Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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13 februari 1915
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s.n. 1915, 13 Februari. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/dr2p55fb3m/
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•ENVERS, Samedi 13 Février 1915 Cinquante-septième Anr vr~ \n ooo DJgE^ÏON • (f) j& RÉDACT10Î ,^M^u^EMINeKX'14 Téléphone : 3761 LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navi Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne. Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. Astronomie 14 février Lever du soleil <> h. 59 m. matin J (6.59) Coucher du soleil 4 „ 56 soir - .6.56 Lever de la luae 7 .. 10 „ matm - 7-1" Coucher de la lune ... 5 „ 26 „ soir - Premier quartier le 22 fév. . . 2 „ 38 „ ma i« = Pleine lune le 1 mars . . . . 6 .. 33 „ son = Dernier quartier le 8 mars . . 12 .. 28 „ _ /19 42 Nouvelle lune le 15 mars . 7 „ 42 „ Haute marée à Anvers M *i f^' 4 h' 15 m' - ( 4 h 15) I 4 t 32 m. - '16 h. 32; 16 «T* 4 t 48 m. = ( I 5 t 3 m (17 1, 3, Hauteur du Rhin 7 s; m Strasbourg 9 tev. 2,14 m Cologne 9 fev. 2.52 m ^ 3 g5 Huningen . _ » Maxau 3 78 n [S6" . . " 3 - Germershein: „ 3.25 „ Mannheim .. Mayence 0.88 „ ba"b . " - „ Bingen „ 1 75 H- 1 64 .. Coblence .. 2.70 „ Wa'ldshut 1-92 „ Diisseldorf „ 2.22 Lobith 11 JcV' 11-93 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 9 fév. 2.22 m. Heilbroan 9 fév. 189 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 9 fév. 2 78 m Constance 9 fév. 2.77 m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 12 FEVRIER steamre Union i, de Bruxelles. » EUGENIE, de la Hollande. » UNION V, de Bruxelles. » WiLl'ORi) VI, de Tamise. Bateau-moteur Eclair, de Bruxelles. » Melanie, de Bruxelles. Régina, de Gand. Allège Rivière la Senne, de Wetteren. »* .lulia, de Bruxelles. » Sylva 31, de Hemixem. » stanislas, de Calloo. » Prudence, de Looybroek. « De Ster, de Looybroek. » Charlotte, de Moll. » Waterval onder, de la Hollande. » Maria, de l'Allemagne. » Constantia, de Louvain. DEPARTS DU 12 FEVRIER Steamer Rhenus 36, pour l'Allemagne. » Hermina, pour la Hollande. » Telegraaf iii, pour la Hollande. » Amstel ii, pour la Hollande. « Union ii, pour Bruxelles. Bateau-moteur Hoop in de Toekomst, pour Hamme Allège La Colonie, pour Gand. » Quatre Frères, pour Gand. » Corine, pour St-Gliislain. » Eenige Zoon, pour la Hollande. » Argo, pour l'Allemagne. » Goemare Grisar, pour l'Allemagne. » Le Globe, pour Termonde. » La Provenance, pour Steendorp. » R. S. G. 19, pour la Hollande. » Egalité, pour Rethy. » Artevelde, pour Liège. » Badenia, pour l'Allemagne. ARRÊTÉS modifiant le Décret du 10 Vendémiaire an IV : octobre 1795) sur la responsabilité des Commune; e t cas de vols, de pillages et de délits commis è force ouverte ou par violence. En égard aux obstacles juridiques et :'.e fait qui s'opposent à l'application de la procédure sommaire et rapide prévue au titre V article 2 et suivants du Décret du 10 Vendémiaire an IV et dans le but de permettre la constatation du dommage causé~par les excès qui ont été commis au mois d'août 1914 dans plusieurs communes de Belgique ainsi que la fixation des dommages-intérêts qui seraient dus de ce chef, les articles 2 à 8 titre'V du dit décret sont remplacés par les dispositions suivantes. Art. l'\ — Dans les cas indiqués aux titres iv article lr et V article lr du dit Décret la constatation du dommage ainsi que la .fixation des dommages-intérêts- qui seraient dus-se feront à la requête de la personne lésée par les soins d'un tribunal arbitral Un pareil tribunal- sera formé pour chaque province pour autant que le besoin en existe par le Chef de l'Administration Civile -près le Gouverneur Général.Art. 2. — Le tribunal arbitral se compose d'un président et de deux assesseurs ainsi que de leurs suppléants. Le président et son suppléant sont nommés par le gouverneur général en Belgique. L'un de:- assesseurs et un suppléant sont désignés par la Députation permanente, l'autre assesseur et son suppléant par le Président de l'Administration civile de la province. Le président et son suppléant doivent être qualifiés pour remplir les fonctions de juge. Si endéans le délai qui lui sera indiqué par le président de l'administration civile la députation permanente néglige de pourvoir à la désignation d'un assesseur ou de son suppléant, cet assesseur ou son suppléant seront'nommés par le chef .de l'administration civile près le gouverneur général en Belgique. Les membres du tribunal arbitral prêtent serment de s'acquitter consciencieusement et avec impartialité des fonctions qui leur sont confiées, et cela de la façon suivante : Le président entre les mains du chef de l'administration civile et tous les autres entre les mains du président. , Art. 3. — Le tribunal d'arbitrage détermine lui-mêm« la procédure qu'il compte suivre. 11 a le droit d'entendre des témoins et des experts sous la foi du serment, ou d'ordonner qu'ils soient entendus sous la foi du serment. Tous les tribunaux et toutes les autorités constituées sont tenus de donner suite aux demandes du président tendant, à ces fins. Art. 4. — Si l'un des assesseurs devait arrêter indûment la marche de Ta procédure ou faillir autrement à ses devoirs de juge, le Chef de l'Administration Civile près le Gouverneur Général peut, à la demande du président du tribunal arbitral, nommer à sa place un autre arbitre. Art. 5. — Le tribunal arbitral est convoqué par son président. Ses décisions sont prises à la majorité des voix. Elles sont définitives et immédiatement exécutoires. Art. 6. — Si la décision du tribunal arbitral prononce une condamnation à cles dommages-intérêts, celle-ci sera envoyée, dans les trois jours par le président du tribunal au Président de l'Administration Civile de la province. Celui-ci sera tenu de l'envoyer dans les cinq jours, à l'administration communale condamnée. Art. 7. — La commune sera tenue de verser, endéans les dix jours, le montant des dommagesTnté-rèts à la caisse ou au bureau des consignations que le Président de l'Administration Civile de la province indiquera, et cp aux fins d'être remis aux intéressés.A défaut de payement dans les délais sus-indiqués les dispositions prévues aux articles 11 et 12 du titre Y du Décret seront appliqués. Art. 8. —'Le tribunal arbitral fixera librement les frais4e la procédure, y compris les frais exposés par les parties.La rémunération proméritée par les mein-hrps du trjbunal açbjtral et par les experts pour les devoirs remplis par eux aibsi que les indemnités dues aux témoins pour la perte de leur temps et pour leurs frais de voyage seront fixés par le président.Art. 9. — Les demandes en dommages-intérêts qu'on aurait déjà fait valoir au moyen d'une autre procédure, seront renvoyées dans l'état où la procédure se trouve au moment de la mise en vigueur du présent arrêté, devant le tribunal arbitral compétent. pour y être poursuivies. Bruxelles, le 3 février 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing, Çolonel-général. l.es élections pour les conseils de prud'hommes Qui devaient se tenir au mois de mars prochain fart. 138 de la loi sur les conseils de prud'hommes 'lu 15 mai 1910) n'auront pas lieu. '.es mandats des assesseurs et assesseurs suppléants qui devaient expirer après les nouvelles élections, sont prolongés jusqu'à nouvel ordre. Bruxelles, le 3 février 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing. Colonel général. j AVIS Le samedi, 13 février, un exercice de tir aura lie des forts de l'Escaut. Des postes militaires, appartenant à l'artillerie cl la marine, interdiront l'accès au champ de tir. Anvers, le 12 février 1915. Le Commandant du Port. Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Il résulte d'un acte passé par devant .M1' Edouar Pollet, consul général de Belgique, à Londres, qu dans l'acte' de procuration du 14 octobre 1914, de 1 Société en commandite simple «(i. & C. Kreglinger> à Anvers, il y a lieu de lire en place de « Osca Rockstroh » les mots « Pierre Van Schoor ». Il résulte d'une circulaire en date du 31 décembr .1914, que les pouvoirs conférés à M1' Hans Buhlei par actes du 18 mai 1911, par les firmes « E. Karche & Co », en liquidation, et « Karcher & Co », à Anvers ont cessé leur effet par suite de suppression prov soire d'emploi. Les pouvoirs conférés par les même actes à Mr Louis Blondeau restent maintenus. Il résulte d'un acte sous seing privé en date du février 1915, que la procuration donnée par M Louis Verryken, courtier, à Anvers, à Mr Léo Scliuld, le 12 janvier 1912, est devenue sans obje et a cessé d'exister. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Chester. — Londres, 10 février. — L'équipage d steamer abandonné Chester est arrivé à New-Yorl-(Voir Lloyd Anversois du 8 courant). Frigga. — Londres, 11 février. — Le steamer non Frigga, (le Goole à Rotterdam, a coulé dans la me du Nord. Quinze hommes de l'équipage ont été sai vés et débarqués à Grimsby par les trawlers Relev et Bombay. — Rotterdam, 11 février. — D'après un télégramm particulier reçu ici, le Frigga a heurté un objet ir connu et a coulé. Tout l'équipage ainsi que les pr piers du bord ont été sauvés. Le Frigga, était part de Goole samedi et avait quitté le Humber dimanch Grindon Hall. — Baltimore, 9 février. — Le feu bord du steamer Grindon Hall, en route de La H; vane à Fahnouth, a été éteint. Toute la cargaiso: de sucre, dans la cale n° 2 est avariée par le.feu l'eau et la vapeur et est déchargée en allèges Le vapeur est apparemment indemne. Hoogezand I. — Londres, 9 février. — La goé néerl. Hooge/.and I, allant de Liverpool à Gibraltai est arrivée à Fahnouth avec perte de voiles et u canot, avaries à l'appareil à gouverner et diverse autres avaries. Maria O. Teel. — Rio Janeiro, 9 février. — Le si angl. Rio Colorado, arrivé ici, a à bord l'équipag de la goélette amér. Maria O. Teel, qui