Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois

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25 september 1918
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s.n. 1918, 25 September. Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/rb6vx07g11/
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15' Année — N° 32 jjéÉcticn & AiCÎmiîîistratisr lurfmarkt 31 & 31a La Haye —Téiépb 216 Bureau à Maestriciit : Hôtel Suisse,Vrijthof,Télépn.169 à Flessingue : Slijjistraat, 6 FRANÇOIS OLYFF Directeur - Fondateur Les Nouvelles Mercredi 25 Sept. 1918 » «SCKÎS le numéro ABONNEMENTS : ,, ,, . 1 florin par mois Hollande: „ .. „ 2.50 tL par3mois | Etranger: port en sus ANNONCES : La ligne : 15 C. en 40 page Réclames permanentes à forfait Journal belge fondé â Maestricht en août 1914 La Réponse Belge si Le Gouvernement Belge par la bouche de son ministre des Affaires Etrangères, M. Paul Hymans, et sous l'égide de son chef de cabinet M. Gérard Cooreman, vient de faire à de louches et insidieuses propositions de l'Allemagne, une réponse claire et nette. Il a affirmé une fois de plus énergiquement ce que le merveilleux esprit de nos soldats dans les tranchées de l'Yser exprime chaque jour avec une suprême éloquence, ce que disent aussi avec une farouche ténacité toutes les voix qui viennent du pays occupé. La Belgique entière veut la liberté, la liberté sans réserve et sans restriction, la liberté totale que nous aurons payée à nouveau de nos souffrances et de notre sang. 3* M. Gérard Cooremah est né à Gand le 25 mars 1852. Il conquit, en 1875, le grade de docteur en droit à l'Université de sa ville natale. Pendant une dizaine d'années, il occupa au barreau uue place très distinguée, qu'il quitta à la mort de son père pour gérer les intérêts que sa famille possédait dans l'industrie et la finance. Conférencier très écouté et écrivain érudit, M. Gérard Cooreman fut activement mêlé à la vie publique, et ses concitoyens le choisirent, le 14 juin 1892, pour représenter l'arrondissement de Gand au Sénat. Il siégea pendant six années au sein de la Haute Assemblée. Le 22 mai 1898, il fut élu membre de «N M. Gérard Cooreman /4 <« rto lialirû M. Cooreman l'a déclaré fort justemer au correspondant d'un grand journal p£ risien : " Le peuple belge, placé entre la bri talité des faits et l'apparence cauteleus des mots sous lesquels l'Allemagne vei cacher son misérable jeu, est trop réalisl pour s'y laisser prendre, trop patriote poi faillir, trop fier pour s'incliner. „ Cette formule concise résume admire blement la situation en ce qui nous cor cerne. Il faut savoir gré à notre premie ministre de l'avoir si bien compris corr me d'avoir su exprimer aussi catégor quement notre pensée profonde à tous, s'est fait une fois de plus l'interprète d la nation unanime; il a agi, comme il n cesse de le faire depuis son arrivée a pouvoir, en véritable homme d'Etat. Après avoir rappelé les diverses décla rations si franches et si fermes des puis sances alliées en faveur de la restauratio de la Belgique, M. Cooreman a ajout avec non moins de loyauté : " Le gouvernement belge n'a jamai varié. Il continue d'affirmer que la Belgi que ne se prononcera sur les condition générales de la paix et sur la réorgani sation des relations entre Etats qu'en pleii accord avec les puissances dont les ar mées luttent avec la sienne pour la caus du droit. * Voilà la lign» droite, la belle attitude la seule qui puisse nous permettre ai moment des grandes discussions de pai: de faire valoir tous nos droits et de ré clamer tout notre dû. C'est tn persévé rant dans cette attitude, la plus noble, L seule qui s'accorde avec l'héroïsme de no soldats et de nos frères opprimés qu< nous parviendrons au bout de nos pei nés avec l'auréole d'estime et de gloin que nous a value dès le premier jou notre fier refus aux infâmes proposition allemandes. C'est le moment peut être de consacre quelques mots de rapide actualité ai chef trop peu connu qui préside en ce conjonctures aux destinées du pays e auquel il n'a fallu que quelques semaine pour révéler sa haute valeur faite de boi sens clair, de saine modération et d solide clairvoyance, it de la Chambre des Représentants et le i- 24 janvier 1899 S. M. Léopold II, lui confiait le portefeuille de ministre de l'industrie et du travail, qu'il abandonna le 5 " août 1899 pour des raisons de santé. En 1895 il