Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois

2004 0
02 oktober 1918
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s.n. 1918, 02 Oktober. Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/v40js9jq42/
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15e Année — N° 40 Uùtâtm & Atainistratio Turfmarkt 31 & 31a L fiaye—7oiép!'i.2H tiui'SdU à iMaestricht : S Hôtel Sitis8e,Vrijtho!,T6!épli. 15 à Flessingue :'Slijkstr\jàt; 6 FRANÇOIS OLYFF Directeur - Fondateur Les Nouvelles Mercredi 2 Oct. 1918 "S [e ABONNEMENTS : 1 iior in par mois bohande- n „ 2.50 fl. par3mois Etranger : port en sus ANNONCES : La ligne : 15 C. er, 4° page Réclames permanentes à forfait Journal belge fondé â Maastricht en août 1914 LA VICTOIRE BELGE La magnifique victoire que les Belg viennent de remporter a provoqué ju qu'à La Haye une vive émotion et u grande joie. L'édition spéciale que no avons lancée dans la journée de dimanc s'est enlevée à de nombreux millic d'exemplaires et par toute la ville l'he reuse nouvelle a été abondamment coi mentée, a formé le sujet de toutes ! conversations. Les nôtres avaient attesté certes, p leur brillants derniers succès du 28 mai du 17 avril, et plus récemment encore cours des mois de juillet @t d'ao que leur valeur combative n'av point fléchi. Quatre années passées da les 'boues de l'Yser, après la glorieu campagne dont on a eu le grand tort ne point publier jusqu'ici le rappc officiel complet — qui constituerait brillant et légitime hommage à la bi voure incomparable des soldats et à haute intelligence des chefs — n'c point émoussé le dur acier des volont unanimes, ni lassé la longue patience d cœurs si ardents à l'action. Les nôtr ont reffréné leur enthousiasme durant d mois et des mois sans rien perdre leur mordant ni de leur entrain. Nous en avons la preuve éclatante a jourd'hui. 11 a suffi d'un signe de Fo et nos braves, qui attendaient ce ges sont partis dans un assaut irrésistib Ils ont fait eux aussi,- la large brêc dans les formidables défenses de l'ennei Et voilà qu'ils tiennent à leur tour l'en vrant bulletin de victoire. Une avance r< iisée de dix kilomètres en profondei Dixmude reconquise, Dixmude dont ruines diront éternellement la bravoi avec laquelle elle fut défendue con l'écrasante supériorité du nombre et matériel; la forêt de Houthulst, le famé repaire de brigands d'où tant de mauv coups ont été tentés contre nous, rep se entièrement ; de gros bourgs com Clercken, Zarren, Staden, Westroosebe Passchendaele, Moorslede, ^ecelaere Zandvoorde libérés ; Rouiers, la gran ville de la West-Flandre, approchée à 3 lomètres; 5500 prisonniers et plus de 1 , canons, dont de nombreuses pièces lourd capturés — tel est l'invraisemblable, le pro gieux bilan des avantages remportés par nôtres en quelques heures sur cette te sacrée où ils puisent, semble-t-il, tel géant de la fable, de nouvelles forces à c que pas qu'ils font en avant sur la p es tie de son sol resté si longtemps inac- s- cessible à ieurs efforts. ie Vous imaginez-vous l'émoi qui doit us saisir nos " jas „ à cette heure sur le he terrain conquis, en comptant leurs gains, rs en recensant leurs prisonniers, en rele- u_ vant les monceaux de cadavres que l'en- n. nemi a dû abandonner dans sa fuite pré- es cipltée? Us ont battu le Boche à plates coutures cette fois. Jamais encore, depuis Liège, ar depuis le premier jour de la campagne, •S) pareil succès, pareille joie ne leur était au échue. Toujours leur satisfaction d'infli- 3t, ger à l'ennemi des pertes graves et de ait lui foire payer