Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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27 februari 1915
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s.n. 1915, 27 Februari. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 16 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/fn10p0xp94/
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ANVERS, Samedi 27 Février 1915 £?5&.v \ 0 ' A Cinquante-septième Année - No 17.245 »* . \ r. - \ .'vaiS'ÉTlONT j & RÉDACTION : e'44, lÉK VLEMINCKX, 14 ANVERS Téléphone : 3761 LLOYD ANVERSOIS Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne. Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.— Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Astronomie 28 février Lever du soleil 6 h. 31 m. matin — (, 6-3i ^ Coucher du soleil .... 5 „ 20 „ soir — ( 17.20) Lever de la lune 3 „ 56 „ soir = (15 56 Coucher de la lune 6 „ — „ matin ~ Pleine lune le 1 mars .... 6 .. 33 „ soir = (18-3- Dernier quartier le 8 mars . \2 . 28 „ soir -- yA'.J < Nouvelle lune le 15 mars . . 7 „ 42 „ soir Premier quartier le 23 mars. . 10 „ 48 „ soir — \ ' Haute marée à Anvers Matin So,r 28 févr 2 h. 33 m. = ( 2 h. 33) I 2 '' g 1 mars 3 h. 16 m. = ( 3 h. 15) 3 h. 35 m. [15 h. 35) 2 mars 3 h. 53 m. =( 3 h 53I I 4 h. 11 m. —-,lo h. 11) Hauteur du Rhin Cologne 25 fév. 2.85 m Strasbourg 25 fév. —m Huningen .. - » Lamerbourg „ Kehl .. - •• Maxau „ Mannheim 3.05,. Germersheur „ -, ^aub 2.26 „ Mayence .. 1.10 „ Kuhrort — « Birnren „ 2.— „ Duisbourg 2 12 .. Coblence .. 2.73 „ Wald-.hiït — .. Dusseldorf „ 2 62 .. Lobith 11-10 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 25 fév. 2.39 m. Heilbronn 25 fév. 1.10 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 25 fév. 1.50 m Constance 25 fév. — m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 26 FEVRIER àteanieï' Vvilkord iv, de Tamise. » Union V, de Bruxelles. ■ » Telegraai" IV, de lu Hollande 1 Bateau-rupteur Eclair IV, de Bruxelles f » Mélanje, de Bruxelles. Allège Emma, d'Austruweel. » adiîline, de Merxem. » MorgenSter, de Merxem. xMarie-TuErèse, de Malines. » Grainvvorks IV, de Turnhout. » Angelina-Julia, de Flémalle. » Envieux, de Liège. » Lamorimère, de Liège. »> Marie-Hendrika, de la Hollande. »> Bayern 15, de l'Allemagne. DEPARTS DU 26 FEVRIER Steamer Union 111, pour Bruxelles. » Union v, pour Bruxelles. » Union VI, pour la Hollande. » Telegraai H, pour la Hollande. Allège STANISLAS, pour Calloo. » Ll; Rossignol, pour Merxem. » L'Ami du Commerce, pour Merxem. » Aline, pour Baesrode. » St-Antonitjs, pour Wiatham. » gladiateur, pour Looybroeck. » Philémon, pour Looybroeck. » Victor, pour Moll. » Jne Irma, pour St. Amands. » Eugène-Edouard, pour Liège. » anna, pour Liège. » Surprise, pour Liège. » Train Bloc, pour Liège. » Gabrielle, pour Liège. » Zeester, pour la Hollande. » De drie gebroeders, pour la Hollande. » Tvvee Gezusïers, pour la Hollande. » Doktor Falk, pour l'Allemagne. AVIS Steamer MABEL RICKMERS actuellement à Hambourg Les chargeurs sont Informés que toute la cargaison de ce steamer sera déchargée à Hambourg. Ils soin priés de se présenter dans nos bureaux, pour s'entendre concernant lu réception des marchandises.Siebert & Co, Les agents de la Rickmers Linie, AVIS AUX CHARGEURS Nous avons l'honneur de porter à la connaissance <ie MM. les chargeurs qu'à partir de lundi prochain, ;■ murs, nos steamers iEl.EujKAAF, de la ligne Anvers-Rotterdam, AMSTEL, de la ligne Anvers-Amsterdam, chargeront au quai dordaens, Hangar 23. Les agents, Kuys & Co. VILLE D'ANVERb Centimes aauitioïmeis communaux a la taxe sur ie& ievëiius ei pruiits rueiS réalises uans Ues Suoieieb par ucuoiià. î^iquete de Goniinodo et iiicoimnouo. — Le CoMege ues .bourgmestre et Lcneviiiis u ueciue ue suiicitei au uonseii communal ie renouiv eiienient ue 1 autorisation ue percevoir, pour ie tenue u un un, les ro centimes auuitionneis u au tuxe ue d ntut sur les revenus et profits reeis, upprouves par Arrêté Ko y ai au iz mai 1914. Le uofiege invite les interesses a lui l'aire connaître les objections qu'us pourraient avoir a présenter. Us devront s'adresser à cette fin au Service des taxes communales (bureaux ; Maison des Tonneliers, Grand' Place, 5,} où leurs réclamations seront consignées dans un procès-verbal signe par le déclarant qui devra fournir la preuve de son identité.L'enquête prescrite est ouverte à dater de ce jomet sera clôturée le samedi 27 courant. Anvers, le 23 février 1915. Au nom du Collège des Bourgmestre et Echevins. Par. ordonnance : Le secrétaire, Le