Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 18 Juni. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 20 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/pn8x922n1j/
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23o ANNEE. — Série nouvelle.--N* 536 ..■■.flMWvn'mr-. r _„^.„T,y.|(r ^ mi mil, -.■ ^ . RÉDACTION & ADMINISTRATIO 25ter, tas ia la Bonra — LE HAVRE Téléphone : Le Havre n° 14.C Eirectsu? : FHKffiS SflSEâ? Toutes les communications concernant rédaction doivent ètra adressées 28l*\r de la Bourse, Le Havre. LONDON OFFICE 2-1, PANTON STREE1 Leicester Square, S. W. LEXXeSIÈCLE (ABONNEMENTS France 2 fr. 50 par mois o 7 fr. 50 par trlmeatr® Angleterre.. 2 sh. 8 d. pat»mois » .. 7 eh. 6 d. par trimestre Autres pays. 3 fr. — par mois » . 9 fr. — par trimestre PUBLICITÉ I S'adresser à l'Administration du Journal au Havre ou à Londres Annonces 4* page: 0 fr. 40 la ligne Petites annonces 4* page: 0 fr. 30 la ligne Les petites annonces sont également reçues à la Société Européenne de Publicité, 10, rue de la Victoire, Parist oui en a le monopole pour Paris. wmsmI dœtëfflL a&ÉM&a«É&SË&» JÊSssmm OoofclcSien beicse oaraissant au Havre Le seconde équipe & a tWWWWWU Jh Intel! la minoiifê socialiste allei m® te pis mî ai juste I es ruant ia paix saas HE -o- Pêuit-ètre «quelques-uns de nos le* nous auront-ils jugés trop sévères, le inouïs avons traité d'ilusion générem dangereuse la confiance accordée pa taiins à la minorité socialiste a'-'ler groupée autour des Liebknecht, des et des Leckebour. Pour avoir refusé d( Boeder jusqu'au bout à la politique im 'Siste des Scheidemann et des Sùdekui scisstaimaires ne méritaient-ils pas d raltre comme les organes du bon ] allemand éclairé sur les crimes au: ^ses chefs l'avaient entraîné ? Nous refusé de le croire et, comme le déput wagne lui-même, nous avons fait r <fuer que les scrupules de Lie'Kknec s'êtaieinit manifestés qu'après la défa fa Marrie. Quant aux autres soci; 6allemands del a minorité, il avait fall' d'autres déconvenues pour les ame s'inquiéter du caractère de la guerre quelle ils avaient longtemps applaudi L'un d'entre eux vient de démontra bien nos défiances étaient justifiées. l'Humanité du 15 juin, nous trouvons diction du discours prononcé le 6 ju Reiiohstag, par le député Ledebou.r. avons signalé ce discours en rendant c <fo débat où il a été prononcé, mais i la peine qu'on le relise dans son te:: de très près. .V Discours bizarre, à la fois retors e à l'image de la diplomatie boche, inc rablement maladroite dans ses habile plus étudiées. Le ton n'est pas d-u tout passionné e plutôt avec bonhomie que Ledebouj saute le chancelier sur la sommatic M. von Bethmann-Hollweg avait ad aux socialistes de renoncer à leuir républicain. Il ne met guère p'us d' dans les attaques qu'il dirige contre 1 vemement, contre les conservateurs tre les socialistes majoritaires à pro] faits connus depuis longtemps. Ce n là, en vérité, que les bagatelles de la et l'intérêt dîu discours est tout e.ntiei lit partie où i] traite la question de la Première déclaration intéressante Suis d'accord, avec le chancelier lorsq dans son interview■ avec M. Wiegani est infructueux de se reprocher récip ment d'être responsable de la guerre. yeux du « kainerade » Ledebour, ce: question oiseuse de savoir si l'Alternas responsable de la catastrophe qu.i fa. 1er des flots de sang depuis bientôl ans. Débail purement académique ( Chancelier a bien raison d'écarter ! Retenons aussi que pour Ledebour, magne n'est pas victorieuse : « La sii iglueirrière est, dit-il, sans aucun dout qu'aucune des parties n'est forcée d'e d der lia paix en se croyant complèl îmttue, comme ce fut le cas en 1S66 1871. La situation guerrière est deveni favorable, mais les puissances ennerr, sont pas obliaées de demander la : Cet aveu proféré en plein Reichstag que l'offensive du général Brussii Héclarrhée contraste singulièrement a' fanfaronnades quotidiennes de