Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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23 februari 1915
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s.n. 1915, 23 Februari. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/r20rr1qk9g/
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ANVERS, Mardi 23 Février 1915 Cinquante-septième Année ■ No 17.241 DIRECTION & RÉDACTIO 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS Téléphone : 3761 LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. - 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne. Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre. — Le» titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. Astronomie 24 février Lever du soleil 6 h. 39 m. matin Loucher du soleil . . . 5 „ 13 „ soir -r Lever de la luue . 10 .. 54 „ niatin Loucher de la lune ... 3 „ 57 „ malin 3 5 ; Pieine lune le 1 mars .... 6 .. 33 „ soir ( Dernier quartier le 8 mars . . 12 -. 2S soir — ( . < Nouvelle lune le 15 mars . • 7 » " soîr ~ /ot'/iQi Premier quartier ie 23 mars . . 10 » '18 .. soir ( — ) Hante marée à Anvers Matin So,r 24 févr.10 h. 29 m. UÇ [» 29; I 11 Jj- ^ m'Z J23 t' 25 févr 11 h. 55 m. ~7 J Q m ~ L 26 févr.— h. 33 m. - ( h-33) | 1 h. 9 m. (13 h. 9) Hauteur du Rhin Cologne 20 fév. 3.32 m Strasbourg 20 fév. — m Huniugen ■ ~ » Laulerbourg j^ehi lt — ,■ Max au „ — „ Mannheim I 3.10 .. Germersheiir „ -- .. (jaub ,, 2.48 .. Mayence .. 1.24 „ huhrort .. - .. Bingen „ 2.14 „ Duisbourg .. 2 88 Coblence ,. 3.04 „ Waldîbiit ~ . Diisseldorf „ 3.50 .. Lobith .. 12.60 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar franJort 20 fév. 2 50 m. Heilbronn 20 fév. 1.27 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee ■ Trêves 20 fév. 186* m- Constance 20 fév. 275 m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 22 FEVRIER Steamer Union III, de Bruxelles. Union ii, île Bruxelles. » Amstel II, de la Hollande. » Eugenie, de la Hollande. Bateau-moteur Artois I, de Louvain. Eclair 111, de Bruxelles. » YVilhelmina, de la Hollande. Allège Maurice, de Merxem. Emilienne, de Burght. » Morgenster, de Hoboken. » Gabrielle, de Hoboken. » Willy, de Haevels. » Mannheim 70, de Hemixem. » Irena, de Alost. » Emile, de Malin es. » Rosalie II, de Malines. » François, de Bruxelles. » Otto Venius, de Bruxelles. » Joseph, de Bruxelles. » Antoine-Joseph, de Liège. » La Jeune Celine, de Mariemont. » Révision, de Mariemont. » Demandeur, de Mariemont. » Vrouw Louisa, de la Hollande. » Grinthandel 1, dé la Hollande. » Oscar Willy, de l'Allemagne. DEPARTS DU 22 FEVRIER steamer Charbonnière X, pour Willebroeck. » Union II, pour Bruxelles. » amstel II, pour Bruxelles. Bateau-moteur Fendel 21, pour Hemixem. Minister P. Segers, pour Bruxelles. ,> Lloyd national, pour la Hollande. Allège Eveline, pour Hemixem. » Constantia, pour Brèe. » Serge, pour Bruxelles. » Ophelie, i)our Bruxelles. » P. L, pour Bruxelles. » Moderne, pour Bruxelles. » Vereinigung 61, pour Bruxelles. » Iris, pour Bruxelles. » Alice, pour Liège. K. Schoers 61, pour l'Allemagne. « Johanna-Wilhelmina, pour l'Allemagne. » Charbonnière, pour l'Allemagne. » Johann, pour l'Allemagne. ARRÊTÉS concernant l'exercice des pouvoirs qui appartiennent aux commissaires d'arrondissements. Art. 1er. — Tous les pouvoirs appartenant aux commissaires d'arrondissements en vertu des lois sur l'administration des provinces et des communes sont exercés par les chefs militaires d'arrondissements allemands -Krieschefs). Les commissaires civils près les chefs militaires d'arrondissements exercent au nom de ces derniers la-surveillance de 1 administration des communes et de la tenue des registres de l'état civil qui, d'après les articles 132-1:1.5 de la loi provinciale, incombait aux commissaires d'arrondissements, ainsi que des affaires qui s'y rattachent.Art. 2. — Le Chef de l'Administration civile près Je Gouverneur Général est chargé de l'exécution de cet arrêté. Bruxelles, le 8 février 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing. Colonel-Général. Le Chef de l'Administration civile près le Gouverneur Général accordera dorénavant en mon nom, l'autorisation nécessaire pour l'exhumation des cadavres des ressortissants d'Etats non allemands et pour leur transfert en d'autres lieux de sépulture, droit que je m'étais réservé par mon arrêté du 9 janvier 1915 (Bulletin officiel des Lois et Arrêtés pour le territoire belge occupé n° .30). Bruxelles, le 7 février 1915. Le Gouverneur Général en Belgique, Baron von Bissing Colonel-Général. Bruxelles-Anvers A partir du lor mars prochain, tous les passe-ports pour Anvers seront abolis. Bruxelles, le 21 février. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing, Colonel-Général. Comité bruxellois Pour le recouvrement des factures auprès des personnes réfugiées en Hollande ou en Angleterre Eu présence des difficultés du moment, notre comité a pensé qu'il rendrait de précieux services à Messieurs les. commerçants s'il pouvait leur servir d'intermédiaire pour recouvrer avec tact et courtoisie les factures qu'ils ont en souffrance et dont le recouvrement est devenu difficile par suite de l'absence prolongée de leurs clients réfugiés. Dans ce but, nous avons, d'accord et avec le concours de diverses notabilités, institué l'organisme qui, pensons-nous, viendra en aide à beaucoup d'entre vous. Il suffira, afin de faciliter nos opérations, de nous renseigner le pays présumé où se trouve la personne réfugiée, et de nous remettre facture eu double contre reçu. Il sera perçu par créance remise un droit fixe de Min franc, payable d'avance, et une commission de 5 p. c. en cas d'encaissement. Le bénéfice de nos opérations sera remis, sous déduction de nos frais d'administration, à diverses œuvres de bienfaisance. Pour le comité bruxellois : j Le président, Tony Vecqueray. Réponse de l'Angleterre à la Note Américaine Les principaux points de la note anglaise aux Etats-Unis sont les suivants : Dans cette guerre, dont l'Angleterre n'est en a tienne façon responsable, il est impossible au commerce mondial d'échapper à toute atteinte ou à toute perte. Pour les sept premiers mois de 1914, il y a eu une diminution de 126 millions de dollars dans les exportations des Etats-Unis sur la période correspondante de 1913. Depuis le mois d'août jusqu'au mois de novembre, abstraction faite du coton, il n'y a eu qu'une diminution de 22 millions de dollars c omparativement à la même période de 1913. - Si on ne tient pas compte du coton, la guerre a eu pratiquement pour effet d'arrêter la décroissance des exportations américaines. Le coton n'étant pas contrebande de guerre, son exportation n'a pas été entravée par nous. Par suite.'nos opérât; y navales ne sont pas la cause d'une diminution (vfelconque dans le montant des exportations des-Etiîs-Unis. Au début, la guerre a produit une perturbation sérieuse, mais qui n'a ét| que temporaire, dans le commerce des Etats-Unis. Il y a eu une reprise constante depuis lors et, à ce jour, les exportations des Etats-Unis atteignent un chiffre plus élevé qu'à la même date de l'année dernière. La réponse de l'Angleterre analyse ensuite les chiffres des exportations des Etats-Unis avec l'Europe depuis le commencement de la guerre. Sir Edward Grey constate qu'en ce qui concerne le commerce de& Etats-Unis avec les nations neutres, les envois vers celles-ci et vers l'Autriche ont augmenté de 2U millions de dollars pendant les 4 premiers mois de la guerre, tandis que les envois vers l'Angleterre et ses allies diminuaient de plus de 28 millions de dollars. On peut en conclure qu'une partie notable du trafic avec les pays neutres a été destiné aux puissances ennemies. En ce qui concerne la question des saisies de con-tre-bande conditionnelle, la note anglaise insiste sur le fait que la différence entre les vivres destinés à la population civile et ceux destinés aux forces militaires d'un pays n'existe plus, si la différence entre la population et la force armée disparaît, comme c'est le cas en Allemagne. Bien que d'importantes quantités aient été importées pour l'usage de la population civile, les autorités militaires s'empareront de ces approvisionnements, si des exigences militaires le rendent nécessaire, surtout si, comme cela est actuellement le cas, le gouvernement allemand a pris le contrôle de la distribution des vivres. Poursuivant, Sir Edward Grey dit qu'il espère que le gouvernement des Etats-Unis reconnaîtra la correction de l'attitude du gouvernement anglais, qui, jusqu'à présent, a tout fait pour concilier le plus possible les.droits des pays belligérants avec les exigences des nations neutres. Sir Edward Grey rappelle l'attitude de la France dans la guerre franco-chinoise de 1885, pendant laquelle le riz a été déclare contrebande de guerre. Il rappelle la réponse de Bismarck aux représentations de la Chambre de commerce de Kiel. Dans cette réponse, Bismarck disait que toute guerre avait des suites défavorables pour les neutres, et que ces suites défavorables peuvent facilement être augmentées lorsqu'un des Etats neutres intervient. En ce qui concerne l'attitude de l'Angleterre, elle a le but de réduire Ja durée de la guerre en augmentant les difficultés ,de l'ennemi. — Nous tâcherons, dit en terminant la note, d'éviter toute perte et toute atteinte aux mesures ; mais l'annonce par le gouvernement allemand de son intention de couler des navires marchands avec leur cargaison, a forcé le gouvernement de Sa Majesté à examiner quelles mesures il pourrait prendre pour protéger ses intérêts.