Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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11 december 1916
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s.n. 1916, 11 December. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/v11vd6q97h/
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Le XXe Siècle du 11 Décembre 1916 DERNIÈRE HEURE, 7 heures du mtian Un resserrement du cabinet Briand r k W COMITÉ DE G VERRE ~cmme en Grande-Bretagne Le gouvernement français communiqué i, note suivante : « A la suite de l'adoption par la Cham ,-bre de l'ordre du jour de confiance qui i (.clos. la délibération du comité secret, b j Président du Conseil a été amené à envi Usager un certain nombre de mesures des 4inées à réaliser les indications contenue: •dans cet ordre du jour. « Il est à prévoir qu'une décision défini fyivo interviendra d'ici à mardi et qu'elle (entraînera d'une part des modifications ^gouvernementales résultant d'une diminu Ution du nombre des membres du cabinei -et, d'autre part, la constitution d'un co \iriité de défense nationale restreint comme *n Angleterre. » • Afin de pouvoir suivre les détails de cet rte opération de resserrement, rappelons ls ^composition actuelle du cabinet Briand f Cinq ministres d'Etat : MM. tle Freyci-met, Léon Bourgeois, Denys Cochin, Emile î Combes et Jules Guesde. Douze ministres : MM. Aristide Briand ^président du Conseil et ministre des Affaires étrangères; Malvy, Intérieur; Ribot Finances; général Roques, Guerre , amira: •Lacaze, Marine; Sembat, Travaux Publics Clémentel, Commerce: Méline, Agriculture: Doumergue Colonies; Métin, Travail; Pain .levé, Instruction Publlique et Inventions, ci îViviani, Justice. Cinq sous-secrétaires d'Etat : MM. Albert Thomas, Munitions; Justin Godart, Service de Santé : Joseph Thierry, Inten jdance; Louis N-ail, Marine marchande Albert Dalimier, Beaux-Arts ; soit en tout (Vingt-deux membres du cabinet', c est-à-dire cinq de plus que dans le précédent cabinet, qui n'en comptait que dix-sept et qui lui-même comprenait plus de personnalités que les ministères antérieurs. L'ITALIE ET LA RUSSIE VEULENT AUSSI AGIR ENERGIQUEMENT i Des modifications vont être apportées à '■l'organisation et à la -composition <lu ministère italien. I.e nombre des ministres sera xiirrùTiufi, les services administratifs étant groupés dans un ordre mieux adapté aux nécessités de la guerre. Un 'Comité fie guerre composé d'un nombre très restreint, de ministres sera institué somme en Angleterre. Eu Russie. Je Conseil d'Empire a clôturé ses débats sur la déclaration gouvernementale ?t il a voté la motion du passage à l'ordre irtn jour proposée par centre et ainsi conçue : i « Estimant que l'époque historique que '^traverse la Russie, veut impérieusement que ■toute la naition fasse un puissant effort "pour 3e triomplte final sur l'ennemi, que le gouvernement travaille de concert avec les institutions législatives et que, dans ce but, il faut •premièrement détruire définitivement les in-;flnen«es clandestines et irresponsables sur les ^affaires de l'Etat et, en second lieu, formel mn -gouvernement de travail pratique, réeJ. ■lement uni par un programme bien déterminé. s'appuyant -sur la confiance et les svm-pathiP)5 du pays rti .canxible, par conséquent, «Tim travail commun avec les institutions législatives, le Conseil d'Empire passe à l'ordre du jour. » HMM la nouvelle contribution de guerrE en Belgique Après le refus des