L'indépendance belge

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31 januari 1917
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s.n. 1917, 31 Januari. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/bn9x05z982/
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SSèrae arasée NO 27 L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI s ONE PENNY n w?w éh ic* em XSIjIV bs&m CONTINENT: 16 CENTIMES CHOLLUtNDE : S CENTS) ADMINISTRATION ET REDACTION: il» PLACE DE LÀ BOURSE km CDODîîfll Ol IA klUICD 1017 fi MATS $ RPTTT.iT.TNGS * TTOOR HOUSE, TUDOR ST.. LONDON. E.CL BUBEAU A ]PARIS- MERCREDI 3t JANVIER 1917, ABONNEMENTS MOIS*. 17 SHILLINGS. 1 CONSERV4TIOS PAR LE PROGRÈS TELEPHONE: CITY 3960. TELEPH : j §33^75, En vente à Londres à 3 h. le mardi 30 janv. (1 an. 32 shillings. J LA SITUATION. Mardi, midi. Le succès russe dans la région de Ja-eobeny (frontière de Bukovine), est doublement intéressant puisqu'il a permis à nos Alliés de faire plus de mille prisonniers, dont trente officiers, d'occuper des positions stratégiques importantes et de refouler l'ennemi dans la direction de la vallée de la Bistritza. En réalité, ce combat constitue la suite des opérations qui étaient en voie d'exécution dans les Carpathes au moment de l'intervention roumaine et qui furent in-lerrompues par le développement inattendu des événements à la frontière transylvaine et moldave. Elles sont le corollaire des succès précédents obtenus par les Russes dans la région de Kirli-baba et font partie du plan d'attaque dont les plaines de Hongrie sont l'objectif.Les prisonniers faits par nos Alliés étaient, nous dit-on, mal vêtus, et souffraient visiblement de la rigueur de la température. Si ces renseignements •ont exacts, le manque de matières textiles et de cuir doit se faire sentir sérieusement, car on sait que, quelles que soient leurs difficultés économiques, les Empires Centraux n'ont, jusqu'à présent, laissé manquer l'armée de rien. Mais il faut se garder de tirer des conclusions hâtives de faits isolés. Sur le front occidental, les troupes britanniques, exécutant un raid au nord-est d'Armentières, parvinrent à pénétrer jusque dans la troisième ligne allemande où elles détruisirent les abris ennemis, dont les occupants furent tués à coups de grenades. Un raid analogue fut exécuté dans la région de Vermelles. Le bombardement sur le front britannique de la Somme et dans le secteur d'Ypjas a atteint une grande intensité, Du côte français les engagements f.ntre patrouilles se multiplient. Les derniers communiqués en signalent en Champagne, aux Eparges et en Alsace, ainsi que des combats d'artillerie sur la Meuse et en Lorraine. Les rédacteurs des communiqués ennemis ont une tendance à exagérer ces r-ngagements et ils s'efforcent de calmer les inquiétudes du public en lui faisant >roire que les tentatives des Alliés ioat invariablement repoussées. Le malheur pouf les Allemands est que sur tous les fronts indistinctement, il se trouve en face du même danger. l'échéance fatale approche. Les troupes britanniques en Mésopotamie ont encore progressé dans la direction de Kut-el-Amara. Le dernier communiqué du War Office annonce que les troisième et quatrième lignes turques ont été percées sur un front de 600 mètres et que l'ennemi a laissé près de mille morts sur le terrain. Les troupes britanniques ont fait une centaine de prisonniers et capturé un canon, une mitrailleuse, trois mortiers de tranchées et d'autre matériel. Les sous-marins allemands sont responsables de la perte de six vapeurs d'un tonnage total de 17,000 tonnes dont les plus importants sont le " Matheran," britannique (7,654 tonnes), et 1 "Egret," russe (3,185 tonnes). Les Allemands annoncent qu'en réponse à l'extension du champ de mines dans la Mer du Nord, ils vont "renforcer" le blocus des côtes britanniques! Le coursier allemand qui opère dans l'Atlantique est dépeint par les marins américains faits prisonniers et relâchés comme un croiseur de 12,000 tonnes, baptisé "Môevve," comme son prédécesseur, et qu'il est si habilement "camouflé" querien, absolument, ne le distingue d'un navire marchand ordinaire. Cette illusion est encore complétée par le fait que ie "Moexve" navigue parfois à la voile et aborde généralement les navires qu'il se propose d'attaquer en feignant de se trouver en détresse. Une nouvelle conférence inter-alliée a lieu ces jours-ci à Pétrograd "en vue d'assurer, par voie d'accor.d mutuel, les méthodes les plus énergiques pour la continuation de la guerre et pour ^'utilisation, de la manière la plus efficace, de toutes les ressources des Alliés.", Cette conférence, a laquelle assisteront des délégués britanniques, français et italiens, devait avoir lieu en décembre mais les remaniements ministériels en France et en Grande-Bretagne en ont retardé alors la réunion. En Grèce, la détente se poursuit. Les vénizélistes ont été remis en liberté, le transfert de l'artillerie dans le Pélopo-nèse continue, le général Callaris, commandant le premier corps d'armée, a été mis à la retraité, et lundi après-midi a eu lieu au Zappeion, en présence des ministres alliés, des membres du gouvernement d'Athènes et du nouveau commandant du premier corps d'armée, la cérémonie du salut des drapeaux alliés. D'autre part, le gouvernement grec a informé les ministres alliés que les ligues de réservistes ont été dissoutes et que les armes détenues par elles ont été remises aux autorités militaires. EN AFRIQUE DU SUD. (De notre, correspondant.') Le Gouvernement et 1' "Unionist Party." Décembre 1916. Tous ceux qui suivent avec un intérêt atriotique la politique sud-africaine au-.■"jrnt eu plaisir à lire les discours du général Botha dans la province de Natal, en fin novembre dernier. On se rappelle que de récents incidents, entre autres une réédition de l'irritante querelle qu'entretient si malheureusement le " racialism " et aussi les regrettables récriminations soulevées par l'infériorité de paye de 1' "oversea contingent," avaient jeté un certain trouble dans les esprits et fait craindre, pour la ventrée du Parlement, en fin janvier prochain, une série de difficultés menaçantes pour la stabilité du présent ministère. Le ton conciliant des allocutions du premier ministre, ses allusions flatteuses au patriotisme des "unioniste" et au précieux soutien qu'ils ont prêté à sa politique de coopération avec la Grande-Bretagne et ses Alliés, paraissent être autant d'indices à peu près certains de la bonne entente qui s'est rétablie entre les deux grands partis de l'Afrique du Sud le South African Party et l'Unio-nist Party, et il est en conséquence permis d'envisager, sans trop d'appréhension, les prochains débats parlement-aires. Certes, cela ne veut pas dire que le gouvernement ne soit exposé à être l'objet de critiques, même sévères, mais il y a Heu maintenant d'espérer qu'elles n'aboutiront pas à la crise ministérielle qu'on avait quelque raison de redouter. Un discours du général Botha. C'est dans un discours praueneé à îVclkrust (provincei d-e Natal), le 23 no--"vc-iubre.. ym le. général Eo-tlia. rfans uil esprit d'apaisement, a formulé, à l'honneur dee "Unionists," de® appréciations dont je viens du signaler les effets rassurants. Il a rendu un très chaleureux hommage aux services que le leader des "Unionists," Sir Thomas Smtartfc, et son parti ont rendus au gouvernement. Il a rappelé que, dès le début de la guerre, Sir Thomas a promis de lui donner son concours pour toutes mesures pouvant aider aux fins victorieuses du conflit, qui se déroute sur tes champs de bataille d'Europe, d'Asie et d'Afrique, et il a ajouté qu'il avait très loyalement tenu parole,—cela, en dépit des critiques que cette attitude pouvait quelquefois soulever dans certains milieux. * "Il est faux, a-t-il hautement déclaré, que le co-nccturs des "Unioiiists" nous ait été acquis au prix d'un marché." Et il a remarqué que, sans doute, il différait complèt'emetnt avec eux sur bien des points de politique intérieure, mais que néanmoins il considérait comme un devoir de reconnaître publiquement le tact et la dignité dont ils «nt fait preuve. Sir Thomas Smartt. Il