno volumineuse correspondance a également été saisie. Interrogé, il a déclaré travailler pour le compte d'un gouvernement étranger, qui lui servait de ce chef une somme de trois cents francs par mois. Il a ajouté qu'il avait déjà été condamné en France, il y a quelques années, ayant été surpris en flagrant délit d'espionnage à Belfort. Tout ce qu'on pourra faire de cet indésirable hôte, c'est de lui notifier un arrêté d'expulsion du pays, arrêté qu'il respectera ou qu'il ne respectera pas, suivant son caprice ou ses intérêts; il est i remarquer que les espions se procurent facilement les papiers nécessaires pour changer d'identité. Ce fait, après bien d'autres, ne prouve-t-il pas l'absolue nécessité d'avoir une loi punissant l'espionnage, car, chose remarquable, la Belgique est le seul pays européen où il ne soit pas défendu de se procurer des renseignements confidentiels concernant la défense nationale pour les vendre à l'étranger. Egoïsme M. Van Reeth est député d'Anvers; mais 11 est aussi briquetier à Boom. 11 vient de déposer l'amendement suivant à la loi sur la protection du travail des femmes et des enfants, qui interdit le travail i ceux de ces derniers qui sont âgés de moins de quatorze ans: „Dans les briqueteries à la main du canton de Boom, ainsi que des communes de Rupelmonde et de Steendorp, sur l'Escaut, les enfants élèves du quatrième degré, de 12 à 14 ans, peuvent être employés au portage des briques, du 16 avril jusqu'au 25 septembre de chaque année. C'est-à-dire que M. Van Reeth — briquetier, répétons-le, — demanda que dans son domaine les enfants au-dessous de quatorze ans puissent être employés à la fabrication des briques. L'honorable député eût mieux fait, peut-être, de ne pas déposer, lui-même, pareil amendement, fait observer le Soir, journal qui n'est pas libéral. Si chaque député suivait l'exemple de M. Van Reeth pour l'industrie principale de sa région, les enfants pourraient être exploités dès l'âge de 5 ans. * Le timbrage des titres étrangers Or, donc, M. Michel Levie a voulu avoii les apparences ('entêtement jusqu'à! 1 bout. . Depuis longtemps on savait qu il étfu matériellement impossible de faire timbre à la taxe do faveur, avant le 5 mars pro chaln, tous les titres étrangers qui sont dan les portefeuilles belges. ; Déjà à deux reprises, M. Pecher, se fai sant l'organe des agents de change et ban r quiers anversois spécialement atteints pa s l'arrivée du terme fatal, a demandé au mi e nistre de prendre les mesures pour fait x proroger le délai. M, Leyip i'v- est refu-ÎIV65 mû-' c^lwiiuation incroyable. Les agents de change lui ont demandé ur i audience; il n'a pas voulu céder, mais s'est fait faire une douce violence par un de ses amis. M. de Wouters d'Oplinter, simple député, s'est substitué au ministre et a fait à la Chambre, la proposition suivante: „Par dérogation à l'article 60, § IV, alinéa 2 de la loi du 30 août 1913 apportant des modifications aux lois sur les droits d'enregistrement, d'hypothèque, de timbre et de succession, ainsi qu'à l'article 9 de la loi du 30 décembre 1913 contenant le budget des voies et moyens, le délai de timbrage au taux réduit des titres étrangers est prolongé jusqu'au 15 avril 1914 exclusivement. La présente loi sera exécutoire le jour do sa publication au Moniteur." Séance tenante, une commission spéciale fut nommée, et à la fin de la séance d'hier rapport favorable fut déposé. La proposition sera votée mercredi par la Chambre, et la semaine suivante par le Sénat, de façon à pouvoir être publiée au Moniteur du 4 ou du 5 mars. * » * La gauche libérale du Sénat Le Sénat se réunira le mardi 3 mars Avant la réunion officielle de la Chambre haute, la gauche libérale tiendra une séance pour examiner les projets de loi à l'ordre du jour: la pension des vieux mineurs; la loi scolaire, les budgets et la loi sur les habitations ouvrières. Cette réunion aura lieu à la fin de la semaine prochaine. Les Jeunes gardes libéraux à Paris Les jeunes-gardes libéraux de Belgique, invités par l'Union des jeunesses républicaines de France, partiront pour Paris où ils excursionneront les 27 et 28 février et lo 1er mars. Ils seront reçus à l'Elysée, au Sénat, à la Chambre, à l'hôtel de ville. M. Caillaux présidera un banquet qui leur sera offert. A la Seala Ce soir commence la série des bals de Carnaval, à la Scala. Nous avons pu jeter un coup d'œil dans la salle hier; elle est magnifiquement décorée et sous les flots de lumière électrique, le spectacle en sera éblouissant. Le Carnaval sera fêté à la Scala selon les bonnes traditions de jovial entrain et de franche gaîté. • « • A l'Hôtel de Ville Lundi 23 et mardi 24 février prochain les bureaux de l'hôtel de ville, ainsi que les gS!satïoèn de3 ¥ïihHS©M * « * Au Cercle artistique Jeudi prochain, 26 février, après les fêtes du carnaval, il y aura au Cercle artistique une grande représentation de gala. La famille Pierrot sera encore dans nos murs et elle occupera, avec L'Enfant prodigue, pantomime en trois actes de M. Michel Carré, musique d'André Wormser, la scène de li» rue d'Arenberg. Comme livret et comme musique, cette œuvre, créée en 1890 au Cercle Funambulesque, à Paris, est un chef-d'œuvre de simplicité, de poésie et de grâce. Or, l'interprétation, jeudi prochain, sera de tout premier ordre. Le rôle de Pierrot père sera tenu par M. Georges Wague, de l'Opéra-Comique. M. Georges Wague est un des premiers mimes de l'Ecole française; c'est le propagateur de la mime nouvelle qui consiste à reproduire pour le spectateur, non une idée concrète presque impossible à reproduire par le geste, mais un sentiment facile à percevoir, et qui, pour cela, substitue au geste de la convention celui de la réalité. M. Georges Wague était 1e partenaire habituel de Mme Colette et il joue L'Enfant prodigue avec une force, une sensibilité et une maîtrise remarquables.Mme Christiane Kerf représentera Mme Pierrot mère; cette artiste appartient également, à la fois comme danseuse et comme mime, à l'Opéra-Comique; le public anversois pourra, du reste, l'apprécier sous cette double forme, car, pendant l'un des entr'actes, elle lui donnera quelques «danses russes». Les autres rôles seront confiés à d'excellents artistes, tels que Mme Monde-lys, des Capucines, Lucie Dereymon, de l'Al— liambra, et M. Battaille, de la Renaissance. A cette occasion le Cercle essayera pour la seconde fois le système nouveau de location des places: les membres pourront s'inscrire le lundi 23, de 9 à 5 heures, le mardi 24, de 9 à midi, et les cartes seront retirées au Cercle le 25, de 9 à 5 heures. * U Naissances et décès Pendant la semaine du 8 au 14 février 1914 . il est né à Anvers 127 enfants,dont 6 de parents étrangers à la ville. Dans la même semaine, il est mort 109 personnes, dont 13 appartiennent à la population' flottante. La population normale de notre ville s'est donc augmentée pendant cette semaine do 25 habitants par l'excédent des naissances sur les déoès. La mort a été dure pour les personnes âgées; il est mort 13 octogénaires ot C personnes âgées de 70 à 80 ans. Il y a eu 30 décès de jeunes enfants; 2t d'enfants de moins de 6 mois; 6 de 6 mois à un an et 3 d'un à deux ans. La diarrhée infantile a fait 7 victimes; les tuberculoses, 10; les affeotions de l'appareil respiratoire, 20; les maladies du cœur, 8; ! les tumeurs malignes, 6; le croup, 4; la coqueluche, 4; la rougeole, 2, et la scarlatine 1, j, ' En traitement dans les hôpitaux: 9 cas de rougeole, 2 de scarlatine, 6 de croup. 1 1 d'érysipèle, 11 de tuberculose pulmonaire ot ? 1 de fièvre typhoïde. Précision A l'école primaire, de "campagne: r Le maître. — Prenons le mot „œuf"; quel genre de mot est ce? o f,'élève. — C'est un substantif. Monsieur, é Le maître. — Dan9 quel genre? masculin ou féminin? e L'élivw,. -— Je ne sais pas encore; je vous il gir&t cela lorsque l'œuf sera éclos.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Le nouveau précurseur: journal du soir behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Anvers van 1902 tot 1914.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes