Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1918, 21 Juli. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/sf2m61cv33/
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K QUATRIEME ANNEE. - N° 2.635 t je Numéro : 1 O centime® DIMANCHE 2i:.(UlLLKfc'lÔ]f LE XXE SIÈCLE JOURNAL BELGE PARAISSANT LE DIMANCHE PARIS J3 3, place des Deux-Ecus, 3 (lîr arronrî') — Téléphone : Central 33-04 A PARIS LU BELGIQUE 'L'humanité s'inclinera devant e à travers les Sicles"-DIT M. GRLANDO En ce 21 juillet d* guerre, où les Bel Muniront malgré l'ennemi pour c'éléb Uf anniversaire de leur indépendance uat Hnale, nous ne pouvons publier en tète numéro de plus bel hortimage à 110 ■pays que celui que lui a rendu, il y B quelle s jours, M. Oriando, ;président Hconseil italien. I Voici comment,s"est exprimé M. Orlan H au cours du déjeuner qu'il a offert, à -S me, aux membres de la mission mïnû Wjriellc belge chargée d'aller saluer le g H?ornement italien : I A Rome, je vous présente, Messieurs, Hsalut et l'hommage de 'l'Italie. Aucune : ■ tie visite ne pouvait nous être plus agr Hble, plus chère, plus cligne de respect. I Vers vous, notre âm» s'incline non s Blement avec un vif sentiment d affect; ■ et d'admiration, mais avec une ar'de. Hgratrtude. I L'histoire de l'humanité ne connaît, ■effet, aucun autre peuple q;ui ait un p Hgrand droit à la reconnaissance du' mot ■entier, que l'a petite Belgique qui a mont ^■dans la paix, et plus encore dans la gûer ■cotte inestimable valeur, celte." invinci Hforce, émanant de l'âme d'une nati ■quand elle est inspirée d'une Jumiiiei ■noblesse morale eu enflammée par fex ■tation dune foi magnanime. I Mais, d'ailleurs, sur quoi se fonde-ce ■distinction entre Etats ou peuples pet ■et grands ? Elle n'est que sottemént c( ■ventionnelle et seulement ceux oui n'adi ■ rent que les caractères extérieurs d'u masse brute, peuvent l'admettre et la j tifier. Ni les kilomètres carrés de superficie, les millions d'habitants, ne constituent grandeur des peuples, pas plus que poids du corps et la taille plus ou moi élevée d'un homme ne constitue la vérita, grandeur des individus. C'est, l'esprit c anime la masse et en détermine là vale y.cns agitat molem. Et si l'on consiçU dans un Etat la manifestation multiple 'son activité en faveur de la civilisation, ; Belgique pourrait être considérée dans même rang que les Etats les plus illust: et les plus puissants pour l'étendue leur territoire et pour leur progrès en Et même, sous plusieurs rapports, e était à l'avant-garde, première parmi premiers. Dans la lutte pacifique des nations, Belgique était donc déjà grande. M; alors qu'elle surgit héroïquement con l'oppression du trop puissant envahisse elle qui n'ignorait pas le terrible sort < l'attendait, ce peuple apparut à ce heure comme un géant par-dessus tous autres peuples du passé et du prése remisant de son génie héroïque to l'histoire de l'humanité . La parole n'exaltera pas l'éclatant, sat fice de la Belgique, elle en serait inca ble. Aucune parole peut-être ne ïe po rait. Mais je dois proclamer ici une véi I historique. Dans la résolution par laque ayant surmonté sa grande crise more l'Italie s'élança virilement, généreusemi dans le sanglant conflit, l'exemple et sort de la Belgique furent certainemi uarmi les éléments qui la déterminère .peut-être même des plus décisifs. L)£ l'acte accompli par elle, dans un élan superbe beauté. l'Italie rappelait que mê pour les peuples, l'idéal suprême est devoir, la loi suprême est l'honneur. Quand un jouV on fera la synthèse profondes morales de cfe cataclysme inain sans précédent, je pense, Messiei que cette guerre