Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 10 Juli. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/jq0sq8rj9z/
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RÉDACTION & ADMINISTRATION 21t#r, ru dj la Bosrss — LE HAVRE TÉLÉPHONE :n*6A BELGE BUREAUX A PARIS • 33, Ai» Jean-Jacques-Rousseau. 33 LONDON OFFICES îi, PANTON STREET LeJcester Square, S. HV. Sirectstr : rËmSD KlIRAI MVWWWVM ^ lO cent, le 1^1° ■ABONNEMENTS Franc* 2 tr. BO par moi» » 7 fr. 50 par trimestre Angleterre . 2 sh. 6 d. par mol» • .,7 sh. 6 d. par trimestre Autres pays. 3 fr. — par mois I» . 9 fr. — par trimestre PUBLICITÉ 2* S'adresser à l'Administration du Journal Lis petite> annonces sont également reçues a la Société Baropttsae d* Publicité. 10, rue de la Victoire, Paru, gixt en a le monopole pour Paris. £3 cent, au front JSSBL JHL JBBSL JBH» Quotidien belge paraissant au Havre et à Paris |£e Duché 9e îimbourg et 1 Allemagne < (1S30-18G6) La Prusse n'a jamais donné de plus éclatante démonstration de sa ténacité et de son désir datteindre la mer du Nord à travers la Belgique que par ses empiétements sur la frontière orientale de notre pays : En 1H13-1815 la tentative du groupe Arndt et ses pan-germanistes pour absorber les provinces belges échoue^ Mais l'échec est réparé par la mainmise sur le Luxembourg constitué en grand-duché affilié à la Confédération germanique. De 1830 à 18ii9, les intrigues dirigées contre la Belgique indépendante amènent un nouveau démembrement de notre patrie par la constitution de la province de Limbourg transmosane en duohe indépendant que Ion incorpore à la fédéra^ lion altemande. Aussitôt ce pays arraché à sa mère-patrie, la Prusse s'efforce de le détacher moralement de la Belgique et également de la Hollande à laquelle il n'est dïu reste que juxtaposé par une sorte d'union personnelle. Le® agents1 allemands y exploitent habilement le ressentiment des Limbourgeois qui se jugent « lâchés » par les Be.ges. et mettent en même temps à profit la faiblesse du roi Guillaume à l'égard de la Confédération germanique et la faute commise par la Hollande qui traite le duché de Limbourg en pays conquis. . . C'est ainsi que le Parlement néerlandais exclut de la Constituante de 1840 toute représentation limbourgeoise, malgré 1 intervention courageuse du député A6ofi van Wyk (d'Utrecht) qui avait réclamé pour le nouveau territoire la qualité de province hollandaise et le droit de représentation dans la discussion de la revision constitutionnelle.D'autre part, la Diète allemande obtient du roi Guillaume (19e Bundcsversammlnns) une déclaration « qu'il a pris la décision d'entrer dans la Confédération germanique avec tout le duché de Limibourg nouvellement constitué » et accepte par son arrêté du 5 septembre 1839 l'incorporation (sic) du duché de Limbourg au territoire de la Confédération.A partir de ce moment les agents allemands ont beau jeu ! La nouve'.le constitution néerlandaise n'est proclamée dans le duché de Limbourg que par arrêté royal (24 septembre 1840). Mais elle ne s' applicru» que pour autant que les'lois fédérales allemandes ne lui seront pas contraires. Une espèce de journal officiel spécial est édité à Ruremon-de sous le titre de Mémorial administrant du duché de Limbourg, à seule fin de publier les lois fédérales allemandes. On va jusqu'à instituer entre le duché de Limbourg et le royaume de Belgique un régime international spécial dont la Convention du 20 septembre 1851 est certes l'une des plus curieuses (réduction au quart des droits d'importation sur les blés). Le pouvoir législatif hol andais n'intervient en rien dans la discussion ou la promulgation des actes de la Diète germanique. Le roi-duc. se contente de communiquer les documents aux Etats généraux et de nommer, proprio motu, un émissaire spécial pour assurer l'exécution des décisions fédérales dans le duché. Jusqu'en 1846, l'Allemagne considère le Grand-Duché de Luxembourg et le Duché de Limbourg comme constituant à, son égard un seul état fédéré n'ayant droit qu'è une seule délégation, ne fournissant qu'une contribution et un seul contingent militaire. Dans le matricule dé répartition des charges de l'année 1842, le Duché de Limbourg n'est pas même nominativement