conseils provinciaux Les conseils provinciaux de Belgique ayant refusé de voter d'aggravation de i£ contribution de guerre mensuelle imposée par l'Allemagne, le gouverneur généra von Bissing a pris, la 3 décembre, l'ar irêté suivant <{ Dans leur session extraordinaire di a décembre 1916, les conseils provinciau: ides provinces d'Anvers, de Brabant, d( Limbouirg, de Liège et de Namur ayant re fusé de coopérer au règlement de la con Iribution de guerre imposée à la popula tion belge, par ordre du 20 novembre 1916 et le conseil provincial de la province di Luxembourg n'y ayant consenti que condi tionnellement, les résolutions en questior desdits conseils sont annulées conformé ment à F article 89 de la loi provinciale di 80 avril 1830, parce qu'elles sont contraires à l'intérêt général. « En même temps, le gouverneur mili taire des provinces de Brabant, Limbourg Liège, Luxembourg et Namur, ainsi que pour la province d'Anvers, le gouverneui militaire de la province et le gouverneui de la place forte sont autorisés, de «foncer kvec les présidents compétents des admi îiistrations civiles « praesidenten der zi vilverwaltungen », à prendre, pour cha Eune de leurs provinoes, les mesures dési gnées ci-après, qui seront obligatoires dan; chacune desdites provinces. » L'arrêté énumère ensuite les mesure; qui seronj, prises d'office, pour contracte! les emprunts nécessaires pour le compti jd.es provinces récalcitrantes. ->-*»••»<- i La canonnade s'étend au front de Macédoine i- _ COMMUNIQUE DE L'ARMEE D'ORIENl 9 décembre. I Violentes actions réciproques d'artille îrie de Monastir au lac Doiran. ' De nouveaux postes turcs ont été enle Wcs par les troupes britanniques au sud il 1Sérès. ^EVENTUALITE D'UNE ATTAQUE DE L'ENNEMI j Le w Times » publia la noie sqivante : Les fortes ennemies opposées aux allié! ♦m nord de Morastir jeçoivent des renforts. "JNotre correspondant militaire nous met er partie contre la possibilité que des troupes .«nnemies envoyées de Roumanie pourraient «jjoiis attaquer dans cette région. La menace de la Grècc Vingt-mille hommes concentré! à Athènes Les événements de Grèce se déroulent avec la logique qu'a voulue le roi Constan 5 tin. Tandis que ce souverain protestai auprès des puissances de l'Entente de sa bonne volonté et faisait promener nos promesses, il agissait dans l'ombre et pré J parait les actes qui, maintenant, dévoilent : sa fourberie et sa trahison. Aujourd'hui, il mobilise son armée el " fait occuper par ses troupes les emplace-' ments stratégiques de la Vieille Grèce. I! se prépare, avec les forces qu'il peut ras- • sembler, à tomber sur le flanc de l'armét i qui opère sur le front de Macédoine. Son » beau-xrère, le kaiser, lui télégraphie ses félicitations. Le comte Tisza, à Vienne ; annonce que la Grèce est prête à se joindre aux Empires centraux. i La situation est donc grave, et il importe que les puissances de l'Entente fassent entendre au plus tôt au roi félon le ' seul langage qui soit de mise, celui de la force. Bientôt, il sera trop tard. Le départ d'Athènes des légations alliées paraît imminent. Les ministres de l'Entente se rendront au Pirée,aj)rès avoir assuré l'évacuation de leurs nationaux. Les nouvelles d'Athènes rapportent que la ville est très calme. Les préparatifs militaires continuent d'être très actifs.Des troupes arrivent de Corinthe, du Pélopo-nèse et d'autres centres. Environ 20.000 hommes sont réunis maintenant, dit-on, dans la capitale et aux