avait été nommé membre du Con-seil communal de Gand. Sa parfaite-e connaissance des questions sociales le ir prédestinait à remplir les fonctions de président de la Commission instituée pour l" l'étude de la réorganisation de la bien-faisance, de membre du Conseil supérieur ;r de l'Industrie et du Commerce, de prési-" dent du Conseil supérieur du Travail, qui lui furent successivement conférées. '' De nombreux congrès d'œuvres sociales e ont entendu sa parole autorisée. Les mul-e tiples services rendus au pays par M. u Gérard Cooreman furent reconnus une fois de plus officiellement, lorsqu'en 1912, S. M. le roi Albert lui donna le titre de ministre d'Etat. i § L'homme qui a un tel passé n'est certes pas le premier venu. Il fallut cependant s son élection à la présidence de la Cham-_ bre pour donner à M. Cooreman quel-s que notoriété dans le Pays et il aura fallu . la guerre pour créer autour de ce nom i cette popularité de bon aloi qu'il méritait . largement. C'est qu'en dehors et au-dessus a de ses plus belles qualités, M. Cooreman a le mérite encore d'être un modeste, un homme qui jamais ne rechercha aucun honneur. Nul plus que lui n'est éloigné de l'intrigue, de l'ambition prétentieuse et exagérée. Il est incontestable que l'atmosphère de notre politique s'est purifiée depuis son arrivée au pouvoir. Il y a plus d'union au gouver-ment, plus de cordialité et de confiance dans la nation. Son sage souci de se préoccuper avant tout de l'opinion du pays occupé, où sept millions de Belges grandissent à l'école du malheur, n'a pas peu contribué à le camper d'emblée en bonne place dans la considération et la gratitude de tous les Belges. Le soin qu'il a pris immédiatement du sort des soldats belges internés en Hollande, la façon dont il a réglé provisoirement la question des langues et celle de la réforme électorale, de même que les efforts couronnés de succès qu'il a accomplis ——a—m——aaKiM——wsttga—aaBfgq—MCW La Belgique loyale Nouveaux documents Nouvelles preuves LYON, 19. — En réponse à un article, publié par le colonel suisse Egli, dans le Basler Nachrichten, le major, Collon, attaché militaire à la légation de Belgique à Paris, a écrit au colonel Egli une lettre qui constitue un document de la plus grande importance. Voici les faits tels que le major Collon les rapporte : Le 3 août 1914, le ministre de France à Bruxelles, après la nouvelle de l'ultimatum allemand à la Belgique, fit au nom du gouvernement français au gouvernement belge l'offre d'appui des armées françaises. Le gouvernement belge a refusé cet appui parce que l'ultimatum allemand n'avait été accompagné d'aucune opération militaire. Ce n'est que le 4 août, après la violation du territoire belge, que le secours des armes françaises a été accepté en principe, et ce n'est que le 5 que ce concours a été réalisé. Ce délai a donné à l'Allemagne le temps et l'occasion d'agir et lui a valu des heures de répit qui étaient de la plus grande importance pour le déploiement de ses armées. Faute d'un accord conclu d'avance et à cause du long délai qu'il a fallu pour coordoner l'action des troupes belges et françaises, le plan de défense belge dans la direction de Liège, attaquée par les Allemands, a échoué. Ce n'est que le 5 à midi que j'ai rejoint, en ma qualité d'attaché militaire, le grand quartier général français à Vitry-le François et ce n'est que ce jour également que le général Joffre, sans perdre de vue les opé-pations du corps de cavalerie de Sordet, a pu permettre à ses divisions avancées de pénétrer en territoire belge, de la Meuse française vers la Semois pour en garder les ponts. Ce n'est que le 6 qu'en ma qualité d'attaché militaire, j'ai été chargé d'établir les communications télégraphiques et téléphoniques entre le quartier général français, la place forte de Namur et le grand quartier général belge à Louvain, communications qui n'existaient pas encore et qu'il fallait établir dans le but de permettre au corps de cavalerie de Sordet de développer à l'aise ses opérations. Le mouvement de ce corps, commandé d'abord pour le 5, n'a été exécuté que le lendemain en liaison avec les troupes belges de Namur et de Liège et l'armée de Louvain. Moi-même j'ai envoyé en Belgique, dans l'après-midi du 6 août, les détachements français chargés de la défense des ponts de la Meuse,. Ce n'est que dans la nuit du 6 au 7, après m'être acquitté de ma tâche