bourgmestre, (s.) Hubert Melis. (s.) J. De Vos. Service de ravitaillement Le bourgmestre porte à la connaissance de ses concitoyens, qu'à partir de lundi, lr mars, on pourra se procurer dans le magasin, rue de la Fortune, à cote du magasin central de la ville, tous les jours ouvrables de 9 à 12 et de 2 à 6 heures (heure de la tour) : 1° De la choucroute, moyennant 45 centimes le kilogramme ; 2° Du hareng salé, au prix de 11 centimes pièce, par quantité minimum de 10 pièces. Anvers le 26 février 1915. Le bourgmestre, Jan De Vos. Conseil Communal d'Anvers Ordre du jour supplémentaire de la séance publique du lundi lr mars, à 4 heures (heure de la tour): 5. — Hôpitaux civils. Asile pour aliénés, Maternité et Institut Joostens à Brecht. Prix de la journée d'entretien en 1915. ARRÊTÉS concernant la mise sous séquestre d'entreprises Art. lv. — Le Commissaire Général pour les Banques en Belgique pourra, avec mon approbation et pour compte des intéressés, confier à l'administration d'un séquestre les entreprises. 1° dont les directeurs ou surveillants se trouvent en pays ennemi, ou 2° dans lesquelles des ressortissants de pays ennemis sont intéressés pour au moins un tiers au point de vue du capital, des recettes ou de la direction, ou 3° dont des parties importantes sont exploitées dans des pays ennemis, ou 4° dont le maintien en exploitation ou la remise en exploitation présentent un intérêt public pour l'Empire ailJ.emand ou les parties occupées de la Belgique, ou 5° dont l'exploitation est contraire ou de nature ù porter atteinte aux intérêts de l'Empire allemand. Les succursales, les agences, les dépôts de marchandises ainsi que les immeubles sont assimilés aux entreprises définies ci-dessus. Les prescriptions, ci-dessus devront être appliquées quand même des ressortissants de pays non ennemis auraient été interposés pour dissimuler la participation. Les Cllaiigcuiemi» t^uj. iiruci \ iciiux-aiciiu ajjieù la. ^u- hlicutioii uu présent arrête dans la direction ou dans la participation au capital, aux recettes ou a ia direction d'une entreprise n'excluent pas la mise eu application du present arrêté. Art. 2. — Lorsque dans une entreprise se présentent des faits de nature à faire supposer l'existence ue l'une uu ue l'autre des conditions prévues par l'article lr, le Commissaire Général pour les Banques a le droit ue prenure inspection des livres et écrits et ue s'adresser aux adniinistratéurs, aux propriétaires et aux employés ue cette entreprise ainsi qu'à toutes les personnes qui sont à même de fournir des informations sur l'entreprise, pour exiger d'eux des renseignements sur la situation des affaires.11 peut dans chaque cas particulier déléguer à ses commissaires l'exercice de ce droit. Art. 3.'— Les séquestres sont nommés et rappelés par le Commissaire Général pour les Banques. Tous les droits conférés au séquestre s'éteignent du moment de son rappel. Les raisons sociales des entreprises mises sous séquestre ainsi que les noms des séquestres doivent être publiés au Bulletin officiel' des Lois et Arrêtés pour le territoire belge occupé. Art. 4. — Le séquestre aura à se mettre en possession de l'entreprise. Lui seul est autorisé à agir uu nom de l'entreprise et à disposer de toutes les parties de l'actif. Pendant la durée de la mise sous séquestre, les droits du ou des propriétaires de l'entreprise et de toutes les autres personnes ou mandataires généralement quelconques de contracter des engagements au nom de l'entreprise resteront suspendus. Cette mesure s'applique aussi tout spécialement aux assemblées générales, aux conseils d'administration et autres organes des sociétés anonymes. Pour se faire assister dans leurs fonctions les séquestres pourront, avec l'approbation du Commissaire Général pour les Banques, déléguer certains de leurs pouvoirs à d'autres personnes, notamment à des employés de l'entreprise. Les employés des entreprises dont il s'agit ont à fournir au séquestre tous les renseignements nécessaires et à lui remettre tous les livres, écrits, clefs, marchandises et autres valeurs de l'entreprise et à remplir leur besogne selon les instructions du séquestre.Art. 5. — Le séquestre peut continuel' l'entreprise dans son entièreté ou en partie seulement. Il peut se borner aussi à la liquidation des affaires courantes. Art. 6. — L'entreprise" doit supporter tous les frais occasionnés par la mise sous séquestre, y compris les honoraires du séquestre tels qu'ils seront fixés par le Commissaire Général pour les Banques. Ces frais et honoraires constituent des créances