L'indépendance belge

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27 september 1916
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s.n. 1916, 27 September. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/9z9086449n/
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INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE. ' CONTINENT: 15 CENTIMES (HOLLANDE î 6 CENTS) 1- • administration et redaction : bureau a paris : iddor h( use. tudor st.. london, e.c. u- place de la bourse. TELEPHONE : CITY 3960. TELEPHl: { 238-75 *** MERCREDI 27 SEPTEMBRE 191Ê En vente à Londres à 3 h. le mardi 26 sept. (î mois, 9 shillings.i abonnements : 1 6 mois. 17 shillings. [ conservation par le progrè! 1 « k -vr 70 CJTTTT T r\TJlG I LA SITUATION. Mardi, midi. Après l'intense bombardement signale tiier, les Alliés ont repris l'offensive au nord de la Somme, et les résultats obtenus sont magnifiques. Les Anglais, avançant sur un front de neuf kilomètres entre Thiepval et Combles, ont occupé toutes les positions ennemies depuis Martinpuich jusqu'à Combles, sur une profondeur d'un kilomètre et demi. Le terrain conquis comprend les villages de Morval et de Losbœufs, au nord de Combles, et l'occupation de ces deux places, puissamment fortifiées, est pleine d-e promesses pour l'avenir, d'autant pilus que les Français, reprenant l'offensive de leur côté, ont complété l'encerclement de Combles par l'occupation du village de Rancourt et de tous •les ouvrages allemands situés entre le hameau de Frégicourt et la Côte 148 (au nord du Bois Saint-Pierre Vaast). Nos amis dominent donc la seule Sssue qui reste aux Allemands, mfermés à Combles, c'est-à-dire le village de Sailly et le hameau de Sallisel. Le débordement français, à l'est de la route nationale Péronne - Bapaurne - Béthune, atteint la Côte 130, au nord-est de Bou-chavesnes, ce qui signifie que l'importante position allemande du Mont Saint-Quentin, bastion septentrional de Péronne, est lui-même en voie d'être déborde par le nord. La tactique suivie par les Alliés consiste, comme on voit, à éviter l'attaque de front des principaux ouvrages allemands et à procéder par l'encerclement graduel là où l'attaque directe serait trop coûteuse. Au sud de Péronne les Français ont itendu leurs gains entre la route de Ba-paume et la Somme (à proximité du Canal du Nord) et le nombre des prisonniers comptés jusqu'à présent est de 400. Le général Sir D. Haig annonce également d'importantes captures, tant en prisonniers qu'en matériel, mais la liste n'en est pas encore établie. Le communiqué allemand oublie de mentionner les derniers échecs de l'armée du prince Rupprecht de Bavière el se borne à signaler le violent bombardement qui continue de sévir entre l'Ancre et la Somme. Sur la Meuse également le duel d'a-ril-lerie a gagné en intensité, oarticalière-ment sur la rive droite (sectems de ! hiaumont-Fleury-Yailx-Chapitr»j. Une attaque allemande à l'est du Bois de Vaux-Chapitre a été repoussée, et les Français, à en croire le communiqué allemand, continuent de harceler l'ennemi au moyen d'attaques à la grenade. Quant aux aviateurs, leurs exploits j sont'si nombreux qu'il faut renoncer à ' les énumérer en détail. Bornons-nous à dire qu'isolément ou en escadrilles, ils se distinguent tous les jours par leur audace et leur bravoure, livrant d'innombrables duels (les Anglais signalent six appareils ennemis détruits et trois endommagés, les Français un et trois), et allant bombarder les voies de communication ou établissements militaires de l'ennemi qui, lui, ne parvient que rarement à franchir nos lignes. Les troupes du général Cadorna poursuivent également leur victorieuse offensive dans le rtiassif des Dolomites. Les intrépides bersaglieri, dans un brillant assaut, ont occupé le sommet du Mont Cardinal, au nord-est du Mont Cauriol, dont la possession rapproche alé nos Alliés de la grande