la allemande. Les dépêchés d'agence nous avait que Led'ebour s'était prononcé contre po'itique d'annexion. On va voir dans termes : « Le chancelier n'a pas repoussé clai î'annexion à l'empire allemand de terri le langues étrangères. Ses discours im plia nécessité d'élargir le pouvoir de l'empi tnand sur des pays avoîslnsnts, c est-a. placer la Belgique sous la domination aile •Cela, nous le condamnons, PUISQUE Çf LONGE LA GUERRE. » N'eus demandons qu'il déclare c&rrém nous voulons une paix dans laquelle 1\ gne ne s'empare d'aucun territoire contre lonté de sa population. Cela ne veut p qu'aucune borne ne doit pas être d<! Nous demandons seulement que l'AIlemag mette aux peuples qui ne veulent pas avec l'Etat auquel Ils appartenaient jusq dérider eux-mêmes sur leur sort. Alors n rons la Pologne (elle qu'elle a été eonstit: le traité de Vienne et la Lithuanie comn autonome. En Macédoine aussi, les parti nées à la Serbie et comprenant une pop bulqare reviendraient à la mère patrie. ' qui doit être tout à fait exclu, c'est l'essi nexion des parties quelconques de la Fra de la Belgique à l'Allemagne. C'est ce grai r.-:r qui nous menace. S'il devait être posi forcer la France à une paix qui comprend cessions territoriales, cela n'amènerait p paix durable, mais un état de guerre péri: Le grand problème, après la guerre, £ première ligne la réconciliation avec la et la création de relations- passables ave eleterre fCrfs fc droite : Aussi avec la h Avec la Russie aussi, nous devons avoir luttons pacifiques et nous le pourrons c plus facilement que la Russie aura pei populations de langue élraisgfre. » Voilà ! Ledebour ne veut pas d'anine mais il admet qu'on déplace des l: frontières aux dépens de la Russie e Serbie ! Quant à la Belgique, il ne ve. qu'on l'annexe, mais pourquoi 7 r ar cela prolongerait la guerre ! On voi ne s'embarrasse guère dn droit et de. cipes. ce leader de la minorité . Il' n'y a au'wn droit qu'il réclame, < droit à a révolution. Pure parade é-ment de la part de ce Ledebour qui ci tait, dans les congrès d'e 1 Internat les motions des Vaillant et des Keir réclamant des travailleurs de tous le la grève générale en réponse a n n quel'e déclaration de guerre. Il semb que le lieutenant de Bebel n ait son* ironiser aux dépens du chancelier en tatainit, à propos de la révolte îrlai rue » le gouvernement allemand dor. cour) de main aux révolutionnaires de autres pays ». Ce gouvernement a, pai r>r> nrinoirvp. le droit à la fcvo B quantum mutatus réjoua, la Sainte Ai anti-révolutionnaire d'autrefois. * Ce n'est là, visiblement, q.u'un dive ment oratoire et c'est aussi au doma. la rhétonqTjie qu'il faut rattacher la i raison sur la ]utte (Les classes, th( Mm prudemment remisé au début de la £ alors que l'Allemagne espérait des vi foudroyantes. En réalité, il n'est qu'une chose que IjJ bouA- ait demandée sérieusement au c! lier et c'est .là qu'il a laissé passer 1 d'une oreille affreusement boche : .teins gj on ne V€U£ pas |a jusqu'à rsque rrnée à t>ianCi a_t-il dit, on est foiré de i yù .et der au gouvernement allemand de faire r niier pas "et de lui demander en môme te Tanae déclarer qu'il veut une paix sans ann .iaase CELA PRODUIRA L'EFFET LE PLUS i s as- TAIRE, NON SUR LES GOUVERNEN péTia- MAIS SUR LES PEUPLES DANS LES n, les ENNElMIS. C'EST DEUX et surtout du ] appa- rlat QUE LE MOUVEMENT EN FAVB1 )euple LA PAIX PARTIRA ALORS, d :quels avons Discernez-vous maintenant -ce qu( - Ter- r^edebour et compremez-vo.is pour emar- s'est rendu en septembre 1915, pour ht ne les autorités allmandes de tous les ite de ports nécessaires, à la fameuse conf ilistes de Zimmcrwald ? i bien rier à à la- Appiaudi d'un bout à l'autre par les bres de 1* « Union du travail », le di 1 coin- de Ledebour nous édifie sur le fond Dans pensée de la minorité socialiste aller a tra- L'Allemagne n'a pas réussi à v in: in, a.u ennemis de façon à leur dicter la paix. Nous • ' leur propose donc une