Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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12 augustus 1916
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s.n. 1916, 12 Augustus. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/5x25b00145/
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2 AïvmFE. Série nouvelle. -N*642 Samedi 12 Août 1S16 RÉDACTION' & ADMINISTRATION 28 *er. rae ds Is Sourss — LE HAV*tvC TÉLÉPHONE n-64 BELGE BUREAUX A PARIS -• 33 tue Jean-Jacques-fiousseau, 33 ——».o« LONDON OFFICE '• 21. PANTON STREET Leicsster Square, S. W. Eiratlssr : fËmSD SEÎEiï ftWVWWVWI 10 cent. Je 1^1° SIECLE ABONNEMENTS France 2 fr. 50 par mois » 7 fr. 50 pap »v.vm3StPo Angleterre.. 2 sh. 6 d, par mois » .. 7 sh. 6 (1. par trimestre Autres pays. 3 fr. — par mois * .9 fr. — par trimeoir# PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration da Jouit.?,I Lis petites annonces sont également reçue* à Ici Société Européenne do Publicité, 10, rue de la Victoire, Paru, %ui en Oj le mauopQlc pour Paris. ^ rpn r ;i 11 front Quotidien belge paraissant au Havre et à Paris Réformes du lendemain de la guerre L'ALCOOLISME EN BELGIQUE ET LA LOI DE 1912 La ki'tte contre l'alcoolisme devra être twir (tes princiipulèi? préoccupations des IwmJineiS qui, au lendemain de la victoire, devront ou. potfrront s'employer au relève-ji«Dt et ù ta régénération de notre pays. Que W llédu sévisse- en Belgique, per-s-ofipe n'en doute, geîisonsiiOB's. Pas n és ^«WMK <te reproduire lee statistiques tjjj-, l'éftaWissent ni dte rappeler encore quelle; 11*111 sont : 's causes et les terribles consé .juenre,< Le mal est flagrant; tout connru - a est certain: que îtes moyens- employés nisqu'à présent pour le combattre jiont pi tti avoir raison. Noue* ne contestons pas l'heureuse 1» 'Jtueace des lignes de propagande qui met Mît te public en garde contre les danger; dv» l'alcoolisme. Mais celle influence es d'ordre moral ; elle n'agit <?ue tentemen sur les masses et les effets préventif: qu'é0te peut produire risquent toujouri d'être, annulés par la force du- mauvais exempte. La propagande antialcoolique n'f d'aiHeuCB aucune vertu curative ; ce-n'es que très exeepUfflnneiK'e»nfcnt qu'elle parvien cfra à corriger un alcoolique. Il an est d. <»jud-ri comme des morphinomanes, rte voc,■ottomanes et de tons ceux qui ueOrt d. «liîtpéfla-nts : ils n'ont pas la force de s'ai ivirfier à leur vice et die renoncer au poisoi qui leur procure uife satisfaction factice iuate devenue nécessaire ; il faut qu'un voMnté plu® forte se substitue à la leur e tenu- fasse violienoé, et c'est l'Etat qui* à c point, de vue, peut agir te plus èfffose* meait. *** .Sans don le. le géàverneimenit belge n s'est jamais désintéressé de la question d /alcoolisme. 11 n'a ménagé ni ses subside m ses encouragements aux ligues de pr< pagande et-, pour réagir contre: le tléau, n iusé lui-même de d'eux moyens directs J'Augmentation des droits sur l'alcool et 1 tampon des détfils afin d'en diminuer 1 nombre. lies droits d'accise sur l'alcool indigèn tes droits de douane sur l'alcool étrange «ait été relovés à différentes reprises pou «feteindne, en ces dierniers temps, un tan tpès • éifcvé. Mais-Cfte n.e suffira pfls, car ost toujours <\ craindre que si le volume de consommations ou îeur pi ix varie, l'ateo* tique ne prélève une: 'part plus grande su son salaire et n'augmente les privations d .sa famille pouf satisfaire sa passion. O essaya don-' de limiter le nombre- des d* bits. Moyen à coup sûr excellent ; car, paru les aiteolriçjues, il en est bien peu qui s'en v.isent à domicile. C'est le cabaret qui le fascine, te entraîne et les retient. Limite fc* nombre. des débits, c'était donc diminue ies occasions. •V cet effet une premièiie loi intervint 17 juillet 1889 ; tous les nouveaux débii en détail de boissons alcooliques, ouver upi^s cette (Jate, étaient soumis à ce qu'o «appelait le droit cBe licence, c'est-à-dire îmc taxe annuelle, payable d'avance et v; risiU «le- 00 à 300 francs suivant l'impo tairu:-e des communes. Rarement loi fut pli ini-I'opuf'ffl.re. Sous prétexte qu'elle• créa unie inégalité entre les anciens et les noi veaux débitants, elle souleva les plus vi< tentas protestations <>t, périodiquement, loi de la. dis ussion des budgets, le ministi Aies Finan^ était pris à partie à la Char -ta?. Chose bizirre. niais qui prouve bie l'influence de l'élecloralisme en la matièr tes attaquies se faisaient plus vives au ft ;t à niesure que l'égalité tendait se rét !