est à noter que les paroles élogieu-seB et conciliantes du général Botha ont suivi de près le retour de Sir Thomas d'ans l'Afrique diu Sud, et cette circonstance peut autoriser à penser que l'influence du distingué leader de 1' "Unionist Party" n'est pas absolument étrangère à l'acêord patriotique, qui sembte s'être de nouveau affirmé entre les deux partis dirigeant® de ce pays. Sir Thomas a passé quelques moi3 en Europe. Ii a visité le front des Flandres, s'est entretenu avec quelques-uns des hommes politiques les plus eu vue de la Grande-Bretagne et des pays alliés, et s'est ainsi tendu un ccmcte ausii aiaet que possible de la situation. Ses impressions, livrées au public, reflètent une grande admiration pour la vaillance des troupes alliées, fine confiance entière dans le triomphe final, mais elles nous révèlent en même temps, ou plutôt noua confirment dans cette idée, que la victoire ne peut être obtenue qu'au prix d'efforts soutenus. Consentir à de nouveaux sacrifices, si durs, si cruels soient-ils, est, a-t-il laissé entendre, l'impérieuse nécessité qui s'impose à tous les patriotes. Etant donné la haute autorité dont jouit ici sir Thomas, son grand pouvoir de persuasion, nous croyons qu'il n'aura pas eu beaucoup do peine à pénétrer de cette conviction ses atnis politiques et les hommes du gouvernement, à leur démontrer combien il importe de rester unis et d'éviter ainsi les graves embarras que pourrait causer à la Grande-Bretagne une nouvelle crise politique sud-africaine.La mort du président Stevn. Le président Steyn, ancien président de la République d'Orange, est mort à Bloemfontein, le 28 novembre, dans les circonstances les plus tragiques. Il avait été convoqué à une réunion de l'Association des Femmes de la Province, et était en train de leur adresser la parole, quanti on le vit tout à coup porter la main à son front puis tomber comme une masse. Il ne devait plus se relever. L'événement a causé à Bloemfontein et dans tous les milieux dutcli une émotion considérable. Le président Steyn — comme on continuait à l'appeler par déférence pour sa personne et en souvenir de la position qu'il avait si honorablement occupée à la tète du gouvernement, de la République d'Orange — jouissait parmi les Dutch, en particulier parmi ceux de la vieille génération, d'une popularité que peu de Sud-Africains, ont <Valée. Bien que son état de santé, très éprouvé par les dures fatigues de la guerre anglo-boer, l'ait retenu loin des affaires publiques, sa grande expérience, sa profonde clairvoyance et l'intérêt patriotique qu'il portait à l'avenir du pays donnaient à ses avis une autorité presque sans parallèle, et ses amis du parti dutch se faisaient un devoir de le consulter et de faire appel à son influence dans les circonstances les plus difficiles. Il a joué un rôle très important dans les débats de la Convention, chargée d'élaborer le projet de constitution de. l'Union de l'Afrique du Sud. "Il avait, nous dit Sir Edgar Walton, l'un des délégués à cette Assemblée, des suggestions toujours prêtes et dictées par lé plus grand bon sens, et bien qu'il ne cachât pas que ses sympathies étaient de préférence tout acquises à l'élément dutch, il reconnaissait pleinement les droits de la section .anglaise da la communauté, et déclarait que l'accord ne pouvait régner dans l'Afrique du Sud qu'à la condition d'une bonne volonté et d'un respect mutuels."On lui a reproché de n'avoir pas répondu aux instances du général Botha te priant d'intervenir et de détourner ses amis de la rébellion. H est bien difficile, à l'heure actuelle, quand les haines ne sont pas encore apaisées, quand la vérité sur ces tristes événements n'est pas complètement connue, de juger avec sévérité la réserve observée en la circonstance par le président Steyn. Il a pu être mal guidé, être imparfaitement éclairé sur les vraies causes de la crise, mais ce que ses adversaires sont d'accord à reconnaître c'est que son attitude n'a été inspirée que par une honnêteté d'intention devant laquelle il faut s'incliner. Le Président aura des