Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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22 januari 1917
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s.n. 1917, 22 Januari. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/nv9959dd98/
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LUNDI 22 JANVIER 1917; 23» AVNiîE — Série nouvelle — fi' RÉDACTION & ADMINISTRATION M3, *iê Jian-Jacques-Rouistui, 39 PARIS Tiliprton» 1 Cul«nb«pg 139.M »u«AUX AU HAVRE: 31Uf, tu il !s Bsimi — tî E1TÎI ftLÉPHONE în'64BEJLOB ■■ — «OU"" LONDON OFFICE! SI, CANTON STBB8T Ltiostêf Squtrê, S. K. ». . *tt»uiwn «PB94T LE XXE SIÈCLE ABONTNEMENÏà frûn09..*.., 2 fr. 60 pai* mol» • 7 fr. 90 r>ar trtmatu* *«9let#rM.. 2 «h. 6 d. par moi» » .. 7 sh. 6 a. p»r trlmeau» Ultras paya. 3 fr. — par meia a . 9 fr. — par PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du Jotrul ou à l'Office de Londre» Les petites annonces sent éç*iev%&nè reçues e la Société Buroptonoe d« Pvblicil.é, 19. rue de la Victoire, iv* en * le monopole pour Paris mm ISsL ^SËÊBr JE9 .. 1 1 ■ i „„ TI„. A L'effort militaire de la Belgique One lettre du député jLorand à un journal suisse Le XX' Siècle a été obligé île relever, i y a Quelques semaines, l'étrange allégation d'un journal suisse, le Genevois, qui n'avait pas craint de parler de 1 efface ment de l'armée belge. Nous sommes lieu-reux de voir que M. Georges Lorand £ éprouvé devant cette injustice le mentt gentiment que nous.Le Genevois du 19 janvier publie une lettre- que lui a adresse* à ce propos le député de Virton. M. Lorand commence par louer le gouvernemenl helge d'avoir répondu comme il l'a fait, dans un chapitre spécial de la note collective de l'Entente, aux fallacieuses propo citions de l*Allemagne. «' La Belgique n'a d'autres prétentions qu< d'avoir Tait son devoir depuis le premier joui de la guerre, mais de l'avoir fait tout eniiej et sans faillir un jour, écrit M. Lorand. L'atti tude qu'elle prend en ce moment dons sa re ponse aux offres fallacieuses des négociation allemandes s'exptlique d'elle-même par sa situa lion spéciale de pays neutre dont la violatioi h été le premier crime de l'Allemagne et ; ■donné ;i la guerre actuelle son caractère d lutte pour le droit engagée par les nation honnêtes contre les Etats brigands. En pieu accord avec nos alliés, on comprend cependan que notre gouvernement ait la modestie d< vouloir parler un langage un peu différent e fesse ressortir nos arguments spéciaux, préci sèment parce qu'ils sont les meilleurs argu ment s qui doivent valoir aux Alliés les sym pathiès du monde civilisé. Nous n'avions donc pas & signer le pacte di Londres conclu d'abord et surtout en notr taveufr, puisque le rétablissement de l'indemni Ration de la Belgique martyre du devoir, es pour tous les Alliés la première et indispen sable condition de la paix. » Puis il rappelle que, à cinq reprises l'Allemagne a otterl à la Belgique uni pr;\ séparée, poussant l'inconscience jus f( * vouloir faire du Roi Albert une sort< de médiateur de la paix vis-à-vis de se Alliés. Les conditions proposées « eussenl ^u être tentantes, écrit justement M. Lo îand, si le Roi Albert avait eu en vue sor intérêt et non avant tout son devoir ». Après avoir rendu hommage au « vaillant cardinal Mercier », au" parti socia liste belge, et au peuple indomptable qu résiste, dans le pays opprimé, aux avance: comme aux menaces de l'ennemi, M. Lo rand conclut : <> Et notre action militaire, depuis deux ans elle vaudrait la peine qu'au lieu de semble nous adresser des reproches on rendît hom tnage à la vaillance de notre armée reconsti tuée, renforcée, admirablement pourvue pa jious de tout ce qui manque encore à ses al liés infiniment plus puissants et qui, depui pa victoire de l'Yser, tient ses 40 kilomètre icle front commun en territoire belge. Car c'es une chose, trop peu connue que l'Allemagne ou bout de deux ans et demi, n'a pas pu con quérir toute la Belgique et que le Roi Alber n'a jamais quitté son royaume et que c'es sur le sol de la patrie que combattent no enfants. Je sais qu'Un scribe d'état-major ; pris la sotte habitude de télégraphier ai monde, chaque matin : « Rien de nouveau su: le front belge •>, formule bureaucratique pou dire que les Allemands continuent à ne pa pouvoir sortir des inondations de l'Yser, qu les ont arrêtés en novembre 1914, mais on s* bat tous les jours avec acharnement dan cette boue gluante où nos enfants pataugen depuis deux ans et la preuve c'est que l'aimée belge y perd, en moyenne, deux milli Iiommes par mois. Il lui sera peut-être diffl rile d'y prendre l'offensive parce que laissé seule, en octobre 1914, avec un mince secour d'héroïques fusiliers français et quelques An glais à arrêter la ruée sur Calais, après s; mémorable retraite d'Anvers, et obligée d> soutenir seule pendant treize jours l'assau désespéré des Allemands, elle a appelé 1; xner h son secours et créé entre elle et l'en :nemi ces inondations de l'Yser qui on ^ tfimené sa victoire et où macèrent, depui deux ans, tant de dizaines de milliers de ca dayres allemands et qui marque le terme dé flnitif mis par l'héroïsme belge à la marchi victorieuse des Allemands vers l'Ouest, comm la Marne et Verdun ont marqué le terme di leur marche sur Paris. £ « Avouez qu'après cela il est un peu vexan tle nous entendre demander une énergie plu •farouche dans la lutte que nous soutenon ?a°nbertélu mondtn„même ,empS quc pou Nous nous permettons de féliciter M.Lo-rand pour son intervention, aussi prompte qu'energique. Il a defendu, en terre suisse Jet Roi, le Gouvernement, la 'Mtrie avei tin courage et un bonheur » pression-qu'on ne saurait trop louer. Ainsi il es prouvé une fois de plus que nos épreuves Soin de nous désunir, resserrent chaauc jiuui unYttuiugc i umuu ue IUUS les i; *3— a m Mandii HudQ russe eiu Petrograde, 10 jan faisant le bilan des opérations r res qui se sont déroulées sur le î principal russe au cours de l'annéi le colonel Clerget énumère, dans « li.de russe », les trophées et prise <tui sont tombés entre les mains » alliés durant la campagne de l'ann^ sée et dont voici les chiffres : offici* nemi's, 8.<770 ; militaires non gri 429>.00O ; canons : 525 ; mitraille 1.660, et lance-bombes : 421. Les grands succès ont été obtenus c^ux de mai, de juin et de juillet, lors< général Broussilof a déclanché sa *liosf.» offensive sur un front de p' m kilomètres. Au cours de ces trois mois d'opér suv le front sud-ou est russes nos ont fait.le but.in suivant : officiers L'§ mis : 8.030 : soldats : fWO.OOO ;ca7 402 ; mitrailleuses : 1.396, et lanc< fc£s : 367. De gros succès ont ét< fernent obtenus aux mois d'août et d Membre, mais par contre janvier et 1 de 1916 n'ont pas donné de tronhëe Russes. Sur les autres mois de V ECHOS « La Belgique de demain et sa politique » PDès que ce livre de M. N. Wallez eut pam Le XX" Siècle le recommanda à l'attention du puMic, en s'excusanx de ne pouvoir en dire tout le bien qu'il en pensait. La pressa française lui fait de son coté l'accueil le plus chaleureux. Du grand rand nombre d'anticles que nous venons d'y lire, nous devons malheureusement nous borner à ne donner que quetlcfues extraits. La Libre-Parole voit dons cet ouvrage îver, il une preuve que « le nationalisme beJge -gation possède dès maintenant une vitalité in-qui destructible », et que les hommes pénétrés efface- de cette doctrine Tonnent un groupement •s lieu- capable de travailler avoc la plus -grande and a déteimination à réaliser les ambitions de rnêrrfie notre pays. 19 jan- Le Havre'Eclair déclare, de son côté, que Iressée « la question belge doit être au premier M. Lo- rang des préoccupations des gouverne-lement ments alîliiés au prochain Congrès de la [i fait, paix». «Le souci le plus élémentaire de leur collée- sécurité ' commande aux nations de rOcci-propo- dent européen de fortifier le plus fortement qu'ils le pourront la BeQgique contre mie l'Allemagne ». Et notre excellent confrère ier jour havivûs résume- avec la plus grande sympa-i entier tliie les pages que M. N. \Vallez consacre . L'atti- aux remaniements de notre frontière orien. 5 .sa ré- talo q1 situa- La Dépêche de Lyon insiste vivement iolation avec Tauteur sur les problèmes de pol ti-e et a que extérieure qu'iil a examinés, notam-tère de ment sur l'importance dun contrôle belg"e nations sur -vafic des régions rhénar.jes pour n P}e'" le l'établissement de notre situation écono- pendant . ,, ►«stié» de mique. :-rent et Le Bien public (de Dijon) et le Patno-préci- le Orléanais font l'éloge de la poQitiqu€ s argu- nationaliste que nous suivons ici. Ils nk! es sym- sauraient irop engager,. écrivent-ils, leurs , lecteurs et leurs amis à se procurer « les n notre études du pllus haut intérêt » qu<» M. N. ndemni- Waïlez vient de publier sous 1-e titre oir, est « La Belaûju.c de Demain et sa politique ». idispen- Ils y voient « le moyen de se mettre à même "de comprendre un des problèmes donl 'prises dépend notne proche et notre lointain e une avenir ». ^ tee jus- e sorte Dans 1' rmée i(ie s^.s Le major adjoint d'état-maipor de cavale- wSS," rie Moriss-ens G., est nommé sous-ohed d'état-major de la lre divlision de oava-ue son terje „ 'm Les ingénieurs d'artillerie de lr8 classe socia- 'Bertrand, Debrun, Edouard, et' Wilmel sont ncxmmés ingénieurs principaux d'ar-van^ ««'"i- ' M. Lo- " Dans la marin* Le brevtet de premier lieutenant au long sembler 'Coure a été conféré à la date du 30 no ît hom- vembre 1916, à M. Lel'ebvre, Albert, né è econsii- Auvelaûs, le 23 décembre 1893. ue par ses al- depuis Dars 'es consulats omètres Démission lionoraWle de ses fonctions s eînagne acoondée, sur sa demande, à M. Etche' pu con- mendy, vice-consul de Belgique à Paysan-i Albert du. je c'est M. Pdehl a été nommé consul de Belgiqus ent nos ^ Manaos, aivec juiid,iction sur l'Etat d'A ier0I"nii mazonas. •eau sur >M. Verha'sst, interprète du Consuflat gé ue pour néral de Belgique ù Tientsin, a été placé, ne pas sur sa demande, en disponibilité sans trai ser, qui teinent. s on se l7l t dans itaugent Le theatre au fron: »e On a joué, récemment, au front belge La re diffl- Cadeaux d» Noël, de M. Xavier Leroux laissée avec le concours gracieux d'artistes de l'O secours 'pé'Ta-Comiqiie de Pais. L'auteur aivaàl ucs An- tenu à venir lui-même mettae" l'exécutior prés sa de son œvre au point gee de £.jje fut jouée avec un très grand suoeèe ipeléSaïa d6vant un nombreux public d'officiers e-et l'en- de seddats, non.loin de la ligne de îeu. ui ont depuis ; de ca- La générosité de nos ouvrier! nne dé- Qn cite deux exemples magnifiques de TOmmc 'générosité de la parc de nos braves ou ;rme de VTiers exilés. Il (existe à Glasgow une association de vexant travailleurs, portant, le titre de : « Le De-;ie plu3 voir belge ». Cette associa:ion, fondée er utenons vu„ d'a-ïstster les victimes de la guérit a ac pour consacré à ses diverses œuvres, en 1910, une somme totale de G.687 fr. 50, sauf • M.Lo- . compter rhéibergemient, à ses frais, de 2K rompte permissionnaires venus du front belge e suisse, qui n'y.sont pas retournés les mains vides e, avec La socié'.é ouvrière « Belgian Work essions men's Association » de Birmingham, qu i il est groupe en nombi'e à peu près égal les tra reuves, vaillleurs wallons et flamands, a réalisé d( chaque véritables tours de force. Depuis sa fonda Belges, tion, en 1915, elle a réparti entre les diffé rente fonds de séjours pour la B'e.leiqm —— occupée, la somme imposante de 350.00C francs. |QIC Devant de tels fai's que peut-il encore I"!U sulisister des calomnieuses imputation» de l'agence Wolff qni, "pour excuser la t3é-portation des ouvriers belges, prétendait que les réfugiés d'Ang'leterre y étaierft l'oh nvier. jGt d'une odieuse exploitation ? La géné militai- rosi té des ouvriers «en exil en Grande-Bre Théâtre tacne et leuis multiples manifestations pa ée 1916, triotïques répondent, éloquemment, aus i l'Inva- histoires mensongères de la presse boche, ionniers de nos n îée pas- Curieuse expenenci iers en- Le- directeur d'un magazine anglais o radés : 'ait ces temps derniers une assez curieus< leuses : expérience. 