>!,ir par la disparition des exempté f."« inique » droit de licence ne pouvait r jesfer à tant d'asèauls et il fut aboli par . i d-u 12 décembre 191.2 qui y substitua 1111e. torr d'ouverture, sur les nouveai î rits. ik & S, « v.iuloir incriminer personne, noi m pi :t\ nsnous empêcher-de qualifier cet ivi-bstit'ulLon drt mai-heureuse. La loi de 19 ■v.hs ramirnail à trente ans en arrière da.i xi lutte contre l'alcoolisme, en doublant, or.; p'csj. d'rn seul co^up, te nombre d déli ts d'ali'uid. He loi a permis, en effet, à tous 1 •abaretiers établis au jîioment cte sa pr ffVi-lgali-ùin de débiter dorénavant d-c l'alco jwàis payer aucune taxe spéciale. Cet ftsj&mplii'ii s'étendait, non seulement ai dêbîlWÉhi qui vendaient -déjà die l'alcoj mais arfesi à tous ceux qui vendaient 111 q;uenwajt de la bière on d'autres boiss-o: n'oii atcoo.liques : et comme les débitants cette deuxième catégorie étaient aussi 1101 bre.ux que ceux de la picmièrc,. la loi do blait k- nombre des débits au lieu de Ai 11 limier. Comme obstacle, la taxe d'ouverture vaut d'ai-Meurs pa-s le droit de licence. E «si ]i.lus élevée, il est vrai, et varie de :s à 1,000 frames ; mais elle n'est pas payai annuellement, elle n'est exigible qu'u 1 seule fois. Do sorte que le débitant qui j acquittée est complètement libéré et pe continuer indéfiniment son commerce da la même commune. Tout le porte plutôt à pas fermer son débit, même en cas de béi îlees peu é-lfevés, puisque le peu qu'il gag vient en déduction d"e la taxe d'ouvertu ; qu'il a acquittée. Le droit de licence, ; ouitraire, payable chaque année, faisait 1 si les* bon nombre de comme 1 <;an.k et 1 , iii it-a.it il fermer un dél it mal 'oc!iaUird< 1 * & * Une. autre disposition spéciale de la de 1012 a a.ussi un effet déplorable. L0 qifun débit est tenu ]»ai' un gérant ou ÎH'êpoS'i, '"'est le connue liant qui est s< ûomsidéré com.me débiteur de ta taxe, basait que, dans certaines parties du liâtes brasseurs ou les grands marchands (iqueurs possèderM de nombreux cafés da iesqués ils installent leurs clienls. feux 11'ont donc aucune taxe h acquitter ef. tas't, dans ces cas-là, ce n'est ptUs le de iant seulement, c'est te débil lui-môme 1 piic-fil - de l'inimu.nilé ; rt l'intcrprétati ?xtensive qui fut doiinée j eefli: d-isposifi u1 fit uii'en aggraver tes inconvénients. E.nfu au point de \uc fiscal, la loi 1912 a constitué une opération désastre» Le oroduàt du droit de Jicencu augmefft Après un coup de main sur une tranchée allemand! Une série de distinctions bien méritées l'n communiqué belge a signalé, il y trois semaines, avec le laconisme habitue l'expédition menée par un de nos détachi menls contre une tranchée ennemie qui fi nettoyée, et qui permit aux nôtres cte raim ner des prisonniers dans nos lignes. Nos lecteurs ont pu lire dtems le XXe Si» rie. quelques jours après ce coup (te moi 1 lie téc.il diétoitlé que nous en a envoyé noti (XJtlaboratew an front. 1 Des dwti ne liions bien méritées vienneu d'êtres décernées par te Roi aux braves q ! ont part-ieipé à cette opération. Plusieua d'entre eux n'en étatent pps à leur cou d'essai et avaient accompli déjà des actioj d'étclat, La liste de ces vaillants décorés sera pi ; bfiée dans te VXe Sièrle de demain avec ! ^ citation dont chacun d'eux a été l'objet. tappel des hommes ' POUR REPONDRE A DE NOMBRE) ; SES DEMANDES, LE « XX" SIÈCLE ? VIENT D'ÉDITER EN UNE FEUILL 5 SPÉCIALE TOUS LES DOCUMENTS O ^ FICIELS RELATIFS A L'APPEL DE , BELGES JUSQU'A QUARANTE ANS. ! CETTE FEUILLE EST EN VENTE A I PRIX DE û FR. 1«. a De quoi demain sera-t-il fait e s M. Georges Batault écrit dans la « G i- zet-ie de Lausanne n : f- d Peu à peu l'offensive des Alliés se £ : nérailise ; toujours mieux organisée et pl a puissante, elle s'étend dans l'espace. Ooi e me la production matérielle en artillerie eu munitions augmente très rapidement c l'-mnee et en Angleterre, on peut s'atteod à voir s'élargir progressivement 'les froi r d'aitiaque. ^ n Q qui manquait aux Alliés et ce c '1 leur manque de moins en moins, c'est s matériel ; oe qui commence à manquer a >- Altoniands, et ce qui leur manquera de ipl r en pins, ee sont les hommes, e » Désonnais la défaite allemande est n domaine des certitudes. La résister pourra encore durer aesez longtemg )i quelques mois, peut-être un an ; mais i- point de vue militaire le résultat ne sic s rait plus faire de doute. 1* » Si l'on se risque à faire des pronos-ti r je crois qu'Oïl peut dire qu'il y aura n nouvelle campagne d'biver, mais sur e nouvelles positions, car pour pouvoir tei s encore, les Allemands dc\ ront se résout s à. mccourcir partout les fronts do'msiua II de combet que leurs effectifs diminués à suffiront pas à tenir. i- » S'il ne veut pas risquer une défaite r- réparable, Tétet-major allemand de\ .s effectuer un repliement général et c' it sans doute sur les (frontières de 1 emp t. qu'on se battra l'an prochain. 3. » Pour l'instant, harcelée, cte la Son* s à Verdun, l'armée allemande se_ débat <k e une sitU'ilion i-nextricablc et qui ne saur 1- durer longtemps. L'automne ne se pas» n pais sans que de graves événements ne p déroulent qui modifieront considérablenii t,î> ■« la carte de guerre ». Une nouvelle f?çon de ravitsill v l'Allemagne L'EXODE DES ENFANTS ALLEMANI ïe EN HOLLANDE 12 Le « Telegraaf » a reçu un grand nf l® bive de lettres dans lesquelles les signa il res protestent \iolemment contre l'abn-s -s l'hospitalité hollandaise en faveur des faute allemands. Le journal, après «voir publié une pafl °; de -oes lettres, demande : ol « Qui a organisé cet afflux de jeui Ie voyageurs indésirables et qui lait îles fi ,x dfc' leur séjour ? » H ajoute : « Que dir Mi les Hollandais ipauvrcs, -dont les «nia 1!" souffrent de privations dues à la guerre |S cliainée par l'ambition -allemande, k qu'ils verront ces enfante allemands pc \ u-s d'un bien-être et d'un confort que connaissent piis leuis enl-ants à eux ? te „ Que diront les Alliés, iorsqu ils appi dront que les facilités qu'ils ont conseni ne à la Hollande pour se réapprovisionner 'te pouir résultat d-'alliéger 1 Allemagne de 00 responsabilité <mi lui incombe de. nou: sa propre population ? » l'a ' ut NOUVELLES DE LIERRE ns y-ue résle-t-il de la pittoresque pe n.c ville tkunan'ie ? La moitié (te la ville n'ex ié- pjns : 695 maisons ont été anéanties ne ieis obus allemands. Sept céo-t soixài re deux immeubles sont gravement eiidonu lu gés et tout à l'ait inhabitables. Or, av ié- l'agression teutonne, Lierre comptait ;j, es maisons. Elles sont toutes plus ou me '• endommagées. Après te bombardement, 6,911 pei'son se trouvèrent sans abri. Tous tes monuments 0111.'s-ouffert. lui . ' _ — - s- ■ " " , un en raison inverse du nombre des exemp ■ul qui. allait en diminuant chaque année. X Dr ne crovons ji;is ître loin de Ja vérité ;s, disant "que dans les dernières années de a\ail atteint à plus de millions, alors ns le- plus optimistes évaluaient à 1,500,000 -ci uoiilcuient te-produit de ia taxe d'ouve.rti en ('."lie tei n'a été en vigueur que trop bi- de temps pour qu'on puisse en aperce' pii if.it l'eu, t nuisible. Elle devait d'aillé n n 1cvem.i1 devant te Parlement sou-s forme on nombreux aniendevncnls _ proposés. X espérons fermement qn elle disparu de c in])lèlcrnent Quoi qu'il en soit, c se. ailleurs qu'il faut chercher 1c remède. X ait en reparlerons, 1 €ncore une leçon 1 au Herr Crzberoer W ^ Un catholique suisse lui fait honte de î sa conduite envers Emile Prum ll Le journal suisse, 1' « Argauer Volks-•• blatt » vient de publier sous ce titre une lettre ouverte de -M. K. Haeggi à M. Erzber-ger, député du Cenlre au Reichstag. M. 1, Hsenggi. citoyen suisse, était avant la guer-e