funérailles nationales. Elles auront lieu demain, le 4 courant. Au nombre de3 orateurs qui prononceront son oraison funèbre figurent le générai Botha et le général Hert-zog. C'est .assez dire en quelle haute estime était tenu le président Steyn par les Dutch les plus éminents de tous les partis. Dingaau's Day. Je ne sais si beaucoup de vos lecteurs se doutent de ce qu'il faut entendre par Dingaan's Day. Combien peu, en effet, doivent avoir eu le loisir d'étudier toutes les phases de cette longue lutte, qui a fini par assurer aux Européens, Hollandais et Britons, leur établissement .permanent sur les territoires sud-africains! Le 16 décembre 1838 est cependant l'une des grandes dates de l'histoire de ce pays, c'est la date d'une bataille dont te nom seul indique le caractère acharné et sanglant, la bataille de "Blood River," ou de Fleuve de Sang, qui se termina par le triomphe des vaillants pionniers de la civilisation sur les hordes barbares du fameux roi des Zoulous, Dingaan. Peut-être est-il utile de rappeler en cuielaacs mots pourquoi les Boeïs eont, à bon droit, si fiers de cette glorieuse victoire de Leurs ancêtres et pourquoi la célébration de son anniversaire est devenue l'une des plus grandes fêtes de l'Union de l'Afrique du Sud. Un roi nègre Sa mauvaise foi et ses crimes. En octobre 1837, Piet Retief, un des leaders boers les plus respectés, avait une entrevue amicale avec Dingaan et obtenait la cession de territoires dans le Natal sous la condition de lui faire restituer 700 têtes de bétail dérobées par un autre chef indigène, nommé Sikon-yela.En février 1838, Piet Retief, accompagné de 66 Européens et de 40 serviteurs hottentots, revenait au camp de Dingaan, lui rendait le bétail volé et recevait en échange un document en bonne forme régularisant la cession des territoires du Natal. Le chef Zoulou n'avait malheureusement qu'une idée: se soustraire à ses obligations en supprimant tout simplement ceux auxquels il les avait consenties. Sous prétexte de célébrer l'accord intervenu, il invitait Piet Retief et ses compagnons à des fêtes royales, les attirait sans armes autour de sa hutte et là les faisait traîtreusement assommer à coups de matraque. Sa barbarie ne devait, hélas ! pas s'en tenir à ce premier crime. Le même jour, il envahissait le Natal et, le 17 février, un nouveau et plus terrible massacre avait lieu à Weeneh. Les victimes étaient au nombre de 532, dont 282 Européens et 250 serviteurs indigènes. Parmi tes blancs il y avait 185 enfants et 56 femmes. On comprend qu'une telle sauvagerie ne pouvait rester impunie. Une prompte répression fut décidée et, en avril 1838, trois expéditions étaient dirigées contre Dingaan. Elles échouèrent. Andries Pretorius. C'est à l'expédition commandée cil décembre 1838 pat le général Andries Pra torius que revient l'honneur d'avoir mis fin à la puissance de Dingaan et au régime de terreur qu'il avait établi dans le Natal. Le 16 décembre, une colonne de 600 Boers, tous cavaliers accomplis et tireurs d'élite, tous inspirés par la justice de leur mission et pénétrés de la foi des anciens Israélites et des Ironsides de Crom-well, se préparait au combat au chant des psaumes, invoquant par la prière 1e Dieu des armées, faisant le vœu de remercier de la victoire par un temple élevé à son grand nom et de perpétuer par écrit le souvenir de sa divine assistance.Que l'on fasse la part que l'on voudra à l'intervention de la Providence, à l'habileté tactique des Boers, à la supériorité de leur armement, reste ce fait dans tout son éclat qu'une poignée de cavaliers réussit à mettre en fuite, et sans perdre un seul homme, une -armée d'environ 12,000 noirs. Trois mille Zulus périrent dans la lutte. Leurs cadavres, rapportent les historiens, gisaient- pressés sur les bords de la rivière traversant le ohamp de bataille et l'eau coulait rouge de sang, d'où le nom de "Blood •River." Les Européens comptaient seulement quelques blessés dont 1e général l'ietorins. Les Boers ont religieusement rempli leur vœu. Un temple commémoratif a été élevé à Pietermaritzburg, aujourd'hui la capitale de la province de Natal et, périodiquement, à la date du 16 décembre, l'es descendants de ceux qui étaient à Blood River célèbrent, eu grande pompe, par des prières, des services divins et des discours, la grande victoire de leurs ancêtres. C'était à l'origine la grande fête national© des Afri-kanders. C'est maintenant une des fêtes offi« .elles de l'Union sud-africaine. Dingaan's Day en 1916.