alentours. L'on arrete toujours les venizelistes et leurs demeures sont perquisitionnées. La maison de M. Venizelos a été de nouveau fouillée et un journal gouvernemental prétend que l'on y a découvert une bannière avec cette inscription : « Elefthe-rios, premier président de la République hellénique ». Cela démontre comment, tout en massacrant, les réservistes trouvent les preuves dont ils ont besoin. La presse gouvernementale reconnaît que près de 1.600 venizelistes ont été pris paf les réservistes eux-mêmes et que de 100 à 150 ont été tués ; mais il est fort difficile de vérifier ces assertions. La population d'Athènes craint le bombardement. Beaucoup de gens ont changé de résidence pour des quartiers qu'ils considèrent comme mieux protégés. * ILS VEULENT ENCORE DUPER LES ALLIES M. Lambros, président du Conseil grec, a rendu visite au ministre d'Italie, afin de connaître les intentions de l'Entente et pour l'assurer que l'armée grecque n'opère aucune concentration. _— i f I 1 V f r i L : j t i] j I c 1 :— : Nouvelle allocution du Pape en l'honneur de la Frauce > i 1 Dimanche matin à |1'occasion de la lecture des .décrets de béatification de la con-1 grégailion des rites, le pape a prononcé un i discours dans lequel il a exalté la nouvelle gloire de l'Eglise de France. Il a dit notamment, s'adressant au Père , Paillas : « Nous voulons nous adresser tout particu- • lièrement aux enfants de la France eatholi- • que dont -nous avons le plaisir eu ce moment ; de saluer ici de nombreux représentants. Mes " chers fila, vous allez regagner bientôt votre pays. Portez donc à vos frères l'assurance ' de Notre amour ainsi que dû Notre intérêt ■ pour votre patrie. » A cette journée française fi&sistaient cinq ' cardinaux français présents à Rome : MMgrs de Cabrières, Dubois, Dubourg, Maurin, Billot, ainsi qu'un grand nombre d'évèques, de ' ; prélats, ' de supérieurs d'ordres français et rme importante représentation de la colonie 1 française. >—••-< Cabinet dentaire Ch. MOTET , G. Gaillard, Suc1 Chirurgien-dentiste DIPLÔMÉ DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARI* ET D* I.'KCOLE DENTAIRE FRANÇAISE 17,ru.® Marie-Thérèse,LE HAVBE ajaçrl® Bue de la Bourse Maladies de la bouche et des dents, Prothèse dentaire, Refait les Dentiers cassés ou mal réussis ailleurs, ■ Réparation immédiates. Dentiers complets en 6 heure» Dentiers sans plaques, saas crochets, (modèle nouveau) » Obturation des dents, à l'or, platine, émail, etc. Travaux américains. Bridges, couronnes or et porcelaine. TOUT SANS LA MOINDRE DOULEUR Dents artificielles depuis 4 fr. la dent Le cabinet Lloyd George i LISTE OFFICIELLE DES NOUVEAUX HINISTR1 Le cabinet Lloyd George est définitr ment constitué; voici la liste officielle c principaux membres du nouveau gouvi nement : COMITE DE GUERRE M. Lloyd George, premier ministre. Lord Curzon, lord président du Cotise M. Henderson, ministre sans portefeuili Lord Miiner, ministrç sans portefeuil M. Bonar Lavv, chancelier de l'Ëchiqui» MINISTERES Lord Chancelier, sir Robert Finlay. Intérieur, sir George Cave. Affaires étrangères, M. Balfour. Guerre, lord Derby. Indes, M. Chamberlain. Commerce Intérieur, loird Rhondda. Commerce, sir Albert Stanley. Travail, M. Hodge. Premier lord .de l'Amirauté, sir Edwa Carson. Munitions, docteur Addison. Blocus, lord Robert Ceeil. Contrôleur des vivres, lord Devonport. Contrôleur de la navigation, sir Josef Maclay. Il y a lieu ide remarquer que M. Carsc qui