11 ]aa>=»?ndait que 'les femmes: is plus d'une façon générale, étaient plus honnS lx mois tes que les hommes. Pour vérifier st: ■sque le théorie, il a envoyé à 50 hommes et à 5C i gran- femmes, sous enveloppe, une somme dans plus de des conditions telles qu'iil était impossiHii à la personne qui recevait la lettre d*e n( 5rations Pas voir qu'il y &vdit erreur et que l'ar- s alliés geni ne lui était pas destiné. Les 100 per- s enne- sonnes choisies n'étaient nuJllement d< inons : pauvres gens pour qui la tentation eût pi ce-bom. être forte : c'étaient toutes des personnel té éga- « fort bien ». • Sur les. 50 femmes, 34 on: de sep- retourné l'argent., disant d'une façon ou février d'une antre qu'il devait y avoir erreur -es" aux Sur les 50 personnages du sexe fort, 37 on; l'année jugé différemment et ont trouvé plus sim- tin de pie et plus sage de tout garder et de ne t-i ..II-.. Il 11.11 LES camoilpes eiiemends conire la Rnioiniie > — j ^ y s Encore deux accès de sa» e vagerie die la a Koelnis 0 che Volkszeitung n L- s Les catholiques allemands continuent [t se dis-tinguer au premier rang des Bocl e les plus sauvagement acharnés contre e Belgique. La Koelnische Voikszeilung vient encc e de trouver moyen d'exciter ses lecteurs c-i r tre les Belges, 2 fois -en un jour. Dans s i- n° du 5 janvier, l'organe des ■catholiqi a de Coilogne prétend diémontrer une fois r plus que les. Allemands ont ou affaire, c î- leua' entrée en Belgique, à une guerre -- l'rancs-tJreuis et -il invoque ù, ce prop e d'après un numéro de la Dernière Heu e un r-écit de M0 Léon Théodor où il 11' i- visiblement question (|Ufi de la mobili ° tion de la garde-civique. L" « Cette constatation nouvelle diu f ^ qu'en Belgique il y a eu une guerre • _ francs-tireurs du genre le plus grave, éc le journal catholique de Cologne, n' .e peut-être pas sans intérêt au moment r la réponse de la L écuple Kntente trouA e t d'évoquer à nouveau la question belg* da la réponse aux propositions de paix c Centraux. » e Dans le même numéro du 5 janvier, ie Koelnische Volkszeitung sTatitacEe à fa s passer pour des rôdeurs et 'des malfaitei s les ouvriers déportés par le gouvernem< ]. du kaiser. •e Ces injures et ces 'calomnies ne sont I >. dignes d'une discussion. Ajoutons-les si î- plemeint au des. ier déjà si écrasant des ît tholiques allemands et constatons que n martyre de la Belgique, les laisse toujoi également insensibles. Nous ne l'oublièrc pas. pas. mée >*< £ Chez les socialisas allemam Une scissica dans la «présentation s •ar. cialiste au Lanâiu& de Prusse On apprend ù Berr^e que la scission da le .parti socialiste allemand au Landtag rine Prusse est maintenant • un fait accompli. L journaux annoncent en efTet que la major on^g composée des députés Hirsch, Hue, Lein no- Braun et Haenisch, vient de décider que é à minorité s'était séparée par son attitude 1( de la séance du Landtag de vendredi dernii Cette minorité comprend les députes Ad phe Hoffmann, Paul Hoffmann, Strœbel. 1 .lats fer. On sait que Liebknedht n'a pas encc s a été remplacé. "he- La minorit6 vient de se constituer en : îpani indépendant qui prend le nom de IV Un joli neutre V 0 Les Allemand*, ont. bien fait d'envahir la Belgique et il» n'y ont commis aucune atrocité déclare un journal allemand de Zuric Les Neue Zut citer Nachrichten paraisseï à Zurich, mais elles sont évidemment réd gées par des Boches. t ù LoœiuetM. expliquer autrement ces ré :he^ flexions dont ce journal « suisse » a fà ' 'a suivre dans son numéro du lii janvier texte .da, la réplique allemande a la noi :ore des alliés ù M. Wilson : ion- son « On' peut regretter très, amèrement [uè9 sort édhu à la, Belgique et souhaiter a ; je demment sa restauration — deux chosf dès que nous faisons — mais a,près ce qui de été divulgué 'depuis le début de la guéri pus, au moyen de) documents officiels belges, c tire,' Ue peut pas contester l'exact i.uide de l'a l'est gumentation présentée par les Allemam isa- dans leur réplique adressée auix neutre 'foute l'eau de l'Escaut et de la Meus? t . . suffirait pas à balayer du monde ce fa , que la neutralité belge avait deux âmes .? l'une officielle qui était cordiale pour toi f": et l'autre secrète qu.i arrangeait les chosi 1 avec l'Entente cordiale qu'elle tenait ci , chées à l'Allemagne et qu'elle avait toi °n intérêt à tenir cachées pour ne pas ôti ^ s invitée sur-le-champ à rendre des corn] tes. Ce n'est pas pour lien que se produ sit l'avertissement du roi Curol de Roumi , la était un grand ajni des Puissanci aire centra/les et. en même temps un gran 'urs amj de la Belgique. De son côté, l'Enten lent a démontré qu'elle, foule aux pieds, les nei tralités même quand -elles ne sont pas Pas d-eulx sens, et qu'elles sont même bienvel >im- lontes pour elle. Voyez