paix sans ompte xion. Cette proposition provoquera d< 1 vaut. Pays ennemis des mouvemente d'< :te, et qui obligeront les gouvernements à d les armes et à causer. Rien n'emp alors l'Ailemagine d'exiger d'à/van désploicements die bornes-l:ron<tières. Q . rj ia Belgique il vaudra mieux y rei omoa- l,uis<rie cela prolongerait la guerre. , L Voilà dans quelie mesure exac >ont venus à résipiscence les gens ( . , . voté tous les crédits nécesaires à la niqi et CTl 011 ^ approuvé tous les nrfô aiT5S1 longtemps qu'ils en ont cm ^ xicton-îuse. donc osera prétendre que c'ef . témoignage d'une conscience trou aprete Non, non. Ce n'est pas paroe qu'ils s Sou" naissent .qu'on les a trompés oi » co^" qu'ils se sont enhardis à dire la vér )os de Ledebour et ses amis ont rompu ave 3 sont périalisme outrancier des Sudekum porte Scheidemann. Le îrs mo^liiste sont a • dans [,is sont simplement dans ce 'patrie'qs paix. • lérnnnd qnre T^debo;;r î'^-n^me r>r( solennellement au Reichstag en m&r: Cil dit huiit mois après l'invasion et le mer i qu'il la Belgique. Ce n'est pa^ pour vea roque- droit ou là justice, c'est pour sauver » Aux magne tout simplement que cette 5 ;t une équipe des socialistes du Kaiser d< ne est au chancelier dont elle a approuvé 1 t cou- re de proposer la paix. Qud donc v deux être dupe d'un jeu aussi grossier ? le Fd. LA l'AHe- Tmê Les Belles en Itc eman- c ^ ement 1>Q(< F.A I.ÏGUE NAVALE ITALIENNE P tî™ NISE UNE ENTENTE AVEC tes ne ARMATEURS BEI GFS. — UO MAGE A 'UN PROFESSEUR 5®fv j", , DE LOUVAIN- S ROme' 12 dit Aujourd'hui la Ligue navale, it? toute sou.s présidence de l'ancien minist quels ner*' s es^ occui)ée des rapports futur l'Italie et la Belgique. Le professer nardo Ricciardi avait présenté un tr< rement ressant rapport sur la nécessité p( ires de Italiens d'aider de toute leur force les jent la teurs belges qui désirent se libérer d' •e aile- ^eHe allemande pour leur futur cor lire de avec l'Orient. Le rapporteur pré:o nnnde formation d'une compagnie italo-bels l PRO- l'exploitation des -lignes Anvers-Orl réclame du gouvernement italien ur ;nt que moral et un concours matériel. L'I vllema- saisi de nombreux navires allemands la v> trichiens qui anrôs la guerre feront îs dire nement partie de l'indemnité due pj placée, nemi. M. Ricciardi,accelmé par l'ass ne oer- composée des dîus éniinentcs persor rester navales italiennes, demande qu'une n'ici de de ces navires soient vendus par le f îus au- nement italien à la compagnie italo-t iée par Le rapport très documenté de ie Etal ciardi. qui est nne personnalité très »s don- dans la vie publique italienne, a eau ulatio'fi très grande impression. Il avait; él tais \X approuvé par la section napolitaine ij d'an- TJcrue navale, et aujourd'hui il a été nce ou par le Congrès de la T,i£îue à Rome id dan- voté par acclamation l'ordre du jo .ïble de vant : »flîj fjflç , n L'assemblée'ayant nris connaisrr ~rn.pporl du Prof. Comm. Léonardo I • <îi. délégué de la section de Naples, i France dissent S l'a nroposition, émet le vœu ; gouvernement du Roi donne son a; ' L son encouragement h la eoristitùtiç l" iroune qiii nuisse étudier la rén. wni? d'une ligne de navigation enire le por auian. VP^,, ];l Mis^iterranée surtout ni au ses helles du Levant et qui assure *ti transports (principalement charbon avant la guerre étaient assurés par ornes- ciélés allemandes. » de la ■ Pour que les Alliés puissent tirer t iit pas profits possibles.de la, victoire, il est .„ nue' sairc qu'on songe dès maintenant h i'cni'il nisation de la succession du commer • Min'- mand, et sans doute toute initiative I h cela aura-t-f île un accueil-favorabl i» dans les milieux bel.ges. -idem relations imiiours plus étroite vrnhat" 'a Belgioue et l'Italie seront certai: onnle favorisées par tous les Beltres qui une patrie libre et indépendante, ca les deux nations Jamais des conflits n n porte sn^- e bien L'Académie des Sciences Physii irW«e Mathématiques de Naples avait V. membre étranger le professeur Charl J'n de la Vallée Poussin, de l'Université i !TJ vain. Par décret de la Liutenance le ; lu tion ncent ilalien a confirmé cette nomin'f liance NOS SOLDATS EN AFRIQUE 53 Les Unes lis loirsnii me si , .. ■ « • sa Ibji action nclona Led-'- eXut L'api liât pcijiiîaimïiî en retral —0— la sai- Le ministèré de3 Colonies publie le ce leman- niuniqué suivant : le pre- ■nps d«.' «< Le Havre, 17 juin ^ résulte de renseignements complêrn rp^rf^;" t air es reçus du générai Tombeur qu cours des opérations relatées dans le ce ûT muniqué du"14 juin, une des colonnes bel m rvp du centre a rejoint et attaqué à Kiwita une farte arrière-garde ennemie pourvue mitrailleuses et d'artillerie. . , L'action s'engagea le 6 fain. -Timi il L'ennemi, ayant éjfrouvé des pertes m rv\r T^eusesi évacua précipUainmeriL ses ti0ns danS 1(1 nuit du ŒU 7' S0US la mGn (K-enr/" dG 1l0s renforts. Nos troupes, continuant leur poursu gardent le contact de l'ennemi sw tou, front. » mem- Kiwiftawé est situé au nord-est du scours Tangonyka, pa.r environ 29°38 longitude de et 2°52 latitude Sud. navfc ,i0it—— Ou'el- L'AVANCE ANGLAISE anne- DANS L'ESï AFKiQAllM ALS-SMAN ms les ,, .. . ., _ t y . -c wnion Londres, 16 juin. — Le War oince époser hlâe, de son côté» le communiqué offi échera suivant : ta.geux Le général Smuts, commandant les U □ant à pes britanniques en Afrique orientale, t loncer, graphie, à la date d'aujourd'hui 16 juin « Après avoir éprouvé des difficultés < tement sidérables, par suite du manque d'eau e [ua ont la densité de la brousse, une partie di guerre colonne du maior général Hoskin$, comn crimes dée par le général de brigade Sheppard, l'issue arrivée dans la nuit du 15 iuin à Kwe zewa. à six milles au nord de Handeni. it là le » Le lendemain matin, les troupes ai tylée ? cées ont poussé jusqu'au village du Kilin recon- jaro, à proximité de Handeni. par3e „ Qn signale qu'une force allemande < ite que sidérable se trouve retranchée près des c l'im- provisionnements d'eau de Handeni. et l^s On signale qu'une force allemande co il leurs dérable se trouve retranché» prêt des ap .me al- visionnemenls d'eau de Handeni. < iQi* " ®n m('mc tV: :Ps QÙQ se .."émisai, ; 191o, mouvement., la colonne du général de :vu- de gare Ilarnvjngton, avançant le long d, vo*e leTràR-> occupait l'importante gare 1 Aile- Pangani. econde M §ur iac Victoria, les troupes bri maiLcli: niques ont occupé l'Ue d'Ukereioe, au r 1 ffuer- p0ri anernarifi de Mwanza et ont cap OudraLt deux canons Krupv et une grande quai d'approvisionnemen ts. S^-Y. » On ne signale rien de particulier su """""" théâtre méridional des opérations, dan -, . région de Kondoga. » l J 1 p ^ ' Ministres et Jomlis! REOO- —)>oit LES SI- On télégraphie de Rome à l'Echo de Pt en date du 15 juin : n Une innovation intéressante est fi sij iuin 'er : Boselli a consulté, pour la solu J • de lia crise, non pas seulement les hom polititiues, mais aussi les directeiirs tienne, principaux journaux : le Corriere délia S re Rai- le Secolo, la Tribune, »tc. » En dépit de la caresse faite à notre am irité' ProPra ijiofessionnei par cette consultai : notre avis est qu'une telle pratique n'est arrn„ à recommander. Qiacun son métier et ■ > la tu ":m h 88 Le métier des publie: ïmercê ost de donner leul" av's, par la voie de I< aise la Joutlrl'aux> ou public, gouvernement comi : ur en toute indépendance et en toute lib< 'l | Sont-ils pius libres dans le salon d'un appui ™slre 1UB devant leur table de ti'av taiie a ^,es't une question. et au. Et prjis, si cette pratique se générali: certai- lcs ministres en arriveraient à demande îr l'en- ^iproque. Consultant officiellement emblîe journalistes, ils exigeraient peut-être d' nalités Cû^sa'ltés par eux. On peut se demande partie lo Presse el le pays y gagneraient... !ouver. ~ " eige. Des chevrons s. v o I. Rie- " -t en vue sé une Le nouvel apipel d'hommes, — nous d ,é d é i à ..-fe touteis 'parts,— rend p»us oue jamais de la tàfié l'octroi de chevrons à nos braves ratifié s qui sonl ail in>nt depuis |e déb-ut r qui a guerre ou depuis une époque déjà rela ir sUi- ancienào. Qu'est-ce donc oui s'opposer à cotte masure donit les fran nce du soc1''t fort satisfaite ? l'cciar- Un aux blessés de la gui liroian- lne insi8ne nux " anciens », et justice : jc re-ndue a chacun. ,nuj fi[ I^es Français donnent à leurs blessés d.,]n chevron sur la manche droite et aux isatioi /la,s du sur la manche gauche, chevron pour te première année 6c. pré rar 'es (-e au froni1 e: un chevron sapp'ânrail jr., pour six mois de présence subsétpu si nui Parfait- des so- Certes, la Paiti-ie devra reconnaiiSB.i aux nouveaux soldats eppolés : il n'or ohe que ce seront là dés ouvriers de la ous les helire. Ceux de la première mén neces- lrn fiS!rioign<nge spécial. l orga- : s». endaii >1 G 4 INNE VILLE s aussi »oc( „ . Au déîacrtemen^ befge. — Une gra iprnint matinée aura lieu aujourd'hui diman irpnîerJt à ^ heures précises, en la salle des F r entra m6ss des sol(iats helges, sous la pi a ™.r dence d'honneur de M. le major Detl' P commandant le détachement. Cette matinée est organisée par le « < cl© d'attraction » du détachement de Gi . nevil'le. [ues et lommé — T1 n'y a eu, à Berl'o, du 1" mai '.s-Jean Q1J 30 a.-^rpii 1916, que 27,891 naissancei le Lou- comnris 1,139 mort-n^«. Pans la même >9uver rdode de Tannée 1914-1915, il y ava.it n* K8.517 naissances, y compris' 1,496 mort- EN MARGE DES TRAVAUX DE LA CONFERI Ht -0- ù prlprstion m. Ï1 faut empêcher line nouvelle i {commerciale allemande. — La Gr Bretagne protectionniste. — L'( lut ion de Manchester. — L* en- bande à More! fait de la 'au réaction au profit de m- l'Allemagne. ]cs wé La conférence économique qui s'est de Paris est issue de ia rencontre des c des gouvernements alliés à Paris , du mois de mars dernier; sa tàc] sé- de -proposer les mesures propres à 'Si- la solidarité des Alliés dans le doma ace nomique. Il ne faut donc pas attendre d'elle ite* complet d'après-guerre économique te même d'étudier le moyen de réal troite collaboration commerciale lac nous permettre de recueillir dems List les fruits d'une victoire assurée, h rence doit porter son attention, com posait M. Jean I-ïerbette mardi dans de Paris », sur des problèmes plus _ a commencer par les mesures de c tion et de prohibition qui se rattac nu- blocus des Empires Centraux, la lia Cjej des entreprises ennemies, le rég biens placés sous séquestre, etc... I ration des dommages de guerre, le lage de l'industrie dans les régior . " hiés, toute cette importante période ,on_ sition pendant laquelle on s'effor ; j * rattrapper l'avance de l'Allemagne, ; j ; ront donné de quoi l'occuper aussi an. quelques séances. I Toutefois, la partie principale di >idi- clle rGste 'l'organisation du cumm Alliés, une fois la victoire acquise t an_ choses remises au point. Voilà l'Ai ,an_ abattue, la pai?: faite, les dégâts les ouvriers retournés aux usines :on- ■cultivateurs aux champs : comm ap- prendre pour empêcher ne nouve sion commerciale de l'Allemagne?" nsi-01'0-CP/ Que l'opinion générale des pays i brj_ clame de strictes mesures, cela n< > la doute pour personne.A cet égard.noi de déjà signalé l'impressionnante évoli esprits en Grande-Bretagne, où , fan- échangiste qu'elle avait toujours étr <ord jocrité du monde des affaires est luré protectionniste. Pure précaution coi itité lemarrne, ce revirement. 11 faut fe frontières aux fabricants allemand: r le l'Allemagne des affaires, et c'est t< ? la campagne parallèle, mais qui n'inté autres nations alliées qu'à titre d'i est d'ailleurs entamée dans les pr 0 rj placés anglaises, afin de rayer du 1 H\ commerce tous les noms allemand uw ceux que la naturalisation a brita.n oatastronhe du «Ha.mnshire » a cette campagne un regain de vigu< iris, On sait dans rjuelles circonstance' vemenf protectionniste a reçu de f1 ïna- ter sa plus puissante impulsion.La < tion de Commerce de Mnnobest^r vient mes dre position. dn façon défi,nitive a 1 des majorité de" 9.