route stratégique au qui relie le Trentin au Cadore. )b- Des deux c'ôtés le duel d'artillerie se poursuit presque sans arrêt. ^ L'accalmie sur le front russe continue m_ et Pétrograd n'a rien à signaler. ,n_ Pourtant une dépêche Reuter de Pétro-m_ grad mentionne le bruit, venant d'Odes-re sa, d'après lequel les Russes, au cours ncj des récents combats dans la Dobroudja, au auraient fait 2,000 prisonniers. La nou-■es ve"e étant datée du 25 et les communi-qués officiels portant la date du 24, il u_ est possible qu'il s'agisse d'opérations nt plus récentes. ,((i Quoiqu'il en soit, Bucarest est en a_ mesure d'annoncer des progrès sur !e ug flanc gauche de l'armée de la Dobroudja, 2 et il n'est pas douteux que l'avance de la fameuse phalange de Mackensen est arrêtée. Comme le dit avec raison la , " Roumanie," les généraux roumains ; qui sont loin d'avoir une expérience de la guerre égale à leurs adversaires, ont ^ néanmoins battu Mackensen, qui est con-sidéré comme un des meilleurs généraux des temps modernes et ce fait permet à ' nos jeunes Alliés d'envisager l'avenir avec calme. Il est certain que les Ger-mano-Bulgares n'ont plus de réserves ,, suffisantes pour envoyer dans la Dobroudja les renforts que nécessiterait la ■situation et il est permis de croire que la barrière élevée par nos amis russes et n~ L roumains restera infranchissable* ue lentlit mt >a-duin->0.ce ;nt la de ar-et3e-:reSur le xTont macédonien l'armée serbe ril- est toujours aux prises avec les Bulgares, re- qui s'accrochent avec désespoir au pla-de teau de Kaymaktchalan, qui constitue le ne principal mais non le seul obstacle des de Alliés sur la route de Monastir. Les Bulles gares ont, en effet, construit des lignes al- de tranchées protégées par des réseaux mi de fil de fer barbelé et l'avance, à moins de quelque coup de surprise, n'aura rien its de foudroyant. à Entretemps l'hostilité du peuple grec à contre la politique royale croît rapide-ils. ment. Le mouvement révolutionnaire u- gagne tous les jours de nouveaux adhé-ti- rentsS M. Vénizélos, accompagné d'offi-iix ciers supérieurs, a quitté Athènes pour n- se rendre en Crète, où il compte, dit-on, et se mettre à la fête du mouvement natio-li- naliste. 30,000 Crétois en armes attende dent leur chef, et les insurgés ont rem--c- placé partout les autorités helléniques. Dès à présent, la plupart des îles ir- ont adhéré au mouvement nationaliste n- qui n^enace de balayer tout et qui prend à tâche la régénération de la Grèce, jn Quant au roi Constantin, on le dit conclu finé dans son palais à Tatoï . . . atten-nt dant les événements! COMMENTDÉVELOPPERIesRELATIONS ÉCONOMIQUES de la BELGIQUE. i. La Belgique vit d'exportations. Dans son bel article "Pour l'avenir économique de la Belgique," M. l'ingénieur L. Schietaert nous dit: "qu'il y a tant de Belges qui ne demanderaient pas mieux que de travailler au rétablissement de nos futures débouchées." Je • suis complçtement de son avis, et je voudrais également voir des gens plus compétents que moi reprendre ce sujet <pt donner leur avis, dans ce journal si 'répandu et lu par tous les Belges exilés Ictu non. » Notre pays vit d'exportations. Nos pî^s ennemis nous l'ont prouvé. Ils loi® faut une marine marchande pour ^«placer la leur. le va-t-on point dire qu'elle est trop j' cotHteu~" ? Non, elle ne l'est pas, si on | c<»|npare son prix à celui du coût d'un i tt'ftis de guerre. iEt on a obtenu les crédits pour la , tokchine destructive, comment n'obtien- drait-on pas les sommes nécessaires r l'achat des engins de production et de prospérité ? Les débouchés et les consuls. C'est en 1852 que fut fondé à Anvers l'établissement qui représente le plus haut degré d'instruction commerciale et consulaire en Belgique; il porte le nom d'Institut Supérieur Commercial et Consulaire d'Anvers. D'autres écoles furent calquées sur cet établissement non seulement en Belgique