L'indépendance belge

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s.n. 1915, 22 Juni. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/d50ft8fg4k/
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L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UN!: ONE PENNY BELGE. CONTINENT: 15 CENTIMES ADMINISTRATION ET REDACTION : BUREAUX A PARIS : " - vrryrq q qtttt r rer<! TUDOR HOUSE, TUDOR ST., LONDON. E.C. "• PLACE DE LA BOU:RSE_ LONDRES, MARDI 22 JUIN 1915. ABONNEMENTS : je MOIS,' 17 SHILLINGS. I CONSERVATION PAR LE PROGRÈS. TELEPHONE: CITY 3960. TELEPH.: 238-75. Il AN. 32 SHILLINGS. ) SOMMAIRE. LA SITUATION : Progrès français en Alsace et dans les Vosges. — Succès allemand en Argonne. —Retraite russe vers Lemberg. — Avance italienne.—La situation dans les Balkans. La Belgique industrielle et commerciale de demain.—Emile Royer. Grandes causes...Grands effets.—Camille Roussel. Notes de l'Afrique du Sud.—Lydius. Billet Parisien.—Jean-Bernard. Emile Vandervelde répond au citoyen Noske. Faits menus, menus propos. — Bob. Les billets de banque belges. La grande réunion patriotique. British Gifts for Belgian Soldiers. Tombes fleuries. — Marcel Wyseur. En Belgique. Mariages des Belges réfugiés en Angleterre. Echos. Théâtres. Nécrologie. LA SITUATION. Mardi, midi. "Les succès austro-allemands en Ga-licie confirmés maintenant par Pétro-g'rad, ne diminuent en rien la force de résistance de nos vaillants alliés, qui, tout en se retirant, continuent d'infliger des pertes énormes à l'ennemi, et, point essentiel, maintiennent aussi solidement que jamais, la cohésion de leurs lignes. Tous les efforts des généraux teutons de couper une partie des armées russes ont jusqu'à présent échoué, et c'est tou-jouy un ennemi imbattu que les légions austro-allemandes poursuivent sans jamais réussir à le saisir et à le terrasser. D'après les évaluations des critiques militaires les plus autorisés, les forces austro-allemandes opérant en Galicie s'élèveraient à un total de 1,500,000 hommes. Pour atteindre ce chiffre les troupes à pied d'œuvre furent renforcées, avant l'offensive, de 47 régiments d'infanterie, dont 23, paraît-il, provenaient du front occidental, les 24 autres représentant des troupes fraîches de formation récent?. Le but stratégique que se proposent les Allemands n'apparaît pas encore clairement, mais le but politique est évident si l'on tient compte de l'état actuel des pourparlers "diplomatiques en cours avec les Puissances balkaniques. Sur le front occidental le mouvement enveloppant français dans la direction de Souchez a encore progressé. De même en Alsace et dans les Vosges nos alliés ont pu enregistrer de nouvelles avances. A l'est de LunéviUe les tranchées allemandes de première ligne furent occupées sur un front de plus de deux kilomètres du côté de Reillon et les patrouilles françaises poussèrent des pointes vers plusieurs villages-frontière. Dans les Vosges, des progrès ont été faits du côté de la passe du Bonhom ne et dans la vallée de la Fecht. Sur le front italien les conditions cli-matériques paralysent presque complètement les opérations. Les troupes <Ju général Cadorna ont néanmoins occupé des positions qui commandent les approches de Plezzo sur l'Isonzo. En Afrique, les troupes du général Botha ont occupé Omararu, sur la ^gne de chemin de fer Swakopmund-Groot-fontein. LA BELGIQUE INDUSTRIELLE ET COMMERCIALE DE DEMAIN. C'est le titre d'un livre qui vient de paraître chez Berger-Levrault, libraires-editeurs, à Paris et à Nancy. Il a pour auteur notre compatriote, M. Robert Billiard, industriel, ingénieur des Constructions Civiles. Il est préfacé par M. Henri Lafon-taine, le sénateur belge que " L'Indépendance " compte parmi ses collaborateurs.Je n'avais pis l'honneur de connaître M. Robert Billiard. Je l'ai entrevu tandis qu'il venait apporter son ouvrage à l'un de mes amis, qui me l'a passé. Sorti de l'Université de Gand en 1902, il est jeune encore, et je m'en réjouis, car, après avoir lu son livre, je vois en lui l'un des hommes nouveaux qui surgiront de la guerre pour apporter leur énergie, leur dévouement, leur audace, et la nouveauté de leurs conceptions à la reconstruction de la Belgique. Ce livre est d'une