figurait sur une des premières listi du comité de guerre, est remplacé pi lord Curzon, ancien vioe-roi des Indes. Sir George Cave remplacera à l'Interiei M. Griffith, qui a décliné ce portefeuilJ M. Hodge est un des leaders travailliste Les ministères d'importance secondai] reçoivent les titulaires suivants : Travaux publics : Sir Alfred Mond; Chai celier du duché de Lancastre : sir Fred rick Cawley; maître général des Postes M. Illingworth; ministre des Pensions : R Barnes; altorney général ; sir E. F. Smitl secrétaire pour l'Ecosse : M. Munro; lorc lieutenant, d'Irlande : lord Wimborne; s crétaire pour l'Irlande : M. Duke. * «s * Le nouveau gouvernement compren donc sept membres de la Chambre de lords; il se compose, au point de vue pol tique, de douze unionistes, neuf libérau: trois travaillistes, un nationaliste indépei dant irlandais, O'Brien, et un armatev n'appartenant pas au Parlement, M. Mi clay. Ils prêteront serment au cours du conse privé qui se tiendra probablement aujou d'hui et leur conférera l'investiture royal Dès mardi, ceux d'entre eux qui n'ont ps à se faire réélire aux termes de la Con titution anglaise, siégeront aux Commune Il est vraisemblable que le premier conse de cabinet aura lieu dans le courant de 1 semaine. Le conseil de guerre, composé de MJ Lloyd George, lord Curzon, Henderson, loi Miiner, Bonar Law, commencera immédi: ,tement ses travaux. —— —>-•••-< —■— ■ >-os»k —i Le procureur général des Etats-Unis J John Davis, parlant, à New-York au nom d gouvernement, a déclaré que des propos tions de paix seraient actuellement impert nentas, et qu'aucune nation n'a le droit d'e proposer Une contre attaque roumaine L'avance des Eusses 3S davs les Carpathe ,-e- COMMUNIQUE RUSSE 0S ;r_ FRONT OCCIDENTAL. — Dans 1 région de ValepiUna et au nord o Dornavalra, les, combats ont continu et nos éléments, en progressant, ont eu surmonter %ine résistance acharnée de l'ai versaire. il/ Dans les vallées du. Trotus, de Sulta < e. de Cosbonniasz., notre avance se poursui le. FRONT ROUMAIN. — Le long de l ir- chaussée Buzeu-Ploesti, les Roumains ol pris l'offensive et ont rejeté l'ennemi a delà de la rivière de Grihovnul. • —>-«»•«»-« Les déportations belges L'ALLEMAGNE REPOND A LA NOTE SUISSE Le gouvernement allemand a remis sa ré ponse à !a note qui lui avait été adressé* par le gouvernement suisse au sujet de it h déportation dea Belges en Allemagne. Cette réponse, conçue en termes très polis, laissa néanmoins à entendre clairement que l£ Suisse n'a pas à intervenir dans les événe-n ments de Belgique tant que ses intérêts ne îs seront pas en jeu. ur La note suisse, on se le rappelle, ne constituait pas une protestation formelle, mais ir une simple indication de l'émotion soulevée e dans la République par les nouvelles de Bel-s' gique. •e LA PROTESTATION AMERICAINE x. La situation est actuellement la suivante : 3- le gouvernement dies Etats-Unis n'étant pas • le représentant attitré de la Belgique à Ber-l lin, ne peut tenter aucune nouvelle action ". sans se départir de la neutralité. Les cercles f' diplomatiques considèrent que sa double pro-l" testation outrepassait déjà les droits diploma--- tiques reconnus. La seule démarche immédiatement prévue est la publication de tous les documents et rapports en possession du gouvernement américain, et qui infligent un 1 éclatant démenti aux .affirmations officielles " allemandes suivant lesquelles les déporta-s tions n'avaient aucun but