mais aussi et surtout à l'étranger. Son but fut de former des négociants i et des consuls capables et pratiques. Il i ne rentre point dans le cadre de cet arti-■ cle, de parler du grand rôle qu'a joué cette belle université commerciale dans 'e i développement de notre expansion économique.Quand nos jeunes gens sortent de cet institut, il en sont au même point que l'avocat ou le médecin qui vient d'obtenir son diplôme, et qui n'a pas d'expérience pratique, mais il sont bien équipés pou la lutte. Ils conviendrait pour cette raison d-les assister plus largement s'ils son sérieux, capables, et ont le désir d ue s'établir à l'étranger. Cette assistant comprendrait: l'appui de la haute cham se bre économique, l'appui de la haut' chambre financière, dont il est questioi uc ci-après; une assistance gouvernemental semblable aux bourses d'études, mais ac °" cordée à un plus grand nombre de can s~ didats. |s Dans le recrutement des consuls il ; f ' aurait lieu, surtout à l'époque de reoons truction économique du pays, de donne .j une préférenoe lors du choix des consuls à ceux qui, tout en étant porteurs du di plôme du degré supérieur commercial «> consulaire, seraient ou auraient été direc rn T ?• 7 j teurs ou sous-directeurs a usines ou manufactures, et ceci à l'effet d'obteni jt' un meilleur rendement pratique dan ^ notre service consulaire. Est-il contestable que le candidat qa ns a pu joindre la pratique à la théori» .jc aura le coup d'oeil plus rapide et plu nt perspicace? qu'il écrira ou parlera ei n_ connaissance de cause? qu'il donnera de Jx conseils moins théoriques, plus judi >d oieux, plus pratiques ? jr Pour rendre ce genre de recrutemen T_ possible il faudrait nécessairement: es (1) Reculer la limite d'âge pour l'agré u_ gation de ces candidats. ;î- (2) Bien les payer. la Dans aucun cas et sous aucun pré et texte, n'accepterait-on comme consul de carrière des candidats qui ne seraien pas réellement belges, c'est-à-dire né. de parents belges. Pour obtenir le maximum de rende ment de leurs servioes, il conviendrait d( les envoyer successivement dans les pay producteurs dte la matière premier* qu'?7s auraient travaillée antérieure ment, ainsi que dans les principaux cen t-res de fabrication. Ceci leur permettrai de compléter sur les lieux mêmes oer tains détails qui leur auraient échappi pendant leur stage ou leur carrière in dustrielle ou commerciale, et de compa rer par des rapprochements les matière premières," les différents procédés d< fabrication et les produits obtenus. Ce système aurait l'avantage de pro duire, après un «certain temps, une sérii de consuls spécialistes pour chaque pro be duit tels qu'en possédait l'Allemagne. ;s En vacances au pays, ces consuls spé a. cialistes consulteraient les différente le firmes belges, ils iraient, à elles si no: es industriels et négociants ne venaien il- point à eux. es Quant aux consuls honoraires, ils se ix raient choisis cle préférence parmi le: ns Belges diplômés, si possible, et capables sn qui se seraient honorablement établis l l'étranger. 6c c_ La Haute Chambre Economique. re La constitution d'une Haute Chambri Economique, composée exclusivemen p. d'un choix de grands industriels et né ur gociants connus comme dévoués aux in n térêts du pays et représentant chacui une branche d'industrie ou de commerci n_ s'imposerait. n_ Le choix se ferait parmi les membre de chambres de commerce et d'industrie es ,De hautes distinctions honorifiques leu <e seraierft accordées pour leurs services l(j mais ils seraient obligés de conseiller e d'aider nos consuls. Ceux-ci auraient 1< droit de s'adresser à eux dans toutes cir ^ constances. Ils pourraient leur demander les ren seignements techniques qu'ils jugeraien a utiles à la poursuite du développemen de l'expansion des débouchés économi \ c ues. Ils faciliteraient ainsi la tâche de ur consuls en général, qui désireraient se perfectionner dans une spécialisation et de rendraient de grands servioes à la nation. nt Mais il serait défendu au consul de d'abandonner sa carrière consulaire pour ce s'adonner à l'industrie ou au commerce il- sous quelque prétexte que ce soit et sous te aucune forme. on . lle Renseignements aux interesses. IC. Pour créer un système rapide et effi-n_ cace d'information il est avant tout essentiel de possède)- une classification très y détaillée et facile à consulter par chaque ls_ industrie ou commerce. La classification des industries. Celle, commencée par le regretté M. E. , Waxweiler, qui existe au ministère de l'industrie et du travail à Bruxelles, ^ pourrait être complétée par celle des oommerces; il serait utile de consulter llr aussi la classification des sciences publiées us par l'Institut international de Bibliogra-. phie, 1, rue du Musée à Bruxelles. Le système à fiches de cet excellent institut pourrait être adopté et servir de base à l'organisation du service de 311 • renseignements consulaires rapides. II y aurait en outre une classification par firme et une classification par noms k d'industriels ou commerçants qui auraient eu recours au service. Les renseignements seraient centralisés par notre département des affaires étrangères. Les négociants et industriels enver-^ raient au Musée Commercial de Bru-1 xelles ou d'Anvers, la fiche portant les / points qui l'intéresseraient tout particulièrement et mentionnant si ces renseignements une fois obtenus pourraient ,je figurer dans les tiroirs à fiches mis à li disposition du public. Inutile de dire qu'un bureau d'infor-.. mation devrait également être créé à n- Liège. tifc L'idée de M. L. Schietaert d'établir ■ r_ un code télégraphique pour oommunica-pé tions avec le consul est excellente et très n- utile. a- Sur demande de l'intéressé le consul es pourrait également être autorisé par son de département à faire les communications urgentes directement aux intéressés qui o- se seraient fait inscrire, prouvant ainsi •ie l'intérêt qu'ils portent à l'institution et o- confirmant son utilité. Les finances. ,t?s Le concours des banques est le complé-os ment indispensable au rétablissement et nt à l'exteusion de notre expansion de débouchés futurs. te- Ce système serait étudié par une es Haute Chambre Financière, qui mettrait îs, en pratique un mécanisme perfectionné à de crédit. Des succursales seraient établies dans tous les pays alliés. L'organe serait créé avec l'aide du f , gouvernement, qui s'intéresserait pour ! Une somme importante en obligations. 6 Nos héros mutilés pourraient, à Vernon-n Mortain et dans d'autres institutions m semblables, recevoir l'enseignement né-ce cessaire pour y être employés après la guerre. Le régime des banques étrangères de-ur vrait être étudié à fond par des spécialistes vraiment compétents, sérieux et ' £ surtout très honnêtes; ils seraient char-]e g®s de la création des banques à l'étran-r- Ser- Il y aurait moyen ainsi de faire œuvre n_ économique et humanitaire en même n£ temps. nt LÉON WOUTERS, îi- Directeur du Salford Belgian pç Refinrees Committee IMPRESSIONS D'ALLEMAGNE. Par un Neutre. 11 " » ^ Les Juifs allemands. Notre correspondant de Copenhague nous écrit: J'ai eu une conversation fort intéressante avec un financier danois revenu d'un voyage en Allemagne. Mon interlocuteur, qui est très bien renseigné sur la situation actuelle et les sentiments en Allemagne, me disait: "Les Allemands en général sont peu intelligents, et les Prussiens surtout sont peut-être le peuple le plus stupide de l'Europe. Ce sont les Juifs qui dirigent tout ;les finances, la presse, le commerce, l'industrie et la navigation. C'est à eux que l'Allemagne doit le développement rapide de ses ressources pendant la dernière quinzaine d'années et sa bonne situation avant la guerre. "Grâce à leur crédulité, leur manque i ■»-« total de critique et leur confiance abso-, lue dans les autorités civiles et militaires, les Allemands se laissent facilement diriger et guider par l'opinion créée par le ' gouvernement. "Mais, à présent, ils ont compris qu'on a abusé de leur confianœ aveugle. ■ N'ayant plus aucune foi dans les informations officielles, ils' craignent que l'écroulement de l'Empire ne soit prochain, et ils sont devenus furieux. Il y a déjà des révoltes sanglantes partout, et si, dans un mois ou deux, nous > n'avons pas la paix, des événements gra-, ves intérieurs pourront éclater. "Malgré la censure, les associations secrètes sont parvenues à distribuer un grand nombre de pamphlets et brochures contre le gouvernement." Les pamphlets secrets. Mon ami a réussi, malgré la 'surveil-: lance, à en emporter auelaues-um. De Les artères commerciales. J Service No 73 es King's Cross et Barnes es ® a. (RED LION). nt • • • ;r L.e service, qui était provisoire- 3e ment suspendu, a repris à nou- veau et parcourt les artères ns commerciales du West End. u- li- Les artères suivies sont : Euston Road, Tottenham Court Road, r_ Oxford Street, Park Lane, Hyde u- Park Corner, Knightsbridge, High €s . u Street Kensington, Hammersmith ii- Road, Castlenau. nt la De Départ De King's Cross des Bus Bornes. à 7.45 m. Premier Bus. 6.54 m. 10.47 s. Dernier Bus. 10.36 s. îr a" Dus toutes les 7 minutes. ès ul Takif— m Barnes et Kensington Church 2â. ns ,, Sloane Street - 3d. ui ,, Oxford Circus - 4d. isi ,, King's Cross - 4jd. et The London General Omnibus Co., Ltd., é- Electric Railway Honse, et Broadway, Westminster, S.W. le Qft ces brochures diverses, je veux citer les s passages suivants, qui me semblent très caractéristiques et instructifs quant à 1 la situation actuelle : Rassemblez-vous sur la place... pour la dé-■ fense de vos droits. Nous avons acheté l'alliance des Turcs s méprisables, qui de leur côté nous méprisent. . N (jus avons commencé la guerre pour l'Au-^ triche, qui s'écroule et menace de devenir la cause de notre désastre. La Prusse pousse les Etats fédératifs au désespoir; nous avons eus- - cité la haine de tout le monde par une manière - barbare de faire la guerre. Est-ce bien cela k l'héritage que nous laissons à nos enfants? Au front les soldats ne saluent plus les officiers. Est-ce que nous devons avoir plus de respect pour les patriotes brevetés? Ils laissent massacrer nos pères, nos fils, nos frères, s nos fiancés, afin d'avancer d'un ou deux s kilomètres. Nous avons acheté l'alliance des Turcs annexions de pays étrangers ou des peuples, qui dans leur fureur vont de suite nous saisir 1 à la gorge. Il vaut mieux taper sur les gentil-lâtres (hobereaux) qui ont poussé à la guerre, qui ont réduit le pays à la famine, qui ont causé tous les malheurs de l'Eurooe. i Dans une brochure (oopies tirées à la polycopie par la machine à écrire) qui se fait remarquer par son langage violent, l'auteur dit en parlant du gouvernement et des maisons impériales et royales: "Pour sauver l'Allemagne il ! faudra maintenant abandonner le culte e insensé des idoles qui nous ont menés au bord de l'abîme, et que nous nous débarrassons de oelles-ci." De deux autres pamphlets je veux - citer les passages suivants : Nous voulons la paix! v " Nous voulons la paix!... Nous vou-., Ions la paix ! Donc avant qu'il ne soit s trop tard, ne nous estimons pas trop pour - offrir la paix, nous, qui ne nous sommes pas estimés trop pour rompre la paix." s " Le chancelier d'Etat a adopté la a politique la plus stupide des diplomates s les plus bêtes, quand après les victoires à l'Ouest et à l'Est il n'a pas offert une paix acceptable, qui aurait sauvé et notre peau et notre honneur. Maintenant nous !- courons le risque de les perdre tous les e deux." Sans commentaires. S7ème anné No 22!

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1918.

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