Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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11 februari 1916
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s.n. 1916, 11 Februari. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 20 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/hm52f7kw24/
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LE XX' SIECLE RÉDACTION & ADMINISTRA l ION a m rao le l« Bon»! — Téléphone: Le Havre a- 1Ï .05 - directeur : FEPM9 HSE4Î fontes tes communications concernant le rédaction douent être adressées 06*",rue de la bourse, Le Havres, LOSMDON OFFlpEs 21,Panton Street (Leicester Sqiare s.w). ABONNEMENTS Fcartoa 2 Tr. sa ^ar mais. » , 7 fr. 60 par trlmostf® Angleterre... 2 su. 9d. pat* mais. u 7 ih. S<1 oar tri nestra Autres pays.. 3 fr. » par msis. » , 9 fr. » par trimaatf® PUBLICITÉ S'adrassar à l'Administration du Journal au Havre ou à Londres 4' plia» 0 fr. 4) la ligna Pdtitas ai.iMaa) i* pig»: ûfr.33Ulign» Les petites annonces sont également} reçues à la Société Européenne d j Publl* cité, 10. rac de la Victoire, Paris, qui en a le monopole pour Paris. Quotidien belge paraissant au Havre 1UA FATRIE AU-DESSUS DE TOUT Vne voix du pays opprimne I tja9 Satire éloquente d'as e&theliqus belge dans la " Libre Belgique " S • Un de nos amis récemment arrive do Bt cique écrivait naguère dans nos colonm Jy| SjJ, pour les populations des provinces o codées tout est subordonné à ta' libératic et A la Sécurité de la patrie et que soi J'empire de cette loi suprême elles se rot sent à sa consumer désormais en luttes si jlles de partis, de classes ou de langues. Flamands et Wallons, catholiques, lit) jifLUiX et socialistes, patrons, commerçan ot. ouvriers, tous so trouvent d'accord poi vouloir une politique. *quj, avec lo respe il«s drrtil-s de chacun, assure ta défense s rieuse des intérêts les plus chère à tou (les intérêts nationaux. Aussi, nos com.p f.riotcs no permettent-ils pas qu'on exploi M jours cottVieiAontf ou leurs sentiments par cutora au détriment de l'union nêcessat I » la lâche de libération ct .de restauratii «lui s'impose avant toute autre à leurs yeu ' l /es éehbs ijud nous viennent du pays o primé sont unanimes sur ce point et pre ;• que chaque jour quelque compatriote ar vant de là-bas, nous déclare sporitanéme que la politique d'union que nous précot .ma ici s'accorde parfaitement avec ce; <Tuo veulent les Belges- restés sous la bot iilteinainde. Aujourd'hui, nous recevons une conJïrm B tion presque officielle do ces rensoignemen j dans un numéro récent de la c Libre Bi gique », le vaillant petit journal qui se r tige, s'imprime ot se propage clandestin f ment depuis Un an malgré toutes les colèr et toutes les recherches de Von Bissing de sa police. Cm va voir comment on prêche l'uni* patriotique dans oe journal qui a tanl fi pour soutenir le courage de nos comipatr tes et dont les rédacteurs bravent ciiaq f j jour la prison et la mort. La IciIro qu'on va lire a été publiée d în « Libre Belgique » dans son nuinér< î (janvier 1916) sous le titre : « Correspo S dane.e : au- rédacteur on chef do la « Lil) i Uolgjquo u : --- Monsieur,- ■To no vôux pas. savoir si vous êtes lih penseur, protestant ou catholique, c'esl | votre patriotisme que je m'adresse, et c'i aussi au culte du droit que vos lecteurs | coMiafasdnt en vous et qui est une des r [ sons de leur attachement à votre journal Il est qff ce moment quelques catholiqi } dont, la tendance d'esprit parait assez d-t r gereuso pour qu'on mette en garde con eux les Shies trop influençaibles. Ce dauj. serait béer) vite compris —' on n'en parler ; même pas — si la liberté de parler et d'éc | ro n'était pas l'apanage exclusif do ceux c [ Xlattrnt nos maîtres détestés ou calomnie | nos Alliés : la voix de ces rares égarés i (■ rait w.ie étouffée par les proie-stations in/ | gnées dos vrais patriotes. Ces Belges à l'esprit étroit, plus olérica [ que catholiques, et souvent plus flamingai que Belges — car-c'est parmi ces e.vali [ qu'on les rencontre surtout — montrent u ! indulgence déplorable pour nos ennem I sous prétexte