L'indépendance belge

1651 0
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1917, 20 Juni. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/fn10p0xw00/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

88ème année. No 144 L' INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIMES * (HOLLANDE ; 5 CENTS) ADMINISTRATION ET REDACTION: A PAEIS: 5, DANE STR., H1GH HOEDORN, W.C.l. U' PLACE Bg HRS?- T.SLSPHONE : HOLBORft 1773-4 TELEPH.: (238-7 5 & RfiERCREDÎ 20 JUIW 1917. En vente à Londres à 3 h. le mardi 19 juin ( 3 MU1S, 9 SJLULLIISGS. ABONNEMENTS : \ (j MOIS, 17 SHILLINGS. !-CONSERVATION PAR LE PROGRÈS. il AN. 52 SHILLINGS. j LA SITUATION' Mardi, midi. Lus troupes britanniques ont été a'tj quées hier dans le secteur de Mouchy-lJreux, où l'ennemi a essayé de repre dre possession de la position appel "Infantry Hiil," dont nos Allies s taient emparés à la suite d'un heure coup de main-. La position av-ait u grande importance pour l'ennemi, q y possédait un excellent poste d'obsen lion et qui avait construit da-ns les liai du coteau des cavernes souterraines q joiniiiuniquaient, à droite et à gaucl avec des bois où se trouvaient des pos de renfoft. En trois minutes, nos Alliés avait non seulement occupé le poste, mais avaient fait prisonnière toute la gari son, forte de 175 hommes, qui .n'avi pas même eu le temps d'utiliser les u trailleuses. Dans le but de reprendre cette po tion, l'ennemi, après un bombardemt violent, attaqua hier avec des fon considérables, mais il ne réussit qu'à : fouler les Anglais des postes avanc qu'ils avaient établis en avant de la { sition principale, qui, elle, leur reste. Au cours de cette opération, nos i liés ont fait une vingtaine de prise nier s. Dans le secteur de Messines les tre pes britanniques ont gagné un peu terrain clans la direction de Warnetç et le duel d'artillerie, tant sur le car de l'Yser et sur la Lys que sur la Scar et la Sensée, reste très violent. Les aviateurs britanniques, de le côté, ont été très actifs et leur supér: rité dans le domaine aérien devient jour en jour plus marquée* Pendant que les aviateurs boches fo !a guerre aux civils innocents, les avj :eurs britanniques font la chasse a ■ivions ennemis du front, dont quinze o été descendus hier (contre deux angli manquant à l'appel). Pendant les joi liées de samedi et de dimanche, nos 1 liés en avaient abattu dix-~sept et cc traint huit autres à descendre, ce qi avec ceux de vendredi, fait un total quarante et un appareils ennemis, n hors de combat en cinq jours, contre ci britanniques ! C'est sans doute l'espoir de faire c rainuer le nomb's des aviateurs opéra sur le front qui incite les Allemands envoyer des escadres de bombardeme sur territoire ennemi^Les Allemands < pèrent que, cédant à la pression de l'oj nion publique qui, dans un sentime très naturel, réclame une meilleure d fense aérienne, urle partie des aviateu soient rappelés du front, où ils rempl sent une mission d'une importance caj taie. L'opinion publique réclame égal ment des représailles, mais à ce sujet n'y a pas unanimité, et beaucoup esl ment que l'avion doit être une arme pl tôt que l'instrument de torture auqn les Allemands l'ont ravalé. La question des représailles est une d plus délicates qui soient. Il ne peut, é^ demment, s'agir de ménager les Ail mands — qui ne méritent aucun mén gement — mais il répugne aux Allié qui se réclament en grande majori d'une culture supérieure, de _suivre 1 Allemands dans la voie du crime dans 1 quelle ils cherchent à nous entraîner qui doit leur