Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 13 Mei. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/k06ww77z79/
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ViNGTlEME AIMNEE — IM° 133 ^ANNONCES Annonces ordin., petite Iigno •0.40 Reclames (3° page), la ligne.1.53 Faits divers corps • • n4.C0 Faits divers fin. . . »3030 Reparations judiciaires »3.O0 Necrologies ■• • • • »2410 ABONNEMENT© Poor toute la Belgiqu© ün an. fr. 9.00 Sis mois »•••»•• 4att0 Trois mois •••••• 2*85 Gr.-Ducbó do Luxemb. 20.00 OniOB postale.80.00 Les annonces sont recue» au bureau du Jou ma' Directeur : Fernand NEURAY Edition *** (Öh.soïr) Edition #& (IQh.soir) Edition if (minuit) 5 centimes te numéf* MERCREDI 13 MAI 191* UUNION DANS UACTION Instaizi'ore omnia in Ghristo Telephones 3&4G et 3&SQ Redaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles •HM — EDITION * Letfiofiiphe,en France de la politique dupireL •» ►Jïojïu———• S'il y a cent socialistes au Palais Bourbon; si la liberté d'enseignement est menacée de mort, c'est la faute, hélas! a bon nombre de catholiques* (De notre correspondant) gM Paris, Ie 11 mai 1914. it Cest Ie triomplie de la politique du pire», écrit M. Ernest Judet. IC--' est ce qui ressort Ie plus clairement, non point seulement de la journée d'hier, mais des deux tours de scru-tm. Qu'on ne croie pas que Ie triomphe soit du uniquementa F abdication radicale de van t les socialistes; les intransigeants de droite y ont contribué dans une large mesure. Le 26 mai. M. Barthe, socialiste unifié, Femportait a Béziers grace 'a 1'appoint de 5,00) conservators. Le journal royaliste et le journal catholique de Montpellier faisaient ouvertemeht campagne pour lui. Le «Matin» racontait tout récemment les débuts de M. Barthe dans la politique. Son récit n'a été ni démenti ni infinné. J'en rappelle ce passage : • En l'armée 1906, le citoyen Barthe était déja pharmacien, mais n*était pas encore depute. Vinrent les.inventaires. Le citoyen Barthe s'y distingua particulièrement; a la tête d'une colonne de manifestamts, il entra dans la cathé-drale Saint-Pierre de Montpellier et, arrive de-vant un bénitier, il s'écria : — Tiens, il est a peu prés vide; je vais le remplir. Et il le remplit aux trois quarts, car dans Ie Midi on ne fait jamais les choses a moitié. De quelle maniere? Je n'ose vous le dire. Dès ce jour, le citoyen Barthe était lancé. » M. Barthe avait comme concurrent M. Claude Casimir-Périer, fils de F ancien président de la République, qui avait inscrit dans son programme la reprise des relations diplo-matiques avec le Vatican. Le même jour, M. Henri Bazire, Forateur aimé et admiré des congres oathbhques, suc-eombait aux Sables-d'Olonne — a 17 voix seulement — sous les attaques d'un groupe de royalistes qui assurait ainsi le succes d'un blocard, adversaire féroce de toutes li-bertés religieuses. Hier, M. Mare Sangnier était battu a Van-vos par un socialiste unifié, malgré une ma-gnifique campagne gui lui ralliait 2,000 voix de gauche. Mais un journal intégriste d''avait eessé jusqu'a la dernière heuré, jusqu'a la dernière minute, de Fattaquer avec la plus extreme violence. ' tDans la Haute-Loire,Farrondissement d'ls-singeaux était représenté par un progres-siste, M. Néron, qui est aussi catholique que M. Groussau ou M. de Mun. Mais il a le tort d'etre républicain. Les royalistes, grou-pés dans une « union catholique ». lui ont sir gnifié qu'ils ne voulaient plus de lui. M. Néron s'est incline. On lui a substituó un royaliste qui vient de se faire battre par un blocard. Le « Bulletin catholique » de Montauban se réjouit comme d'un succes de la défaite d'un lieutenant de M Briand, M. Frayssinet, qui est remplacé par un blocard. Il avertit en même temps M. Salers, candidat progres-siste malheureux, que, s'il n'a obtenu qirune infime minorité, c'est « parce que son programme equivoque, même après les explications et les promesses obtenues par le comité de F Union, ne parvint pas a satisfaire les legitimes exigences de certains catholiques ». J'ai signalé que la plupart des « unions catholiques » avaient, a I'exemple du Comité Keiler, préconisé Fabstention dans le cas oü aucun candidat n'accepterait le pro< gramme de revendications catholiques. Cest ainsi que la « Revue religieuse de Cahors », dans sa partie officielle, s exprimait ainsi : '■ « Le candidat qui vous refusera cette garantie ne mérite pas votre confiance. Et si, par peur, ou par calcul, qu par quelgue motif que ce soit, "vous lui donniez votre voix, vous feriez un acte positivement mauvais, vous commet-triez une t faute grave », et vous seriez res-ponsable, devant Dieu et devant les hommes, de tout le mal que le sectarisme de votre éhi ferait a la Religion et au Pays. S'il n'y a pas de candidat qui accepte publi-quement de faire siennes vos justes revendi-cations de catholiques, vous ne voterez pas ou vous voterez blanc. » 'A la même date, Farchevêque de Besan-con éerrvait d'ailleurs exactement le contraire : « Si aucun des candidats, disait-il, ne s*en-gage a soutenir vos legitimes revendications, par exemple la liberté des catholiques dans la question scolaire et la reprise des relations du gouvernement avec le Pape — c'est le moins, que vous puissiez exiger, — vous aurez néan-moins dans la plupart des cas, a. voter pour le candidat qui présentera le plus de garanties, afin d'écarter celui qui n'en offrirait aucune. » Les conseils cFabstention onff certainement été Buivis dans beaucoup d'endroits, au premier tour. II est même permis de croire que Fon s'en est ému a Rome. La «Croix» pu-bliait, en effet, Favant-veille du scrutin, la dépêche suivante de son correspondant ro main : a Cas de oonscience electoral. — Malgré^ les explications tres claires du catéchisme electoral de Mgr Sevin, certains catholiques se deraandent encore, paraït-il, si on peut en conscience voter pour un candidat moins oaauvais sous certaines conditions et dans les circonstances ordinaires. Or, la réponse affirmative n'est pas douteuse. L'exposé de Mgr-oevm est conforme aux enseigrnements des tnéologiens romains qui reconnaissent que, en presence de deux candidats mauvais, sauf les exceptions signaléesrpar Mgr Sevin lui-même, on peut et partois même on doit voter pour le moms mauvais. > Il est évident, n'esfrce pas, que ce n'est Ppmt le correspondant romain qui a pris Fini-tiative d'envoyer par dépêche cette consultation théologique. Le lendemain, la «>Croix» publiait la note suivante de la tlSemaine religieuse» d'Avignon : « Un scrutin de ballottage aura lieu, le ff mai, pour Félection de tous les deputes de waucluse. Il est entendu ou'en principe il faut voter. . Mais les catholiques ne c doivent > et ne • peuvent » donner leurs suffrages qu'a des candidats qui consentent a défendre et a soute-Dlrde leurs votes les deux questions suivantes. & La plcine et entière liberté d'enseignement; La reprise des reflations officielles de la France avec le Saint-Siège.^ Que s'il-ne se trouve pas de candidats aui veuillent prendre un c engagement form el » sur ces deux points, nous n'aurons pas besoin d'autres considerations pour regier notre conduite d'électeurs; Fabstention s'impose comme un devoir. Catholiques, ne soyons ni dupes, ni complices. 9. Oes conseils ont, sans doute, été suivis, puisque deux deputes briandistes sortants, MM. Pourquery de Boisserin et La cour, ont été battus en Vaucluse, par un blocard et un socialiste unifié, Fun a deux cents voix et Fautre a neui cents Les deux battus étaient pour la loi de trois ans et la liberté d'ensei-gnements, les deux vainqueurs y sont hos-tiles. Et maintenant, nous avons une Öhambre toute neuve. Les blocards et les socialistes y sont incontestablement la majorité. On es père que le grand nombre des socialistes as-sagira les radicaux. Est-ce bien sür? On ne touchera pas k la loi de trois ans, affirme-t-on ; on n'osérait pas, après Fadhésion ma-gnifique que lui a clonnée le pays au premier tour de scrutin. Est-ce bien certain 1 Ce qui ne me parait pas douteux, c'est que la liberté d'enseignement sera, sinon'sup primée, du moins mutilée a tel point qu'il n'en restera pas grand'chose. A. Virey.>--«+fl«+»~< Beaux procédés de polémique »(4«>ï- '~£ ■ Cette visite n'aurait aucun caractère officiel, une «*xM^*ig*«* ^s"«« « laire d'activité du défunt. En outre, une indemnité spéciale prélevée sur le fonds de secours pourra leur être ac-cordée quand leur mari sera mort- en service. | de Fextrême-gauohe ont fait de lui un éloge «mu et M. Franck s'est porté garant que « te livre de M. Bossart est un hvre tout a fait scientifique >. Simple coincidence, évidemment, il paraït que M. Bossart serait clerc au service de M. Franck... Quoi qu'il en soit, on a fait a ce pamphlet une reclame que sa vaïeur ne suffit pas a expliquer. Les journaux étrangers eux-mêmes out été inondés de notes élogieuses et on en a retrouvé jusque dans les colonnes d'un journal finlandais 1 Pour la campagne électottile actuelle, les propagandistes anticatholiques puisent sans vergogne dans Farsenal de M. Bossart. A nos amis de leur répondre en leur opposant la simple vérité. Nous reviendrons sur Fouvrage du P Rutten pour mettre en lumière la methode de travail de M. Bossart. En at tendant, nous en publions a notre quatrième page les conclusions et nous recommandons a tous nos propagandistes de se procurer au plus tot ce volume. Ils le trouveront au prix de fr. 3.50 chez Féditeur Goemare, rue de la Limite, 21, a Bruxelles. LE Tremblemeot de terr Ses affirmations au sujet des salaires et des conditions de travail.ne sont pas moins sujettes a caution et Fexamen qu'en fait leP. Rutten lui permet de dire qu_il n'a découyert dans ce hvre « oue ce minimum de documentation ihïio>i

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