L'indépendance belge

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30 oktober 1917
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s.n. 1917, 30 Oktober. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/f18sb3xv7f/
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L INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLANDE; B CENTS) •administration : 11, p^ace de^la^botese. MARDI 30 OCTOBRE 1917 p mois, 9 shillings, "i 5 DANE STR., HIGH HOLBOKN, W.C. 1. ( ^ „ ABONNEMENTS : J 6 MOIS, 17 SHILLINGS. I CONSERVATION PAR LE TROGRES. TELEPHONE: HOLBORN 1773-4 TELEPH. : | et Efl Vente fi LOtldreS 3 3 11. le lundi 29 octobre (l AN, 32 SHILLINGS. J LA SITUATION I Lundi, midi. Les nouvelles du front italien sont inquiétantes. L'offensive austro-allemande je développe avec une rapidité déconcertante et chaque communiqué voit s'accroître le butin de l'ennemi. Celui-ci affirme avoir fait jusqu'ici un total de 100,000 prisonniers et prétend que le nombre des canons capturés-est de 700 ! Les années austro-allemandes foulent | ]€ sol italien et ont commencé l'envahissement de la plaine du Frioul. Quelques kilomètres seulement les séparent d'Udine, et si cette ville tombe, l'ennemi commande les principales lignes de communication vers le nord et vers l'est, tant par rail, que par route. Déjà la ville de Cividale, en flammes, I est aux mains de nos ennemis, dont l'avance foudroyante a contraint le général Cadorna à évacuer Gorizia, clé ; de toute la ligne du Moyen-Isonzo. En d'autres termes, la troisième et la deuxième armées italiennes sont en retraite, et le généralissime italien avoue que k reyers est grave. Il ajoute, et c'est là un symptôme qui ne manque pas de gravité, que le désastre est dû, en partie, "à la faiUe résistance de détachements de la deuxième armée, qui a permis aux forces ennemies de percer l'aile gauche italienne sur le front julien." Il est juste, pensons-nous, de dire, à la décharge des soldats italiens eji cause que leur courage et leur résistance on' été mis à une dure épreuve. Car non sou lement ils furejit attaqués par des force.1 numériques très supérieures, soutenue; I pat une artillerie ëxtr-aordiiiairemenl puissante, mais les Allemands ^fireni usage à'un nouvefiu gaz qui semble avoii [ produit des résultats analogues à ceuj que nos ennemis obtinrent lors du premier emploi de gaz dans le secteur d'Y-près, où il s'en est fallu de peu que 1< front ffanco-britanniqu%ne fût percé. Quoi qu'il eni soit, la situation créé* i par les derniers événements est très sérieuse. Tout le front oriental italien esl en danger et le coup porté à nos allié* est- sensible. La bravoure avec laquelle nos vaillants alliés se sont battus depui* le début de la guerre nous est un sûr garant qu'ils feront face, oourageusemenl et stoïquement, à un ennemi qui abal son dernier atout. Ils savent qu'ils peuvent compter sur l'appui sans réserve dt leurs alliés britanniques et français dont l'artillerie a déjà participé, à leurs côtés, à plus d'une opération victorieuse Dli ' ' ■ autre part, les armées américaines. qui sont appelées à jouer un rôle décisil dans la guerre, se trouvent actuellement a pied d'çéuvre sur le front français, leur artillerie a. tiré samedi le premiei coup (Je canon, et cet "événement" a un< signification dont les Allemands ne m dissimulent pas l'importance. Car 011 ne saurait trop le répéter, e1 j il convient surtout de le rappeler à | 1 heure critique où les armées italienne* sont refoulees, que le sort de la guerr< 'se joue, sur le'front occidental, et que t'est sur ce front principal que-nos armes sont toujours, et d'une-façon de plus en plus marquée, triomphantes. Sur l'Aisi.e, les Français ont étendr leurs gains par l'occupation de la fa-meuse Ferme de Froidmont, dont- le non revenait si souvent dans les communi qués. La perte de ce bastion est très sen t «We pour l'ennemi, qui, la première foi' depuis ses échecs des jours précédents 4 réagi par une contre-attaque. Celle-c . S eut d'ailleurs aucun succès et'les Aile l ffiands durent abandonner 60 prison-[ niers. Survie front des Flandres règne un< | activité fébrile et qui n'est pas près: crovons-nous, de se ralentir. Détail symptomatique : les troiupes belges, pour la première fois depuis les journées tragiques de la première bataille de l'Yser, ont coopéré à mie action offensive des troupes franco-britanniques, et leurjrentrée en scène, qui coïn-i cide avec l'entrée en lice des troupes américaines, marque une phase nouvelle dans les opérations sur le front occidental. Si la petite mais indomptable armée belge n'a plus pris, depuis longtemps, une part active dans les opérations — ce qui ne veut nullement dire (au contraire) qu'elle n'a pas saigné comme ses grandes sœurs alliées — c'est uniquement parce que ses voisines n'avaient pas'dégagé les , secteurs adjacents, opération préliminaire nécessaire à toute tentative belge quelconque. Or, depuis quelques jours, les troupes franoo-britanniques ont progressé autour de la Forêt d'Houthulst, et les Français notamment, ont fait, au cours des dernières quarante-huit heures, des progrès sensibles au nord et à l'ouest de la forêt, pierre angulaire, si on peut dire, de l'aile droite allemande en Flandre.4 Par bonds successifs, les troupes du général Anthoine, franchissant les lagunes (véritables marécages) produites par les inondations, s'emparèrent des \ langues de terre qui bordent par l'ouest et le nord les approches de la Forêt d'Houthulst. Au cours de ces opérations, dont il est superflu de souligner les difficultés et dont l'exécution exigeait de [ nos alliés une endurance et une audace incomparables, les Français occupèrent successivement les villages d'Aschhoop, ' Kippe Verbrandesmis, Merckem et, finalement, Luyghem. . C'est dans le secteur de Merckem, qui ; constitue une péninsule, que les troupes belges eurent l'occasion — si longtemps attendue — do participer à l'avance ck leurs camarades d'armes français. Le* Belges occupent la "presqu'île" du côté de Vijfhuizen, et ce sont eux qui furent chargés du "nettoyage" des tranchées allemandes, opération .qui donna lieu, si nous nous en référons à la relation du ; correspondant spécial du "Times," à | plusieurs scènes d'un comique fini. Toute cette langue de terre, qui a uik superficie de cinq kilomètres sur deux et qui n'est qu'une mer de boue, est aux ' mains des troupes franco-belges. Les derniers communiqués de Paris disent qu< 200 prisonniers fufent faits au cours de l'opération et que les Français s'emparèrent encore de plusieurs îlots occupés par les- Allemands. Mis en goût par leur succès, les Belges ; entreprirent-, dans la nuit du 26 au 27. un raid au nord de Dixmude, d'où ils ramenèrent 16 prisonniers et une mitrailleuse. Cette dernière opération n'était qu un coup desonde, mais à mesure que jle.s Français, à leur droite, avancent, les Belges vont pouvoir aller de l'avant d< leur côté, et on peut être certain que nos "jasses" montreront aux Boches qu'ils ' sont encore, comme ils disent, "un peu ; là." - Pendant que Français et Belges pro-; gressèrent au nord, les Canadiens et les ' Britons avancèrent, eux, au sud-ouest d< îa Forêt d'Houthulst. Les Canadiens, notamment, après avoir repoussé deux 1 violentes contre-attaques allemandes au sud et à l'ouest de Passch.enda.ele, avan-! cèrent légèrement -leurs positions et con-solfdèrent le terrain gagné. En résumé, grâce à l'avance franco-belge, la Forêt d'Houthulst se trouve à ; moitié contournée par le nord, et le ter-1 rain gagné par les Français permet à ceux-ci de préparer de nouveaux bonds en avant qu'appuieront, à leur droite et leur gauche, les troupes britanniques et 3 belges. La situation en Flandre est-, on le voit, pleine de promesses. 9 MB LE FRONT OCCIDENT! l'AVANCE ALLIEE EN FLANDRE La coopération des Belges Le communiqué britannique de Manche matin dit : Dans la nuit du au ïï octobre les «troupes belges ont e: cuté n On nAAf n v* •vin î ri on fi -i> /-I T~l [l^mude, capturant 16 prisonniers, ain «u'une mitrailleuse. Hier matin (samedi) les troupes be ges, agissant en coopération avec 1 Français, ont traversé les inondations ont occupé la péninsule de Mercier dam? dans le voisinage de Vijfhiuizen. Le communiqué britannique de cl manche soir dit: Au cours de la journ ;6- les opérations des troupes françaises .x- belges au nord "de Merckem ont été es cutées avec succès.Le village de Luyglieiu a été capturé ce matin par les troupes françaises et toute la. péninsule de Merc-es kem est, à présent, aux mains des Alliés. es Suivant le communiqué français de di-manche soir, 200 prisonniers, ont été »n faits dans la péninsule de Merckem. Le succès franco-belge ($_ Le correspondant du "Petit Parisien'' sur le front britannique écrit que pendant que les admirables Canadiens, qui en ce moment tiennent solidement la s crête de Bellevue, continuent leur avance 3e irrésistible vers Passchenclaele, les ba-taillons français, parfaitement secondés es par le génie belge, ont capturé Merckem. 2e L'action, qui commença samedi à es 5 h. 50 du matin,se termina deux heures plus tard, avec un brio exceptionnel. re Les Français, ayant occupé la péninsule, les Belges empêchèrent le reste des occu-,s pants allemands d'effectuer aucune re-u. traite possible vers le nord-est, Montés js sur des barques armées de mitrailleuses, > ils patrouillèrent sur les eaux et joigni->,s rent les Français à Luyghem, refoulant j l'ennemi devant eux. Deux divisions al-je Iemandes fufent engagées dans cette affaire, ainsi que deux régiments de Land-;uLwehr, mais dans l'espace de deux lierres a_ [toutes les forces ennemies avaient été es dispersées par les canons français. es Le premier obus américain Le communiqué américain publié sa-et medi à Paris dit: s' Quelques bataillons de notre premier Contingent, complétant leur instruction ■^c milit-rtire, afin de constituer un noyau cc pour l'instruction des futurs contin-:it gents, occupent maintenant des tran-P> c-hées de première ligne sur -le front '^".française, côte à côte avec des .troupes françaises aguerries. Nos troupes sont Jl soutenues par des batteries de notre pro-pre artillerie, ainsi que des batteries Ps françaises d'élite. Xos hommes s'adap-^ tent admirablement à la vie des tran-chées.îe D'autre part, le correspondant au ■J* front de l'Associated Press a télégra-c's pliié à New-York que l'artillerie améri- caine avait tiré son premier obus, lu i SUR LE FRONT MERIDIONAL ie ♦ j ^ 'n La retraite italienne LES COMMUNIQUES ITALIENS -K' Rome, samedi.—Après avoir traversé la ligne frontière entre le Mont Camii: Q" (à 8 k. à l'ouest de Plezzo) et la tête de la vallée du Judrio (sur une distanct d'environ 32 kilomètres)-, l'ennemi tent< es de gagner la. plaine Sur le Carso les efforts de l'adversaire •k augmentent ; de violents assauts ont étt il- repoussés par nos troupes. it Home, dimanche.—Une violente atta re que et la faible résistance de certains clé es tachements de la deuxième armée, orn le permis aux forces austro-allemandes de os percer notre aile gauche sur le froni ls Julien. îu Les vaillants efforts des autres troupes ne parvinrent pas à empêcher l'ennem: o- d'envahir le sol sacrff de la patrie. Nos es troupes reculèrent suivant un. plar le préétabli. Les magasins et les dépôts s, évacués furent détruits. îx La bravoure déployée par nos soldat.-lu dans si nombreuses batailles mémorables a- livrée et gagnées depuis deux ans g't de m: n- donne cette fois encore au commandement suprême une garantie que l'armée o- qui a la garde de l'honneur et de la sûreté à du pays, saura accomplir son devoir. r; Aide français à l'Italie Le cabinet français a examiné la si-^ tuation militaire générale et a décidé el de coopérer avec ses alliés sur le front italien. t, LES COMMUNIQUES ALLEMANDS Berlin, 27 octobre*. — L'opération — préparée sous le commandement suprême si de l'empereur Charles d'Autriche contre les forces principales de l'armée italienne il- se -développe avec la collaboration de es l'incomparable élan des troupes alle-et mandes, qui, avançani^coude-à-coude sur n, l'Isonzo, ont obtenu de grands succès. La deuxième armée italienne est battue, li- Par un temps favorable, les divisions ée allemandes et austro-hongroises, bridant et plusieurs fois la résistance de l'ennemi, é- $nt marché" irrésistiblement de l'avant i par-delà les hauteurs et à travers les s vallées. Le sommet escarpé de la montagne Itol . (à i kil. à l'est du Monte Maggiore) a - été capturé. Le sommet puissamment for-j tifié du Mont Matajur (1,641 m.), à 4 kil. et demi à l'ouest de Caporetto, est tombé en nos mains le 25 octobre, à 7 heures du matin, yingt-trois heures après le commencement de notre attaque - à Tolmino. 1 Berlin, 28 oct.-rLe développement 1 rapide de notre attaque sur l'Isonzo se e poursuit avec un succès complet. Les for-" ces italiennes, qui tentèrent d'empêcher 3 nos divisions de franchir les montagnes, • furent refoulées. Dans la soirée, les trou-i pes allemandes pénétrèrent dans Civi-3 dale en feu. Le front italien vacille jusqu'à l'A-> driatique. Nos troupes marchent de " l'avant sur toute la ligne. Gorizia-, lo ville si disputée dans des 3 batailles sur l'Isonzo, a été prise ce ma-' tin de bonne heure, par des divisions " austro-hongroises. t Berlin, dimanche soir. -— "du deu-" xième et la troisième armées italiennes - battent en retraite vers l'ouest. Notre - poursuite avance rapidement des mon-3 tagnes jusqu'à la mer. 3 Près'de 100,000 prisonniers et plus de 700 canons ont été comptés jusqu'ici. J OPERATIONS NAVALES L' i Une action dans la Mer du Nord i Six destroyers britanniques et fran- - çais, patrouillant au large de la côte - belge dans l'après-midi du 27 octobre, t ont aperçu et attaqué trois destroyers s et 1 ^aéroplanes allemands. t Detix touches directes ont été obtenues - sur les destroyers ennemis, qui se reti-s rèrent immédiatement sous la protec- - tion de leurs batteries côtières. La formation des aéroplanes ennemis fut brisée par le feu des canons anti-1 aériens des destroyers britanniques; clia- - que aéroplane ayant jeté trois bombes - dans le voisinage des bateaux alliés, qui ne subirent ni pertes ni dégâts en dehors de deux hommes légèrement blessés. L'ENTREE EN GUERRE OU BRESIL é La décision parlementaire 'i La Chambre des Députés du Brésil a e adopté vendredi dernier, par 149 voix e contre une, une motion disant que l'état e de guerre existe entre le Brésil etl'Alle-magne. Le texte de la motion, qui e avait été soumise par le président de la é Chambre à la commission diplomatique de cette assemblée, est le suivant: "Il - est reconnu et proclamé que l'état de _ guerre existe entre le Brésil et l'Alle-t magne. Le président de la République e est autorisé à adopter les mesures pré-t vues dans son message du 25 octobre et à prendre toutes les dispositions pour la g défense nationale et la sûreté publique.'' j Le S^iiat a unanimement approuvée cette motion, et le président de la Répu-n blique a sanctionné la proclamation de guerre avec l'Allemagne. Parmi les mesures de guerre prévues par le gouvernement figure l'orgaçiisa-tion d'un comité de production natio-■ nale, la suppression des journaux publiés en langue allemande et la censure de la presse. Canonnière allemande coulée Lorsque les marins brésiliens envoyés pour saisir la canonnière allemande "Ebér," à Bahia, se trouvèrent sur le ; point de monter à bord de ce bateau, l'équipage allemand y mit le feu et le fit coule!*, Autre machination du comte Luxburg M. Nilo Peçanha, ministre des affaires r étrangères brésilien, a annoncé qu'il ^ possédait le texte d'une dépêche du 3 comte Luxburg suggérant l'envoi d'une ï escadre de sous-marins à Buenos-Aires, î une telle mesure pouvant réaliser les - plans de l'Allemagne au Brésil méridio-l" nal, c'est-à-dire l'invasion de cette par-i tie de l'ancienne colonie portugaise, aujourd'hui l'une des grandes républiques s sud-américaines engagée dans la- guerre t mondiale. , . Le ministre a ajouté que le Brésil t n'attend pour publier ce document, que * iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!iiii[iiiiiiiiiiiii!iiiiiii)iiniiiiiiitin t à ^ «Londres 'pour les ; Américains - No 10. - Quelques réminiscences coloniales du temps passe e autour de BLOOMSBURY v Lamb's Conduit Street mène vers le Foundîing - Hospital, où la statue du fondateur, le Capitaine Coram—" le ctioyen 1e plus honnête, le plus désin.- ,s téresflé, le plus^onnu dans les plantations (c.à.d., aux Colonies), domine les grilles d'entrée. Coram . scxpt'ia au Massachusetts en 1694, et, s'installa à Taunton, où il offrît du terrain pour une école et s des livres pour une bibliothèque. C'était un pioii-c nier de la colonisation, car en 1704 il obtint par _ Acte de Parlement des concessions pour le goudron colonial. A son retour en Angleterre il installa le Foundîing Hospital. Les bâtiments actuels da-q tent de 1745, année dans laquelle le Foundîing Hospital fût transféré de sou emplacement primitif dans Hatton Garden. Coram est inhumé dans la chapeile, où se trouve le tableau de Benjamin West, " Christ Blessing Little Cihildren." Les assistants au service du dimanche matin sont conduits dafis les bâtiments de l'hôpital, où sont exposés des tableaux de Hogarth, Reynolds et d'autres artistes. En allant vers l'ouest par G-uilford Street et traversant les Russell et Bedford Squares, ou arrive à Tottenham Court Road. Vers la droite se trouve ~ Whitefîeld's Tabernacle. La chapelle primitive, c comme l'indiquent les inscriptions taillées dans l'ancienne" pierre de fondation, encadré dans le mur, - "a été édifiée par le Rév. Mr. George "Whitefield, s Anno Domini iMDCCLVI." "Whitefield était pasteur à 'Savannah, la capitale de tGeorgia. C'est là qu'il créa un orphélinat, à l'aide de fonds qu'il récolta, ,lors d'un second voyage en Amérique, où il entre-,-jprit une tournée de Sermons dans la Pennsylvanie, , le Maryland, l'a Virginie et la Caroline. Benjamin Franklin déclarait " qu'il était merveilleux de constater les transformations qui se produisaient ra-slpidement chez les habitants à la syite des sermons de "Whitefield." Lors de la derrière visite qu'il fit au Presbyterian Meeting House dans Fédéral Street, l- jNewburyport, M «s., il mourut le 30 septembre ig 1770% et c'est là qu'il fut enterré-. | Goodge Street, au sud du Tabernacle, conduit H'vters Newman Street, où est située no 14, la maison s occupée pendant 45 ans par Benjamin. West,, le [peintre américain oui succéda à Reynolds comme président de la Royal Academy. C'est là que "West 3 fit son tableau le plus célèbre, " Beat h of Wolfe," dans lequel, avec un mépris américain des co©ven-tions admises, il montra les personnages dans des 'uniformes militaires contemporains, au lieu des costumes classiques adoptés jusqu'alors dans les peintures de guerre. ' Par les Bus nos 19, *38, t38a, à Lamb's Conduit Street, au nos 68, 77, 77a- A Russell Square, d'où Guilford Street conduit au Foundîing Hospital. a| En semaine seulement, t Les dimanches seulement it " " The Lçndcn General 0mnibn$ Co.f Ltd., ll Electric Raiîway Hou*s, Broadway, Wfstmin'ster. S.W. 1 e n e iiii!ii!iiiiiii'iiiniiiiiiiiiiitj'i;iiiiimiiiininiiiiniHii»jiinitii)i»nitii ;e L'EKTiîEE EN GUERRE DU BRESIL ~ Suite ® l'autorisation des Etats-Unis, dont elle le tient. 1,1 / ' Cette révélation, télégraphiée, à Bue-^ nos-Aires, a produit- une profonde im-pression en Argentine. Les journaux argentins demandent is;que le gouvernement publie les dépêches du comte Luxburg, ou qu'elle autorise ' des gouvernements étrangers à les publier. La réticence du gouvernement ar-e gentin à ce sujet est très critiquée. démission m mim ESPISIOL e c £ Le Cabinet espagnol a donné sa démission. Senor Dato a déclaré, après un coinseil des ministres tenu samedi, que le Roi lui avait demandé s'il ne s jugeait pas le moment opportun pour la il couronne d'ouvrir une conférence au u sujet de la situation politique. Senor e Dato a interprété cette demande comme jin conseil de là part du Roi pour la "dé-s mission du Cabipet. - AUTOUR delà GUERRE S FRANCE •e — Une descente de police a été faite dans les bureaux de 1' "Action Fran-il çaise" et dans divers locaux royalistes le à Paris.. SSème année. No 2S0

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1918.

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