^2 , voix contre 234; era, mande de faeon formelle des droits tifs pour l'Allemagne et un tarif di en faveur des Alliés et des neutres ion, L'Ame de cotte évolution a été u pas tor, M. Derwent Simpson. Celui ;ha- dressé .-- c'était eh février dernk stes projet de résolution demandant l'e surs complète des Allemands — hommi >r.s, nita'.ux — du commerce britannique srté. dessus le marché la « nationalisai mi- la Chambre de Commerce où — -le lil ? on? — l'élément allemand et pro-i était prépondérant. La nouvelle de cette résolution r la d'un navé dans la mare aux grenoi les j résident de -la Chambre, M. R'O'l-6Lre clav. un lon.<?a.nîme \ieillard mip ]e r S1 manœuvraient.,prit les devants et # faire aroenrer en séance du 14 fé programme nettement Jîbre-échanp « ...C'est la guerre, exposa-t-il, r von s pas la liberté d'esprit nécesss décider de ces choses... Une allianc ron mique diviserait TEurope en deux ( &S~ !ern^ renaître ia guerre... Atter j. paix... Il faut maintenir la paix... tiv> Telles étaient les billevesées que :cui. mands avaient soufflées à ce brave çâis» échantillon remarquable d'une race telle d'illusionnistes et d'abusés qui 'Tre. pas seulement sur U sol britanîniqi sera La réplique de M. Simpson bala^ m} » Malgré toutes les belles phra: SOI_ j vous l'entourez, dit l'ardent protect yn votre mémorandum signifie qu'. aire £,1Rrre vous. voulez le libre-échai l'Allemagne, cela signifie qu'en peu l'Allemagne renouvellera ses forces inw, nous portant toujours la même ht nnous attaquera encore. Si Manches on- suit et predd cette attitude, Manche: tent déshonoré devant le reste des ville ses. On dit déjà qu'il y. a beaucoup —* marchands étrangers parmi'nous, De ce jour l'opinion de la Cha Commerce de Manchester était fait nde février, la motion do M. Simipson ét ^he, par 998 voix contre 500. Le bureau,, êtes de vingt-deux libre-échangistes do 'ési-' ou six Allemands naturalisés, coi 'ier, qui lui restait à faire; il fit place à veaux éléments;, vingt protectionr -/?r" rent élus, et les deux lihre-écban^ lm" reste conservèrent leurs fonctions ; raisons étrangères au débat. [çjl~ ' Telle fut l'évolution de la Cha 1 ' Commerce do Manchester:: le pre 'né- d'action qu'elle vient d'adopter éu ' heureusement et a. centré h toute -tea. de-Bretagne, aux nations, alliés, à 1 r- _ r>«,v.;r. In h CIIÎttï'O t"tevre On ne se fait pas d'idée de l'intérêt i/PvCE cordé par nos alliés britanniques aux q tions d'après-guerre économique. Les g des associations de commerce et d'indu les étudient sans cesse, désignent des i missions spéciales, tiennent réunions réunions. Telles assemblées convoq uniquement pour régler les relations < jfMIffl merciales des colonies avec la métro; S&t|6s% comme 1' « Empire business Conferen qui s'est réunie le 6 juin, élargissent dar sens-là leur ordre du jour. Les membre la n Canadian Trade Commission »,_qi ivasion trouvaient à Londres à la même épe ande- ont tenu une assemblée particulière i ■vo- a élé question uniquement des mesur prendre contre le commerce allemand premier ministre australien M.Hughes des discours publics, a réclamé cent fo' nom de son pays la guerre économiqi plus énergique. Et les financiers an tenue <i n'ont pas attendu les décisions de la C étégué,s rence de Paris pour fonder une ligue a i la fin italienne pour le déveioppement du îe était merce, lui donner 1'a.ppui d'un nouvel c réaliser nisme bancaire, et commencer d'autre ine éco- le siège de la Russie. Bien entendu, ce mouvement renci un plan de l'opposition. Pour le succès de la b Avant politique d'après-guerre, le hasard, qu ser fé- un dieu allemand, a voulu que celle-c qui doit 1 représentée notamment par ces Mess in tous de 1' « Union du Contrôle démocratique i confé- Nos lecteurs connaissent déjà cetti me I'ex- rieuse association; rappelons que ses