(Voir Lloyd Anversois des 6, 19 et 22 courant). Prescriptions touchant les passeports Le gouverneur général en Belgique vient de faire afficher l'avis suivant : — A cô;é de mon désir de faire revivre le commerce et le trafic dans le pays, j'ai mon devoir qui m'oblige à arrêter tôut espionnage de l'ennemi ei à empêcher les Belge en âge de porter les armes de quitter le pays pour s'enrôler dans ies armées ennemies. Si ce devoir militaire m'oblige à imposer certaines restrictions aux mouvements du public, la faute en est, en grande partie, à telle partie de la population qui favorise les tentatives sus-mention-uées. . En conséquence, je me vois à mon grand regre: dans l'impossibilité d'abroger les prescriptions touchant les passeports dans les provinces touchant les Pays-Bas, notamment dans la province et position fortifiée d'Anvers, 1a province de Limbourg, l'arron-dissemen' de Liège et la place fortifiée, l'arrondissement de Verviers, de même que dans les contrées touchant à notre front de bataille : l'arrondissement de Tournai. Dans toi les autres parties de mon gouvernement, je veux — confiant en la loyauté de la population — lever les mesures restrictives des passeports, excepté celles touchant la circulation des automobiles.Pour la partie du territoire soumise à l'obligation lu passeport, il est imposé un laisser-passer pour la circulation en automobile, en chemin de fer, en chemin de fer vicinal, en bateau, en voiture (seulement en dehors des agglomérations) ët celle des piétons m delà d'un cercle de 6 km. de rayon autour du lieu de leur résidence. Pour qu'il soit possible d'identifier toute personne rencontrée en dehors des agglomérations, en général toute personne privée appartenant à n'importe quelle nationalité, âgée de plus-!e quinze ans, sera tenue de se munir d'un certificat d'identité et contenant sur un formulaire à se procurer ici : Les noms, domiciles, lieu et date de naissance, âge, profession et photographie du porteur, ainsi que la signature engageant la responsabilité de l'employé ivant délivré le certificat. I.es prescriptions existantes touchant les rapports ' ître la Belgique et l'étranger, de même qu'avec les régions d'étapes et d'opérations, restent en vi ga.eur. J'espère que mes efforts en vue de ranimer le commerce et l'activité du pays, efforts qui témoignent ie ma sollicitude pour le bien-être et la prospérité le la population, rencontreront auprès des autorités :;t du public l'accueil et l'appui que je puis, en attendre dans l'intérêt bien compris de tous, et que je ne serai pas obligé de reprendre les mesures restrictives que je viens de lever. Les avances sur titres et les reports à i'époque actuelle Conditions dans lesquelles un consortium de banques a é'é constitué au commencement du mois d'août dernier. Raisons impérieuses pour lesquelles il est indispensable que des avances de ce genre puissent être faites au public. Services qu'elles peuvent rendre dans l'hypothèse de la prolongation de la guerre pendant quelques mois encore. Pe i de jours après la déclaration de guerre, et alors que l'occupation militaire de 'a Belgique était sur le point, d'intervenir, on s'inquiéta, avec raison, de la situation des personnes qui, surprises par les événements, n'avaient pu prendre des dispositions afin de s'assurer de suffisantes liquidités et qui. néanmoins, possédaient un portefeuille important d'obligations et d'actions. La fermeture des principales Bourses d'Europe et la dépression générale de toutes les valeurs mobilières s'opposaient à ce que les détenteurs de titres puissent songer à les réali ser, môii'e à des prix très bas et eu consentant à des sacrifices qu'ils auraient refusés d'accepter en temps normal. D'autre part, les avances sur nantissement de valeurs n'étaient pas sans offrir quelque ■danger, et pouvaient entraîner des risques pour les établissements qui effectueraient les prêts, dans l'incertitude des conditions d'intérêts, de temps et de couverture qu'il était prudent d'imposer. Eu présence d'une situation qui pouvait devenir alarmante, les