militaire et ne vio- - laient pas le droit international. La publica-, tion, aujourd'hui, du texte intégral de la - protestation formelle du président Wilson r est interprétée comme un premier mouvement en ee sens La. protestation du président Wilson contre les déportations beiges est due en grande 1 partie à l'action puissante ' des universités - américaines qui ont manifesté violemment . leur indignation, surtout de l'université de s Princeton, dont M, Wilson a été le recteur. . Cette protestation, loin de calmer l'opinion publique, l'a au contraire surexcitée, î Le meeting monstre qui aura lieu vendredi prochain au Carnegie-Hall en sera la preuve. et A LA CHAMBRE BRESILIENNE I. ■d Rio-de-Janeiro, lo décembre, î.- A la Chambre des députés, M. Goncolver Maia a protesté énergiquement contre les déportations de Belgique et a proposé à la - Chambre de questionner le ministre des affaires étrangères, au sujet de l'attitude du Brésil, devant cette violation du droit des gens. r— " \ &SZ&NHE TAVERNE ii, Rue Ed.-Laru (près la place de l'ilôtei-de-Vilie 63 A ^ R1,-! w » < RESTAURAIT A TOUTE HEURE Salons pour réunions et banquets 15 BIL AKDS FRANÇAIS et ANGLAIS * I i i —m >—OI s s»—< — On mande de Berlin qu'un grave acci-_ dent de chemin de fer s'est produit à Frie-drichshafen. Quatre employés des postes ont I. été tués. u — M. Maurice Maeterlink a fait samedi à i- Madrid une conférence où il a célébré aux i applaudissements d'un auditoire d'élite, l'u-n ( nion étroite de tous les Belges, Flamands et Wallons devant l'ennemi commun. t PSS1 Hl *~ Les symptômes sont bien con- S|| nus-' C'est d'abord une semsa- gù L i iY tion d'étouffement et de «-îifto. w. 1®§ \( I cation qui ëtraint ia gorge, || Ifl ! Ç#j$r ! des bouffées de- chaleur qu! & ^ montent au visage pour faîr# pS place à une sueur froide sur- pj tout le corps. L© ventre de-ga Exiger ce portrait vient douloureux, les règles ^ se renouverent irrégulières ou trop abondantes f-m pO et bientôt la femme la plus robuste se trouve v-| ^ affaiblie et exnosée aux pires dangers. C'est jtj pi alors qu'il faut, sans plus ■tarder, faire une IS9 cure avec la g* JOUVENCE de l'Aie SOUHY | fH Nous ne cesserons de répéter que toute fem- p Il me qui atteint l'âge de 40 ans, môme celle qui Bj o| n'éprouve aucun malaise, doit faire usage de s ; PI la JOUVENCE de l'Abbé SOURY à des inter- tj£ vaU.es réguliers, si elle veut éviter l'afflux subit |p ES du sông au cerveau, la congestion, l'attaque la d'apoplexie, la rupture d'anévrisme, etc. Qu'elle t|1 |0j ti'oublie pas que le sang qui n'a plus son cours gy jg§ habituel se portera de préférence aux parties les p PS plus faibles et V développera les maladies les !fe ^ plus pénibles : 'Tumeurs, Cancers, Neurasthê. ^ l-S nie Méirlies, Fibromes, etc., tçjidis q-i'en fai- :%M |I san't usage de la JOUVENCE de l'Abbé SQPRY, |a Femme évitera toutes les infirmités qui la pi iy| menacent. Le flacon 4 tr. dans toutes Pharmacie, Il WM 4 (r, go fu^nco. Expédition franco gare, par 3 £1 fej flacons, contre mandat-poste de 1? fr. aaressâ îi.la. Pharmacie Mag. DUMONTIER» à Rouen. pS (Hotioe oonienant rsnaeignamenta grati»! t-'.