la-Grèce. La no ca- allemande enlève définitivement à -l'Ang.1 : le terre l'aigument de la Belgique, en raj >urs pelant qu'en 1887 l'Angleterre ne consid ■on? i-a.it pas comme reipréhens -ble la travei^ de la Belgique telle qu'elie. a. eu lieu e août 1914. La, note allemande a raison aus ■ de repousser purement, et simplement cou ifjn me fausses et calomniatrices les accus: IUU tions 'du chapitre des atrocités cont nuellt en Belgique. Depuis la fin de 1914, des cet tainee de neutres ont traversé la Belgiqu so- tant des neutres ontentophiles que d'autre Leur témoignage est tout différent des a . . cusations de l'Entente et du gouvernc-mei , dg beilg-e -d.u Haivre, leiquel depuis longte.ii j Les ne pratique plus de palitiiqfue belge, ma >rité bien une politique alliée. » ' , ner. , ,, ,-e la Nous n allons pas discuter ce morceau lors il suffit 'dô le reproduire. Constatons se lier, lement qu'il est écrit au moment où li :dol- Suisses se demandent si leur pays ne si Ho" bira pas demain le sort de la B-elglque. core est évident ou-'un Boche seul peut avo un cette liberté d'esprit. Nous -retiendrons toi l'Ac- de même le nom du journal qui se mont n. » si aimable peur la Belgique Nouvelles de la Patrie Belge )- A BRUXELLES LA REQUISITION DES CHEVAUX Un arrêté aleanan'U, daté du 27 décès 1916, ordonne et rif/le 'tes réquisitions ciievaux1 -dans -Taig®!o-méTaition bruxe!!/. Excepté ceux au-dessous de trois ans. les tantes e-t les juments près de mettre bas, e les chevaux sont compris dans ces réa i- tiôns. même les ciheva'iix de course et servant à 'l'élevage. f_ Un lot de 500 090 francs non réclam n C'est le 2 janvier que la Vile de Bn a les devait payer 'les 500.000 francs cc ; tuant, le gros lot de l'emprunt de 1905. ip tirage a lieu chaque année. Personn 'i s'est présenté pour toucher le fameux , mi-million. -l Les fonctionnaires communaux atteii 3- toujours qu'on leur présente le titre su î- quel le n. 9, série 1342, donne droit ii légitime (propriété du magot. I A ANVERS é- Vol de 300.000 francs 1? M. le juge Vanden Kelder instruit un 10 faire particulièrement grave. Il s'agit vo4 considérable perpétré au préjudici 'e M. M..., grand négociant. isi Celui-ci avait été éloigné de son don le soir sous prétexte d'une invitation à [i per chez son beau-frère, M. S... Un j h" homme, soi-disant envoyé par ce der était, venu le demander. M. M... s'empi e~ de se rendre à l'invitation. Il fut très ét e" de s'entendre répondre que M. S... était i- ti avec les siens. En rentrant chez 11 x constata que pendant son absence on î. forcé son coffre-fort et que des valeurs lets de banque" et fonds publics) d'une in tance de 300-000 francs avaient été enl ;e T.e fali se passait dans la soi'rée de ; ., L'instruction ouverte aussitôt, vient d'ab ù l'arrestation de quatre tout jeunes K — âgés de 17 ou 1S ans — qui parai s' avoir manigancé cc coup audacieux d -- appartiennent tous ù. des familles lionor u nient connues. ,0 Ajoutons ce détail curieux que, l'un is jours de la semaine, un jeune liontmi le venu sonner le soir chez M, M... et o ie. un paquet, dans le corridor. M... y a tr des valeurs pour une somme de 100.00 qui fa'sait partie de celles qui se jç valent dans le coflre-fort. * DANS LE H AIN A UT lt ix A la Cour d'assises '. La Cour d'assises du Hainaut a rendu verdict dans l'affaire de banditisme d'A: î- lues: Hautier. domicilié à Haine-Saint-Paul ; En le Valentin, machiniste, domicilié à La Le vière ; Henri Collard, domicilîé à Hair Saint-'Paul. tni>re La nuit du 1er au 2 février 1916, vers de heures du matin, Georges Pourbaix, im o^se. ohand de bestiaux à Anderlues, fut réve ena- lé en sursaut. Ayant entendu des ma'lfaitei tons qui s'apprêtaient à pénétrer ans sa oh a; [Uisi- bre, il s'arma d'un couteau et leur tint t<i ceux à tous les quatre pendant un moment, mr il succomba bientôt sous le nombre et d leur remettre son portefeuille, qui conten; é 1.000 francs. iixel- Les accusés furent arrêtés et firent d ,'nstî- aveux complets. dont La Cour a condamné Desmecht et Colla e ne à 10 ans de travaux forcés ; Hautier et \ de-- i ientin, à, 8 «ans de travaux forcés. Les accusés étaient défendus par M® SI [dent ?