permettre plus tard de di flllft rmns ti«a vnlrms nas mi'piK nn'pii si nous imitons, fût-ce à titre de repri .a- sailles, les crimes que nous leur repr* le- chons. n- D'ailleurs, nous aurions fort à faire ée nous devions noyer, brûler, estropie e- torturer physiquement et moralement d< ux milliers et des millions d'innoceu ne comme le font nos ennemis en appliquai ui les principes de leur kultur à eux, < a- nous manquerions certainement de bou ics reaux. ui Toutes les -belles causes ont eu feu: le, martyrs, et le meiileu'r moyen de veug< :es ceux-ci est de faire triompher la eau, pour laquelle'ils ont souffert ou pot lit laquelle ils sont morts. ils En Champagne, nos Alliés frança îi- ont occupé une position -allemande qi lit formait saillant, sur un front d'u ii- demi-kilomètre, entre les Monts Corni let et Blond. Pour se venger, les Ail si- mands ont lancé hier 2,000 obus si nt Reims, dont il ne^subsistera bientôt pli :es rien ! •e- En- Macédoine, les troupes britann ;és ques, redoutant les fièvres, ont évacu 10- en les brûlant, plusieurs villages qu'ell occupèrent dans la vallée de la Stroun i.1- et _où le tribut payé à la malaria éta n- plus lourd que celui payé à l'ennem Nos alliés italiens ont progressé hi< u- sur le plateau du Carso, au nord-est ( de .Tamiano, et ont repoussé deux attaqu n, autrichiennes, l'une contre les positioi ial italiennes sur le plateau d'Asiago (ïrei pe tin) et l'autre sur l'Isonzo (secteur ( Vodice, côte 652). ur En fait d'opérations navales c 0- .signale la destruction, par un sous-mari de allemand, d'un transport britanniqu- le " Cameronian," qui n'est autre qi nt le paquebot allemand du même nom, qi a- faisait jadais le servioe de la côte occ iix dentale africaine. Le " Cameronian, nt qui jaugeait 5,861 tonnes, a été cou lis en Méditerranée, et 63 hommes, doi .r- 52 officiers et soldats,manquent à l'appe 11- , D'autre part, un contre-torpilleur j; n- ponais croit avoir coulé en Méditerr; ii, née un sous-marin ennemi, qu'il att; de qua dès qu'il l'aperçut. lis La situation en Grèce est satisfaisant iq L'occupation de la Thessalie par les troi pes françaises se' poursuit sarrs autre il li- cident, et dans de nombreux districts ] nt population a spontanément annoncé so à adhésion au gouvernement vénizéliste e nt élisant de nouvelles autorités civiles. «- La colonie grecque en Egypte n'est pi ii- satisfaite du changement opéré en Grèc< nt Elle estime que le roi Alexandre, apçai é- tenant à la dynastie qui a trahi 1 rs Grèce, ne devait pas être appelé à ) .s- succession de son père et que le paj ii- aurait dû lui-même déclarer quelle forn e- de gouvernement il désirait et qui d< il vait en être le chef. 1- En Russie, M. Kerensky, le ministi u- socialiste de 'la guerre, a obtenu u el grand succès devant les membres d Congrès des délégués ouvriers et mil es taires en réfutant les accusations du che i- des socialistes extrémistes, M. Lénin< e- qui avait critiqué le ministre pour l'e a- nergie qu'il avait montrée à l'égard d s, ceux qui essayaient de saper la dise; té pline dans l'armée. es On attend avec le plus vif intérêt k a- résolutions que le Congrès va adoptei et et les membres de la Douma ont été inv: re tés par M. Rodzianko, le Président, Y. 11/} Y\c\<2 o'wl a! miûv /l.ci la nar-tîfalr» LES OPERATIONS MILITAIRES OPERATIONS NAVALES Un transport torpillé L'Amirauté annonce que le transp' britannique "Cameronian" (5,861 t< lies), ayant un pet,it nombre de sold a bord, à été torpillé et coulé par sous-marin ennemi, le 2 juin demi dans la Méditerranée