apparaîtra comme un gantesque épisode de la lutte entre les ! ces-du Bien et les forces du Mat, et. 1 verra que toutes les énergies comme tek les douleurs de la cause de la justice, croisent comme un centre de lumière el chaleur dans la Belgique martyre. Ef le ministre termina en évoquant 7l°wi du général Léman. A la patrie enchainee 9 ■ Combien de temps, combien de temps i. Ma grande amie ||§ Tendras-tu patiemment Dans la nuit Tes mains meurtries ? Oh ! le bruit clair Cltaciue matin fies charettes de laitières Le jappement joyeux des chiens, jes Et dans la paille d'or '•£r Secouées sur les pavés io Les grosses cruches de cuivre de Le ventre plein, la tête sur le côté ire Dansant leur chanson ivre a Au bon soleil d'été... du Combien de temps, combien de temps io, Ma noble sœur, {o Leur talon de fer el leur poing de sanc te- Ecraseront-ils ton cœur ? ju- Oh ! la foule joyeuse Le soir, Autour des tables, sur les trottoirs, îe Et la bière mousseuse iu- Débordant dès verres, îa- Et les longues pipes de terre Dont on suit des yeux la fumée ÏU- Le cœur réjoui, Tdme apaisée... Combien de temps, combien de temps Ma tendre mère, / Subiras-tu leurs railleries amères Et la suprême offense De leur condescendance ? Oh ! les promenades, le dimanche, A travers champs, Par les routes blanches Et à V ombre des saule s,Veau noire des étang Ridée par le vent, Et les chaumières à volets verts Et le parfum mielleux Des bruyères, Et les enfants jouant dans la poussier Et les couples d amour eux La gorge sèche, Vœil perdu, Marchant lentement, , A pas menus, Un brin d'herbe entre les dents... Combien de temps, combien de temps Oh ! ma patrie Tendras-tu patiemment Dans la nuit Tes mains meurtries. Emile Carr.maerts. Le 21 Juillet en Belgique opprimée ble i Gomment les Bruxellois le fêtèrent en 1915 Ce fut vraiment une journée épique qi its le 21 juillet 1915, à Bruxelles. Rappelon )r^_ en quelques traits, d'après le volume Dar ni" la geôle bruxelloise, récemment publié clu ne l'éditeur Van Oest par une de nos compi ■is- triotes échappée de Belgique après deu années passées sous le joug allemand. ni je La journée du 21 juillet 1915, annwe ns aaire de notre indépendance national -,1e restera inoubliable à jamais au coeur c rui .tous les Belges. Il y a dans la vie c ces moments qui font époque et dont o ,rp garde éternellement le souvenir ! IF s'éta (le fait une espèce d'entente tacite par laque la le les habitants avaient décidé de gard< le dians toutes les maisons volets baissés i -GS portes closes. Cette manifestation patriot de que eut le succès le plus complet. Bie il. rares furent les exceptions: un grand c: lie fé, deux ou trois magasins, et l'hostili [es de la foule les contraignit à suivre v'te mouvement. Même les marchés en plein a. la n'eurent pas lieu, les maraîchers n'étai lis pas arrivés dans la capitale. Depuis 1 Ire pins petite boutique de « verdurière jr, comme on dit chez nous, jusqu'aux pli jui grands restaurants, tous les immeubli lté restèrent clos. Et toutes les maisons pr les vtées semblaient inhabitées : on y viva nt, silencieusement ! Il est difficile de bie lté éfvoq.uer l'atmosphère de dignité qui, pe: dant toute cette, journée", plana sur la vil ri- tout entière. Nous étions èn communie ia- spirituelle avec tous les nôtres, avec n< ir- compagnons d'infortune aussi bien qu'avi ité notre armée, qui se battait avec nos fr lej res exilés, les réfugiés de France, d'A le, gleterre ou de Hollande, avec les mor ?nt eux-même*», les morts aimés, et nous pe: le siions à l'heure de la délivrance !... C'e ?nt cet espoir immense qui, à la fin de nt, cérémonie de la cathédrale de Sainte-G ins dû-lé, éclata en cris puissants de « Vive de Roi ! Vive la Belgique ! », clamés par mil me et, mille voix, malgré la présence des ur le formes allemands. 