Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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23 januari 1914
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s.n. 1914, 23 Januari. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/z31ng4hz6b/
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VENDREDI 23 JANVIER 1914 UUtSiiQN PANS L'ACTIOr « jini/^Tirm r a tuftirr Mo ABONNEMENTS Pour tenta la Belgique Un an. ...... fr. 9»00 Six mois, „ « « , . . 4.G0 Trois mois • • • • • Gr.-Duché de Luxe ml). ZQm&O Union postal®. • • • • • * S0«00 Directeur : Fernand NEURAY Edltien (6 h.ioir) Edition 10 h. soir) Edition -$ (minait) LE IXe SIECLE Lasastiesassanea MMBBBB ■■ Téléphones 3543 et 3S83 Xnstaitl-are omnia in Christo Rédaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles ANtoONOES Annonces erdin.. petite tign» . 0*4C Réclames (3® page), la ligne» 1.53 Faits divers corps» « » "î-OS Faits divers fin. . « v 3*00 Réparations judiciaire» * 5M8C nécrologie» . < . . * 2.0(1 Le> annonce, sont re9ue* au bureau du journal R centimes I— EDITION * ;• — " L'apôtre Pomme de terre a*i<G>ï« « — À propos du centenaire de Parment On célèbre en ce moment en France le cer naire de Parmentier, qu'on pourrait app< l'apôtre de la pomme de terre. Nul n a plus compétence pour traiter une question de < sine qu'un maître cuisinier. Aussi nos lecte et nos lectrices liront-ils avec l»aisir 1 art: que nous adresse à ce propos M. Paul bo lard, correspondant à Bruxelles du « w>ar d'Epicure » : Il y a, certes, au siècle où nous vivons, < commémorations plus brillantes et P'us pageuses que celle de_ Parmentier, dont France fête le centenaire. En est-il de plus rationnelles ot ae p justes ?... J'en doute, puisque Parmenl peut être mis au rang des plus grands bi faiteurs de son pays et de l'humanité. Je sais bien qu'on l'-a fortement battu brèche et que, documents en mains, nos 1 toriens modernes —. ces impitoyables c tructeurs de légendes — ont perempto: î menr, démontré que # Parmentier n est f §■• comme on le répète journellement, * 1 mv t tour a de la pomme ae terre, mais plus s K- plement le vulgarisateur du précieux tut I cule. . . _ Or, si l'on délaisse le point de vue pi I ment abstrait pour n'envisager que le c ■ . pratique, ne voyons-nous pas, tous les jot f et dans toutes les branches de l'activité raaine, des inventeurs timides tomber d | l'oubli, alors que les audacieux propagate F de découvertes qui risquaient de demeu t stériles et inexplorées, recueillent, par i force même des choses, le fruit et *a gl( | de l'invention?... Mais, précisément, en ce qui concerne T pomme ae terre, il ne peut être question | se disputer une invention. CMHISTOPHE CCL0M3 N'A PAS DEC V£3T QUE L'AMERIQUE.—LUS DESl QE LA POMME DE TERRE EN EURO Il est incontestable^ en effet, que la s \ née devenue si populaire aujourd'hui 6 | connue et utilisée en Amérique, son i l d'origine, bien avant la découverte du £ [ veau-Monde par Christophe Colomb. C ! ainsi que Zarate, trésorier au Pérou 1 1400, fait mention du tubercule que Le de Gomera et Joseph Acostat désignèrent peu plus tard sous le nom de «papas s, indiquant que les Péruviens s'en serva comme de pain. H Ce fut Walter ïtaleigh qui apport? pomme de terre en Europe et l'offrit à l sabetb, reine d'Angleterre. Un peu plus t quelques tubercules de la plante 'exoti | furent envoyés en Autriche, au botan r Clausius, qui professait à Vienne. S'il faut en croire le récit de Guilla Bowle, dans son a Histoire d'Espagne », ( p en Galicio que furent cultivées les premi l pommes de terre importées sur l'ancien t tinent et elles y devinrent tellement < munes qu'on eu mangeait journellemen qu'on en engraissait les porcs. ILes Italiens connurent également très la pomme de terre, qu'ils appelèrent « tr folia», à cause de sa ressemblance ave truffe. . . . Vers le commencement du dix-hûiti siècle, la cuiture de la pomme de terre introduite en Alsace, en Souabe, dan Palatinat et en Belgique. D'ici, elle passa, un péli plus tard, dar Lyonnais et d$.ns les Cévennes, sautant dessus des provinces entières, en raison préjugés qivelle rencontrait sur son chei Beaucoup de médecins prétendaient, en e que l'usage du tubercule