a été abdi donnée au cours (le son voyage de Philadelphie Ponce. Roisheim. — Queenstown, 10 février. — Le stean norv. Roisheim, allant de Gai-veston à Gothembouri. est arrivé ici avec perte de 2 ailes d'hélice. Tasmanic. Gothembourg, 10 février. — Le s Tasmanic, parti pour l'Australie, est retourné ic avec des avaries et doit réparer. Réassurances Londres, 10 février. — Burbridge (s.), 80 gns ; Cla , Stuart (st.), 80 gns; Engelhorn (voil.), 90 gns; Hei don Hall (st), ne peut être assuré ; Highland Bra 1 (st.), 90 gns ; Jean (voil.), 40 gns ; Kildalton (voil.; 12 gns ; Malakka (st.), 70 gns ; POTARO (st.), 90 gns Le sort des entreprises du Katangj Un discours de M' Williams La puissante compagnie anglaise des « Tanga nyika Concessions » vient de tenir son assemblée ; Londres. Comme le sort de toutes les entreprise: belges au Katanga est intimement lié à celui di cette société, nous publions ici presqti'in extenso li discours prononcé, à cette occasion par M1' Rober Williams, le « managing man » de cette affaire. « Je ne crois pas qu'aucune compagnie se soi trouvée dans une situation plus prospère ou plu: a même de faire face à ses engagements que h Tanga nyika Concessions, Ltd., avant la déclaratioi de la guerre. En fait pour payer l'intérêt à vos obi i gâtions j'avais .arrangé d'emprunter l'argent sou; forme d'avance sur les dividendes que mes collègues belges et moi-même considérons que l'Union Mi nière, dans laquelle nous sommes largement inté ressés, est certaine de payer. Je vais établir devan vous la situation de nore compagnie avant et après le début de la guerre, jusque maintenant. Je crois qu'en ce faisant je ne fais que-vous rendre justice afin que vous puissiez mieux saisir notre exacte po sition. Le capital de la Tanganyika est de £ 975.096 actions et il existe £ 2.170.480 d'obligations. L'a.cti: comprend surtout : 40 % île l'Union Minière du Haut-Katanga ; - 90 de la Compagnie du Benguella Railway ; 75 de la Rhodesia-Katanga Junction Railway and Minéral Company. Nous avons dépensé environ six millions de livres sterling pour l'acquisition et le développement de cet actif. En ce qui concerne l'Union Minière, le conseil est moitié belge el le gouverneur de la Société Générale de Belgique est le président de la compagnie. L'autre moitié est anglaise, moi-même en étant le vice-président, et représentant la Tanganyika. L'Union Minière possède d'importantes mines de cuivre, s'étendant sur environ 180 milles du Katanga. La production de cuivre de l'Union Minière en 1911 a été 997 tonnes en 1912 » 2.465 » en 1913 » 7.358 en 1914 » 10.630 Quatre fourneaux supplémentaires avaient été commandes et devaient entrer en production en or/via prochain, portant ainsi la production à 25.000 tonnes pour cette «année, et à 40.000 tonnes pour l'année prochaine. Le prix de revient du cuivre est actuellement £ f(> la tonne rendue en Europe, et grâce à l'augmentation de production, on estimait qu'il serait réduit a .£ 32 au lieu de £ 40. Il était donc bien clair, d'après toutes les estimations, qu'avec le cuivre a £ 60 la tonne, 1 Union Minière gagnerait approximativement £ 200.00(1 en 1914, £ 500.000 en 1915 et plus de £ 700.000 en 1916. U y a bien peu de probabilités pour que le cuivre tombe en dessous de £ 60, pour la simple raison que c'est là le prix de revient de nombreuses mines dans le monde, mais même slj tombait à £ 55, et notre prix de revient ne dépassant pas' £ 35, nous aurions encore un bénéfice de £ 20 la tonne. Les bénéfices à la tonne pour le minerai riche seraient encore augmentés, lorsque le Benguelln Railway serait terminé, et' nos opérations seraient également» fortement augmentées par le fait que le chemin de fer permettra l'exploitation de grandes quantités de minerai de moindre teneur et que le chemin de fer de Benguella gagnera lui-même beaucoup d'argent., rapportant de grands profits au chemin de fer du Congo belge et à la Tanganyika. U est donc clair que 40 % des bénéfices de l'Union Minière, sont déjà presque suffisants pour couvrir tout l'intérêt aux obligations, au moyen d'une production de 1.000 tonnes de cuivre par mois, et avec le cuivre à £ 60. Avec une production supplémentare de 2.000 tonnes par mois à partir de juillet prochain, l'intérêt de 40 % rie la Tanganyika dans les bénéfices de l'Union Minière serait suffisant, non seulement pour payer 1 intérêt aux obligations, mais même pour laisser un solde important. Notre intérêt de 40 % dans 1 Union. Minière représenté par 98.000 actions de cette compagnie est une des garanties pour vos obligations. Ces actions ont été traitées entre £ 25 et £30 durant les deux dernières années. Lorsque la guerre éclata, M1' Velge, le secrétaire de la compagnie, et quelques membres du personnel technique vinrent s'installer dans nos bureaux à Londres, avec un conseil légalement constitué. Le cuivre baissa de £ 60 à £ 48. Notre mécanicien allemand nous quitta, mais nous luttâmes avec les autres. Beaucoup (le