re rédacteur du « Courrier d'Alsace », un journal catholique de Colmar remarquabla it par la vigueur de ses polémiques ; il est ri rentré en Suisse dès le début de la niobilisa-M lion pour y rempli r son devoir militaire, p O11 sait comment M. Erzberger a fait jé-li ter en prison M. Emile Prum coupable d'avoir osé dire la vérité sur tes crimes de la \ soldatesque allemande en Belgique et d'a-voir souligné ce qu'il y a d'odieux dans l'Attitude du Centre à l'égard du martyre , de la Belgifjue. Tandis que M. Prum est en prison, M. Erzberger fait un séjour en Suisse. M. Haenggi en prend occasion pour lui rap peler qu'il s'en esl fallu de peu que le sort de la Belgique échût à la Suisse, et il écrit au député calholique allemand : « Pendant que vous vous reposez dans » nos montagnes, où vous- jouissez d'une g paix profonde, Prum est enfermé dans s l'une de vos geôles, où il souffre dans son 1 âme sans doute autant que dans son corps. s Vous ne pouvez pas faire, il est vrai, que la sentence du conseil de guerre allemand U contre voire ancien ami et coreligionnaire n'ait pas été prononcée. Cette lettre a pour but de vous rappeler ce epie, sans do-ule, la multiplicité de vos occupations „ vous a fait oublier. Peut-être votre influen-V ce pourrait-elle au moins adoucir le sorl * d'un homme avec qui vous vous êtes rencontré plus d'une fois dans te cercle de vos coreligionnaires afin de discuter, dans a. de sérieux entretiens, des moyens d'accroître dans le monde l'influence de l'es-. prit catholique et du sentiment chrétien. ;C" En attendant, une chose est certaine vous pouvez, à l'avenir, éviter le renouvel ,f1" lement d'incidents semblables. » _ Il va sans dire que M. Haenggi ne comp t-e pas beaucoup plus que nous Sur un , bon, mouvement de Herr Erzberger... tl.^ pour les Cités-victimes -»0i<— UNE IDÉE INTERESSANTE Le » Rappel » 0 publié dans un de ses derniers numéro*, la lettre suivante que lui a adressée M. Louis Martin, sénateur du Pai is, le 1 août 1016. ' Monsieur le Directeur, Ln presse tout entière, organe de la èôiiiucnce universelle, a protesté contre les abominations de hi domination allemande û Lille. Sera-ce t ni? Ne semble-t-il pas qu'il serait dO ir Lille une éclatante réparation ? J'uut au commencement de la guérie, nous I»> mes quelques-uns à penser que la foire de Leipzig devait ijouver, dans une x i 1 le de l'ranee enva' bu ou de Belgique, une \ ictorieu.se concurrence On parla de Lille et de Bruxelles, la foire pouvant en attendant la libération de ces deux \iiles se tenir soits leur 110111 à Paris. La foire de Leipzig ayant clé tenue avec suecè-à l.jon, et une autre foire, digne d'un égal suc ces, devant se tenir en septembre à Bordeaux nous ne saurions ni déposséder ni concurrence) ces deux grandes villes de Lyon, ci de Bordeaux qui con.-!ituent pour la France deux élément; vitaux d'activité. Mais nous demandons à M. le ministre des af faims étrangères .et à M. le ministre du commer ce d'examiner les moyens d'assurer à Lille et par un accord avec le gouvernement belge, i Bruxelles, les .grandes ef, légitimes compensa lions qui feront de ces deux cités —■ victimes, s cruellement traitées, deux centres commercial]-de toute première importance et qui, dans un bien faible mesure, le? dédommageront de leur, souffrances. Si je me permets de formuler cette propositioi que d'autres pourraient faire avec beaucoup plu d'autorité que moi, c'est que tous les élus d Provence, se considérant également comme le amis de Marseille, je puis dire, sans crainte d démenti, que cette grande cité, souvent appelé la métropole commerciale de la France, s'assn ciera de grand cœur avec l'ardeur généreuse qi la caractérise il l'œuvre commerciale de Lille < de Bruxelles. Sentiments très distingué?. Louis MARTIN"1, Sénateur du Yai\ Voir en deuxième page: Les nouvelles de la siien Nouvelles , de la Patrie Belge A/WVVWWVVVWYW LU- :-s, Les Allemands vont-ils recenser no les jeunes gens ? »Ag ' "** ne Nous lisons dans le « Courrier de la Meuse a. i ir- « On nous apprend, et nous publions sous Ta les réserves d'usage, que des convocations ?st à comparaître devant l'autorité militaire ire allemande pour le 1er août, auraient été (adressées à on certain nombre de jeunes-né gens en territoire occupé. Nous ne savons ns pas s'il s'agit d'une mesure générale, bien ail que d'une autre source, 011 nous affirme M'a qu'elle vise tous les célibataires de 18 â 30 ans. Mit ))Û« - NOUVELLES DE PARTOUT er Les décès On annonce la mort de ; — Mnio Jean-Chartes Fontaine, femme »S de l'ancien directeur des travaux élu charbonnage (te Boubier. décodée a CluUctei le 13 juillet, dans sa 70' année ; ,m_ .... m Victor Delruc. docteur en mede-,ad- cine aux Carrières de Quen-ast. de en- —o— "e A BRUXELLES les a la mémoire des héros beiges tombés pour |a Patrie ont n'.s L'administration communale de la ville dl ' de Bruxelles a décidé, en principe, d'éle-ver un monument commémoratif à la mé-moire des soldats morts pou)- la Patrie. Le mausolée sera édifié dans l'enceinte du cimetière d'Evere. Dans la nécropole une * J " vaste pelouse, dont une partie est occu-""'1 péc 'est réservée aux morts de la grande 1 guerre En attendant l'érection du monu-nient commémoratif, une superbe décor, 1-111 lion florale, avec un motif central du plu* bel effet, a été établie. La « Libre Belgique » a édité un numéro spécial le 21 juillet lue -®1'- La « Libre Belgique » n'a pas voulu res-piii' ter dans l'ombre" le 21 juillet, jour de no-îlc- tue fête nationule. Elle esl donc sortie de ne- presse, ce jour-là, illustrée d'un dessin nul patriotique. , .. 01 :J Ce nmnéro hors série contenait notam-ins ment les paroles de la « Brabançonne », un article sur le 21 juillet et une causerie nés vibrante sur 1 héroïsme et 1 honneur. Bravo, le-^ \ aillants î —»o«—• ^ A ANVERS LE 21 JUILLET ' 11 T 'Écho belge reçoit de nouveaux détails •'!'? sur la . :-'-ibialion " du 2t juilkl à Anvers, i-,' Son cornas pondant iiurliouttér lui écrit neu (I l a fêle nationale — le 21 juillet — a oir été célébré-e ave un éclat tout purtieuher, u 1 s ,-iu - une belle solennité. aVec 1 un^.nmaie île la plus touchante et la plus éloquente, on s D On se souvient que, l'an dernier, le lira l'reiherr Homiiagen, dit von lluene, aiqSiquq, 'est ù lu Mlle une amende de 230,i»0 francs o'ns pour les manifestations patriotiques qui i. uvaieait eu lieu dans tous tes quartiers de , \ wwv vu\u\m\v ' la ville. La statue de Léopold I", nolan ment, avait été couverte de fleurs. On défi! devant le palais du Roi en habits de diniai che. Et des bagarres éclateront, provoquée par la brutalité intempestive (les solda: allemands. » Gomane l'année dernière, un Te Deui soleniiel fut chanté dans la cathédrale 21 juillet dernier. Toutes tes autorités bedg< y assistaient, en habit et cravate blanch et ce fut une cérémonie réellement impre sioarnante dont on ne dira jamais assez grandeur et l'émolion. Lu Brabançont lut chantée par toute l'assemblée, avec l'a compagnement des orgues. Le doyen Cî?y> liens officiait et la foute, qui encombrait temple et se trouvait même massée sur place, dans l'espoir, sinon de voir, e moins d'entendre, vibna intensément. I bourgmeslre, des membres du Collège du Conseil communal, assistaient à cérémonie. Le député Ile-ndeirickx augs dont les patriotes se détournèrent avec r sentiment de réprobation, Puis, un peu pl1' loin, on remarquait des sénateurs, des d putés, des représentan-ls du. haut cominei > des membres de la noblesse, etc. La pla Verte était encombrée d • gens « venus po'i voir ». » t:n<^ animation intense ne cessa d'aï mer la ville durant toute la journée. La fè naMonale fut fêtée vraiment avec une d-igni et. une tenue admiru'btes. Tout Anve était dans les rues, en toilettes et eostum de totp. Tout Anvers tint à s'associer cette manifestation dte pur patriutism Dans toutes tes familles, on chanta la. lh bançonne et Vers l'Avenir, et tous les voei allèrent vers nos petits soldats, vers n Souvei*ains, modèles de bravoure et 1 vertu. Quel espoir enflamma te cœur 1 chai un à la pensée de la prochaine dé vira née ! Ce qu'on l'attend., celte délivrai h Car la vie" est devenue réellement pénii n Anvers et aux environs. C'est ainsi m Tamise on manque de pain et que, par-foi c'est la famine jusqu'à ce que les camio' de ravitaillement arrivenil. Mais rien 1 peiu'-t faire fléchir nos sentiments .d'ultacli nient an pays, de haine pour l'envahisse» es nous aurons prouvé, en- ce 21 juillet 191 ù von ITueiïe et à ses amis que lé cœur la Belgique battait, ici aussi, a.ve:- cla Belges toujours, telle 'est notre devis ', pensée de toute la. vil'e, à l'occasion de cet admirable journée-de patriotique enflio siasme. » —1)0(1— A BRUGES Le tribunal de sang Les Allemands viennent de prononc plusieurs condamnations sévères à Brug< C'est — 11e l'oublions jamais — l'amii Sehroeder qui est gouverneur militaire la ville où un pseudo-tribunal de camp gne donna l'ordre d'assassiner légaleme le capitaine Fryatt, du « Brussels ». Ce sont les mêmes individus qii vie nent de condamner à mort M. G., de Bi ges, un habitant de Blankeiiberghe et 1 autre cte Wenduyne, peines commuées he reusement en cellles de travaux forcés, gi ce à l'intervention énergique de M. Vise ,de Bocarmé, bourgmestre de Bruges, du baron Ruzelte, ancien gouverneur la Flandre Occidentale. Une femme, no née il., a.éfé. frappée d'une peine de 11 vaux forcés à perpétuité pour la même ■ faire. Déportations Le bru-seur de Mey. de Kn'ocke, et 1 négociant, nommé De" Groote, de We Capellen ont été envoyés en Allemagne Sur les rives prospères du Tanganyka QUELQUES DETAILS HISTORIQUES SUR LA VILLE ET LE PORT D'UDJIJI Le Times du 5 août, en signalant la grande victoire que constitue la prise d'Ld-iiji-Kigoma par les troupes belges, donne sur le grand port du TangangUa des détails gui complètent heureusement les renseignements que nos lecteurs ont delà trouvés ici. Udjiji, te seul endroit historique de l'Afrique Centrale, et principal port allemand du lac Tanganyka, u été pris par tes Belges. ■ Dans l'Afrique Centrale, les villes ont, ou plutôt ont eu jusqu'à l'arrivrée. de l'Arabe ou . de l'Européen, une tendance à se déplacer, , maïs Udjiji a formé une exception. La ville se trouve sur te rivage oriental ; du Tanganyka, à l'une des très rares places . où il y a une cassure dans tes hautes falai-, ses qui 1e bordent, li y a là une étendue de > basse terre qui s'incline jusqu'au rivage, et . c'est ainsi que bien longtemps avant 'l'arri-, \éo des étrangers Udjiji a été un foyer cte commerce entre les régions congolaises et • K Pays .plus à l'Est. Aujourd'hui pourtant - I djiji n'est plus un port, bien que tes navi-, res puissent encore jeter l'ancre au large de t sa rive. L'une de ces altérations périodiques . et inexpliquées dans te niveau du Tanga-i nyka a transformé son ancien port en 1111 c ni iiéçage de papyrus, et son port est au-, jourd'hui à Kigonia, quatre miles plus au ; Nord. Xéanmoins, Udjiji conserve son impor-j tance politique et économique, et dans l'cs-, prit des indigènes* aussi bien que des Arabes < sa chute amoindrira te prestige allemand > plus que ne l'a fait la perte d'Usambura. C'est aux Arabes de Zanzibar et princi-s P^.^^nt a 'lippo-Tib et à son père que . udjiji doit sa première renommée. Au î temps de 1 hégémonie arabe, des milliers t d esclaves et des tonnes d'ivoire descendaient d'Udjiji à Bagamoyo- par Tabora, puis des bateaux les transportaient à Zanzibar ; ce voyage prenait au moins troi-mois pleins. Aujourd'hui encore — ou du moins en 1911, quand des voyageurs anglais - 1 unt \ 11 pour la dernière fois — Udjiji reste un Zanzibar en miniature ; ses habitant* n viennent principal,émeut de la côte de Zanzibar ou descendent des porteurs Swahilis et de leurs femmes qui ont accompagné lee - voyageurs et commerçants arabes et an fiais jusqu'au Tanganyka dans Ja secondi moitié du 19e siècle. Richard Burton et -J.-IL Speke furent les ■premf.ers voyageuas euiuopéens dans ibette région ; ils atteignirent Udjiji en 1858 e furent tes premiers blancs qui virent Tan. ganyka. Un peu plus tard, en 1869, urrivî ]e plus fameux des explorateurs de l'Afri que, David Livingslone, et c'est là qu'ef 1- 18? 1 il fut retrouvé par Stanley. » La, pila ci a avait tout l'air d'un sépulcre blanchi gou 1- verné par des Arabes au parler doux, pro s près, parfumés et polis » écrivait un autr. s voyageur, M. Alfred Svvainn, l'un de cen: (fui construisirent à Ujiji lu première cal n sèche et lancèrent sur le lac te premie le steamer, le « Bonne Xouvelle », batcau-mis 's .sionnaire. . ?, Cela se passait en 188L Six ans plus tar 3- Udjiji fut rattaché à la sphère d'influ.enc a allemande. U11 fort puissant fut bâti au cen ic tre de la ville, mais rien de ce que les Aile c- mands ont fait n'a pu saper entièrement i I- posilion des princes 111111 chauds du Zanzi te bar. . r.... la lin 1900, les Allemands ont lance à Ldp; u 1e steamer << Hedwig^xon W'issniann », h .e quel, détail caractéristique, portait un cei et non Ki upp à lit* rapide. C'e*l ce bateau qi; la a connu.uicé la guerre clans l'Afrique Cor i, traie en bombardant les ports belges d il Taugajiyka ; mais il a élé. aussi Je premie is à èfre perdu dans la guerre, navale dont 1 éT résultat a-été la disparition du pavillon alk e, mand de tous les grands lacs de l'Afrique, •e ir '—' —————— Le voyage du " Oeutschiand „ té •——»o«——• s L'ALLER FUT FACILE, MAIS... ^ La Franlvfurjer Zeiluag ('nu/m. du <1 aoù al publie une correspondance de Christiani 1X ilcuRuml des détails sur le voyage du sou: us marin- Deutschlun;! d'Allemagne en A-nu 1C l'ique. Le sous-marin n'aurait guère nav le gué mie 9-0 milles sous l'eau, alors qu i;I pouvait, par sies propres moyens, reste e! quatre jours complets sous l'eau. 11 aura. ]c passé par -te pas de Calais, et il n'y aura 'à rencontré aucun grand navire de guéri s. anglais. Ji n'y a vu qu» des -pe-lits cioiseui ig et des torpilleurs. Dans le pas de Qalai: ie 'e quatrième jouir du voyage, le sous-mari e- à plongé et a passé toute une nuit sur : r, fond de la 111er, parce- que le temps éUi fep cOMverl. Etant à l'airét. sua1 1e fond d Je la. mer, les marins étaient très à l'aise < n ont même fait de la musique pour passer ! La temps. Le fret produit par le premie le voyage a suffi à lui seul ù couvrir l^s frai u- dip construction du bâtiment, » Ilurii, lïum ! laQûrg un trait émouvant ^ du 14 Juillet à Pari »0« te a- Ci-dessous un extrait d'une lcttie ndre; nt sée à un de ses amis par un des officiel belges qui ont pris part à l'inoubliable d II- fi'é du li- juillet à Paris : u- » ...Vous fûmes plus émus que vous r ln ipm-éz h; croire de l'accueil qui nous fi l}~ iait el qui nous faisait penser u la rent:c ■-1" triomphale de notre ut niée en Belgique. Si rt vez-vous que sur un point du parcours, c ^ vit un groupe compact de femmes belge tle priant, lès bras levés au ciel, au passart n~ de nos soldais ? L'aide de camp d'un gén "a" val l'ranCais très' aguerri m'a dil que cela ci n'avait pu retenir une larme ù la vue < ce svectj&cle. » Braves femmes, que vous témoignû 111 e.loquemment de l'amour de la B'elgiqi st- |x>ur ceux qui l'ont sauvée et qui la libér ront 1 Comment les Allemands espèrent reeeuvret leurs créances après la §usm —„— C'est la h'œlnische Volliszeilang qui jio^ le dit dans son numéro du P'r août : « Les AEesnands — industriels et commen çants — qui ont des créances à leeonwei d'ans tes pays ennemis, se préoccupent dèi maintenant de la iaçon dont ils pourron] rentrer "en possession de leurs fonds. Dc j réunions ont été tenues par les intéressé^ dans plusieurs villes rhénanes pour ci'iscm ter la question. Une propagande active cs{ faite pour amener te gouvemement allei mand à s'occuper du problème el te gouvciv neoient a décidé comme preniièie mesuré de faire enregistrer dans les diverse^ Chambres de commerce d'.M'emagne Ïe3 créances à charge des ressortissants deî pays ennemis. (Mois dles divergences d'opinion ont suj'g^ parmi les intéressés sur la 1 u u lu plù^ convenable de faire rentrer les fonds u-n« fois 1-a guerre terminée, trois systèmes oui été préconisés : D la création d'un bureasu • international de compensation, qui serai] chargé de recueillir l'ensemble des créance* de loue tes pays et de faire la répartition j mais certains intéressés reprochent ù ci système qu'il serait de nature, à cause ■(< son caractère impersomiel, à nuire à I* reprise Jies reiationsi commerciales entra tes pays ; — 2) l'insertion, dans te traité d< paix, d'une convention d'après laquelle loi créances allemandes qu'il serait impossible de récupérer jiar la \(ûe régulière après 1< guerre, seraient payées par les gouverna înenLs ennemis après que ces créances au» raient été reconnues légitimes par tes tribu* naux allemands ; tes gouvernements cime* miis pourraieîit, de leur côlé, encaisser le* créances de leurs ressortissants en Allet magne ; — 3) insérer dans te traité de paii une clause de réciprocité prévoyant qu< les créances irrécupérables seraient payée* purement et simplement par tes gouverni» ments, lesqnete se porteraient garants <t< leurs ressortissants. » Tout cela est bel et bien, mais il y i l'avis des Alliés dont il faudra bien ter,!* un peu compte aussi-... 2£;'2ffiî-2s-.'2». •2sy2s-,'^i'2kv'^. ECHOS l. Les avocats et les juridictïans militairst' 1 La situation des avocats sous les li « - peaux qui, bénévolement et par devoir pm - fessioniiel, assumaient la défense des so.H 3 dais devant tes juridictions niititaii -v^ c était jusqu'ici rnal dclinie cl donnait lieu 4 1 de jusfiès critiques. r Nous croyons savoir qu'un j émier pa< - vient d'être tait eii vue d'assurer aux >oir< seils des prévenus une situation mieux îit 1 rapport avec l'importance de leur mission, 3 Désormais, tes militaires avocats 11e ip-làù - derent. plus qu'en robe et eu toque. IM - plaideront, suivant 1e vœu du Décret^, de< I bout et couverts. Le militaire disparaîtra - pour ne laisser plus, devant les juges et '< ministère public, qu'un avocat, jouissanj i de la pleine liberté indispensable à l'aei - eom,plissement de son devoir de déi'enseun De plus, le taux des frais de déplaeemenj i alloué" aux militaires avocats est angî - menté. \ Xous croyons savoir qu'une circulaii-e mi r nistérielle a été prise qui c.ppclteia 1«. iU e l'attention des aulorilés militaires et i u ( i ï çiairès sur la situation qui do't être désori mais celle des militaires avocats dan/ l'exercice de leurs fondions. <—0— M. Heiteputte, ministre de l'agriculture et. des travaux j; ( blics, quittera l'hôpital de ijhûlons-sur-Ma* 11e à l i f in du mois, pour rentrer à Sain M . Adresse où il repmidra ses îonclii.ns.C'ei ' dire que son état de santé s'est heureusa a ment fort amélioré. — 0—< 1- Les bureaux de l'office de contrôle. r !} installés à la Villa k Les Brindilles », ru< du Beau Panorama, à Sainte-Adresse, oj* été transférés le 8 août 1 ourant dans le( ,s baraquements édifiés sur la plate-l'onne dj l'endroit dénommé « Tir aux Pieeo is », ( II l'extrémité du bouievard Dufayel. it -o- e ^ A l'Hôpital Albert 1e», r s Une délégal ion de parlementaires be'ge^ composée de MM. les sénateurs Pierre l-'od q-u-et, .capitaine duc d'Ursel, François finit pain, Tlnébaut, et de MM. tes députés Bi 1 net, XTevrn, Max Pastur, Huinackers, 1 \ i •s'iîté à Paris l'hôpital ATberl 1er, toslallt dons une aile droite de l'Hôtel-Dieu. Cette délégation a été reçue par .MM. Gaj et Froment-Meui ice, vice-présidents du 00n< g seil municipal, M. Cent, syndic, M. Lenxiri oband, conseiller municipal dn quartier, e( M. Uoullcy, secrétaire général de l'As-131 tance publique, représentant M. Mesurcuq 3" directeur. "s M. Neven, au nom de la délégation, a ra -• morcié 1c conseil municipal pour la libéraj lité avec laquelle a été organisé cet hôpil.tf •e belge^ont chaque salle porte te nom d'uu^ it cité envahie. ■e ' -o— " La fanfare des Invalides belge§ 6 donnera dimanche prochain, 13 août, à J i- heures de l'après-midi, 1111 grand concert 'e au camp belge de la Sous-Bretonne, à Stej Adres-.se. Pendant Je concert aura lieiu ■7. concours de jeu de balte î les assistant 1e pourront déguster des consommations divert e- ses et .notamment le « icafé<rarn|que 11 îur tioaiaL

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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