fi l'u Echo ■ teurs sont le coneior«hnhe E. n Morel, argents, say Macdonald, Charles Trevelyan et lordina- man Angell; rappelons aussi qué son hent au formulé dans une circulaire confiden nidation que la " Morning Post « a réussi à se ime eles curer, est « d'assurer la paix à de telle? ,a réna- ditions que la guerre ne puisse se rail réoutil- à cause de l'humiliation infligée au s enva- vaincu ». de t'ran- L' « Union du Contrôle Démocrate ;era dt. vient de prendre position contre le p lui au- tion nisme. Dans un discours prononcé pendant nièrement h Leeds, Ramsav Macdon signifié clairement qu'il ne fai'lait pas ; sa tà- tinuer cette guerre "par une guerre é îrce des ■ mique. » La politique de la Grande-Î !t toutes en", a-t-il aiouté, doit viser à assui iemagne maximum d'échanges commerciaux répares, les nntions, h préserver et à étendre Je , et les cine de la p'orte ouverte. » ent s'y Voilà les patriotes anglais rensei ;le inva- S'il en est qui doutent encore de la née du protectionnisme pour abattre Je merce allemand,' l'attitude de la bai Morel leur enlèvera toute hésitatio bande b Morel réclame le maintien du iHiés r6- échange? Attention, amis anglais: ce : fait de sûrement pas dans l'intérêt des petits îs avons goMis ! tion des Un ami de Rome écrivait au «XX» S le libre- mercredi, à propos de la crise italie la ma- « Tout ce enii est de nature à vous divi devenue ; à vous affaiblir porte la marque alleme ît-e l'Ai- T1 v n bel ftae que l'Angleterre.a dey •mer le< rrlnin à* l'Allemagne derrière les «neth t'-'xclôr.' Morel et compagnie. Ceci n'est r LESFAITSDUJOUR ues- JjJiO i iiLX Ajyuuuuii ran- .—»o«^— strie ;om" La Chambre française s'est constitueï sur vendredi en comité secrett par 412 voi» Jées comre 138, pour entendre une ser 1e dmusr. :om- nellations sur l'organisation de la. défense. îole, nationale, de la défense de Verdun en varti- ce » culier, et sur la mobilisation industrielle aç is ce la. France. . ... s de La réunion en comité secret a été précédés li s2 d'un vif incident soulevé par le députe na- que. lionaliste parisien Pa.ul Pugliesi-Conti, qui )ù il demandait des députés qui se sont rendus- es à dans les pays neutres pour entrer en con-. Le tact aivec des ressortissants des pays en iar>s guerre avec la France l'engagement quet q au raison du comité secret ils ne renouvelleront jC pas ces actes pendant la durée des hostili- fnfll téLe comité secret s'est poursuivi dans la -îglo- journée de samedi. com. 'rSa- Les industriels anglais préparent de I6n*■ Part que main la guerre économique contre l'Allemagne. C'est ainsi qu'à l'appel de deux m tre grands industriels, M. XVilfrod Slokes, i lionne venteur du canon qui porte son nom, et sir i est john Thornycraft, ingénieur maritime tris i fût connu, 300 ' usines de construction mcca.-ieurs nique, représentant un capital de deux mu-». liards et demi de francs, viennent de former • eu- une association pour répondre, à ^ Hquô mda- allemande des associations industrielles et 3am- économiques. Nor- Si nous sommes bien informés, une ligue but-, semblable est en voie de constitution ei% tielîe France. PrO- /tVVWAMWA/ Les gouvernements alliés continuent S navs Prendre contre la Grèce les mesures qu<5 p " comporte la situation. Le contrôle financier international com- 2? a munUjue qu'il refuse d'admettre C émis sion, * i r Par I*1 Banque Nationale de Grèce, de non-,^er" 1 veau papier-monnaie pour une valeur de :i trente millions de francs contre le dernier emprunt consenti par la Banque nationale eono- gouvernement. Ireta- n aj0ute que les gouvernements de France er et d'Angleterre ont décidé d'exclure les obli- ?ntre gâtions du nouvel emprunt grec des Bourses prin- de Paris et de Londres. vwwvw.