Belges et d'Anglais quittèrent nos usines en Afrique et. nos bureaux à Londres pour lutter pour leurs patries, mais grâce aux splen-dides efforts de Mr Horner, le directeur à Elisabeth-ville, et à Mr Velge, en Europe, nous avons surmonté la tempête. Nous avons l'ait environ £ 70.000 de bénéfices pour l'Union Minière depuis le début de la guerre, et comme le cuivre est monté à £ 63, nous gagnons environ £ 20.000 par mois ac tuellement. C'est là le bénéfice rendu à l'Angleterre duquel il y a à déduire les frais généraux et autre ii charges en Europe. En vue, dès lors, de l'améliora tion si grande de l'Union Minière, nous avons don e né instruction au directeur d'ériger deux fourneau, supplémentaires, qui sont actuellement à Beira, e j'espère que nous pourrons graduellement accorr plir notre programme original d'exploitation ave sept fourneaux en en conservant un comme réserve 11 est presque certain que deux de ces fourneaux es 2 tra entreront en exploitation cette année. La situa tion actuellement apparaît beaucoup plus riante ai point de vue des bénéfices qu'on aurait pu s'y atta j cher. Je vous donne la situation complète au suje e de la-production du cuivre et des bénéfices proba i bles de l'Union Minière, puisque c'est sur la produc tion et sur les bénéfices de l'Union Minière que 1; r finance de l'intérêt à vos obligations sera basée. I me semble inconcevable qu'il nous faille plus d'ui e an pour payer cet intérêt, en égard aux bénéfice graduellement augmentant de l'Union Minière et ci r vue de ce que je sais être le désir de la Société G(' né raie de Belgique d'assister ma Compagnie fin an - cièremenh L'autre important actif, qui constitue un s garantie à vos obligations, est. l'intérêt de 2.700.00 actions de Benguella Railway. Ces actions sont con: 5 plètement libérées et représentent £ 2.700.000 qui on r été dépensées sur cette ligne. i La situation du Benguella Railway, il y a deu t ans, était la suivante : Je fus approché par un ban quier étranger qui me proposa de terminer le che min de fer avec des capitaux étrangers. Ici M. Williams expose comment il .entra en poui parlers avec la Deutsche Bank et pourquoi ces con sèrvations échouaient. « Une autre offre vient de financiers belges de f: , nancer la construction de toute la ligne, offre qu j'acceptai le 21 juillet, moyennant les condition suivantes, à savoir : Le contrôle restant entièremen dans les mains de-la Compagnie Tanganyika e soumis à l'approbation du Portugal. J'ai toujour i_ maintenu comme un principe fixé de la Tanganyik; 0 qu'elle n'abandonnerait la moitié de ses intérêts e la moitié de son contrôle .dans ce chemin de fer qu' e condition que les acheteurs lui rembourseraient 1 totalité de notre dette obligatoire de £. 2.000.000. • La Tanganyika a dû trouver et dépenser sur cett j ligne environ quatre millions de sterlings, et s p d'autres réalisent maintenant sa valeur, ils doiven payer leur juste part pour coopérer à l'entreprise. 1 Ces négociations étaient presque complétées lors que la guerre éclata : en fait, j'avais soumis le pre i jet au Portugal et j'étais parti en vacances, consi dérant la chose comme terminée.C'est vrai,la guérir a retardé ces plans, mais comme il y a eu compt tition parmi les plus grandes banques européenne pour financer le chemin de fer, je pense que von pouvez être rassurés sur la valeur du Benguell; 1 Railway. Si la guerre n'avait, pas éclaté il est cei - tain que j'aurais eu les millions nécessaires sou? evits pour accepter l'offre de Messieurs Pauling e Cie pour terminer le railway en deux- ans et demi p et que cette offre prévoyait un revenu total pou transport de matériel de construction seulement d 1 £ 390.000 pour le Benguella Railway, durant un période de deux ans et demi. Ces résultats, d'aprè moi, ne sont que retardés par la guerre. La construction du Benguella Railway à traver l'Angola, qui doit mettre en communication ce tei ritoire avec les régions minières de Katanga, es ' comprise dans le programme du ministre des Colc nies en Belgique, et ce chemin de fer sera un élé ment puissant dans le développement industriel di Katanga. Le Benguella Railway est aussi.nécessaire au suc n cès des chemins de fer belges au Congo, que pou l'exploitation économique <ie notre industrie cupri i-: fière. Le railway a montré des progrès constant provenant du trafic local et l'augmentation des re cett es des céréales exportés est très marquée. J'ai lu récemment deux rapports sur cette 1 ign< traitant de ces perspectives : l'un est d'un ingénieu [ belge de haute réputation. Ce monsieur fait reniar quer qu'avec le trafic minier du Katanga s'élevan à 40.000 tonnes par an, la ligne devrait gagner lt première année de son ouverture jusqu'aux mine: i £ 280.000 net, et il ajoute que sa jonction au Katan ; ga Railway augmentera beaucoup les possibilité: de-bénéfices de cette ligne. L'autre rapport, traitan exactement du même tonnage, niais lui appliquai! les tarifs autorisés par l'acte de concession, arrive i un bénéfice de £ 600.000. En se basant sur le rappor pessimiste il y aurait donc £ 280.000 net ou plus d( : 5 % sur £ 5.