de la solanée du irait des effets désastreux sur la S; publique; des économistes célèbres co crèrent de longs mémoires à prouver qu légume nouveau était malsain et dangere enfin, dans certaines contrées, on n'rrés: h pas à proclamer que la pomme 'de t n'était autre que celle dont le serpent s'é servi pour seduire notro grand'mère 1 dans le Paradis-Terrestre. Au surplus, il suffit de citer cet arrêt rei en 1630, par le Parlement de Besançon, { se rendre compte de l'ostracisme rigoui dont était frappée la plante d'outre-me] H maintes régions : a Attendu, dit l'arrêt, çjue la pomme de t R est une substance pernicieuse et que son u; peut donner la lèpre, défense est faite, : peine d'une amende arbitraire, de la cuit sur le territoire de Salins ». LA POMME DE TERRE A LA COUR DE LOUIS XVI Telle était donc la situation lorsque éc • la fameuse disette de 1770, au cûurs de quelle, rapportent les ehroniqueurs'dil ter on vit les paysans brouter l'herbe des cha et disputer aux animaux leur pâture c naire. Cest alors que Parmentier, pharmacie] chef des Invalides, se souvint du temps faisant partie de l'armée du Hanovr» étant prisonnier en Allemagne, il avait nourri de pommes de terre dont il avait précié le goût. I Comprenant quels services ce légi (presque inconnu en France, pouvait rei au peuple, il résolut de se consacrer à sa garisation et d'en imposer l'usage au c même de la capitale. C'est ainsi que,trois ans plus tard, il pu son a Examen chimique des pommes terre », ouvrage dans lequel il réduisi néant les ineptes calomnies dont le tuber de la solanée était l'objet et prouva qu'i contenait aucun poison. Sans se laisser décourager ni arrêter les moqueries et les sarcasmes cjue hommes de science eux-mêmes ne lui mt geaient pas, il obtint du gouvernement i fermage de cinquante-quatre arpents de t« réputée jusque-là absolument stérile, d la plaine des Sablons, près de Paris. Et, au bout de quelques mois, le phi] thrope avisé eut la satisfaction de mon* à eeux qui le traitaient de fou les ma; fiques pousses qu'il avait obtenues. Des premières fleurs de la plante exoti — qui,-çà et là, n'avait été cultivée que p sa rareté et sa beauté — il composa un r Quet qu'il offrit solennellement au Louis XVI, qui ne manquait pas d'esp attacha l'une des fleurs du bouquet et para ostensiblement la boutonnière de ■habit. Dès lors, la cause de îa pomme de U «tait gagnée. La Cour d'abord, les notai ligueurs ensuite, enfin la bourgeoisie e' Peuple, entraînés par l'exemple du mor s'intéressèrent avec enthousiasme à merveilleux,' racine, qu'on dénomma « i ■ Rentière», et tous voulurent y gsoûter. i r Si bien que, quelques années plus tar 1 lors de l'affreuse famine qui suivit les tro - blés de la Révolution, la culture de la pomr de terre devint générale dans toute l'Euro; occidentale. LA POMME DE TERRE... LA MEILLEUF DES MERES La pomme de terre constitue aujourd ht au même titre que le pain, la base de 1 a mentation humaine et son usage, dans cuisine, est si multiple et si important q * l'on peut se demander avec quelque rais< ce que nos aïeux pouvaient bien mange avant de ta connaître. !f Ou la prépare de cent façons différente! elle se prête avec une surprenante bonne v lonté à toutes les combinaisons et fait exe< lente figure, comme garniture, autour d'ui rr infinité de plats. La pâtisserie elle-même n • pas manqué de s'emparer de cette ressour nouvelle, puisqu'elle a su nous présenter è faire apprécier la « parmentière d sous forr 1- d'entremets, de puddings, de soufHes et < it gâteaux qui ne sont pas dédaignés des goi mets. Qu'on s'étonne, après cela, que Parme tier ait pu, en 1776, renouveler rexploit eu naire des Langues d'Esope et donner i grand dîner au cours duquel il ne fut ser .Q depuis le potage jusqu'au dessert inclus, qi ,r des pommes ae terre accommodées de < ' verses manières. Voici une anecdote, contée par un hurr n riste parisien, qui donne une idée exacte 1 g. l'importance prise par la pomme de ter dans l'alimentation moderne : Il y a quelques années, dans une réuni " publique précédant une élection très disp tée, on vit monter à la tribune un eitoy 1. qui, après avoir fait un pompeux éloge _ son candidat, crut bon de parler