L'indépendance belge

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s.n. 1917, 17 April. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/9s1kh0fz13/
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Le >*>*>• No 90 L' INDÉPENDANCE «0YAUME-UNI : ONE PENNY BELGE. CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLANDE : 5 CENTS) SSatHTOnh SE. U. PWAÏ^sf ELEPHONE : HOLBORN 1773-4 TELEPH.: { 238-75. MARDI 17 AVRIL 1917. ( 3 MOIS, 9 SHILLINGS. .7 .. ABONNEMENTS: e MOIS, 17 SHILLINGS. VConservation par le Progrès. En vente à Londres à 3 h. le lundi 16 avril. 11 an 32 shillings. J LA SITUATION Lundi, midi. c première semaine de la bataille I [,ias voit nos alliés britanniques c 1res incontestés des Hauteurs de 1 m et de toutes les positions conquises a fud de ce bastion jusqu'à proximité Quéant. i les contre-attaques allemandes, atten- c ,lN se sont produites, et elles n'ont eu ] litre résultat que d'augmenter de 1 5li) (comptés en avant des lignes an- c jies) le chiffre des morts et de quel- 1 f}0O celui des prisonniers perdus ' us les combats de ces derniers sept £ ira. ( Lee Allemands, comme on sait, ont < due, à la suite des premiers succès de I iffessive britannique, que deux de 1 jvs divisions ont sérieusement souffert i aisce n'est là qu'une partie de la s A Les correspondants de guerre ( «apprennent que depuis le 9 avril 1 il divisions allemandes sévèrement ] gagées ont été complètement retirées ] front, sans doute pour être reconsti-Éee et à ce taux-là la réserve straté- ( |ue du maréchal von Hindenburg sera , foidement épuisée. , te troupes britanniques investissent pis de trois côtés. Elles ont pris pos- j ssion du faubourg ouest : Cité Saint- . [erre, et leurs lignes bordent les fau-lurgs Cité Jeanne d'Arc, Cité de Riau- . ont et Cité des Garennes. Une à une [cheminées de la ville se sont éteintes, ( tout indique que la population civile . été évacuée, précédant la garnison al- ; mande qui s'apprête, elle aussi, à ] «donner la place. Les prisonniers ] firment, et les explosions, de plus en ] us fréquentes, prouvent, que la bête ] lemande laissera à Lens l'empreinte de < griffes, comme elle l'a laissée partout j elle a passé. C'est avec une anxiété compréhen-)Ie qu'on attend à Paris des détails r l'état dans lequel les Allemands ont issé la région minière qu'ils sont obli-s en ce moment d'évacuer, et nous lirons bientôt si nos ennemis détrui-ît la propriété industrielle avec la ime désinvolture que les monuments blics. On sait déjà qu'à Liévin, les Allemands occupaient cinq lits sur six, ont inondé la Fosse de donne, et on croit savoir qu'ils ont itruit le cuvelage afin de retarder le us possible la mise en exploitation, îant à la superstructure, elle a été sys- j matiquement et méthodiquement dé-aite, machines, chaudières, conduites , rapeur, etc., et tout est à reconstruire. ] La population de Liévin, Lens et Sal- ( imines, qui a été évacuée en toute hâte ] 4 pu emporter que ce que chaque péroné était capable de porter, et à Sal- j imines la limite fixée était de trente j logrammes. Tout ce qui restait, les , leraands s'en sont emparés, y compris f stocks de vivres du Relief Committee , ^ens. Par endroits, cependant, les pro- ( ès de nos Alliés ont été trop rapides 1 les Allemands ont abandonné de c încfes quantités d'explosifs et de boni- [ • destinées sans aucun doute à achever s iuvre de destruction commencée. j A Saint-Quentin, investie elle aussi de us côtés, les Allemands poursuivent 1 alement leurs actes de vandalisme et c 'ffirmatioii mensongère contenue dans 11 ir communiqué disant que "le feu des|c ies a gravement endommagé la ca- 1 idrale, le palais de justice et l'hôtel ville" n'est qu'une lourde tentative !c l'esquiver des responsabilités qui, en irésence de la certitude de son ultime léfaite, doit commencer à peser sur a conscience du haut commandement llemand. Il serait temps pour les Alliés d'infor-ner leurs adversaires que pour chaque harbonnage détruit, un charbonnage al-emand sera exploité au profit de la France et de la Belgique et qu'il en sera le même pour chaque usine, chaque ate-ier dévasté ou dépouillé par l'occupant. 