(ioo.ooo et jusqu'à présent le Benguelle Railway n'a émis que £ 1.800.000 d'obligations 5 % D'après le second rapport il y' aurait 5 % sui £ 5.000.000 de sorte qu'en supposant que. nous émet tions encore £ 3.000.000 d'obligations, pour complète! la ligne, il y aurait un surplus de £ 350.000 pour nos actions après paiement île l'intérêt aux obligations Ces chiffres, remarquez-le, sont basés sur la pre mière année d'exploitation du trafic minier du Ka tanga. Je crois qu'il est sage de prendre une moyenne entre ces deux rapports et de dire qu'il y aura assez la première aimée d'exploitation poui couvrir tout l'intérêt aux obligations et laisser un : solde d'environ £ 150:000 à £ 200.000 pour les actions détenues par notre compagnie" dans le Benguella Railway. Pour ce qui est de notre intérêt, 75 % dans la Rhodesia Katanga Railway Company, ce railway que nous avons également financé est réellement la fin du chemin de fer du Cap au Caire en Afrique du Sud anglaise se joignant à l'Etat du Congo, et il a plus que gagné l'intérêt à ses obligations du jour de ;Son ouverture.» Les marchés en Afrique d'après LA LOI ET LA COUTUME INDIGENES Tandis que les échanges chez les primitifs ont été l'objet d'une grande attention, leurs lieux de marché ont été complètement négligés dans les études des ethnologues ; quelques travaux ont cependant été consacrés à ce sujet ; signalons tout spécialement les ouvrages suivants : Huvelin, Essai historique sur les droits des marchés et foires, 1898 ; Guerson, The si lent Trade, 1903 ; Northcote VV. Thomas, The mar-ket in African Law and Custoin, 1908. Ce dernier opuscule a spécialisé la matière au point de vue du continent africain ; aussi, à raison de l'intérêt particulier que celle-ci présente au Congo, nous croyons utile de résumer l'œuvre de ce savant, dont les travaux font autorité. Le commerce est l'échange des biens qui peut être réalisé soit par leur apport direct au consommateur, soit par la fixation d'un lieu ou celui-ci peut se procurer les objets dont il a besoin. La première de ces formes est représentée primitivement par la caravane ; mais c« mode a fait place peu à peu à la seconde forme, qui comprend le marché, le bazar, la boutique. Il y a entre ces deux types des modes intermédiaires doqt le plus important est la foire, qui est par essence un marché annuel qui perdure pendant une petite partie de l'année ; en Afrique, elle dérive du trafic en caravane, tandis cpTen Europe elle est en corrélation avec des fêtes religieuses. L'extension de la durée d'une foire tend à faire de celle-ci un bazar ; à certains points de vue, la foire est un marché qui ne se tient qu'à de longs intervalles, niais c'est là un élément accessoire de différenciation. La divergence essentielle entre les deux organismes vient de ce que le marché est un lieu où l'on vend des denrées alimentaires, tandis que la foire sert principalement au négoce de choses autres que des objets de consommation, bien qu'accessoirement on puisse y vendre des comestibles. En outre, dans le marché primitif, les marchandises ne sont pas déposées d'une manière permanente au lieu où il se tient, bien que les boutiques et les installations des trafiquants puissent être établies à demeure ; il y a toujours un intervalle de temps entre les diverses réunions périodiques au même endroit, le plus souvent de quatre cinq ou sept jours, entre les limites extrêmes de deux jours au plus et de quatorze jours pour le moins. Cela différencie le marché du bazar et de la boutique que l'on trouve d'ailleurs le plus souvent dans des villes ou à proximité de celles-ci. Le marché primitif n'était pas nécessairement fixé dans un village ou près d'un groupe d'habitations ; c'est le contraire qui est vrai ; il se tenait généralement loin de toutes habitations humaines. Plus tard; une population de négociants habita en permanence à proximité du lieu du marché, donnant bientôt naissance à un village. Avec l'accroissement de la population, les intervalles entre des marchés .successifs devinrent de plus en plus courts, jusqu'à ce que, enfin, le marché fût transfoi Té en bazar, ouvert tous les jours à des heures dé.drminées, logé dans des constructions plus ou moins stables et permanentes. Peu à peu la quantité des marchandises accumulées s'est augmentée au point de ne plus pouvoir distinguer ces bazars des foires permanentes. Cette évolution est en rapport avec le développe s nient économique des groupes ethniques. A l'origine la production a simplement pour but de satisfair aux besoins personnels du ménage du travailleur c seules apparaissent au marché les denrées produite t en surabondance. Le commerce se développe bien tôt sous l'influence d'éléments nouveaux, comm . ' l'utilisation de travailleurs salariés ou d'esclave dans la maison d'abord, plus tard