^ Ce qu il y a dans les Journaux de Lundi matin | LA POLITIQUE EN FRANCE ' Le Matin. — M. Galli, député de la Seini Le régime constitutionnel actuel, comp mis accepté en temps de paix et alors < personne ne voulait même prévoir la guei diffère considérablement de celui de l'an N'empêche que, si le gouvernement s'organ chez nous en comité de guerre, les Chamb devront elles-mêmes s'imposer une discipl nouvelle et s'inspirer aussi de l'esprit guerre. Elles écarteront de leur ordre du j( les questions qui ne sont que prétextes à r nifestations oratoires. Elles n'imposeront p . aux ministres de consacrer le meilleur de li > temps au verbe, au discours, en séance ;el ne contribueront pas à perpétuer l'impu sance d'agir. Elles siégeront moins souvi pour n'examiner que les grands projets loi qui restent en souffrance, et pour prern ' les mesures d'urgence. La Victoire. — M. G. Hervé : '■ De grâce, qu'on ne fasse pas les choses moitié ! Que tout le travail de réorganisati qui s'effectue en ce moment dans les coulis; ; gouvernementales, ne soit pas à recommeni dans quinze jours, parce qu'on aurait oub de nous donner les deux choses principa' ; que le pays réclame impérieusement depi la grande déconvenue roumaine et la mobi sation civile allemande : des chefs, des n sures de salut public 1 LA MENACE GRECQUE Le Petit Parisien : Le comte Tisza, dans un discours qu'il vie de prononcer, nous a révélé les projets de dt »ière la tète des gouvernements impériaux. ( aurait tort de ne point prendre :iu sérieux 1 propos du premier ministre hongrois, quai il fait appel au monarque grec. Les états-m jors de Berlin et de Vienne sollicitent la ec laboration de ce dernier contre notre arm de Salonique, en lui garantissant, naturel! ment, l'appui de leurs troupes. Il importe donc que nous nous gardio: de ce côté. L'avertissement venu de Bud pest ne saurait être tenu pour négligeable nous sommes payés pour notis défier de Con tantin Ier. LA PRESSE ENNEMIE LES DESENCHANTES Le Tanine, organe du Comité Jeune-Turc : Il convient de tuer tout ae suite les rêvi de ceux qui s'imaginent que les événemen de Roumanie rapprochent la paix. L'Enten continuera la guerre jusqu'au bout. CONTRE L'ARBITRAGE OBLIGATOIRE Nationale Liberale Rundschau. — M. Basse! mann, leader du parti national libéral : Non moins dangereuses que les vues d'aï nexion sont les tendances qui envisagent 1 constitution de tribunaux internationaux d'aï bitrage comme l'un des buts de la guerr Qu'il s'agisse d'organes- permanents de conc liation en cas de différends ou d'une élabor: tion des conventions internationales sur le méthodes applicables à la conduite de 1 guerre, la naïveté traditionnelle de la polit que allemande éclate dans toute sa fore lorsque, à la moindre allusion de sir Edward Grey à cette grandiose manifestation. M. Go ï : thein et nos amis du Berliner Tageblatt dé* r0_ clarent : [ue « Si c'est là les buts de guerre de l'Angle* re, terre, nous pouvons cesser de nous battre. » II- Ces pacifistes admettent même la réglemew ise tation de la conduite de la guerre par conven< pes tion internationale. Nos convictions sont ton* ine tes différentes. C'est la Prusse qui, en 1813, dé. de termina la chute de Napoléon et la libération >ur de l'Allemagne, mais lorsqu'il s'agit de re» ia- cueillir les fruits de ces mémorables . faits us d'armes, Anglais et Russes s'entendirent jur promptement contre les demandes de 11 les Prusse. En vain, Blucher et Gneisenau deman-is- dèrent la frontière, des Vosges ; Talleyrand mt déclara qu'il n'existait d'autre moyen d'évité! de la "guerre future qu'en renonçant à déshonore! Ire une nation grande et forte. Ainsi l'Alsace, ea partie allemande encore au début des guerres de la Révolution devint française tout entière par la force