—Attitude des Nationalistes. L'anniversaire dië la bataille de Blocd River a été célébré cette année-ci, le 4 décembre, avec un éclat inaccoutumé. Les deux grands centres de réunion, l'un a Pardekraal (Transvaal), sens l'organisation du South African Party, l'autre à Senekal (Orange Free State), sous celle des Nationalistes, avaient attiré des foutes considérables. Il e-t difficile d'avoir des chiffres exacts, mais on estime généralement à 30,000 ou 4G,000 le nombre de ceux qui ont pri-; part aux fêtes dans chaque endroit. Le- cérémonies ont conservé partout un caractère presque exclusivement religieuxIl est intéressant de signaler l'excellent esprit qui a inspiré les chefs du South African Party ou des Nationalistes dans leurs discours à cette occasion. Les questions de politique de parti ont été d'un commun accord soigneusement exclues. A Pardekraal, le principal orateur, le général Bctlia, a «la nouveau Contes de Nourrice pour les temps actuels. No 4 Voici ie chant des accidents, L'entendez-vous, chers imprudents, H dit à tous, garçons et filles, Rentres, rentrez dans vos familles, Dans les rues ne jouez pas, Sinon gare à l'affreux trépas Avant qu'il ne fasse trop noir. Rentrez et méfiez-vous du soit'. I! n'est guère prudent, de jouer dans les rues. Le terrain des jeux publics est l'endroit tout indiqué. S'il n'existe pas de terrain de jeux, choisissez uns rue déserte ou une impasse où n'existe pas de passage pour les automobiles ou le charroi. The London General Omnibus Co0 Ltd,, Electric Railway Honse, Broadway, Westminster, S.Vf, imi!llillilllllilllllHlllillillilli)ll!lllillllllllllllHllllilii prêché la bonne entente et la confiance réciproques. A Senekal, c'est la même note conciliante qui domine les harangues — et ceci est à retenir à l'éloge des Nationalistes, réputés pour une intransigeance se manifestant d'habitude à tout propos et hors de propos. Pour une fois ils onu adopté une attitude des plus calmes et des moins agressives vis-à-vis de leurs adversaires du South African Party. Ainsi, l'un des orateurs, le Révérend M. Pienaar^ s'est empressé de déclarer qu'il n'avait -jamais été dans les intentions des organisateurs de la réunion de lui donner un caractère politique, "et cela est si vrai, a-t-il ajouté, que le comité avait invité à la cérémonie trois des membres dtt ministère qui, malheureusement, n'ont pu accepter." Un autre orateur et leader nationaliste bien connu, le Dr Malan, directeur de l'organe dutch "De Burger," a parlé à peu près dans le même sens que le général Botha à Pardekraal et a développé, entre autres, cette idée que "l'amour de la liberté, de la justice et de la concorde étaient des conditions nécessaires à l'avenir du pays." En terminant, le Dr Malan a exprimé "le regret que les Afrikanders fussent aujourd'hui politiquement divisés et émis le souhait qu'ils soient bientôt réunis dans une oomplète harmonie." Ces paroles ont été beaucoup rem-arquées. II y a quelques semaines, aux funérailles du président Steyn, te général Hertzog prenait place aux côtés du général Botha et lui serrait la main; il y a trois jours un de ses plus zélés partisans se faisait l'écho du ton conciliant du premier ministre. Sont-ce là de banales marques de courtoisie ©t de vagues formules sans portée arrêtée, ou bien faut-il y voir 1e signe d'un prochain rapprochement entre les deux partis dutch ? Tous ceux qui ont véritablement à cœur la prospérité efc les progrès de l'Afrique d : Sud désirent vivement pouvoir leur ddnrer cotte dernière interprétation. LYDIUS.

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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