orientale. De officiers et cinquante soldats, le ca taine du bateau, un officier et 9 homu de l'équipage sont manquants et p sumés noyés. f Les Japonais coulent un sous-marin L'attaché naval japonais sign qu'une des flottilles japonaises qui ] 'rouillent dans la Méditerranée, a r< contré un sous-marin ennehii dans 1 soirée du 12 juin, et l'a immédiatemer attaqué, avec, croit-on, de bons 'résu tats ; selon toutes probabilités, le sou; marin fut coulé. >n~ Le 11 juin une flottille de destroyei japonais avait attaqué 3es sous-marii; un ennemis dans la même mer et l'un d< 3r' destroyers fut atteint par une torpille u.x il pu# être ramené au port, mais 5 P1" hommes ont péri. 10S Méthode d'action contre les sous-marir Les journaux de Bergen rapportei cjue les hommes de l'équipage du vapei: "Arnfinn-Jarl," de Trondhjem, recuei ^1® lis à bord d'un contre-torpilleur ai >a- glais, immédiatement après que leu m- navire eut ©té coulé, ont pu se rendi compte des moyens de défense ang contre les sous-marins allemands, contre-tçrpilleur navigua en ceroL toute vitesse autour de l'endroit oi j. sous-marin qui avait coulé le bat norvégien avait plongé. De l'arrière sj contre-torpilleur fut jetée une m; r considérable de bombes de gro dimensions, qui explosèrent quelc ts minutes après. En outre, le contre-pilleur avait à bord des instruments ^ moyen desquels il lui était possible r_ fixer l'a place du sous-marin immerg Voici, d'autre part,' un témoign ,g intéressant: les matelots de l'équip ,r d'un navire norvégien déclarent, de ! ie côté, qu'ils furent témoins, dans un ] du nord de l'Angleterre, du remorqu d'un sous-marin allemand jusque cl j la rade, accompagné par deux tor leurs.—j< îgaro. î mmmm nmmm a_ o ir Ne vous effrayez pas ! 1S Des manœuvres exécutées pat la < . fense aérienne auront lieu dans le , sinage de Londres, aujourd'hui et ^ main mercredi, à 10 h. Ï5 du soir. it LE RAID SUR LA COTE DU SUD-Î i La version allemande r Dans la nuit du 16 et 17 juin, une nos escadrilles aériennes de la. mari 56 sous le commandement lu capitt ls Victor Schuetze, a attaqué d'import 1_ tes "forteresses'' au sud de l'Anglete et de bons résultais ont été obsen Les dirigeables ont été violemment c n battus par les forces de mer et de te " britanniques et k-S aviateurs" enner Au cours de ce combat le "Z 48" a LG i • . abattu par un pilote britannique et . tombé en feu dans la mer. Ton'. l'ê< ,, page et le "cojrtmtPYdant mentionné , dessus sont morts en héros. Les au; [g • dirigeables sont rentrés indemnes. ^ v * * 1 Le capitaine Schuetze était en* réa jle commandant des escadrilles de Zef lins de la marine agissant dans la gion occidentale. Son corps ft été tro a dans un champ non loin des débris ~ Zeppelin abattu. Il semblait avoir sa ( de -l'appareil en feu lorsqu'il était r-tivement près du sol et il doit é tombé la tête en avant. 11 portait uniforme imposant, avec un pardes en fourrure et était décoré de la ci de fer. Quatre autres cadavres ont , trouvés dans les champs et le rest de l'équipage a été recueilli parmi a débris de l'appareil, entièrement e a bonisé. Deux Zeppelins seulement ,s 1' "escadrille" ont franchi la côte O"! fi 1 QP m O L& GUERRE D'EN HAUT » 1 mt mmi ms UME î CARUNSUf L'"as" Casale, lorsqu'il descendit huitième avion, entendit de la bou du pilote allemand, arrivé à terre s et sauf, le récit de l'effroyable caue mar que vécut ce dernier avec son j ig'sager, lorsque l'avion touché desoenc en bolide. "La Guerre Aérienne Illustrée': à rapporté ce brutal drame de l'air : "Lorsque