5"il est vrai, connue certains le sug-;èrent, que le maréchal Hindenburg fait ixécuter cette œuvre de dévastation afin le fouetter-le courage de ses troupes (en eur faisant comprendre ce qui attend eurs villes et leurs villages en cas d'in-rasion) et aussi afin de les empêcher de e rendre (de peur de représailles), une léclaration officielle et solennelle, trans-nise par le groupe des Puissances allées, ferait certainement réfléchir à lerlin. Les derniers événements politiques >nt dû produire une vive effervescence lans tous les milieux allemands, et il est ■vident que, voyant s'augmenter chaque our le nombre de leurs ennemis (la Bo-ivie vient de rompre avec Berlin), nos idversaires finiront par perdre courage. Le bloc des Puissances Centrales a tenu lussi longtemps que la victoire a semblé levoir couronner leur politique belliqueuse, mais aujourd'hui que les légions illemandes sont battues et refoulées par 'indomptable énergie des troupes al-iées, que le monde entier se lève contre a Kultur, et que la faim les torture, e bloc commence à craquer et des fê-ures se manifestent partout. On semble attacher à Berlin une importance exagérée à la Conférence de Stockholm et à la mission du citoyen ?cheideman, car les socialistes russes se sont définitivement ralliés au mouve-nent nationaliste. Les quelques extré-nistes ne forment plus qu'une minorité ians influence, incapable d'entraîner le n'olétariat et de contrecarrer l'œuvre de 'égénération appuyée pur l'armée. La résolution adoptée par la Confé-■ence nationale des délégués ouvriers et nilitaires (325 voix contre 57 et 20 absentions) "faisant appel à toute la dé-nocratie russe pour monopoliser les fol ies vives du pays dans toutes les brandies de la vie nationale en vue de ren-orcer le front et l'arrière," et se prononçant pour la continuation de la ;uerre, indique que le Gouvernement Provisoire a fini par triompher de ceux |ui, sous couvert de pacifisme, auraient ivré la Russie aux Allemands. Le chef socialiste suédois, M. Bran-ing, revenant de Pétrograd, affirme lui-nême qu'actuellement plus personne lans la capitale 11e parle plus de paix éparée, que la majorité du Comité des lélégués ouvriers et militaires, tout en stant partisan du rétablissement de 'ancienne Internationale, ne désire pas ntrer en conflit avec le gouvernement et l'a d'autre but que d'exercer une pres-ion sur lui afin de garantir une paix uste. C'est là une nouvelle défaite pour 10s ennemis, d'autant plus pénible ue leur seul espoir en une paix favora-de est fondée sur l'exploitation de l'une n l'autre des deux grandes Internatio-lales rouge et noire. Attendons-nous à les voir revenir à la harge. LES OPÉRATIONS MILITAIRES «- «* LE FRONT OCCIDENTAL s COMMUNIQUES DE S A MED L'AVANCE BRITANNIQUE Prise de Liévin. — A quelques cent mètres de St-Quentin Je communiqué de sir D. Ilaig pai a Londres samedi matin, annonc capture du village de Fayet à 1,60 très de Saint-Quentin et des impoi 1 positions des fermes de l'Ascer 'I du Grand Priel sur le- plateau de Le Vergnier, ainsi que des pre grès réalisés au nord de la route de Ba-paume-Cambrai, dans la direction de Quéanf. Au nord de la Scarpe, les E troupes britanniques ont encore forcé l'ennemi à céder du terrain, et elles se sont emparées de la gare de Vimy, de La Chaïuiière, et des positions ennemies à la Fosse No 6 et au moulin de Buquet, entre Givenchy en Gohelle et Angres. - Dans cette région 4 gros mortiers de 8 e pouces ont été pris aux Allemands. 