#, Francart, Reumont et Lernonnier. * A HUY Les morts La mort fauche largement dans les rsn ~ af. de nos compatriotes de Huy. Sont décédé: d'un A Mme Vve Dumoulin-Parmentier, bel . mère de M. Rouffy, professeur l'Athén roval de Huy ; A Verviers, M. Baine-Sél îtclle surveillant, ù l'Athénée royal de notre v.'Mi sou- -- Nancy, M. Lucien Dinot-Canisius, inj eune nleur, beau-frère de M. Charles Canlstus-S( nier p"-et, de notre ille ; au front. M. Edouo ressà Laurent, sous-lieutenant de cavalerie, pe nnnt fds du tribun socialiste -hutois bien con sor feu Michel Thouar : à Liège, M. Jean-Jose ,i m Boundouxihe et M. Léopald-Emile Delaine avait Rosslns ; ù Bruxelles. M. Nestor -Martin, ti fbll- dateur des célèbres fonderies X. Martin TOor Huy. Bruxelles. Saint-Hubert ei. Re-t evès. (France). N'oël. gens NOUVELLES DE PARTOUT ssent. oui Les décès able- je3 On annonce la mort de : ; es'. — M. le baron Frédéric Belu', décédé jeté Saint-Josse-ten-Noode, le 20 décembre 19: •ouvé dans sa &2« année ; 0 fr. _ m. Léopold Bragg. décédé de 4 janv trou- igi7 strépy-Bracquegnies ; — M. Henrt Sillevaerts, décédé à Lael à l'Uge' de 04 ans ; — M. Victor Lepage. décédé à Laelten 30 décembre 1916 ; — M. Charles Cnops, journaliste, décédé , son Bruxelles le 30 décembre 1916 ; Oder- _ M. Bulle, chargé d'affaires du Mexi< à Bruxelles, un des plus dévoués sécrétai c-liar- • <je la Commission for Relief in Beiguirn L'UNION PATRIOTIQUE et la, tolérance en Belgique Le Roi, la Reine, le Cardinal e h le bourgmestre Max. «-xposés clans une église de firuxel-t les, dan» un même * médaillon L>" Nous venons de lire dans les Nouvel ait dc Maastricht (n° du 3 janvier), un adr *e rable, un touchant article, écrit pc He notre confrère par un Belge de Belgiqi qui a recueilli des informations' et des i , prassions d'un bout à l'autre du pays. ! attendant que nous puissions le reprodu 1 et lo commenter dans un prochain r méro, donnons-en le trait final, au a émouvant que pittoresque : à Bruxell 1 " dans une de nos églises, à côté du drape ^n national, on voit dans un médaillon i1'- portraits du Roi, de la Reine, du cardli ds ^iercier et du bourgmestre Max !.. « I.rv k Libre Belgique ■» en est ù son c ne deuxième numéro, écrit le correspondant ait « Nouvelles » Elle va fêter en février j . deuxième anniversaire. Plus fière, plus v uê lante que jamais, elle est toujours sur ' brèche et le peuple surtout l'a en une ;ee time indéracinable et méritée. Notre gri ?a- cardinal est plus estimé que jamais. M. J lut est idtra-populaire. Chacun se renseigne Lrô sa santé. Notre vaillant Roi et notre afl ^ tionnée Reine sont adorés unanimement r nos jeunes princes sont considérés comme u-1* promesse vivante de l'avenir. La paix ia- Dieu ou trêve des partis est loyalement i ?es pectée, sauf par les traîtres qui tâchent I1(j faire ilèches des épineuses questions lingi .x tiques et politiques. Leurs chances sont ^ reste minimes, tant l'Union indissoluble îu" fermement gardée. Faut-il un exemple de a bonne harmonie de toutes les factions nal îil- nales ? A l'Eglise du Sa'Té-Cœur, de Bru: les, ù côté du drapeau belge largement ployé, chacun peut admirer, dans un i daillon surmontant une hémécycle, renl lP" niant les portraits de nos braves, que vi le- lient accrocher là leurs familles comme iée temps des ex-votos et sur lesquels sont 0-fl pelés les bénédictions célestes, les portraits Roi Albert, de la Reine Elisabeth, du enrdi Mercier et du bourgmestre Max. étroitem unis dans la même all'ection générale. *a- Quel pays que le nôtre et comme l'on les sent fier d'en être ! » în- Après deux ans et demi, l'union ie, donc aussi étroite et aussi fervente qu' es. premier jour de la guerre. Pas un crovî ac- qui ne tire le chapeau à M. Max ; pas int incroyant qui ne s incline devant le cari ïtps nal î Gefis de l'arrière, trop enclins ù ( a.is tretenir les querelles d'hier ou à nour: de byzantines disputes théologiqites, n ditez cet exemple. i : .