privilégiées.Art. 7. — Le séquestre n'est responsable de sa gestion que vis-à-vis du Gouverneur Général. Art. s. — Je confère au Commissaire Général pour les Banques le droit de décréter toutes les mesures destinées à assurer l'exécution du présent arrêté, et notamment le placement des bénéfices pour compte des ayants-droit. Art. 9. — Toute infraction aux dispositions du présent arrêté sera punie d'une amende maxima de 100.000 francs pour chaque cas et d'un emprissonne-inent d'un an au maximum, ou d'une de ces peines seulement. La tentative est punissable. Les tribunaux militaires sont seuls compétents pour connaître des infractions au présent arrêté. Art. 10. — Cet arrêté entre en vigueur à partir d'aujourd'hui. Bruxelles, le 17 février 1915. Le Gouverneur Général en Belgique, Baron von Bissing Colonel-Général. L'arrêté du Roi des Belges du 3 août 1914, concernant le retrait de fonds sur les dépôts en banque, reste en vigueur jusqu'au 31 mars 1915 avec la restriction qu'il a subie par suite de l'arrêté du Roi des Belges du G août 1914 et avec l'extension qui lui a é.é donnée par l'arrêté du 23 septembre 1914 (n° 4 du Bulletin officiel des Lois et Arrêtés pour le territoire belge occupé). Bruxelles, le 20 février 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing. Colonel-Général. ' Les délais pendant lesquels doivent être faits les protêts et autres ac.es conservant les recours, délais prorogés jusqu'au 28 février 1915 par l'arrêté du 20 janvier 1915 (N° 35 du Bulletin officiel des Lois et Arrêtes pour le territoire belge occupé), sont prorogés a nouveau par le présent arrêté jusqu'au 31 mars 1915. Bruxelles, le 20 février 1915 Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing, Colonel-Général. concernant la garde-civique de Bruxelles Quiconque ayant fait partie de la garde-civique, . rentré de l'étranger à Bruxelles et agglomération, ne sera pas traité connue prisonnier de guerre, mais pourra y résider en toute liberté, s'il souscrit à l'obligation de ne plus prendre les armes contre l'Allemagne -.p en d'an i cette guerre, ni entreprendre aucun acte -nostile, à la cause allemande. Bruxelles, le 19 février 1915. Le Gouverneur de Bruxelles, Baron von Kraewel, Général-Major. Achat de coupons de la dette belge La Banque Nationale de Belgique, mue par le souci de venir en aide à la petite épargne, si cruellement atteinte par la durée de la guerre, et afin de protéger les petits porteurs d'obligations de la Dette belge, vient de décider d'acheter, à partir du lr mars prochain, les coupons échus, savoir : Dette Belge 2 1/2%, le coupon" du lr janvier 1915. Dette Belge, 3 %, ire série, le coupon du lr janvier 1915. Dette Belge, 3 % 2e série, le coupon du lr novembre 1914. Dette Belge, 3 % 3e série, le coupon du 1 février 1915. Les coupons des échéances antérieures ne peuvent être achetés. L'achat des coupons se fera aux conditions suivantes : 1. La Banque Nationale n'achètera à une même personne que frs 100 maximum de coupons par mois. 2. 11 sera prélevé sur ces opérations une commission fixe de 10 centimes par opération.. Service postal 1° Participeront au transport des lettres à l'intérieur de la Belgique, les localités suivantes : a) Bilsen et Munster-Bilsen, desservies par Ton-gres ; b) Baesel, Burght, Cruybeke, Melsele, Rupelmonde, steendorp et Tamise, desservies par Anvers I. 2" A Lennick-Saint-Quentin, localité faisant partie du rayon de distribution du bureau de poste du district Bruxelles I, le bureau de poste allemand a été ouvert pour le service de la population belge. Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Il résulte d'un acte sous seing privé en date du 12 février 1915; que la procuration générale donnée, les 19 juillet 1910 et 25 février 1914, par la Société en nom collectif « Steen Frères & Co », à Anvers, à Mr Antoine Van den Bergh, a cessé de produire ses effets. Composition de Conseil d'administration et de Commissaires. — Société anonyme « Clinique de l'Espérance », à Anvers. Conseil d'administration : MM. Paul Wauters, inspecteur au ministère, à Bruxelles ; Mlle Alice Joostens, particulière, à Anvers ; Mr Louis Van de Put, agent, d'affaires, à Anvers; Mme Ernest Grisai', particulière, à Anvers ; Mme Auguste Mommaers, sans profession, à Anvers, et M. Xavier Montens, directeur d'assurances, à Anvers. Commissaires : MM. Léon Keusters, agent, d'affaires, à Anvers, et le baron Alfred Osy, particulier, à Anvers. Bilan au 31 octobre 1914. Réélections. — Composition collèges d'administrateurs et de Commissaires. — Bilan. — Société