mentionné.A partir de 1846, on admet la séparation des contingents et celui du Limbourg seul est fixé à 597 hommes et la somme contri butive annuelle (de paix) à 4.000 florins Enfin — et c'était encore un pas en avant — à partir de 1855, a la suite d'un arran gement entre le duc de Limbourg (Roi d< Hollande) ck les Nassau d'Allemagne, 1< contingent limbourgeois qui était primitivement composé de troupes d'armes diver ses, se réduit à un seul régiment de cavale rie de 870 hommes, qui fera partie d'uni bmgaide mixte nassovienne. Le » Mémoria administratif du duché de Limbourg » pu blie régulièrement les décrets et les lois d< la Diète, l'n arrêté ducal du 25 septembre 1855 prescrit la manière dont devront se fai re à l'avenir la promulgation et l'applica tion des lois allemandes dans le duché d< Limbourg. 'l'outé cette législation est en .partie radi calemoiu contraire à la Constitution de Pays-Bas et est spécialement dirigée contr les libçrtés modernes. C'est ainsi que l'oi rend applicables les décrets adoptés avant li séparation d'avec la Belgique : la loi du 2 septembre 1819 contre les abus de la libert de la presse ; loi du 28 juin 1832 sur les réu nions politiques et les secours que doiven se prôjer mutuellement les princes confédt rés en cas de révolte de leurs sujets ; loi d 30 octobre 1834, établissant une cour d'arb très pour les différends entre les Gouvemt uients et les Assemblées d'Etat ou les Chan bres législatives ; loi du 28 avril 1836, lim tant la publicité donnée aux compte-rendu des séances dos Assemblées d'Etat ; arrêt du 18 août 1836 sur les attenta Us oontr l'existence, ï'integrité ou la sûreté de i Constitution Fédérale ; décret du 3 mai 1848, accordant à chacun des B ats conléd-i rés le droit d'abolir la censure et d'accords la liberté de la presse à condition de prendi les mesures nécessaires pour que la Confi dération et les Etats confédérés soient garai tis contre les abus de cette liberté (sic). Le a Mémorial » publie aussi réguiièri ment la lise des ouvrages, journaux et bn chures politiques qui, à cause de leurs tei damées, sont prohibés dans les Etats de ] Confédération La révolution allemande de 18 i8 eut * répercussion profonde dans le Limbouri Elle fournit aux pan germanistes l'occasic d'étendre encore davantage leur emprise si le duché de Limbourg. Les événements qi se déroulèrent alors sont presque complément ignorés en Belgique et en France. I eurent cependant pour le. Limbourg ut grande importance à plus d'un point de vi et fournirent h l'ocre pansermam'ste l'oce sion de manifester son odieux « Drag nar Westen ». Nous aurons peut-être prochain g les Enxetnbonrgeois d Us rsiis d'avions français UNE REPONSE LUXEMBOURGEOISE i ■ t niii'cci.' mi i. \ i vvni-' a- >n Un Luxembourgeois écrit à la « Gazette rs de Lausanne » : « Les journaux allemands annoncent qu'au 3- moment où la vi'le de Trêves était bombar-n_ dée, une escadrille anglaise aurait attaqué es la ville de Luxembourg et que jusqu'ici on / ar compte 14 civils morts et que l'Hôtel-de-Ville Jé aurait été endommagé, ainsi qu'une fabri->n que d'outils. es Les journaux allemands feraient mieux de te demander qu'on donne l'ordre aux troupes : 4e allemandes qui ont violé la neutralité du H( grand-duché de Luxembourg d'évacuer ce Si ii'-- pays où elles n'ont aucun droit de rester, le au lieu de 6'apitoyer sur des bombarde- a ments d'aviateurs anglais et français. po ie, Voici la vérité sur le dernier, le deuxième, en le- bombardement de la ville de Luxembourg : m; îl- Dan? la nuit du 17 au 18 ju n, deux avia-<a- teurs ont lancé des bombes sur le quartier ra es de la gare, séparé du centre de la ville par du le deux viaducs. Deux personnes furent tuées : be nt Mme Funck et un chauffeur, âgé de 24 ans, pa en et non pas onze civils, comme disent les il- journaux allemands. Le dommage matériel — ia- consiste en vitres brisées et en une maison a-\ de endommagée. L'Hôtel-de-Ville, qui se trou- j»e ys ve dans le centre de la ville, n'a pas été tou- IU ché. La fabrique d'outils n'a pas pu subir p,£ tis de3 dégâts, vu qu'il n'existe pas de fabri- tu re- que pareille à Luxembourg ! ^ y. A la Chambre des députés, l'honorable r0 an député Luc Housse a interpellé le 22 juin le le gouvernement au sujet de ce bombarde-[te ment. a on Le ministre d'Etat Thorn, retour de Zurich , tu- où il se reposait depuis plusieurs semaines à l'hôtel Dolder, a répondu qu'il était dans _ «nt l'intérêt du pays que la Chambre traitât cette interpellation à huis-clos. Ce qui fut v fait. Le lendemain, le compte-rendu de la > Iie Chambre contenait la déclaration du minis-tre d'Etat qu'il avait faite dans cette séance m 1 et oue la Chambre a approuvée à l'unani- du mit^- . Voici le résumé de cette déclaration : a Le gouvernement comprend le sentiment [le- duquel est sorti cette interpellation, et il tu- s'associe à la compassion que la population le éprouve pour les victimes. La question se i-jj pose de ce que cous pouvons faire pour évi-ter qu'à l'avenir des aviateurs viennent je-LIe. ter des bombes sur le territoire luxembour-lne geois, car ces aviateurs ne veulent certaine-ilti, men't pas faire du mal à notre population. nfl_ Le gouvernement ne veut pas se demander uie si ces attaques peuvent êlie justifiées. Il se -, es limite au point de vue pratique. . dô Malheureusement, ie gouvernement n'a ° pas les mains libres dans les circonstances " oJf présentes. Notre attaché auprès du gouver-' " nement français va se rendre dans quelques j' ^ jours à Paris pour faire part au gouverne-ïf. ment des dangers auxquels le Luxembourg •p" est exposé par ces raids d'aviateurs. Nous r Ip ne pouvons pas savoir quel résultat il ob- c ® tiendra Nous espérons néanmoins que cette démarche sera bien accueillie par le gou- r . vernement d'un pays, lequel a toujours 'r!0 traité ie grand-duené de Luxembourg avec r ie^ la plus grande bienveillance. » En ce oui concerne la presse luxembour-:,geoise, voici ce que dit la « Luxemburger ' ; Zeitung », organe du parti libéral : c « Le jet de bombes sur le Luxembourg est ( me la conséquence directe de l'occupation aile- j ;re mande de notre pays. On ne peut pas exi-aj.1 ger d'une puissance qui se trouve en guerre . y-cr avec l'Allemagne qu'elle s'abstienne pour j erT- aos beaux yeux d'attaquer ses ennemis sur le territoire luxembourgeois. Nous ne pou-:on vons vraiment rien faire. Notre attaché, M. | ' i Vannerus, va élever sa voix à Paris; mais fri. cette voix ira-t-elle jusqu'à l'endroit où l'on < ns commande ces raids? Cela est une autre ' question. Quand on voit tomber les siens j ' par milliers et quand on voit souffrir les siens par millions, on n'a guère le temps de ie s'occuper des misères de la population d'un < \i: petit pavs, surtout si celui-ci est occupé par , ' l'ennemi. Nous devons porter notre mal- j -l»" heur avec dignité; de cette manière nous se-' " rons solidaires avec beaucoup d'autres qui , rïaj souffrent beaucoup plus que nous. » P1,1" Les Luxembourgeois savent que les Alle-mands ont jeté des bombes sur la popula-i£j tion civile de l'Angleterre et ont tué des fem-mes et des enfants. Ils se rappellent les lc?" raids des zeppelins sur Paris et les bombes jetées sur le quartier populeux de Ménil- , à montant, tuant des civils : hommes, femmes ] adp' et enfants. Si des Français ou des Anglais tre jettent par ménarde des bombes sur le ter-ritoire luxembourgeois à cause de la proxi-t?1 mité de la frontière, c'est malheureux, mais irt à qui la faute? A la présence des troupes al- j L ^ lemandes à Luxembourg.Vraiment, les-jour- naux allemands et germanophiles devraient , rcu; cesser de verser des larmes de crocodile sur , les victimes de Carlsruhe et de Luxembourg ; et penser un peu aux victim.es des Aile- t 1 .du mands en Angleterre, en Belgique, en irl>1" France... et dans le Luxembourg !» , me- ara- imi- a VWUVU^VWVW WWWWWW WWWWWVVVVW VI" îdus ; * •rèté ; /Vos lecteurs trouveront en 5 5 deuxième page, toutes les ï aars % nouvelles de la guerre et les £ ôdé- s , S rder S dépêches de la dernicre heure i adre | $ >nf é- /WVWVW/VVVWWVVV AWW\V\\ \\wwwwvvw^vw\ jun- - ; ment l'occasion d'en raconier les principales ière- péripéties. bro- La dissolution de la Orn fédéra tion gertma- ten- nique, l'éohec du Congrès de Francfort et le e la rétablissement « de l'ordre », fournirent au Roi-Duc de Limbourg un'" occasion de dé.ea- t sa ger son minuscule état de l'étreinte alleman- urg. de. Il en profita reponidan si peu'que par sa sion déclaration du 22 nov. 18-19, en vertu d'un ■ sur acte personnel qui ne fut soumis à aucun des ; qui pouvoirs législatifs de la Hollande, il proeJa- lève- ma son accession au traité conclu le 30 sep- Ils tembre 1819 entre les .Etats allemands et re- une connut l'établissement du nouveau pouvoir vue centra.! pour l'Allemagne, maintenant ainsi >cea- au duché de Limbourg son caraotère d'Etat iarh allemand.' aine- Jack RYAN. Comment nos soldats se battent dans les rangs de l'armée russe victorieuse EDE PEIPS CITillDl QUI 8ISE8I LU DE liBS 1MÏES AOVVVWiAA^AAA/VVVV>AA\\VVVVVVVVVWVV . . . . 