*vw gnés *ssité La Fédération unioniste roumaine a eon- com- ( voqué, pour dimanche, une grande manifes- 1 ' x tation pnbliqufi ; dans un appel adressé aU t' peuplela Fédération dit que les armées de libre l'ennemi héréditaire sont en pleine désorga- n'pc,! nisation à la frontière de Galicie et que-, pour la deuxième fois, le destin offre à la Rnu* manie l'occasion de réaliser son unité natio* .. noie. iode» „ Nous ne devons absolument pas laisser "r,e ' passer le bon moment. » ? de M. Nicolas Filipesco, chef de la Fédéra- né la ^on tmî0nt5^ei a été reçu par le roi. ifipg), JtWWAWW/V. u'une Le procès en haute trahison de sir Roff'er resse îe^ - :nri.r>âles ^ fmé-' siwe m&me n'sés: ia azgaciue3gagg«3>«g^MatKgg2CTaggEW^«TKtrEgxajaavB«sarAa^><Li«tftXBeui donné à i'prnou- LES EUSSES A LA FRONiMÈRE DE &ÂLICIH Chambre SEPTENTRIONALE de nren-eîle de prohibi- m n ® |fl;ï| . f| «1 ::r Les Iuttiiieis ralliâtes » la Sfrjpa xclusion liii; Lei Russes, pressent encore 100 officiers. 14.000 soldats illemand et du matériel. at l'effet kuvawwvwwvwm^ lilles. L.^ nr,::;' TOTAL DES AUTRICHIENS FAITS PRISÛMIHRS : 180.578 tenta de . vrier un » % iste. [ous n'q- En Volhynie ire pour e écono- Pétrograd, 16 juin. — Officiel. :amps „! SuT ^ ^ror^( dRS arm<ies au sua de la Po- la ifjtpie, les combats continuent. Au cours de rencontres avec ne s troupes, les Aile- l'ennemi a subi des perles lourdes. Les dé- homme. tails suivants concernant des opérations immor- dans plusieurs secteurs furent reçus : ne croit iu cours de puissantes et infructueuses le oonire-atia-ques SUR LE STYR DASS LA •a (out • REGION DE SOKAL, AL' NORD DE RO-JITSCHB, NOUS AVONS FAIT PRISON- ies dont iVIERS 20 OFFICIERS ET 1,750 SOLDATS. ionniste Dans la réaion A L'OUEST ET AU SUD- après 'a OUEST DE LOUTSK, au cours de la pour- îsè avec su'ie ^e l'ennrTn'. notre cavalerie engagea rVo-ni-c, avec succès plusieurs combats. , AU NORD-OUEST DE KREMENETZ, NOS ELEMENTS HARDIS appartenant „ aux trouves du général Skharoff, après un ter vous <.ombat acharnÉ\ DELOGERENT, par un îter sera rigoureux. L'ENNEMI DE SES PO- 3 anglai- S1T10NS FORTIFIEES SU R LA RIVIERE trop de PL1ACHÈVKA, entre Kozine et Tarnavka. e,c- " Un de no,s jeunes régiments, conduit par le colonel Tataroff, après une lutte achar- mbre jte n(;e vassa la rivière ayant de l'eau jusqu'au e. Le 23 menton. Une compagnie tomba dans un en- ait votée droit profond et périt d'une mort héroïque, composé mais ïa vaillance de nos soldats et de nos nt cinq officiers amena la fuite désordonnée de nprit ce l'ennemi. de non- NOUS AVONS FAIT PRISONNIERS, 70 istes fu- OFFICIERS, PLUS DE 5.000 SOLDATS. [istes -le PRIS DEUX CANONS,BEAUCOUP DE Ml- JOUI- des TR MLLEU'SES ET PLUSIEURS MILLIERS DE FUSILS, DES CARTOUCHES mbre ?e ET D'ENORMES RESERVES DE FILS DE gramme FER. l'achève Par un court également imnétuevr, NO- !o Grnn- TRE INFANTERIE, arec le puissant appui la Con- de l'artillerie. S'EST" EMPARÉE DU ROIS ne nnsrnrv AU SI'D DE BASPOT- CHA1EFF, faisant des prisotmiers, prti des mitrailleusis et des lance-bombes. [Rojistche est au nord de Lout.sk. Kreme-netz se trouve sur la rive droite de l'Ikva, entre Doubno et. Tarnopol. Kopine est à environ 30 kilomètres au nord-ôuest de Kre-menetz, au delà de l'Ikva et de la ïoie ferrée IJoubnc-Lemberg.] Sur la Strypa Par un effort héroïque, LES TROUPES DE L'ARMÉE DU GENERAL STCHER-ftATCHEFF ONT CULBUTE HIER LES AUTRICHIENS DANS I.A REGION GAI-V ORONKA-GUILOVODY sur h r ive OUEST de la Strypa, au NORD-OUEST DE BUCZACZ. Le combat avec les Autrichiens et les AU lemavds qui les artpuient continue toujours. JUSQU'A PRÉSENT, NOUS AVONS CAPTURE 8.000 PRISONNIERS, DBS CANONS ET DES MITRAILLEUSES. Un aéroplane ennemi a lançê des bombes, sur Tarnopol. VOS BRAVES COSAQUES DU DON O AT 77AIT PRISONNIERS 7 OFFICIERS ET G00 SOLDATS. i.E COMPTE APPROXIMATIF EiS L* JOURNEE D'HIER FOURNIT UN TOTAL DE 100 OFFICIERS KT K.MK) SOLDATS PRISONNIERS ET BEAUCOUP DE MATERIEL !?E GUERRE. Sur le front Nord. r Sur !e front de la Dwina et plus au su* jusqu'à la région de la Poliësie, échange da

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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