très cher son avance, ns avait été mêlée de l'amertune profonde se du terrain qu'on lui cédait, de Aujourd'hui, ce sont enfin les Allemands ,rt qui reculent ! Les rôles orjt changé.La situa- un tion est toute neuve et c'est la première a- étape de ce revirement que nous venons la de marquer avec un brio qui trouvera ,nt écho jusque dans les coins les plus és re/ulés du monde entier. es Car la victoire belge sera saluée pares tout avec une allégresse inexprimable, es Notre pays est toujours la plus belle in-de carnation du Droit pour lequel les Alliés combattent avec un si vif acharnement u- en ce moment sur tout les fronts d'Eu-ch rope et d'Asie. La supériorité que nous te, venons de révéler sur l'ennemi commun le', sera considérée universellement comme he le signe définitif de la déchéance d'un ni. adversaire considéré à juste titre comme l'ennemi du genre humain. :a- La portée de notre victoire, si enni- ir ; *vrante soit-elie et si douce à nos cœurs, [es dépasse ainsi de beaucoup le cadre où elle ire s'est produite. Portée sur les ailes de la tre renommée, elle va grandir encorj la pure du gloire que nous avons conquise dans la ux douleur et qui constituera le meilleur élé ais ment de nos reconstitutions d'avenir, ri- François OLYFF. tne ik, P- S — Le téléphone — qui fonc- ej <ians fï" permanence depuis quelque de temps! — nous apporte coup sur coup ki- la nouvelle de la chute de Cambrai, de 00 la reddition de la Bulgarie et de la dé- es, mission de Hertling et de von Hintze. di- Cela va fort décidément !... Soyez les assuré que c'est le commencement du rre grand effrondrement. Et pensez au baume le souverain que toutes ces heureuses nou- ia- velles vont appporter à nos frères' de la ar- Belgique opprimée ! Le Môle Germanique » Sous le titre " The German Mole , otre excellent confrère M. Jules Clae: irecteur de la Métropole d'Anvers, édité Londres depuis la guerre, a réuni sou î forme d'une étude sur l'Art de 1 Pénétration pacifique „ la plupart de rticles qu'il avait publiés dans son joui al pendant les deux premiers mois d i guerre, dans Anvers assiégée. Les Anversois surtout liront cette œuvr vec plaisir et émotion. Ils y retrouve ont retracée toute œuvre des von Ban es Ma.linckrodt, des boches authentique t des naturalisés plus malfaisants er ore, qui avaient fait d'Anvers un bastio vancé de la pénétration allemande. M. Claes montre les manœuvres d employé allemand, premier artisan de 1 ujétion économique de la Belgique, lissèque la colonie allemandes d'Anver: îs sociétés, " Verein „ de toutes espèce: lepuis les sociétés de secours, en pas ant par les sociétés de gymnastiqui ss " liedertafel „ sociétés d'anciens com lattants, " seemansheim „, etc., jusqu'au ociétés " pour le maintien de l'humoi jermar.ique! „ Le chapître des écoles allemandes Envers est longuement développé. L'ai eur y rappelle notamment l'histoire c a " Algemeene Deutsche Schule „ où ^tait de bon ton pour les Belges d'ei foyer leurs enfants, et qui prouve comrr e virus du pangermanisme avait fait de avages profonds dans notre grande mi ropole. 