-UUIU. • s seu- — < )ù les ^3 Le 4 Février, a-vuir 3 tout ,Dl .ontre C'est la date à laquelle l'arm — grecque doit se trouver dans le Péloponèse i j On mande d'Athènes : j Des ■ conférences viennent d'avoir lieu S Athènes entre les délégués de d'état^ma î grec et des attachés militaires alliés. Ce' % ci ont indiqué les conditions dans lesquel ^ devait, s'effectuer le transport, dans le P( tponèse, de tous les canons et de toutes mitrailleuses de l'armée grecque. Le dé • de quinze jours prévu par l'ultimatum dî •.lequel doit être terminée cette évacuat Emi- court à partir du 20 janvier. Lou- C'est donc le 4 février que toute H'arn îaine- -grecque doit se touver dans le Péloponsé ers 2 LE S0RT DES VENIZELISTES 'éveil- °n apprend à Salonique que la mesure iteurs libération, dont quelques venizdlistes ont pham- 'l'objet n'est pas de nature à donner pûe t tête satisfaction à l'opinion européenne. imaiS En effet, sur 1.500 venizalistes emrpris t dut nés, rien qu'à Athènes, aux premiers jo tenait de décembre, une partie seulement a été lâchée. t des sort ^es nombreux venizelistes res captifs est encore inconnu et inspire une oiiard quiétude d'autant plus grande que l'on Va- la certitude que beaucoup parmi eux fur fusillés. » Sin- Un travail fantastique rangs Zurich, 19 janvier. — Le « Vorwaert éclés • annonce qu'une grande rûunion mira 1 belle- le 20 janvier, en vue. de procéder ù \ hénée réorganisation complète du service -Séba, l'aîtoientation. « C'est là, ajoute le « V v.'iîe ; waerts, un travail fantastique ; mai! est temps qu'on mette enfin un termi 3"Sou: la période de tâtonnements qui dure Puis !e début de la guerre. » connu Allons donc ? Et cette admirable or loseph irisation allemande ?... ne de i, fon- in de Revm le sous-marin espagnol dans les eaux danoi; UT —; L'arrivée. du sous-marin espag 1' « Isaac Peral », dans les eaux da; ses, n'a rien qui puisse surprendre. L' « Isaac Peral » est. lei premier d' ... . série d,e six sous-marins commandés îu " Etats-Unis, dont il a été pris livrai 19 dans la troisième décade dû mois den et qui était attendu ces jours-ci au 1 anvier r0] Des raisons de navigabilité, sans d< .aeken pont fait dévier de la route ordinaire Isaac Peral, un ancien officier espa< Iten le de marine, est considéré par ses con triotes comme l'inventeur du sous-ma lédé ù - ■ Maires ■ ■ ■ t'n décret impérial -ordonne l'appel ilrn ;V les armes en Autriche, au mois de jan La Grande-Bretagne et notre Congo A propos de l'emprunt J, de 90 millions Le gouvernement publie la note sui-van le,qui répond à d'inutiles Tentatives de l'ennemi pour semer la défiance entre les Alliés : ,elles Le Havre, 21 janvier, dmi- liresse allemande et les journaux des nmir l3a-'s ueutres ainsi que de la Belgique occu.-irriip ^>("e ^'inspirent ù Berlin ont publié, dans ' ces derniers temps, des informations inen-' songères ii l'occasion d'un emprunt consenti . lin par l'Angleterre à la colonie du Congo belge, luire A en croire ces informatiohs, pour obtenir nu- cet emprunt, la Belgique aurait dû donnet lussi gage ù l'Angleterre les parties les plus ?lles, importantes et les plus riches du Congo et peau l'actif et les recettes générales de cetto i les c°lonie, ce qui prouverait et notre vassalité linal et *es v's^'cs intéressées de l'Angleterre sur notre colonie. Ces informations étaient si manifestement cent tendancieuses, que nous avons omis de les des relever plus tôt. Mais à les voir se propager, son nous pensons qu'il est nécessaire de les dé-Aay~ mentir formellement. e es- I*a ^?ISi(lue n'il donné eu gage à l'Angle. Trand t^rre ni aucun des territoires du Congo, ni ' Max r'.en ^.e Vactif 011 ^es recettes de cette colo-,e de nie' ni rjen d'autre, et l'Angleterre ne lui en affee- a Pas. ^ait demande. Le Congo belge, dont t on sait que les finances sont absolument dis* ne la tinetes de celles de la Belgique, ayant be-de soin de sommes considérables pour pourvoit res- aux nécessités de son développement écono-ît de inique, a contracté avec, l'Angleterre un cm-iguis- prunt de 90 millions. Cet emprunt a été con-it du clu aux conditions les plus Javorables et qui e est laissent intact le domaine colonial dans tous □e la ses éléments. îatio- Le gouvernement britannique, avec son dé-juxei- sintéressement actuel, n'a exigé aucune ga. "î rantie spéciale. Confiant dans l'activité et la ■nfer- bonne loi de ses Alliés, il sait que le Congo vien- ProsPère de plus en plus malgré l'épreuve do e au *a #uerre et qu'il l'échéance le remboursc-l np_ ment sera elfectué. ts du Pour intensifier