égaleme de la femme de ce dernier et s'écria : « Oi citoyens, c'est la bienfaitrice de l'humanité . t — Pardon, riposta le candidat adverse, bienfaitrice de l'humanité, c'est la pomi . de terre. Et, au milieu de bravos enthousiastes se levés par cette réplique, l'interrupteur poi suivit : jl — Eh bien, oui : la bienfaitrice de l'hurr ,'e nité, c'est la pomme de terre, et je la sal bien bas. Le pain nous manque parfois ; ma ► elle, ne nous a jamais fait défaut ; on ie trouve toujours une pour apaiser la faim. ° ne puis mieux taire que de 1a comparer à meilleure des mères; elle ne sait comment mettre pour être agréable à ses enfants c 's la mangent à toutes les sauces — et même E* chemise — quand ce n'est pas frite ou soi o- fiée.... i,it Et, sur cette exhilarante profession de f< ys le candidat fut, paraît-il, élu. u_ DES POMMES NATURE AUX POMMES st FIRITES ^ Je n'apprendrai rien de nouveau à mes 1( in teurs en disant que les Belges sont gran 3JÎ amateurs de gommes de terre. Chacun sa en effet, le rôle prépondérant que joue légume dans nos menus quotidiens, aussi bi ia ji la table de famille que sur la carte des r< taurants. Et il n'est guère de plats du jo ^ qui, par tradition, ne soient accompagnés, dehors de la garniture ou de la sauce sj ciale, de quelques tubercules farineux, si plement bouillis, (jui s'allient parfait-emei ne d'ailleurs, aussi bien avec la viande qu'a\ le poisson. Pourtant, je dois à la vérité de signa )n1 que ces pommes « nature » tendent de p In. en plus à u accompagner » le plat à l'aller e ej. au retour, et à faire simple office de fi: rants sur la table, par respect, pour d!; |.£t ciennes coutumes dont on a un peu abusi j.u. Le Belge, pas plus que le Français,ne pi ja vait, en effet, résister à la monotonie goût de la pomme de terre simplement bo1 31C lie ou même, comme on dit ici, « étuvée ». •u{ C'est pourquoi, il y a quelque quara >ô ans, alors gue les relations devinrent p fréquentes entre les deux pays, par le fait je la facilité des moyens de transport, lr_ Belges s'empressèrent d'adopter les i |es thodes françaises pour la dégustation de pomme de terre et, comme je l'ai exposé 5r" guère dans le «Carnet d'Epieure ®, c'est .0^ cette époque seulement que date i'app: tion des pommes frites sur les menus bru: lois. 'je Les pommes frites !... Qui les ignore aujc K . d'hui et qui n'en est point friand?... N'est-ce.pas elles qui ont fait, en deçà ,e Pas-de-Calais, la fortune du bifteck, restt longtemps le monopole de l'Angleterre?... •e Mais un fait aue bien des Belges ignor ' certainement, c est que, malgré la gra.i production indigène, en dépit de l'intens dé la culture et de l'important appoint lx porté par la Eollàode, 1a Belgique man< de pommés de terre, pendant près d'un mi chaque année. Ce phénomène se produit vers la fin d'av re alors que les tubercules conservés pend, i'hiver sont épuisés ou devenus trop fil us. dreux et que les pommes nouvelles du p; CJ ne sont point encore arrivées à maturité. La Belgique devient alors tributaire l'Italie qui lui envoie en abondance 1 pommes de terre de très petit volume n ta sur les flancs du Vésuve, mangeables à ia- vérité, mais dont 1a saveur est presque ni >s, et qui n'ont pour excuse que d'arriver P.s moment précis où l'on a, besoin d'elles, ïi* Ceci aémontre surabondamment qu< place a prise dans notre vie ce modeste en gume qui, comme on T'a dit plaisamment, pas la jactance de la tomate, la mièvrerie et l'asperge, l'ambition des petits pois, i'inco 'té tance de l'artichaut, la bahalité du chou, -P" mses de la carotte, l'orgueil des épinar les... inconvénients des haricots ni des pet lc, oignons, mais qui nous reste généreusem' re fidèle. ur Associons-nous donc de tout cœur s manifestations dont Parmentier est actue ment l'objet dans son pays natal — c'est pi (je reconnaissance. Car, qu'importe qu'iL n' ^ pas, le premier, transporté d'une rive à 1' tre de l'atlantique le précieux tuberc Qe dans lequel il a eu foi. si. sans lui, nous avi< dû être condamnés a rignorer toujours? ar C'est pourquoi le « Carnet d'Epicure i eR été bien inspiré en dédiant à Parmentier a'. XVI3 dîner de la Ligue Mondiale des Go mands, qui aura lieu prochainement. lp Paul BOUILLARD qs L'OBSERVATOIRE Q- er ■ ii- Uccle, 22 janvier (7 h. du matin) La situation atmosphérique s'est peu me le fiée depuis hier. ur La pression dépasse 765 mm. sur la Gran< u- Bretagne, à l'exception des Cornouailles, t >i. contrées, l'AUemag-nc, le sud de la Scandina t, et la mer du Nord; elle est inférieure à 758 m ;n' sur îa péninsule hispanique et la Méditerran jn Le baromètre descend sur le nord de Suède et de la Russie,varie peu sur les îles E tan niques, l'ouest du continent et les régric méditerranéennes, et monte sur le reste j9 l'Europe. 