L'indépendance belge

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02 december 1914
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s.n. 1914, 02 December. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/s756d5qk1s/
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çôèoio *nnee. No. 322, L'INDÉPENDANCE ANGLETERRE: ONE PENNY. BELGE. CONTINENT : 15 CENTIMES. Administration et Rédaction, Tudor House, Tudor Street, E.C. _ TELEPHONE : CITY 396Q. LONDRES, MERCREDI 2 DECEMBRE 1914. Conservation par le Progrès* LES REMERCIEMENTS DE LA REINE. Nons avons reçu la lettre suivante, qui nous nous empressons de publier : Secrétariat 'du Roi et de la Reine. Le Hâvre, 30 novembre 1914. Monsieur le Directeur, Sa Majesté la Reine a reçu et conser vera avec joie le ravissant bouquet qui vous lui avez envoyé au nom de 1' " In dépendance" et des réfugiés dans h Royaume Uni. Cette délicate attention a touché S< Majesté, qui remercie de tout cœur se; chers compatriotes et leur adresse l'ex ! pression de sa vive sympathie. Je vous prie de croire, Monsieur 1< Directeur, à mes sentiments très distin* gnés. Le Secrétaire, J. INGENBLEEK. A Monsieur le Directeur de 1' " Indépendance Belge." L'ARMEE BELGE SUR L'YSER. Un rapport officiel. Le Havre, 1 décembre. Le rôle qu'a l'armée belge — secondée I par l'artillerie des navires anglais et I français—sur l'Yser, a certainement I été considérable. On peut affirmer sans I crainte que, sans elle, Dunkerque aurait I été investi et que Calais aurait été pris. On a donc, été un peu surpris de la I façon assez désinvolte dont le " Bulle-[ tin des Armées de la République " a, dans son récit de la bataille des Flan-dres, parlé de l'armée belge. Notre état-major a fait le récit de ce qui s'est passé, et je suis heureux de vous le communiquer, tel qu'il a paru dans le " Courrier de l'Armée Belge " : La bataille de l'Yser. La bataille de l'Yser a débuté le 16 octobre. Ce jour-là, la tête de pont de Dixmude fut attaquée pour la première fois. En réalité, les Allemands exécutaient à cette date, ainsi que le prouve I Un radio-télégramme intercepté, une re-I "connaissance offensive à l'effet de se ren-I dre compte de l'occupation de l'Yser. L'armée belge, avec une brigade de I fusiliers-marins français (celle-ci sans I artillerie), était chargée de la défense du I cours d'eau. Le 17, les premiers obus tombent sut I toute 1'éteridue du front (positions avan-I cées) occupé par l'armée belge. Le 18 marque le début de l'action violente que les Allemands poursuivront [ jusqu'au 30 octobre. Du côté de Dixmude rien ne se prodait dans cette journée, niais des attaques sévères se dé-clanchent sur tout le restant du front. Dans l'après-midi, après une lutte opiniâtre, les troupes avancées de la 1 D A à Manneskensvere et de la 4 C A à Keyem, doivent céder sous le nombre. Dans la nuit du 18/19, la quatrième division belge exécutant une contre-atta-reprend Keyem à l'ennemi et réoccupe toutes ses positions. Le 19, l'attaque redouble d'intensité. A Lombartzyde, trois assauts successifs sont brillamment repoussés par la 2me division. Sur le front de la Ire division, ''ennemi borne son action à une canonnade intense. Du côté de la 4me division, Beerst est enlevé, et Keyem violemment I attaqué par l'infanterie adverse. Afin de dégager le frorrt de la 4m e I division, ordre est donné aux fusiliers-I marin français et à la 5me division belge I de sortir de Dixmude et de contre-at-| laquer sur le front Beerst-Vladsloo et le | Praet-Bosch. A la tombée de la nuit, l'at-I 'ïque a progressé ; les lisières sud de Beerst et le village de Vladsloo sont en I notre pouvoir. Mais à ce moment on apprend l'arrivée, vers Roulers, de forces I f'nne-mis considérables. Force est de don-| ner aux fusiliers-marins et à la 5me divi-s|on belge, l'ordre de réoccuper leurs I Positions du matin. Dans la nuit du I 20) Keyem-est repris par l'ennemi. * » I Brii? ^es AUetnswids inondent nos ^^^^^oàectiies-de-^oesoalibres. ■ r * Dès le début de la journée, ils pousser une forte attaque sur le front de la 2rr division et enlèvent la ferme Bambur§ mais ils n'y restent qu'un instant. Un ; énergique contre-attaque les boucul< et les Belges réoccupent la ferme ; i soir, cependant, les positions avancée de ce côté doivent être abandonnée; Une attaque poussée sur Dixmude e; rejetée avec de grosses pertes. Ce poil était défendu par an? brigade belge ( la brigade française de fusiliers-marin: renforcée par de l'artillerie belge. Si : le restant du front aucune troupe d'il s fanterie ne cherche à percer. L'ennen : espère visiblement écraser nos position par le seul effet de son artillerie. Dans 1 L nuit du 20-21 le bombardement continu . toujours avec violence ; une nouvell tentative est faite sur Dixmude, mai sans plus de succès. Le 21, dès la première heure, les Aile ! mands se jettent à nouveau sur la têt de pont de Dixmude; ils sont encore re poussés. A 17 heures, les Allemands at taquent en même temps Dixmude et 1 passage de Schoorbakke, mais il échouent sur les deux points. A la tom bée de la nuit, une double attaque es menée sur la tête de pont de Dixmude e sur les tranchées qui bordent l'Yperlée Cette nouvelle tentative ne sert qu\ marquer un nouveau succès pour no troupes. Mais nos soldats n'ont cessé de com battre depuis Anvers et leur épuisemen est grand. Le 22, les Allemands attaquent Ter vaete et parviennent à prendre pied su la rive gauche de l'Yser. Une premièr contre-attaque menée par les troupes d la Ire division belge échoue, mais ell est bientôt suivie d'une seconde qui re jette les Allemands dans l'Yser. Toute fois ces troupes sont à la merci d'un nou veau retour offensif que l'ennemi pourr exécuter avec des foi-ces fraîches. Dan la nuit du 22-23, l'attaque redoutée s produit et Tervaete reste aux mains de Allemands. * * * Le 23 intervient le premier renfort fran çais. La 42me division s'engage ver Nieuport, mais le tir de l'ennemi est s violent que cette division ne petit qu traverser, lentement, les ponts de 1 ville ; le soir, elle arrive à hauteur de 1 ligne Bamburg-Lombartzyde où elle re lève les troupes de notre 2me division Cependant la situation devant le fron des Ire et 4me divisions belges s'est ag gravée. L'ennemi a fait passer de forces importantes sur la rive ouest d l'Yser et, dès le matin, reprenant soi mouvement en avant, il rejette nos trou pes qui, reculant lentement sous sa près sion, occupent le soir une position d repli créée en arrière de la boucle qu fait l'Yser entre Schoorbakke et Ter vaete. Mais l'effort fait le 23 a achev d'user nos forces. L'intervention d troupes fraîches s'impose. Ce seront de troupes de la 42me division français qui, pendant les journées suivantes, ai deront puissamment nos troupes à re fouler définitivement l'ennemi. Dans la nuit du 23/24, l'ennemi dirig sur Dixmude quatorze attaques qui son brillamment repoussées par les Belges e les fusiliers-marins français. Du 23 au 30. les Belges soutenus pa la 42me division, les fusiliers-marins e quelques bataillons de territoriaux, dé fendirent pied à pied le terrain compri entre l'Yser et la ligne ferrée Nieuport Dixmude, ligne que, malgré ses effort désespérés, l'ennemi ne parvint pas conquérir. Ayant réussi à occuper le vil lage de Ramscappclle, à l'ouest du che min de fer, il en fut définitivemen refoulé le 31 par une contre-attaque vi goureuse menée par des bataillons de 1; 42me division française, de la 2me divi sion belge et par des fractions de la 3me Les progrès de l'inondation obligèren bientôt les Allemands à abandonner près que complètement le terrain à l'ouest d< l'Yser dont la conquête si éphémère leu avait coûté tant de pertes. Ainsi, du 17 au 23 octobre, les trou pes belges, avec l'appoint d'une brigadi de fusiliers-marins français, résisten seules à la poussée allemande. Du 2'-au 30, elles continuent la lutte de Nieu port à Dixmude, grâce à l'appoint d'uni division française. En donnant aux troupes amies 1( temps d'intervenir, cette armée, qui n'a vait cessé de combattre pendant deu: mois-et demi, cette, armée*..,qui ii'avai it pas disposé d'un seul jour pour sa r e organisation après son habile retrai ;, d'Anvers, a rendu un nouveau et pré( e eux service à la cause des Alliés. La bataille de l'Yser a été pour el e un incontestable succès, mais combii s durement acheté ! L'armée belge, dai sa résistance héroïque sur l'Yser, a pe ;t du le quart de son effectif. Les Ail it mands avaient fait des pertes de bea :t coup supérieures. Ils abandonnèrent s< ;, le terrain de la lutte leurs morts et leu r blessés, quantité d'armés et de munitio; i- et deux pièces de gros calibre qu'ils avt li ent portées à l'ouest de l'Yser et q s furent ramenées par la Ire division, a _ l NOTES DU JOUR. s Les diplomates allemands.—M. c Schoen. —Comte Szecheruy. e (De noire correspondant.) e Bordeaux, 23 novembre 1914. s Des .informations suisses signalent - passage à Berne et à Zurich de M. c t Schoen, le dernier ambassadeur d'Ail 1 magne à Paris. l A quel mauvais coup ce diplomate v; s t-il prêter la main? On ne nous l'a pi encore dit. D'autant que M. de Schoe - semble beaucoup se remuer depuis u t mois, ce qui n'est pas dans sa natui indolente. C'est une personnalité doue " reuse et assez falotte qui n'avait dû se 1 poste à Paris qu'à sa grosse fortune qi e son père avait amassée darvs le commeri e et à quelques prêts intelligemment fai - à Guillaume. Rue de Lille,. M. de Schoe - abandonnait le soin de svn ambassade - deux ou trois secrétaires très titrés, h< 1 bereaux dans toute la force du terme c s notamment à ce baron de Loeken qu au moment du départ de M. Jules Can bon de Berlin, lui signifia l'ordre d'avo à ne pas faire venir ses repas du re taurant voisin. Au même moment, s Paris, M. de Schoen, offrait à déjeuni ,i à une dizaine de convives dans un d( e salons du palais d'Orsay, le grand hôt i de la rive gauche. Question de procédé a Ce même baron de Loeken exigeait c M. Cambon quatre mille francs poi . prix du train qui avait amené l'amba t sadeur et le personnel de l'ambassâde - la frontière; ce diplomate refusait mên s un chèque et ne voulait accepter le pai e ment qu'en or. Par réciprocité la Fram i mettait gracieusement un train spéci . à la disposition de M. de Schoen, et < _ train, convoyé par des employés d'élit e arrivait à Berlin, où on commençait p; e le saisir, et ce n'est qu'au bout de que . ques jours, devant le déplorable eff< é produit dans la presse européenne p; e ces façons bizarres, qu'on se décidait s renvoyer le train à la frontière suisse, e A Paris, M. de Schoen, jusqu'à - veille de son départ, multipliait plusieui _ fois par jour les assurances pacifiques il savait à merveille que le coup de e guerre était préparé, il connaissait t concentration des troupes allemande t mais il essayait par des mensonges r pétés de sa voix mielleuse d'endorm r le gouvernement français. t Une preuve que M. de Schoen sava - bien que la guerre se préparait c'e: s qu'il avait pris toutes ses dispositior . pour passer les mois d'hiver, les mo s de campagne, dans sa belle villa Scho< i nausls, près de Berchtesgaden, dans ! . Bavière. D'habitude, le diplomate venait i t pendant les mois de vacances et reg; . gnait la rue de Lille à la rentrée d'ex i tobre. Cette année il annonça à se . familiers, notamment au comte H. Hei . chenfeld, qui l'a répété à Munich, qu' t resterait dans sa villa jusqu'à la fin d - l'année, et il fit faire d'importantes r< ; paradons et de grands aménagement r pour une installation d'hiver. Il sava donc qu'il ne pourrait revenir à Pari - puisqu'il était au courant des projet ; belliqueux de l'empereur à la suite d t l'entrevue du kaiser et de l'archiduc Fei î dinamd à Konopischt, où la guerre ft - décidée. ; I-e doute n'est pas possible. M. de Schoen connaissait les projet : de son maître et-lorsqu'il apportait a - Quai d'Orsay les assurances répétés de : intentions pacifiques de l'Allemagne, Lfla^m-de* juillet, il savait que. les .rég é- ments étaient déjà mobilisés. Il menta te comme un diplomate allemand naturell :i- ment. Du reste, mensonge et espionna^ le sont devenus deux spécialités des ar :n bassadeurs teutons. is Est-ce qu'à l'heure où nous somnn r- un ministre autrichien accrédité < e- Danemark, le comte Szecheruy n'a p; il- été surpris deux fois espionnant lu ir même dans les fortifications de Copei rs hague? Le gouvernement danois, p; îs crainte d'incidents, n'a pas osé fai; i- d'observations, mais le fait n'en est p; ui moins certain. L'information publiée p; la Presse-Associée à ce sujet n'a pu êti démentie. Telle est la mentalité de cette dipli matie à tout faire ; elle tronque 1< dépêches, elle affirme des sentiments p; le cifiques quand son pays est en plei armement, elle répand les nouvelles rnei songères à travers le monde, elle espioi ne et se laisse surprendre relevant d< croquis dans les fortifications. Du haï en bas de l'échelle sociale, ambass; 'e deurs, officiers supérieurs, gros négi le ciants, savants en mission, comm voyageurs ou camelots, leur mentalil est la même et leurs procédés ne varier pas. C'est du propre. IEAN-BERNARD. LS * n CARTES SUR TABLE. e II n Des faits en abondance ont démontr ié que l'Allemagne avait préparé de longi :e main son attaque de la France et se :s passage par la Belgique. n Bien plus, l'Allemagne avait décie à de mettre la main sur notre pays. L'organisation de son espionnage ch< nous, son investissement par ses natii .' naux, ses déclarations avant la guerre ■' " Il nous faut la Belgique et 30 mi i- liards," le discours de l'officier alleman ir au Jardin Zoologique d'Anvers, les a 3. fiches placardées depuis des mois pa :d tout jusqu'en Flandres sous forme c réclame, et portant au verso des carte indicatrices... et mille autres faits moi trent que le coup était bien étudié i décidé. Maintenant que les projets allemanc ont échoué chez nous et qu'ils sont si lr le point d'échouer en France, les AIL mands, et spécialement le contre-man a reste du comité de la Social-Démocrat le reproche au bureau de l'Internationa de ne pas s'être occupé des menaces e :e la Russie, menaces dirigées contre peuple allemand. :e Nous comprenons ce reproche, mais -> est injuste. lr C'est la continuation de la politiqi du chancelier Betbman-Holweg... p; ceux qu'il espère faire servir à ses fins. ir quitte à les accabler ensuite. a Nous n'aimons pas plus le tzarisrr que l'impérialisme allemand, mais fore a nous est de constater que ce n'est pas 's tzar qui " a manqué à sa parole de so ;; dat," et que d'aileurs, les documeni a publiés par l'Angleterre démontrent a suffisance la duplicité de l'Allemagne e 5, cette affaire. i- On oublie en plus que c'est l'AUem; ir gne qui a instigué l'Autriche et déclat la guerre. it Le motif de l'attaque russe n'est dor ;t qu'un prétexte pour répondre quelqt is chose au manifeste d'hommes qui ; is trouvaient en meilleure posture que ceu î- du comité de Berlin pour apprécier sa a nement et " socialistement " les évérw ments, et que d'ailleurs personne n'ava à pu aveugler et égarer. i- Il paraît de plus en plus certain que 1 > peuple allemand a été trompé par so s gouvernement, qu'il n'a rien connu d '- la déclaration de guerre de I'Allemagn il à la Russie et qu'on lui dit seulement e la séance du 4 août que les Russes e i- les Français avaient envahi le territoir s allemand, afin qu'il s'imagine qu'il n it lui restait rien d'autre à faire qu'à s s défendre. s L'artifice est vraiment trop grossier, e Nous admettons que le kaiser et so - chancelier aient tenté ce système afin d it cacher leurs projets réels et leurs crimes Mais est-ce que les partis avancés e les socialistes avaient donc perdu tou s esprit critique? Est-ce qu'ils en étaien u arrivés à accepter tous les mensonge s impudents de leurs gouvernants san à s'informer, sans contrôler? -I Et jpuis... s'ils se sont aperçus tro 11 By «h. Êt to e" Spécial H. M. Appoint- T*^l|fllO^ t^ie • e ment Queen. i HSpi NOS VISITEURS » FRANÇAIS ET BELGES. :s i- Nous avons l'honneur de n vous inviter a faire une visite i- a nos magasins sans obliga-i- tion aux achats. •s Nos magasins sont les plus it complets du monde. Nous i- vendons ABSOLUMENT TOUT > ce que peuvent desirer les >s dames, les messieurs, les en-é fants et les domestiques, aussi ■t bien pour l'ameublement que pour les consommations de toutes especes. Un personnel d'interpretes se tient continuellement a la disposition des visiteurs. L'ETAGE DES OCCASIONS \ SPECIALES n est le rendez - vous favori des lé dames belges et françaises ; elles se sentent entièrement 'z chez elles dans un milieu des plus agréables. e B.F. 1901. Blouse élégante en soie japonais®, te Prix d'occasion, 6,11 l- n B.F. 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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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