écriture hâtive et d'une documentation incomplète, et c'est pourtant un livre excellent. L'auteur a 1 a coquetterie de nous avertir qu'il l'a commencé à Bruges en septembre 1914, et achevé à Londres en décembre de tla même année. Nombre de pages qu'il renferme me semblent provenir toutefois de travaux antérieurs.Peu importe au surplus. A mon avis, c'est tellement un livre d'actualité que je voudrais le voir entrelesmains de tous les Belges qui sont en exil, y compris ceux qui jouissent au Havre du bénéfice de l'exterritorialité. Je pense que «bien peu d'entre eux n'auraient pas quelque chose à y apprendre, et que tous y gagneraient d'être amenés à réfléchir sur la plupart des problèmes que nous aurons à résoudre. Ce qui caractérise l'œuvre de M. Billiard, c'est un bouillonnement extraordinaire d'idées se rattachant à tous les domaines. Que de choses seront à faire plus tard... et seraient à faire dès maintenant.Sans s'attarder à vitupérer l'ennemi, l'auteur nous propose dans la première partie de son ouvragé, "l'exemple allemand.-' Faisant un peu d'histoire, il montre l'Empire d'Allemagne forgeant son "outil transport" et son "outil bancaire." H décrit son "outillage intellectuel." Il étudie son organisation commerciale où "l'Allemand fait preuve de méthode, de ténacité et d'une rare compréhension de la psychologie de l'acheteur.'1' Il indique les résultats économiques de tout cet effort. Mais, " le , chancre militaire" rongeait l'Allemagne, et son enseignement confessionna-lisé n'avait point inculqué à son peuple la morale humaine dont la base est la solidarité de plus en plus étroite qui doit unir tous les habitants de l'univers. Et M. Billiard conclut : " Les facteurs essentiels du progrès allemand étaient j éducation technique et l'augmentation continuelle par dec améliorations de l'outil transport ou des facilités bancaires, de l'hinterland des produits manufacturés.. Sans armée, sans bataille. l'Allemagne était en train de conquérir le monde, et le monde entier, sans envie, eût rendu hommage à son génie; il était bien inutile qu'elle tue, ruine et vole." Puis, dans la deuxième partie de son livre, M. Billiard s'occupe de "La Belgique Nouvelle." Il serait impossible de faire dans le cadre d'un article de journal, la nomenclature des questions qu'il , aborde à ce propos. La situation économique de la Belgique au moment de ia guerre, en particulier la situation du port d'Anvers, les chiffres de notre commerce avec l'Allemagne, les moyens de substituer un nouveau morceau d'hinterland à celui que constituait pour nous le bassin rhénan-\vestphalien, l'avenir des ports secondaires de Gand,de Bruges et de Zee-brugge, la nécessité d'une marine marchande d'Etat (de même que nous avons des chemins de fer d'Etat), l'insuffisance de notre action en présence de la propagande allemande qui nous a aliéné une partie de l'opinion dans certains pays neutres, la réorganisation des consulats, les questions d'- n.-. ignfonent, la eue -lion des impôts, la position de notre pays relativement aux industries du charbon, T du zinc, du ciment, à la métallurgie, aux industries textiles, à la verrerie, à la pêche, l'opportunité d'introduire chez nous de nouvelles industries,tout y passe avec une documentation sinon complète du moins abondante et précieuse, avec des renseignements nombreux, des vues pratiques et des notations intéressantes, telles que celle-ci : "Il faut concevoir la richesse comme une faculté laissée par la société à certains de ses membres de posséder un outil de domination ; et cette faculté peut être consentie à certaines t conditions, comme par exemple celle de ) subvenir aux frais de la communauté en ï proportion des avantages que cette 5 faculté a conférés. " s Le grand mérite de l'auteur de " La Belgique industrielle et commerciale de demain," est, à mes yeux, sa tendance au savoir encyclopédique.C'est une grande erreur de diviser la science en compartiments éternelles. L'économie politique, les sciences commerciales, la philosophie, la sociologie, les mathématiques sont en rapports étroits. L'étendue des connaissances humaines a rendu nécessaires les spécialisations, mais celles-ci ne doivent jamais se détacher d'une base de savoir intégral. Le plus naturellement du monde, M. Billiard termine son ouvrage par une troisième partie qu'il consacre à la paix. Il analyse brièvement les travaux de la Conférence de La Haye de 1898. Il recherche les moyens d'empêcher les guerres. Il rompt une lance en faveur de "l'Espéranto." Il soutient ce paradoxe que les armées et les forteresses sont utiles notamment parce que les inventions qu'elle*; provoquent, reçoiventensuitedes applications d'intérêt général. 11 défend le libre-échange sans outrance, en faisant ressortir qu'il est une-condition de la paix universelle, mais que pour être absolu, il exige l'accord de toutes les nations. Et il conclut : " .. Après la bataille nulle minute plus sacrée n'aura sonné pour l'humanité européenne pour assurer la paix et solutionner équitablement, sans esprit de vengeance, mais aussi sans faiblesses, les éonHits- de races, d'intérêts qui noua déchirent. "Pour ce qui regarde la Belgique, nous basant sur la nécessité de grands hinterlands qui est une nécessité économique, comme la concentration capitaliste est une nécessité financière, nous demandons à nos alliés pour la cause desquels no'US au<ron>s souffert, qu'ils ne nous traitent p]lus en étrangers, mais en nationaux, — que les Allemands paient nos dommages, mais que nos amis aident à faire revivre la Belgique piétinée et vaincue. " Notre vœu le plus cher serait de voir notre Belgique, reconstituée et prospère, devenir par les amités qu'elle s'est, conquises et l'effort de ses nationaux, le carrefour où viennent oonverger les afflux scientifiques du monde. Que ne peut-elle devenir ls centre fédérat'if des nations, et le cœur de l'humanité! " Pour se préparer à ce grand rôle, la Belgique doit, d'après M. Billiard, s'efforcer de reconstituer son unité morale que la querelle religieuse a compromise. " Il importe, dit-il, Oiie ies discussions politiques, si elles doivent continuer à ne s'occuper que des questions religieuses, prennent fin.." " . .ïl nous a semblé que toutes les dissensions provenaient d'un point de vue gouverhemental erroné: l'athéisme est, un mal social qu'il faut combattre parce qu'il peut "être pernicieux dans ses effets... On trouvera un terrain d'entente et de réconciliation dans la fondation d'un enseignement moral admissible peur tous. ' M. Billiard convie ainsi tous les Belges à l'union dans le respect des convictions philosophiques ou religieuses de chacun et dans la discussion fertile de toutes les idées de progrès. Sur quoi, nous som- " mes entièrement d'accord avec lui. Nous -ne saurions par contre partager toutes A les opinions qu'il défend au cours de son q œuvre. Il n'en demande d'ailleurs pas n tant. Comme il l'écrit, il désire seulement t: que son livre fasse réfléchir. s EMILE ROYER. 11, .n j . i. i n ma— d GRANDES CAUSES... GRANDS EFFETS Daqs les îles du Pacifique.—Un incident singulier.—La leçon 1 des petites choses. Mardi. — Une depeche, arrivant de quelques îles du Pacifique, nous informe d'un incident qui n'a rien de commun avec la "grande Guerre," et qui pourtant est de nature à faire réfléchir ceux dont l'intelligence s'aiguise sur les petites aussi bien que sur les grandes choses. La dépêche en question nous dit : — Les " natifs " de quelques îles du Pacifique avaient, depuis quelque temps, par suite des efforts du Christianisme, endossé des vêtements décents. Ces gens avaient l'habitude de ne pas se vêtir. On parvint à les convaincre et ils passèrent du coton par-dessus leurs épaules. Malheureusement, la région où ils habitent est soumise à des pluies fréquentes. Lorsqu'ils allaient sans vêtements, les naturels avaient l'habitude de s'enduire le corps d'huile et la pluie n'avait pas d'effet sur eux. Aujourd'hui, le coton dont ils se sont couverts retient l'eau et le résultat est que les maladies comme la pneumonie, l'in-fluenza, la tuberculose régnent à l'état épidémique. Les autorités, effrayées, font tous leurs efforts pour qu'on en revienne à l'huile traditionnelle — et médicale...Cette dépêche ne dira pas grand'chose au commun des mortels, sinon que ceux-ci s'écrieront : — Comment est-il possible de s'occuper de telles niaiseries, alors que des choses si profondément graves se déroulent, et alors que les Russes battent en retraite en Galicie? Eh bien, ceux qui parleront ainsi auront tort. Ils ne possèdent ni l'esprit de raisonnement ni l'esprit philosophique, , et ils feraient mieux de se dire : , — Voilà un exemple, assez plaisant, ( d'une grande vérité 'sociale pourtant. La nature, dans certaines de ses lois, , aime à se manifester en dépit de tous , les efforts, ceux-ci appartinsent-ils à une : source éminement respectable, telle que le christianisme. Tels peuples ont , besoin de sa promener nus, malgré les dogmes de l'église, parce que leur santé physique en dépend. Et quelle que soit la valeur des prosélytes chrétiens, la nature se montre plus forte qu'eux, et les autorités officielles sont forcées de rétablir l'huile là où le coton civilisateur s'était placé... — Mais, s'écrient des lecteurs indignés, finissez donc ce verbiage ! Ce n'est pas le moment de plaisanter en ces jours douloureux- ■ Ces lecteurs indignés se trompent. Je ne plaisante pas. Je trouve la leçon qui nous vient du Pacifique, très sérieuse, et possédant quelques rapports" avec la guerre dont nous souffrons. En effet, à d'autres points de vue que 1 celui du vêtement, on a toujours obligé les peuples à se vêtir de "coton" alors que les lois de la nature leur ordonnaient d'aller vêtus ou tout nus : c'est-à-dire, par exemple, que le Kaiser ordonne à des Polonais de se vêtir du... "coton" allemand (lisez : lois allemandes) — alors qu'ils aimeraient, pour leur bien-être, à se couvrir de vêtements plus nationaux ; les Autrichiens ordonnent à d'autres Polonais de se vêtir de leur "coton" à eux — et d'autres Polonais encore voient le "coton" russe s'élever entr'eux et leur santé... Vous parlerai-je des Croates, des Tchèques, des Slaves, des Serbes, des NOUVEAU SERViCE No. 143 Les jours de semaine seulement Depuis le 21 juin 1915 SCUTH HARROW STATION û BUSHEY HEATH Via No tli'olt Road, Lower Road, Collège Road, Station Road Ilar-row, Wealdstone, Ilarrow Weald, Chapel Hill Road, Harrow Weald Common. SOUTH ÏIARROW. BUSHEY HEATII. 8.33 matin Premier départ 7.53 matin 7.25 soir Dernier départ 6.26 soir Intervalle entre les départs 40 minutes. PRIX du PARCOURS 4d. The London General Omnibus Co„ Ltd., Electric Railway Hcuse, Broadway, Westminster, S.W. 9» Alsaciens, des Lorrains, etc., etc., auxquels on impose un "coton" antihygiénique sous prétexte de meilleure civilisation — et qui souffrent et qui meurent sous ce coton-là?.*. Ah oui ! La leçon donnée par le cotorr des "naturels" des îles du Pacifique devrait être féconde... Elle devrait rappeler aux hommes que chaque race possède ses besoins, ses aspirations, et que le coton qui est excellent pour certaines d'erttre ces races est mortel pour d'autres... Et en étudiant cela, on en arriverait à la conviction qu'il faut laisser chacun maître de ses besoins, pour les réprimer ou les respecter, selon les nécessités sociales du milieu où ils se développent... On arriverait aussi à la conclusion qu'il faut jeter par-dessus bord les dirigeants comme le Kaifer, qui méprisent les réels besoins des hommes, et que le mépris de ces besoins conduit à créer des guerre» atroces telles que la guerre actuelle... Mais combien serons-nous qui comprendront la leçon donnée- par Tes chemises des " naturels" des îles du Pacifique ? CAMILLE ROUSSEL. NOTES DE L'AFRIQUE DU SUD. Les Allemands dans l'Afrique du Sud. — On demande la confiscation de leurs biens. Kimberley, 20 mai 1915. Vous savez, sans doute, quelles ont été les résolutions adoptées au meeting tenu à Johannesburg, le 15 mai. J'appelle votre attention sur celle proposée par M. O'Flaherty, ne demandant rien moins que la saisie de tous les biens possédés pas les Allemands dans l'Afrique du sud et leur administration au bénéfice des sujets britanniques. Cette résolution a été votée à l'unanimité des personnes présentes. D'accord avec le cabinet de Londres 'e gouvernement de l'Union fait, en ce moment,procéder à l'internement de tous les résidents allemands adultes du sexe mâle. Il est permis de se demander >i, dans une question qui intéresse la poli- S6èœe anzié. -M No, 145 m

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1918.

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