0 Le terrain pris dans les récentes opé- - rations est relié à présent, aux positions - arrachées à l'ennemi lors de la bataille à de Loos, et comprend le fameux Double - Crassier. Dans son communiqué du soir, sir D. Haig annonce la prise de la ville de Lifvin, au sud-ouest et adjacente à Lens, où des quantités considérables de matériel de guerre ont été capturées, 'l'occupation delà cité St.-Pierre, à l'est de Lens, et des progrès sur tout le front de la Scarpé au sud de Loos où les troupes britanniques ont atteint des points situés de trois à quatre kilomètres et demi de la Colline de Vimy. Au sud de la Scarpe il y a eu de violentes combats au cours desquels les Allemands ont employé de puissantes réserves. Attaques et contre-attaques se sont succédées à de courts intervalles, les troupes britanniques maintenant partout leurs nouvelles positions tout en infligeant dès pertes sérieuses à l'ennemi.Les détachements britanniques ont également progressé sur un large front au nord et au sud de la route de Ba-paume à Cambrai. Au cours d'une série de vives rencontres toutes victorieuses les forces de sir D. Haig ont avancé au sud et à l'est de Fayet, arrivant à quelques centaines~de mètres de la ville de St-Quentin et emportant le village de Gricourt à la pointe de la baïonnette. Des pertes énormes ont été infligées à l'ennemi qui a offert une résistance opiniâtre. 400 prisonniers ont été faits et une tentative de contre-attaque a été brisée. Les aviateurs britanniques ont jeté de grandes quantités d'explosifs sur les gares, dépôts de munitions et aérodromes ennemis et ont attaqués à l'aide de mitrailleuses des troupes et des convois allemands. Au cours de combats derrière les lignes ennemies quatre appareils adverses ont été détruits et six autres ont été contraints d'atterrir en mauvais état. Douze appareils britanniques ne sont pas vert*. - ■>•>. A en croire les bulletins de Berlin, toutes les initiatives britanniques sur le front de bataille entre Lens et Saint-Quentin ont échoué avec pertes pour nos Alliés, qui près de Saint-Quentin auraient après combat, laissé plus de 200 prisonniers dont trois officiers, aux mains des Allemands. Les mêmes communiqués affirment avec aplomb que l'artillerie alliée a bombardé "de nouveau'' les quartiers du centré de Saint-Quentin. endommageant sérieusement le Palais de Justice, la cathédrale, et l'hôtel de ville. On sait ce que cela veut dire. Suivant les mêmes rapports les aéroplanes alliés descendus le 12 avril sont au nombre de 11, et le 13 avril au nombre de 24, plus quatre ballons captifs. Une escadrille britannique entière aurait été détruite près de Douai. SANGLANTE DEFAITE ALLEMANDE Violente contre-attaque ennemie repoussée — Progrès sur toute la ligne Londres, dimanche, midi, 15. — Ce matin au point du jour, l'ennemi a lancé une puissante attaque sur un front de près de dix kilomètres, à cheval sur la route de Bapaume à Cambrai, sous le couvert d'un violent bombardement contre nos nouvelles positions de Hermies à Noreuil. L'attaque a été infructueuse partout, sauf à Lagnieourt, où, après un violent combat, l'ennemi est parvenu à prendre pied. Notre contre-attaque l'a rejeté immédiatement du village et ses troupes, se retirant sous notre feu d'artillerie, ont souffert de très lourdes pertes. Plus de 200 prisonniers sont restés entre nos mains. La nuit dernière, nous avons légèrement avancé notre ligne à l'est de Heninel. Au nord de la rivière S'oueliez, nous avons continué à réaliser des progrès Nous avons capturé les défenses fortifiées ennemies à l'est de Liévin, du bois de Riaumont, au coin oriental de Cité Bt-Pierre, et nos troupes avancent dans la direction de Lens. Une pluie abondante tombe depuis ce matin de bonne heure. * * * Londres, dimanche, 9 h. 5 du soir. — Un combat a eu lieu de nouveau aujourd'hui, au nord-ouest de St-Quentin. Au cours de la lutte, nos - troupes ont gagné du terrain au nord de Gricourt et ont fait quelques prisonniers.Nous avons également réalisé des progrès dans le voisinage du boi d'Havrincourt et à l'est de -Liévin, oi nos troupes approchent des limites d Lens. De nouveaux détails concernan l'attaque livrée ce matin par l'ennem des deux côtés de la route de Ba paume-Camibrai, montrent que se pertes ont été plus élevées que nous n l'avions précédemment signalé. L'at taque a été refoulée avec une grand détermination sous un feu violent d notre infanterie et de notre artillerie En plus de 300 prisonniers resté entre nos mains, 1,500 cadavres aile maiids ont été laissés devant nos posi tions. De fructueux raids de bombarde ment ont été executés hier, par no aviateurs, qui ont collaboré avec suc cès aux travaux de notre artillerie Aujourd'hui toute la journée, il'y eu de sévères combats aériens a cours desquels quatre appareils aile mands ont été détruits et onze con traints d'atterrir en mauvait étal Dix de nos aéroplanes ne sont pa rentrés. Les affirmations allemandes Berlin, dimanche.—11 y a eu pa moment un très vif échange de feu prè de Dixmude (front belge), et au su-d'Ypres.Sur le champ de bataille d'Arras, pa suite du "retrait" de notre ligne a nord de la Scarpe, il n'y a eu que de engagements secondaires, au cours des quels l'ennemi a subi de lourdes pertes De la Scarpe inférieur jusqu'au chemi: de fer d'Arras à Cambrai, un violen combat s'est développé hier matin. De divisions britanniques en grandes masse ont attaqué plusieurs fois, mais à cha que occasion elles ont été repoussées ave des pertes sanglantes. En plus de ce lourds sacrifices, les troupes britanni ques ayant livré une contre-attaque, on perdu 300 prisonniers ainsi que ving mitrailleuses. Le communiqué de Berlin de di manche soir dit que l'activité combat tive a été légère sur îa Scarpe et vive a nord de la route de Bapaume à Cambrai L'ACTION FRANÇAISE . LES COMMUNIQUES DE SAMED Un bombardement ininterrompu martell le front ennemi Au sud de Saint-Quentin et entre cett ville et l'Oise, les batteries française ont continué sans interruption leur bombardements destructifs sur les ligne ennemies, l'artillerie ennemie repondan en canonnant la première ligne de tran ehées française "principalement dans I vallée de la Somme." Au sud de l'Oise les troupes française ont progressé sur le plateau au nord-ee de Quincy inférieur, pendant que l'ai tillerie déployait une activité parti culière contre les organisations aile mandes dans la forêt de Saint-Gobain t dans la haute forêt de Coucy. Au ftord de l'Aisne et dans la régio: de Reims l'artillerie a été active de par et d'autre, ainsi qu'en Champagne e dans les Vosges. Le-communiqué allemand affirme da:i le but qu'on devine, que les Françai ont exposé les monuments historiques d Reims en plaçant des batteries dans leu voisinage. Grande activité d'artillerie en Champagne Paris, dimanche, 14 h. — Au non et au sud de l'Oise notre artillerie : montré une certaine activité pendan la nuit. Nos reconnaissances ont trou vé partout les tranchées ennemies oc cupées et ont ramené des prisonniers Dans la région au nord de l'Aisne 1; nuit a été relativement calme. En Champagne la lutte d'artilleri a continué à être violente. A l'est d Maison de Champagne il y a eu de escarmouches à la grenade. Nos re connaissances ont pénétré à plusieur points dans les tranchées allemandes qu'elles ont trouvé Complètement dé truites par notre feu ; nos détache ments ont ramené des quantités cl matériel de guerre. Sur la rive droite de la Meuse l'en nemi a lancé deux attaques, l'une ai nord-est de l'éperon du bois des Cau rières, et l'autre dans la direction d la ferme des Chambrettes. Les deu: tentatives ont été brisées par notr feu. Quelques soldats d'infanterie qu s étaient parvenus à pénétrer dans 1 ligne avancée du bois des Caurières ? ont été tués ou faits prisonniers. En Lorraine il y a eu des rencon-t très de patrouilles dans la forêt de i Parois et. dans la direction de Peten-court.s * » N * Paris, dimanche, 23 h. — Dans la région de St-Quentin le combat d'ar-e tillerie a été violent pendant une e grande partie de la" journée. Nos batteries ont pris sous leur feu et disper-s sé des groupes de forces ennemies qui avaient été signalés au nord d'Han-court. 11 y a eu de vives actions d'artillerie dans différents secteurs au nord de l'Aisne et en Champagne s SUR LE FRONT BEIGE El 1 Nos'trcupes pénètrent dans la deuxième ligne allemande Le Havre, dimanche soir. — Au cours de la nuit, après une violente s préparation d'artillerie, les troupes beiges ont pénétré dans la deuxième ligne allemande à Dixmude. Aujourd'hui, le duel d'artillerie a ^ été très vif sur tout le front belge. SUR LE FRONT MERIDIONAL l' ê 1 LE COMMUNIQUE DE SAMEDI. Succès de l'artillerie italienne L'artillerie italienne a bombardé la j gare de Calliano et des trains en marche I dans son voisinage. Un dépôt de muni-s tions ennemi a fait explosion et une po-s sition fortifiée autrichienne a été dé-. truite dans la région de Zugna. c Sur le massif de Colbricoh, une atta-s que ennemie contre une position captu-_ rée la nuit précédente après l'explosion t d'une mine, a été repoussée avec pertes t pour les assaillants. Des aviateurs italiens ont jeté des . bombes sur les gares de Prebacina et de . Volcia Draga, dans la vallée du Frigido. SUR LES FRONTS RUSSES I LE COMMUNIQUE DE SAMEDI e Brody bombardé Les Allemands ont bombardé Brody à e l'aide de leur artillerie lourde, et quel-s ques civils ont été tués. s Dans ^différents secteurs du front, des s Autrichiens portant des paquets sont t sortis de leurs tranchées en faisant des signaux avec des drapeaux, dans le but 3 d'engager les troupes russes de s'approcher d'eux. Les tentateurs ont été dis-® persés par l'artillerie moscovite, t SUR LE FRONT MACEDONIEN t LES COMMUNIQUES DE SAMEDI. Echec ennemi à l'est de Nonastir j Un communiqué britannique dit qu'en I dehors d'escarmouches et de raids, il n'y a pas eu, au cours de la semaine, d'évé-s nements importants à signaler sur le g front des forces britanniques à Saloni-t que ; des expéditions aériennes victc-rieuses ont été faites sur un aérodrome et un dépôt de munitions ennemis. Un aéroplane à double moteur ennemi a été abattu et ses occupants capturés, j Le communiqué français signale l'é-t chec d'une tentative d'attaque ennemie ; près de Tirnovo, à l'ouest de Monastir, et dit qu'un bombardement de Monastir ■ par l'ennemi a détruit 17 maisons. LE COMMUNIQUE FRANÇAIS Les Italiens repoussent une attaque sur la Cote 1040 Paris, dimanche,. — Pendant toute < la journée de samedi, il y a eu une activité croissante de la part de l'ar-3 tillerie ennemie dans la zone comprise entre la boucle de-la Tcherna et le lac Prespa. A la suite d'un bombardement à l'aide d'obus chargés de gaz empoisonnés, des détachements ennemis ont attaqué dans la nuit du 13^ au 14 avril les positions italiennes à la 1 Côte 1040. Arrêtés par une vive fusillade, ils ont dû se retirer. A l'ouest de ; ' Koritza, dans la direction de Mosko-s pôle, il y a-eu des escarmouches favo- 3 i (Suite à la 4e page.)

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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