L'indépendance belge

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s.n. 1918, 29 Juni. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/zc7rn31d17/
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L'INDEPENDANCE CONSERVATION ]D> H? Ï lO , c M. ROYAUME-UNI: 1 PENNY „ , r- Mm |®*. Pp « M W BP1- LE NUMERO CONTINENT.. 15 CENTIMES PAR LE PROGRES ilJP JO JiS^.1 mjP JLIi (hollande. bcents c " administration et redaction : bureau a paris: SASVIEDi 29 JUIN 1918 • c 3 mois. 9 shilling* icfdor house. tudor st.. e.c. 4 11. place de la bourse . , , , „ , , . .. _ _ . . abonnements - 6 mois, 17 shillings TÉLÉPHONE: CITY 3960 TÉL.: 311-57 et 238-75 En Vente a Londres a 3 n. M vendredi 28 juin ! an 32 shillings LA SITUATION Vendredi midi. Alors que sur le front méridional l'activité combattive a décru progressivement pour redevenir à peu près normale, le calme relatif qui prévaut depuis deux ou trois semaines en France se prolonge sans raisons apparentes. La situation actuelle sur le front occidental peut être comparée à celle qui précéda les- grandes attaques germaniques des 21 mars et 27 mai derniers. Une tension égale règne sur tous les points où pourrait surgir la ruée ennemie. Toutefois, qu'elle se renouvelle soit au sud, sur Meaux ou Compiègne, soit à l'ouest sur la ligne Amiens-Arras, soit au nord, dans la région des monts, partout les vaillantes armées alliées sont prêtes à lui faire tchec. En attendant l'heure de la lutte violente qui ne peut plus tarder à se produire, les Alliés continuent leurs opérations secondaires, améliorant constamment leurs positions et sondant, par la capture de prisonniers, les préparatifs teutons. En Flandre, des détachements britanniques ont accompli avec èuccès une bril-ante attaque locale, et se sont emparés au cours de celle-ci d'un point fortifié ennemi, à l'ouest de Vieux-Berquin. En Artois les patrouilles britanniques ont également fait quelques prisonniers dans le voisinage de Boyelles. De leur côté les Américains ont repoussé dans les Vosges des groupes d'éclaireurs ennemis qui tentaient de s'approcher de leurs tranchées, pendant que nos vaillants alliés français exécutaient trois fructueux coups-de-mairi sur les positions teutonnes dans la même région. Les batteries allemandes ont été particulièrement actives en différents en-. droits entr-e Givenoh.y et Robeeq,- et ont laricé une grande quantité d'obus toxiques sur la partie norcl-est de la forêt de Xieppe. Il y a également eu des duels d'artillerie intermittents dans différents secteurs de l'Oise et de l'Aisne, étant particulièrement violents au sud de cette dernière rivière, dans la région da Cceuvres. Le communiqué de Berlin éprouve à nouveau le besoin d'affirmer une contre-vérité en annonçant que des observateurs français ont été " une fois de plus" aperçus dans la tour de la cathédrale de Reims. Quel mauvais coup le Boche prépare-t-il encore contre la pauvre cité martyre ? L'imminence de la reprise offensive se révèle par le renouvellement du bombardement systématique de la région de Paris. Hier et avant-hier les Gothas ont encore tenté de semer la mort et la ruine dans la vaste agglomération parisienne. Ces attentats appellent des représailles et une campagne de presse s'amorce, à Paris, demandant l'organisation d'une série d'attaques sur les principales villes d'Allemagne, jusqu'à ce que la peur ramène nos ennemis à des sentiments plus sains. En Italie, ainsi- que nous le disions plus haut, les opérations n'ont rien offert de saillant. Au nord de Serravalle, à gauche de l'Adige, des détachements'de choc italiens ont pris d'assaut et détruit un important avant-poste ennemi. Sur les versants sud du Col del Rosso (Plateau