L'indépendance belge

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s.n. 1915, 02 Maart. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/cc0tq5s83s/
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L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE. CONTINENT : 15 CENTIMES Administration et Rédaction, Tudor House, Tudor Street, E.C. > rompue ,,jdri! o vapc iqh csegistered as a rt. TELEPHONE: CITY 3960 LONDRES, MARDI 2 \iARS 1915. newspapee.] Conservation par le Progrès. SOMMAIRE. LA SITUATION: Succès russes à Grodno et à Przaayz— Suspension des opérations dans les Dardanelles — Importantes déclarations de M. Asquith — Blocus renforcé des côtes allemandes — Nouveaux crédits pour la guerre. Appel urgent aux médecins belges. Paroles d'un Catholique.— Firmin vaa den Bosch. Les Milliards. — Camille Roussel. La retraite russe. — Roland de Marès. Lettre de Roumanie. — L. Billet Parisien. — Jean-Bernard. La grande manifestation belge du Queen's Hall.—Georges Verdavaine. Faits Menus, Menus Propos. — Bob. Echos. Une vaillante cité.—Jacques Mosan. t Les atrocités allemandes en Belgique. A Bruxelles. Théâtres. Bibliographie. etc. LA SITUATION. ■ > ^ ■ — Mardi, midi. Les déclarations faites lundi à la Chambre des Communes par le chef de cabinet, M. Asquith, ont été ce que nous avons fait entrevoir hier à cette place. D'un commun accord, la France et la i Grande-Bretagne ont décidé de décréter j le blocus effectif et complet des côtes austro-allemandes et d'empêcher prati-| quement toute transaction commerciale j des deux Puissances centrales avec le [ reste du monde. Néanmoins, les droits des neutres, ' méconnus si cavalièrement par l'Allema-! gne, seront sauvegardés dans la mesure du possible par la France et la Grande-Bretagne.Cette décision, attendue et nécessaire, [ itiettra fin, du coup, à toutes les tenta-j tives faites en grande partie sur les in-hrigatiins de l'Allemagne, en \ue d'ob-I tenir une modification de la politique, si i efficace, de l'encerclement de l'empire | germanique sur terre et sur mer. Elle est t aussi une réponse claire et nette à la récente suggestion américaine visant à 'a | conclusion d'un compromis avec les pirates allemands. On comprendra aux Etats-Unis que rien — pas même la menace d'un embargo éventuel sur les fournitures de matériel de guerre — ne pourra faire changer d'opinion les gouvernements alliés ni les faire revenir sur leur décision d'anéantir à tout jamais le militarisme allemand. Notifié aux Puissances, le blocus anglo-français activera la débâcle économique qui se dessine en Allemagne et tn Autriche. Si les neutres doivent en pâtir à leur tour, ils devront s'en prendre à l'Allemagne seule dont les actes de piraterie ont obligé les Alliés d'user de représailles aussi énergiques. Quant au " blocus allemand," il est inexistant. Depuis quarante-huit heures la flotte de sous-marins n'est pas parvenue à torpiller un seul navire. Tout indique que le bluff allemand de la guerre des sous-marins finira comme celui des Zeppelins : en une série de désastres.Pour qui est des Zeppelins, les Allemands savent au moins combien ils in ont réellement perdu tandis qu'ils se raient bien embarrassés de dire à l'heu-i re présente combien il leur reste de sous-: marins. ; Les Anglais pourraient sans doute les renseigner à ce sujet, et nous ne croy-i ons pas commettre une indiscrétion en ■ disant que l'Amirauté allemande atten-; dra en vain le retour de quelques-uns de - ces bateaux au sujet desquels nous ap-: prendrons tout au plus, comme ce fut : le cas l'autre jour, "qu'on a des inquiétudes à leur égard à Kiel," ce qui est , une forme d'oraison funèbre à laquelle - il faudra s'habituer dorénavant en Alle-î magne. La capture du " Dacia " par les Français met fin à une discussion énervante, , tout en déjou'ant un des nombreux projets laborieusement échafaudés en vue de troubler les relations anglo-américaines.D'après les règlements en vigueur en France, le " Dacia " est "de bonne t prise." Aucune discussion n'est possible - à ce sujet tandis que sa capture par un i navire anglais aurait nécessité une lon- - gue procédure qui eût laissé pendant des mois la question en suspens. Les Anglais î ont donc joué un bon tour aux pro-ger- - mains des Etats-Unis en renonçant, au - profit des Français, à la capture d'un na-r vire qui avait par trop l'air d'un hame-s çon. r Les opérations dans les Dardanelles sont suspendues par suite du temps dé- - favorable, mais la panique règne tou- - jours à Constantinople. Il serait question t maintenant de transférer la capitale à Konia. r La situation militaire sur les deux - points n'a subi que de légères modifica-; tions. Sur le Niémen, au nord de Grod- - no, les Russes poursuivent leur offensive. Sur les rives du Bobr, les attaques t de l'ennemi dans le rayon de la forteres-5 se d'Ossowiec, faiblissent. A Przanyz, les Russes ont repoussé deux corps d'armée et ont fait dix mille ; prisonniers. ; Les progrès français en Champagne - continuent. Leur avance totale au cours de ces dernières semaines est de deux - kilomètres. Toutes les contre-attaques 3 ennemies sont régulièrement repoussées - avec de grosses pertes. W IIWM.III ■ I i*g*gg3»3«aE3—«IHJW jniim i ji umimm jjiuasMi i r m1 u mijumpu APPEL URGENT AUX MEDECINS BELGES. Les médecins belges désireux d'apporter leur concours à un hôpital pour ! typhoïdes à organiser en Serbie, avec l'appui du gouvernement de ce pays, sont priés de se mettre immédiatement en rapport avec M. R. C. Hawkin, secrétaire honoraire du Wounded Allies Relief Committee, Charing Cross, 30, Londres, S.W. Il sera accordé une indemnité de £5 par semaine au médecin principal et une indemnité de £4 aux deux médecins assistants. Les frais de transport et d'entretien sur place seront payés par l'administration de l'hôpital. PAROLES D'UN CATHOLIQUE. Tout de même, il y aura quelque chose de changé, après la guerre, dans la mentalité des Catholiques belges !... Il ne faudra point prendre prétexte trop tôt de la "Communion des Fidèles" pour nous demander de pratiquer l'oubli et le pardon vis-à-vis des catholiques allemands et particulièrement vis-à-vis de ces catholiques des provinces rhénanes dont le mutisme actuel est en raison directe de leurs trop bruyantes affirmations de fraternité pendant " l'a-vant-guerre."11 importera d'écrire quelque jour l'histoire de cette infiltration méthodique et cauteleuse — forme mondaine de l'espionnage tentée dans nos milieux ca tholiques, par les émissaires croyants de la " kultur " ; comment ils voulurent cir- , convenir certaines de nos personnalités politiques, prendre pied dans telles de nos œuvres, essayer d'avoir leur mot à dire dans l'un ou l'autre de nos journaux, envenimer et exploiter par des moyens divers — y compris le moyen métallique — la querelle funeste des langues... Et f tous s'y mirent : prêtres et savants, lé- c gislateurs et sociologues. Ce fut, sur è notre intellectualité, la mise en œuvre s d'un plan d'emprise identique à celui qui i réussit trop bien sur notre industrie et j: sur notre commerce ! r La manière dont la Belgique unanime t ■ accueillit l'insolent ultimatum du-2 août t dissipa du coup des espérances et les calculs de tous les " renseigneurs " — de ceux des sacristies et de ceux des loges. Et les uns et les autres se vengèrent de leurs désillusions et de la fidélité de notre peuple à son idéal national, en se faisant les complices de l'instauration, sur notre sol, de leur barbarie native. Les francs-maçons belges réglèront leurs comptes avec les "frères" allemands — et j'imagine que de ce côté — comme aussi du côté de l'Internationale ouvrière — le vocable de " fraternité " aura perdu sa fascination dupante ! Il n'est pas permis d'augurer moins de dignité des catholiques belges. Et le respect même qu'ils doivent à leur foi leur interdit de jeter le voile d'une complaisante charité sur des lâchetés no-— toires, au point d'appartenir dès lors à l'histoire. Qu'un Von der Golz vienne faire régner à Bruxelles l'ordre à la i- turque — Soit ! C'est son métier 5- de soudard, et la Turquie est aujourd'hui la seconde conscience de is l'Allemagne. Mais que, dans les bagages c— de ce proconsul germano-oriental, se soit n amené en Belgique un membre notoire i- du Centre allemand, hier hôte déférand le de nos hommes d'Etat et de nos évêques, j- et qui a échangé ses onctueuses chatte-ît mitteries de la veille contre la pire inso- > lence des bureaucrates militarisés—voilà it qui est trop, à la fois comme reniement le d'amitié et comme abus d'hospitalité. s- Louvain a été détruit, et avec Louvain un des plus grands foyers de l'intellec-î- tualité catholique dans le monde. Et par-ï, mi les catholiques allemands, de la Ba- > vière au Rhin--même chez ces " doc-ie teurs," qui à chaque Occasion inondaient i- l'Aima Mater de te ut phraséologie dithyrambique—il ne r'es""pas élevé une voix ■n pour clamer une protestation contre cet ie assassinat de l'idée ou même pour proie férer un timide regret... m Notre peuple coyant n'a plus une n- voûte sous laquelle prier, et par cen-;s taines nos prêtres 'Mit été torturés, mu-is tilés, massacrés—sans que du côté de r- l'Allemagne un de leurs frères en sacer-lu doce ait donné le moindre signe d'émo- 1 tion... Et un nouveau mot fut ajouté à leur intention, au répertoire immortel de Pilate : " C'est la guerre."... " C'est la guerre " ont répété sans ; doute à l'unisson les membres allemands ' du Sacré Collège, les évêques, les prêtres, les fidèles, quand la sale patte de la soldatesque prussienne s'est abattue • sur la poupre du Cardinal Mercier. Ah ! comme dans l'Histoire, elle pèsera lourd sur l'Eglise d'Allemagne, ; cette indifférence désinvolte en face des pires attentats perpétrés contre l'Eglise de Belgique. C'est acquis et entendu : l'Eglise d'Allemagne c'est l'Eglise de la Force ou la destinée terrestre et immortelle du monde se règle au rythme de la sanglante marche de parade de l'armée impériale; l'Eglise de Belgique, c'est l'Eglise du Droit, en son éternelle faiblesse, du Droit opprimé, du Droit meurtri, du Droit pollué, mais du Droit qui ne meurt pas... Entre les catholiques de Belgique et ' les catholiques d'Allemagne se dressera dorénavant — comme un remords pour ' eux et un réconfort pour nous—le divin I fantôme du blanc chemineau des routes de Judée, à la robe de paix et de lumière, qui prêcha la liberté chrétienne du monde et mourut pour elle. t Et désormais, les catholiques de Bel-. gique réserverant leur fraternité — une fraternité élargie par la souffrance — à , ceux qui, bien que différents d'idées avec eux, réagirent comme eux contre le grand crime allemand et souffrirent comme eux dans leur âme et dans leur corps pour la Patrie commune — et dont l les fils combattirent et moururent avec leurs fils, dans un côte-à-côte héroïque . dont le magnifique symbolisme s'impose t comme une inoubliable leçon. Il était nécessaire, n'est-ce pas, que ces choses-là fussent dites — nettement . et franchement. Et il est bon qu'elles soient dites par un catholique très fier de sa Foi, mais qui refuse de reconnaître cette Foi quand elle s'affuble du masque hideux de la " kultur." FIRMIN VAN DEN BOSCH. LES MILLIARDS. Mardi—Physionomie plus confiante aujourd'hui. Le visage des passants re-! flète leur état d'âme. Succès aux Dardanelles, retour des Russes vers l'Est prussien, reprise d'une couple de kilomètres de terre française... — Il y a de quoi faire "l'apéritif"! dirait Gavroche... Eh oui ! C'est l'apéritif. Les Alliés en sont, à l'heure actuelle, à l'apéritif, et l'on attend le plat de consistance. De ; quoi ce plat sera-t-il fait? Mystère. Des 'l versions diverses courent. En attendant, nombre de lecteurs trouvent que l'heure de l'apéritif est très ! longue. Ce sont ceux dont l'appétit n'a plus besoin d'excitant. Mais ces impa-! tients ont tort. Ce matin, l'un d'eux ! nous écrivait : — Les barbares sont activement occupés sur les bords de l'Yemen. Ils sont donc, actuellement, de l'autre côté de leur cage, car ces Allemands nous font l'effet d'être des ours de jardins zoologique qui vont d'une grille à l'autre de leur prison. Pourquoi, tandis qu'ils se trouvent à leur grille de l'Est, ne ren-verse-t-on pas leur grille de l'Ouest? Ali ! les stratégistes en chambre ! Ils suffit de quelques clartés de victoire, comme ce matin en donne, par exemple, » pour immédiatement mettre les imaginations en agitation. Que les impatients se : dominent. Cette guerre est une guerre d'usure —l'a-t-on assez répété! Et l'usure se produit autant au point de vue : militaire... Voyez les dépenses folles qu'entraîne cette guerre. Hier, la Chambre des Communes votait le crédit de guerre de 287 millions de livres !... — Transcrivez cela en francs! s'écrient les Belges terrorisés. Oui. Cela fait des milliards, et, hier, le budget de la g-uerre allemand j suggérait des réflexions sévères... Ah! le Kaiser et son entourage militariste ' peuvent être fiers! Aussi fiers qu'un père de famille qui jetterait à l'eau la dot de ses enfants... Et c'est là l'absurde ' du système militariste : c'est que les nations gèrent leurs biens de façon 1 telle qu'elles doivent se faire mépriser par les hommes sensés. Transmettez les milliards dépensés en pure perte à des œuvres d'appropriation humanitaire et voyez le résultat... L'Allemagne doit, â ce sujet, faire des réflexions tristes, déjà. En effet, la séance de la Chambre des Communes d'hier peut se résumer par ce cri de John Bull : ( — Nous sommes plus forts qu'au début de la guerre, plus forts à tous les ! points de vue. Economiquement et militairement. Nous possédons ia clef d'or de la victoire : la clef q ii met les trésors à notre disposition. Et nous n'admettrons qu'on nous parle de paix qu'à la condition que, nous possédions la victoire absolue... Mr. Asquith dixit... Ah ! les Barbares doivent faire triste figure !... CAMILLE ROUSSEL. LE RETRAITE RUSSE. Bataille sans solution. Suivant l'expression si pittoresque du peuple de Paris, " les Russes reprennent du poil de la bête. Ils sont parvenus à arrêter net l'offensive allemande, et, solidement appuyés sur leurs réserves, ils marquent l'offensive à leur tour et poussent des pointes hardies qui obligeront le maréchal Hindenburg à en rabattre quelque peu de son chant de victoire. Que les Allemands s'appliquent à exagerer leur succès, à représenter les opérations en Prusse-Orientale comme constituant une des plus colossales victoires de cette guerre, cela n'a qu'une médiocre importance, et cela ne peut tromper personne. Le Kaiser et son grand état-major éprouvent l'impérieux besoin de remonter le moral du peuple allemand et de raffermir la confiance de troupes qui sont dangereusement déprimées par une guerre longue et pé- LE MOTOR-BUS PRIVÉ est le moyen le plus idéal et le plus confortable de voyager, pour les groupes se rendant aux théâtres, bals, fêtes, matchs de football, ou désirant visiter des localités peu accessibles par chemin de fer. Toutes les demandes d'informations reçoivent la plus immédiate attention. S'adresser à : Private Hire Department. Phone : Victoria 6800. The London General Omnibus Ce., Ltd., Electric Railway House, Broadway, Westminster, S.W. " 49 nible, très différente de la promenada triomphante qu'on leur avait promise. L'impérial dément qui réclame Dieu comme son allié naturel, avait promis à : son peuple la facile conquête de Paris, de Calais et de Varsovie ; or, ses armées | se trouvent bloquées depuis des mois sur les routes qui mènent à ces trois villes. Pour donner le change, Guillaume II et | la presse à sa dévotion sont obligés d'ex-' ploiter à grand fracas les avantages les plus minces que l'armée allemande parvient â remporter. C'est ainsi qu'il y a quelque semaines, on transforma en ! grande bataille, rappelant les journées les plus tragiques de 1870, l'affaire de Crouy, au nord-est de Soissons; c'est ainsi qu'on veut présenter comme une bataille décisive pour tout le front de l'est la retraite forcée des Russes de Prusse-Orientale. Il n'y a de bataille décisive que celle qui donne une solution ; or, aucune solu-| tion n'a été obtenue de ce côté, et les armées russes tiennent ferme sur leurs positions, face à l'ennemi. Les Russes n'ont pas réussi à se maintenir en Prusse-Orientale; ils ont été surpris par une formidable armée allemande, concentrée en grand secret et, pour éviter un enveloppement, ils ont dû battre en retraite dans des conditions extrêmement difficiles. Ils ont perdu du monde et un de leurs corps d'armée a été disloqué, ses éléments principaux, avec de nombreux canons, étant restés entre les mains de l'ennemi.Tout cela est hautement regrettable, mais tout cela ne constitue pas un désastre. Qu'est-ce que la perte d'un corps d'armée dans le vaste ensemble des millions d'hommes dont dispose la Russie en armes? Qu'importe la retraite de la Prusse-Orientale, si les Allemands une fois de plus, échouer;, dans leurs audacieuses poussées sur Varsovie? Seu- 86eme année. No. 52.

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1918.

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