1° Le vent est faible d'entre nord-est et est-si r- est sur nos contrées, où la température la comprise entre —3° sur le littoral et —12° r- Ardenne. . Prévisions : faible; beau; gelée. La grande duchesse à La Haye ue ! I La o-rando duchesse et la reine Wilhelmine sortant du Maurîtshuis r>n & la | Le projet scolaire m et la question flamand :C- £ Les votes de jeudi à îa Chambre »n —»o.— Au milieu de la confusion dans laque! ur ont eu lieu jeudi les différents votes de 1 e,n Chambre sur les amendements flamands. ,e" a été tiKî'j difficile de saisir exaccemâiît j cn" poi-tée de certaines dispositions et de s'e: pliquer ainsi ^'attitude prise par certains c ec i nos amis de la droite. Nous croyons faii j œuvre utile eu récapitulant Virièvemeut i lCr les votes émis de manière à éclairer exact; ;UB ment nos lecteurs sur la situation actuel. Jr' ' ' du débat. =n~ Premier vote. —La Chambre a commenc par adopter unanimement le principe qu 5" _ la langue maternelle serait la langue véhici dû ^re l'enseignement. j Deuxième vote. — Elle a repoussé u | amendement de MM. Van iC'auwelaert e ! Franck disant que la langue véliiculaire si ju9 rait la langue flamande dans les commune flamandes et le français dans les communi les I wa^onE.es' né_ .Troisième vote. ~ La Chambre s'étai ja ainsi prononcée avait à prendre attitude si □a-1 fluestion de la deuxième langue. de | MM. Franck ,Van_Cauwelaert et C. Huy Lrj. | mans proposaient ici un amendement disar ' que l'enseignement de îa deuxième iangu pourrait commencer à partir du 3? degi ur. mais que si des nécessités locales commai daient de débuter plus tôt un simple arrêt du ministériel pouvait y autoriser les commi . si nés et les comités scolaires. M. Destrée réclama la division et on vot 2nt sur la disposition qui interdit de commeneo ide l'enseignement de la deuxième langue avai ;ité le 3e de^ré. Cette disposition fut rejetée. Eip Quatrième vote. — La Chambre était sa *,ue siç d'un amendement de M. Nobels disai >is, que « les communes étaient autorisées à o ganiser l'enseignement de la deuxième lai ril, gue ». mt M: Woeste proposait par amendement c tin- dire : les communes ET LES ECOLE lys ADOPTEES ET ADOPTABLES. Par suite d'une méprise due à l'extrèn de confusion régnant dans l'hémicycle, M. Vi les Cauwelaert et ses amis ont fait rejeter c ées amendement en votant avec toute la gaucli la tandis que le texte de ML. Nobels était se ille voté. Si nous disons qu'il y a eu mépris au c'est parce que M. Van Cauwelaert nous 1 déclaré lui-même en termes très formels,no ille autorisant à le répéter : lé- — Au milieu du bruit, nous a^t-il dit; m n'a amis et moi nous sommes imagine qi de l'on votait l'alinéa disant que l'enseigneme ns- de la seconde langue serait organisé ae façc les à ne pas compromettre l'étude approfond ds, de la langue maternelle. Nous étions persu its dés que l'amendement Woeste avait é mt adopté. Nous avons vu après coup qu'il avait eu méprise de notre part et je le d clarerai dès demain à la Chambre. L'erreur sera d'ailleurs réparée au secoi ' vote. , Cinquième vote. — Le dernier vote ém fj1 par la Chambre concernait l'amendemei iV Nobels disposant que l'inspection veillera jî ' ce que l'enseignement de fa seconde langi k ne compromette pas l'enseignement de première. Cet amendement laisse aussi ai i*, pères de famille, d'accord avec les che d'école, le soin de désigner la langue d&] laquelle se fera l'éducation première de l'e ian^- . _ Cet amendement a été rejeté à 1 voix < majorité. La Chambre, en résumé, n'a donc décit que deux choses : 1° Que la langue véhiculaire sera la la gue maternelle ; di- 2° Que les communes