L'indépendance belge

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s.n. 1917, 25 Juli. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 24 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/5q4rj49q9d/
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I tsème année, No 174 L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT: 15 CENTIMES (HOLLANDE : 5 CENTS) 1WT5îAm0™ m.Sf'w?; >'• PSCI'oeV^B^WK' JDANE STR., HIGH<HOLBORN. W.G.l. (311-57 et 'TELEPHONE: HOLBORN 1773-4 TELEPH. : \ ^ 3 a. 7 5. MERCREDI 25 JUILLET 1917. En vente à Londres à 3 h. le mardi 24 juiElet. 3 MOIS, 9 SHILLINGS. "| ABONNEMENTS', s MOIS. 17 SHILLINGS. J- CONSERVATION PAR LE PftOCKUS. „ 1 AN, 32 SHILLINGS. J LA SITUATION Mardi, midi. ■Lts pouvoirs responsables en Russie, se tendant compte enfin de la gravité de ■situation provoquée par les menées extrémistes, ont pris les mesures de rigueur qui s'imposaient. ■Les Conseils des délégués ouvriers et ■lats et les délégués des paysans, réunis dans une conférence mixte, ont adopté une résolution déclarant que lf [pays est menacé par une débâcle militaire et par l'anarchie à l'intérieur, laquelle met en danger le triomphe des, iofoes révolutionnaires et que, considérant que le pays et la Révolution ■nit, en danger, le Gouvernement Provisoire est constitué en Gouvernement de Ddfense Révolutionnaire. Des pouvoirs illimités lui sont conférés pour réorganiser l'armée, pour rétablir la discipline, pour faire une guerre sans merci aux anti-révolutionnaires et aux anarchistes et pour exécuter en entier le programme défini dans la déclaration gouvernementale publiée la veille ! ■Cette résolution a été adoptée par 252 voix contre 47, plusieurs délégués extrémités s'étant abstenus de prendre part ait vote. "jCoinme le fait remarquer le Comité exécutif du front sud-ouest (deuxième afflue) dans les télégrammes envoyés au ministre de la guerre, au Gouvernement Provisoire et au Conseil des délégués ou-vifers et soldats, la situation est extrêmement grave. L'offensive allemande, commencée le lïjuillet sur le front de la deuxième affine. prend le caractère d'un désastre qui menace la Russie révolutionnaire d'une catastrophe. Une crise fatale se IéVeloppe dans le moral des troupes en-orées récemment contre l'ennemi. Plu-■u's unités militaires sont dans un état «complète désorganisation, leur esprit ■ffensive a entièrement disparu, elles Bcoutent plus les ordres de leurs ehefs ailes exhortations de leurs camarades et jeuij répondent même par des menaces ttpes coups de feu. yjertaines unités évacuent leurs posi-fions sans même attendre l'approche de Bnemi. Dans certaines occasions, au ieu de se rendre d'urgence au secours 'ë-camarades en détresse, conformément ux ordres qu'ils avaient reçus, des dé-apements entiers se mirent à discuter el ordres pendant des heures et, a'ux (limiers coups de fusils ennemis, aban-lolnèrent leurs postes. Sur un espace de plusieurs centaines «kilomètres, les déserteurs de la deu-ime armée encombrent le^ routes, les nfe armés, les autres sans armes, et le Iger pour la Révolution est tel que doit être tenté pour sauver la Ré-tion de la catastrophe. n vue de cela, ajoute le Comité utif, ordre a été donné dès mainte-; de tirer sur les déserteurs qui, par lâcheté, détruisent et vendent la sie et la Révolution. la suite de ce télégramme, le Conseil [délégués ouvriers et soldats a adressé ! proclamation aux soldats dans la-|le il leur signale la défection de la ième armée, qui a eu pour consé-" nce de permettre aux hordes impé-les allemandes de rompre le front se. Il leur rappelle que ceux qui ont ! lé la discorde et "sapé la discipline t seuls responsables de cette humi-;ion et ajoute que si cette coûteuse [n ne leur a rien appris, il n'y aura B de salut pour la Russie, pas de paix table, pas de liberté. ' »a proclamation se termine par un vi-1 ■ift appel à tous de faire leur devoir Be ne montrer aucune pitié pour les : ■très et les lâches. j pi l'appel est entendu, toût'peut s'a-r-s assez rapidement, mais - s'il ne 1 l'est pas, personne 11e saurait prédire c>: qui arrivera. Pour le moment, tout le front de Gali-cie est entraîné dans le mouvement rétrograde inauguré par les déserteurs. Le saillant créé entre Brody et Halicz s'étend au delà de Tarnopol et l'ennemi est de nouveau en possession de cet important centre, point de jonction de plusieurs ligues de chemin de fer. Le communiqué allemand annonce que le mouvement en avant des armées du général von Boehm-Ermolli a commencé des deux côtés du Dniester (ce qui semblerait indiquer que Halicz a été ou est sur le point d'être abandonné par no? Alliés) et que les Russes se retirent dans les Carpathes. Pourtant, sur d'autres parties du front, il existe des symptômes d'une reprise d'activité de la part de nos alliés. Au sud-ouest de Dvinsk les Russes attaquèrent et au sud de Smorgon (direction de Yilna), dans le secteur de Krevo, nos alliés pénétrèrent dans les lignes allemandes sur une profondeur de plus de trois kilomètres et capturèrent un millier de prisonniers. Malheureusement l'exploitation de ce succès est compromise, comme le reconnaît le communiqué russe, par l'instabilité et le moral médiocre de certains détachements, et dans ces conditions il serait prématuré de tirer des conclusions optimistes d'un succès local. Il n'y a qu'à attendre le développement des événements, et la seule façon pour les Alliés d'aider efficacement la Russie serait de déclencher une vigoureuse offensive sur notre front. En attendant, ce sont encore toujours les Allemands qui attaquent, et le secteur au nord de l'Aisne fait concurrence, comme champ de carnage, à Verdun.L'ennemi n'est découragé par aucun échec et il s'est mis en tête de reprendre, coûte que coûte, quelques-uns des postes d'observation dont les récents .-succès français l'avaient privé. Du côté de Craonne (plateau des Casemates), les colonnes d'assaut allemandes étaient parvenues hier à atteindre les premières lignes françaises, mais une contre-attaque rétablit aussitôt la r situation.Sur le plateau de Californie, toutes les attaques ennemies échouèrent. A l'est de Cerny nos amis progressèrent légèrement et firent.quelques prisonniers, et sur toute la longueur du Chemin des Dames, le duel d'artillerie continue avec une extrême violence. Une attaque allemande contre les positions du Mont Cornillet (Champagne) a été repoussée et les Français ont violemment bombardé les positions allemandes dans la région de Moronvillers. Pour se venger, l'ennemi a bombardé Reims et Kancy. A titre de représailles, les Français bombardèrent Château-Salins. Les troupes canadiennes, au cours d'un raid exécuté du côté d'Avion, au sud de Lens, pénétrèrent dans les lignes allemandes sur une profondeur de 300 mètres et sur un front de 600 mètres, ramenant une cinquantaine de prisonniers après avoir tué de nombreux ennemis surpris dans leurs casemates et après avoir détruit tous les ouvragées défensifs. Plusieurs autres prisonniers ont été faits du côté de Wytschaete (Ypres) et neuf aéroplanes ennemis ont été abattus par les aviateurs britanniques. Le communiqué de Berlin mentionne une violente lutte d'artillerie en Flandre. Enfin, on signale un violent engagement en Afrique Orientale allemande et m combat de cavalerie entre troupes turques et britanniques à l'ouest de Beer-sheba (frontière syrienne). OUERRE EUROPEENS» EN PALESTINE Combats de cavalerie aDs la matinée du 19 juillet 'ennem îvoyé deux régiments de cavaleri ^prsheba vers la ligne El Buggar ur]eir (à environ 14 k. et demi d ! Beersheba). Les troupes montées bri-' tannique les ont attaqués et refoulés vers Beershaba, faisant treize prisonniers. Dans la nuit du 20 ou 21 juillet, les troupes britanniques ont fait un raid fructueux sur les'tranchées ennemies au sud-ouest de Gaza. Elles ont tué un i officier et 101 turcs, et. ont ramené dix-3 sept prisonniers, ainsi qu'un mortier de - tranchée, une mitrailleuse, un certain 3 nombre de fusils et d'autre butin. \ ÎË AFRI0UE ORIENTALE Violents combats L'ennemi a évacué Mtshakama, le 17 juillet, une partie de ses torses se retirant vers le sud-ouest dans la direction de Likawagé et le corps principal battant en retraite sur Narongombe (à 52^ kilomètres au sud-ouest de Kilwa). Nos colonnes ont poursuivi l'ennemi les 17 et 18 juillet dans une contrée des plus difficiles, faisant quelques prisonniers et occupant une hauteur à trois kilomètres au nord de Narongombe à la tombée de la nuit du 18 juillet. Le 19 juillet les principales position' ennemies dans le voisinage de Narongombe ont été attaquées et un violent combat s'en est suivi, l'ennemi offrant la plus opiniâtre résistance et faisant de nombreuses contre-attaques, au cours desquelles, ainsi que l'ont affirmé certains prisonniers, il a subi de lourdes perles. Nos pertes ont également été considérables. Dans la région de Rufiji, l'ennemi a évacué Kitope, nos colonnes ayant refoulé son arrière-garde vers Madaba, 1e 21 juillet. Dans la région de Songa, l'ennemi a continué sa retraite vers Mahenge. n'offrant qu'une faible résistance 'à ses poursuivants. Dans la région septentrionale, une ; colonne allemande signalée dans le district de Sorga, à l'ouest du lac Natron. traverse actuellement le sud de l'Enga-ruka, poursuivie par les colonnes belge' d'Ikoma.—War Office. OPERATIONS NAÏALES B&teau hollandais arrêté par hydrc-placc allemand Le steamer hollandais "Gelderland" . a été arrêté lundi matin par un hydro-plane allemand sous les yeux du garde-côte du Hook of Holland. Les Allemands ont mis un officier à bord et ont forcé le steamer à se rendre à Zeebrugge. - OPERATIONS AEitENNES LE fiAID SUR HARWÎCH Version allemande Une de nos escadrilles aériennes, dit une dépêche officielle de Berlin, a, dimanche matin, jeté des bombes sur Har-wich, sur la côte est de l'Angleterre, obtenant de bons résultats. Tous nos appareils sont rentrés. (Un des appareils allemands a été abattu, ainsi que le signala le communiqué de lord French, confirmé par sir L. Haig). AU SENAT FRAKÛASS Le Sénat a adopté, hier, à l'unanimité, un ordre du jour exprimant la confiance dans le gouvernement, après un long débat, au cours duquel M. Clemenceau a nettement exprimé qu'il n'avait aucune confiance en >1. Malvy, ministre de l'intérieur, pour la répression de- l'agitation anti-patriotique. Quand la guerre éclata, a déclaré M. Clemenceau, M. Malvy décida de n'arrêter aucun des suspects figurant sur une certaine •'Liste B, et décrite comme susceptibles d'entraver la mobilisation et de mener une campagne antipatriotique. M. Clemenceau, dont le discours vigoureux fit impression sur la Chambre, cita un article écrit par M. Almereytk, l'éditeur anarchiste du fameux "Bonnet Rouge,-' qui décrit une conversation entre M. Malvy et M. Al-mereyda. M. Almereyda, comine le* fait remarquer M. Clemenceau, avait les meilleurs raisons de demander à M. Malvy de ne pas agir contre la liste B, sur laquelle son propre, nom figurait bien en vue." Après 24 heures de Négociations M. Almerevda. assura le ministre que tous les anarchistes et tous les anti-patriotes s'abstiendraient de toute' activité et M. Malvy consentit à ne procéder à aucune arrestation. Déjà en novembre 1914 cependant, la "liste B" était à l'oeuvre, publiant des pamphlets disant que l'Entente était responsable de la guerre. En "janvier 1915. on insiste auprès des syndicats ouvriers italiens pour empêcher les Italiens de venir travailler en France dans les usines de munitions. On déclare que cette igno ble guerre a été préparée par l'Angleterre depuis 1904, que les soldats français commettent autant d'atrocités que les soldats allemands et que le peuple allemand, par ses qualités sociales ei économiques, mérite la première place dans le monde. La personne coupable d'avoir publié tout cela est encore actuellement reçue par un membre du gouvernement, qui n'est tirailleurs pas M. Malvy. On a poussé à la révolte générale et à l'anti-patriotisme de la nature la plus vile,. Des malheureux ont payé de leur vie pour ces crimes commis par d'autres, et quand on nous dit que cette politique de conciliation a évité l'effusion de sang, je répond qu'elle a fait couler plus de sang qu'aucune autre politique n'aurait pu le faire. 11 déclare que l'attitude du ministre de l'intérieur vis-à-vis des déserteurs et de certains étrangers manquait complètement de vigueur et que bien qu'il voterait l'ordre du jour de confiance dans le gouvernement, il ne pouvait accorder sa confiance à M. Malvy. M. Malvy a défendu sa politique, qui consistait à avoir confiance dans tous les Français, tant dans les extrémistes de droite que dans les extrémistes de gauche et disant que s'il avait suivi l'avis de M. Clémenceau, il aurait exaspéré les associations ouvrières et mis hors la loi une partie du peuple. La séance se termina par un éloquent appel de M. Ribot à l'union et une promesse énergique de sa part de mettre fin à la propagande allemande dans le pays-- MENAGE ALLEMANDE AUX PAYS-BAS La presse allemande, avec cette unanimité suspecte qui précède toujours 1111 "coup"' projeté par le gouvernement allemand, a commencé la plus violente campagne contre la Hollande et contre la façon dont ce pays défend sa neutralité vis-à-vis des Alliés et spécialement de la Grande-Bretagne. Le prétexte de ce hurlement général est l'attaque victorieuse de la flotte britannique contre les steamers allemands de lundi dernier et son but est d'essayer d'amener une méchante querelle entre les Pays-Bas et la Grande-Bretagne, au profit de l'Allemagne. Les journaux germains publient une foule de télégrammes de leurs correspondants en Hollande sur "le crime de l'Angleterre diftis les eaux territoriales néerlan-r daises" pendant que la presse pan-germanique émet ouvertement l'avis que "si la Hollande 11e fait pas le nécessaire contre l'Angleterre, l'Allemagne aura son mot à dire en la matière." Le "Telegraaf," commentant l'incident. rappelle aux Hollandais pro-alle-mands qu'il est de l'intérêt de la Hollande de ne pas permettre l'accès de ses eaux territoriales aux bateaux allemands dans leurs "voyages de contrebande."O11 envisage généralement avec confiance les difficultés actuelles qui sont des jeux d'enfant à côté du mépris constant, systématique et effronté de l'Allemagne pour la neutralité hollandaise et l'on croit que ces difficultés seront surmontées à la satisfaction des deux parties,' malgré les efforts désespérés de l'Allemagne officielle de se servir de la Hollande en guise de bouclier contre la Grande-Bretagne.—"Daily Express." AUTOUR de la GUERRE ALLEMAGNE — On mande de Genève qu'une troisième ordonnance du Conseil fédéral de l'empire allemand décrète que les mesures législatives concernant la mise sous séquestre des biens français et la liquidation des entreprises anglaises seront dorénavant applicables aux fortunes des Alsaciens-Lorrains déchus de la nationalité allemande pour ne pas être rentrés en Alsace lors du rappel général lancé par la ville de Strasbourg, qui est obligée, pour faire face à ses charges finan cières causées pty- la guerre, d'émettre un nouvel emprunt de 10 millions de mark. — On annonce la mort du prince Radolin, ancien ambassadeur' d'Allemagne à Paris. 11 était en fonction lors des événements marocains. En 1910 il fut brusquement démissionné et ne reprit plus de fonctions dans la diplomatie. Il était certainement partisan d'un rapproche-îranco-aliemand. Ce serait une exagération, dit le "Times," de prétendre que ses méthodes ont toujours été au-dessus de tout soupçon et son rôle dans diverses intrigues, inspirées plus par la finance que par la politique, n'est pas bien connu. Mais il désirait la paix et fut .très satisfait de la conclusion de l'accord franco-allemand de 1909. Le correspondant du "Times" à Berlin rencontra le prince Radolin en 1912 et lui demanda s'il regrettait sa démission. "Non, répondit-il, je ne suis que trop heureux d'être délivré de cette terrible tâche. Les gens d'ici tâchent de provoquer la France à la guerre, et peut-être y réussiront-ils." Au début de la guerre il fut, clit-on, honoré d'une surveillance spéciale en Allemagne. — La "Vossische Zeitung" suggère que la protestation et la demande d'indemnité de la République Argentine pour le torpillage des bateaux argentins recevront très prochainement satisfaction par un arrangement à l'amiable, bien qu'il y a quelques jours les relations entre l'Allemagne et l'Argentine étaient sérieusement menacées. ETATS - UNIS — Le Sénat américain-a fixé à 2 dois. (Fr. 10) par boisseau (environ 36 litres), le prix minimum pour la meilleure qualité de blé. Le président a-et-é autorisé, en cas de besoin, à acheter du combustible, du blé, de la farine, des pommes de terre, des fèves, etc., pour revendre ces produits aux consommateurs. La distillation des spiritueux-est interdite, et le président est invité à acheter tous les spiritueux entreposés, mais la vente de la bière et du vin n'est pas entravée. FRANGE — A l'occasion de l'anniversaire de l'Indépendance de la Belgique, le président de la République et M. Bourgeois, ministre du travail, ont fait une visite au Roi et à la Reine des Belges. M. Poincaré a distribué un certain nombre de décorations. RU SSIE - — Parmi les autres incidents de la période troublée qui traverse Pétrograd on cite le suivant : Trois occupants d'une automobile, le premier vêtu en marin, le deuxième en soldat et le troisième en bourgeois, ont tii;é des coups de revolver j sur un groupe d'officiers et de soldats qui se trouvaient sur les escaliers du | Palais du Peuple, à Pétrograd. Un officier et deux soldats ont été blessés. Une. ! garde de 150 soldats sortit immédiatement du bâtiment et ouvrit le feu. Les 1 assaillants tentèrent de-prendre la fuite, mais ils furent lynchés par la foule. Quinze civils ont été accidentellement blessés, dont quelques-uns sérieusement. Le lieutenant Dashkevitch et un autre membre du Comité exécutif du Conseil des délégués ouvriers et soldats ont été arrêtés. Le lieutenant est accusé d'avoir incité les troupes de Peterhof à renverser le Gouvernement Provisoire. Les journaux annoncent que l'amiral Verde-refsky, commandant la- flotte de la Baltique, a été arrêté pour avoir communiqué au Comité des marins uiK télégramme secret du gouvernement. SUISSE , • — Les douaniers suisses ont exigé, cette semaine, la visite des bagages de la comtesse von Khevenhuller von Furs tenberg, une des'amies les plus intimes du Kaiser, qui était arrivée à la frontière suisse rentrant en Allemagne après avoir fait un séjour dans une station balniaire des montagnes. Le résultat de l'investigation des douaniers fut la découverte et la saisie de trois cents saucisses, de 3 douzaines d'œuifs, et d'une grande quantité de beurre, de chocolat et de graisse. La comtesse, qui prétendait que ces articles entraient dans la catégorie des provisions de voyage, a déclaré qu'elle adresserait une protestation au gouvernement allemand.

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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