auprès du gouverneur de Namur, que je suis arrivé au grand quartier général belge pour l'avertir que la France proposait de réaliser la coordination des opérations belges et françaises. Le major Collon rèvèle encore le fait suivant qui résout à suffisance la question des responsabilités : Vous (le colonel Egli) aurez une autre preuve réelle et irréfutable de la responsabilité de l'Allemagne. Elle renforce mon témoignage de telle sorte, qu'aucune personne loyale ne pourra plus en douter. Cette preuve, vous la trouverez dans le fait peu connu de la mobilisation de l'armée bannovrienne (l'armée de la Meuse sous le commandement de Vdn pmmich) commencée le 21 juillet, et de sa concen-concentration en Wesphalie commencée le 26 en face de la frontière de Belgique. Cette armée devait prendre Liège par surprise et couvrir le déploiement stratégique et l'avance de la formidable armée alllemande qui devait traverser notre pays d'une traite, tourner le front français du N. et tomber sur les armées anglo-françaises pendant qu'elles auraient fort à faire pour s'établir dans les positions qui leur étaient indiquées: Tout cela aurait fini la guerre en quelques Semaines, si nous n'avions, nous les Belges, été là pour, de tout notre courage et de tout notre sacrifice, parer le coup. Nous publierons demain UNE LETTRE DU HAVRE Pour assurer le ravitaillement des populations du pays envahi, prouvent sa volonté de gouverner pour l'intérêt général, dans l'esprit de haute sagesse qui l'a toujours animé et auquel ses adversaires politiques étaient avant la guerre les premiers à rendre hommage. Et l'on peut dire sans flatterie comme sans forfanterie, avec la certitude d'exprimer une vérité foncière, que la Belgique possède en lui le chef qui pouvait lui offrir le maximum de sécurités dans le présent et le plus de chances d'avenir. François OLYFF. L'avance en Macédoine est de 15 km. L'ennemi se retire sur un front de 150 km. — Le Vardar est franchi, de nombreux villages sont encore conquis — Les Serbes et les Français V en route vers llskub — Les Italiens avancent de 12 kilomètres et prennent 16 villages En Palestine, les Anglais ont capturé 25,000 prisonniers et 260 canons c Les Serbes franchissent le Vardar et occupent la voie ferrée Uskub-Salonique LONDRES, 23. — Reuter officiel : Par suite des attaques et de la poussée violente et continue des troupes anglaises et grecques, en coordination avec l'avance des Anglais et des Serbes, les Bulgares ont, plus à l'O., évacué toute leur ligne du Doiran jusqu'à l'O. du Vardar. Ils ont incendié la gare de Houdova. Cestove, Tike et Tatarlin et des magasins.Leurs troupes et leurs transports emplissent la route vers le N. Nos avions mitraillent violemment leurs colonnes à la bombe et à la mitrailleuse. Nos troupes avancent et ont atteint la ligne Kara, Ogular, Hanzali, à un kilom. au S., de Bogdance et à l'O. du Vardar. Elles avancent vers Mrzenoi, en liaison avec les Grecs à Gourincet. LONDRES, 23. — Reuter agence serbe: Nos troupes ont passé le Vardar le 21 et ont coupé la ligne de chemin de fer la plus importante (Uskub-Salonique). Elles ont passé aussi la Czernarka et coupé la ligne de .chemin de fer qui constituait la principale voie de communication des Allemands de Grodsko à Prilep. L'avance effectuée depuis le 15 est maintenant de 65 km. Nos troupes ont pris Kavadar et 15 villages. Les italiens s'emparent des premières lignes bulgares dans la boucle de la Czerna ROME, 22. — Stefani officiel : Dans la courbe de la Czerna, nos troupes ont/commencé, en coordination avec l'offensive générale des Alliés, une avance vigoureuse vers le N. Nous avons enlevé les premières positions ennemies L'avance des; Italiens ROME, 23. — Stefani officiel : Nos troupes ont brisé la résistance des troupes de couverture bulgares et vaincu en même temps les sérieuses difficultés du terrain; dans la nuit du 22 nous avons continué à poursuivre les Bulgares qui se retirent vers l'Alba. Après avoir effectué une avance moyenne de 12 km. et pris 16 villages, nos troupes ont atteint à leur aile gauche la ligne Cairli-Dobrusovo-Musaona, tandis que leur aile droite occupait le monte Bobiste. On annonce la prise de nombreux prisonniers.De grands événements se préparent... LONDRES, 23. — Reuter : Toute la poussée serbe s'est faite beaucoup plus vite qu'on ne s'y attendait dans les cercles militaires et les Serbes se