seront autorisées organiser l'enseignement de la seconde la le- mie. ios tm continuera a voter demain, ine ——g Lire en 4e et en Je pages ri- '«» UN ANNIV ERS A Tltiï. — La maladie et "e mort du prince Baudouin; , UN GRAND ANGLAIS: 1°: LA PETITE il AIN NOIRE;, eo ÇA ET LA; DU RACINE INEDIT; LA VIE SPORtlVE, tte. Liberté et toléranc ■ » (&>£) « l 'Un missionnaire de Ceylan, rentré au p ^ nous écrit : » , Dans la séance mémorable de la Cham : mn^rdi dernier, M. de Bloque ville disai ï « Sous aucun gouvernement, la missionn r catholique n'est plus libre qu'aux colo [anglaises! » j Combien c'est vrai ! ' ! Après avoir passé onze années sous le m villon britannique, je viens de rentrei i pays.Que yois-je,qu'entends-je surtout? iT > urs 1a même rangainc. Nous,conseillers a. 'hôliques, no«s demandons un pont p u . bien de la commune ; nous, conseillers 1 e raux, parce que vous,conseillers catholiq e j vous demandez ce pont, nous Saisons o] :i sition. Ainsi donc il n'est plus question î- j bien de la commune,de la province,de l'E e tout revient à ceci : parce que vous, ca j liciues, vous proposez telle chose, d'ailL é i très sage et très utile à tous et à nous, 1 0 | raux, en particulier, nous protestons. < i- j les idées petites et mesquines ! En pays j testant, où il conviendrait de protester n ! a des idées autrement larges. Que de t [ m'est-il arrivé d'aller trouver un m agis î- ' protestant; j'avais à obtenir soit justice, :s faveur. Justice, je l'ai" toujours obtenu ïs | immédiatement; faveur, presque toujo ! J;?^nais on ne m'a débouté à cause de la it ligion que je professe, jamais on ne ir t demandé si mes protégés étaient ca-tholic j ou non; il ne vient pas à l'idée d'un Ane ï- J de descendre à ces mesquineries. On di it ' que l'Anglais fait profession de laisser e côté la question religieuse; j'ai vu de é messieurs qui ignoraient^ parfaitemeu i- 1 quelle religion appartenaient leurs suj é or, ces sujets étaient chez eux depuis i- sieurs années. En homme raisonnable, 1: glais engage un cuisinier pour qu'il lui f; a bonne cuisine; c'est tout ce qu'il deniandi X lui; qu'il soit chrétien, hindou, disciplc it Mahomet, c'est le cadet de ses soucis. V .à l'heure actuelle tous nos socialistes, i- libéraux montés contre le projet de loi it laire. t'- Une loi cependant dont le grand bém 1- est pour eux. Que fait l'Anglais en mat scolaire? Lui aussi exige des maîtres c; le bles, des cours bien donnés qu'il vier S contrôler et, l'examen passé, il s'èmpresi d'envoyer au directeur de l'école le sub îe promis. Toutes les écoles qui réunissent ^n conditions voulues sont ainsi subsidié'es î 2t que jamais la question religieuse soit agi e, Y°PS. êtes malade, vous vous présente ul l'hôpital ; on vous donnera tous les s e, que réclame votre était, sans jamais vous 'a mander à quelle religion vous apparte Les carrières du gouvernement sont ouve au mérite uniquement. Que tout cela paraît grand et sa;ge; comme, au contn 10 tout ce que je vois autour de moi. tou que j'entends dire me fait hausser les é] !n les. Il me tarde de rentrer dans le payi 10 la liberté, j'entends de la vraie liberté a; on ne vous demande pas si vous allez :e messe le dima,nche, où vous envoyez vos y fants à l'école, mais où on se contente e" constater vos mérites. À. S ;d . . ... - | On prétendu scandale ie »0« la ix Nous lisons dans le «Pays wallon» : fs .% 1S t Des journaux friands de scandales ont 2- lifié de a malpropretés cléricales » un inci qui aurait suivi le banquet du 23 nover 1 dernier, des Anciens étudiants de la Fac ' de Droit de Louvain. Des .entrefilets venin ■, ont été jusqu'à supposer, à ce propos, un le disant délit dont ils livrèrent à la malignité blique les détails faussement inventés. Ai nom ne fut publié: mais des malfaisants s pressèrent d'y mêler celui d'un magistrat 'N nlnc liniiiM'o Klrv^- floinnt 1 -> m.'irolo , a-"l caractère duquel tous se sont toujours incli sans distinction de parti. Le public « honnête », qui savait ce ] fonctionnaire au-dessus de telles suspicions, pas hésité un seul instant à mépriser ces • famies. * D'autres s'en sont fait l'écho malveillant Nous pouvons affirmer, aujourd'hui, qu'a ^ tme enquête faite « à la demande