11 publie aussi la fameuse liste de toi :eux, Allemands naturalisés ou non i belges naïfs, qùi soutenaient de leui îeaux deniers cette oeuvre néfaste et ai iftationale. Notons encore l'étude très poussée d( premières manifestations du pan-germ; lisme en Belgique, celle des conditior l'existence des journaux allemands dar notre pays et l'histoire de ce scanda sans nom de la souscription à l'empru: de guerre extraordinaire de 1913, auqu tes boches authentiques d'Anvers, ain d'ailleurs que les naturalisés belges, oi tous voulu participer. —u M.Claes dévoile les premières manœuvre: " allemandes tendant à envenimer la querellf é des lrngues en Belgique et prouv< s péremptoirement que l'Allemagne avai a depuis longtemps son plan dressé à cf :S propos. Ecrit dans un langage clair, facile £ e lire, et soigneusement édité, ce livre devrait être répandu comme une Bible par-e mi nos compatriotes. Tous les Belges :- devraient le lire, le relire, le méditer e j, en tirer une règle sévère de conduite. I s a été composé évidemment pour attire: i- l'attention du public anglais sur la situa-n tion qui existait avant la guerre en Belgique et spécialement à Anvers. Il n'ap-e prendra rien de neuf peut-être à ceu? a des nôtres qui le compulseront, mais di Il moins leur servira-t-il d'aide-mémoire e >, de sérieux avertissement : beaucoup ds 5, manifestations, dont ils ont été les témoins inattentifs et distraits, prendron î, tout-à-coup à leurs yeux, à la lueu: des événements tragiques que nous vi-x vons, toute leur force d'enseignement. ir Car il ne faut pas — à aucun prix ! — que la situation qui existait à Anver: à avant la guerre, puisse lentement se re i- constituer. Anvers doit-être aux Belges le et non plus aux Allemands, vrais ou faux il naturels ou déguisés. Il faut que nou: i- soyons maîtres enfin chez nous, seul: le maîtres, et que ceux qui nous avaien s peu à peu attirés dans le filet englué e ;- doré de leur rapacité commerciale n'; remettent plus jamais les pieds, ni pa is eux-mêmes, ni par personnes interposées ;t Après la guerre, nous voudrions que 1 "s livre de M. Claes soit notre bréviaire, 1 î- catéchisme de nos enfants et que l'espri d'ardent patriotisme dont il est imprégn :s assure notre sauvegarde et notre rédemp i- tion ! is • — is ^ La Bulgarie s'est rendue el si LONDRES, 30. — Reuter : ît La Bulgarie s'est rendue sans con ditions Les Beloes débordent Rouiers —-u— - Ils prennent Gheluvelt et font encore un gros butin 10.000 nfisntinîpfs 900 panons £_ \ Les Anglais entrent dans Cambre j- et prennent 4,000 prisonniers et 40 canons St-QUENTiN DÉBORDÉ DU N. ET DU S. Is e Les Français avancent sur l'Ailette et en Champagne 1s "a : _ I La Bulgarie capitule sans conditions e. î- ^ 10.000 Tgsrcs se rendent aux Anglais i- j 5 L'encerclement de Rouien l Les Belges's'emparent de Amerivelde, Staden et Qost nieuwkerke LE HAVRE, 30. — Officiel belge : ^ Malgré la pluie Torrentielle qui tomb de façon continue depuis ' hier soir, no ^ troupes ont, avec le concours de troupe ^ françaises, continué à progresser sur tôt le front d'attaque. Dans la journée du 30 septembre, sur montant les résistances de l'ennemi et le grandes difficultés du terrain, nous avon enlevé Amerivelde, Staden et Oosl nieuwkerke et û^passé en plusieur „ points les routes de Zarren a Rouiers « de Rouiers a Menin. Le butin conquis jusqu'à hier soir e; considérable. Des dépôts importants d z toute espèce sont tombés entre nos main ^ ainsi que du matériel de chemin de fei Malgré le temps défavorable, les avia _ lions belge et alliées n'ont cessé de pai ticiper énergiquement aux opération: mitraillant les troupes ennemies, bombai ^ dant les communications et coopérant a travail de notre infanterie et de notr artillerie. Dans la journée du 29, nos aviateur ont abattit en flammes deux ballon ennemis. s La Victoire Belge e Près de 10,000 prisonniers en tou .® 200 canons LONDRES, 30. — Reuter : Le corres pondant particulier de Reuter au fror anglais télégraphie à propos® de l'attaqu a en Belgique que jusqu'à présent les Be ges ont fait environ 5500 prisonniers e " et les Anglais 4,000. Les Anglais ont cap ® turé eux aussi une centaine de canons il Un superbe ordre du jour r du Roi Albert LE HAVRE, 30. - Havas : Au moment où l'armée belge alla s'élancer à l'attaque des positions alk x mandes, le Roi Albert a adressé à se ^ troupes l'ordre du jour suivant : Soldats, vous allez lancer un puissar e assaut aux positions ennemies. " Aux côtés de vos héroïques camaré des britanniques et français, il von 1 appartient de refouler l'envahisseur qi opprime vos frères depuis plus de quatr ans. L'heure est décisive. s Partout l'Allemagne recule. Soldats ! montrez-vous dignes de 1 >> cause sacrée de notre indépendant dignes de nos traditions et de noti s race. En avant pour le droit, pour i s liberté, pour la Belgique glorieuse i 't immortelle ! La débâcle allemande J LONDRES, 30. — Reuter : 3. Les autorités militaires estiment qi le l'avance de ; Belges et des Anglais € le Flandre constitue une menace grave poi it tout le système des communications alli [é mandes en Belgique. )- L'avance sur un front de 25 mill< (40 km.) a déjà dépassé une profondei de 8 milles (13 km.). La chute de Cambrai est imminent La place n'est plus d'aucune utilité ai 9 Allemands, de même que St-Quentin. I pèree de ces deux villes obligerait 1< Allemands à rectifier tout le front ent; [« la iScarpe et l'Oise. La retraite au de de "l'Ailette est très proche aussi. î L'offensive est conduite par Aibert-le-Brave LONDRES, 30. — Reuter : L'attaque entre Ploegsteert et Dixmude se fait sous le commandement du Roi Albert qui dirige les opérations avec le e général anglais Plumer. 3 La bataille a recommencé ce matin. s 22,000 prisonniers, 300 canons LONDRES, 29. — Reuter officiei soir: A l'aurore, la bataille s'est déroulée à s notre avantage vers le S. jusqu'à St-s Quentin et fait rage sur 30 milles depuis . ce point jusqu'à la Sensée au N. de s Cambrai. t A l'extrême droite nous avons attaqué le long de l'Escaut à Bellenglise et vers j le N. La 40e division a fait là un ponton g de divers matériaux rassemblés, sous un g violent feu d'artillerie et de mitrailleuses et a pris pied dans les forteresses Hin-denburg établies sur la rive orientale de l'Escaut en ce point. En dépit de la pro-. fondeur de l'eau, de la largeur du canal, de la violence du feu ennemi, les ou-u vrages ennemis sur l'autre rive auxquels e appartient aussi Bellenglise et divers tunnels fortifiés ont été pris par cette divi-s sion. s Progressant ensuite avec vaillance sur la crête des collines le long du canal, nos troupes ont fait de nombreux prisonniers. Bellenglise, Lehaucourt et Ma-t gnylaposte sont dans nos mains.D'autres troupes anglaises ont progressé dans la boucle du canal -au S. de Bellenglise. En même temps des troupes américai-nés sous le commandement du général e Read ont attaqué la ligne Hindenburg sur " un front plus au N. de 6- kilomètres au point où l'Escaut canalisé traverse un tunnel. Elles ont pris sur le flanc droit B e 1-licourt etNauray. Sur la rive gauche on se bat prés de Bony. Au centre de notre front d'attaque V i 11 e r s-G u i s 1 a in est pris. Sur l'aile gauche de notre attaque, nos troupes ont forcé le système de défense qui protège Cambrai au N.-O. et ont atteint les faubourgs de la ville. Plus au N. elles ont pris S an court où de violentes contre-attaques allemandes ont été brisées. Les Anglais ont purgé les rives au S. du canal de la Sensée. ~ Pendant les trois derniers jours nous avons s fait plus de 22,000 prisonniers et pris 300 11 'canons entre St-Quentin et Cambrai. Des troupes néo- zélandaises ont nettoyé le Welsridge et brisé une contre-attaque ennemie, prisLavacquerie et les débouchés de Bonavis et de Masnières. f Pendant ce temps, la 62e division s'est assurée les passages de l'Escaut canalisée e et a poursuivi son avance. Après un com-^ batsurIesconfinsO.de Masnières et de L e s r u e sVe r t e s, ces deux villages ont été pris par nous en même temps que le système de défense de Rumilly. Nous avons atteint les débouchés 0. de cette te localité. n Sur leui aile gauche la 2é" division a jr frtnchi le canal à Noyelles et progressé de 1 1/2 kilomètres à l'E. du canal. Le passage a été forcé à l'E. de Cantaing >s et les débouchés S. de Cambrai ont été ïr atteints. ex Une armée turque capitule ,a LONDRES, 30. — Reuter officiel : :s Une grande force turque s'est rendue -e ' aux Anglais à Ziza, au S. d'Amman, là sans conditions. Cette force se monte à 10.000 hommes. K— —H ieddensâZoon § PARDESSUS D'HIVER ATf) depuis fi. 50 p '(n i LA HAYE ROTTERDAM Eofweg, !i Heogsiraa!, 35S Les Anglais dans Cambrai 4000 prisonniers et 40 canons LONDRES, 30. — Reuter offic. matin: Au cours de nos opérations au N. de St-Quentin, la 46e division Nord et Midland a fait dans la seule journée d'hier 4000 prisonniers et pris environ 40 canons. La résistance de l'ennemi a été opiniâtre hier dans ce secteur, entre Belli-court et Gonnelieu. Les troupes américaines, anglaises et australiennes ont eu à combattre vigoureusement, jusqu'à ce que, tard dans la soirée, elles pussent gagner du terrain et faire beaucoup de prisonniers. Dans Bony et Villers-Guislain, l'ennemi a réussi tard dans la soirée, à repousser quelque peu nos troupes dans les faubourgs extérieurs ouest. Partout ailleurs nos gains ont été maintenus et nous avons gagné à nouveau du terrain au N. de Gonnelieu dans la soirée. Un combat violent a eu lieu également hier à midi sur l'aile gauche du front de bataille ; nos troupes avancées qui avaient occupé Aubencheul-au-Bac et étaient entrées dans Arleux, ont été forcées de se retirer hors de Sces deux villages. A l'O. et au N. O. de Cambrai l'ennemi n'a pas été en état d'empêcher nos troupes d'avancer ; nos détachements avancés ont atteint le carrefour des routes d'Arras à Cambrai et de Bapaume à Cambrai et sont entrées dans les faubourgs N. de Cambrai. Une contre-attaque ennemie dans ce secteur a été repoussée avec de lourdes pertes. Fortes pluies pendant la nuit. Le temps est toujours orageux. Entre l'Aisne et la Vesle ies Français avancent surun front de 12 km — Nouvelle progression aussi en Champagne 1,600 prisonniers PARIS, 30. — Havas officiel 2 h. : Pendant la nuit, les Allemands ont lancé de violentes attaques contre nos positions dans la région d'Urvillers, au S. de Saint-Quentin. Tous leurs efforts pour prendre la cote 88 ont éçhoué sous notre feu. Activité d'artillerie de part et d'autre entre l'Ailette et l'Aisne. En Champagne, il n'y a pas eu d'opérations importantes la nuit dernière. La bataille a repris a l'aube. PARIS, 30. — Havas off. 11 h. soir : Entre l'Ailette et l'Aisne, nous avons avancé à l'E. d'Ostel. Les unités italiennes qui combattent au N. de l'Aisne ont pris Soupir. Entre l'Aisne et la Vesle, nous avons attaqué ce soir et accompli une avance considérable sur un front d'environ 12 km. Malgré la , résistance de l'ennemi, nous avons occupé R é v i 11 o n, Romain et Montigny sur la Vesle. Poussant plus au N., nous avons at-

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