le radiateur fut attei m j'essayai de faire demi-tour pour me1 à profit mon altitude afin de regag nos lignes en planant. Mais mon j: sager, le lieutenant Sohultz, blessé, l'entendait pas 4jinsi. Il tenait à ce i a je, me hâtasse d'atterrir pour le fs ^ soigner. [. "Je refuse. Il me donne l'ordre, est mon supérieur, il me menace punition si je n'obtempère pas aussi ,s Je réplique que le pilote est maîtri bord et que je dois avant tout songe sau»er mon avion, d'autant plus q-est partieulièrement intéressant. ^ "La discussion continue. Le mot ne tournant plus, nous ne perdons cune des paroles désagréables que n s nous adressons mutuellement. Peu it peu, alors que mon avion vrille de fa< r inquiétante, le lieutenant Schultz, 1- de colère, maîtrisant sa douleur, se 1 i- et se met à me frapper. J'esquive r coups (lu mieux que je peux tout e n'abandonnant pas mes commandes. lais je lutte pour rétablir mon équilil Le Peut-être dans quelques instants 3 à serons-nous que deux cadavres! i le situation est particulièrement tragiq eau Peu importe à mon passager qui, inê du dans la mort, ne veut pas qu'un in isse rieur lui ait désobéi. sses "Il ne se contente plus de me bru (ues liser, maintenant il cherche à m'étr tor- gler ! Je sens l'étreinte de ses doigts 1 au me serrent la gorge. Cette fois, c'en de trop ! M'écraser à terre, soit, si je é. puis faire autrement, mais mè lais âge assassiner par mon observate âge jamais." eur Je n'hésite donc pas. Malgré le gn >ort de Schultz, je me lève à mon tour et âge riposte. Je suis le plus fort, mais l'au ans emploie tous les moyens déloyaux qu: pil- peut imaginer. Que faire? Ma situati est délicate : prolonger la lutte, c' peut-être me faire tuer par mon lieu liant, c'est peut-être me suicider j l'écrasemént au sol. De toutes façc c'est la mort ! ,C'ar, tandis que se proie geait ce duel macabre dans le vide, ,iic- vrille continuait de plus en plus ver 'oi- gineuse et tious nous rapprouhions de ne- terre à une vitesse foudroyante. Pas tergiversations. Les préjugés sont be quand on a le temps de réfléchir. Là :sï me bats contre un apache et il faut q je songe à l'autre adversaire. Heureu nient, nous vo3rant plonger du côté ( 'ignés françaises, vous aviez eu k gale ne, terje nous suivre' pour nous empêcl ,me de fuir, mais vous aviez cessé votre t an" Sans qtioi, à quel saint aurais-je dû !rre vouer ï Toutes ces pensées se succèdent en u 3m" fraction de seconde! Je vois rouge! r.re scrupule, ni regrets! D'une forte pei \15; je tire à moi le corps de Schultz en e*e serrant à l'étrangler et, la vrille aidai eR* je le projette par-dessus bord. Ilvét; !"}' temps. Je me précipite sur mes co. cl~ mandes, un coup d'oeil sur mon indii res teur : 200 mètres ! Je lutte désespéi ment, rien n'y fait. Je vais m'écraser. n'aurai survécu que quelques instai 'ité à îlM^n agresseur, mais je mourrai venj Pe" lorsque soudain... soubresaut délicieux r<y craquement significatif... Je rouvre nvé yeux que j'avais fermés devant l'irrén du diable! Que se passe-t-il? Je suis sain u^e sauf ! Je me suis posé sur un bois, c -la" arbres m'ont retenu, j'ai glissé tout de 'tre cernent. Et me voilà ! — "L'Heure." * ' AUTOUR de la GUERR été t ajII ALLEMAGNE — Le chancelier allemand a interd fl à dater du 15 juin, la vente en dét: an_ des journaux. Toute personne désira lire un journal doit s'abonner-pour 13aaa mois. Les infractions seront punies d mende et de prison. — Des télégrammes de Berlin dise qu'une explosion s'est produite climf che à la gare de Friedrichstrasse, tua trois personnes et en blessant une de zaine d'autres. L'explosion a prodi son une profonde sensation dans tout Bi che lin. où l'on croyait à un raid allié. ain autriche-hongrie ' — Trois dépôts de munitions à Stei • clS~ \ ' feld, près de Wiener-Neustad, ont e détruits par une explosion lûndi mat: Six personnes ont été tuées et on sign; environ 300 blessés. nt, GHINE ' •tre — La situation ne s'éclaircit pas. . ner Président, après de longues tergivers as- {ions, a fini par céder à la pression i ne parti militaire et a dissout le Parlemei Iue donnant comme raison que eelui-ci 'lre cessé de remplir ses fonctions. Il a d crété de nouvelles élections, mais comi il est probable qu'un Parlement de n: de me composition sera réélu, cela n'ava ;Ôt. cera guère les choses, car le parti mi ' ^ taire restera dans les mêmes dispo; r a tions vis-à-vis d'un ncftiveau Parlemei 1 ^ Certaines troupes orrt»occupé un impe tant croisement de chemin de fer n-3ur loin de Pékin et s'y trouvent à 400 rr au" très des troupes britanniques, qui y so ous stationnées en vertu du protocole « 1901. ETATS-UNIS f\vp — On signale officiellement que ]es Japon a refusé e se joindre aui Eta en Unis pour donner des avis à la Tïii car au sujet de ses difficultés intérieures. re. |!||||iiiiiHIUHiltl!llllfli'Ilii!llllll«<IHIill;it?i.:iillUili!ItMIMilllililli!l ne " ' La ue. me fé- S: AFFICHES j[ui \ t ILLUSTRÉES ser ur, .de je tre Urse exposition de Oïl 011 TABLEAUX DESTINÉS est te- À DES AFFICHES POUR »ar hb L'UNDERGROUND allati-lade , me AU BENEFICE DE LA UG ROYAL NAVAL DIVISION 5G- ks CO P,/! FORTS FUND ,11- / * ter pour les prisonniers "e de guerre en Allemagne 11G Ni iéG Aura lieu it, "t du 5 au 30 juin à la [11- a- Mansard GaiSery à )è HEAL'S îts 195, Tottenham Court Roadv '"i W. IGS u*' de lOh. du snatin à 6h. du soir et les Entrée 1/» ill- E . - . 94 t — Illlllllllllllllillllllllllllllllllllllliillllllillllllllillllllilllllllllllllllllllll i-i AUTOUR DE LA GUERRE — Suite GK AIN DE-BRETAGNE a- — En réponse à diverses interpellations à la Chambre des Communes à ^ propos des récents raids, M. Bonar Law a déclaré que le gouvernement était en 11 consultation avec les autorités militaires 11 ici et sur le continent quant aux moyens les plus efficaces de remédier à la situa-11 tion, mais qu'il était évidemment indé-;l " sirable de faire connaître à l'ennemi nos intentions. Plusieurs députés ont demandé des représailles. <, n- — Le lord jnaire ele Londres a décidé lté d'avertir les habitants lorsqu'un raid n- aérien sera signalé.. Il est que-stioji île d'employer à cet effet les cloches de la cathédrale de Saint-Paul. —: Les immeubles qu'occupaient à I Londres la Dresdner Bank et la Disconto Gesellschaft, seraient vendus publique-lu ment le 19 courant. La liquidation de ces banques se continue. a — Afin ele favoriser le développement é- de l'industrie de la teinture;,en Grande-ne Bretagne, un département spécial a été créé au Board of Trade. »- russie 'î — Des bataillons de femmes sont ac-^ tuellement en formation à Pétrograd, ' ' Moscou, KieS, Simbirsk et dans d'autres villes centrales, et sont destinés à prendre part aux combats sur les fron£s russes pour faire honte aux homijies. c1c Ces bat,aillons sont déjà a l'instruction. — A Moscou, une formation organisée de 800 femmes, appelée le 4e "Régiment de la Mort," a demandé à M. le Kerensky d'être envoyée iu front. Mçîe ts- Kerensky s'est jointe av. corps des infjr-ne mières du régiment de femmes de Pé-troerad. ^

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes