L'indépendance belge

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14 september 1915
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s.n. 1915, 14 September. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/8k74t6g12c/
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L INDEPENDANCE ROYAUME-UNI î ONE PENNY5? BELGE. CONTINENT: 15 CENTIMES ADMINISTRATION ET REDACTION: BUREAUX A PARIS: (3 MOIS. 9 SHILLINGS. \ _ , IUDOR HOUSB. TUDOR ST.. LONDON, E.C. U. PLACE DE LA KODRBÊ. IONDRFS M ARDI 14 SEPTEMBRE 1915. ABONNEMENTS . 6 MOIS, 17 SHILLINGS, r CONSERVATION PAR LE PROGRÈS.; TELEPHONE: CiTY 3960. TELEPH.: {las'.fs. ' ' 11 AN. 32 SHILLINGS. ' ir 1111 1 i 1 ~ î. ~ 'm '■ 1 ni11 jii i m '■ ' i ..î. 1 * SOMMAIRE. LA SITUATION : Nombreux raids aériens.—Trêves et I)onau-eschingen bombardées.—Progrès allemands au sud de Dvinsk.—Lutte acharnée sur l'Isonzo.—L'Allemagne et la Roumanie. Le congrès de Bristol.—Emile Royer. Lettre du Vatican. Billet Parisien.—Jean-Bernard. La défense économique de la Belgique.— En Belgique. Notre vaillante armée. Echos. Etc. LA SITUATION. Mardi, midi. Les visites des Zeppelins se multiplient. Dans la nuit de dimanche à lundi îa côte orientale ,a été bombardée à nouveau, mais avec un résultat quasi nul, tes seuls dégâts étant quelque fils télégraphiques rompus et quelques carreaux cassés. Ce fut le quatrième raid en six jours ! Depuis lors d'amirauté a signalé un cinquième raid, exécuté, cette fois, par un aéroplane ennemi sur la côte du comté de Kent lundi après-midi. L'aviateur lança plusieurs bombes, avec ce résultat qu'une maiso-n fut endommagée et quatre personnes blessés. D'autre part, les journaux hollandais annoncent le passage, lundi soir, de cinq Zeppelins se dirigeant vers l'ouest, ce qui semblerait indiquer que les Allemands projetèrent un sixième raid la nuit dernière. Ces visites répétées ont incité l'Amirauté britannique à nommer l'amiral sir Percv Scott chef du département chargé de la défense de Londres contre les attaques aériennes Sir Percy Scoti est un homme d'initiative et de œssource et qui a fait ses preuves clans la guerre sud-africaine et pendant la révolte des Boxers. Mais ce ne sont pas les seuls aviateurs allemands qui font preuve d'activité. Une escadrille composée de 19 aéroplanes français est allée attaquer la ville de Trêves, lançant près de cent bombes, (dont plusîl'tTrt^Widoniniagèrrnt la gare, la Reichsbank et d'autres édifices publics. Au retour, les aviateurs bombardèrent la gare de Dommary-Baroncourt. Une autre escadrille survolant l'Allemagne du sud, bombarda la gare de Donaueschingen, sur le Danuba, et de Marbach, où des mouvements de troupes étaient signalés. Il s'agit là de représailles pour les récents bombardements aériens de Luné-ville et de Compiègne. Un communiqué allemand signale deux aéroplanes ennemis descendus par le feu de l'artillerie, l'un près de Cour-trai, l'autre près de Verdun. A part les exploits des aviateurs, les communiqués de Paris ne relèvent que les duels d'artillerie, toujours aussi violents, tant sur l'Yser et au.nord et au sud d'Arras qu'en Champagne, en Argonne et dans les Vosges. Dans le secteur de Souchez une attaque allemande fut 'repoussée sans difficultés. Une autre, au sud-est de Lunéville atteignit le réseau de fil de fer protégeant les tranchées françaises, où elle fut ensuite arrêtée. On annonce de bonne source à Paris que les récentes offensives allemandes en Argonne coûtèrent terriblement cher à l'armée du Kronprinz, qui, depuis le mois de janvier, aurait perdu au-delà de 100,000 hommes, un seul corps d'armée ayant perdu l'équivalent de ses effectifs complets, soit 40,000 hommes ! Disons, à propos d'effectifs, qu'il est question en France de mobiliser une partie des réserves coloniales, c'est-à-dire d'enrôler des troupes noires de certaines colonies, ce qui permettrait, à en croire le député Masset, de lever un contingent de près de 700,000 hommes. En Russie les Allemands progressent légèrement dans le nord, alors que 'es Russes sont absolument maîtres de la situation dans le sud. Il est à remarquer qu'insensiblement, le gros des armées austro-allemandes glisse vers le nord, ce qui indiquerait que le but de l'envahisseur est toujours de frapper un grand coup dans 1a directio'n de Pétro-grad. Riga et Dvinsk sont, avec Vi'na, les deux points que vise le maréchal von Hindenburg. La résistance acharnée qu'offrent les Russes au sud de Riga, et que favorise la crue des eaux de la Dvina est telle que les Allemands, plutôt que de s'attaquer de front à ces fortes positions, préfèrent 'es tourner. De là la grande activité déployée par eux du côté de Dvinsk et au sud de cette ville où l'ennemi est parvenu jusqu'à la ligne de chemin de fer Vilna-Pétrograd. L'abandon de Riga est, on le sait depuis longtemps, envisagé par les Russes, et le correspondant du " Times " annonce que nos Alliés n'y ont rien laissé qui puisse servir à l'ennemi le jour où il occupera la ville. Entretemps, les Allemands se livrent, dans le Golfe de Riga, à de nombreuses reconnaissances aériennes qui doivent être considérées comme le prélude d'une prochaine action navale. La mobilisation de quatre classes de réservistes 1912 à 1916 fournira à nos Alliés environ un million et demi de trempes fraîches, et l'appel sous les drapeaux de toute cette catégorie de réservistes fournirait environ huit millions d'hommes ! On voit par là que si les Allemands veulent anéantir les armées russes, elles ont encore de quoi s'occuper pendant quelque temps. Sur le front italien la lutte est confinée principalement au secteur de l'Isonzo. Rome et Vienne parlent d'actions assez sérieuses du côté de Plezzo et Tolmino, mais aucune action décisive n'a eu lieu dans cette région. Dans le Tvrol les premières neiges ont fait leur apparition, et dans quelques semaines les opérations devront être suspendues sur une. grande partie du front méridional. Les rapports entre la Roumanie et les empires du centre menacent de se tendre dangereusement. Le "Times" apprend de Sofia que le Gouvernement allemand aurait adressé dernièrement une nouvelle Note au gouvernement de Bucarest réclamant le libre passage par la Roumanie de troupes austro-allemandes, et 'a libération de 2,000 wagons de marchandises à destination de l'Allemagne et retenus à 'a frontière roumaine. U y a lieu de rapprocher de cette information un télégramme Reuter, venant d'Athènes, annonçant une mobilisation partielle roumaine en réponse aux concentrations de troupes autrichiennes à la frontière roumaine. , Quant aux Bulgares, ils ont rappele sous les drapeaux tous les Macédoniens âgés de 20 à 40 ans, qui, après une instruction de quelques semaines, constitueront une division macédonienne spéciale.«wuhwmj—uwji.iw m LE CONGRÈS DE BRISTOL. !>e Congres des Trade-Unions tenu la semaine dernière à Bristol constitue, avec les résolutions qu'il a prises et les incidents qui l'ont marqué, l'un des événements les plus considérables et les plus heureux qui se soient produits depuis qu'a éclaté la g-uerre. Il _\ avait à Bristol 607 délégués, représentant environ 3 millions de travailleurs organisés. » Et il résulte des délibérations et des votes du Congrès que l'attitude pacifiste malgré tout et presque germanophile de certains leaders de 1' "Indepen-dent Labour Party" et de leur journal le "Labour Leader," n'a point de racines dans la masse des ouvriers. Keir Hardie MacDonald, Bruce Glasier et leurs amis endossaient plus volontiers la responsabilité des événements actuels au capitalisme et à la diplomatie secrète de toutes les nations européennes, qu'an militarisme prussien et à la fourberie du gouvernement, impérial d'Allemagne. Ils prêtaient une attention complaisante a des manifestes inspirés des principes de l'Internationale, et qu'on prétendait avoir fait difficilement sortir d'Allemagne, tandis que les esprits défiants n'y voyaient qu'un article d'exportation teutonne. Le danger était que les travailleurs anglais, pris à cette glu, ne s'employassent que mollement à la production des armes de guerre et des munitions. Voulant hâter la conclusion de la paix, ils n'auraient fait que retardër l'heure où l'Allemagne sera mise à la raison, à supposer que leur défection n'eût point amené la défaite des Alliés, c'est-à-dire le triomphe de l'autocratie et de l'iniquité. Le cauchemar est dissipé. A Bristol, les dirigeants de l'In-dependent Labour Party ont fait assez triste figure. A la conférence de Londres, au mois de février dernier, on les avait pris trop au sérjeux. Ils n'ont, en réalité, derrière eux aucune force ouvrière. Au Congrès des Trade-Unions, ils se sont défendus d'être germanophiles, et tel était le courant de bon sens qui entraînait l'assem blée, qu'ils n'ont même pas sorti devant elle leurs paradoxes pacifistes, auxquels on ne peut entendre qu'à la condition d'oublier l'agression et les crimes de l'Allemagne. Au cours de sa troisième séance, le mercredi 8 septembre, le Congrès de Bristol a voté cette résolution : "Le Congrès, tout en maintenant, conformément à ses résolutions antérieures, son opposition à tous les systèmes militaristes, qui sont un obstacle au progrès humain, considère l'action présente de la Grande-Bretagne et de ses alliés comme absolument justifiée, et exprime son horreur pour les-atrocités commises par les autorités allemandes et autrichiennes, et pour les attentats brutaux et inutiles contre la vie des non-combattants, parmi lesque s des femmes et des enfants, et: se fait en conséquence un devoir d'aider U- gouvernement autant que possible à poursuivre victorieusement la guerre." Cette motion, claire et nette, a été adoptée à î'u-ianimité moins sept voix. Une rectificat on de voté a même ramené à six le nombre des opposants. Dans le Royaume-Uni, toutes les classes et tous les partis sont donc animés de la même volonté d'abattre fe militarisme prussien. Cette constatation de l'unité de la nation britannique et de sa ferme détermination de consentir tous les sacrifices qu'il faudra pour "aller jusqu'au bout" est d'importance considérable.Mais plus importante encore est la constatation du caractère que les Anglais prêtent à la Grande Guerre. C'est une lutte pour l'existence même de !a nation. Toute la situation économique des divers belligérants est en jeu. Mais c'est aussi la lutte de la démocratie contre l'autocratie, de la liberté contre le despotisme. Et pour la première fois dans l'histoire du monde, un ministre de premier plan, un dirigeant, dans toute l'acception du terni.,»,.-est venu se mettre directement en contact avec une assemblée ouvrière, et n'a pas dédaigné de lui fournir des explications, et même de se laisser, suivant la coutume anglaise, questionner après avoir parlé. Le discours qu'a prononcé Lîoyd George à Bristol "fera époque" plus encore que les résolutions du Congrès auxquelles, d'après lui, s'attache une telle importance historique. " Le gouvernement, a-t-il dit aux ouvriers qui l'écoutaient, pourrait être vaincu s'il n'avait pas tout votre concours; mais sans votre concours il ne saurait l'emporter." Lloyd George a dit ensuite franchement aux travailleurs, de Grande-Bretagne, ce qui peut leur être reproché : ils se sont fréquemment efforcés de restreindre la production des munitions de guerre, afin de maintenir le taux des salaires et les autres avantages conquis par leurs syndicats. Ils ont "brimé " les ouvriers et en particulier les Belges qui travaillaient trop vite. Ils ont lutté contre le travail' des femmes et la main-d'oeuvre non-qualifiée. " Or, a révéj^ 'e ministre des Munitions, nous avons construit ces dernières semaines, 16 usines; nous sommes en train d'en construire 11 autres. Nous aurons besoin encore de 80,000 ouvriers qualifiés, mais il nous en faudra aussi 200,000 autres. Et sans cela nous irons à un désastre." Mais si Lloyd George est venu demander aux ouvriers de comprendre que la lutte syndicale doit céder devant le cas de nécessité publiquequi presse la, nation, il a proclamé d'autre part que des devoirs correspondants s'imposent aux emploveurs. Sept cent quinze établissements produisant des munitions, c'est-à-dire pratiquement tous les étab'isse-ments de cette espèce, sont sous le contrôle de l'Etat. " Le gouvernement, a dit Llovd George, a nationalisé l'industrie. ("est du moins le plus grand pas qu'on ait fait dans cette voie. Le gouvernement a travaillé conformément aux vues trade-unionistes. Nous avons institué le service forcé pour les employeurs."Le tableau est peut-être bien un peu forcé. Mais il n'en reste pas moins que la possibilité de profits abusifs est restreinte dans une certaine mesure. Et les ouvriers sont invités à ne pas craindre que l'effort qu'ils voudraient donner et les sacrifices qu'ils s'imposeraient en faveur du pays, accroissent simplement les bénéfices du patron et de la classe possé.-dante.Lloyd George a également rappelé qu'après la guerre les anciennes conditions du travail seront restaurées, que les syndicats rentreront dans tous leurs droits, et que même en ce moment les tarifs de "rémunération à la pièce" ne seront pas réduits, et qu'à travail égal, doit être accordé salaire égal, même si le travail est effectué par une femme ou par un ouvrier, non qualifié. Le ministre a été cordialement ovationné et remercié après son discours. Ainsi, la classe ouvrière du Royaume-Uni "réalise" de plus en plus l'enjeu, l'importance et la signification de la grande guerre. Guillaume II ment et ordonne. Le gouvernement de George V délibère avec le peuple et lui expose les faits tels qu'ils sont. Le Congrès de Bristol est, en pleine guerre, un pas immense accompli dans le sens de la démocratie. Mes pauvres camarades qui êtes tombés sur les champs de bataille de notre pavs, ce n'est pas en vain que vous avez fait le sacrifice de votre vie. Comme voui l'espériez et l'annonciez quand vous avez quitté vos foyers, le Droit l'emportera sur la Force brutale, et c'est une humanité meilleure, plus fraternelle, plus juste et plus libre qui sortira du cataclysme où tout était, menacé de périr. EMILE ROYER, Péputé de Tournai-Ath. LETTRE DU VATICAN. Le Pape et la paix. (De notre correspondant.) Rome, Vatican, 5 septembre. Benoit XV ne cesse de renouveler ses ■ appels à la paix et toujours avec le même insuccès. A l'occasion du premier anniversaire de la guerre il s est adressé aux peuples belligérants et à leurs chefs déclarant qu'il bénissait "celui qui le premier élèvera le rameau d'olivier et tendra la main à l'ennemi, en lui offrant la paix dans des conditions raisonnables." Dans cet appel le Pape insiste pour que dorénavant les nations confient la solution de leurs divergences particulières, non plus au tranchant du glaive, "mais aux arguments de l'équité et de la justice, étudiés dans le calme et !a pondération convenables." Dans une lettre adressée plus tard au cardinal Ferrari, archevêque de Milan, le Pape précise sa pensée et il souhaite que les peuples puissent enfin comprendre la sollicitude maternelle de l'Eglise et qu'ils se confient à elle comme guide et Ciomme protectrice. Voilà pourquoi, s'inspirant de la charité du Christ, il a tant fait en faveur de la paix. _ Nous apprenons maintenant que ie cardinal Gibbons, archevêque de Baltimore, a fait une visite au président Wilson et l'a entretenu de projets de paix. On dit même que le cardinal a présenté à cet effet un message du Pape au président et après la visite il a déclaré que maintenant qu'entre les Etats-Unis et l'Allemagne il y a une certaine détente, on se trouve dans les conditions les plus favorables pour mettre fin au conflit européen et pour établir une entente entre le Royaume-Uni et l'Allemagne pour régler la question de la liberté des mers». En tout cela apparaît le plan de Benoît XV, qui a tout prix veut jouer un rôle dans la future conférence des nations belligérantes pour discuter la paix. Ses appels ont le tort de coïncider avec les essais d'ouvertures de paix qui arrivent depuis quelque temps d'Allemagne et loin de rendre sympathiques les propositions de paix du Pape, ces appels le font soupçonner de travailler pour l'Allemagne et d'accord avec elle. 11 y a là un premier motif pour accueillir avec méfiance les propositions pacifistes qui sont élaborées au Vatican. D'autres motifs corroborent encore ces soupçons. Actuellement encore toute la politique de la Secrétairerie d'Etat est inspirée par la pensée du succès final rie l'Allemagne, que, par conséquent, oi: ménage tant qu'on peut, usant à son égard de complaisances marquées, car on espère de la sorte obtenir du vainqueur présomptif des concessions poli1-tico-religieuses non sans quelque arrière-pensée au sujet de la réglementation de la question romaine. Les illusions du Vatican. Les Allemands entretiennent très habilement ces espérances, ou, pour mieux dire, ces illusions du Vatican, et parfois leurs journaux, depuis que l'Italie est en guerre avec l'Autriche, s'apitoyent sur le sort du Pape, et déclarent que sa situation est intolérable. Lorsqu'on entonne cette chanson, au Vatican on trouve toujours un auditoire bien disposé à -trouver la musique excellente et à la soutenir avec tous les violons dont dispose la politique pontificale. Un ecclésiastique romain, très bien placé pour juger la situation, me disait récemment : "Benoît XV croit encore qu'il pourra être le futur arbitre de la 111 m 1111111 im 11 m 11 m 11111111 m 11111 m 111 m m i zz j Petites Excursions j j pour tous à la | Campagne. ] j LA NOUVELLE j | FORÊT DE LONDRES. EE Le parc de Richmond est la Nouvelle Forêt zz EE de Londres. Il est éloigné de Hyde Park zz EE Corner de huit kilomètres, et chacune des zz Ez entrées, sur une circonférence d'environ 15 zz — kilomètres — Roehampton, Sheen, Rich- zz ~ mond, Petersham, Ham, Kingston, et 3^ EE Kincston Vale (Robin Hood)—est à proxi- EE ~ mité d'un des itinéraires des motor-bus =z ZZ. de la ville. Dope, le promeneur peut or- zz EE gani3er une excursion à volonté, à travers zz - les bosquets et les bois, sachant quà 3 ~ chaque destination il trouvera un motor- ^3 zz bus pour le ramener en ville. A toutes le s — — entrées se trouve un plan montrant com- Ez zz ment le roi Charles 1er transforma Sheen zz zz Waste et le terrain environnant pour en zz "zz faire une chasse au gros gibier. D'après le zz: zz plan, on peut organiser une promenade par zz zz Richmond Hill, Henry the Eighth's Mound, zz EE Kingston Vale et Wimbledon Common, ou zz Ez vers "Ham's embower'd walks." Les — EE teintes automnales couvrent les feuilles, les zz EE daims gracieux parcourent les fougères = ~ épaisses ou se désaltèrent au bord des lacs zz = Pen Ponds sur lesquels évoluent les canards zz zz et que caressent les oiseaux. Il est zz EE réconfortant de passer une heure au milieu zz EE de la nature dans cette forêt et d'y trouver zz zz le calme loin du tumulte de Londres. zz — seiwicls. ee EE 37 1 Isleworth et Peckham. EE = 37a j-Herne Hill et Teddington. = = 33 j Richmond et Liverpool Street. = EE Pour Roehampton, Shcen et zz EE Richmond Gates. zz ËË 105 |Ealing et Surbiton. El EE 105a I Ealing et Leatherhead (les = — dimanches seulement). — EE Pour Rjchmond, Petersham, ~ zz Ham et Kingston Gates. == = 85 Putney Bridge Station et EE — Kingston. = E: Pour Robin Hood et Kingston = — Gates. zz: j= 27 Higbgatc et Twickenham. = Ez Pour Richmond Gâte. EE j par | ÊÊ The London General Omnibus Co., Ltd., |E = Electric Railway House, = Broadway, Westminster, S.W. EE ^iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiniiiimmiiiHmiii^ paix, et il se prépare à ce rôle en parlant de paix à tout propos, ou parfois même hors de propos, et il ne s'aperçoit pas qu'il se rend impossible comme arbitre. Tout le monde souhaite la paix, fout . le monde serait heureux de mettre fin à la guerre, mais chacun désire une paix victorieuse. C'est donc inutile de faire des propositions de paix tant que la victoire est indécise, c'est imprudent de les réitérer au moment où cette paix no pourrait qu'être avantageuse aux empires centraux qui pourraient aussi, la désirer.parce qu'ils se sentent épuisés et que, dans quelques mois, la paix sanctionnerait leur désastre "En Italie, à l'heure qu'il est, personne ne veut entendre parler d'une paix pareille. Il ne pourra en être question que ie jour où les provinces "irredente" nous seront revenues, le jour où l'Italie ne sera plus une maison avec portes ouvertes mais aura ses frontières naturelles qui la défendront contre l'invasion. Justice avant tout ! Ce que pensent les Italiens, les Alliés de la Quadruple-Entente le pensent de même, chacun a des droits lésés à revendiquer. Le Pape pourra continuer à clamer en faveur de la paix, personne ne l'écoutera si justice n'est pas faite, et cette justice on ne l'obtiendra que par les armes ère infligeant la punition méritée aux auteurs des crimes, en les obligeant à réparation et en les rendant impuissants pour l'avenir. Quant au rôle d'arbitre que le Pape voudrait jouer, Benoît XV oublie que nous ne sommes plus à l'époque où Alexandre VI remaniait la carte d'Amérique et d'un trait de plume indiquait à chacun ses frontières. Il est peu probable que certaines nations voudraient accepter l'arbitrage papal si instamment offert, car à tort ou à raison on n'a pas une confiance absolue en l'impartialité de celui qui devrait prononcer la sentence arbitrale. Les journaux italiens sont unanimes à repousser une intervention quelconque du Pape dans le conflit européen, car, disent-ils, la Papauté ne peut avoir au- S6ème année. m No. 217

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