1- 1 ML 1 " - ^ 4 MA A t%/\ I,-î / Voici quelques citations à r ordre du jotur qui soulignent l'héroïsme dont nos soldats lont preuve dans les rangs de l'armée russe victorieuse, Is long de centaines de kilomètres, des masses austro-allemandes : La voiture blindée nc 70.005 (1e batterie) : de LOBEL (maréchal des logis), VAN HOVE (brigadier), PLETINCKX (soldat), SERVAES (soldat) . — Pousr le sang-lioii et le courage que le personnel de cette voiture a montré lors des tentatives qu'il a faites pouir ramener, sous un feu tiolent, une auto endommagée à proximité des lignes ennemies.i'ANGHE (sous-lieutenant). — pour le courage qu'il a'montré en dirigeant, au milieu du feu ennemi, l'enlèvement d'un so.dat belge qui risquait de rester aux mains de l'adversaire. de BECKER-REMY, Jacques (1» batterie). — Soldat brave et adoré de tous. Engagé avec son auto blindée au milieu du feu de l'ennemi, a quitté sa pièce pour accrocher un cAble à une voiture belge immobilisée par suite d'une avarie au pont arrière. A étt tué au cours die cette opération durant la quelle il a accompli un acte de sublime héroïsme.En souvenir du beau sacrifice consenti p_ai le brave de BECKEB, ce militaire continuera à {igurer sur la liste d'appr' de !>a/fcrir ! A l'appel du nom de de BECKER, ensemblt ! ses camarades répondront : Tué au cham^ [ d'honneur de Vorobievka. ausiro-auemanaes : [Q ) : BODSON (maréchal des logis) (4« batterie), ^ ». en subsistance à la lr" batterie. — Gradé au- pj •Y1 dacieux et rempli de sang-lroid. S'est porté ^ seul en avant à proximité des lignes enne- jc mies et, sous un feu violent, a rectifié le tir K d'une auto blindée. to En témoignage du bel exemple donné par le ie- le maréchal des logis BODSON, ce militaire Cl est fait 1er maréchal des logis. IIALLEUX (maréchal des logis) (1» batte- £ eu — Gradé courageux et rempli de sang- ^ at froid. A procédé avec grande activité à Lins- n de lallation de sa voiture blindée au milieu du d .Jeu violent d.e l'ennemi. En témoignage diu ri e)- bel exemple donné par le maréchal des logis HALLEUX, ce miitaire est fait 1er maréchal n des logis. d 5L CHARNEL (brigadier) (1" batterie), DE- " .y, WEVER (soldat), id. — Chauffeur et aide- n chauffeur d'une voiture blindée, sont restés y "Y~ leur poste malgré les blessures qui ont L amené, après l'action, leur transfert à l'hô- ' ,ar pitaL ira DUMONT (soldat) (1M batterie). — Pour le u ie courage dont il a fait preuve en sortant spon- r blc. tanément de sa voiture blindée, sous un feu p np violent <ie l'ennemi, pour mettre son moteur n en marche. r affiKsssssffi&assffiKœ&ffl ■ s: Nouvelles -i de la Patrie Beige >n se A BRUXELLES jî Dans le corps professoral de l'Institut ! vP Saint-Louis La « Revue de Saint Louis en campagne », ^ intéressante publication qui sert de trait- et d union aux anciens élèves de l'Institut pen- PJ dant la guerre donne ces renseignements !| sur le corps professoral : Ont été promus : MM. les abbés je. Mary, professeur de rhétorique (aumônier militaire au début de la guerre), ouré-doyen de Nivelles; c. Van Nerurn, professeur de 3* professionnelle, curé à Bueken; Vertinden, professeur de 6* professionnelle, curé à Eiewyt; Choiset, professeur de 4* professionnelle, curé à Braine-le-Chàteau; c Emsens, professeur de langue néerlan- g daise, vicaire à la cathédrale Notre-Dame n d'Anvers; „ te Reymen, professeur de 9e professionnelle n, a.u collège communal et à l'Ecole Normale Provinciale à Tirlemont; , \\ Henry, (nommé professeur durant la p] guerre), professeur au Petit-Séminaire de ç Malines; r( Van Bael, (nommé professeur durant la ^ guerre), professeur au collège Saint-Jean- Berc-hmans à Anvers. p. Ont été nommés professeurs à l'Institut ai Saint-Louis durant 1a. guerre : MM. les abbés S( De Vooht, professeur à l'Université de CI Louvain; _ ci Boone, Léonce, le 21 avril 1915; r Charlier, Louis, docteur ^n philologie clas- sirrue, le 12 septembre 1915; le De Quidt, Joseph, bachelier en droit ca- c non, le 14 janvier 1915; tr Verrière, Fernand, candidat en philologie ia romane, bachelier en philosophie thomiste, ai le 5 mars 1915; fr Gosée, Paul, le 18 septembre 1915; Govaerts, Alphonse, ie 30 octobre 1915; bi Misonne, François, le 14 septembre 1Û15; et Proost, Modeste, le 22 novembre 1915; c' Van Geel, Pierre, le 18 septembre 1915; y Verstreyden, René, docteur en sciences li naturelles,bachelier en philosophie thomis tr le 18 avril 1915. é ai Une iancy-fair à Laeken d fi Une fancy-fair vient d'avoir lieu à Lae- ci ken qui, en deux jours, a rapporté 12.300 fr. di Les frais s'élèvent à peu près à 1,500 fr.. ti il reste la coquette somme de 10.800 fr- à u partager entre les œuvres suivantes : l'Œu- si ' vre du Vêtement, l'CEuvre du Sou, les Peti- « ■ tes Abeilles, les Orphelins de la guerre, le sj ! Secours aux mutilés, l'Alimentation et le " Cercle laekenois de charité. En outre, une \ente aux enchères aura lieu comprenant 167 los qui n'ont pas été réclamés à la suite de la tombola dont le tirage a eu lieu. A la Cour d'Assises I^es assises du Brabant pour le troisième f trimestre s'ouvriront le 10 juillet, sous la n présidence de M. 1e conseiller Jolv. e; A NAMUR s Le Zeppelin abattu d Il y a quelque temps, on a signalé la chute P ' et la mort peu glorieuse, à Namur. d'un V ' '^e^^elin blessé à mort par rartillene des ~ " \lliés ou par les bombes de leurs aviateurs. 1 - La Belgique de Rotterdam reçoit à ce nro- ti 1 pos les détails absolument confirmatifs 1 qu'on va lire ci-dessous : s » Je me suis enquis pour vous de l'aven- - ture du Zeppelin de Namur. Bon sang, ce - n'a pas été chose simple ! Au moindre p - vovacre à travers le pavs ce sont à présent d r des tracasseries, des ennuis, des chinoise- d i ries à n'en plus finir. s t « Que je vous dise d'abord que le Zeppe- d lin en question est parfaitement tombé à li Namur comme vous le supposiez. Il est n (descendu derrière la gare, occasionnant des dégâts, des services d'ordre et des mouvements de patrouilles pendant trois jours. Le l Zepp était touché en huit endroits; il est parvenu à se traîner jusqu'à Namur, mais sa carrière s'est terminée là. Ses débris ont r été chargés et réexpédiés sur Aix-la-Cha-. pelle. Je ne crois pas qu'il y ait eu mort s d'hommes. On a transporté quelques blessés.« Puisque je vous pari» des Zepps. que je vous dise encore que devant le hangar d'Etterbeek, les Boches s'occupent d'aplanir n le terrain pour faciliter les entrées et sorties de la bête. A part cela, rien de particulier. » 0 Un vo! de 17.000 francs Un vol de 17,000 francs a été récemment commis au préjudice des époux Waltin-" Beaufays, négociants, rue de Fer, à Namur. Deux arrestations avaient été effectuées b. la suite de ce vol; celle d'une nommée Marie C.., épouse G-... âgée de 28 ans, demeurant à Andenne, servante des époux Waltin, et qui avait brusquement quitté se ® place la veille du vol. et celle d'un sieur Charles Th..., 24 ans, maraîcher à Jambes, l'ami de la femme C.... et sur qui l'on avait a porté des soupçons précis. l" Au cours de l'enquête. Marie C.. a fini par avouer qu'elle et Th... étaient bien les lt auteurs du vol. C'était elle qui avait ren-s seigné à son ami le coup à faire et qui avait e enlevé, la veille du vol, les crochets attachant le soupirail. Th... s'était chargé du reste de l'opération. !