Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

1103 0
25 augustus 1915
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1915, 25 Augustus. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/w37kp7vt3n/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

ANVËRS; Mercredi 25 Août 1915 Le numéro 10 centimes Cinquante-huitième Année - No 17.393 & RÉDACTION : VLEMINCKX, 14 &.) $1 • /ANVERS — Téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la. petitei ligne.— 50 centimes la double, ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses'industrielles 50 centimes ..Émissions et Annonces financières : Prix à convenu-Lés annonces sont mesurées au litfnomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. - ■ —— Observations irlétéorologiques de Ml F. Agtlie; optlcieii, rue Léopold; 51. Anvers, 25 août' 1915, 1(3 h. du matin. — Baromètre 769 — rherœoraètre-cent (max) .j- 2l. — Thermom cent, (min.') 4 14. — Pluviomètre — m/ni.—Vent. Nord;— Prévision : Beau. Asti'Ortonl'îe 26 août Le»er du soleil 4 h. 45 tn.'matin — ' 4,45) Coucher du soleil' 6 „ 44 „ soir = ' 13,44) Lever de la lune 7.2,, soir = (19. 2) Coucher de la lune .... 6 „ 34 „ matin = ' 6 34) Dernier quartier le 1 sept. . . 2 „ 57 „ soir = (14^57) Nouvelle lune le 9 sept.. . . 12 „ 53 „ matih = (12.53! premier quartier le 16 sept. . . 7 „ 21 „ matin == ( 7.21) Pleine lune le 23 sept. ... 9 „ 35 „ malin = ( 9.35) Haute marée à Anvers Matin Soir 26,aoûti,4 h: 15 m. = ( 4 h. 15) I 4 h.'32'm. —'16'h.-32) 27 août 4 h. 48 m. — ( 4 h. 48) 5 h. 4 m: ~ '17 h: 4) 28 août 5 h. 20 m. — 5 h. 20) | 5 h,-36 ni. 17 h. 36) (Hèure-belèe). Hauteur du Rhiti1 Cologne 23 août 2,32m Strasbourg 21 août 3,11 m. Hurtingen 2Ù .. 2,41 „ Laute'rbourg „ 4,89 ., Kéhl - 3,21 „ Ma'xau „ 4.70 „ Mànnhein» 21 „ 4,18 „ Germerèheim „ 4,60 „ Caub 22 „ 2,43 „ Mayence ' \ .47 „ Xuhrort „ 1,46 „ Bitigen „ 2,23 „ Duisbburg'21 „ 1,53 Coblence „ 2,53 „ Waldshut .. 3,10 „ Dusseldorf „ 2,16 „ LoMth 23 „ 11.13 „ Hauteur du Main Hauteur du Nëckar rràn'cfort' 211 août 2,07 m. Héilbronn'21 août 0.34 m. HauUur' de la Moselle Hauteur1 du ' Bodensee 1 Irévfes 2t août 0,18 m. Constance 23 août' 4,05'm: Port d'Anvers ARRIVAGES DU 24 AOUT I steamer NVilford IV, de Tamise. Union y, dé Bruxelles. » Union' VI, de Bruxelles. « Stad Amsterdam IV, de la Hollande. » Stad Amsterdam, de la Hollande. JÔNKHÉËR Çoenën, de la Hollande. » Amsïel V, jlë la Hollande'. Ilatèan-inôteor KoopiiandeL II, de Louvain: ARÏô'rsI, de Louvain. Yacht Laeken" 8, de Bruxelles; Allège Doel 7, de Doel. .1 Stani si.as-, de •Calloo1. » John, de Biirglit. Emmanuel,' de Bornhem: Franco-Belge; dé' Mèrxern. » Laure, de Lozen. » Phiéomène; de Lozén. Maria-ThéRKsia, de Moll. » GabrIeLle 1, de Breé. » Gabrielle 2, de Bree. d PhaRaïLde,' de Vilvordé. Duô 5, de Liège. » Duo 6, de Liégé. « Islam, de Renory. » Eole, de Ren'ory. Dankbaarheid, de la Hollande. Twee Gebroeders, de la Hollande. NÎeUXve Zorg; de la Hollande. » Twee Gezusters, de la Hollande. dhn: Ge'/.û^teRs, de'la Ho]lande. » Drie Gebroeders, de la Hollande. Zes GebroIîdèrs, de laUollande. » VroUw Johanna, de la Hollande. Geertruida, de la Hollande. » De Valk, de' la Hollande. I DEPARTS DU 24 AOUT [steamer Union III, pour Bruxelles. JONKHEER Coenen, pour- Bruxelles. » Stad Amsterdam IV, pour Bruxelles. » Telegraaf 'II,1 pbui* la Hollande. Bateau-moteur Henriette, pour 'Bi-u^ëlleS. Allège Doel 7, pour D'oél. [ » Stanislas, pour Calloo. [ » Gabrielle 1, pour HObokén. | » Gabrielle 2., pour Hoboken. » hui:ibO(it '17, polir Bornhem.; I » Maria-Thérèse, pour Tamise. » Jeune'Frà'nçôts,' pouf Baesrôdé. » Arbeidsvrucht, pour Boom. » Rupel, pour Boom. » Ma'rie-Loijis, pour Bruxelles." » Maria, pour Bruxelles. » Egina, pouf Arbièfe'. » Louise, pour Moll. » Envieux, pour:Liége. » Zélateur, pouf Liège. » Captai;, pour Liège'.'" » Georges &'Maurice,1 pour Liège. » JosEPi'i-BERfrAfcD, ' pour fiharleroi. » De twee Gebroeders;" pour Chàrlèroi. » IJnivêrS, pô'uf Mons. | » GabriéiIle, pdur 1 Mons'.x [ » I.K PlIAïiE, poul-Mohs. De VRÔUW LôOis.v, pour la Hollande.1 I » Jongé Piet, pour la Hollande. I " ."i*)NGé Jan, pour la Hollande. ViscuHANDEli, polir la 'Hollande. Awa-AIarie, pour la Hollande. Pwlomena,- pour la Hollande. Henri', pour la Hollande. Eugénie, pour la Hollande. 11 Heinrich-Wilhelm, pour l'Allemagne. Notes de jurisprudence LE FLEÀU DÈS LAPINS Les citadins ne se rendent guère compte des dùprj-l;«ions causées par les'-lajilife d(ins certaines cam-uignes, uù'il y'a 'des' tettiiiiis dé'eliasêfe'. Ces :agiles [Ijaarupôdes ne font qu'une bouçliée des récoltes l"i leur tombent sous la dent. Il est des endroits II les fermiers'ont, été' obligés de se syndiquer pour pendre eu justice leurs droits-contre les déten-Ç'urs de terrains de citasse coupables de favoriser |l multiplication des laptns.ou omis de prendre les tiesures suffisantes pour en réduire le nombre. Une a du /, avril 1900 impose aux titulaires des 'obligions a cet égard. ûr, il paraît que dans ces; dertiferè' leilrps les la--as foisonnent de telle sorte dans l'arrondissement s [num que c'est un véritable fléau. ■ Le juge de'paix de Tliuin a eu ïi connaître d'ùné R 11 11 Produite par des fermiers contre certains ■"aaseurs dans et- laquelle, les demandeurs se réclti-1,,'. ™ susditè loi. Ils reprochaient aux défèn-t. ? 'ivoir plis, l'hiver dei'niei\ pris des mesu-Hv , flestl'liction ù l'époqûe; ou' ces mesuïes' sont Riitl il et efficaées ; les battues favorisées par la ■ "te des feuilles, le furetage' alors que le lapin ,êr et «"'u n'l Pas de lapereaux, le dé 1 i f s ferriei's et des ralDouillèfes. a^ihin, ldeurs excipaient dans ce pr-ocès de l'im-bhr!» ? °U lls se sont trouvés à partir du 2G no-ivpmL« reco,irir aux mesures en quéstiôn.' Le 20 ( nt ni '-un décret allemand a été promulgué por-J, 9U{ suit : L de;,la: bliasèe' h'ëst' perniis' qu'aux offi- a ip1Ieman(ls- Le gibier appartient à l'armée alle-ovpii'i l)-ra Croix-Rouge. La caxjture'du gibier au t tri e. r!,ets.' bricoles ou de toutë; autre 'manière L;es sévèrement intercïite et'sera punie. » ■ ' suite de cet arrêté, — ont plaidé" les1 défen-a^1cu,nc. mesure-ne peut'être prise pour la ivl i0nr,u.8il)ier lapin ; la capture du gibier au y n ae lilets, bricoles ou de' tout 'autre' manière st'U-renient interdite 'et sera punie';' eri' présence Tnû i> ! ?e la mesuré On peut considéref que iiiûJ aÇc^s de la forêt est strictement interdit au U1&ire du droit de ^hasse et à ses gardes. 11 est vrai' que le 10 ja'nviéf 1915 lé chef impérial d'arrondisSeliiënt a pi'is uii' nouvel arrêté ainsi conçu : « L'exercice de la chasse n'appartient qu'a,ux seuls nlilitaifes ariénitinds. lv6uf obvier aux dégàls causés par le gibier, comme les Belges ne peuvent actuellement porter d'arnlès, il est loisible aux détenteurs de ciiasse de capturer aveë filets ou au luret, etc., lé'petit gibier et spécialement les lapins sauvages. Pour alitant que tellé est leur intention, les intéfesséS'dbiventdeniahder aux chefs d'arron'dis-seilient soit pour eux, soif pour léUls gardes-chasses dëâ caries d'auhifixation qui ledf sont d'clivréés pour le but détermhié. » Or, les moyens autorisés par la loi en dehors des battues pour détruire le lapin à- partir de la seconde quinzaine de février'sotit* bien peu efficaces ; L'emploi du filet laissé coihme pi'èmièf moyen de destruction par l'autorité allemande est impossible. En effet, pour employer cet engin, il faudrait le posséder ou pouvoir se le procurer; or, le filet est un engin prohibé doht le transport et la détention sont punis d'une amendè; de 100 à 200 francs plus la confiscation1,-aux ténues de l'article 8 alinéas I à 4 de la loi du 28 février 188'2! Les demandeurs invoquaient encofe l'arrêté du 13 mai 1915 du gouverneur général réduisant au montant simple du dommage, le dommage causé aux fruits et aux moissons. Sans doute, répond la partie défenderesse, l'autorité allemande a pris cet arrêté parce qu'elle estime que ce principe est plus juste que celui admis en Belgique du doublé dommage et parce qu'elle n'admet pas la peine du double dommage 'dans sù. législation ; il est vrai, que la mesure décrétée est motivée par les circonstances actuelles ; mais cela ne veut pas dire que, vu les circoii&tarices actuelles, le propriétaire dé récoltes a droit dans tous les cas an dommage single ; cela veût dire quë, vu les circôn-I stances, on ne pourra jamais'réclamer le double dommage ; Le juge, se rangeant à l'avis dé la partie défenderesse, déboute les demandeurs. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES^ ETC. Carte'rs'well, Windsor. Londres, 23 août. — Les vapeurs anglais Carïèrsnvei.l et Windsor ont été ; coulés. Les équipages soiit sauvés. Cober. — Londres, 22 août. — Le capitaine et l'équipage diï steamér ahgl. COBÈli, qui a été coulé, : ont été débarqués ' ici par le' vapeur néerlandais ; ai oin.n' 1kendam. (Le Cober était construit en i904, jaugeait 3066 'tonnés'brut, et'appartenait'à: la London & Northern S." .s: Co Lt(.lj, Daghestan. — Londres, 22 août. — Le vapeur belge D'UiHKHTAN a été coule. L'équipage est sauvé. ùiorned. — Londres, 23 août. - Le steamer anglais l)io.\iïn a ' été coulé. L'éqtujiage' a'été débarqué. Londres, 23 août. — 10 hommes'de l'équipage du Oiomed ont péri. (Le Dio.med 'jaugeait 4072 tonnés bfiit et 3t")05 tonnes ; net et était la propriété de la: Océan S. S. Co Ltd). William Dawson. — Londres, 22 août. — Le stea- jiner anglais William Dawson a fait explosion. —•" L'ouiagan dans le Golfe du Mexique ; Amsterdam, 22 août. — Lors de l'ouragan q'ùi à sévi dans lé golfe du ' Mèxiquè, quatre navires' ont |l'té poussés a la côte ; ce .sont I'ëaton Hall, le H \Vii» iIiead; le Ri-BsToi\"et"'le HA«b;spÈN. f Pn Quart de la récolte dé 'cotoii' du Texas a été •détruit, et les terrains pétrblifôrès ont ét'è sërieuse-inerit- endommagés. Parmi les villes qui ont particulièrement souffert, on cité Galveston, Houston, Texas-City, et Port-Arthur. J — 3P — BELGIQUE HAINAUT Les mineurs du bassin de Charleroi sont, j)Our la plupart, en grève. lls réclament une. augmentation de salaire de 10 p. c. Les patrons n'acceptent pas ce taux. HUY Une société .coopérative pour 1'al.im.entation vient d cti'e constituée àj Huy. Sa dénomination tfst : «Comité de ^sécoUfs et ' d'alimentation dé l'arrond.is-sein'ênt de Huy ». Le but de cette société est, d'opérer le ravitaillement de la 'pdpulation civile',de Kajrpndisseineht de Huy par l'abliat et la vente dé céréales et de denrées jaliinentaires et la distribution du fonds de secoilrs. ;LIle pourra "aussi faire tous achats et ventes d'autres objets nécessaires îi. la.vie, ai^nsj. .que toutes Supérations de prêt, d'escompté et ,d'avances avec ou sans garantie. Elle aura une durée de cinq ans et pourra /être prorogée. [ Le fonds social est formé de parts dé cent francs chacune, en nombre illimité, nominatives, indivisibles et incessible à des tiers. Son minimum est fixé î? 1:1 soTnnie de '.fient ni,Llle francs. Près de 150.000 jli'ançs ont été immédiatement souscrits! | La société sëi'a .ulniihistrée par un coiiseil d'admi-jiist.ralion composé de sept membres au moins et de numze au plus choisis .parmi les ,asso,ciés. Ont été înimmés adrniiustrateurs: MM'! Louis Chai-iiaye, boiirgrnèstfe de' Huy ; le député comte PieiTe ne Liedkerke ; le député përïhahënt De Barsy ; 13a-tloul; industriel à Huy ; .làbo'n, bourgmestre d'Om-bret ; Paquet, échevin d'Aliin ; Clément, bourgmestre d Amay ; Huiuont, bonrgmestre d.'Ampsin ; Mahaux, bourgmestre de Marchin ; Kuïaiixj industriel.à Huy;. \ rancken, industriel à Huy; Conrardy, secrétaire des Hospices civils de Hiiy ; Fabfi, banquier à Huy ; marquis V: Imjperiali, député,à Tinlot ; Georges Limage, éleveur à WarVz^:. Ont été nommés commissaires : MM, Charles Del-love, banquier à Huy ; Fèrnaud Lébèau, avocat à Huy ; .1. Derricks, juge ;iu tribunal de première instance a Huy ; Georges Van de'n Keibpom, indiisiriëï a Huy ; Charles Priori,', industriel a Huy. A SCLESSIN-OUGREE A la société des Ateliers de la Meuse, qui occiapait plus de 000 ouvriers; et dont la situation allait crescendo, les ouvriers, ne travaill-ent guère que quarante-deux heures par quinzaine. La cherté de certaines matières premières et leur rafété ne permettent pas de travailler davantage. L'Electricité du Pays de Liège travaille au complet, mars n'occupe guère que 40 ouvriers. Aux Ateliers Demalzine (fabricple d'engronagès) on travaille c.titq demi-journées par semaine. Les établisserriènts François occupent leurs ouvriers quatre jours par semaine, à raison de sept heures par jour. Les établissements Hanot, Bosseler, Laroche sont fermés, mais n'occupnjent pas beaucoup d'ouvriers. On travaille partieHèfnent à la. société de rEstalri-page et -a la société des Moteurs. Les' établissements Kettin ont été repris par la société Ougrée-Mariliaye. Une centaine d'hommes sont encore occupés. Certains travaillent la semaine