que" la majorité des Alleman fiant cathodiques et chrétiens, lin rewinei | ils tAclïent de rabaisser dans l'esprit de oe i qui le« éooutent nos Alliés français en r; pelant à tout propos que leur gcuvcrnemt : es! franc-maçon et ,par conséquent enne de la religion. N'oublions pas, disent-ils,q ; la France a persécuté les moines et I03 r< : gioux et que sa mauvaise influence se fc ( sentir plus encore dans notre .pays après j guerre .qu'autrefois. Cettë "manière de panier est tout simip i ment révoltante, el le catholique belge < tond ta main à l'Allemand parce que catl lique et refuse son estime an Français p, l ce truc franc-maçon, fait plus do tort à vraie religion que le libre-pc;nseur, car scandalise les âmes droites, croyantes L non, qui mettent au-dessus de I esprit I parti et de race l'amour de la justice et ! droii. le Gouvernement français n'a pas [ aveuglé par son anticléricalisme jusq: i trahir la Belgique catholique, tandis que catholiques.allemands yrit été aveuglés ] l leur fanatisme nationaliste et par leur p: [ germanisme au point de renier leur serme ! en effet, pas un député du Centre n'a él( la voix au Reidistôg pour protester con l&veu cynique du Chancelier, et depuis 1< l pas uno -voix non plus -ne s'élève pour p . tester contre les violations offrcieUemi ™J autorisées de toutes les Conventions de ■ Haye. Lesquels, des catholiques allemands | «les libres-penseurs français, ont le mic [ mis an pratique les principes évangéliqi et respecté la justice dans la question seule importe en ce momenl ? De même que le Christ préférait les païi [ sincèrés aux' pharisiens hypocrites et 1 [ jetait cet anathème : « Malheur à \ous p I ce qué vous payez lu dlme de la menthe du cumin el que vois négligez les. poi tes plus graves de la loi : la justice, la [ sérieorde et la bonne foi I C'est cela q t fallait fairo sans omettre le reste. » (Ev. gile de saint Mathieu) : de même nous vous préférer la loyauté des Français libr j penseurs au parjure hypocrite des oath | quos allemands qui pratiquent la morale t '< eUiffon'dl papier », de « nécessité fait 1 F el du « kriegsrecht » (droit de guerre), U p tiruant selon eux tous les pillages, tous vols, même celui des trésors d'église. A cas atissi. on peut adresser ces parc d'isaïe (ch. XXIX) que Noire-Seigneur pliquail aux pharisiens : « Ce peuple m' nure des lèvres, mais son cœur est loin moi. C'est en vain qu'ils m'honorent en : soignant des doctrines et des comman nients qui ne viennent que de3 hommes. Si le Gouvernement anticlérical franç lie représente pas toute la France, on p dire cependant qu'il a agi au nom de ton pays e( a été approuvé par tous les par ™rnJ tes pJus chauvins et les plus rev enarus, lorsqu'il a affirmé sa résolution >a.!re lionneur i «a signature et de respec notre neutralité. Pendant que la Frai ww oeunait cet admirable spectacle, r le uno nation applaudir un Bethmann-Holl-weg ot, depuis fors, loin de se ressaisir, les catholiques allemands applaudir leur député lirzberger lorsqu'il approuve les odieux principes au grand ét&troiajor que vous avez si souvent flétris dans la a Libre Belgique », , principes qui sont la négation absolue des • lois que l'Allemagne avait juré d'observer, principes dont les atrocités commises en Belgique no sont que l'application. Los ca-tlioliquca allemands oublient que l'Evangile n'est pas un code d - morale à l'usage des sauts individus, mais que ce code de pure justice prescrivant entre autres choses la i idélité à la parole jurée, doit être aussi £t la Ixise de toutes les conventions réglant les relations entre les pouples; Monsieur le Rédacteur, je ne vous cacho pas mon désir de vous voir donner ù ma 1- ettre la publicité do votre journal. Je n'a ;s pas la prétention de convertir les quelque5 c- itelges égarés.dont je vous parle ici, mais jt •n m'adresse surtout b. ceux de vos lecteurs ii is> >res-po.nseurs que le liasard pourrait rar j procher de cos singuliers patriotes, de ces i- on moins étranges cattioliques. Jv. voudrais cur dire ici, au nom de mes nofrtbreu; é- irais, et — je no crains pas de nie trompei ts — au nom