* A la suite de ces aveux, Th... fut mis également sur la sellette, mais, malgré les ac-cusations que portait contre lui sa maîtresse. il persista à tout nier. C'est alors que e la police fit chez lui une perquisition qui !, amena la découverte d'une somme de 600 francs. Comme la mère de Th... paraissait embarrassée pour indiquer la provenance de >1 cet argent, on la mit en état d'arrestation, et c'est ce fait qui a provoqué les aveux du voleur et la découverte de la presque to tais !ité de l'argent volé. En effet, Th... parut très affecté lorsqu'on lui apprit que sa mère était en prison. Il écrivit immédiatement au juge d'instruction déclarant qu'il avait des aveux à lui faire. M. le juge Deleuze le fit amener et Th... lui révéla où il avait 5- caché le magot. Le parquet se rendit au bois r. rie « Sabette », à Lives, et, sur les indica-.. tions de Th..., découvrit au pied d'un arbre à un petit coffret en fer-blanc contenant une i- somme d'environ 15,700 francs, qui ajoutés i- aux 600 francs déià trouvés chez Th..., con-!e stituaient à 700 francs près, la somme vole lée aux époux Waltin. —o— A FIUY On recense les plantations de pommes de terre L'administration communale fait procé-e der au recensement des cul à va teurs et pa.r-■ tiouliers possédant des plantations de pommes de terre sur le territoire de la ville. Il en résulte que pour 42 cultivateurs exploitant I des terres de moins d'un hectare, il existe! 2 hectares 78 ares 73 centiares plantés de pommes de terre sur une superficie totale de 23 hectares 2 ares 91 centiares. D'autre te port. 675 particuliers sont propriétaires d< n jardins d'une superficie totale de 59 hectares >s 29 aires 20 centiares, dont 18 hectares 51 s. ires 72 centiares sont réservés à la planta-o- tion des pommes de terre. fs Vols a- % Le parquet de Huy s'est rendu à Gives re pour v indaguer au sujet d'un vol important it de cuivre commis au charbonnage de l'Est e- d'Andenne. Tous les appareils ein cuivre qui se trouvaient dans les quatre bâtiments, e- des courroies en cuir, harnais, outîls, deux à lapins et du bourre ont été emportés. Le sf irirtnlnnl /lu xml o'Miiw à 5 OAO franne fanion nationale pour la dlftnse nationale L' « Echo Belge » a publié en tête d'un de ses derniers numéros un fort intéressant article de M. le sénateur Eugène Van de Walle. Détachons-en cet exorde faisant appel à l'union nationale : - Notre pays, disait en substance M. Du-mant-Wilden dans un des derniers numéros de la « Nouvelle Belgique », a subi la plus terrible catastrophe qu'on ait vue depuis longtemps ■ dans l'histoire. 11 est occupé, miné, saccagé. Le " plus élémentaire bon sens nous commande a 0 tous d'aider, dans la mesure de nos forces, à le reconquérir, à préparer sa reconstitution, sa r renaissance. Je n'ai pas l'honneur de connaître personnel-r lement M Dumont-Wilden et je ne me piéoc-e cupe pas de savoir quelles sont ses opinions politiques ; mais c'est de tout cœur que J'applaudis à sa courageuse attitude lorsque, dans cet article, il afflrmo avec une loyauté parfaite que la querelle des cléricaux et anticléricaux n'est plus de saison et doit rester étrangère aux " discussions que pourrait soulever l'œuvre de :l réorganisation de notre malheureuse Patrie. 3 Cest la même idée que je crois avoir expri-il mée en d'autres termes, en disant dans mon dernier article intitulé » l'Union nationale » que j- notre devoir à tous se résume en ces simples mots : <> libérer le territoire, et, une lois l'en-.ç; vahisseur repoussé, en empêcher le retour ». i) La trêve s'impose donc nécessairement, et 11 j, faut que les luttes de' parti, subordonnées à l'intérêt national, perdant de leur âpreté. Je sais qu'en parlant ainsi je me hasarde sur un terrain brûlant et, qu'à peine rentrés avec notre armée victorieuse à Bruxelles, la lutte 11 pour le pouvoir reprendra de plus belle; on ne lr manquera peut-être pas de déterrer de vieilles rancunes et on esayera de rejeter les uns sur les autres la responsabilité des événements J actuels. Nos partis politiques seront-ils assez sages, feront-As preuve de patriotisme, et surtout auront-ils assez de clairvovance pour comprendre qu'il est une question qui dorénavant doit rester en dehors de toute préoccupation électorale, la question supérieure de la défense nationale. » Pour la mettre en dehors de toute préoccupation électorale, M. Van de Walle propose d'inscrire dans la Constitution l'obli-es cation du service militaire pour tous les e- Belges. o st ay ÉCHQF i|l i - Les sympathies de l'Uruguay pour la Belgique M. Keéels, ministre de Belgique à Montevideo, à qui M. Julien Warnant, sénateur suppléant de Liège, président du Comité das Vacances du Soldat Belge, s'était adressé, vient de faire parvenir à M. Wamaiït, par l'entremise du Ministre des Affaires Etrangères, une somme de 11.909 fr. 35, produit d'une fête organisée par M. Ketels au profit de l'Œuvre des Vaoancas du Soldat Belge. —o— La cause des Alliés aux lies Philippines On nous adresse de Manille le V numéro de la revue hebdomadaire « The Alliance n, qui se publie là-bas en anglais et en espagnol pour servir la cause des Alliés. Joiie publication, très bien présentée, avec une couverture ornée d'un trophée des drapeaux alliés, et' qui contient un compendium de tous les événements, un exposé succinct de toutes les polémiques se rapportant à la guerre. I^e premier numéro publie notamment en langue espagnole la vigoureuse let* tre de l'évêque de Namur Mgr Heylen sur les atrocités commises dans son diocèse. Nous sommes ^persuadés que cette belle revue servira puissamment, en éclairant la population des lies Philippines, la cause de la justice et du droit, et nous lui souhaitons bon et fructueux apostolat. —o— Les Russes et Jeanne d'Arc. Les Russes viennent de fêter Jeanne d'Arc au camp de Maillv. Ce fut une fête solennelle à laquelle assista l'évêque de Troves. Dès la veille, le général russe avait envoyé un ordre du four à ses soldats pour les prévenir de cette fête extraordinaire en l'honneur de Jeanne d'Arc, en disant quîil la considérait lui-même comme une sainte et le type accompli de l'héroïsme français. La fête réussit au delà de toute espérance.A la. messe solennelle célébrée à l'église de Mailly, furent exécutés des chants merveilleux. Le général russe et le commandant français étaient dans le chœur. De nombreux officiers supérieurs des deux armées et dîs soldats étaient dans la nef : il aurait fallu une cathédrale pour contenir la foule immense. Au repas donné au presbytère, le général russe et le commandant français, des officiers supérieurs dos deux armées, le.' nopes russes entourèrent l'évêque de Trovr et on apnlaudit le toast du général russe glorifimt Jeanne d'Arc en termes exnuis L'après-midi, l'évêque s'est rendu à l'hôpital puis à la chapelle russes. On s'est conformé pour cette" réception extraordinaire aux règles orescrites en pareille oc currence et précédemment suivies en Russie pour les nonces apostolioues. Aprèf avoir été salué par l'irchiprêtre, Monsei gneur a visité en détail la chapelle, pendant qu'un chœur de soldats russes, aux voix superbes, exécutait des chants d'une mélodie très pure et très douce. La. journée s'est terminée par une séance récréative oui réunit une foule immense autour de l'évêque, du srénéral russe et du commandant français. Le « XX" SIECLE » est en vente danr tous tes kiosaues du Havre ; droôt princ' pal. coin de la rue Thiers et de ta place j t de l'Hôtel-de-Vllle. Les illusions lies pacifistes ' américains UNE EXCELLENTE DECLARATION dô DU MINISTRE DE LA JUSTICE or» de DE BELGIQUE —O— à Rs fourmillent, par tes Etats-Unis, ces bons pacifistes qui, tout comme certaine in->u- ternalionaliates die no tire connaissance, de s imaginent que le lendemain de la guerre rri- verra fleurir une ère de paix idéale à oe nps point que disparaîtront les armées perma-Le n en tes et que les conflits entre les peuple» a se liquideront par l'arbitrage ! , à 'Nous le voudrions bien, mais, après avoir sa lu le livre que vient die publier- le prince da Bûlow — un des rares politiques prussiens ael- que l'on croyait plus ou rrtoms pacifiste — qUi réclame, pour le lendemain de la guerre, ons ,ni us d'armeimeiïts que jamais, il fauda<ajt ap- être fou totalement pour l'espérer. ans En attendant, aux Etats-Unis, donc, les a|,e pacifistes se remuent. A la suite de M. Ford, lux l'homme de la « Colombe », voici qu'un aux M. Edward A. Filene, président de la firme de '» William Fileïie fîîs et Ce », de Boston, p- s'est mis en tête 'de réaliser la paix pour Pr'" après la guerre, en fondant la » Ligue inter-non nationale pour la paix à l'issue de la q,lie guerre ». ? « Chaque pays aurait à soumettre ses <M-cn" fêrends à cette ligue qui s'efforcerait d'api»-^ îj nir les difficultés et d'amener la concikaiion S,." au lieu d'avoir recours aux armes. 1 i> Cette ligne aurait aussi pour but d'apporter une sanction à la tyrannie militaire )VJ. ou économique et même à toutes les doux.» C'est dans une lettre à M. le ministre de Z la Justice de Belgique, dont il sollicitait le jnes concours, que M. Filene a exposé ainsi le sur but de sa ligue qui compte déjà, dit-il, cent enls mille membres, » hommes d'affaires composant la Chambre de commerce des Etats-rrge 1— ms ». aul M. Carton de W'iarf vient de répondre ed -dre ces termes à M. Filene : ressaie, « Cher Monsieur, le. i> J'ai bien reçu votre lettre do 8 juin, éoc- Tout ce qui tendra réellement et efficace» pro- ment à assurer la paix du monde après Ali- l'affreuse guerre qui ensanglante l'Europe les aura mon approbation et, je crois pouvoir le dire, celle de'tous les Belges. Mais avant de songer au lendemain, il faut songer au jour même. f Aucun homme réfléchi et impartial ne peut plus ignorer un fait dont l'évidence! s domine tous les autres événements de cette ' guerre : C'est que l'Allemagne, par le plus flagrant parjure que l'histoire lit sans doute enregistré, a brusquement et lâchement assailli, le 4 août 1914, un petit pays neutre» loyal, pacifique et laborieux dont elle avait juré de protéger la neutralité et rind.ôpen-ique danoe. Ge petit pays, elle l'a mis à feu et h sang. Aujourd'hui, pour essayer de dimi-tnte- nuer sa faute, elle s'efforce chaque jour de tour ie calomnier. d0s Ceux qui oni, comme vous, le souci de !ssé'_ l'humanité et de la paiix, ne peuvent mieux Par servir ces nobles intérêts qu'en affirmant ran- hautement Içur réprobation pour des crimes rïuit aussi manifestes. La seule manière de ser-rofit v-j,r cause de la Paix, c'est dte proclamer 'e- ce oui est le Droit. C'est affirmer l'inviolé bilifé des traités librement consentis, sans laquelle la société des nations est dhose ch;-es rnéirikjue. C'est de mettre l'Allemagne en demeure de réparer avant tout le crime qu'e'is (léro a dû elle-même avouer, le 4 août 1914, à 1» ;e séance du Beichstag, par la voix de M. von SP?" Bethmiarih-Holhveg. Ceux qui voudront dès Joue maintenant employer au règlement de ce une problème si simple et si net leur activité SI >a"x leur intelligence, auront beaucoup plus te»-' vaillé pour la Paix qu'en se répandant en £ , considérations values et générales sur cflj la qu'il y aura lieu de faire après la guerre. Si je vous parle aussi franchement, d'est ! parce que je sais que les Américains aiment sur la franchise, et c'est, avec leur honnêteté L foncière, un bien beau titre de gloire de leur , Nation, que la grande guerre d'aujourd'hui leur dorme l'occasion d'affirmer une fois de plus. Avec mes meilleurs souvenirs, je voirt prie de me croire, cher Monsieur Filene, votre cordialement dévoué, ■c g.) H. Carton de Wiart. » Tête jfiSs^oesàiarEyuedii lï juillet en" Elle promet d'être émouvante la revue qui ÎOur défilera vendredi prochain à l'occasion da e 14 juillet. A côté des vaillantes troupes fran-1, 1 çaises, cm y verra défiler des bataillons bii. tanniques, russes et belges ! 4 Faut-il dire qu'à côté du peuple de Pan* 1 " il y aura là des alliés et des Belges certaine* ment pour acclamer les soldats alliés 1 mer- °ïï; LE CHANSONNIER S- DU SOLDAT BELGE >ute- )>o« •éné- Voici un petit volume qui réjouira bien de? des cœurs belges.... • lc' soigneusement imprime sur papier de ovr luxe el coquettement présenté sous une TuhT couverture ornée d'un ioli tableau du pein- l'hô irr Panl Mathieu, le « Chansonnier du soU s'est dat belge » aura auprès du public belge un >rdi- iccueil dont est garant le succès que ton Rot- édition populaire a obtenu dans les Iran- prèf chées. . . nsei i'n de nos aumôniers militaires, M. labbè pen- . q y a réuni une centaine de chants de ,arp rhei nous, chants de Flandre et de Wallo. Unf nie dont les accents langoureux ou alertes têan. suffisent à%Porter dans le P,us lointain exil er^e une bou({<* d'air du pays. 't du kfS paroles de ces chants sont accompli- nnée.s de leur notation musicale et le volume r,c coûte que 1 /r. 50. Il sera envoyé franc» jnçi contre toute demande adressée, avec un bon ilac-e vostal de 1 fr. 65. aux bureaux du XX» Siê-(XE, rue de la Bourse, 28*". Le Barre, | 23e ANN. E.— Série nouvelle. - Lundi 10 Juillet 1916 —N* 608

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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