son œuvre de dissociation, tlinal Presse hostile s'est servie d'une disposi-ment tion de l'arrèté-loi du l*-f septembre 1916 autorisant l'emprunt. Aux termes de cette dis->n se position, le remboursement et le service des intérêts seront supportés par l'actif et pa* est 1®s r?cettes générales de la colonie. La lé-ru'au gislature belge a tout simplement fixé pal vanj là sur quel budget seront imputées les som-* in nécessaires soit au remboursement, soit ». au service des intérêts et là où la presse hos-u " tile. dans sa hâte de saisir de quoi jeter la 1 en- suspicion, avait cru trouver, en'en faussant irrir d'ailleurs le sens, une clause d'une conven-mé- tion avec l'Angleterre, il n'y a qu'une disposition de droit fiscal interne édictée par lo pouvoir législatif belge dans sa pleine sou-_ veraineté. Ajoutons, pour être complet, qu'il n'a jamais été question d'engager 1111 second emprunt ^colonial. Un démenti aussi catégorique p • 0 peut être opposé à une autre allégation de la presse allemande. L'Angleterre, selon notamment les articles de la Gazette de Francfort du 15 et du 16 janvier 1917, se serait , fait céder le Katanga et les mines d'or du mee nord-est du Congo en échange des subsides 2g mensuels anglais au comité de secours américain et de l'émission des rentes belges sur le marché anglais. Il n'y a pas un mot de vrai dans ces affirmations.L'éventualité d'un pareil accord n'a mémo eu à jamais été envisagée, ni de la part du gou-lajor vernement anglais ni de la part du gou-lieux- vernement belge. La seule intervention du telles gouvernement anglais à l'égard du Congo, en Pélo- dehors du prêt dont nous avons souligné le s les caractère désintéressé de la part des prêteurs, délai a été de promettre à la Belgique son con-dans cours absolu pour lui assurer, au moment ation de la paix, l'intégrité de son territoire colo« niai" trmee ■■m r - asèse. j , Sans la prises belc re de f » it été k. ileine Notre distingué confrère Louis Di rison- Wilden décrit, dans l'Heure la vif jours la « prison belge » : re" « Bruxelles et toutes les villes de t. que sont en ce moment, de véritab ™ gnes où des millions d'hommes, désar 18 ln" impuissants, vivent sous la surveilla P1) nar quelques milliers de gp.rde-chioii'ine: urent tegés par des canons et des mitrai contre toute tentative de révolte. Auss gne-t.-il une atmosphère psyehologiq " traordinaire, que nous connaissons ass dans le détail .car les renseignemer nous viennent de lùjbas sont rares, cor toires et décousus, mais que ceux q-i naissent le milieu peuvent néanmoins lituer. On a parlé de fièvre obsidionalc cela mais c'est, autre Ohose aussi, c lr.ta chose de spécial, quelque chose de ni ; Han une sorte de conspiration universelle i penser é la v'e secrète des milieux une tionnaires russes d'il y a vingt ans. A e t'1' les le danger, le malheur commun, c : Vor- et maintenu intégralement l'union ais il Tous ceux qui ont du courage et. de me à nation ont formé une sorte de vaste •e de- «ecrète aux ramifications universelles née à faire passer en Hollande les jeun or<ra qui veulent s'engager, ù faire paraîti répandre les Journ-"*' clandestins, i les patriotes dans la gêne, et aussi à ,ies traîtres. Il s'y rencontre des mil.] res et des bohèmes, des contrebandiers îranti.maçons : on la sait partout, et la voit n utile pan, mais les Boches IdlSeS Une peur terrible. Cela cree une sorte tation collective qui a complètement ti mé le paisible et joyeux Bruxelles fois, et qui nous promet peut-être pou -agnol ia guerre d'étranges surprises ». lanoi" En attendant les preuves se mul d'une du " mcral éPatant " dcs P°iP'llaU' raison Pri^éCou.rricr il- l'Armée Belge a ™l„ qu'un comité vient d'etre créé a bi 1 Fer- pour préparer une expo^'aon Internî qui s'ouvrirait à Ostende à, la. fu doute guerre. ,. ire L'ne autre preuve de cette confiai )agnol sort des craintes exprimées par de ompa- ciants allemands, anciens habitant narin. vers et rétablis dans la ville depi: eupation, crat'int-e* dont les l< —Neueste Nachrichten se font 1 echo. veux nas, dit. l'un d'eux, m expos jel ous fureurs de la populace anver&oise.

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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