aussi des lecteurs catholiques d< îr a « Libre Belgique », que nous sommes di et ;œur avec, nos Alliés français, que nous ad é- nirons leur ardent patriotisme et la vaillan s, ce de leurs soldats ; et que nous attention: a- d'eux et de tous ceux qui défendent la caus< te lu droit, notre liberté, notre indépendanc li- et une paix durable. re Aux catholiques belges à tendance genma >n uophile, qui craignent l'influence française x. je voudrais dire pourtant : n'oubliez pas qui p- la France tout entière n'est pas libre_-pen s- seuse ni franc-maçonne, qu'il y a chez no •i- voisins du sud un très grand nombre tl'ar nt dents et sincères.catholiques. Toute ta litté ii- rature française non plus n'est pas licou le ieuse- (c'est lîi plutôt un article d'cxportatioi te prisé, dil-on, énormément en Allemagne) mais qu'il existe une littérature français a- i-aine, honnête, 'prêchant une morale élevé ts i;mt dans les romans modernes quo dan d- les ouvrages d'un genre plus sérieux. C é- n'est pas Io public français qui a demand e- qu'en traduisit surtout les ouvragés léger es de préférence aux autres et qui a lait qu et ceux-ci ont été répandus à l'étranger : le traducteurs ont eu soin de choisir ce oui rc >n pondait le mieux au goût de ceux à qui il lit s'adressaient. 0- N'oubliez pes non plus le «Kulturkamipf Je et l'expulsion des jésuites d'Allemagne, s vous plaît, ar mus que l'influence française, nous dt 59 vans redouter celle des pharisiens aJU n- tnands, catholiques ou 'protestants, dont l re conduite est de nature à faire le plus gran tort à la vraie religion. , \ ces Be.i«es égarés, io dirais encore Vf lontiiera : vous wxpolbz vos adversaires oe sectaires lorsqu'ils se laissent aveugler pa >e- la passion antireligieuse, ne tombez pet il dams le mémo excès et sachez reconnaît)-ist le bien où qu'il soit. C'est là la véntabi re- charité évangélique. ai- UN DE VOS LECTEURS, Belge ot oatholiqiw os re Inutile, n'est-ce pas, d'ajouter aucun eorr 01- meritaire à cette lettre de la « Libre B" lit gique ». Rappr-ochons-en plt'tAS m c-xtrai ri- d'un de nos confrères flamands qui prouv ■ui que les Belges du dehors sont d'aceord su ni tout cela avec les Belges du dedans. ie- Le « XX6 Siècle » ayant constaté que le ii- Belges à" Rome sont d'accord avec les Be-ges do l'armée ot du Havre pour croire dan ,v lu victoire f. ia-le et placer la Belgique ai p. dessus tte tout, le u Belgische Dagblad app.a-adit die tout cœur et ajoute qu il e I1(î est de même des Belges de Hollande, d Air ; ' gleterre et d'ailleurs. f; „ H nous est agréable, dit noire confrèr ,n flamand, de voir que les catholiques belge ' no veulent aiVoir rien de commun avec le Y catholiques allemands, comme c'est le oa V„ aussi pour les socialistes et les trame-nu T1, çons belges qu-, tourr.er.t le dos à la Sozia i" Demokratie et aux log-s allemandes. ,< .il Encore une fois, tant pis pour ceux qi ra refuseraient de le comprendre, la k; LES FAITSDUJOUF >1- la ^wvvwvvwV il j1' D'après te Nieu'we Rotterdaiiische Cou nant l'émission d'un .quatrième emprm, allemand aura lieu le mois prochain sou la [orme de bons du Trésor émis à 91 % ave p), un intérêt de 4 % ; ces bons ne seront pn remboursai,les avant sept ans. •ar iv^wihwi in- ;d: l'opinion russe se montre très satisfait <vi de la convocation de la Douma ; les jom 'IV naux lont remarquer que te décret ile.cot vocation ne (ixe pas de date pour la clôtui 10 de la session. ■nf Is. remaniement ministère! s'est coni t'n piété par la nomination de .W. Poltrons! au poste de contrôleur impérial d"s final 01' ces, en remplacement de ilf. h'haritonuf. T. u-x nouveau ministre a débuté au m.nistèrc de K'p Finances lorsque le comte WiVe appc'n v lu: qrand nombre d'hommes de valeur auprt de lui. Depuis, u a travaillé acl verrïenl.sm ln,i \l. Knlçovtsefl, puis il est entré au Conse ;"r de l'Empire. el jwawwt'î/w ni1 ?.!; Parmi las mesures prises par la Grand. ' ' /irelaqne en vue de la défense aérienne, j"' Standard signale la nomination probab d'un miniaire de l'aviation, [x nlême fou S:' nal signale que le gouvernement ne para rï', pas décidé à une politique de représailles. oi» WWVVWMM les jij. Tladoslavojj vient de faire des déch râlions au sujet dés revendications lerrit l"s ruiles de la Bulgarie ; elles se terminent pt 'i'!1- une menace ta tlrece : il0' s Un ce qui concerne "affaire de noh de consul i Salonique, a décime o» présida "n- du Conseil de li-'lgmie. irex pri)b~hlemei fie- nous résoudrons cette question noas-mémi ". comme non» l'avons fah nt air Konmanoa "is que nous avons Occupé par ic.i armes poi n construire un chemin de fer-. » le " lis. frWVWVWVW in- dc O n apprencle de Washington que le diff ter rend n^rmano-américain au vin>( du Litf ire tnnia est définitivement réglé, te présidei uo W l'on se refuse d en faire connaître, qua\ 'i f t. ^ K-.. i -i-' .j __JF " '> 'i-:« |}^1 A propos de cigares «Uc— A propos d'-tme affaire de cigares do: nous a\ons entretenu nos lecteurs, 1101 ■ avons reçu doux lettres de correspondan ■ 'jui paraissent avoir mal compris la port ; de nos réflexions. Le marchand de cigares dont noua avoi 5 parlé a, nous écrivent-ils, transporté ■ marchandise de Tongres à Maestrieht i ' péril dô sa vie et il avait, par conséquer ' le droit de chercher k la vendre à des co * ditioîîs" favorables cri en faisant profiter 1 * soldats belges. L'innocence de ce i>ra : homme est donc, complète et il est déci« - pour la faire î^econnaitre à aller jusque 5 .bout,.. Il va sans dire que nous ne demando-pas mieux, pour notre part, que de lui vc ' rendre justice, si vraiment il a été victir 2 des crûmes que dénoncent ses amis. No * ne lui avons reproché qu'une chose, c'c ; d'avoir vouAu introduire en France u 3 juantité énorme de cigares en essaya d'échapper aux droits de douanes et en 'J sant, par conséquent, en même temps q 1 !e lise français, le bon "renom de nos cci patriotes dans un pays où ils ont trou une hospitalité cordiale. 11 parait établi l. que ces 480.000 cigares ont été adressés ) un fonctionnaire belge qui ne les avait p 1 commandés, qui ignorait le premier rr de cette affaire, dans l'espoir d'osquiv * /le la sorte le paiement dés cUir.&s ;do <Vovi ^ rie ; 2. qu'on a voulu forcer la rnain ù VI tendance et l'obliger en quelque sorte j; eichetor des cigares dont elle ne pouvait cc ^ naître ni la qualité ni la valeur. c D'ailleurs, il existe un moyen bien siini] ■Je tirer cette affaire au clair il suffi r. d'une enquête. Nous nous unirons vo'-c tiws pour la réclamer aux amis du prin pal intéressé, h condition que lui et eux déclarent d'accord avec nous pour publ v dans le « XXe Siècle » les résultats, tous : " résultats de cette enquête, ainsi que noms de toutes les personnes qui s'y tre j, veraioni mises en cau>?e. <i _ i Frifi Hsrdea rt toujours m ? a Nous avions bien fait de n'accueillir q 'tvViiVPrv» d'roventair" la nouvelle de e mort de Fritz Norden. Voici en ^ffet. s auB n-O'is lisons dans la « Belgique » s Rotterdam : 3 « Il est malheureusement inexact, q * l'avô'f-at boebe Fritz Norden. donl on av " annoncé I'exéculion à Bruxelles, soit me . Il était on parfaite santé mardi deroii * date à laquelle un de ivs l^t"urs a rf nne lettre de oe monsieur lettre écrite nom d'uin client allemand d'avant la g«Ar - nressé. de bénéficier de la levée du mora riu.m. j Lspérons que ce n'est que partie remise t ^ ■ A Poperlngfoe ' UN AVION ALLEMAND JETTE DE! * BOMBES 5 Le général sir Douglas Ilaig rapporte t lo 8' février un aéroplane allemand a t-quatre bombes prés de la gara de Poper g-he, e Cos bombes n'ont causé aucun dégâ.t, ci .. fci-a'rrimênt à l'affirmation du communk il al-emand. e — - A la frontière rmimano-bultja ^ »o« t- ^ LA BULGARIE ETABLIT UNE * ZONE DE GUERRE s. Lo « Tournai » de Paris de jeudi, pui f la dépêche suivante de son envoyé spot i! à Salonique : Salonique, 7 février. — La nouvelle ; nonçant que la Bulgarie venait de dét rer zône de guerre la région de Routschc a produit, une vive impression dans les i " lieux politiques et. militaires grecs, où ,c considéiait aujourd'hui l'intervention r c maire comme possible à brève échéance il —— Avis aux Belges » résidant au Hcvr î- !.. 1)C(( e A la suilo de l'intervention do M. le r il fet Talon, commissaire général du gomv it nomonit de la République piès le gouver :s ment belge, la récente circulaire de l'él >, major général français qUomt à la dédia ir iion de résidence dans la zone des nrrpt i n'est pas applicable aux Belges pour l'i tant. 'Les négociations sont engagées dœsquel péstiltora presque certainement le maint du s'atu quo. i- La colonie lielge sera très reconn«iissa it à M. le préfet Taion de l'aimable empr il i cernent qu'il a manifesté en cette circo * ion^ STUPIDITE BOCHE On n'aura jamais fini d'ea faire le tour, mais l'anecdote que voici et qui nous çsl contée par un témoin tout à fait sùi*, mérite d'être retenue. Or donc, au cours du mois de novembre (Sernier, M. Braconnier,. dooi rhoorurabjiiit^ est co.uiue de tous les Bruxellois, se trouva m an ! 6 à la komm andan f ur. 11 svy re-ri^t el on l'arrêta. — Pourquoi ? Mysture. Il devait atteindre son tour d'être interrogé pai quelque officier d.e s-eirvice. Quiairainte-iiuil heures se passent, tand.s que le prisonnier se creusai.! la tête pour sa-voir ce. qu'on: mi voulait. Sa fanxble s'iiutu.ôre; et son. beau-frère — qui touche de près à la Banque Nationale —, n'y tentant plus, oecorurt el insiste pour .(ju'oéi éclaircisse ce mystère. Il y a une unou;nation contuie M. Braconnier, lui répond-on ; et comme notre compa-• triole insiste, un cerbère consent à co*m>pul ser le dossier et revient avec cette déclara tion solennelle- : — Mais oui, ce monsieur est un bracom n«ier. Or le braconnage est défeiidu et tmr — braconnier est suspect de posséder deî armes. L'hCstoiro est rigoureusement ûuthen tique. | Pour les victimes s de l'explosion de Bravflk tu )>0(t . d . . n- n y a une quinzaine de jours, un mcendi ^ éclatait dans la ferme de M. I)e Reudder ,e à Marck Centre; Les militaires;et les gen là darmes belges svétant dévoués à l'extinc t-] tion du feu, aux travaux do sauvetage et la garde des lieux sinistrés, le propriélair remit au major G. A. Bertrand, commai dont le gito d'étapes, uno somme de deu i? cents francs à répartir entre ces brave is gens. Non contents do s'être ainsi dévoues ic spontanément et d'un commun accord, tèu ut les détachements ont <lécidë de ne procède c- 'i aucune répartition de cet argent ,et d'o ae verser le montant au profit des victimes d n- l'explosion de G ra ville-Sainte-Honorine. vé Ayant été chargés de transmettie oett : somme au Comité officiel, nous tenons ô publier ici cet acte, généreux pour avoi as l'occasion de lui rendrç l'hommage qu ot mérite. er Nous avons encore reçu : ;i" pamfixermeatmiTJ uc i- i vuior »- C 10 francs. n_ Anonyme : 2 fr. TiO. i La contrebsiide alléinsode c"- par Ii Ho Ioiilb se 1 or ^ SES FROMAQES DE CAOUTCHOUC ! iU- Les Nouvelles tlo Mccslricht donnent 1 tiur'.eux détail que voici sur une forme qu revêt la contrebande de caoutchouc. lies formes de fromage ont servi à ooi 1er des boules de caoutchouc. Ces boule: îa revêtues de l'enduit rongeâtre q«Von coi mriîl, sont expédiiées on Allemagne cornu: de siimtples « têtes die nègre n. „„ UN PAQUEBOT-POSTE DETENU 'J® PAR LES ANGLAIS ^ La Haye, 8 févriar. — Le paquebot-pos de néerlandais « Hollandia », arrivé hier, v nant de l'Amérique du Sud. a été déten ue à Falmouth par les Anglais, ait £ Un ïsppaiin ajrait é1é détruit à Âth eu «oa au On. apprend de Bruxelles que le veindrei l0" 28.janvier un zeppelin, ayant du plomb dar la carcasse, est tombé près (Le Ath, d'ans • " Hainaut L'engin est complètement hoj _ d'usage. H s'agit probablement du zeppelin doi les débris ont été aperçus tout récemmei 9ur uni train de marchandtses allant Vei rAJ^magne. ; —^——7—: Comment os a jêté l'annivsrsaiï ïté 5a kaiser sur i'Vssr in- m »o« >n- aé Un intéressant éclio envoyé de Bruxell à 1' n Indépendance » : « De grandes réjouissances devaient avç ... lieu en'Belgique à l'occasion de la fête . Il .'rlmperour. l>es revues, des services re gieux, des bals et beuveries, tels sont 1 ti (uMonncls programmes pour les troup de garnison, bit plus on s'éloigne des lign Je feu et plus ces festivités augmentent i bestialité. •lie M. von Biss'mg, d'accord avec le grai ial quartier général, avait fait le 'projet d'otfi à son impérial maître, un grand succès s m l'Yser. Des troupes de choix v furent acli jl~ minées et une puissante préparation d'art ™jî lerie devait précéder une irrésistible offem rr ve. Seulement, tout ceci n'était que révës'.Ta dis quo M. von Bissing rédigeait sas bull ° lins do victoire, les troupes alliées éci iaierit des milliers de soldats allemands. Bruges, tous les lits sont occupés par d — blessés dont le chiffre est énorme. D'autr blessés ont dû être transportés jusqu'à Br xeMes et sont soignés ix l'Kcole militaire.;' total, un .désastre complot avec des port '•uisantes. » e NOUVELLES BRÈVES or- ° ne- — Un groupe de dix représentante t ai- (journaux français vient d'arriver i Lo. ra- dires où ils sont les hôtes du gouvem"mrir os, dis visiteront divers centres industriels as- établissements navals et industriels.. — Mercredi après-midi urne torpille i ff? sous-marin mouillée dans le [>ort de Fie = wgoe a fait explosion; il y a eu un moi nte plusieurs blessés, et un ponton a. été coul ea_ _ On annonce la mort de M. Pierre B os- blm. figé de S8 ans, député soda,liste de i-V.Tiv'M.-..-. ATrAomqerintiï-in do Nevers. "Vive la $elgiqne !..." /IO(I A PROPOS D'UN DISCOURS DE M. VANDERVELDE M. Emile Vandervekle a prononcé diman cite à Paris, dans une réunion socialiste, ur discours au cours duquel il déclara dan; un beau mouvement d'éloquence que te socialistes belges à la lueur des flammes allumées jw'.r -les Allemands ont vu la patri-i et l'ont défejifl'Ue de toutes-leurs forces. A cos mots," l'auditoire enthousiasmé, > crié : n Vive la Belgique !... >i Et M. Van dervolde a.repris : " Oui... vive la Belgique mais aussi et toujours et plus que jamais « Vive l'Internationale ! » « Je.ne sais si l'auditoire a compris, éori il ce propos M. Albert Sav&rUs, dans 1' "CEu vire » (n0 du 8 février). Moi, je ne comprendi pas. ii J'ai bien !<u lo raisonnement démodé pai quoi le citoyen Vandervetde a tenté de justi fier sa réponse : que défendre les nationt ibres, c'est défendre l'Internationale ; qui l'Europe doit être libre pour que l'Interna lionale se développe et qu'en somme, la pa trie est le patrimoine -le plus cher de Tinter nationale, etc. Pauvres soiphismes, dont oi doit bien rire, dans la tranchée I ii Ce sont nos frères,-les Allemands ? I n'est pas responsable, le peuple allemand C'est sur le Kaiser.'seulement que doit rc tomber l'infamie do cotte guerre, la bont des massacres, dos incendies et des viols Vous croyez vraiment, citoyen Vandervekl1 j que les ÀÙemands ne furent féroces que pa ' ordre ? Vous croyez quo dos Belges ou de: français sornient capables de couper le mains di» petits, enfants ? Alors, vous ave 2 raison de souhaiter l'union entre tous le ' r.éuples, ia' frateniité dès loups et des bre " bis, l'accord des Allemands avec tes Belge et les Français: 1 » Mais si vous pensez que la cruauté do B soldats de Guillaume n est pas la nôtre " alors, tpie venez-vous prophétiser î'acoolad des victimes et des bourreaux ? s n Vous avez « vu.la patrio i. Tàclie maintenant do voir la riace. » 5 Nous no savons si M. Savarus a exiprirn '' là les sentiments des auditeurs diu Pré-Sainl 1 Gervais mais nous croyons bien que M ? Vandorvekio s'expose à rencontrer les rnf mes objections s'il invite un jour un aud: ? toire belge à pousser avec lui d'eux en | a.uissi dissonante. " Pas d'ingérence parlementaire dans la dofonao naiioDal ' LES GROUPES OE LA CHAMBRE FRAf> CAISE SE PKONONCENT CONTE TOUT CONTROLE PARLEMENTAIRE, Les délégués do tous les groupes de 1 Chambre française so sont réunis mercret pour examiner la question du contrôle oai .omenuiin). M. Siosrfried, président, a rendu com.pl do l'entrevue qui a eu lieu eaitre les déli o gâtions et le président du conseil. Sur i e demande des délé^iués du groupe socia liste», les ipu^positioms suivantes ont ôt< mises aux voix : u 1° La délégation du groupe décide i l" 'demander à la Chambre la nomination d'un 0 commission spéciaio chargée d'enquét< dans la zône des armées comme dans 1 zône de l'intérieur sur toutes les question intéressant la défense nationale. 'Cette con mission n'aura naturellement aucun dro .0 d'intervention dam le plan ou la conduii î- dej opérations militaires. » ,u Par 9 voix contre 2, cette proposition été repousse, le vote ayant eu lic-u p; J grou .es et non par délégués. « 2° La dé.égation du groupe décide ti provoquer une réunion communo, avec 1 délégat.on tlos groupes du Sénat, Dans ce to reunion serait examinée la question t savoir s'il y a lieu de constituer d'une f; r8 «-on permanente soit la réunion conimra , de la délégation des groupes du Sénat 3 de la Chambre, soit tout autre organisa décidé à coordonner l'action des doi ^ Chamibres en vue de la défense nationale. •s Par 8 voix contre 3, cette proposition été repoussée, le vote ayant encore e-u lit par groupes et non par délégués. ~ Les groupes de la Chambre n'ont fa là qu'exprimer la volonté de l'opinion p » bliquo ~ui neifuse do permettre que le tr veil sérieux soit entravé par quelques to' che-àiftoirt sans compétence. M. Mauric 'on n'accusera pas do parti-pr contre le parlement donuiait iiier encoi dans l'a Echo de Paris » un avertisseme: îs sévere aux parlementaires et il souligna le mot terrib'e du député Bouge au dépu jr Brizon, s'écriant l'autre jour à la Chambrt i„ — Nous no sommes pas dans une case i- n0 ! ,3 — Vous devriez y être. is C'est la même réwonso quo viennent i faire les groupes de la Chambre aux d ,,1 ^ntés ?o^ia'istes : sils veulent aller a front, ils n'ont qu'à re.ioindre leur régimeir îd * " ' 1 La paix séparée ^e J lllemape I et de la Belgique n- »o« UN DEMENTI OFFICIEUX DU VATSCA \ On mande die Rome, le 9 février : »s tf A la siuiiilie de bruits répandus par 1 e? journaux.au sujet d'une démarche ailema u- de envers la Belgique pour une paix sép iii rée, avec un résultat négatif, démarche q es aurait, été faite par Mgr Tacni, nonce ■ Belgique, 1' « Osservatore româno n est a torisé à déclarer que : _ l» Le ndnee, a.prè3 l'arrivée des AU - mands. a sui-vi le roi et le gouvernemer l) d'abord à Anvers, ensuite au Havre, et e rentré à Bruxelles seulement lorsque qui ques catholiques ont fait remarquer q' le l'oouvro du nonce aurait été plus utile i- Bruxelles qu'au Havre. t.- 2° La démarche dont il est. question e et dépourvue de tout fondement. Il est fai «■ne.l'Allemagne- se soit adressée au non . pour faire une prétendue proposition i ipa.ix séparée à la Belgique. ?" Par conséquent, le nonce n'a pas pu transmettre au roi et au gouvernement . e' 1 Belgique ; ceux-ci n'ont pas pu y faire i o- ' acuerl favorable ou défavom.h1» et le Sair la Siège n'a aucunement pu intervenir, et directement, soit indirectement. » DERNIERS HEURE Oommuaiquâ ofUcisI français Paris, 10 fé-vricr, 15 heures. f EN ARTOIS, duel a artillerie poursuivi depuis la cote 119 jusqu'au Chemin de Neuville à Thelus. Une lutte à coups de grena• des nous a permis de chasser l'ennemi de quelques boyaux occupés par lui à l'ouest de La Folie. Les Allemands, à la tombée de la nuit, ont (lir.g'ô; sur nos positions du Chc- • min de Neuville à La Folie, une [orte attaque qui a été repoussée. L'ennemi n'a pu prendre pie/l que dans un des entonnoirs que nous lui avions repris précédemment. . AU SUD DE LA SOMME, au cours des àc* (ions de détail effectuées dans les journées d'avant-hier *et d'hier, nous avons fait uno cinquantaine de prisonniers et pris deu39 mitrailleuses et un cànùn-repolver. Aucun événement important à signalen sur le reste du iront, - LES C&NSULS GREO ET ROUMAIN RAPPELES DE MÛNASTIR Gen&ve, 10 février. — On mande officiel-I-ement de S-ojla que les gouvernements hel« Ionique et roumain, d'accord avec les au> tontes militaires bulgares, ont estimé op« portnn de rappeler leurs consuls se trou» vant à Moaaetir. - LA HOLLANDE PROTESTE POUR LE TORPILLAGE DE L' « ARTEMIS » . La Haye, 10 février. — Le Mari stère des Affaires Etrangères annonce que le gouvenr . n«ni'ifrt hollandais a fait 'des représenta* lions énergiques à Berlirr coniàeiraant le tor» , pillage de i'Artémis. Ix- ministre d'Allemagne à l/i Ilayo a ex;. primé ses-regrets au ministre ttes Affaireâ j Etrangères, offrant do paver éventuellement . une indemnité après enquête. «■■■•■■ -»0(c— EN ALBANIE, LES AUTRICHIENS APPROCHENT DE TIRANA Amsterdam, 10 février. —- Un télégramme - die Vienne annonce que les avainit-gardea austro-hongroises ont'pris contact à Viadva, à huit kilomètres au nord-ouest d® Tirana, avec des détachements isertes et italiens, , et avec les troupes iTEssaid-Pachn.