sont si vaillamment battus qu'il est plaisant de se rappeler les discours du kaiser les disant hors combat. L'ennemi plie aussi au front britannique du lac Doiran. La seule voie du salut est la route de Kosturino vers la Stroumitza qui est violemment bombardée. On s'attend à ce que de grands événements se développent. L'avis de Venizelos ATHENES, 23. — Reuter : M. Venizelos a confié à un journaliste que la brèche faite dans le front bulgare par suite de l'avance des Serbes au N. du Drobropolje, aura des suites particulièrement favorables. Bientôt des événements très importants se développeront en Macédoine. Le communiqué bulgare SOPHIA, 22. — Ag. bulgare offic. : A l'O. du lac Ochrid'a et près du Czer-vena-Stena, violente action de l'artillerie ennemie. Au N. de Monastir (Bitolia) des assauts ennemis ont été repoussés après un corps à corps. Nous avons fait des prisonniers grecs et français. A l'O. de la Czerna, nos bataillons ont livré de durs combats contre des forces ennemies considérables pour la possession des hauteurs au S. de Brojatzi et de Drehovo. Par suite de l'inflexion de notre front dans la courbe entre la Czerna et le Vardar, nos unités voisines ont été retirées au S. de Prilep et au N. de Doiran. 3 Les Bulgares se retirent en plein désordre sur un front de 150 km. — Les Alliés approchent de Prilep PARIS, 23. — Havas officiel : Les succès des armées alliées en Macédoine ont pris le caractère d'une grande victoire. L'avance rapide des armées françaises et serbes vers le moyen Vardar a provoqué la retraite précipitée des armées bulgares sur tout le front de 150 km. entre Monastir et le lac Doiran; nos armées poursuivent vigoureusement les Bulgares. Au N.-E. de Monastir, nous avons atteint la ligne Mogila-Kanatlartei-Kalyani, tandis que, plus au N. les troupes Serbes avancent vers Prilep et vers la croupe montagneuse de Babouma qui s'appuie au Vardar de ôradsko à Demir-Kapou.-Les Serbes ont même débarqué des troupes sur la rive gauche de la rivière. Dans la vallée du Vardar, les Alliés ont dépassé la ligne Koynsko-Gourinsjet, sur la rive gauche de la rivière et pris Gevgheli et toute la première ligne ennemie jusqu'au lac Doiran. L'arrière garde bulgare s'efforce de contenir la poursuite. Sur les routes de la région Monastir-Kitchevo-Prilep, les colonnes bulgares se retirent dans un désordre indescriptible, mitraillées sans relâche par nos avions. De nombreux villages et des dépôts sont en flammes. Les Alliés ont pris des prisonniers, des canons et une quantité énorme de matériel de guerre qu'on n'a pu encore inventorier. Nous avons pris notamment sur la voie ferrée du Vardar des locomotives, 3 trains complets et 2 pièces à longue portée .sur leurs plates-formes. En plusieurs endroits des divisions bulgares démoralisées ont été dispersées et ont jeté leurs armes. D'après les dernières nouvelles, l'avance continue sur tout le front. n EN PALESTINE Deux armées turques totalement détruites LONDRES, 23. — Reuter officiel : Maintenant que les Britanniques occupent les passages du Jourdain à Dziesr-ed-Damië,la dernière échappée est supprimée à l'ennemi à l'O. de.la rivière. Les 7e et 8e armées turques ont en fait cessé d'exister : tout est tombé dans nos mains. A 8 h. hier soir nous avions compté 25.000 prisonniers et 260 canons. Et ces chiffres augmenteront considérablement, encore. Les Turcs se déclarent satisfaits CONSTANTINOPLE, 22. - Agence Milly officiel : Le mouvement en arrière se continue suivant notre plan et en ordre parfait. Notre arrière-garde oppose partout une vive résistance à l'ennemi. K3 Sur le Front Occidental Les Français prennent le fort et le village de Vendeui! PARIS, 23. !— Havas officiel 2 h. : Dans la région au S. de St-Quentin, nos troupes ont continué leur avance hier à la fin du jour et dans la nuit. Elles ont progressé dans le bois au N. de La Fontaine, ont pris le fort et le village de V e n d e u i 1 et ont avancé en cet endroit jusqu'à l'Oise. Nos détachements de reconnaissance ont fait quelques prisonniers au N. de l'Aisne et en Champagne près de la Butte du Mesnil. Nous avons repoussé des assauts de l'ennemi au N. de la Vesle et dans les Vosges. PARIS, 23. — Havas offic. 11 h. soir : Rien d'important au cours de la journée,. excepté au S, de St-Quentin où nous avons atteint l'Oise entre Vendeuil et Tra-vecy.

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