dans des atelier et établissements servant à produire des objet d'échange, sans aucun lieu avec les besoins indi i viduels de la famille ; ensuite interviennent la spÉ cialisation de l'industrie avec l'accroissement concc . mitant de l'habileté technique, le travail régulie d'artisans journaliers, le commerce héréditaire € tant d'autres éléments qui ont modifié les condition de la production. A l'origine le travailleur était e: . relations directes avec le consommateur, mais bien tôt les circonstances imposent le concours d'intermé ' diaires qui achètent uniquement, pour vendre et no: pour consommer, et de courtiers qui sont les agent 1 responsables des négociants. La classe commercial apparaît. Dans les groupes ethniques primitifs l'échange des biens, le commerce sont réalisés soi l vent à l'aide des marchés qui y sont les uniques ir struments du négoce. La distribution géographique de l'institution de 1 marchés donne lieu à des constatations intéressai tes. Il est remarquable qu'ils n'existaient guère dan c les iles ; c'est ainsi que les indigènes des îles asiat: ques comme des îles océaniennes ignoraient complé tement cette institution ; par contre à Bornéo e dans d'autres terres d'une vaste étendue dans ce régiohs, ils existent chez les aborigènes ; toutefoi ils sont de date relativement récente et proviennen souvent d'habitudes importées, du dehors. Cela s'e> plique par cette considération que les marchés n 3 sont guère utiles que là où il y a variété de produc s tions, c'est-à-dire là où il y a de vastes étendues d t territoires, et que, d'autre part, les marchés son t inutiles partout où la mer est la grande voie con s merciale et où les bateaux l'ont < ffice de magasins i Toutefois il existe des régions continentales où le t marchés étaient inconnus ; dans le nouveau monde i ils étaient confinés à l'Amérique centrale et au P( i rou ; ils n'étaient pas connus en Australie ; dan l'Europe du Nord, ils n'apparurent qu'après les inve ? sions et dans l'Asie centrale et l'Asie du Nord il i paraissent provenir de la Perse. D'autre part, le t marchés étaient des éléments importants de la vi au Mexique et au Pérou ; en Arabie, dans l'Inde, e: Chine, ils remontent à une antiquité très reculée de la Grèce et de Rome l'usage s'en répandit e: Europe, au nord et à l'ouest : ils existent d'une faço: ^ sporadique aux îles I-Iawaï, Fiji et chez les Batak de Sumatra, mais chez ceux-ci ils proviennent san ; doute de l'influence iiidoue qui est accusée par de s ruines de monume iîs de styles indous à Sumatra. , Dans les sociétés primitives, la production des der rées alimentaires est abandonnée aux femmes, et i n'est donc pas étonnant que celles-ci aient toujour ! été plus nombreuses que les hommes dans les mai chés. En Afrique, l i neutralité reconnue à l'égar [' des femmes a amené comme conséquence la paix d ^ marché, l'interdiction de recourir à la violence pei: dant toute sa durée dans les endroits où il est réun. ^ Il est constant qu'au Mexique, au Nicaragua, che les Sabéens et les Grecs, le marché était placé sou ; la protection de temples et de monuments religieux il est également avéré qu'en Europe la foire fut as , sociée intimement à des fêtes religieuses; de plus, i est certain que la paix de la foire s'attacha par es [ tension aux marchés qui furent dans la pliis grand partie de l'Europe un phénomène social postérieui Lash, se basant sur le lien si fréquent que l'on re connaît entre les arbres qui le plus souvent couvren le lieu du marché et son inviolabilité, fait de cett circonstance un vestige du culte sylvestre. Mais i n'existe pas de preuves sérieuses à l'appui de cett opinion. En Europe et en Afrique, les divinités as sociées au lieu du maerhé n'étaient pas des dieu: sylvestres. Dennet dit cependant que dans le Bas Congo les arbres du marché ont un caractère sacré mais on ne peut inférer de là qu'ils sont l'objet d'ui ' culte.particulier. 11 est très compréhensible que dan des régions tropicales le marché se •tienne à l'ombr des arbres ; les rayons du soleil torride en donnen une explication tou'e naturelle. Comme le marché était originairement le lieu di : réunion des étrangers, on comprend pourquoi er Grèce et en Afrique on le place souvent sur les fron tières des districts ou, comme c'est le cas en Guinée à moitié chemin de deux villages, nul ne se soucian de s'avancer en territoire étranger et hostile. D< même, c'est pour éviter toute surprise que fréquem ment au Congo une colline sert d'emplacement ai marché ; une coutume semblable s'observe en Nou vel le-Bretagne. La périodicité des marchés semble être en Afrique centrale la base de la supputation des semaines celles-ci sont de sept, de cinq ou de quatre jours suivant que l'intervalle entre les marchés successifs est. de l'un ou de l'autre de ces nombres. Cela est no tamment de toute évidence dans l'Afrique orientale chez les Wajagga et les Yoruba. En général, on peut dire que le marché est connt dans toute l'Afrique au nord de l'Equateur, et en outre, au sud jusqu'au 5e degré de latitude. A l'ouest le territoire du Congo parait être la limite méridio nâle de son aire ; à l'est, le territoire Bondei ; pai contre, il a été reconnu dans le Lunda, le Bihé el ailleurs, mais là il est plutôt sporadique et .dans certains cas introduit par des influences, arabes. A première vue, il paraît probable que l'extension des marchés en Afrique est due à des influences sémiti ques, et il est fort curieux de constater qu'il n'en existe pas dans le sud-est et le sud de l'Afrique. Herodote raconte que les Carthaginois éc '•tiigeaienl leurs marchandises contre de l'or au delà des Portes d'Hercule ; après c]ue les trafiquants puniques avaient déposé leur pacotille sur le rivage, les natifs arrivaient et plaçaient à côté autant d'or qu'ils estimaient qu'elle valait; si la quantité offerte répondait à l'attente des négociants carthaginois, ils vendaient, sinon ils s'en retournaient sans avoiT livré. Ceci est, à n'en pas douter, une description de l'échange silencieux, du troc muet ; ces natifs étaient des hommes, et à première vue cela ne se concilie pas avec la forme générale, en Afrique, du marché fréquenté par les femmes. Mais cette exception s'explique par la répugnance à mettre celles-ci en contact avec des étrangers ignorants des coutumes et privilèges locaux. On a parfois prétendu que le marché a commencé par le troc muet : il n'y a aucune apparence que le commerce exercé par les femmes eût jamais pris cette forme, mais il est évident que l'échange muet fut un mode de trafic adopté soit entre voisins, soit entre peuplades distantes, à raison de l'état d'hostilité entre les parties contractantes. En réalité, en Afrique les querelles sont fréquentes, souvent aù Congo le chef ordonne à ses gens de tuer les habitants d'un autre village s'il en rencontre, mais il n'est pas prouvé que cette circonstance ait eu pour conséquence dans cette région le troc muet ; au Congo, les Pygmées seuls semblent recourir à cette forme d'échange ; la raison en est que les femmes ne sont pas comprises dans les injonctions et les incantations prononcées par Te chef à l'effet de forcer ses hommes à tuer leurs ennemis. Les femmes sont expressément exemptées de l'obligation de toute agression, même quand deux villages sont en guerre et que les hommes vont au combat. Une circonstance est de nature à contredire la thèse qui rattache l'existence des marchés en Afrique aux influences sémitiques : c'est le fait de la durée de l'intervalle de temps qui sépare les marchés succesifs. Alors que la semaine mahométane est, comme la nôtre, de sept jours, celle de quatre jours prévaut au Congo, dans l'Afrique orientale, à la côte de Guinée ; une semaine de cinq et six jours existe aussi au Kaineroun,ainsi qu'en Guinée;des marchés se tiennent tous les trois jours dans certaines régions, de l'Afrique orientale. II est probable que les limites extrêmes de la période de temps qui sépare deux marchés successifs sont déterminées par le nombre de marchés qu'il est possible de visiter pendant ladite période à partir d'un centre donné, ainsi que le temps pour lequel les provisions achetées peuvent. suffire. Ce n'est pas au seul hasard qu'est dû le fait qu'au Congo et en Guinée (les deux régions principales où fleurit l'institution des marchés) les tribus se répartissent en tribus terriennes et tribus du bord de l'eau. La spécialisation de la production qui est la conséquence de cette situation est un puissant stimulant pour les échanges ; en principe au Congo, dans la tribu ordinaire, il est pourvu à la nourriture animale par les soins des hommes, à la nourriture végétale par ceux des femmes ; mais chez les tribus du bord de l'eau, la nourriture végétale ne peut être obtenue que par la voie de l'échange avec les voisins. Il n'y a aucune raison de supposer que cette division entre les tribus soit de date récente et ne remonte pas à des temps immémoriaux. Au point de vue de la situation des marchés, on ••"iM distinguer extérieurement trois espèces de marchés : ceux installés à l'intérieur des villages, ceux établis dans le voisinage immédiat des communautés indigènes et, enfin, ceux qui sc/ht situés à dis-î tance de toute habitation. La première espèce se rencontre principalement en Guinée, dans le Sou-5 dan et exceptionnellement dans les régions de savanes du Cameroun ; elle est habituellement asso-3 ciée à la deuxième espèce, à' laquelle elle s'ajoute, g comme c'est le cas dans le Bas-Congo, dans le Haut-s Ubanghi, ainsi que dans diverses parties du Maroc. 5 Cela s'explique aisément : l'étranger, le forain n'a garde de se rendre à l'intérieur des limites du village d'une tribu toujours peu amicale, sinon carrément hostile ; de là vient que, dans le cas où un r marché primitivement situé hors de ce village vient t à y être incorporé, il est nécessaire de créer un se-§ coud marché en dehors de son enceinte. Il est évi-, dent que c'est une tendance naturelle de tout village, ne fût-ce que, par l'effet de son accroissement normal, de s'annexer l'emplacement du marché voi-^ sin de ses limites ; il n'est, pas rare en Guinée de s voir de cette façon, deux tribus se partager un vil-q lage. Il arrive aussi que le marché primitivement , situé entre les diverses sections d'un village se trou-! ve entouré de toutes parts par la- suite des temps ; d'autres fois encore, il existe dans le même village deux marchés intérieurs d'emplacements distincts, s et l'on peut conjecturer que, dans ce cas, l'un d'eux a été un marché extérieur destiné à remplacer le s premier, qui fut englobé et qui, à son tour, à été compris à l'intérieur du village par l'extension crois-santé de celui-ci. t, (A suivre). Service des trains \ (Suite. — Voir notre numéro d'hier.) Ligne Anvers—Bruxelles t Aller Stations Retour ; 5,00* 7,00* d'Anvers à " ;i ' Bruxelles ' ' de 10,00* 7,00 s Observations. — Les heures sont indiquées d'après l'heure allemande. — Les heures de nuits de 6 heu-s res du soir à 5.59 h. du matin sont suivies de *. s (A suivre). ! BANQUE D'ANVERS SOCIETE ANONYME s établie à Anvers, longue rue Neuve, 20-22 s M..., s Conformément à l'article 20 des statuts, Messieurs les actionnaires se réuniront en assemblée générale le lundi 22 février prochain, à 11 heures du matin, 1 au siège social, 20-22, longue rue Neuve, à Anvers. s ORDRE DU JOUR : I Rapports des Administrateurs et Commissaires sur . le bilan de l'exercice 1914. — Adoption du bilan et du compte de profits et pertes. — Décharge des Administrateurs et Commissaires. — Ratification de la 'f nomination faite par le conseil général d'un adini-s nistrateur en remplacement d'un administrateur décédé. — Nomination ou réélection d'un administra-' teur et d'un Commissaire sortants. — Ratification \ des décisions prises par le conseil général avec l'adhésion de deux commissaires. Les actionnaires qui désirent assister ou se faire représenter à l'assemblée devront se conformer à 1 l'art. 20 des statuts. t Au nom du Conseil d'administration, 3 Les directeurs : ; E. NV. MARSILY 3 Emile LANG Art. 20. — Les actionnaires en nom qui désirent : assister ou se faire représenter à l'assemblée doivent se faire inscrire à cet effet 6 jours avant la réunion. Les actions au porteur et les procurations doivent î être déposées au siège de la société 5 jours avant la 5 date fixée pour la réunion. Nul ne peut se faire re-? présenter si ce n'est par un actionnaire. Néanmoins t les Jemmes maj-iées peuvent se faire représenter, sans pouvoir spécial, par leurs maris ; les mineurs > et les interdits sont représentés par leurs tuteurs ou l curateurs ; les maisons de commerce par un de leurs associés ou gérants ; les sociétés, communautés ou établissements publics, par un directeur, administra-t teur ou liquidateur. Etude de l'huissier Jean VAN GASTEL rue des Juifs, 10 EXTRAIT En vertu de l'art. 2 de l'arrêté-loi du I avril I8I4 D'un exploit de l'huissier J. VAN GASTEL, d'An- , vers, en date du 12 .février 1915, il résulte, qu'à la requête de : 1° Mr Ulysse MARTIN, sans profession, domicilié à Anvers, 27, rue Cassiers ; 2° de M1' Louis BERVOETS, courtier en grains, domicilié à Anvers, rue Van Maerlandt, consorts et ayant le même intérêt, et élisant domicile à Anvers en l'étude de -Mtre Robert Vrancken, avocat y demeurant, il a été notifié : 1° à la firme H. RLSTELHUEBER'S NACH FOLGER, expéditeur domicilié à Anvers ; 2° au batelier HITBNEUK, conduisant le' bateau Hebenhau-ser ; 3° au capitaine KUYPERS, commandant, le remorqueur Ste-Barbara 4, le domicile de ces deux derniers étant inconnu, d'un jugement, rendu par le Tribunal de Commerce d'Anvers en date du 4 février dernier enregistré ; et il leur a été déclaré que Monsieur l'expert Herfurth, procédera aux opérations d'expcv.ise ie 16 février prochain, à 8 1/2 heures du matin (heure belge), au bureau des Experts Nautiques, Canal des Brasseurs, 26, à Anvers, à quoi les dits notifiés ont été sommés d'être présents. Pour extrait conforme, (s:) J. VAN GASTEI.. Rhein- und See-Speditions Gesellschaît m. b. H. En charge pour Mayence & Francfort le bateau MANNHEIM 13 A suivre par des départs réguliers Pour frets avantageux pour TOUTES LES DESTINATIONS RHENANES s'adresser aux bureaux Canal au Sucre, 5, Hansa Huis Transports pour toute la Belgique de marchandises par service accéléré et à prix réduits S'adresser : 65, RUE SANDERUS, ANVERS. La maison s'occupe des formilités de sortie. L. DENS & Co Beurt AN VERS-GAND & vice-versa Le bate iu moteur "STAD ROESSELAERE,, partira lundi 15 crt. En charge au n° 7 des bassins. Le bateau moteur FRANCO BELGE VI partira fin de la semaine prochaine. Le service se fera régulièrement loutes les semaines. Prochainement départs réguliers pour BRUXELLES Pour frets et renseignements s'adresser à ANVERS : L. DENS & Co, M.ir, 52. GAND : L. DENS & Co, Quai du Pont Neuf 5

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