banques belges conclurent entre elles un « consortium ». Toutefois, aucune solidarité ne liait entre eux les établissements financier,s, qui demeuraient, au point de vue de leurs opérations, autonomes et indépendants les unes des autres. Us se réservaient les décisions-à prendre et l'instruction de chaque cas particulier, résolus à se montrer modérés dans leurs prétentions et à prendre, cependant, les sûretés commandées par la sauvegarde de leurs intérêts. C'est ainsi que les opérations prévues •ie devaient pas consister dans de simples avances sur gages pouvant en raîner, en cas de manquement aux engagements pris, l'application éventuelle des titres remis et vendus à rémérer. La forme choisie comme susceptible d'offrir le plus de garanties fut la promesse de payement, signée par l'emprunteur et à la bonne fin de laquelle les valeurs spécifiées éiaient affectées. Nous ignorons si les disponibilités, devenues étroites, des établissements de crédit leur ont permis de rendre les services qu'on espérait du mécanisme de ces opérations et que l'impossibilité de l'escompte rendait nécessaires, il es', en tout cas, certain que malgré les prêts consentis, il existe encore nombre de capitalistes, obligés de chercher à lever des fonds sur des titres dont ils se trouvent être les possesseurs ; car, il y a deux mois, on ne pouvait soupçonner, même avec quelques approximations, la du rée probable de la guerre actuelle. Qui pourrait dire aujourd'hui jusqu'à quelle date elle se prolongera ? Or, les propriétaires des biens ruraux sont privés des fermages sur lesquels ils croyaient pouvoir compter. Grand nombre d'employés et de fonctionnaires sont à mi-solde ou doivent attendre qu'on reprenne, vis-à-vis d'eux, le service des appointe ments arriérés. Cette situation, sur la gravité de la quelle il est inutile d'insister, est d'autant plus pé uible que l'impossibilité de trouver du travail s'éteni à toutes les classes de la société. On peut affirme; que la misère se fait sentir d'autant plus vivemen qu'elle frappe les personnes habituées à un bien-êtri assez large. Quelque importantes que soient les va leurs qu'ils détiennent et quelque puissent être le: espérances que leur ouvre l'avenir, les propriétaire: de portefeuilles-titres sont plongés dans un dénué ment presque complet. D'un autre côté, les notaire! qui, en général, ne passent plus d'actes et ne re cueillent plus guère de bénéfices d'aucune nature sont hors d'état de l'aire, à leurs clients, les avance: qui pourraient leur être demandées, quel que soi leur désir de se conserver une clientèle, qui leur c procure d'amples profits, souvent pendant plusieurs années. On affirme que des avances peuvent encore être mais difficilement, obtenues sans remise d'obliga tions, mais qu'il n'est plus possible de lever dei fonds sur des actions, même lorsqu'elles paient leurs coupons et qu'elles sont assurées de la stabilité de leurs revenus. Nous avons peine à croire que cette distinction soit systématique et absolue : car, il y s des actions qui ne sont pas moins solides et négocia blés que des obligations. La situation est spéciale en ce qui regarde les dé teateurs de la Rente belge, et ceux qui possèdent une inscription au grand livre île la Dette publique ou encore aux co-bénéficiaires d'une rente dont les revenus doivent être .servis par l'Etat. On n'ignore pas, en effet, que, à l'exception des pensions des veuves, les rentes, à servir par l'Etat ont été suspendues. Est-il possible d'obtenir des avances soit sur les titres de la Rente belge, soit sui des obligations de villes, soit encore sur des certifi cats d'inscription au grand livre de la Dette publi que ? Est-ce que ces avances ne sont pas du ressort de la Caisse générale d'épargne et de retraite, e' celle-ci es -elle en droit de se refuser à faire ceî opérations ? Renseignements sur les soldats belges blessés Le comité d'Anvers de la Croix rouge de Belgique a décidé d'étendre et de compléter son service de renseignements sur les soldats belges blessés ayan été soignés ou étant encore en traitement dans le« ambulances belges, françaises ou anglaises. A cet effet, l'agence de renseignements actuellement place de Meir n° 30, sera transférée à partir de mard: prochain dans les locaux de la Banque de Reports place de Meir. Les demandes d'information peuvent être faites verbalement ou par écrit. Files doivent indiquer : 1° les noms et prénoms du soldat dont on désire recevoir des nouvelles ; 2° l'arme, le régiment, le bataillon auxquels i appartient ; 3° quand le soldat a donné, en dernier lieu, de ses nouvelles et où il se trouvait à ce moment ; 4° l'adresse belge de la personne qui demande les renseignements. Lorsqu'il ne pourra être répondu immédiatement à la demande, le bureau préviendra, par écrit, ki personne intéressée aussitôt que les renseignements auront été découverts. Les demandes de renseigne ments sont conservées. Postérieurement à la de mande, si des renseignements parviennent au bu reau, celui-ci prévient immédiatement la personne intéressée. Il est donc inutile de répéter la demande de renseignement et il ne peut en résulter que des complications, un surcroît de besogne et des re tards. Il est également inutile de s'adresser au bu reau pour obtenir des réponses aux demandes, celte réponse étant toujours envoyée à domicile. I.es renseignements sont donnés gratuitement mais comme le service nécessite des dépenses consi dérables, la Croix rouge acceptera, avec gratitude, les dons quelques minimes-qu'ils soient, qui accom pagneront les demandes de renseignements. Anvers-Hollande Les correspondances d'Anvers pour la Hollande doivent se faire en langue française ou allemande Notes de jurisprudence belge Bois. - Affrètement. Usage d'Anvers. En matiere de bois, la pratique constamment sui vie, de commun accord, entre les capitaines et les destinataires, à Anvers, a créé un usage spécial concernant les constatations contradictoires relatives à la délivrance, et celles-ci ne doivent avoir lien que quand le lot entier se trouve à quai. (Trib. comm. Anv., 1« cham.) Affrètements. Surestaries. Indemnité. Lorsqu'il a été convenu qu'il serait payé une cer taine somme pour chaque jour supplémentaire peu dunt lequel les réceptionnaires retiendraient l'allège, pareille stipulation ne permet pas de transformel eu un contrat de louage et n'autorise pas le réceptionnaire à retarder, à son gré, le déchargement de l'allège. I,'indemnité prévue ne l'est que pour un temps normal, et, ce temps une fois dépassé, le batelier a droit a des surestaries équivalant au taux usuel. Trib. comm. Anv., 4° ch.). Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Abeokuta. — Tilbury, 17 février. — L'équipage du steamer Abeokuta a été débarqué ici. (Voir Lloyd Anversois du 19 courant). Atlas N" 3. — Londres, 19 février. — La grue flotta nîe Atlas N° 3 qui était remorquée de Londres en France, a rompu ses amarres et s'est rompu en deux, près de Dungeness. Une partie de cette grue flotte à la dérive et est dangereuse pour la navigation.Elle était assurée pour £ 77.000. Cambank. — Liverpool, 21 février. — Le vapeur Cambank, qui faisait route de Cardiff à Liverpool, a cie torpillé à la hauteur de l'île d'Angle.sea par un sous-marin allemand. Trois hommes de l'équipage •nt (>té tués par l'explosion, deux autres, qui ont s:Pardessus bord, se sont, noyés, tout le reste a été sauvé. Carpentier. Le steamer Carm-ntier, s'est jeté sur a récif entre Leilei et Samalona. Le. navire se trouve sur les pierres jusqu'au pont par 8 pieds d'eau dans de forts brisants. Chr. Christensen. — Rerwick, 17 février. — Le steamer Chr. Christensen deviendra probablement une épave totale. Voir Lloyd Anversois du 20 courant).Europa. — Rotterdam, 20 février. — La goélette Europa, allant de Port Madoc à Haarlem, a été en collision dans les Dunes et a encouru des avaries sérieuses au bastingage. Gjaerka. Nakskow, 20 février. — Le vapeur c arbonnier norvégien Gjakrka, qui faisait route de l.oifli a Kakskow, a touché ce matin une mine dans 1» détroit de Langland et a sombré. L'équipage a pu être sauvé. Glenravel. Londres, 19 février. — Le steamer inglais Gledravel est échoué sur des rochers à Sau-phope. On espère pouvoir sauver la cargaison mais les prévisions pour le navire même ne sont pas bonnes. Janiatsmaru. — On mande de Makassar que le steamer Jiniatsmaru, s'est jeté sur le Ongelikarif près de Flores. Le vapeur Spits se rend sur les lieux. Rimutaka. — Londres, 18 février. — Le steamer Uimitaka, venant de Sydney et Natal est arrivé à Dakar ayant le feu dans la cale N" 3. Des mesures sont prises pour mettre la cale sous eau. Vasconia. — Kildonan, 17 février. — Le steamer suéd. Vasconia est retourné à Lamlash par suite d'une explosion de chaudière. Construction de navires Au chantier N° 2 de la firme A. Vuyk & Zonen à Capelle a/d Yssel, on a posé la quille du vapeur Willem van driel Sr, pour compte de la N. V. W. van Driels Stoomboot en transportonderneming, à Rotterdam. Les dimensions de ce vapeur seront : longueur 300'; plus grande largeur, 45' et profondeur 22' 6". Il jaugera 4000 tonnes. Il sera construit d'après les prescriptions du Bureau Veritas pour sa plus haute classe et sera destiné principalement au transport de minerai. Les machines et chaudières seront construites par la Koninklijke Maalschappij « De Schelde », à Fles-singue. Mons Dans nos charbonnages L'industrie houillère se maintient mieux qu'il y a ; quelque temps. Les ouvriers sont occupés, par équipes, trois jours de la semaine ; de-ci, de là, cependant, dans les puits extrayant certains charbons | spéciaux, les mineurs travaillent quatre, parfois ' ï cinq jours. . Le travail serait même plus complet si la grande ' difficulté ne résidait pas dans l'expédition de la houille, par suite de la pénurie de wagons. La con-: sommation du charbon domestique est réduite ; celle ' du charbon industriel l'est plus encore, mais, cependant si les transports pouvaient se faire avec moins ^ de difficultés de tous genres, la situation .s'améliorerait.C'est sur l'amélioration de ces moyens de transport que se portent tous les efforts de nos indus-; triels. France Une note du ministère français de la guerre souligne l'importance de l'achèvement du chemin de fer militaire de Casablanca à Fez. L'accord franco-alle-mand de 1911 ne permettait à la France l'établissement d'aucune voie ferrée au Maroc avant que celle de Tanger-Fez ne fût mise en adjudication. A défaut de voies commerciales, il était possible d'établir des lignes purement militaires indispensables au ravitaillement. C'est sur ces bases que le travail fut entrepris à la fois du côté de Casablanca | et du côté de la frontière oranaise. Commencée en 1911, la construction a suivi les progrès de l'occupation militaire. Aucune difficulté n'a pu l'arrêter. Les résultats acquis aujourd'hui sont les suivants : Dans le Maroc oriental, la voie ferrée relie Zoudj-el-Béral, point terminus de la Compagnie de l'Ouest-Algérien sur la frontière marocaine, à Oudjda, résidence du haut commissaire de la République, Taou-rirt, Guercif et M'çoun, cas deux postes au delà de la Moulouya, soi 214 kilomètres 500 en service. Le dernier tronçon de cette artère M'çoun Taza (33 kilomètres) est. en construction et le rail atteindra Taza incessamment. Dans le Maroc occidental deux lignes sont déjà en | exploitation : 1° La voie de Casablanca à Fez, de 344 kilomètres de longueur, qui dessert Rabat, Salé, Kenitra, Dar el-Hamri et Meknès. 2" Le prolongement de la ligne Casablanca-Mech-mètres, poussée jusqu'à Mechra bou-Louane, sur l'Oumer-Rebia, où elle arrivera ces jours-ci, atteignant alors 127 kilomètres. Pour compléter ce réseau, deux grandes lignes sont en projet, et leur exécution sera entreprise dès l'achèvement des travaux en cours : 1° La jonction Fez à Taza (90 kilomètres) ; 2° Le prolongement, de la ligne Cas iblanca-Mech-rabou-Louane jusqu'à Marakech (130 kilomètres). Hollande Le gouvernement hollandais vient de défendre l'exportation des machines à tricoter, du toluol, des sels d'alcali et des sels de magnésium. Le gouvernement hollandais a prié les capitaines de navire de stopper immédiatement, dès qu'ils rencontreront un sous-marin, et de se préparer à donner toutes les indications sur les navires et les cargaisons. Le gouvernement n'a pas donné suite à la propt si ion de faire accompagner les navires de certains armements par des navires de guerre, principalement parce que de ce fait les dangers seraient beaucaip plus grands pour les navires non accompagnés. Le service postal anglo-danois On mande de Londres : Des négocations diplomatiques sont en cours en vue de rechercher les moyens d'assurer le service postal anglo-danois malgré le blocus. La poste de campagne Le service allemand de la poste de campagne va être complètement i éorganisé. -Jl est décidé "dès à présent que des colis pesant jusque 50 kilogr. seront admis. Les soldats qui sont au front pourront également envoyer dés colis en Allemagne. Port d'Archangel Petrograde, 17 février. — Le port d'Archangel est rouvert. Le vapeur Dwï.nk, portant 690 passagers, y est arrivé venant de New-York. L'Exposition de Panama A l'Exposition de Panama, ouverte le 20 courant; quarante et une nations sont représentées. Serbie Nisc.h, 18 février. — Le gouvernement a décidé de faire reprendre les travaux de construction de la ligne des chemins de fer de l'Adriatique sur 1e tronçon Knajevatz-Nisch. Suède Stockholm, 20 février. — Le gouvernement suédois a obtenu du gouvernement russe le retrait de l'interdiction d'exporter le grain russe en Suède. Le froment et le seigle seront introduits en Suède par le chemin de fer de Karungi. Turquie Le consul des Etats-Unis à Bagdad a été chargé de la protection des intérêts hollandais. Le commerce mondial del'Espagne Au deuxième congrès espagnol de géographie et mercantile de Barcelone, qui a eu lieu à Barcelone, Mr Luis Riera y Solèr a présenté un rapport sur l'organisation de l'Espagne comme pays de transit intercontinental entre l'Amérique. l'Afrique et l'Europe. Des conclusions qui ont été adoptées par le congrès, nous extrayons les passages suivants : « Nécessité de créer en Espagne quatre grands ports de concentration : sur la mer Cantabrique (Bil-bao), sur l'Atlantique-Nord, sur l'Atlantique-Sud et sur la Méditerranée, vers lesquels on devra faire converger les principales lignes de chemins de fer ayant leur point de départ aux frontières et au centre du territoire espagnol. » Mais la plus grande difficulté qui s'oppose à l'utilisation de l'Espagne comme voie de transit intercontinental —- en dehors des entraves apportées par la législation douanière espagnole — réside dans la nécessité du transbordement aux frontières, conséquence de La différence de largeur des voies ferrées françaises et espagnoles. » Pour y remédier, Mr Luis Riera y Soler propose de rectifier des grandes voies ferrées, en évitant les côtes élevées et les courbes excessives, et d'adopter, dans la mesure du possible, la largeur de voie de 1 m. 435, entre la frontière et le premier port important.» I^e rapport propose, en outre, l'union des lignes de Galice avec celles du centre et de l'Est de l'Espagne, par la construction rapide du chemin de fer de Zamora à Orense. Une communication plus rapide entre l'Atlantique Nord et la Méditerranée par la construction du raccourcissement de Medina-del-Campo à Arando-del-Duero, qui diminuerait de 88 kilomètres la distance de Barcelone, de 97 kilomètres celle de Lyon et de 102 kilomè:res celle de Marseille à l'Atlantique. » Il est nécessaire, dit en terminant le rapporteur, de faire en sorte, par tous Les moyens possibles, que les quatre grands ports espagnols de concentration soient pour l'Amérique du Nord, l'Amérique centrale, celle du Sud, l'Afrique orientale et l'Extrême-Orient, ce que sont Marseille, Gènes et Brin-disi.»L'Italie achè e du blé en Amérique Rome. — U i • oinmuniqué officiel annonce que le gouvernement italien a acheté en Amérique dix millions de (j'dntaux de céréaJes, c'est-à-dire sept millions en plus du nécessaire pour arriver à la prochaine récolte. Embargo sur les exportations de blé ni:\v-York. — La commission placée sous la présidence du maire de New-York, qui a fait une enquête sur les raisons du renchérissement des denrées alimentaires, a recommandé, comme mesure préventive, de mettre l'embargo sur les exportations de blé. Cette mesure serait particulièrement destinée à empêcher une plus grande augmentation du prix du pain, lequel atteint actuellement six cents le kilogramme.Un rapport a été adressé, au président Wilson. Le plus grand chargement de coton La plus grande quantité de coton expédiée par un navire, de Mobile, se trouve actuellement à bord du steamer St. Quentin, qui a-à bord 14.257 balles de coton. En outre ce navire contient encore 2747 fûts colophane et 1000 fûts térébenthine. Le droit des belligérants à la mer Les belligérants ont le droit de visite des navires neutres. Ceux-ci ont le droit de naviguer partout, mais à la condition de ne pas transporter de contrebande de guerre, de ne pas se diriger vers un port bloqué et de n'avoir pas à bord des objets appartenant à un Etat ennemi. Le navire neutre soumis à la visite est exposé à la saisie dans les cas suivants : L Si le navire ne met pas en panne ou ne stoppe pas au signal donné par le navire de guerre belligérant qui veut exercer le droit de visite à son bord. 2. S'il résiste par la force à l'ordre d'arrêter ou même» s'il essaye de lutter par la force ou s'il s'y prépare 3. S'il ne peut justifier suffisamment de sa nationalité. i 4. S'il n'a point de papiers ou s'il les fait disparaître.5. S'il a des papiers doubles ou des papiers qui sont ou paraissent faux. 6. S'il est convaincu ou soupçonné de rupture de blocus. 7. si le capitaine s'oppose à la visite des endroits ou des contenants dans lesquels on soupçonne qu'il se trouve des papiers ou de la contrebande de , guerre, ou s'il refuse d'ouvrir ceux qui sont fermés. 8. Si la cargaison se compose de contrebande de guerre. En cas de saisie, les papiers el la cargaison sont mis sous scellés; un personnel suffisant amarine le navire saisi pour le conduire dans un port de la nation du belligérant qui a opéré la saisie, et enfin le tribunal compétent statue ensuite sur la validité de la prise. C'est la procédure suivie généralement à l'époque actuelle. Cependant, il y a des cas où la prise ne peut être conduite dans un port de la nationalité du capteur : il peut, y avoir aussi des circonstances militaires qui empêchent l'application pleine de la procédure. : Il peut être admis, que la prise soit prononcée par le croiseur, et que, dans l'impossibilité de conduire le navire dans un port, la destruction de la prise s'impose. C'est la manière de procéder qui fut adoptée notamment lors de la guerre de Sécession américaine, par les croiseurs fédérés qui brûlaient leurs prises en pleine mer et n'ont jamais, de ce fait, été considérés comme pirates. Dans ce cas, les équipages et les passagers, embarqués provisoirement sur le croiseur, sont déposés à la première occasion sur une côte ou un bâtiment neutre. La possibilité de détruire la prise est reconnue dans des cas de force majeure, mais la destruction -ne peut qu'être consécutive à la visite, qui doit être faite dans des formes réglées : avis donné au navire à visiter par un coup de canon, dit « coup d'assurance », visite réelle par un officier sur une embarcation détachée du bord ; elle ne peut avoir lieu qu'après que l'équipage et les passagers du navire visité ont été mis en sûreté. Les plus grandes machines à courant continu du monde Le développement toujours croissant de l'industrie électrique oblige les constructeurs, pour élever le rendement des installations, à établir des machines île plus en plus puissantes. On construit couramment des turbos-altemateurs de 35.000 chevaux et plusieurs projets comportent l'utilisation de groupes similaires de 40.000 chevaux. La puissance des génératrices à courant continu est restée très inférieure à ces valeurs en raison des difficultés sérieuses île construction, particulièrement au point de vue de la commutation. L'Amérique qui pensait avoir le record de la puissance avec deux génératrices à courant continu de 3750 kilowatts, se voit, à l'heure actuelle, dépassée par l'Europe. En France, dans les ateliers de la Société alsacienne de constructions mécaniques à Belfort, on a acheve la constriiction d'une génératrice monstre don1 la puissance normale est de M00 kilowatts. Cette machine est destinée à la station centrale des aciéries de Longwy. C'est une génératrice à 3 fils, donnant >80 volts entre les fils extrêmes, avec bobine de self formant ] artageur de tension ; elle donne normalement 9170 ampères, sa vitesse est de 94 tours par rr,'nut;\ I.es pû es inducteurs, excités en dérivation, sont an noiiiluv de i-, ; la commutation est facilitée par la présence de pôles auxiliaires et d'enroulements de compensation. Son diamètre extérieur total est de 5 m. 22 et celui de l'induit 3 ni. 80. Le poids de la partie tournante est de 35 tonnes et le poids total de 7S tonnes. Il faudra pour la transporter non pas quelques camions, mais bien plusieurs wagons. Cette génératrice sera accouplée directement avec un moteur à gnz et un volant. Une deuxième génératrice, identique, vient d'être mise eu construction. Un pas de plus vient donc d'être fait dans la construction électrique. AVIS. Exposition permanente de 10 à 5 heures heure Belge) de tableaux de maîtres et objets d'art, Salle Buyle ; place de Meir, 129, Anvers ...Direo-tion : Guillaume Campo, adresse et galerie privée, rue du Paroissien, 4, Anvers. AVIS. Pour vos ventes à domicile, après : Décès, départ, cessation de commerce, etc., adressez-vous direcieîr.ent à la plus ancienne salle de ven'e de la ville, 9 et 15 Marché-au-Grains, direction : Louis Simons. Rhein- und See-Speditions Gesellschaft m. b. H. En charge pour COLOGNE le bateau KOELN 32 A suivre par des départs réguliers Pour frets avantageux pour TOUTES LES DESTINATIONS RHÉNANES s'adresser aux bureaux Canal au Sucre, 5. Hansa Huis Transports pour toute la Belgique de marchandises par service accéléré et à piix réduits S'adresser : 65, RUE SANDERUS, ANVERS. La maison s'occupe des formalités de sortie. SERVICE DE MESSAGERIES Auguste VEREYCKEN 32-32a, rue Picard, Bruxelles-Maritime Camionnage. Transport de marchandises dans toutes les villes autorisées. 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Dit item is een uitgave in de reeks Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Anvers van 1858 tot 1979.

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