11 ne manqua pas d avoir des arrestations. Les Bruxellois nV les ont cure et l'on m'a donné à lire, à « lu- sujet, un document des plus intéressant rs, 11 avait, été écrit par un pau-vre homn gi- arrêté à cette occasion et détenu de pu or- plus de deux moiis à la prison de Sa'n 'on Gilles. C'était une lettre de huit page tes sortie par je ne sais quel miracle de s# cellule où il avait été enfermé, donna , de tout le récit grotesque de ses ihterrog toires et se raillant autant qu'il était pc sible des Boches en général. En tête i le sa lettre, il avait composé un dessin d nlns hnmoristicrues. a.vec le plan de : e prison crénelée, et l'enseigne suivante s'- «Hôtel des Patriotes ». En supposant qu is cette lettre insolente eût été découverte, 1 peine du malheureux ent certainement él i doublée ou triplée... sinon pire ! On r x veut y penser. ' Un long défilé, un pieux pèlerinage s'o; ganisâ au cours de la matinée, vers , ' % monument de la Pla.ee des Martyrs, o ï, reposent nos braves qui succombèrent e e 1830, pour la libération de notre territtoir e On y déposa des couronnes ' en l'honnei n des enfants de la Belgique qui combattei it aujourd'hui pour notre indépendance < 1- tombent tous les jours au. champ d'hoi ■r neur ; on y jeta des fleurs en masse, e >t dépit des nombreuses sentinelles, baïonne i- te au canon, qui gardaient la placé et 1< n rues avoisinant.es. Les patrouilles ciircn i- laient partout. Des mitrailleuses étaient r :é batterie dans le cœur même de la ville, le Mais le silence, un silence religieux r ir gnait dans lia foule, et. il était aussi imp it sant que la manifestation de Sainte-Gi a dule. La journée tout entière se passa dar ce même sentiment d'émotion grave et r :s cueillie. \\ La note drôle dà\-ait être donnée dai n la soirée. ft i- Le gouvernement allemand ne voula ^ pas admettre que les bons Bruxellois pu i n sent agir de la sorte, sans son autoris; 'S tion. Aussi le gouverneur imagina-t-il < •C faire placarder une affiche qui « ordo: è- naît » que tous les hôtels-restaurant i- brasseries, cafés, etc., fussent fermés ts six heures du soir. Or, malgré la céléri i- du ser\'iice auquel on avait même accorc >t des autos . miltaires, l'affichage re t'i a effectué qu'entre 7 et 8 heures "du soir, i- la gvande joie de toute îa populatior le Ordre de fermer des établissements q le n'avaient pas été ouverts 1 C'était vraime: i- plaisant ! p Quelle belle joiurnée pénétrée de patri >e tisme ! Nous nous eh. souviendrons. s- Il Bill mil 11 II IIH IIIIIIMI ■ I Illlll I Jll M I<I I < Il le ! : f is LIRE PAGE 2 t- ï s, Anne-Mie, conte, par Fritz Fraiick'en. !a Nos A,'/tistes au S^pnt, par Julien Flament. fît a- LIRE PAGE 3 s- le Lef, Exploits de l'Allemagne en Turqui 2S 'd'après le journal de M. Morgènthau, ai >a bassadeur des Etat s- U n is_à_Co nstan t i n oyle. A Sainte-Adresse.» Le correspondant navrais des Nouvelles' de La Haye n'a. pas consacré moins de trois' articles à la retraite de M. de Broque-wille.. Il en a fait un ajvant, un pendant, un1 f.près. C'est beaucoup de pelletées de terre pour un seul fossoyeur. Il ne nous ôtera pas de l'idée, nous l'avons déjà dit, qu'ils,' ont peur que le mor} ne ressuscite;.. 40 lignes censurées e Le bruit a couru, au Havre, que le cor^ respondant local de notre sympathique con-> frère cie La Haye est un ministre, un vrai,» un authentique. Dame ! il a eu manifestement connaissance d'un document qui; n'a pu être communiqué, en confidencer et en confiance, qu'à quelques membres du; gouvernement. Et l'on aime mieux supposer. au Havre, q'un de ces mesaieurB' a cédé à la tentation d'utiliser lui-même, contre un chef dont il avait juré la perte* un document où il croyait trouver des projectiles à cette fin que de croire un ministre capable de trahir et de livrer les secrets' de l'Etat à un journaliste professionnel. Incorrection pour incorrection, il vaudrait mieux, à tous égards, dit-on au Havre, que ^ Messieurs les ministres opèrent; en cette-matière, eux-mêmes et en personne. Ce serait plus brave. Et puis, le public ne ) serait pas perpétuellement tourmenté p'ai? la crainte de voir les affaires les plus» sécrètes, les plus capitales pour l'Etat divulguées dans les journaux, au grand dam* de l'intérêt, et peut-être de la sécurité du pays. Tous les citoyens, petits et grands, riches et pauvres, sont intéressés à la discrétion-ministérielle.. Nous avons entendu dire qu'il est ques-i e tion de constituer une Ligue pour la pro-' a tection des secrets du conseil des rninis-' é très. Le premier des vœux qu'elle se pro-' e pose, nous assure-t-on, de faire parvenir, prochainement à S. M. le roi, demanderait» que soient punis de 25.000 francs d'amen-, *" de et de six mois de prison — le ou les f ministres convaincus d'avoir révélé à des' u tiers, sans l'autorisation expresse du gou-n vernement tout entier, ce qui s'est dit oui -• fait en réunion du conseil... Ministre ou non, le correspondant ha-vrais des Nouvelles fait fausse mute : nous ^ prenons la liberté de le lui dire arnica-lement. A-t-on idée de chercher querelle t_ a l'auteur d'un projet relatif au ravitaille-, ^ ment du pays occupé pour de prétendues fautes de français ou pour des métapho-; ~ res plus ou moins audacieuses ! Ces chiw canes sont vieux jeu.t C'est le fond de l'af-; ;■ faire qui importe en'l'espèce. Si le peuple, belge est abondamment ravitaillé dès le? lendemain de la. paix, il ne s'inquiétera 1_ pas de savoir si le ou les ravitailleurs écri-: vent comme M. Anatole France ou commej is le docteur Vandeperre. Voilà quatre ans! 3- qu'on travaille et qu'on rebâtit, ça et; là, à coups de beaux, d'admirable^ IS écrits. Le peuple en mange-t-11 mieux v Les ruines se relèvent-elles plus vite ? La public commence à être fatigué de ces avo-lt cats et de ces écrivains capables de rédiger s" sur toute chose des rapports impeccables. l" et brillants, mais absolument dénués de< 10 tout esprit pratique. Si notre confrère des, l' Nouvelles n'entend pas ses vitupérations/; c'est qu'il a l'oreille dure. 11 On trouverait certainement" d'ans les bu-; p reaux du ministère des Colonies, depuis le: ministre jusqu'au plus modeste sous-chef^ 'J une vingtaine de citoyens qui auraient bat-' l\ tu Léopold II en composition française, car.; : le vieux Roi parlait et écrivait une lan-, lï, gue forte sans dotite, mais rugueuse et in-; correcte. Est-ce que la colonie est mieux, gouvernée par ces Messieurs qu'elle r f* o- l'était par le Souverain ? Le métier des hommes de gouvernement! m est d'avoir des idées et de les réaMser. C'est* — ça le gouvernement. C'est là-dessus qu'ils! doivent être jugés. Tant mieux s'ils savent,J par-dessus le marché, bien parler et bien écrire. Mais le temps de l'éloquence-féti-! che est passé. Orateurs ou écrivains qui.' vous vous excuseriez sur les ciselures et le charme de vos phrases d'agir rarement et; médiocrement, faites vos paquets, : votre-e dernière heure arrive !... n- Pour préparer 1e piédestal de la statue [qu'il espère élever prochainement à lai

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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