d'Asiago), nos alliés, après un vif combat, ont cerné des avant-gardes au- ' trichiennes et ont fait une trentaine do prisonniers. L'ennemi tenta de réagir < sur le champ, mais il fut par deux fois refoulé avec des pertes Sanglantes. Le nombre des prisonniers capturés par les troupes du général Diaz dans les i opérations qui leur permirent d'étendre : leur tête de pont de Capo Sile, le 25 juin, s'élève à 510 prisonniers, dont huit i officiers. v Sur le front macédonien, l'activité de ; 1 artillerie a été particulièrement vive : dans le secteur Mayadag, à l'ouest du : Vardar. On annonce officiellement de Stock- < holm qu'un accord est intervenu entre la i ^uède, la Finlande et l'Allemagne, pour le démantèlement des forts des iles A a- i land. Une commission chargée de rédiger la convention relative à-la démolition de ces ouvrages militaires a été désignée par les trois puissances "intéressées." ( L'Allemagne, WÈÊ: - m®" tho'diquement se- ce.u i unination des deux côtés du vaste territoire russe. Les Alliés finiront-ils par s'en inquiéter au point d'agir un jour. Pourvu qu'il ne soit pas trop tard. i « * Les organes de tous les partis politiques allemands—à l'exception des socialistes—attaquent avec violence le secrétaire d'Etat von Kuhlmann—que nous appelions hier, par erreur, le chancelier. C'est ce dernier, le comte Hertling, qui amena von Kuhlmann à présenter des explications qui constituaient une réelle rétractation et les paroles du chancelier Hertling furent, dit la " Kôlnischc Volkszeitung," " comme un rayon de soleil, elle sauvèrent là situation.". Les paroles de von Kuhlmann avaient été celles-ci : " En examinant en général les événements, on se demande si la guerre, d'après les prévisions humaines, durera jusqu'à l'automne, jusqu'en hiver ou jusqu'à l'an prochain? (Sensation.) Il existe chez le public une opinion commune que la durée de la guerre est une chose nouvelle, comme si les milieux dirigeants n'avaient pas prévu une guerre de longue durée. Cette idée n'est donc pas fondée." Il rappela ensuite les paroles prononcées par le feld-maréchal von Moltke, le 14 mai 1890, au Reiohstag, que si la guette devait éclater la durée ni la fin ne pouvaient en être estimées. Il est dès lors, dit-il, impossible de se représenter avec certitude quand cette guerr.ï sèterrnmera, et c'est pourquoi ii fàut envisager les raisons politiques, qui pourraient éventuellement intervenir pour rendre la paix possible. « * ♦ Le journal pangermaniste, " Deutsche Zëitung," commente amèrement ces deux discours, dans un article intitulé, " Kuhlmann le défaitiste." Le " Tâg-lische Rundschau," autre organe pan-germaniste, dit que ces paroles, qui ont dû bien étonner ceux qui ont la responsabilité des opérations de guerre, seront le chant du cygne. L^Qfgane conservateur, la " Deutsche Tageszeitung," fait ressortir l'antagonisme qui s'est produit entre les paroles du Kaiser et celles de von Kuhlmann. La "Frankfurter Zeiturig," progressiste, fait la remarque que le speech de von Kuhlmann doit avoir d'ipi-médiates conséquences sur sa position. Et les " Hamburger Nachrichten " mettent von Kuhlmann sur le même pied que Lichnowsky. De cette générale levée de boucliers il faut conclure que la démission de von Kuhlmann ne tardera pas, et il apparait. dès à présent, que c'est le parti militaire qui désignera son successeur. Nous ne sommes donc pas, malheureusement, à la veille de négociations, de paix. • • * De Plollande vient une nouvelle qui ne manquera pas de causer quelque éton-nement : On annonce dans,les milieux maritimes de Rotterdam que la Hollande a cédé aux demandes de l'Allemagne relatives au mouvement des navires hollandais. On dit que le gouvernement de La Playe a consenti à un tnodus viVendi, d'après lequel un sauf conduit pour chaque bateau au départ de la Hollande doit être demandé au gouvernement allemand. Ce sauf conduit né serait accordé qu'à la condition qu'un autre navire, d'un tonnage à peu près égal, rentre en ; Hollande, et que la liste des passagers soit soumise aux autorités allemandes, qui, en cas d'objection, refuseront de donner un sauf conduit au na- < vire, et seront ainsi à même d'exercer un contrôle complet sur tout Je trafic ; d'outre-mer de la Hollande. c Il semble que ce n'est plus cela de la. ' neutralité, mais de la passivité. I OPÉRATIONS AÉRIENNES Nouveau raid Les aviateurs ennemis ont de nouveau attaqué Paris la nuit dernière. Les appareils allemands prirent diverses routes pour atteindre la capitale française. Les dégâts matériels sont considérables. M. Poinearé a rendu visite aux victimes. Trois villes allemandes bombardées Dans la nuit de mercredi à jeudi, les aviateurs britanniques ont bombardé les usines de produits chimiques de Ludwigs-hafen, les fabriques et les voies de garage de Sarrebriiok et l'aérodrome de Bel-chen ( ?Boulay, en Lorraine annexée). Cette triple attaque a donné d'excellents résultats. L'activité des aviateurs britanniques Sept appareils allemands ont été abattus et deux autres ont été mis hors combat, mercredi, par les aviateurs britanniques, dont deux avions ne sont pas rentrés. De plus, les, pilotes britanniques ont jeté plus de trente tannes de bombes sur divers objectifs militaires et notamment sur lès docks de Bssuges. Il I 11 — willlllliwm CONFERENCE 00 LABOUR PARTY M. Kerensky a reçu hier, à la Conférence du Labour Pa'rty, une réception enthousiaste lorsqu'il apparut aux côtés de M. Henderson sûr l'estrade.-Quelques membres de la conférence étaient hostiles à sa présence et avaient exprimé leur mécontentement avant son arrivée. Un ou deux allèrent jusqu'à prétendre que Livitnoff, l'émissaire des Bolshé-vistes à Londres, était plus qualifié comme représentant de la Russie. Pendant tout un temps le tumulte régna et le président, M. F. Purdy, eut la plus grande peine à rétablir l'ordre; il dut menacer d'expulsion une femme déléguée pour parvenir à la faire taire. Enfin-les délégués étrangers purent se faire entendre. M. Renaudel (France) parla de l'ac-' oord entre les partis socialistes et travaillistes de« Alliés sur la base de leur "mémorandum sur les buts de guerre" et dit qu'il espérait qu'ils pourraient les poursuivre jusqu'à une heureuse conclusion.M. Albert Thomas (France) dit que von Kuhlmann avait reconnu dans son discours que la fin de la guerre ne pourrait être attendue seulement d'une victoire militaire. Cet.'aveu donne d'autant plus' d'ilnportance a l'œuvre poursuivie par les travailleurs, la définition da leurs buts de paix. Us étaient plus en situation que von Kuhlmann de dire qu'une victoire militaire devait avoir comme complément une autre espèce de vietoue par l'action morale et le pouvoir du mouvement travailliste international. M. Emile Vandervelde annonça qu'jl y a quelques fjours il avait reçu un message des socialistes de la Belgique occupée, envoyant à la conférence un salut fraternel. Us sont prêts à prendre part à une conférenc'e internationale, mais à des conditions définies, c'est-à-dire que ceux qui restèrent fidèles aux principes de l'Internationale y assisteraient, tandis que ceux qui trahirent ces principes n'y seraient pas admis. M. Branting (Suède) décla,ra qu'il venait représenter ceux qui avaient toujours défendu l'idée d'une conférence socialiste internationale. Ils n'ont pas abandonné cette idée et comptent la poursuivre malgré tout. Avant d'Introduire M. Kerensky, M. Henderson