entière, les autres "commencent lé mercredi. Ils touchent une demi-journée seulement. C'est du reste le Systemé en vigueur à Ougrée-Man'Jiaye. Dans la situation actuelle, il faut bien que chacun y mette du sien, car beancouj) d'industriels, au lieu dé faire travailler, auraient plus d'intérêt à Xérmer boutique. II y a trois charbonnages sur Sclessin : les sièges \ ai-Benoit, Perrpn et Grand Bac, de. la. société du Bois d'Avroy. Dans, ces trois cha.rbonnages on tra- : vaille à pleins bras. EXTÉRIEUR NORVÈGE CfiRistiànïÂ, 22 août. — Le Storting a ad.ppté le : projet de loi concernant l'établissement d'yj'rr monopole provisoire pc/ur les céréales. ETATS-UNIS Les échantillons sans valeur et la consignation des droite Il n'existe pas aux Etats-Unis de dispositions analogues à celles qui existent eu France et autres pays pour l'entrée en consignation, de droits des échantil ions de voyageurs. Actuellement, l'entrée aux Etats-Unis des échantillons de voyageurs est régie par la décision du trea sury Department du 11 décembre 1911, qui stipule, entre autres, que des morceaux de drap, bordures, dentelles, broderies, tapisseries et tous tissus n'excédant pas en dimensions les échantillons de commer ce habituels, peuvent êtfe introduits en franchise de droits, sans tenir compte de leur valeur commer ciale. Les échantillons de tissus qui dépassent les dimensions indiquées plus bas, devront être classés coin me tissus de valeur marchande : Tissus pour confections dépassant 36 pouces (90 c/rn) ; Tissus pour complets pour hommes, si inutilisa bleà pour la fabrication des gilets, dépassant 2^ pouces (67 c/m 1/2) ; Tissus pouvant êtrè employés pour la fabrication (les gilets 18 pouces (45 c/m) ; Tissus coton unis et doublures 26 pouces (65 c/m) Tissus soie de toutes espèces 18 pouçes (45 c/m) ; Tissus soie en petits morceaux, importés d'une façon évidente pour être employés comme échan tiUons, sont exempts de droits jusqu'à une longueui ne • dépassant pas 27 pouces (67 c/m 1/2) ; Passementerie soie et soutaches 12 pouces (30 c/m) Tapis 1 1/4 yard de long. (1 m, 15). Tous les tapis doivent être lacérés. Tapisseries 80 c/m sur 140 c/m : Velours, non coupés sur les biais, peluches et dou bllires 18 pouces (45 c/m) ; Tous tissus unis, non spécifiés ci-dessus 36 pouces (90 c/m) . Tous les articles pouvant, être vendus ou utilisés comme marchandises ne doivent pas être introduits comme échantillons à moins qu'ils ne soient coupés ou martelés ou timbrés d'une façon visible et inef façable ou imprimés dans la matière du mot « sam pie » (échantillon) de façon à empêcher toute chance de vente. Tous les articles ne remplissant, pas les conditions ci-dessus seront taxés conlme marchandises. Les vins, alcools, liqueurs et autres liquides sort sujets au paiement des droits d'entrée quelle que soit la dimension du contenant fj,ans lequel ils son importés. Les articles introduits pour la distribution gra tuite, plutôt comme réclame que comme échantil Ions de commerce, sont taxés comme marchandise: s'ils sont, utilisables ou peuvent être, vendus. Les articles déclarés par le vérificateur rommi échantillons inutilisables pour l'emploi ou pour lr vente comme marchandises, seront admis franco dt droits et peuvent, néanmoins, être accompagné: d'une facture ou d'une déclaration de valeur. La production du pétrole North Càucasian Oildfields La production dii pétrole pendant la semaine fi nissant le 17 août s'est élevée à 439.725 pouds, contre 454.651 pouds la semaine précédente et 452.941 pouds pendant la période corresiJondante de l'année 1914 La production totale de cétte année s'élève à 13 mil lions 786.728 pouds contre 12.905.881 pouds pendarr la même période de l'année passée. : + ' i—— i— Le code de commerce chinois (Suite. — Voir nos numéros des 11, 14 et 21 coilrant, L'article 36 prohibe là compensation de dettes en tre la société et ses actionnaires en déclarant que ceux-ci ne peuvent considérer leurs créances vis-à vis de la société comme représentant des actions. Nous avons vu plus haut, à l'article 26, que les actions ne pouvaient être divisées en coupures. L'article 37 porte : « Plusieurs personnes achetani ensemble une action pourront lé faire sous le non de l'une d'elles. Celle-ci séra chargée de recevoir ei de distribuer les dividendes, mais chacune d'elles demeurera individuellement responsable si l'es fonds ne sont pas versés aux époques où ils doivent l'être.» La base de la division juri'di'gue des actions, selon notre, code, en actions nominatives et actions au porteur, est en rapport avec les principes gouvernant la cession de créanc'e. Daiis ce projet de code chinois, il n'est tracé nullte part de ligne bien nette entre l'action nominative et l'action au porteur ; i! | semble même toujours requis que la société con iiaisse l'individualité de chacun des porteurs de ses litres. ,l)e plus, vu la brièveté des dispositions relatives » aux sociétés autres ejue celles par actions, c'est-à ! d;re les sociétés par union d'apports, — « Ho tzeu ko.ung seu », — qui sont ce que nous appelons des sociétés dé personnes, on ne peut pas non plus faire ressortir, en se basant sur les termes de la loi, de différence entre actions et parts d'intérêt, entre le droit de l'aSsocié dans une société de capitaux el celui de l'asèocié dans une société de personnes, c'est-à-dire une société où la considération de la pèrsonnalité des .cosociétaires est- déterminante quant à l'adhésion de chaque associé au groupe | social. Voyons maintenant les articles réglant la transmis-i sion des actions. AriT. 3-8. — Si la chose n'est pas contraire aù règlement de la société, les actions peuvent être vendues à volonté, mais l'acheteur doit se rendre au siège céntral de la société et y faire enregistrer la vente pour que celle-ci soit reconnue. L'article 55, cjui se trouvé dans la section'III, parle d'un registre des actionnaires. Voici cet article : « Il sera tenu au siège céntral de la société un registre nominatif des actionnairés. Il devra contenir les menti oh s suivantes : noms, prénoms et domicile des actionnaires ; nombre d'actions de chaque actionnaire, avec indication dès numéros de celles-ci : somme payée sur le prix de l'action et à quelle date ; date (jour, mois ét ànnée) à laquelle "l'actionnaire s'est rendu acquéreur de son àctjon. Aux termes de cet article, il semble bien que l'action -soVt céssible en tout temps, quélle que s'oit là somme qui ait été versée sur son prix, mais qu'en revanche la personnalité de chacun des actionnaires doive toujours être connue de la société. Les conditions économiques de la Chin'è actuelle expliquent parfaitement ces dispositions dè la loi ; il n'y a en Chine ni grande industrie, ni marché de titrés chinois. Les grands appels de fonds pôur la formation de com-pa'gnies de chemins de fer ont toujours été faits sur léS plac'es étrangères. Art. 56. — Tout, acquéreur de titres, dès son inscription au registre dé la société devient actionnaire. Ses droits et avantages ne différent pas de ceux d'un autre a&socié ayant pris part A la fondation ; ses charges et responsabilités sont, les mêmes que r-elfes des .autres actionnaires. S'il faut, procéder à de nouveaux apports de capitaux, il est obligé de s'en aCffùittér. Nous avons déjà vn l'article 57 parlant des achats de titres par les étrangers. L'article 58 autorisé' l'actionnairè. détenteur réel d'actions a son nom, à aller examiner les comptes au .siège d.e la société, en cas d'affaires quelconques, que la part de capital qu'il détienne soit minime ou considérable. L'article 54, qui mentionne les pièces devant figurer aux archives, parle également d'une liste complète des actionnaires. , L'artiric se rattache également à la transmission des actions. La société ne peut, ni racheter ni donner e'î^ gage les actions émises par elle. Trois articles, 40, 41 èt 42, s'occupent de la situation des actionnaires qui négligent dp, répondre aux appels de foncls. Après une mise en demeure et. un délai de quinze jours, ils sont, faute de s'exécuter, ()o leurs droits et leurs actions sont cédées à d'ahtres ; ris 'restent néanmoins responsables vis-à-vis de la société, dit l'article 4&, si le prix de vente des- titres- ne représente pasTe montant de ceux-ci ; La rédaction de ces articles n'est pas très claire,- surtout eh ce qui concerne les délais.- On veut sans doute donner queUpie ltttitiidé a l'exercice du Chang leang, c'est-à-dire dë'ee talent de discuter une affaire que l'on désire arranger à l'ai niable- que possède à- un si liaiit degré le Chinois de toute classe-et' qui} en politique comme eri affaires,- est1 comme les-langues d'Esope, à là fois là meilleure et la pire des choses. Chang leang est une expression qui, comme chacun des deux tonnes qui la composent, signifie simplement négocier, discuter un peint quelconque en vue de lë régler, de l'arranger. En même temps, c'est un de ces leHnes dont la. signification exacte, accompagnée des nuances infinies dont elle est susceptible, ne jieut être comprise que par un contact réel avec le peuple qhi l'emploie et la traduit dans- sa. vie, par une pratique dès affaires longue et continue dans le pays même. Saisir la valeur de ce terme, c'èst. acquérir la.' façon de négocier, de traiter les af-fàirës de toute espèce eu Chine, car il est un de ceux qui aident le mieux à comprendre l'àme chinoise dans ses- manifestations variées. Il résume à lui seul des qualités et des défauts : le bon sens, l'art d'envoyer poliment promener les gens, la remisé à demain de ce qui pourrait ou devrait se fàifè aujourd'hui; l'esprit de conciliation, le sentiment de la justice, la. manie des délais, l'habileté à se tirer dès situations difficiles et bien dîàutres choses encore qu'il importe de savoir immédiatement saisir quand on négocie avec les Chinois. Des contestations peuvent surgir entre les membres d,e la société et celle-ci- représentée par le conseil d'adminis;ration. Elles doivent être tranchées par le Ministère du Commerce ; ceci résulte de plusieurs articles île la section III. Rappelons à ce propos que si la Chine se modernisait déjà en 1904 et s'est encore beaucoup modernisée depuis lors, la séparation des pouvoirs y est en fait., jusqu'ici, quelque chose de pratiquement inconnu. Cette constitution d'un Ministère ou, oins exactement, d'un Département administratif métropolitain formant. une juridiction chargée de trancher des contestations d'ordre civil et commercial, est ici une bonne mesure, vu les circonstances de temps et de lieu. L'article 54 s'occupe des archives de la société. ; Nous l'avons déjà mentionné en passant,, à propos de la cession d'actions. Le voici : « Les contrats passés au moment de la fondation rie la société, les procès-verbaux des délibérations- et. décisions des assemblées générales des actionnaires devront être conservés au siège central de la société et dans ses succursales, afin que les actionaires et les créanciers de la société puissent, à l'occasion, aller en prendre connaissance. » Nous avons dit plus haut que- les circonstances de temps et de lieux de cette loi sur les sociétés ne sont pas celiles de nos pays à grande industrie, à sociétés anonymes multiples et puissantes, à grands marchés de titres. Ceci explique les droits considérables concédés à factionnaire individuel en matière de surveillance des affaires de la société. Nous ne pouvons mieux faire que de citer ces dispositions. Commençons par l'article 58, dont nous avons dit un mot plus haut. L'actionnaire détenteur réel d'actions à son nom est autorisé, s'il survient quelque affaire, — Yu yeou cheu ts'ing, dit la loi, ce qui est un ternie des plus vagues,, — à se rendre à la société pour y examiner les comptes (1). Art. 59. - L'actionnaire qui se rend à la société pom' examiner les comptes doit en prévenir par lettre, trois jours à l'avance, l'administrateur en chef ou, à défaut de celui-ci, le directeur en chef, pour qu'il puisse préparer les documents. Les actionnaires de la société étant nombreux et les-personnes chargées de la gestion de la société ayant à régler ~ les affaires journalières, il serait difficile d'accueillir toute demande d'examën de Compte faite à n'importe quel moment- La chose serait préjudiciable à i la société dont elle entraverait la marche. Voilà pourquoi il est nécessaire de prévenir par lettre. (Dans le texte de loi, ces trois dernières phrases sont ajoutées entre parenthèses et donnent, à l'article une tournure qui ne rappelle pas- la concision habituelle des articles de nos codes). Art. 60. — L'actionnaire qui veut se rendre à la -société pour prendre connaissance de la correspondance et des documents doit également, trois jours à l'avance, prévenir pai* lettre l'administrateur en chef OU le directeur en chef, afin qu'il prépare les documents.Au, càs où ceux-ci auraient un caract re d'importance spéciale pour la société ou si leur communication offrait des inconvénients, l'administrateur en chef ou le difecteuf en chef pourrait, demander au conseil d'administration de prendre une décision quant à la coihriiunicâtion. Les correspondances secrètes ne pouvant, être publiées ne pourront, être remises à l'examen des actionnaires. Art. 61. — Si un actionnaire, sous prétexte d'examen des Comptes, de la correspondance et des affaires de la société, veut en réalité chercher un moyen de se livrer à des enquêtes personnelles et de s'attribuer des avantages spéciaux an détriment des intérêts pârticUM'efs de la société, le Conseil d'administration devra lui interdire cèt examen. Ce dernier article de la section III est assez typique : i,l aide, avec quelques autres, à comprendre mieux la genèse des révolutions et dès contre-révolutions en Chine, si l'on veut bien se transporter en esprit du domaine dé l'administration d'une société dans Celui du gouvernement de l'Etat.. ART. 43. — Si la compagnie désire attribuer des actions privilégiées, elle doit le faire au moment de la fondation, en le déclarant, à l'avance, sans qu'il puisse y avoir rien de caché. (1) La loi ne parle *pas de siège central ou de succursale.(a suivre). Bibliographies MANUEL DES COUPONS PAYABLES La firme E. bèswattines, agent de change à Bruxelles, vient d'éditer une brochure fournissant très clairèïnènt la liste des coupons d'obligations et d'actions payables à la date du 1er juillet 1915, avec, en regard, l'indication des établissements de crédit qui en effectuent les payements. Le Manuel est établi en suivant l'ordre des rubriques de la Cote officielle de la Bourse de Bruxelles et constitue ainsi le « Vade Mecum » pratique non seulèment des capitalistes mais encore des agents de change qui, très souvent, éprouvent des difficultés à renseigner leurs clients. Nous ne pouvons que recommander ce Manuel à ceux dè hos lecteurs que la chose intéresse, son prix minime de 0,35 centimes port compris le mettant, suivant Texpfession consacrée, à la portée de toutes lès bourses. On souscrit aux bureaux du Lloyd ànversois, 14, rue Vlemincltx, Anvers. Vient de paraître, éditée par les établissements Aug. Gilles, rue de Mérode, 96, Bruxelles, une intéressante brochure in-8° : « Le Moratorium et le Commerce », par Mr Maurice Tienrien, avocat à la Cour d'appel de Bruxelles, Secrétaire de la section de droit commercial de la Chambre de commerce de Bruxelles, avec préface pàr Mr Brunard, sénateur, président de la section. En voici le sommaire : Chapitre I. — Arrêtés royaux des 3, 4, 9, 18, 22 août 1914 ; loi du 4 août 1914. Chapitre II. — Section I : Les retraits de fonds sur les dépôts en banque. — Section II : Le payement des valeurs négociables. Motifs et examen des arrêtés des 3 et 9 août 1914. Rappel de la loi française du 13 août 1870. Débition des intérêts par le tiré acceptèur ou non ; par le tireur qui a remis des effets à l'escompte. Les effets impayés :par suite du moratorium perdent le caractère des dettes exigibles. Ils ne peuvent être inscrits au débit d'un compte courant, ni être opposés en compensation. ( La Banque qui omet d'aviser le tireur du nompaye-. mént des éfléts remis à l'escompte ne peut lui récla- . mer le payement des intérêts moratoires. Chapitre III. — La situation actuelle au point de vue économique Le prix.de cet opuscule est de ff. 1,50. On soùscrit au bureau du Lloyd Anvérsois,.14, rue Vleminckx,. à Anvers. Nous recommandons à nos lecteurs le très bon opuscule de Mr Ar. Carlier, avocat à Charleroi : La Question des loyers et la Guerre, (Pasque,- Charleroi, 50' centimes). C'est certainement ce qui, jusqu'ici; a été écrit de mieux sur le sujet. Mr Carlier, aux dernières nouvelles, en préparait une nouvelle édition. Il faut espérer qu'elle sera bien vite entre les mains de tous les propriétaires, de- tous les locataires, et qu'elle deviendra le petit code pratique des tribunaux d'arbitrage. On souscrit aux bureaux du Lloyd Anversois, 14, rue Vleminckx, à Anvers. Mr Emile Bousin, avocat à la Cour d'appel de Bruxelles a publié un volume de 150 pages : Le Droit et la Guerre (Ci. Meert & C°, Bruxelles ; 1 franc) auquel la Société générale dès voyageurs de commerce de Belgique a accordé son patronage. On souscrit au bureau du Lloyd Anversois, 14, rue Vlèmiiickx, à Anvers. Nous recommandons à: l'attention de nos lecteurs la brochure des plus intéressantes de Mr l'avocat Jean Thoumsin, du barreau de Bruxelles : L'influence de la guerre sur l'exécution des contrats. Prix 1 franc, port compris, vendu au profit de l'alimentation populaire. On souscrit au bureau du Lloyd Anversois, 14, rue Vleminckx, à Anvers. INFORMATION* FINANCIERES Bruxelles, 23; août. — C'est- toujours la même monotonie dans les transactions de titres. C'est, au surplusj toujours à peu près les mêmes titres qui changent de mains. C'est dire combien c'est peu intéressant. Ajoutons à titre de simjjie renseignement que notre Rente 3 p. c. mai-novembre reste demandée dans les environs de 69. Nos Bons du Trésor, de leur côté, se traitent encore vers 98. En lots cLe villes, les demandes restent assez importantes ; ainsi il y a actuellement des demandes en Bruxelles 1905 au delà de 64. L'emprunt de 1902 reste ferme. Les Anvers 1903 et 1887 gardent leurs cours précédents. Le Lot du Congo se montre actif et est recherché. Les autres lots de viles ont quelques petites transactions dans les prix de- la semaine dernière. En actions^ toujours peu d'affaires. Les ordinaires Pétroles de Grosnyi sont plutôt mieux disposées aujourd'hui, alors que l'ordinaire Katanga semble vouloir lâcher pied. En Tangajiyika, il y a quelques demandes vers 41. Avis. — Messieurs les obligataires et actionnaires de la Société anonyme des Chemins de fer Liégeois-Namurois (en liquidation) sont informés du paiement par là Société Générale de Belgique, à Bruxelles, et par ses agences en province, à partir du lr septembre 1915 : lb du coupon n° 47 des obligations 3 %, par 7 ff. 20 c., impôt déduit ; 2° des obligations sorties au tirage de 1914, par 498 fr. 12 c., impôt déduit ; 3° du douzième acompte sur le remboursement du capital actions, à raiSon de 8 francs par action, contre remise du coupon n° 12 de la nouvelle feuille de coupons. Compagnie Auxiliaire d'Electricité, Soc. anonyme, 8, rue de la Pi-esse, à Bruxelles. — Messieurs les obligataires sont informés de ce que la société met en payement le coupon dès obligations 4 1/2 %, échu le 2 janvier 1915. Ce coupon est payable par 1D fr. 80 c. chez MM. Cassel et Co, 56a, rue dû Marais, à Bruxelles. Société anonyme des Charbonnages de Bonne-Fin, 8, rue de Hesbaye, à Liège. — Les titres anciens de la société pourront être échangés contre des titres nouveaux aux guichets de la Société Générale, 3, Montagne du Parc, à Bruxelles. KK. priv. Bank und Wechselstuhen Act. Gesst « Mereur », à Vienne. — Le solde bénéficiaire net pour 1914 s'élève à C. 2.965-926,13 et le dividende de 5% est payble par C. 20, par action, depuis le lr mai dernier. La Rossitzer Bergbaugesllschaft ne paie pas de dividende pour l'exercice 1914. ASSEMBLEES DE SOCIETES Zuid-Hollandsche Beetwortel-Suikerfabriek, à Oud-Beyerland. — L'assemblée générale ordinaire se tiendra le jeudi 2 septembre 1915, à 2 heures, au No-tarisliuis, à Rotterdam. Société anonyme des Ateliers Monard, à Marci-nelle (Haùchies). — L'assemblée générale ordinaire aura lieu au siège social, le lundi 6 septembre, à 11 heures. L'Adriatische Bank, à Vienne, tiendra son assemblée annuelle le 9 septembre prochain. Société anonyme des Ateliers de Godarville. — L'assemblée générale ordinaire aura lieu le vendredi 10 septembre 1915, à 2 heures de relevée, au siège social de la société, à Godarville. AUG. BULCKE & Co Service de groupage entre: 1° ANVERS et les principales villes de la Belgique. 2° et la SUISSE. EXPÉDITIONS PROMPTES ROTTERDAMSCHE LLOYD Prochains départs de ROTTERDAM vers les ports habituels des INDES NÉERLANDAISES S/S « KEDIRI » le 1 sept. (s. i.) S/S « X » le 15 sept. (s. i.) Pour frets et tous autres renseignements, tels que eux con cernant l'EXPÉDITION D'ANVERS, s'adresser aux Agents RUYS & Co,, 9, Quai Van Dyck, Anvers. KARL SCHROERS - VOSS & LANGEN (ARMEMENTS RHENANS) Forfaits pour toutes quantités et toutes destiiations. En charge « VOSS & LANGEN 8 » » « VOSS & LANGEN 1 » Pour DUISBURG - RUHRORT - DUESSELDORF-NEUSS-UERDINGEN-CREFELDEn charge «VOSS & LANGEN 5» pour AMSTERDAM Pour frets s'adresser 35, QUAI VAN DYCK, (Entrée rue'Sanders,2)

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Anvers van 1858 tot 1979.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes