Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

1450 0
17 januari 1916
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1916, 17 Januari. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/5t3fx74v72/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

22'ANNEE.— SérieiiottveUt>. --N* 454 Le numéro : 10 Centimes (5 CSNTIMES T3 FBONTj Lundi 17 Janvier 1916 RÉDACTION & ADMINISTRATION îftn rot de la Boarss — LE HàVRB Téléphone : Le Havre u* 14. OS Directeur : FSRMD WMÎ Te aies tee communications concertant ta réfaction doivent être adressé* de la Bourse,Le Havre. LOFJDON OFFICE: £1 ,Panton Street (Leicester Squares, w). LE XXe SIÈCLE ABONNEMENTS Fcanoë 2 fr. 50 jjar mot®. o 7 fr. 50 par tnmsitrô Angleterre.... 2sti.3d. par mjls. 7 $h. 3 J O*P tri nsstra Hollande.. 1.25 florin par moi;. » .. 3 75 fljr. par trimastre. Autres pays.. 3 fr. » par rtmls. » .. 9 fr. » par trlmfstat PtfBMCITft jffrndrasser à l'Ad ministration du journal su Havre ou \ tondra s Annonçai 4' paie» Ofr. 4") la llcp© Pdtitesainanoës %• paga: 0rr.30la!lgn« Les petites annonces sont éçalemen reçues à (a S jo'été Européenne de publi oité, io, raede La Victoire, Paris, qui en a te rnonopote pour l'aris. Quotidien iseige paraissant au navre La reconstruction des villes LowafA, avons-nous dit, devra, surtvnt lYsnrit de ceux qui s'en s'ont occupes, ètie r^oosUtoô ielon son caractère tradiUanaol ce principe, adopté pour 1» vieille cite lirabauçonno, sera appliqué aussi aux au-tt'tH villes qui oui. subi ie3 dftastohona de la "Knlt«1 de la race noble, dite boche rènieudà les villes où le poème du passe VlaUl inscrit dans la pierre. Tout Je monde s'en réjouira, car ceux qui '.liront souffert, les uns du sac de leur Mlle S les autres de l'exil, retrouveront •avec une douceur infime traditionnelle des tiiAùv qui leur sont chers et «mis auront Appris par le malheur;à. aimer davantage ■"sans doute une copie d'ttuvre (l'art n a .ioinuia & tpême valeur qUe'l orignal. Ssm» doute ou a souvent abusé deïi reconstitu--tiojis. Sans doute le gothique des chemin* •de fer, r>ftst»<s et télégraphes, dont. l'A gare <1e Bi ««es 'est un exemple typique, a-t-il sou\OTt' iionh« lieu- aux critiques, et aux riva&s&s les plus jushftés* îïia.L* il mut ^«rSnvenir qu'.ukte d^ momimente iiiu'..nouî transmis le îdoyen-dge et la Re-riaiscanco ne nous sont parvenus tels que lies -m'aiires maçons, et les aMuectaa les 'î.jSalcat édifiés : t. us ont dû «ttbir des tra-.Vii'ux jto .conservation et le leroj», qui est. tiïu gr.aa'l ^rtiste, s'est.chaya'e do nous res (tilufcc l'illusion. . , , ,. : Co m'a, été-fait après lé bottrbardement idu XVIjfiP siècle et à la fin du XXX» W uour 1-", Grand-Place de Bruxelles, doit être ■> »i|a.it d;ais des villes'typiques comme Lou vu-ia, Dliuint, Lierre. MalMe» etc. qui évoquent tés fastes de la Belgique, des champ.» --t'.Hii-l'.'iié qsïez vastes s'offriront aux ar-flîWiecte-s épïis de formes nouveRçs, pour j,i-i'iï«Jll,vo à çeuxqiii-se-prêoeç.ùlieriit do rutjer le îirfeeht au pa«;é,-dé se" sotKemr que nous avos*-ou des artistes «fetleax et des ino-;r;f.TOC-o..'l 'ïl" faisaient, l'admiration dju iirqonde. tuilier avant r'airivéé dès hordes •<to la Jiùtltur, Enfin, disons le fond rlc Aotre pensée, uouç. étùqis, à la veille de la guerre, trop infesté^ ,<to style hoché ét de style viennois, pou»- que no«s ne soMn's . pas jusîf-ilés Ai.nous méfier -les innovations archi-isç'tùràlev de demain. 'No'Us aurons , à noua aroou-iUu' fit a retremper, notre esthétique au contact de nos styles nationaux et tra ditioruiels. C'est de là et rien que de là qu'il nous faudra, repartir pour apporter kius a&esaiti&eoiUeiuporaines des élément; nouveaux. ' Mais revenons à LoUvain. La rue de la earo, ectto i ue longue, intertriinahie, on 'iiryotîro, créée h une époque où l'on avaii perdu to sans de res-iiiéij.qfifî (t\ï \ilks. où £:(<Olfs prétexte d'hygiène, SMtï s&.soiicier di i-^ÎVMUtes raisons qui «n avaient tait, décidei '■fiaitresnent -daps lu passé,, cm rù.ait de ci tracée;-! au cotxif-au, avait- déirui^ le be aapstst <de 'a grftnd'^la-ee juwiu'où elU aboutissait, rapetissant l'église ,/Saixit-Pier L-D'Ot-lee magnifique Hôtel-de^-Ville.-.Autrefois, remplacement laissé vide pai *% -Bie'-do la stationjMir-.J.a.Cri'Ad-jPlace <li iliWïyaiKi était wtmé'par. lé lqc.aJ. de la « Ta ii'e IScMÎde, » eharuvunt-é.difi'Cie coteliuit p.-n Mri.th.ioa de Laeyéns auteur du déHcieu; iHôtofcde-Vllle dont 'la 'io\mv i appelle ti» l.-hâsss U que le fcottiiique flfuqjKijnnt ave-SKS? 1-iriecaux, ses cloehetous, s» statues ma statuettes et ses bas-rsliefs a paié d'un. inerveilleu.es di;ùtelle. de. piet re. Raits a\=oir il aucun point de vue, i'importanjce d-rHôtel-dt>ViU,e.la « 'fàljto Rmjde •> n'en étai pas moins par sa gfâee rm vt'ritàble joyau C Aussi la conimii.-.ion,. fl'acfiprd avec h THiiti,f(;ipa.lit,'' de l.ouva'in, a-t-elle émis 1 vu-urfi» voir l*îmcienne « Table .Ronde ». rc ocnst-ituée, servir l'écran à, la grànd-Pla ««'pour masquer la ir^ijée^le la. rue de 1 Station. Ainsi la place serait, fèrmiéc d< toutes parts, -comme lautreTois ; les mai i.'"sons détruites seraient réédiffùee en élim wa«t ce. que l'époque moderne, y avait a[ porté de ve-riuos, couffiriaéirœnt à, des plan • ''.soumis, à l'approbation de l'Administratio t'/immunale en accord avec .la Commissioi :I1 V f. longtemps que des.vilfés.pni établi de servitudes de façades sur çêrlaiïis iimuei bh?9 do' sorte que nous n'a.vonip...pas nou atUirder sur ce sujet (tui. ue piésente ai tuno difficulté d'exécution. Uno autre nuestion a suscite dâvantaR .ia Con.trèYerse. Wattcihuî trouvaient (qne certaines rù: kllaccès ii la Gra'nd-Placp étant devenue drop étroites pour lés' iiécefeilés de la ci c-u'ation il importait dé les élargir. , C'est oo que l'on avait esSoyê pour ia. "seiile ruo.ù la Grand-Place de ïiruxelle.s ruais telle ost l'iiarmqnic .paffaite de ci vieilles places <pie. dès, qu'iuie proportje .ast faussHie, l'œil -est ehoe[U.é aussitôt ; c'e ainsi qu'on fut amen/-, ; à Rruxelles, à î c.onsWKirs la eharraaiite maison de l'Etc le oui est sur piliers. On cita aussi l'exempte de Gand qui e tplein <Pcnseign«mc:nt précieux. A Gand, c •voulut si bien faire valoir les monumen iqu'on démolit tout ce qui se trouvait a tour d'eux» ou, en barrait la vue. C'es Wiin-s-i quo w ville a pordu -son charme d'i 'limité et a pris l'aspect' 'd'un échantilh ,<i'édifice3 anciens,expesitions univt ! (Selles. :, tiairSer b u-bo vieSlle. place son aspect tr r ffitikm.ne3 ot la mettre en rapport avec 1 'nécessités actuelles du ro-u.lage, de l'air inpbilisme, notamment, n'est pas possil» H'-faut c3ioi»ir. C'est oe. que l'on ^ eoir.pr <?n apportera, des modificaliens îi la voir lixmr fui permettre un plus grand déli «ifix 'alentours de la Graud'Place, mais laêMéra cellfe*ci intacte. Par ailleur? on- veillera à améliorer, avi 4qutetols, beaucoup de circonspection. ) fvrtiotliera h l'ennui de lu-rue de la Stati i « y créant, vers le milieu, un square < 'formera écran-, et «n'y édilïaot, ptu- exe H>Ie, un monument commémoratif- de férocité allemande. Lu collégiale de Saint-Pierre, elonl 1 mars restent debout, sera restaurée c t.sjBS'i. OuiîiTit aux Halles, où se trouvait ç)ragn:-fique bil>Fo.thèquç plusieurs fois sé; [iî-r-e contre kiepue-ile- là ûiillii!1 a parti' u .sèment exercé sa fureur destructive^ elle "tlésormfris îrop célèj>rd pour ne pas rénal i «es ruiacs- ,, , _ .. Maurice rfes Ombtau* — Elu (léftuté. socialiste . -de Milan, \loùx révolutionnaire italien Armlcare pïlanl écrit à. Mr. électeurs-.' qu'il n«.,F iicceptcr leur mandat ; l'une des rais qu'il en donne est sa pleine adhésion a lierre. Le Cardinal Mercier à Rome l.'AGt'.lilîH k V1H0US1ASTK de LA VILLE ET DEJA l'OPUIAXION A la séance de samedi soir, au conseil municipal de llotns, M. Gialimberfi a for-mufc des souhaits de bienvenue à l'adresse du cardinal Mercier, faisant des vœux pour la résurrection de la Belgique et de la Serbie, ainsi que pour -'a victoire des peuplés combattant pour la civilisation, la liberté et la justice. Le imairc, prince Colonna, a déclaré qu u est certain d'èjcprimér les sentiments de la municipalité entière en envoyant l'hommage de Rame au prélat illustre qui représente l'héroïque Belgique. Durant toute la journée, de très nombreux télégrammes sont parvenus à Pnrchcvênuo de Maltaes, de toutes les parties de l'Italie, ('.'est un véritable plébiscite ete sympathie et d'admiration. Samedi malin, une foule de_personna.utes sont, allées s'inscrire au Collège belge, où le cardinal a pris résidence. I e"cardinal a éxrnîrné sa vive satislaction pour la manifestation, qui lui a.été faite à son-arrivée* et pour le- saint de bienvenue que lui a adressé la municipalité de Home. i \ manifestation de I. ivi.vi>ir . vendredi solll M. J. Carrère envoie au « Temps » des noies très intéressantes sur la manifestation do vendredi soir. Cette manifestation, on s'y attendait, mais elle a dépassé toutes les prévisions. « Ce fut, écrit M. Carrère. ce fat l'âHio pioTomV du.peuple romain «t-iitalien qui se niauifesta pour nnpùtrer sBoqfcuH men( et en dehors de toutes les organisai ions omcielM ete quel êf.lé étaient ses. sympathies .et^ espéi-anccs de la nation ilffheim et ttc <l.i<-l cfltê sont ses haines et ses uuplacables ju-gemerfts. De Ions cétés partment t'os ma -n Vive ta Betgiaue ! Vivent les Allies . \ ive Mercier ! Vive le courageux défenseur de la civilisation! Vive celui qui a résiste a la barbarie I », etc., alternant avec les cris rt f,f-tés de « a bas l'Autriche ! A bas l m'aime ' » Des entants renneftaient des fleurs au cardioal, des dames répandaient d autres fleure devant ou dans sa voifure. U ca^d. rial .était visiblement ému, (].-> larmes contenues, et tendit ses i>it avec un geste ,'i la fois de benedieuoii et d., remerriernent pwr M'tle■ foule ou palpitai lo vrai" cœur'de la \ liie^LUrn^nc. „ buEWd la soirée, diverses tions imprévues ef spontanoes éclata,eu l'honneur du cardinal Mercier. A la grande soirée'flùi était donnée au bénéfice oes mu-«uïs defui .guerre, le publie, très nombreux, •iprès "avoir applaudi la « Marche ro\aie >>, l'hymne anglais, rhynme la « ^t; ' epiHnise » T <t Hymne de Garibalai », *^c.la ' mù U'.grands cris l'hvutne belge ^ ! /i'iihï> t ni i chante ovation', pour i$rcnc\oqi • d- Mrdines et les mêmes cris que ceux pous- ' ses par le peuple à la gare. ... » Les-journaux coiisaerent ele longue; colonnes enthousiastes au cardinal et a sor œuvre. » - - , l\ jjburnée de samedi : Same(lii«iatin. le cardinal. Mercier a -r6çt • -jiw CoVège Belge la-visite de plusieurs ):ci ; în'maaes- des eulo.Hè.s belge et français , fl a eu notamment un long entretœn a ! ^œ^lSs^^cîdSgmcn ; le recevrait d. : âiHs&v£sjë?iS|3s i .«<. »«\mkest ahons de syminathii au passage do cardinal ; lislillsi f. de pareil en Italie. .. ■ M mittaimW.se ai Hait I gfiiaps: t- voiot ce qu'ielle nous écrit . „ r eôéatiou d'une coopérative belge fi ; SF£-j£Si£»si4 wSucr une réunùon dans laquelle chaque d Sement serait représenté, par em Ion ' UÔnSe délégué. Cette réunion aurait ^ but de fixer les-bases ded.organestnio a c ri * r («.- bases étant arrêtées, on provoque!! 68 î>ar la voie de la presse, -une assemblée g £ Ke où l'on' discuterait les questions . :s* ^rfcâ coopérative serait, exclusivement i ^ aervée au.x IWlges résidant «« Havre,'da .'h Ut limite de leurs besoins, ceu^-ci ttanf c tenr^iriés par la composition de la famille, ,c compris les ascendants, les ^®®nd?^hîa S' éve.ntiii"llement. les domestiques habita ooois le m^me toit. . r ^ ' » L'intendance, dûment .autorisée par, [l" rnin&tre de la guerre. - " fa-ire l">én« cier la coopérative de ses marchés fêr i aux • le reste serait achelé directetticj aorès '«f>peil à la coneurrenee. smvan-t ci es tra|S réguliers. Les" appels à la concurrftï] , s'.-t Tectiteraient non seulement riouir les d( la r,-,i,..; coloniales, mais aussi pour le pain. ?}- oharbon, le bois de chauffage, les rpoy-e jé- (Vér-inira.ge, la viande de; boucherie et 584 charcuterie,' etc. . "* tr0 » Chacun v trouverait son compte^ si tout les- petits b'Mlgets qui sont, e-n !'oc< irenee, les plus intéressants. Au .surnbis, — partage absolument l'avis du u fort en 11 le me «"interviewé par « un réfugié « : ai Ci- une once d'iinHintive et de bonne volonté eut. nei'it édifier cftle. coopérative et il. sex ins navrant de'constater que l'on ne passât j lu a l'exécution, sans autre'retard.-u • c'esl a>tss! ndre avis. Vient (le paraître : Une nouvelle liste de prisonniers belges Le premier fascicule de notre nouvelle liste de militaires belges prisonniers en Allemagne VIENT BE SORTIR DE PRESSE. Il contient, en 24 PAGES GRAND FORMAT, Ie3 noms de quelques milliers de militaires dont les noms sont compris ENTRE LA LETTRE A ET D E T inclus. Cette brochure, d'un si grand intérêt pour les Belges, sera expédiée franco contre l'envoi de 0 fr. 89 EN UN BON POSTAL au bureau du journal, rue da la Bourse, 28 ter, Le Havre. Les demandes pour l'Angleterre doivent Être adressées à notre London Office, 21, Panton Street (Leice9ter Square) London S. W. Joindre 8 PENCES. LEURS VICTIMES -0 Dans»un camp de prisonniers Comment ils traitent les les internés eivils y oit s recevons (llinléfcs'smx tes. 'notes $,(r f/i vie dc$ civtU iîUrrru's en-si ftmncl vovrbrr dattx les camps aUemdtH^ L^nUeu; cfe c-cs noirs est. un puisse • en?» menS tics r mirons <)" LWô a>i aeovi rfr, la 4IUQi'ic\ U fut retenu cuiUij pmiij.ntipfusjeurs. mois, hh'd f) ne tous If'.s. papiers éidblissatil au liUiwnalité fessent puriaiJentenl enjçùfile. i > ^ j Soldats du t-iïise't. Voici eoirirp-e-nt il décrii la vie dans les camus (UiemCLïids : - Y - ... ^ ^ il ren- U'H jfell ftë.3. ( ; i.OÔ;> l ■ i ( (VI ! ! ' s civ|ls île to.utés conditions. ïl y a des. s6i;;.-teui's, des tkourgihiîstres, "de's ingénieurs, des avi ' qts; des vtrcliileel'-s, des oe«U,,siaa» Utfuôsiît 'des docteurs qui sont, soumis au rueuifî régime. cjiv: les nuvriéi:s d'usines et les doïuesiitj[ucs: de cvrfture. Tpus. sont astreints au, travail qui eemsiste.. principale-rv.•-nt e.n L" i.v.'i : ; \ d- caïaaUsaJiiôri ot ' de dé-friehement de terrains, Os hommes mt r'partis sur un espace (i" hectares i>aifaU nvent clos a :ï moyen de lïls de fer barbelés sur lesquels pa.sso, coiitmucllome.ul, un courant à lia'uto tension. T.e ;nalheui\ u\ qui ' "hercliera.it. à s'évader serait irhmédiaterncni électrocuté. Ï. VIUIÏV! E AU C\MP L A l'arrivée, les inleriirs civils sont dirige? . sûr un camp d'atteiile où ils passeront h" • nuit, couchés sur le sable humid-v c-. n\\\-anf- pour sr; protéger vdu froid que iîeu> . •]->-jtiu .: (wuv. i i;.i très •iniiicês. Le Jendc. { inain, ils .sont intcri ..^és par un intcrpr^U civil allemand assisté d'un greffier rnili-t (aire, qui enregistre ieiïrs d-éeîaralioi's ; i!' sont ensuite soigi>i>us aneiit fouilîés tou . "papti^i» (•' rit s-'i'isi s.^r eux est lu attentive-ment et restitué s'ii n'est point entaché d« , susnicion. L'interné doit également déposeï . .les valeurs ou l'argent qu'il possède, à l'ex ception d-Uf>e somnie de 10 marks, et le res J t int de s-on dépôt lui sera remis au fur-et, j mr.'sure de ses besoins a'ûmont consfalés ' S^uls ont cours pol- et les billets de banque; -î d'IOtals mais ces derniers subissent une dé « T>r«ciation qui varie de (5 à 20 n. c. Les bil J iets des banques privées d'émission son î considérés, en Aljemagne, com-me. papie: û s'»ns jrnl^ur et sont rendus à leurs propn't 5 taires qui peuvent s'en débarrass.er moyen nant une remise tic 60. p. r. ! v Anrè§ -toutes * ces fonv»n.Vités. le .convr 1 d'internés passe une visite médicale fait •par un méidecin-major français ou' anglais - après celte visite il devra nrendre une doi. che, se faire « couner 1 -s cheveux » h 1 B tondeuse et remettre .Ses effets nréàlaWc ment é,vu^és et sud ! p: Hs u>it soUlat bo/1v armé d'un pinceau et d'un pot de ernneu roU^é apnliquera un énorme « Z » qui sïgn i'i « C v/1 n L° est a1o?*a d:ri"é s'T sa deslin.itiofi définitive, et'sa vie d'intei 'r nés <m plutôt son .martyre commence. ïfnr» (Ii7aine-.de narames en pioche: '' longues d'une cinquantaine de' mètres ^ nvM^t été con^tniHÀs nar les premiers o> cun/ints. sont alignées les unes h côté df u autres « fiffirt mètres de distance; elles r-°; Le fi»i 'Wli -de 250 il M00 bommes eïif;i-s-' i- e.vnm« ;de,s pnres. Ce n'est noint br'llai 6- mèn.'e* pour 'les .jeunes, -mais les vieillard; ! v jol uxttf: des prisonniers r> ï.os, prisonniers sont réveillés.a S beur» î,r du matin. î^es corvées désignées la veil r. par les chefs de groupes, se rendent h .it cuisine et en rapportent un liquide jaunAt: é- annelé « café » et qui n'est, en réalit le ou'une infecte tisane à l'orge torréfié, <*i rf son d'un demi-litre par homme. Rien é- manser avec. A 11 heures et à 5 heures, r 18 ^'as^ complet consistant en une soupe tr é- linuidc. à l'orge bouillie ou aux féverollc y aucunement nutritive,-oui constitue le r •(, gime débilitantJpar excellence et dont l'a fit sorption fait soulever de dégoût le cœur plus solide. 11 est distribué, a chanue rep; lo du soir — et pour toute la journée — 1 {i- sraimmes de pain K K qui renferme, • né- l'aveu des Allemands, 25 n. c. de fécule < ii, .'•omîmes de t^rre, 20 p. c. de farine de ma n- et de « gland ». et 20 p. c. de farine de fr ce mjent «non b'ut-ée -et une proportion diver n- de «matières inconnues oui ferait rêver le chimiste nui voudrait analvser cette s. as vante et ingénieuse composition dont 1 6 pifets — cas" de gastro-entérites, rnoJadi d'estomac et de vessie — conduisent h ïr- fos«e commune une masse considérai «u d'enfants, d'hommes et de vieillards (q j£ seul un régime sain eût r>u sauver), r iV seront inhumés?dans une terre étrangère rer dont les tombes ne r^cevrojit jamais l'hu on ble bouquet ou la couronne de regret... y&? de bj^wés gossès de chez nous Les prisonniers disposent chacun de de couvertures — volées, naturellement, en Belgique. 11 y a, pour trois hommes, deux paillasses de* fibres de bois, épaisses seule-ment de cinq c ntimètres. Ce sont surtout les pauvres vieux qui souffrent de eç déplorable état de choses.' J'ai été frappé de ■U. quantité-de Uiut- ^'ine gens de Kî, 14, 15 et 10 ans (de braves et gentils petits Belges) et du 4.omli-rc r-eî-ativemeiiit considérable de. vieillards (k>n.t le doyen a dépassé la huitan-laine. J'ai connu dans un des camps où j'ai vécu un petit martyr de 12 ans, dont la sœur fut fusillée par les Al'.enrfends lws de leur passage dans un village. « Ils étaient orphelins ». Ce p tit héros fut expédié là après le lâche assassinat de sa sçeûr qui n'^tuit son ,atné2.qu»; de d.nix ans —- manu uiiiihtfi' », 'seins cl\ausures, ses vêtements op. iQqu.es ; cet innuceiï) faiisait vraiment pi-» tié. Il fut i!>eulp'\.. d'tîspionna|îe * .11 possédait des pi^eens 'dOHiestiq iés ; -»n y a vu des « pigeons voyageurs *>. Les rares internés qui sont dispensés du . tra-vcii'i. à S' n;iç — malad-os, cas spétf a\ix — se prorn'ôhbnt toute ?la journée dqns l'enclos, avec le sable pour fauteuil. T.e s autre3 sont employés au défrichement d'immenses landes de bVuyères : la plante est arrachée, entassé.*, et brûlée, tandis que le sol est labouré à. la main. Le travail est effectué sens la surveillance de secliaelles de la landsturtn, de 40 à 50 ans de plus ou moins bon caractère, niais obligés de. se montrer brutaux, féroces même par les .sous-ofticiers qui recoi-v ni -des ordres- (vis sévères du heutenant du camp. Celui qui s'arrête un instant doup s.iuTiier reçoit immtkiiatement ml c^nip da crosse dans, les reins. Les sentinelles tes plus humaines sont naturellement ks pères de fami.'le. Quelquefois, ils racontent par gtTste p.» 'à. l'aide de-cfùelaues mets-de* l'ran-<;;iis, leur propre infortune. ïls.nrit im,deux, trois ou tant' d'enfants a b maison: grand.-comme cà ! et qui souffrent de la faim avec la maman, aussi malheureux que leurs p>i-sonniers ; ils ont l'ordre do dir.> (tu'ils oui tout, en a.bondanco, mais ils ont faim. CIU ellf.s tortures Lôs règles disciplinaires sont olroceSi T.( n'oindre manquement à la discipline est puni de'la fa/on-suivante : K y a le .sar : l'hernie -est chargé ..(l'utr ; sac c.*ntenant 30 kilogr. do briqués, et a vec | en -.'s; .pplémen|. — r.iflin tmi'iit inouï d< cruauté — rl doit tenir dans chaeune de se: , mains deux Itinides briques, et e.imir ai pas de gvmnaetique tout inrtou-r4e l'cncloi j.isqoi'à coin ni et épuisement. Quand i tnm . be, il est relevé h coups de crosse et m an-, frappé à coups de baïonnettes, après que on l'emporte évanoui et on l'aliaridonn sur son grabat aux soins de ses camarade qui songent non sans frémir, qu'un sor 1 identique les attend peut-être le lendemain II y a lé toit : Le coupable est ikss.6, jam ^ be.s mies, sur l:o t''it couvert de csarlon bi tuiiné d'Une baraque, et il y est laissé ai J s-i(liai toi ride; la \ iclime est obligée de levé , •alternativement ses pieds brûlés au contac du tort, jusqu'à cù que la soaiffiance épou vautuble, sans nom, sortie comme une idé génial dm cerveau machiavélique de l'ofj : cier du camp, passé maître das, ce genire d 0 'Wtutres iiupiidUOriailes, fasse dégri rigole i . au. risqua (l'une chute qui pourrait être fa 1 t'aie, cette malheureuse victime innocent ' <ie la belle u kultur aLlemande » l!l i. Il y a le poteau : L'homme ed-t attaché tête nue, face- au soleil, pendafit des heure r erbtières. Je ne veux pas ni'étçndrçj dawar • ta.ge "sur cette cruelle puni ton, jamais ê rapport avec la faute commise et qua, I ' plus sauvent, n'est qu'un prétexte a apectî ble pour la distraction do l'officier, des so>u« , O'flicidrs et sont incite#. '' 11 v a, enfin, la brosse : Pouf ce Supp^C* , —l- plus humain de eeux que je vven d'énumérer, — il v a. m> gian-d ga;liait j tail.é en hercaiie, colonial anglais de coul'oi: " et jci^ohmer civil qui fait c(\ métier ]>oi mériter in dmible gamelle, récorupense o o plutôt salaiit) de son office do bourreau •Muni d'uni» brosse énorme, très dure, déshabille le condamné au bord de la r vière qui traverse le camp et le frotte ju, ,s ru'au. sang. Et les officiers et sous-officieî lo de se teniir les côtes, riant jusqu'aux larrw a dk;vanl cet atroce supplice qui faet liuirk -,c de douleur la pauv-rc victime. Gare à q S n'exéeuilc pas La consigne de cruauté qm'i rl comma4d^n,t !... à Avant de terminé cet article, je recor e» manderai aux ])ersonnes charitabl s ei pr,; !>g ciipuilemcnt aux « marraines-de guerre » ( s 'n^> pas envoyer de journaux oux prise. (i aiiers ; chaque fois qu il s'en trouve dans i !,- paquet, l'interné qui le reçoit e?t puni ' le quiii'ze jours de prison et le paquet coprl 1S qtué. On punit de la même manière tout c 50 vo.i de papier à cigarettes qui reui.feimo Qi lo 'IwL'tels — des personnes imprudentes aya le einployé cc pixrçôdé pertir correspondre da ïs klest'raemenl avec leurs filleuls, o- Je conseillerai également d^expédier r se gros colis de 5 kivoS'cJiaque mois, plutôt (f le quatre lois par mois de petite paquets 6qi valen-ts comme total et comme, prix. l es fonctionnaires allemands préposas n la é es iribution dés coHis sont très mécaritents < la surcroît de' bêsogne cfui leur est imposé î> ,Ie la quantité relativement considérable u lie 'cofe expédiés aux piisoniniefs de g-aer ni 'ta,rut civils que militaires, et se foni uo-m èt iâiv plaisir <le ne distribuer que très rer» n- ment les envoie hel>domadaires. B'urtp on I .nière générale, le public charitable di [.éviter tout ce qui peut ennuyeir _ les Al. ; mands, ceci" ilaii« l'intérêt des prfeonnifri ict user de préférence, poui1 la coriesp© us Varice, de cartes postales; LES FAITSDu JOuH 1 L'affaire d'espionnage on se sont compromis les deux colonels suisses passionne l'opinion dans la Urpxabliqnc helvétique, l^cs journaux, socialistes demandent'la convocation df. l'assemblée fédérale. Im Suisse croit que la (juoslion du rappel des attachés militaires compromis 0taH prochainement envisagée. Le Conseil fédéral est unanime et entièrement d'accord avec le a encrai Vour faire la lumicir complète sur l'affaire. Les députés socialistes Maine et ïjraber réclament la révocation du (jénéral en che/, si les sanctions nécessaires vtc *on t pas prises sur-le-champ.iMvvvmwt Les événements du MonicnêQro provoquent un# vive èmolïcfii en Italie. Les [our• naux rappellent les imprëvouanees de l'expédition des Dardanelles et estiment que dp.s explications sont nécessaires de ht part da gouvernement. Dans un discours qu'il vient de prononcer, le député Barziku a présente la dé [eus c du (/mixemeraenr, assurant, qu'il mirait failli ehvouer 200,000 ou 300,000 hommeç pw résister efficacement à l'oHensios autrichienne'.iyvv\wvwwi Afin d'éviter les questions embarrassantes du député Liebhnecht, la commission des Anciens du Heiçhstarj u décidé que, vendant la durée de la que ne. le président aurait le droit de repousser certaines questions posées par les députés. Le gouvernement ainsi, n'aura pas à y répondre. ^«MVVVVVl! Dans un discours proiioncé d Lioerpool, -lord. Deivij vien-t d" fait * ~ttn -aonvsi. appel a%w jeunes yens pmrjiu'.ils profilent du moment de répit que /«w fuisse le ffùdvcmc rr.cnV cl s'engagent sur-le-champ. IWXWXWW^i A la Bourse, de Gr-nève, .le change aile-mund perd, samedi, 1 fr. 50 sur son avance à 90.90. Le change sur Vienne, à G4.65, perd 0./r. <5. (\tv\wmM L'ex président du Mexique, Iluerta, qui avait clé réc< mmchi opéré, rient de mour-ir dès suites de celle opération, à Ke-Vaso (Texas). JE?.ZV CHINE LE COUnO.WpIEVi DE Yt'AN-GHirKAI On télégraphie de Pékin au « Times » : « Lo couronnement de Yuon-Chi-Kaï est définitivement, fixé au î) février. » Les ministres d'Ail unagne et d'Autriehe-TU'Ugrio déclarent avoir reçu des insl rue-lions leur prescrivant de reconnaître l'empire.» Quelques nations neutres suivront probablement cet exemple. » Sur !e front belge tir efficace de nos batteries tri janvier. Sur tout le front de l'armée belge, le t'mél d'artillerie a 'i-cprisj depuis la nuit passée ave ■ activité. Le tir des pièces belges a réussi i. disperser en plusieurs endrolis des travailleur» ennemis et a été particu-Ui-remenl efliea.ee siTr un convoir partant au sud-est de Mcrekeni, sur la route d'Y-pres-Dixmude.La correspondance de von Papen New-Yulrl;, 15 janv. — Une commumica-tioin' de VAssociated Presse nwntre rioité-■rôt de la oorrespondaiicn saisie par les autorités anglaises d-i Falmouth sur Paticien attaché militaire von Tapon qui rentrait çn A.llem-aane. Les documenls saisis établissent des in-■tiriguies nombreuses;de fréquents paitnu,n,ts fa ts ù (tes personnes impliquées dans tes comiplots contre les fabriques'de munit,îwna et les ponts sur les lignes ferrîcs d'Amérique.Ifis talons de calques, les comptes, les lettres (te< baiwues pwuvent d'Innombrables versements effectués à des agents al-!emaiï3s raotoires. CHEZ NOS ENNEMIS ON AURAIT TENTE D'ASSASSIHËR M. RADOSLAVOFF Suivant un rapport de Sofia, non oncon confirmé, un Bulgare a tenté, sans réussir d'assassiner M. Radoslavoff, président di conseil. ——— ♦ i . U Jour k l'an w\Mm a 5aioniqnc Saionique, 1-i janvier. — A l'occasion di premier jour. de î'an orthodoxe, le généra Sarmil a rendu visite eus autorités civiles religieuses et militaires. . Pour la rnèyie occasion, une escadrille d'à vions français a exécuté plusieurs iols. La musique militaire française a joué I soir, sur la. place de la -.Liberté, les meii leurs morceaux de son répertoire et l'hymn grec et -la « Marseillaise t>. Un aéroplane allemand a survolé le post grec de Gumfnitza et lancé des. bombes qi ont tué un caporal et btossé iplusieurs sol dàts. Selon les journaux allemands, les tre vaux de cosïstruction du chemin de fer d-- Bagdad- oint -été provisoirement arrêtés. U tronçon de (.90 kilomètres rot-ant Baz-el Ain à Samarra n'a pu être' oommrooé oai^w des diffleultés iwonlr^ss pour s procurer lo iïiaturici ffïéœssoiiro pendant-1 guerriî. DERNIERE HEURE Communiqué ofieisl français Taris, le 1C janvier. 15 heures. Nuit calfAe,'ii<a.