- ' : Les Susses franchissant le fiiissier â CieiisÉo ! —(o)— Jeudi 10 février. 3 Le Communiqué rufsc nous apporte una - nouvelle importante : Les troupes du gêné-i ral Ivanof ont occupé llscieczko et se son! • établies sur ta rive droite du Dniester. Us. cieczko est situé en Gaticie, à 18 kilomètres en aval (c'est-à-diro à l'est) du confluent de 3 la Slrypa (qui coule du nord au sud) et" dm e Dniester (qui coule de l'ouest h l'est). Cette r vilile est h une soisan.ta.ine de kilomètres 1 au nord-ouast dte Czemowitz. I<e fleuve y. s décrit une légère cpurlx: ce qui a dû faci-. litor l'opération de passage et d'attaque. t Une telle occupation constitue un incoo^ 2 tcstaWe succès tactique ; mai h elle peut avoir, si liairti en est promptement tiré, d'heureuses conséquences stratégiques. D'abord, elle couvre l'attaque iflénee au Vx'W-ouest de Czernovvitz et constitiue une uexu-ve-ile menace contre la ville de Koloméa, s qui forme avec "CzerruOwitz la base d'un 3 ti'iaingle dont Uscioczko est le sommet. En- - suite, — et c'est l'essentiel, — l'opération va e contribuer puissamment à nettoyer la zone - dangereuse pour les RUsses que constituait e l'angile formé par le Dniester et la Strvpa. t C'est dans cet angle, — on s'en souvient e peut-être, — qu'en, septembre dfernier, les x Autrichiens massèrent quatre divisions do .• cavalerie, et deux divisions d'infanterie (une a quarantaine de mille Itomtoiia) qui, formés i, en potence et menaçant ainsi l'aile gauche de l'attaque menée au: nord par les Busses t vers la Slrypa; arrêtèrent cette attaque tta.n- i. gereùse. Aujourdliui, la prise, de possession: . par le général Ivanof des rives du Dniester i. et de la téle de pont d'Usc'eczko cuivre toute offensive ultérieure sur la Strypa s moyenne où l'on sait que les Russes, n is ; és d rniers combats,ont avancé d'une quin- t zaine de kilomètres.' Ce fait du jour est donc ) plus qu'un ineidemi loca', encore çue ce ne 0 soit qu'une action, partielle dans la vnsto . .offonsîw que'médite l'état-major du Tzar .. et dont d'heureux eombals livrés, ces jours derniers, autour de Tamojiol, — où, de l'a- ' vau du communiqué autrichien, les Russes P ont brisé momentanément le front ennemi, ; — constituent sans doute l'un des préluues, „ Paul GROKAERT. LE COT;îî.roNlQUÉ OFFICIE1L RUgS,^ Pétrograd, 9 février. — Officiel. — SUR LE FLANC GAUClir. BT: SECTEUR DE RIGA, le feu est animé. En beaucoup d'endroits, notre artillerie a disuers'é les travailleurs allemands et provoqué une torle explosion dans les lignes ennemies dans la ré- „ j g ion de la Chaussée rie Baldnn. DANS t.E SECTEUR DE LA DVINA. A UEVENIISARKAN1, ENTRE JACOBS-3 TADT ET DW1NK ET PRES DE DWINS1C, la canonnade et la fusillade sont intenses, et j l'on çotislàlè l'activité de l'arlUlerie lourde, particulièrement des deux côtés du elle- 1 min de fer de Poneviefe. EN GU.ICIE, AU NORD-OUEST DE TARN.OPOL, l'ennemi a lire contre le sec-j" leur de CrV.ad\;i-Uorolrievha avec des canons .! de gros calibre. ; AU NORD-OUEST DE ZALOSCZIKY, e n-ous avons occupé Usçieczlco, oi nos (rou-j pes se, sont porlces sur la rive occidentale du Dniester. ., AU Sl'D-OUEST DE ZAM0US7JN, SUR 'K LE DNIESTER, EN AVAL DE ZALOSC-e ZlKY, l'ennemi a fait sauler maladroite-e ment un camouflet; Cexplosion s'est, produite parmi les défenses de l'ennemi, com-a blant une partie de ses retranchements. C AU SUD-EST DU ZALOSCZIKY, t'aumô-n niar Alexandre Ja-Jovetzkq est lombi vie-I- tirne de son devoir alors qu'il allait, la croix it en main, relever les blessés prés des défenses de lil de 1er, 22 ANNÉE. — Série nouvelle.—N* 459 Le numéro ; 40 Centimes (S CENTIMES AP rftONT ^Vendredi 11 Février 1916

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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