de l'intér lui-même », par les plus hautes autorités ; ciaires, il est reconnu que les bruits diffi toires qui ont circulé, ETAIENT DENUES TOUT FONDEMENT; l'invraisemblable lomnie qui fut répanduet n'atteint donc qu inconscients qui l'ont imprudemment col / », Des administrateui modèles... Les chiffres officiels eux-mêmes si trop gênants peur les administ teurs des Hospices. Le Conseil des Hospices de Bruxelles ni envoie la. lettre suivante-: « A Monsieur le Directeur du « XX* Siècle i Dans votre numéro du 13 janvier cour vous avez essayé de démontrer que les secc délivrés aux indigents par les Comités de c i ité augmentent les années où il y a des é tions. Votre démonstration ( ?) était basée sur dépenses de 1912 qui — d'après vous — s' vent à 203.000 francs. Par lettre du 14 janvier — insérée dans v( journal le 17 — nous avons rectifié ce chi qui se réduit en réalité à fr. 110,590.75. Les commentaires dont vous avez fait sui notre lettre, tentent d'expliquer votre erreur déclarant que le chiffre cité par vous rei sente les prévisions budgétaires de 1912. Le souci de la vérité nous oblige à vous < que vous vous trompez encore. Les prévisions de 1912 s'élevaient à 141, francs et non à 203;000 franc». Nous ne pouvons que vous rapneler que secours délivrés par les Comités de cha ont atteint les chiffres suivants : En 1805 Fr. 159,480.80 » 1906 » 188,077.16 d 1907 » 224,442.41 , 1908 » 246,030.12 » 1909 » 161,090.37 » 1910 » 120,661.6 i » 1911 » 103,591.91 » 1912 » 110,590.75 » 1913 (prévision) » 127.100.00 La conclusion est indiscutable : en 1911 y eut à Bruxelles des élections communales; i 1912, des élections législatives. Loin d'être en augmentation, les dépenses J ces années «ont, au contraire, mGins élev a— ' que celles de toutes les années précédentes. Nous vous mettons au défi de prouver contraire cn vous basant sur des chiffres ex£ □à et sincères. ^ Nous vous prions d'insérer le présent droit réponse dans votre plus prochain numéro, première page, dans le^> mêmes caractères sous le même titre que les articles incrimir ays, Agréez, Monsieur le Directeur, l'express ••de notre considération distinguée. . j Par ordre : •pre» | Le Secrétaire Généra! fc. : (Signature illisible.) i aire nies ; Halte-là, s'il vous platt! ! Que le conseil des Hospices nous env ; dos chiffres et des calculs en réponse à i pa- articles, c'est son droit et nous ne le lui c au testons point. Fou- Mais qu'il prétende se servir de SES c] ca- fres, lorsque ceux-ci ne concordent point a r h. ceux de» d» ^un.enti; OFFR-Il^LS, p< ibé- triompher du «XXe Siècle» qui a cité ues, derniers purement et simplement, c'est jpo- que nous ne permettons pas. du Le conseil des Hospices se donne des s tat, innocents en disant que notre second arti tho- tentait d'expliquer l'erreur çommise dans ïurs premier. ibé- Pas de ça, vaillants calculateurs! . N< )h | n'avons commis aucune erreur — à moins pr0. considérer comme purement fantaisistes ou documents officiels. Nous avons cité ceu> fois i sans y changer un chiffre. Pour l'édifieati trat • c?.u Conseil, nous avons cité nos sources soit ' citation que nous répétons volontiers 3 •« Bulletin communal ^ année 191#; deuxiè ^rs ' partie ; documents officiels pages 901 et G reL i II résulte de ces documents que les < penses — prévisions — pour 1912 (secc mes t aux "Agents) s'élèvent a 203,000 francs lais Que Ie conseil des Hospices se déba raifc comme un beau diable, qu'il nous jette d'; de 'tres c^^res ® tête, ça ne change rien z ccs d°cuments officiels. £ Si le conseil des Hospices croit devoir fa rectifier ceux-ci par approbation de £ I » compte 1912, qu'il prétend solder par R, ^ autre chiffre, ou autrement, c'est son affai A Pour l'instant, nous avons à choisir en les chiffres officiels et ceux donnés par J ^ conseil des Hospices hors de tout contr de notre part. Nous n'hésitons point. olcl n'est pas au moment où, du côté libéral, nos proclame que le conseil des Hospices a tri sco" la confiance de tout le monde que nous ferc l.iuum CT OOJ tJfVl \JIkj iwisvju CilU UUUtlCUlU nce documents officiels. lère : y ,m ^ ^ Bulletin pdiltic|ts« "'j"® La Gazette de Cologne vient de -publ ;ans au sujet de la mission militaire alleman tée. à Constantinofle un article d'allure é z à deviment officieuse dont la conclusion que, dans toute cette affaire, il n'y a nez" "la's eu P0117 VAllemagne mie question rtes t"estige mais bien d'utilité pratique me point de vue intérieur turc.Il en résulte q 'ire, la naissance de sentiments d'irritation t tre VAllemagne et la Russie à la suite ; (]e cette affaire eut été quelque chose d\ oii compréhensible et ensuite qu'il est co i la pletement faux de parler d'un fia: 6dê 9u'a"ra't la politique allemande. " — En Angleterre, M. Lloyd George son tour, dément après M. Winston Ch. —— chi/l, les bruits de démission ministériel mais on maintient, à Londres, en dé de tous les démentis, que le cabinet re. profondément divisé sur le budget p senté par l'amirauté. Les radicaux ex t mistes, partisans de M. Lloyd George, liment notamment que la proportion supériorité de 60 p. c. au profit de ibî-<' Hotte anglaise, et que consacre le budg ulté doit être revisée et adoucie, en raison ,eux l'amélioration des rapports anglo-al mands. icun — La situation ministérielle de M. / deà f°ns0 Costa paraît très ébranlée, à la su :t iè du vote du Sénat portugais, dont la n nés, jorité lui est hostile. La Chambre des i laut fut^s a v°té mercredi, par 81 voix con n'a 46 motion de M. A. Braga, tendan in- ce qu'un congrès soit convoqué pour int prêter l'article 25 de la Constitution, q près t-e gouvernement et le Sénat n'entend'. essé pas de la même façon. On prévoit m ma- ce vote 1ue Ie Président du cons DE sera fccé de passer la main à M. Berri ca- dino Mackado, en ce moment ambas 11®S deur au Brésil, dont on attend le retou p01" Lisbonr s C'est is lapin qui a commencé L » (W) Effronterie et contradiction de la pressa anticatholique ^ Les Journaux de çauche désemparés après la séance de mardi ont repris contenance. Voici que c'est nous qu'ils accusent de délation et de mouchardise à propos des affaires coloniales ! Voyons; il faudrait, tout de même, ne pas se moquer du monde à ce point. Est-ca ant nous, par hasard, qui avons provoqué la let-urs tre du F.*. Wangermée? Bst-ce un des nô-ba- très qui l'a écrite? Sont-ce des francs-ma-lec- çone ou des missionnaires qui ont été l'objet de plaintes calomnieuses et de traitements les qUi devaient empêehef la lumière de se -lè- fairè? Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'il y a des ire francs-maçons au Congo. Nous le savons et les missionnaires le savent depuis longtemps vre comme nous. Cependant les missionnaires ne en so sont plaints que le jour où ces francs-ma->ré- Çons ont prouvé leur volonté de travailler au Oonço à un plan bien arrêté de déchris-lire tianisation. Le programme du F.vSluys, les aveux du F.*. Wangermée suffiraient à eux Û00 seuls à justifier leurs plaintes. N'est-elle donc pas assez significative cette lettre du 3eJ F.'. Wangermée se déclarant garanti contre toute sanction disciplinaire par le seul faii» que son chef immédiat est franc-maçon comme lui î Et c'est parce quet sans réeliimer de privilège pour aucun missionnaire ni pour aucun "catholique, nous voulons réprimer une action aussi scandaleuse et aussi périlleuse pour la colonie qu'on nous accuse de vouloir instaurer au Congo le gouvernement desf curés et de livrer l'administration de notre il colpnie à l'esprit de parti! L'audace est 'en grande, mais elle ne trompera personne. Qu'on le demande plutôt aux fonctionnaires de francs-maçons vraiment conscients de leurg ées devoirs de colonisateurs. Il y en a eu jadis 5 et nous savons qu'il s'en trouve encore pour Ie apporter aux missionnaires le concours et la CtS protection que leur assure, au nom de l'in-çje térêt supérieur de la civilisation, l'Acte d» en Berlin. S'il n'y avait jamais eu au Cçnga et d'autres francs-maçons que ceux-là, ni les és. missionnaires, ni leurs amis ne s'en seraient ion inquiétés et si nous avions aujourd'hui la, garantie* que les fonctionnaires francs-maçons ne seront jamais que de cette espèce, » nous ne verrions pour notre part aucune nécessité d'invoquer contre les menées des Lo* ges des mesures de défense particulière. - Mais l'actioji concertée, méthodique et persévérante des Loges est telle que c'est pour l'Etat une nécessité absolue de se défendre par des moyens énergiques. Pas de civilisation sans christianisme, pas de ciolo- 7ec nie sans uue administration forte et juste )rr pour tons. Or l'action des Loges au ,r;., Congo a pour but avoué de contrecarrer "ce par tous les moyens la propagation du christianisme et pour résultat établi de soustraire jrs des fonctionnaires aux sanctions qu'ils mé-c}e ritent et des citoyens à la protection et ]e même à la justice à laquelle ils ont droit. Il y va donc, en réalité, du succès de tout« )lls notre action civilisatrice et de l'existence de même de notre colonie, les * • * -ci D'ailleurs les chefs de la Maçonnerie se on rendent parfaitement compte des sentiments — de l'opinion publique à l'endroit des loges et : de leur action au Congo. M. Cocq^ Sérénis- sime Grand Maître de la Maçonnerie belge, n'a-t-il pas essayé de la rassurer en décla-*é- rant mardi à la Chambre qu'il n'y a pas do ,rs Loges au Congo"? ; « Il n'y a pas de loge à Borna et iî n'y "e en a pas davantage à Stanley ville ». avait lu" déclaré M. Cocq, interrompant M, de Bro-,ux queville. Un instant plus tard se produisait ce col-ire loque : on un « M. Woeste. — ...Lorsque nous avons de-re. mandé tout à l'heure où il y avait des loges au tre Congo, on s'est borné à nous dire... le M. Cocq. — Il peut y avoir des matons au yiG Congo-, mais il n'y a pas de loge ». on C'était net, ctitégorique. On ne fera croire à personne que les rédacteurs de l'a Analy-ll)S tique » se seraient trompés, deux fois de les suite et si complètement. Mais M. Cocq a eu peur, probablement, d'être pris en na-_ grant délit de... mettons d'inexactitude. Et il a battu en retraite, le lendemain, au dé-5 but de la séance, sous protexte de « rectifier ^ le compte rendu de la veille. Sa pré-'er tendue rectification est rapportée par l'e A-'^ nalytique » dans les térmes suivants : vi- « M. Cocq. — le désire rectifier, dès à pré-sent, une légère erreur du « Compte vendu ana-• _ lytique » de la séance d'hier. }a~ Dans deux interruptions, figurant à la page de 258, 2° coL, il me fait déclarer qu'il n'y a pas an de loges au Congo. J'ai dit simplement, en réponse à une alléga-ue tion précise de Son Excellence M. le baron de 72- Broqueville, notre éminent président du conseil de — je tiens à lui rendre sa politesse — qu'il n'y avait pas de loge à Borna ni à Stanleyviile. 'n~ J'ai répété cette affirmation^ dans d'autres m- interruptions au cours de la séance. JE N'AI PAS DIT QU'IL N'EXISTE PAS DE LOGES AILLEURS. J'ai ajouté que, personnellement, je ne voyais , à aucun inconvénient à donner là-dessus des pré-ir_ cisions. Rien ne me l'interdit, en effet. Mais la , maçonnerie n'a pas à répondre à semblables questions. Elle use de son droit en créant des ùil loqes où il lui plaît. La Charte coloniale et 5.fe l'Acte de Berlin lui garantissent ce droit. Le jour où l'on cessera de pratiquer et d'ap-re~ prouver la délation, l'espionnage et la persé-ré- cution. il n'y aura même plus de raison pour ne pas révéler les noms de ceux qui font partie des % loges. C'est votre sectarisme persécuteur qui rend nécessaire 1^ secret maçonnique ». M. Cocq ne nie donc plus qu'il y ait des 'y loges au Congo. L'aveu est précieux et nous tenons à le souligner. le- « ., La charte coloniale assure à tous les ci-. toyens la liberté de conscience, l'Acte de its Berlin garantit aux missionnaires la protec-\a~ tion du pouvoir. Nous ne croyons pas que ni ja l'une ni l'autre accorde aucun patronage à la propagande antichrétienne de la Loge. Le jour où célle-ei « cessera de pratiquer t à et d'approuver la délation, l'espionnage et er- la. persécution » contre les missionnaires, il sera possible à l'Etat de renoncer à prendre f contre elle des précautions spéciales. D'ici ry là, ni l'Acte de Berlin, ni la Charte coloniale ne le lui permettent. cil Comment! la presse anticathoîiauo nous ar- accuse à tout bout de champ d être les esclaves de Rome, de mottre l'Église au-des-T sus de la Patrie et les dogmes catholiques r a au-dessus de la Loi. Et nous la voyons défendre aujourd'hui une société secrète qui,

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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