anonyme « Esperanza », à Anvers. MM. Wilhelm von Mallinckrodt, Louis Van de Put, Cari Schuchard, administrateurs, et Jules Stappers, commissaire,sont j ans et 1 an. Mr Louis Laddyn, est eiu commissaire pour le terme d'un an pour remplacer M1' lied, jucoos, pere, décède. Le conseil d'administration se compose actuellement ue : MM. Alfred Schucnard, négociant, a Anvers, président ; Heinrich Fuhrinann, négociant, u Anv ers ; vvLLnelni von Mulliuckrodt, négociant, a Anvers ; Richard Rnodius, négociant, a Anvers ; Louis Van de Put, négociant, u Anvers ; l'heodore ue LSary, négociant, a Buenos-Ayres ; Cari Scnu-c.iard, négociant, a Buenos-Ayres, Administrateurs. mm. Jules Stappers, comptable, a Anvers, et Louis Laddyn, îondc ue pouvoirs, à Anvers, Commissaires.uiiun uu 30 juhi 1914. Notes de jurisprudence belge ti<et proteste. Domicile indique. Procès en 10.000 1rs de dominuges-interêts du cnef u en et proteste pur ce que i eiiet avait ete présente u un uuimcile qui n'etuit pius le sien, quoique étant indique comme tel. L.H tribunal déclaré que le défendeur a use de son droit ; il n'était pas engagé a présenter la traite a une autre adresse. Les laits cotes et le serinent déféré par le denlan-aeur ne renieraient pas pareille obligation, ces laits sont irreievants, le seraient n'est pas litisdeci-soire.jugement de déboute. ; i nb. Comm. d'Anv.) ûesistemeni. — Conditions. Lin désistement peut être donné en tout état de cause. Si un jugement par défaut met fin à l'instance, ceile-ci renaît par l'opposition ; le désistement peut se faire valablement en cours de l'instance sur opposition (Cf. Pand. 44-45). (i'rib. Connu. Anv., 2e ch.) Société d'assurance mutuelle. — Caractère juridique. Les sociétés d'assurances mutuelles ne constituent pas ue sociétés commerciales ; elles n'ont pas un but de lucre. (Cf. Guil'iery, les Sociétés connu. Liege et Brux.) [ i'rib. comm. Anv., id.) Puissance paternelle La faillite n'anéantit pas la puissance. paternelle. j (Cf. Beltjens). i i'rib. civ. Anv.) Contrats distincts. L'inexécution de l'un, n'annule pas les autres. Sous prétexte que le vendeur n'a pas fourni fin de telle année les quantités qu'il était engagé à déllivrer, on ne peut résilier contre la volonté de l'autre partie des contrats distincts. d'rib. comm. d'Anv., le ch.) La question des loyers Comme nous l'avons dit dans notre compte-rendu puuiié le 20 courant, l'irritante question dont il s'agit, — de plus en plus irritante, — est entree dans une phase nouvelle par le nouvel arrêté von Bissing dont la veille déjà nous avions reproduit le texte complet. Suivant cet arrêté, comme on l'a vu toutes les questions de loyers doivent être renvoyées d'office au tribunal d'arbitrage dont nous nous sommes occupés.Mais voici le tribunal de Ie instance, qui a tant de ces affaires à son rôle, le voici bien embarrassé. Car, tout d'abord, au renvoi en question, il y a un gros obstacle, c'est que le tribunal d'arbitrage n'existe pas, tout au moins jusqu'à présent. Il n'existe que sur le papier ; aucune mesure de réalisation n'a été prise. Les intéressés se trouveraient donc placés dans une situation bien singulière si le tribunul civil se conformait aux dispositions du nouvel arrêté : ils se trouvèraiént en fait exclus arbitrairement du pré-.oire, puisque le tribunal qui était compétent au vœu de la loi belge, au jour de la citation, pour juger leur cas, refuserait de les entendre, et que le tribunal qui devait le remplacer ne fonctionne point! Dans une pareille incertitude, que voulez-vous que fassent les juges ? Ils continuent de juger comme si de rien n'était. Du reste, ou nous assure que la première chambre ne demande pas mieux que de devoir soulever par une partie le moyen de droit résultant de la situation que nous venons d'exposer, et d'avoir ainsi l'occasion de rendre un jugement sur la question. En attendant, ou continue à plaider au tribunal civil les affaires de location qui sont en état. Celle que nous allons exposer est particulièrement intéressante.Un cabaretier demande une réduction de loyer, demande basée sur l'art. 1722 du Code civil. Il se base sur la ruineuse diminution de recettes produite par l'absence.! d'un grand nombre d'habitants, du chômage du commerce, de l'obligation de fermer l'établissement dès 8 heures du soir. Le propriétaire soutient que ce n'est que pour les cas de destruction entière ou partielle que, le bénéfice sollicité peut être invoqué, c'est-à-dire pour défaut de jouissance complète ou restreinte de l'immeuble. Les événements de guerre ne sont pas prévus. Ces événements sont désastreux pour tout le monde : tout le monde en pâtit. Ils ne peuvent donner lieu à délier le preneur de ses obligations, de l'accomplissement des conditions du bail, quand le propriétaire de son côté n'a rien à se reprocher. Le locataire réplique que le Code civil, œuvré de Napoléon I1', fut élaboré à une époque où la France, dont la gloire rayonnait sur le monde était à l'apogée, de su puissance et dictait ses lois aux peuples. On ne pouvait pas prévoir, on ne songeait pas à prévoir le cas de guerre en France, alors que tout était pacifié, et jamais il n'a pu entrer dans les intentions du législateur de comprendre la guerre dans les événements qui ne lui paraissait pas de nature à créer des cas de force majeure. La guerre est un fléau qui bouleverse tout, que rien ne faisait prévoir, une calamité dont les effets, pesant rudement sur les petits et les humbles, surtout, justifie assurément des mesures exceptionnelles. L'affaire est tenue en délibéré. AVIS Comité d'assistance aux employés de commerce nécessiteux ou sans ressources Il ne sera plus procuré des repas chauds chez les particuliers, mais les employés sans ressources pourront obtenir des bons pour dîner dans les beaux salons du Restaurant Populaire, Kipdorp, 18. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Austria. — Hoganaes, 21 février. — On annonce que le vapeur allemand Austria, transportant du coton de Gothembourg à Brème, a fait naufrage au Nord de Viken. Des vapeurs sont allés à son secours. Befyernon. — Maâssiuis, 25 février. — Le steamer Bklvernon a perdu à Hoek van Holland une chaloupe par suite de la rupture d'un palan. Drottriing Viktoria. — On mande de Sassnitz que le bateau de passage suédois Drottning.Viktoria est échoué près de Wittow, à cause d'un brouillard épais. Les passagers et l'équipage ont pu être amenés à terre. Deptford. — Scarborough, 25 février. — Le steamer DePti-ord a sombré dans la mer du Nord devant Scarborough, probablement par une torpille. L'équipage, sauf un homme, a été sauvé par un navire de passagers. Holger. — Buenos-Ayres, 22 février. — Le steamer allemand Holger, vient d'arriver ici ayant à bord l'équipage et les passagers des vapeurs Highland Brae, Potaro et Hemisphere ainsi que des voiliers Wilfried et Simanïha qui ont tous été coulés par des navires de guerre. Le Holger n'ayant pas quitté Buenos-Ayres dans les 24 heures, ce navire a été retenu par le gouvernement argentin. Oakby. — Londres, 25 février. — Le steamer Oakby a été atteint par une torpille. L'explosion était formidable, mais personne n'a été blessé. Le navire a été remorqué pendant 13 heures avant de sombrer. Rio Parana, Harpalion. — Londres, 24 février. — Les vapeurs Rio Parana et Harpalion ont été torpillés et coulés près de Beachy Head. Les équipages sont sauvés, à l'exception de 3 chinois, à bord du Harpalion, qui ont été tués par l'explosion. Vereinigung 39. — Hansweert, 24 février. — Le navire allemand Vereinigung 39, allant d'Anvers en dans une position dangereuse. Des remorqueurs sont sur les lieux. Western Coast. — Londres, 25 février. — L'équipage du steamer Western Coast est débarqué à Purtsmouth et avise que leur navire a heurté une mine ou a été torpillé à la hauteur de Beachy Head. Il n'y a pas eu d'accidents de personnes. Le brouillard sur la Manche la Haye, zo levrier. -— uepuis trois jours un épais brouillaid couvre ia Manche, renuani extrêmement, uniicile toute navigation. Ville de Louvain LouvAiN, 26 février. — Le mouvement s'accentue dans notre port, a part les arrivages réguliers des beurts ; il est entre quelques bateaux hollandais avec des farine, riz, laru, etc., pour le comité alimentaire américain, ainsi qu un cnargeiiieiit de iro-ineîit pour le meme comité. Les petits chargements de matériaux de construction continuent à arriver; quelques propriétés incendiees se reconstruisent ; on faite ce qui est possible de faire, et aussi dans le but d'occuper les ouvriers. une aiiege uvec résidus de pyrites est en charge pour ie itulir, encore deux ciiurgements sont en cours. a nos usines et fubriques, c'est le culnie plut et suns reprise. Le trafic ues gares est en forte diminution ; les expc.iLions se iont par vicinal, le transport ues pommes ue terre a pris une forte extention, ies prix de celle-ci sont en hausse. Hollande Toutes les correspondances envoyées de Hollande en Belgique sont centralisées à Utrecht, où plusieurs employés sont c,larges ue veiller à ce qu'elles se trouvent dans les conditions requises pour pouvoir entrer eu Belgique. Elles sont ensuite dirigées sur' Aix-la-Chapelle, où elles subissent un nouvel exumen. Le bureuu de poste liollunduis d'Utrecht renvoie uux expéditeurs les lettres dont l'envoi n'est pas autorisé.