& signaler. . AUTOUR DE SALON.QUE Athènes, 16 janvier, — On mandé do Saionique qu'un dét-achemeiit allié a, fait sauter à la dynamite la gare de Kilinder et a détruit fà voie ferrée, sur. une longuo étendue. On mande de source bien informée quo les Xure3 ont amené à la frontière leur artillerie lourde de Gallipoli. l'affaire du « baralong l'allemagne refuse le jury' d'honneur Amsterdam, -10 janvier. — l'Allemagne, répondant a la lettre mordante de Sir lid-ward Gray, au sujet do l'affaire Baralong, fait un !ong Haidover, tendant à;"exenser les sous-'marins allemands. ÈUp refiôussp. la pf»f,os-il.ioa Ju itinniquo de" soiunet.trt' cette aflaiie çoujoiatement. u.voc celle incrimiuaiil tes ebijs^nairiijs uUeuifivi-'ïs- ii un tribunal csg»o-ié d'officiers do marine dès Kt.uls-liiii* et décloie quo les autorités allemandes sont ;euUw compétentes en la matière des accusations portées contre les officiers allemands do terre et de mer. les deboires de la mission forx3 La Ilnye, 16 janvier. — Les autorité; allemandes ont interdit, le passage de la frontière à trois membres de la mission Km- i — un Danois et deux Suédois, — qui voulaient rentrer chez eux par lTVUema-gnc.' ÉCHOS —o— Le remaniement ministériel.. I.e Roi a signé les arrêtés -açoalant MM. le comte Goiilel d'Alviella, l'; ut Hyuians et limite VaadervcUto aux post i de m'embrea du Conseil des ministres. L'arrétô parnlka toc -samm at au « Mû-îïileur ». : —o — M, Carton de Wiart, Ministre dé la justit'e. v'---1 i de rentrer du fooat où il a été r«;u par ie Roi o-vec lequel ii s'est longuement enlr&leryj» _o— choses du Congo. —- Les partants. Se sont embarqués à bord do la malle congolaise « Elisa-bethviile », pour rentrer en Europe. Du Ministère des Colonies : MM. J. Pir-son, agent territorial de 2" classe, et son enfant de 3 à ans ; J. Fi.net, sous-chef de bureau ; G. Gcorgéail'is', sous-chef dé secteur ; J. Demulder, surveillant des travaux; M. Clorem'b&u.x, p'os;ur de voies ; P. Plou-vier, adininistraiciir territorial de. 1™ classe; ,J. Lambreeht, commis dessinateur : M. Schipickrath, chef do bureau de 1™ classe ; F. Santkin, surveillànit do travaux ; II. Peler, poseur de voies.; M. G-aoilIn, surveillant de travaux : C. Kveraert, poseur de voies ; J. Goyvaerts, ajusteur-mouleur ; F. Bût-ger, commis-chef ; L. Jeuniaux et C. Der-chièvre, agents territoriaux de 3' classe ; F. L.indell et T. Minnaert, mécaniciens : -I. Apers, charpentier ; et G. Fétu, géonïètre. Des sociétés • MM. lo commarwlant Sea-vais, de la C.. B. M. C. : A. Dégrève, Meeu-weson, et p. Waulers, do la Cie. du QtHfcgo belge ; I*'. Wcllor, de la Franco-Liclge. ; C. [•'.roidcibiae, J. Vaoïi Malder èt sa femme, et-,7. Honnaert, de la fiie. du Chemin de for : A, ne Vriendt, sons-directëw du C. C. C. ; R. Mese t dû g at .1. Noiret, de la Cie. <tj Kasai; II. Ruiner et M. Faucon, dé la Forestière-et Minière ; E. Morgan, sa femme et son on-famt d'un an, E- Rousseau, A. ICrier et A. 1 Dibbert, des Huileries du Congo belge ; W. , Yates, du Chemin de fer du Bàs-Congo a» i Katanga ; G. P.evelaerl et R. Stfoobant, de1 la S. A. B. ; -T.. Riohy, do la Commerciale et 1 Financière Africaine. Dei Missions : tes R. R. P. P. Vuylsteke et Seghers, dés Ré.lemptorisles ; Brwlants,. des n l issions de ,>..'heut et le Rév. T. Vuieoïi, de l'Américain Mission. ■ Pour leur compte privé : Mme Julie® ; MM. A. Goossens. E. Michel. G. Dervez o» C. Martina, M:me Suribat. i Du- Gouvernement Anglais : Miss SI»-1 vons, infirmière- ; MM. N. pavies. du Coî® niai Civil Serviso et O. Price, ingéaneur. —o— Le éphémérldes de la guerre. ^ 17 janvier 1915. — T.cs trouves françaises! 3 perdent et reprennent lo village de la Bois-selle. Les Français s'emparent dos derniers ? ouvrages allemands de Bois-le-Prêlre. ■i « < UN SOUS-MARIN AMERICAIN FAIT EXPLOSION ET COULE | Vingt victimes Le sous-marin B-6, de la- marine des 't Etats-Unis, a. coulé dans l'ar-seii.il naval da a Brooklyn, à la suite d'une explosion, i Une vingtaine .d'hommes de l'équipage auraient péri.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes