L'indépendance belge

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s.n. 1917, 17 Juli. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 24 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/mw28912x21/
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1 SSSHOiHie. No 167 L' INDÉPENDANCE | ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLAWIDE: 5 CENTS) ADMINISTRATION ET REDACTION: pffiAnVr « mmsi 5, DANE STB.. HIGH HOLBORN. W.C.l. U' PLACE DB LA f°^RSE. TEUEPHQWE : HOLBORN 1773-4 TELEPH. : \ 2 38 = 7 5. MARDI 17 JUILLET 1917. En vente à Londres à 3 h. le Simdi 16 jui!3@ C 3 MOIS, 9 SHILLINGS. ~| _ , ABONNEMENTS'] 6 MOIS. 17 SHILLINGS. [-CONSERVATION PAR I.E PROGRÈS, t. 1 AN. 32 SHILLINGS. J LA SITUATION Lundi, midi. Les dernières quarante-huit heures n'ont apporté aucun changement essentiel dans la situation militaire, mais en fait de politique il y a du nouveau. Une communication officielle allemande, en date de samedi, annonce que l'Empereur a accepté la démission du chancelier von Bethmann-Hollweg, qui est remplacé par le Dr Michaelis, sous-Eecrétaire d'Etat prussien aux finances. Le nouveau chancelier est décrit par les journaux allemands çomme un homme d'une ^grande énergie, de la trempe des Hindenburg et des Ludendorff. Il est âgé de 60 ans et est le premier chancelier n'appartenant pas à la noblesse. Il n'a pas d^ passé politique, ayant toujours appartenu à la bureaucratie prussienne, et il faudra attendre la séance de mercredi au Reichstag pour connaître son programme politique. he nouveau chancelier aura à prendre position vis-à-vis de la nouvelle majorité socialiste, catholique et libérale du Reichstag, qui compte introduire une résolution déclarant que "l'Allemagne luttant pour sa liberté, son indépendance et l'intégrité de son territoire, k Reichstag désire une paix durable, basée sur la bonne entente entre les différents peuples, sans annexions ni représailles d'ordre politique, économique ou financier."La résolution proteste en outre contre le projet d'un blocus après la.guerre, demande la liberté des mers et l'établissement de la Cour Internationale d'Arbitrage.Tant que les gouvernements ennemis n'auront pas accepté la paix sur ces bases, conclut la résolution, le peupk allemand se déclare unanimement prêt à continuer la lutte ! En somme, la majorité du Reichstag — c'est-à-dire les groupes modérés — se déclare prête à faire une paix sans annexions, ni indemnités, sans réparations, sans justice. L'Allemagne sortirait non seulement indemne de cette guerre d'agression, mais grandie, fortifiée, garantie contre toutes représailles politiques et économiques ! Si c'est là le programme des partis démocratiques all£6iands, la crise de la chancellerie prend un aspect nouveau. Bethmann-Hollweg a dû céder la place parce qu'il a, comme l'a écrit un membre du Reichstag : Hermann Leube, dans "Politiken," trop de scrupules, parce qu'il est tro^honnête, et parce qu'il faut, pour représenter l'Allemagne à la Conférence delà Paix, un homme d'affaires sans scrupules, à même de tenir tête aux délégués britanniques, français et italiens! En d'autres termes, il s'agit de nous "rouler," de nous attirer dans un nouveau piège de paix allemande. La crise allemande n'est donc qu'une crise superficielle, truquée et le piège, cette fois, est à double appât : appât russe et appât démocratique. L'Allemagne officielle, la seule'qui compte actuellement, reste belliqueuse au fond, elle ne rov.ofB.ee à rien et ne fait qu'ajourner des projets irréalisables momentanément. L'Allemagne n'est pas plus mûre pour un régime démocratique qu'elle ne l'est pour une paix honnête et durable. Elle a péché par la force ; elle doit être punie par la force. Toute autre solution ne résoudra pas la crise dont souffre l'Europe et le monde, et équivaudrait au triomphe de l'idéal allemand, de la culture allemande : la Force primant le Droit. Donc, méfions-nous ! Nos alliés russes se heurtent à une résistance de jour en jour plus acharnée en Galicie, et leur avance sur la Lomnica est plus ou moins gênée par de fortes pluies qui, provoquant une crue rapide, ont eu pour résultat d'inonder en grande partie le terrain où opèrent les trpupes du général Korniloff. Celles-ci ont néanmoins progressé légèrement et .ont encore fait 1,600 prisonniers et capturé plusieurs canons. De multiples contre-attaques ennemies au nord et à l'ouest de Kalusz ont été repoussées et les Russes occupent le village de Novica (au sud-ouest de Kalusz). Tous les efforts de l'ennemi de rejeter nos alliés au delà de la Lomnica ont échoué et les opérations s'étendent de plus en plus vers le sud (Carpathes). Les succès de l'armée révolutionnaire 'provoquent un grand enthousiasme dans toute la Russie, et à Kiev les extrémistes qui avaient organisé une manifestation, !ont été malmenés par la foule, qui les a traités de traîtres. Sur le front français, les Allemands continuent d'attaquer avec vigueur, mais nos alliés ripostent avec succès. Au nord de l'Aisne (secteur de Ceruy) l'ennemi est parvenu à pénétrer jusqu'il la seconde ligne française et à occuper les positions de nos alliés sur une longueur de 1,630 mètres et une profondeur de 390 mètres (version allemande), mais à , la suite de contre-attaques, les Français , réoccupèrent (version française) toutes leurs positions, à l'exception/l'une bande de 500 mètres de tranchées de première ligne. A ce succès allemand correspond un succès français pltj£ important en Champagne, où nos amis, attaquant l'ennemi simultanément au nord du Mont Haut et au nord du Mont Téton, s'emparèrent d'un réseau de tranchées ennemies de 800 mètres de longueur sur 300 mètres de profondeur. Toutes les contre-attaques furent repoussées et les Français restent maîtres de tout le terrain conquis. Le secteur des dunes Nieuport-Lom-bartzyde a encore été le théâtre de nouvelles attaques, et il est évident que l'ennemi s'efforce de gêner les préparatifs que nos alliés font dans cette région. La dernière tentative allemande eut lieu vendredi soir, après un violent bombardement. Elle fut repoussée. Depuis lors le bombardement se poursuit, de part et d'autre depuis la côte jusqu'au sud d'Ypres. L'artillerie allemande a violemment bombardé la région de Ramscapelle-Pervyse et Berlin parle d'attaques britanniques repoussées dans le secteur de Lombartzyde. Le communiqué ennemi mentionne comme particulièrement sérieux le duel d'artillerie entre Boesinghe et Wytschaete et près d'Ypres. §m le mm beloe Violent bombardement Le communiqué du G. Q. G. belge signale que pendant.la nuit de samedi à dimanche l'artillerie allemande a violemment bombardé la région de Ramscapelle-Pervyse ainsi que la région au nord de Boesinghe. Dimanche,, la journée n'a été marquée que par de légers bombardements sur différents secteurs du front. OPERATIONS NAVALES Un transport coulé Le transport britannique "Armadale," qui avait un petit nombre de troupes à bord, a été torpillé et coulé par un sous-marin ennemi dans l'Atlantique, le 27 juin dernier. Six soldats, un passager, ainsi qu'un officier et trois hommes de l'équipage manquent. On croit qu'ils ont été noyés. LA PRISE ALLEMANDE Son développement chronologique Vendredi, 6 juillet.—M. Erzberger, au nom du parti du centre catholique, formule devant la commission centrale du Reichstag une politique de réforme électorale et de paix sans annexions ni indemnités. Le maréchal von Hindenburg arrive à Berlin et confère avec le Kaiser. Lundi, 9 juillet.—Le Kaiser tient le premier conseil de la Couronne depuis le commencement de la guerre. Le chancelier parle à la commission centrale du Reichstag. Mardi, 10 juillet.—Le Kronprinz arrive à Berlin et confère avec le Kaiser, Un deuxième conseil de la Couronne est tenu. Une formule transactionnelle définissant des buts de guerre "défen-sifs" est discutée par les partis politiques.Mercredi, 11 juillet.—Le Kaiser publie un décret promettant l'égalité élec torale au Reichstag pour la Prusse. Cette décision est immédiatement suivie de la démission du général von Stein, ministre de la guerre impérial, et de cinq ministres de Prusse. Les conser vateurs publient un manifeste contre les mesures d'égalité politique proposées par le Kaiser. Les représentants de tous les partis politiques, y compris les socialistes, sont reçus par le Kronprinz. Vendredi, 13 juillet.—Le maréchal von Hindenburg et le général Ludendorff sont rappelés à Berlin par le Kaiser. Ils voient le Kronprinz et le Kaiseï et confèrent en suite avec les chefs des partis. La démission du chancelier suit ces entrevues. Le R-ei'chs'tag est ajourne sans que les crédits de guerre soient votés. . v Samedi, 1-1 juillet.—La démission de M. von B'-thuann-Holhveg et la nomination du Dr Michaelis sont officielle-annoncées. On estime qu'il pourrait j avoir encore d'autres démissions. LE 14 juillet A PARIS Le 14 juillet a été célébré avec enthousiasme à Paris dans les rues de la quelle a défilé' la fleur de la grande armée avec ses uniformes souillés par la guerre, ses casques ébrêchés, et ses dra peaux déchiquetés par les obus et pat les balles. Les troupes ont traversé les rues les plus pauvres et les plus populeuses de la capitale, et eUes y ont reçu un accueil inoubliable; le peuple les a littéralement couvertes de fleurs. — A l'occasion de la Fête natio .aie. le roi des Belges, le président de la République portugaise et le roi Alexandre de Grèce ont envoyé des télégrammes df félicitations au Président Poincaré. Le général Pershing, commandant et chef des troupes américaines; en France, a publié l'ordre du jour suivant : "Les troupes américaines considère ront ce jour comme un jour de fête ; elle: se joindront à leurs camarades français pour honorer les principes sacrés de li berté, d'égalité et de fraternité, pou) la défense desquels nous sommes actuelle ment en France." AUTOUR de la PAIX La mauvaise foi de M. Scheidemann Une preuve flagrante de la mauvaise foi de M. Scheidemann et de ses parti sans dans le complot de Stockholm est h zèle qu'ils ont mis à empêcher le public socialiste allemand de lire le manifeste belge. Le "Vorwaerts" en a publié sa medi dernier un soi-disant résumé qu: est, en réalité, une interprétation erro née dans laquelle les passages les plus dé plaisants ont été supprimés. 11 n'est pa> permis au public allemand de rien entendre au sujet du "tyran trônaçt à Berlin," de l'im-possibilité d'une paix durable "si le$ Hohenzollern et les Habsbourg restent au pouvoir," ni du "semi-absolutisme des Hohenzollern," et h "Vorwaerts" modifie la déclaration des conditions auxquelles une réunion avec les socialistes majoritaires allemands serait possible, en supprimant la demande belge, disant qu'ils doivent auparavant prendre ouvertement et énergiquement position contre leur empereur. AUTOUR de la GUERRE ALLEMAGNE — Le "Berliner Lokalanzeiger" a reçu l'ordre de suspendre sa publication jusqu'à nouvel ordre. Il a reparu sous le nom de "Berliner Abend Zeitung." BRESIL 1 •—• Les journaux brésiliens annoncent que la Grande-Bretagne a subordonné l'autorisation d'importer du café à la condition de le voir transporter à bord des navires allemands confisqués par le gouvernement brésilien. On croit que cette condition sera acceptée. CHILI — Un nouveau ministère a été formé au Chili. CHINE- — Le quartier-général républicain à Tientsin, signale que 3,000 hommes des troupes général Chang Hsun ont été faits prisonniers dans le "Temple du 2 Ciel" (Pékin) après dix heures de com- c bat. Ils ont été désarmés. Le générai c Chang-Hsun est parvenu à se réfugier 1 à la légation hollandaise, tandis que sa 1 famille trouvait un abri à la légation j autrichienne. Le combat continue avec ) le restant des troupes du général Chang- 1 Hsun, dans la "Cité défendue," où un grand incendie fait rage. I n télégramme antérieur de Tientsin dit que les Républicains ont attaqué Pékin a 4 c heures du matin. De l'artillerie, des 1 mitrailleuse et des aéroplanes ont été -employés. Cinq ou six étrangers, qui ; regardaient le combat du haut des murs ] de la ville, ont été blessés. 1 — Les troupes républicaines ont at- I taqué les rebelles le 12 au matin, et ceux-ci se soni rendus vers midi. Chang : Hsun s'est réfugié à la légation néer- < landaise, et sa famillfe à la légation au- c trichienne. Le nombre de tués et de ] blessés est peu élevé, bien que la canonnade ait été assez vive. Pékin est , calme maintenant. Tuan Chi-jui, le ( premier ministre, est revenu _ dans la capitale. ETATS - UNIS — Les journaux américains deman- < dent que les Etats-Unis soient représentés à Londres et à Paris par des missions militaires semblables à celles des missions française et britannique à Washington ainsi que par une commission qui siégerait avec le Comité de Guerre franco-britannique. La "Tribune" fie New-York demande aussi que le,s Etats-Unis soient représentés à la prochaine Conférence des Alliés. 1 ; FRANCE ; — M. Yiviani et M. Bourgeois ont, à s l'occasion du 11 juillet, visité le terri-S toire reconquis; ils se sont rendus notamment à Noyon, Guiscard, Ham, ' Nesles et Roye. — Le cabinet a publié un décret fixant . le prix des céréales de la prochaine ré-. coite. Le prix du blé a été porté à . Fr. 50. Ceci va faire hausser le prix du . pain, mais le décret limite à 5 centimes au kilo la hausse permise; l'Etat interviendra, si nécessaire, pour indemniser , les boulangers. — Le "Bonnet Rouge," organe anti-patriotique, a été suspendu jusqu'à nouvel ordre. U11 de ses administrateurs, M. Duval, avait été arrêté à la frontière au retour d'un de ses nombreux voyages en Suisse, porteur* d'un chèque de Fr. 158,000, jugé d'origine suspecte. — Une plainte pour vol a été déposée contre le prince Eitel-Frédéric de Prusse par M. Dubois, dont le château a été pillé pendant l'occupation allemande. GKANDE-BR E T A GN E — Le Roi et la Reine d'Angleterre ( viennent de rentrer d'une visite d'une 1 dizaine de jours en France. Le Roi s'est 1 rendu aux diverses parties du front britannique, tandis que la Reine a surtout visité les hôpitaux. Le Roi a passé , quelque temps avec le Roi et la Reine ] des Belges ; il s'est rencontré avec les, chefs de l'armée portugaise et a remis } des décorations aux généraux français. , —-Le contrôleur de l'alimentation f vient de décider qu'il est dorénavant in- t terdit, à moins d'être pourvu d'un -per- < mis spécial, de vendre ou d'acheter, ou de .négocier la vente ou l'achat, de blé, ( orge, avoine et seigle de la récolte in- s digène de 1917; il en est de même pour -, les pommes de terre, à l'exception de ] certains catégories des premières récoltes. s — On s'attendait samedi, vers 7 heu- c res et demie, à un raid sur Londres et on t a employé pour la première fois 1% sys- : tème „ d'avertissement au public au ,1 moyen des pancartes, "Take Cover." c Quelques minutes après 011 recevait avis s que le danger était passé et la police en avisa le publie. . ( GRECE £ — Les négociations entre les gouver- s nements italien et grec au sujet de l'é- c vacuation de l'Epire sont à peu près ter-1 minées. s — Le ministre de Grèce à Sofia et son 1 personnel, ainsi que les consuls de Grèce 1 à Pliilippopolis, Bourgas et Varna ont ! quitté la Bulgarie. — Un sérieux différend semble avoir i surgi entre le roi Alexandre et M. Véni- : élos. Le roi a refusé de signer le décret onvoquant la Chambre. M. Vénizélos [ui est appuyé par une immense majo-■ité dans le pays, a demandé au roi de •ompre ouvertement avec la politique ntérieure et étrangère du roi Constan-in. Le roi ne semble pas "disposé à suivre cette voie. NORVEGE — Les deux Finlandais arrêtés pour •omplicité avec Rautenfels ont fait quel-jues révélations intéressantes ; ils sont illés plu icurs fois en Norvège,en Suède •t en Allemagne; l'Amirauté allemande eur a procuré un jour de faux papiers ittestant qu'ils étaient des marins britanniques; ces papiers portaient de faux 10ms et étaient absolument identiques iut certificats réels que fournissent les :onsulats britanniques,'et munis de ca-■hets opposés avec de faux sceaux coi^u-ai*'es.— Le gouvernement allemand a présenté à la Norvège des excuses filan-ireuses en réponse à la note norvégienne protestant contre l'introduction :1e bombes dans leurs pays par l'inter-nédiaire d'un courrier diplomatique ; îlle déclare notamment que ces bombes te passaient par la Norvège qu'en transit, promet de punir les coupables, donne l'assurance que ces faite ne se reproduiront pas, et exprime l'espoir :]ue ces incidents regrettables ne nuiront pas aux relations amicales entre les ieux pays. PAYS-BAS — Vu la rareté du fourrage, le Gouvernement a décidé de réduire son stock lo bétail. Une grande partie de celui-ci lera exportés dans les divers pays belligérants, tandis qu'une autre partie sera ibattue dans le pays pour servir à la sonsommation intérieure. ROUMANIE — Les quatre ministres conservateurs snt donné leur démission. Le roi a chargé M. Bratiano de reconstituer le cabinet en le priant de conduire les , pourparlers dans un esprit de conciliation, mais en présanca. des demandes des conservateurs M. Bratiano sera probablement forcé de former un cabinet exclusivement libéral. RUSSIE — On raconte que récemment une délégation consistant en un lieutenant, un sous-officier et un soldat, représentant dix-huit compagnies, s'est présentée devant le chef de l'état-majcr d'Odessa et a déclaré qu'à moins que les compagnies ne soient envoyées immédiatement au front, elles s'empareraient d'un train -de voyageurs et partiraient au front "sai s ordres. — « — La Finlande est sur le point de dé-ilarer son indépendance et de s'octroyer me nouvelle Constitution ; le Gbuverne-nent Provisoire de Pétrograd est opposé S une séparation complète. — Les négociations entre le Gouverne-nent Provisoire et les délégués de l'U-traine sont arrivés à une conclusion favorable; on sait qu'un mouvement séparatiste s'était produit en Ukraine. Dans me adresse aux représentants des pay-;ans ukrainiens, M. Kerensky a fait en-:revoir la création d'une république fé-lérale russe. — D'après une information reçue au luartier-général de l'armée,, des assas-iins à la solde de l'Allemagne sont arrivée en Russie pour attenter à la vie de il. Kerensky et d'autres ministres. — Le Conseil des délégués ouvriers et oldats de Moscou a décidé que tous les iiivriers recevraient au moins les deux iers de leurs salaires du 14 juillet au !8 août, période pendant laquelle les Bines textiles, manquant actuellement de ombustible et de matières premières, ont obligés de chômer. —■ Le commandant du palais Alexan-Ire, à Tsarskoïé-Selo, dans un rapport .u Comité de défense nationale du Con-eil des délégués ouvriers et soldats, dit [ue la ci-devant tsarine ne peut plus narcher, ayant les jambes gonflées par uite d'une affection au cœur. Depuis .la évolution elle n'est sortie qu'eh chaise ■oulante. SERBIE — II est probable auê lë gouverne-nent serbe sera trafisîeré bientôt He Côr-"ou h Salonique.

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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