déclara que c'était à sa demande que Kerensky avait accepté d'assister à la conférence et mit l'assemblée en garde contre l'atteinte mondiale qui serait portée à la réputation des membres si Kerensky était insulté ou humilié d'une manière .quelconque; il posa la question de savoir si, oui ou non> l'assemblée désirait entendre Kerensky. L'assemblée, à mains levées, se prononça à peu près unanimement en faveur de la réception de Kerensky, l'épreuve contraire réunissant quatre adhérents, dont une femme. M. Kerensky, absent pendant cette discussion, fut reçu avec des applaudissements enthousiastes et alla se placer à lx droite du président. Les délégués entonnèrent le chant d'accueil que la plupart des Belges connaissent maintenant: "For he is a jolly good fellow." Pendant qu'on le chantait, Kerensky donna à M. Henderson une vigoureuse accolade.Quand le silence fut rétabli, Kerensky prononça en russe, avec des gestes passionnés et énergiques, un discours généralement écouté en silence, coupé par des applaudissements lorsque M. Henderson en lisait, de temps en temps, la traduc-. tion de l'une ou l'autre phrase. De nouveaux applaudissements signalèrent la fin de son discours. M. Kerensky présenta le sombre tableau d'une Russie épuisée par un combat inégal, opprimée de l'intérieur oom-me de l'extérieur. Mais pour sombre qu'il fût, M. Kerensky n'en conserve pas moins quelqu'espoir. La Russie, dit-il, a subi jadis des dures épreuves, mais elle en est toujours sortie plus forte. Sai gnant maintenant par toutes ses pores, j elle s'oppose encore à l'invasion ennemie. J'en témoigne ici, jamais le peuple russe | ne reconnaîtra le traité de\Brest-Litovsk. M. Kerensky raconta comment les soldats russes, parfois armés seulement de bâtons, soutinrent les attaques allemandes pendant trois ans et sauvèrent le front occidental. La révolution leur donna un nouveau courage, mais ne put faire revivre leurs corps émaciés. Des avertissements donnés aux Alliés ne furent pas écoutés; les Allemands offrirent la paix, et les soldats russes furent dupés par des fanatiques ,e£ des agents allemands.La Russie vit maintenant sous une double terreur, et ses libertés sont foulées I aux pieds sous un régime de tyrannie. M. Kerensky s'abstint de rechercher les mobiles des Bolshévistes, mais il déclara que leurs actes faisaient d'eux l'avant-garde du militarisme allemand triomphant. Il termina en réitérant sa confiance que la Russie, quoique vaincue, ne se soumettrait pas. et en faisant appel a.ux Alliés pour qu'ils considèrent s'ils peuvent réellement se contenter d'assister impassibles à la destruction du peuple russe. ? LES EVENEMENTS EN RUSSIE r g, Un traité secret . . . maximaHste! Un journal de Cracovie, "La Voix du . Peuple," a publié dans son numéro du - 18 juin le texte d'une conventiôn se-r crête intervenue entre les maximalistes et les Allemands à la conférence de Brest-s Litovsk„ Ce document édifiant montre d'une part la .trahison des Bolshévistes et, d'autre part, la vilenie des Alle-1 mands qui, pour atteindre leurs buts, . n'hésitèrent pas à créer et soutenir une . propagande anarchiste dans les pays t qu'ils occupent. » Voici en substance les "dispositions'' dé s ce traité secret : (1) La politique polonaise sera con-3 duite par l'Allemagne. 3 (2) Le gouvernement rtisse s'engage à 3 ne pas intervenir dâ'ns les questions rela- - tives à l'organisation intérieure de la Pologne. 1 (3) Le Conseil des Commissaires du Peuple russe ont le droit de rester en " contact avec les clubs* démocratiques 1 et révolutionnaires existant en Pologne, f d'y envoyer des agitateurs, pourvu que '• les noms de ceux-ci se trouvent sur les " listes des bureaux d'information alle-n mands de Pétrograd ou de Varsovie. (4) L'envoi d'agitateurs en Allemagne et en Autriche sera suspendu par le Conseil des Commissaires. (5) Le Conseil des Commissaires exer-» cera une stricte surveillance sur les grou-3 pas polonais nationaux, dans le but d'ern- pêober l'enrôlement de volontaires dans l'armée territoriale russe. (6) La Russie considérera la violation des frontières de la Lithuanie et de l'Ukraine par les troupes .polonaises, comme une déclaration de guerre à l'Allemagne et l'Autriche, et .la Russie coopérera à l'écrasement de telles troupes. (7) Le Conseil devra empêcher les citoyens russes de verser leurs propres capitaux comme les capitaux français, anglais ou américains, dans toute entreprise industrielle polonaise. (8) Le Conseil s'engage à reconnaître le nouvel état de choses éventuel créé par l'Allemagne et-l'Autriche en Pologne, et à-le défendre contre les anciens alliés de . la Russie. L'assasSinat de l'ex=Tsar ^ Depuis plusieurs, jours le bruit circu- - lait avec persistance que l''ex-tsar Nico-• las II de Russie avait été assassiné. N'ayant reçli aucune confirmation de ■ source sérieuse confirmant cette nouvelle, 1 nous nous étions abstenus de la publier. Cependant les Central News ont reçu un télégramme de Berne disant que le maréchal de' la Cour ducale de Darm-stadt a reçu une dépêche de M. Tchiche-rin, Commissaire du Peuple pour les affaires étrangères, annonçant qu'en effet l'ancien tsar de Russie avait été assassiné entre Ekaterinburg et Perm. AUTOUR de la GUERRE ESPAGNE — Le correspondant du " Times " à Madrid dit que l'espionnage allemand en Espagne, qui donne des informations sur les -mouvements des navires, devient de 1 plus en plus audacieux^ t PREPAREZ LE MONTANT EXACT DE LA COURSE Cette mesure évitera des difficultés de remise de monnaie. Elle viendra en aide aux receveurs et receveuses pour activer leur besogne. TOUT LE MONDE DEVRAI t L'ADOPTER, PUISQU'ELLE EST UTILE.AUX INTERETS DU PUBLIC C Electric Railway House, Broadway, Westminster. FRANCE -— Il a été décidé que le procès de M. Malvy, ancien ministre de l'Intérieur, intenté contre lui à la suite des accusations de M. Léon Daudet, directeur de 1" Action Française," commencera de-3 vant le Sénat, siégeant en Haute Cour, le 15 ou le 16 juillet prochain. On s'at-1 tend à ce que le procès dure trois 3 semaines. — Le Conseil municipal de Paris a décidé à l'unanimité que l'avenue du Trocadéro s'appellera désormais avenue Président Wilsen. SERBIE —• Le bureau de la presse serbe établi ? à Corfou fait la communication suivante: "En vue de la situation alimentaire dés-*■ espérée en Autriche, tous les partis alle-" mands de ce pays ont voté une résolution - demandant la réquisition immédiate de ' toute la récolte de la Serbie ocoupée dans le but de résoudre la question des vivres en Autriche. Le gouvernement autri- - chien compte de cette manière provoquer - toujours plus de misère et étendre la famine qui, avec les autres méthodes d'ex- ; termination déjà mises en pratique, pourrait achever d'annihiler la population serbe." ; DERN 1ÈRE HEURE . Le communiqué britannique Vendredi 10 h. 12 matin, i Un raid tenté par l'ennemi dans la nuit du 26 au 27 contre un de nos postes ' dans le voisinage de Mayenneville, au sud d'Arras, a été repoussé avec perte. Un de. nos détachements a exécuté un raid de jour près de Méricourt et cap-turc quelqqes prisonniers sans subir de pertes. Au cours de la nuit notre artil-. lerie et l'artillerie ennemie ont été ac-, tives dans le voisinage du bois de Rossignol, au sud-est de Gommecourt. I 89e année

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1918.

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