d'arrangements internationaux, à La seconde paix de Paris ne réussit pas da« on vantage à satisfaire nos légitimes revendica» les tions concernant la frontière des Vosges et le :er démantèlement de quelques-unes des places lié fortes de l'Est. L'Angleterre et la Russie s'y es opposèrent à nouveau. lis Après ces expériences et celle de la eonfé-li_ rence d'Algésiras, nous devons renoncer i ie- I espoir de voir les intérêts allemands favorablement accueillis par un arbitrage international.LA PRESSE NEUTRE nt LES DEPORTATIONS BELGES t- )n Le Globe, de New-York : id Cette vilaine action n'a pas été rendue plus a helle parce qu'elle a été recouverte d'un ver-j 'ils d'hypocrisie. Les négriers africains, eux aussi, déclaraient jadis qu'ils prenaient les noirs et les transportaient par-delà l'Océan parce qu'ils vivaient dans l'oisiveté. 35 , On parlait autrefois de l'hypocrisie anglaise, a_ mais on trouverait dniicilement dans les an-I nales du monde une hypocrisie pareille à. celle de l'Allemagne. Il faut que le mond« aoatte l'esprit de l'Allemagne ou soit abatte par lui. Nieuws van den Dag : L'article d^ la iïorddeutsche Zeitunq essayant de justifier les déportations belges *estl un tissu de mensonges révoltants. >g L'ATTITUDE DE LA GRECE < lS Journal de Genève : Le roi a violé la Constitution en disscjlvair coup sur coup deux Chambres et en renvoyant un ministre qui venait d'obtenir, à deu* reprises, sur son programme de fidélité au devoir national, une majorité écrasant.1©. Les puissances qui avaient intronisé la dynastie des Schleswig-Holstein-Sond errbourg-i- Glucksbourg en Grèce, à condition qu'elle gou-a vernât conformément à la Constitution, ont laissé faire. Elles ont traité avec les ministres successifs du roi. Elles ont respecté^ ses pou-i- voirs. Elles n'ont pas voulu voir ce qu'il i- tramait. s La Belgique a été neutre et loyale ; la a Grèce royale a été exactement le contraire, i- Le bulgarochtone de 1913 a calqué sa conduit*} e sur celle de Ferdinand de Coboifrrg. Lutte d'artillerie au front belg En divers points du front belge, Vactiyi de l'artillerie a été assez grande, partie lièrement vers Dixmude et Steenstraeie. «— >-oe»K AU FRONT OCCIDENTAL — x — L'artillerie est très active sur le front anglai COMMUNIQUES BRITANNIQUES 9 décembre, 9 h. soir. (Jn coup de main exécuté ce matin co tre les tranchées ennemies vers Neuvil Saint-Vaast et Souciiez nous a permis d'i fliger des pertes à l'adversaire et de lui t lever une mitrailleuse. Nos mortiers de tranchées ont efficai ment bombardé les lignes allemandes < nord de Ploeg-Steert et à l'est d'Arras. L'artillerie ennemie a montré aujoi I d'hui moins d'activité, sauf dans les s t teurs d'Ypres et de La Bassée et à l'ou.t de Le Sars. 10 déùepibre, 9 h, S0 soir. En réponse au tir de l'artillerie ennen contre la région en arrière de notre fro au nord de l'Ancre, nous avons viole, ment bombardé différents points de la zo arrière allemande. Bombardement ennemi intermittent i sud de l'Ancre. Différents détachements ont été dispen par nous à l'est de Serre et aux abords < bois de Gommecourt. Grande activité réciproque de l'artille", et des mortiers de tranchées dans tout saillant d'Ypres et les secteurs de Loos d'Hulluch. COMMUNIQUES FRANÇAIS 2 heures. Dans les Vosges, un coup de main t nemi, dirigé sur une de nos tranchées sud du col Sainte-Marie, a été repoussé. Bien à signaler sur le reste du front. Dans la nuit du .9 au 10 décembre, groupe de nos avions a lancé de nombre projectiles sur les gares et établissemei militaires de Matigny, Ham et Mons-t Chaussée. 11 heures soir. A l'extrémité sud-est de la Butte du Mt nil, les Allemands ont fait jouer deux r, nés : un combat s'est engagé pour la p< session des entonnoirs; ils sont restés t tre nos mains. Canonnade habituelle sur le reste front. >-•••-< ^ OLYMPIA * Rue Edouard-Larrue — Le Havre Programme de la semaine le masque aux dents blanches madame sans-peur I Matinées â y h. 1/2 les Jeudis, Vendredi at Diœanci SOIRÉES TCOS LES JCVRS à S HEVRES 1 &U FHONT ITALIEN e — L activité des artilleries a été contrariée, dans la zone montagneuse, par des nei-ges abondantes. Elle a manifesté plus d'in-tensité, au cours de la jom.-née d'hier, dans le secteur à l'est de G<orizia et sur le Garso. , nouvelles brèves — Un télégramme -cira Brème annonce qu*. le sous-marin de comuierce « Deutschland » est arri\ é à l'embouel-ture de la Weser après un voyage rapide |Q ^,n avis d'Emgire vient d'instaurer en LO Allemagne le régime de la prison préventive.— Le Reichstag est. convoqué pour le 12 décembre. Le chancelier fera une déclaration sur la situation militaire en Roumanie. ->—eb « es—< n. Programme des Spectacles 71. lundi 11 décembre •.e- Opéra (Lotivre 07-05). — Relâche. m Opéra-Comique (Gui. 05-76). — Relâche'. Comédie-Française (Gut. 02-22). — A quoi ,r. rêvent les Jeunes filles; la Nuit d'Octobre; le Chandelier. ,,, . Odcon ("Fleurus 08-32). — Esther; les Pré-••u creuses Ridicules. Porte-Saint-Martin (Nord 37-53.) — L'Amazone.S-'ra^-Sernhardt (Arch. 0-70). — Relâche de Variétés (Gut. 09-92). - 8 h. 15 ; Moune. Ilt Théâtre Réjane (C. 38-78). — 8 h. 1/2 : H Père prodigue. " Gymnase (102-65). — La Charrette anglaise "•e Bouftes-Parisiens (145-58). - g h. 1» ; F\ii sons un Rêve ! ïtt Nouvel.Atnbigu (436-31) — La Roussotte^ Theâtrc-Antoine (Nord 36-33). — 8 h 1/2 és — L'Otage. lu Palais-Royal (Gut. 02-50). — 8 h. 30 r Ma dame et son filleul. Trianon-Lyriqua (Nord 33-62). — Les Sa! ; timbanques. le Renaissance (487-03). — S h. 1/4 : Le Chc ■et pm Athénée (282-23). — Je ce trompe gias m« mari Châtelet (Gut. 02-50). — "Relâche. Cluny (G. 07-76). — 8 h. 1/4 : Le; Truc d la Boniche. Déjazet (A. 1G-S0). — Une nuit de noces. 'n" Grand Guignol (Central 28-34). -- Le Labo au ratoire des hallucinations ; la Ventouse ; 1 Grain de Poivre ; l'Amour qui pasfse. Vaudeville (Gut. 02-09) — Tbufj les jourf m matinee à 2 h. 30. Soirée à 8 h. 30. L'Inva T sion des Etats-Unis ; Caligula Nouveau-Ciroue (Central 41-34). — 8 h 1/J 1 Nouveau spectacle d'attractions» ■n' Tivoli-Cinéma, 14. rue de la Douane. -Spectacle de 2 heures à 11 heijres. Salle du Gymnase de Satr.tt-Ouen, jeud 7 décembre à 8 heures soir. Concert organis sous les auspices de la mun/.cipalié, par de . artistes exilés, avec la participation de l'Eu u' tre-A'ide lirtiatique (chorale franco-belge] )S- Places à 1 fr. et 50 c. Ep'trée gratuite pou 7i- les militaires Théâtre de la Dauphine, 56, avenue Mail -lu koft (lél. Passy 19-1-5-). — Tous les vendredi samedis, et dimanches, spectaûle varié. Ml tinées dimanches et fêtes. — «a • >a>—< Fourrures es. COr.eX3EMA.IT3 5. AVENUE DE L'OPÉRA, B — PARIS TRANSFORMA TIQ SS ET RÉPARATIONS Maisoa d.e confiance ' —— , ±_ 1, 7-e Gttant : L. COSSON- Imp. de la Bourse, de Coœinerce (G. Bureau âîh suê J >J„ -Bousseau» Paria,

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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