♦ * * Il y a quelques jours, a Rotterdam, le Comité des négociants en grains a vendu publiquement, par orure du gouvernement, environ 100.000 balles de iurine de froment américaine. Congo-Belge L'AMELIORA i ION DU REGIME DU FLEUVE bignulons, une intéressante étude publiée par la Compagnie du c.oxigo pour le commerce et l'Industrie dans laquelle i auteur, Mr le capitaine Robert l'jiys,' examina ia question d'améliorer la navigation du rleuve Congo, duns su partie maritime autant que dans sou cours supérieur, par la régularisation du régime de ses eaux. Ce projet — on ie conçoit aisément — est susceptible ue procurer à notre colonie des avantages économiques importants et multiples. Aussi convient-il de le signaler, encore que, comme l'auteur a soin de l'indiquer, il ne s'ugisse évidemment que de « poser » ie problème, la. solution de celui-ci ne pouvant qu'etre èsquissee duns l'état actuel des connaissances techniques relatives à la matière. Ajoutons, toutefois, que, si imprécises que soient ces connaissances, ce li'est pas se hasarder que de croire réalisable la tentative en question, telle que la conçoit le capitaine Tiiys. Au moins, étant donnes les. norizons que le projet ouvre, ne peut-on qu encourager ceux qui le lancent à l'approfondir et a le mettre au point... Eu principe, la question apparaît très simple. On pèut ia resumer comme suit : L'énorme bassin du Congo s'étend, on le sait, au nord et au sud de l'Equateur, niais beaucoup plus au sud qu'au nord. Or, quand la saison des pluies règne au nord, la sécheresse sévit au sud, et inversement. Conséquence : si, à l'époque des pluies au sud, on pouvait retenir les'énormes quantités d'eau qui tombent pour les rendre à la circulation à la saison sèche, on éviterait les grandes crues et les inondations des rives, provenant principalement de l'exc-js de superficie des bassins partie sud sur les bassins partie nord, et l'on améliorerait, d'autre part, le régime du fleuve, en saison sèche, en lui dormant un débit considérablement supérieur au débit d'étiage. Pour arriver à ce résultat, il suffirait de quelques barrages judicieusement placés à proximité des lacs et anciens lacs, nombreux et d'étendue considérable, que notre colonie possède. En général, la topographie des rives de ces lacs est particulièrement propice au travail envisagé ; d'un autre côté, l'étroites-se des gorges et chenaux servant d'exutoires à ces lacs permet de créer, à peu de frais, des réservoirs énormes. Le problème de l'amélioration du régime du fleuve nécessiterait simplement l'aménagement de barrages et de vannes dans ces gorges, de façon à pouvoir régler le débit à volonté. « 11 ne s'agira, comme on le voit, que d'assagir la nature et de régulariser les phénomènes existants: on arrivera ainsi à modifier naturellement le régime du fleuve sans s'attaquer brutalement à sa canalisation et à son aménagement... Quelques travaux de dragages, d.e déroche-ment et de balisage sont toutefois, dès mainenant, nécessaires... » Il est bon de faire remarquer que les projets dont le capitaine Thys recommande l'étude, pour peu courants qu'ils soient, ne constituent pas une nouveauté.C'est ainsi, notamment, que la ville de Saint-Etienne a installé le barrage du Gouffre d'Enfer pour éviter les inondations de la Loire, et que l'Egypte a construit, comme on le sait, l'énorme barrage d'Assouan, pour régler les débordements du Nil au profit de l'agriculture. Notre barrage de la Gileppe n'est-il pas, du reste, un exemple à' rappeler aussi ? Au Congo, il s'agirait, paraît-il, de travaux pas plus importants que celui d'Assouan et d'autres, mais pour arriver à des résultats « dix ou vingt fois plus formidables». L'opération serait tentante !... En raison des conditions spéciales dans lesquelles se pose le problème, il est possible de créer au Congo des retenues d'eau d'une importance exceptionnelle. jamais atteinte à ce jour. C'est ainsi que les réserves du Tanganyika et du Moero compteraient probablement 46.200 raillions' et 13.884 millions de mètres cubes d'eau, alors que les plus grandes retenues réalisées au barrage d'Assouan, en Egypte, au barrage Roosevelt, en Amérique, et au lac Vânerh, en Suède, n'atteignent que 1165 millions, 1600 millions et 8490 millions de mètres cubes. (Quatorze millions de mètres cubes pour la Gileppe 1) Il est utile de faire remarquer que le barrage d'Assouan a 14 mètres de hauteur et 1950 mètres de largeur, que le barrage Roosevelt a 79 m. 50 de hauteur et 196 mètres de largeur, tandis que les barrages du Tanganyika et du Moero n'auraient, d'après notre auteur, qu'une hauteur de 3 à 5 mètres sur une largeur inférieure à 250 mètres pour le Moero... Nous ne pouvons nous étendre ici, cela se comprend, sur la foule de renseignements techniques aussi passons-nous les chapitres au cours desquels le capitaine Thys nous donne les bases de ses calculs pour indiquer les endroits où, selon lui, des barrages devraient être créés. Ces barrages seraient au nombre de six : du Tanganyika, du Moero, de la chute de Klmbo-Djuo, de la gorge de N'Zilo, du lac Léopold TI et du lac Tumbn. Au lac Tanganyika. à la" sortie de la Lukuga., la digue-barrage, à construire ne devrait avoir que deux mètres d'élévation et trois mètres de fondation pour pouvoir restituer au fleuve Congo, dans ses moments d'étiage, 46.200 millions de mètres cubes d'eau. Les vannes devraient, croit-on, être complètement fermées pendant les mois de septembre n janvier inclus, complètement, ouvertes pendant les mois de février et mars, demi-ouvertes pendant avril et mai, complètement ouvertes de nouveau en juin, juillet et août. L'installation de la digue-barrage an confluent de la Lukuga, relevant l'eau du Tanganyika d'environ 1 m. 35 ne présentera, croit-on, aucunis difficulté. En s'éloignant légèrement du lac, on n'aura plus, grâce aux conditions topographiques favorables, qu'une longueur maximum de un ou dieux kilomètres pour la digue. iients quant à ia surélévation du niveau du lac, ics .ives étun't u pic sur tout leur pourtour. Les dues* le tous les voyageurs sont concordants u cet égard ■n montrent le lue iuugunyika comme un veriiubie osse u parois raides. au lac Moero, il s'agirait d'étublir une digue de i in. jU de nuuteur sur lu Luvuu-Luupulu, luquene riviere, u su sortie du lue, entre uuns un veritable ;ouloir' oriente sensiblement Est-Ouest. La p'çssioi-,ite d'un barrage est certaine, d'autant plus qu'il i UU exister jauis, a cet endroit, un barrage naturel. Ce barrage ne déviait avoir que 250 mètres de longueur. Le niveuu du lue Moero pourrait, lui aussi, être relève de plusieurs mètres, suns inconvé-nent. Tout uu plus provoquerait-on l'inondation, au Sud, de terrains actuellement marécageux et sans lucune vuleur... Descendant vers ie Sud encore, nous arrivons u :ii cnute de Kimbo-Djuo, sur lu Lufira, affluent de droite du Lualaba. A cet endroit, le capitaine Thys [duce son troisième barrage, lequel devrait relever t eau de 6 a 7 mètres environ pour créer une retenue le 3Ui9 millions de mètres cubes d'euu. 11 existe, r cet endroit, un effondrement du sol, qui permettrait de constituer le réservoir souhaite. D'aucuns croient, dû reste, à l'existence, duns le pussé, en amont des chutes de Kimbo-Djuo, d'un lue-étang Qu'oïl pourruit reconstituer. Le quutrieme burruge serait sur le Luulaba lui-même u l'emplucement de lu gorge de N'Zilo ; il aurait une quinzaine de mètres de nauteur et suffirait jour créer la retenue de plus d'un milliard de mè-ires cubes d'eau dans la plaine marécageuse de l'an-' îien lue Kinialta. Peut-être aussi, vu l'étroitesse de La gorge de N'Zilo, pourrait-on établir le barrage plus en aval et, en lui donnant une plus grande îiauteur, retenir les euux dans la gorge même au Lieu d'inonder le pays d'alentour (1). Le barrage de N'Zilo serait, lui aussi, d'une construction aisée, ii nous nous en rapportons aux données recueillies par les explorateurs de la région. Cinquième barrage : au lac Léopold II. Ce lac déverse le trop plein de ses eaux dans la Lukenye-Mflni par un étroit chenal. On pourrait construire sur ce chenal une digue avec écluse et relever ainsi le niveau du lac de i ni. 17, ce qui donnerait, d'après les calculs de M. Thys, une retenue de 2730 millions de mètres cubes. Le lac Tuniba se déverse dans le Congo, aussi par un chenal. Une digue avec écluse ne devrait relever les eaux du lac que . de 0,35 m. tout uu plus, pour donner une retenue de 425 millions de mètres cubes. Bref, les six barrages supposés dans le projet en question permettraient, en saison des pluies, de retenir le cube total fantastique de 67 milliards 412 millions de mètres cubes I Comme bien on le pense, les résultats qui seraient obtenus par l'exécution des travaux esquissés plus haut seraient considérables et multiples. « On donnera, en fait, au fleuve, un débit plus ou moins constant, suivant les différents points de son parcours ; la constance du débit et du niveau amènera une suite d'avantage nombreux qui peuvent se résumer comme suit : 1) nouvelles réserves en forces hydrauliques, le débit d'étiage étant primitivement seul utilisable ; 2) aménagement plus facile des usines hydroélectriques, quelle que soit leur puissance ; 3) suppression des crues et des inonda-, tions des rives, rendant des milliers d'hectares au patrimoine de la colonie ; 4) plus grand tirant, d'eau pour la navigation, tirant d'eau constant et égal à la moyenne des tirants d'eau de l'année avant la régularisation ; 5) affouillenient et dépôt régulier de la rivière fixant définitivement le thalweg ; 6) courant. constant pour la navigation, etc., etc. » Ces avantages seront obtenus dans des proportions plus ou moins grandes, que des études, exactes peuvent seules déterminer.. Le capitaine Tnys examine en détail les résultats escomptables. Nous ue pouvons le suivre au long de ses hypothèses, basées sur les calculs que lui ont permis de faire les renseignements qu'il a recueillis Signalons cependant quelques-uns des résultats précis que l'auteur prévoit : les nouvelles richesses en forces hydrauliques obtenues par les débits constants du lac Moero, de la Lufira, du Lualaba et du lac Kivu représenteraient environ 4.700.000 HP ; Je régime de la Luvua-Luapula sera complètement modifié ; il donnera un tirant d'eau de 1 m. 50 et permettra la navigation à vapeur pendant toute l'année pour des steamers de 200 à 300 tonnes, ce qui permettrait peut-être de faire provisoirement l'économie du chemin de fer de l'Urua entre le Lualaba et Kiambi — dépense évitée : de 10 à 15 millions ; sur le Congo, le bief intercalaire Kasongo-Kindu, que contourne le chemin de fer des Grands-Lacs,pourrait peut-être être rendu parfaitement naviguable toute l'année ; plus loin, entre Kindu et Ponthierville, où la passe de Tubila forme un seuil rocheux de moins d'un mètre de profondeur à l'étiage, on arriverait sans doute à avoir des tirants d'eau de 2 mètres toute l'année, ce qui rendrait inutile le'projet, formé pur certains, de réunir les deux tronçons du chemin de fer des Grands Lacs. Toujours d'uprès M1' Thys, le grand bief Stanley-ville-Léopoldville serait grandement amélioré : les passes , les plus inauvnises, . qui n'ont uctuellement que 1 ni. 90, uuraient 3 m. environ, et il serait possible, dès lors, d'utiliser des vapeurs de 2000 à 3000 tonnes. Enfin, l'heureuse, influence de la régularisation du fleuve se fera sentir, dans des proportions plus ou moins grandes, jusque dans la-partie maritime du Congo, entre Matadi et Borna et prmcipalé-ment à lu pusse de Fetish-Roek, où pourraient passer des steamers de 10.000 à 12.000 tonnes, tandis qu'actuellement on est limité à 7200 tonnes. Au sujet du coût de l'entreprise, l'auteur dit en résumé : « En l'absence de tous renseignements précis, il nous est évidemment impossible de fixer les dépenses à prévoir pour l'étude et l'exécution du problème de l'amélioration du régime du fleuve Congo par la régularisation du débit des lacs et anciens lacs congolais. Il nous a semblé, cependant, qu'en nous basant sur les dépenses de notre service d'études des forces hydrauliques du Bas-Congo, nous pourrions fixer tout au moins l'ordre de grandeur des dépenses à prévoir. Le devis très approximatif et très général conclut à une dépense totale de huit millions, barrages du Tanganyika et du Moero compris. Les .résultats à obtenir sont tellement considérables et tellement intéressants, qu'une dépense, même.plus importante, se justifierait amplement. , La parole est aux hommes compétents. () La gorge de N'Zilo est une véritable crevasse de 40 à 70 mètres de largeur et de plus de 400 mètres de profondeur. Rhein- und See-Speditions Gesellschaft m. b. H. En charge pour COLOGNE le bateau KOELN 32 A suivre par des départs réguliers Pour frets avanlageux pour TOUTES LES DESTINATIONS RHÉNANES s'adresser aux bureaux Canal au Sucre, 5, Hansa Huis Transports pour toute la Belgique de marchandises par service accéléré et à piix réduits S'adresser : 65, RUE SANDERUS, ANVERS. La maisoa s'occupe des formalités de sortie. SERVICÊ~DÏrMESSAGERIES Auguste VEREYCKEN 32-32a, rue Picard, Bruxelles-Maritime Camionnage. Transport de marchandises dans toutes les villes autorisées. Service accéléié. CONDITIONS RÉDUITES DEMANDEZ TARIF DÉTAILLÉ

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Dit item is een uitgave in de reeks Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Anvers van 1858 tot 1979.

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