Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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06 oktober 1915
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s.n. 1915, 06 Oktober. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/cv4bn9xz7f/
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ANVERS, Mercredi 6 Octobre 1915 Le numéro 10 centimes Cinquante-huitième Anm No 17.429 DIRECTION & RÉDACTION : VLEMINCKX, 14 tt" '^ANVERS —_— t^'éphone 3761 / —————— LLOYD ANVERSOIS àeul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de JNavires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 51. Envers, 6 oct. 1915, 10 h. du matin. — Baromètre 768 — fieffflomètre cent (maxj 4- 11. — Thermom cent. Imin.) 4 8.— Pluviomètre 2.5 m/m.—Vent. Est.— Prévision : Beau. Astronomie 7 octobre Lever du soleil 5 h. 51 m. matin — ' 5,51/ Coucher du soleil 5 „ 10 „ soir = '17.10) Lever de la lune 3 50 „ matin = ( 3.50) Coucher de la lune .... 4 „ 14 „ soir = '16 14) Nouvelle lune le 8 oct. ... 9 „ 42 „ soir = ^21.42 Premier quartier le 15 oct . . t „ 51 „ soii (13.51) Pleine lune le 23 oct. . . . — .,15 „ malin — (—.15) Dernier quartier le 31 oct. . . 4 „ 40 „ matin = ( 4.40) Haute marée à Anvers Matin Soir 7 oct. 1 h. 59 m. = ' 1 h. 59) I 2 h. 22 m. '!4h. 22 8 oct. 2 h. 42 m. ~ ' 2 h. 42) I 3 h. 3 m. '15 h. 3/ 9 oct. 3 h. 25 m. -- ( 3 h 25) | 3 h. 44 m. 15 h. 44) (Heure belge). Hauteur du Rhin Cologne 5 oct. 1," 0 m Strasbourg 1 oct. — m Huningen 1 . 1.75 „ Lauterbourg „ — Kehi .. 2.45 „ Maxau „ — „ Mannheim 5 „ 3,28 „ Germersheim ,. — „ Caub 5 „ 1,91 „ Mayence 4 0.67 „ Kuhrort „ 0,50 „ Bingen „ 1,65 .. Duisbourg 4 „ 0 26 Coblence ,. 1,64 „ Waldshflt .. — „ Diisseldorf „ 1,16 Lobith 4 „ 9.84 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 4 oct 2,25 m. Heilbronn 4 oct. 0.35 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee [rêves 4 oct. 0,40 m Constance 5 oct. 3,50 m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 5 OCTOBRE Steamer Wilford III, de Tamise. Wilford IV, de Tamise. » Passe .Partout II, de Willebroeck. » Ristelhueber's IV, de l'Allemagne. » Stad Amsterdam VI, de la Hollande. » Amstel IV, de la Hollande. Bateau-moteur Pierre-Joseph, de Rupelmonde. -Rust Roest, de Raesrode. » Onderneming, de la Hollande. » Nelue, de la Hollande. Allège Doel 7, de Doel. Grainwork 4, de Hoboken. Drie Gebroeders, de Niel. » Laissez-dire, de Boom. » St-Antoine, de Malines. Emile, de Schoonaerde. ii Rheinstein 2, de Gand. » Vineta, de Gand. Simon Smits I, de Gand. » Albert, de Schooten. » NOORDSTER, de Moll. Ceylan, d'Engis. » Hermes, de St-Ghislain. Deux Frères, de St-Ghislain. Twee Gebroeders, de la Hollande. » Grevelingen, de la Hollande. » Nooit Gedacht, de la Hollande. » Klepper, de la Hollande. » Twee Ge/usters, de la Hollande. » Drie Gebroeders, de la Hollande. » Dankbaarheid, de la Hollande. « Jonge Jan, de la Hollande. Pieternella-Johanna, de la Hollande. Zes Gebroeders, de la Hollande. » Nieuw Zorg, de la Hollande. » De Valk, de la Hollande. » Drie Gebroeders, de la Hollande. Cornelis, de la Hollande. DEPARTS DU 5 OCTOBRE Steamer Wilford III, pour Tamise. » Union III, pour Bruxelles. » Stad Amsterdam VI, pour Bruxelles. Amstel IV, pour Bruxelles. » Telegraaf II, pour la Hollande. Bateau-moteur Pierre-Josepii, pour Rupelmonde. Marie, pour Puers. Allège Stanislas, pour Calloo. « Doel 7, pour Doel. » Germaine, pour Burght. « Emile, pour Schelle. » Martenshoek, pour Rumpst. » Arbeidsyrucut, pour Waesmunster. » Italia, x>our Boom. » Ik Volg II, pour Boom. » PÊCHERIE, pour Alost. » Marie-Thérèse, pour Bruxelles. » Gymnote, pour Bruxelles. » Victor, pour Bruxelles. » Odile, pour Merxerti. » Emma, pour Merxem. »■ Armand, pour Merxem. » E\erdina-Johanna, pour Schooten. » Gouverneur, pour Schooten. Ambiôrix, pour Aerendonck. » Espéranto 2, pour Turnhout. 11 Jeanne, pour Liège. » Vamas, pour Jemeppe. » Vanadis, pour Flémalle. » Roger, pour Mons. » Maria, pour la Hollande. » Daniel, pour la Hollande. » Grinthandel 2, pour la Hollande. [ » Vrouyv Louisa, pour la Hollande. » Mathilde, pour la Hollande. b jonge Piet, pour la Hollande. » Eugénie, pour la Hollande. » Fendel 53, pour l'Allemagne. » Rhenania 8, pour l'Allemagne. AVIS Comme suite a mes arrêtés des 30 juin et 23 juillet 1915 (art. 5) concernant la récolte de 1915 des céréales servant à la panification et à mon arrêté du 28 août dernier relatif au blé et à la farine provenant des récoltes précédentes, j'ai, sur la proposition de la Commission centrale de la récolte, fixé, jusqu'à nouvel avis, les prix-maxima suivants, applicables aux ventes de blé battu, farine, son et {'■'in : froment pris au dépôt ou au moulin, frs 38,90 j les 100 kgs ; seigle pris au dépôt ou au moulin, frs 25,50 les 100 kgs ; son pris au moulin, frs 22,00 les 100 kgs ; farine livrée aux boulangers ou aux consommateurs, frs 46,00 les 100 kgs ; pain livré aux consommateurs, frs 0,42 le 1 kilogramme. : Ces prix-maxima entreront en vigueur le lr octo-bre î ils ne s'appliquent pas à l'agglomération bruxelloise.Dans les communes où les circonstances locales i e Permettront, la Commission provinciale de la ré-Jolte, sur la demande du bourgmestre ou après ût entendu ce dernier, aura le droit d'abaisser le pi'i\'-maximum du pain. lour le froment et le seigle vendus au Comité 'Mttpnal de secours et d'alimentation par les projeteurs, les prix-maxima déterminés dans mon 's du 10 août dernier (art. 4a) restent en vigueur. Bruxelles, le 24 septembre 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing, Colonel-général. I Comme suite à mes arrêtés des 30 juin et 23 juil-Y ,1015 (art. 5) concernant la récolte de 1915 des rîitfb servant la panification et à mon arrêté II ® août dernier relatif au blé et à la farine pro ®?ant des récoltes précédentes, j'ai, sur la proportion de la Commission centrale de la récolte, fixé. jusqu'à nouvel avis, leç prix-maxima suivants, a; plicables aux ventes de blé battu, farine, son et pai dans l'agglomération bruxelloise : froment pris u dépôt ou au moulin, frs 38,90 les 100 kgs ; seig pris au dépôt ou au moulin, frs 25,50 les 100 kgî son pris au moulin, frs 22,00 les 100 kgs; farir livrée aux boulangers ou aux consommateurs, f: 53,25 les 100 kgs ; pain livré aux consommateur frs 0,48 le 1 kilogramme. Ces prix-maxima entreront en vigueur le lr oct bre. Dans les communes où les circonstances local) le permettront, la Commission provinciale de la r coite, sur la demande du bourgmestre ou aprt avoir entendu ce dernier, aura le droit d'abaisser prix-maximum du pain. Pour le froment et le seigle vendus au Comii national de secours et d'alimentation par les pr< ducteurs, les prix-maxima déterminés dans mo avis du 10 août dernier (art. 4a) restent en vigueu Bruxelles, le 24 septembre 1915. Le Gouverneur Général en Belgiqu Baron von Bissing Colonel-Général En exécution de mes arrêtés des 30 juin et 23 jui let 1915 (art. 5 et 9), concernant la récolte de 19: des céréales servant à la panification, et de mo arrêté du 28 août dernier, relatif au blé et à 1 farine provenant des récoltes précédentes, j'ai, si la proposition de la Commission centrale de 1 récolte, fixé le rendement de la mouture, pour : blé indigène ou importé, à 90 %, à partir du lr o tobre prochain, et à 75 %, à partir du 15 octobi prochain. Ce pourcentage signifie que 100 parties c blé ne doivent pas donner plus de 90 ou 75 partit de farine. Les pourcentages désignés ci-dessus sont aussi aj plicables aux producteurs qui font moudre en vi de leur alimentation personnelle. Quiconque se charge de la mouture est responsi ble de la non-observation du rendement prescrit. Bruxelles, le 24 septembre 1915. Le Gouverneur Général en Belgiqu. Baron von Bissing Colonel-Général concernant la vente au Comité national des stoct de blé non déclarés Comme suite à l'avis du 10 août dernier de so Excellence le Gouverneur général (Bulletin offici des lois et arrêtés n° 106, p. 869), nous attirons sp cialement l'attention sur ce que tous les stocks c blé ([lie les agriculteurs possèdent au delà dï quantités déclarées et dont, par suite d'une déclar; tion insuffisante, il n'a pas été tenu compte dar les avis envoyés aux agriculteurs par les Commi sions provinciales de la récolte, doivent être vendu aux acheteurs du Comité national, de même que le stocks qui, dans les avis susmentionnés, ont été d signés comme devant être vendus. Bruxelles, le 28 septembre 1915. Le président de la Commission centrale de la récolt Comte Rantzau. Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Il résulte d'Un acte sous seing privé en date d 22 septembre 1915, que la « Société anonyme d( Produits Tannants d'Hémixem», établie à Hemixen fait connaître que sous les dates des 16 janvier 19 et 14 juin 1915, MM. Paul Van Hoegaerden et Hen Lepersonne, domiciliés à Liège, ont donné leur d mission d'administrateurs de la dite société. Il résulte d'un acte sous seing privé en date d 22 septembre 1915, que la « Société anonyme de Produits Tannants d'Hémixem», établie à Hemixen donne à Mr Paul Haeger, à Hemixem, directeur cl la société, pouvoir aux fins indiqués au dit, acte. Il résulte d'un acte sous seing privé en date d 20 septembre 1915, que Mr Jacob Reichenburg, nég< ciant en bois, à Mannheim, faisant le commerce soi la firme « Gebr. Reichenburg », dont il est seul < unique propriétaire, donne procuration collective MM. .Tbseph Teichmann et Fritz Lang, tous deu employés à Anvers, de pour lui et en son nom gère la succursale de sa firme qu'il crée à Anvers. Il résulte d'un acte sous seing privé en date d 22 septembre 1915, que la Société en nom collect « Gustave De Bie & Cie », à Anvers, constituée le I novembre 1911, entre MM. Gustave De Bie et Ma Ostwald, a été dissoute à partir du 15 décembi 1914, et que M1" Louis Durlet, à Anvers, a été désign comme liquidateur. Notes de jurisprudence COMMISSION Au sujet d'une réclamation de 221 francs pou commissions dues à l'occasion de la fourniture d treize fûts de pétrole — le tribunal de commerce d Bruxelles n'accorde la commission à l'intermédiaii que pour six de ces fûts, les sept autres n'ayant pa été livrés en fait. — Ceci n'est pas ma faute, dit l'intermédiaire. .1 vous ai procuré les sept fûts. — Ce n'est pas la mienne non plus, dit le défei seur, si mon eo-contractant n'a pas voulu prendi livraison. C'est à vous à démontrer une faute dai mon chef. Au surplus, il est faux que, comme von le dites, l'huile fournie par moi n'était pas conform à l'échantillon ! Le tribunal donne raison au défendeur par appl cation de l'usage commercial bruxellois qui veut qu la commission soit censée n'être qu'une portion d bénéfice du commerçant. LA LOI DU 4 AOUT NON-PAYEMENT DE PRIMES. — DECHEANCE Une autre société, assignée en paiement d'un assurance-vie, fait défendre une thèse originale, savoir que le non-paiement de la prime a pour cor séquence non pas seulement la déchéance pour 1 bénéficiaire, mais encore la caducité du contrat, d( venu dès lors inexistant. D'après la société, le non-paiement des primes d( puis la guerre de rentre pas dans le cadre de la le du 4 août, qui ne supprime que la cause de de échéance en cas de non-paiement des pjimès. L'&ssi rance vie, continue la société, est d'une nature sp( ciale qui fait naître, entre la prime et rindemnitl une corrélation plus intime que dans mes autre contrats d'assurance. Le tribunal,. constatant que 1 police place le non-paiement des primes parmi le causes de déchéance, condamne la société à paye l'indemnité sous déduction des primes impayées. PATRONS ET EMPLOYES. EMPLOYE SPECULATEUR. En cause d'un employé contre son patron, le Con seil de prud'hommes de Bruxelles se déclare incom pétent dans une affaire de réclamation de commis sions. Le Conseil constate que le 'prétendu employ voyageur avait le droit de vendre plus cher que le prix fixés par son patron et sans devoir rendr compte de la différence. Il voit, en conséquence, ej lui un spéculateur, un véritable commerçant, e renvoie les parties devant le tribunal de commerce Service postal belge Dès à présent, dans toute l'étendue du territoir du gouvernement général, les lettres expédiés d'un localité à un autre point de cette localité peuven être envoyées sous enveloppe fermée. Le service Harwich-Hoek van Holland Flessingue. — Le service de navigation entre Hoel van. Holland et Harwich vient d'être repris. Evénements de Mer j" SINISTRES, AVARIES, ETC. Easington. — North Sydney, 3 octobre. — Le st. g anglais Easington, en route de North Sydney pour >s St-John N. B. avec du chairbon, est en retard de cinq s jours ; on craint pour la sécurité du navire. Highland Warrior. — Londres, 3 octobre. — > D'après un télégramme de Ferrol, le steamer angl. Highland Warrior, parti le :i0 septembre de Londres »s pour Bueuos-Ayires, s'est échoué près de Cape Prior §. (près La Corogne). Dans la cale N° I il y a 5 pieds !S et dans la cale N° 2, 4 pieds d'eau. Un télégramme e sans fll annonce qu'un v ipeur, se trouvant à 50 milles de distance, ira prêter assistance. Jantina Maria. — Copenhague, 1 octobre. — Le tjalk néerl. Jantina Maria, chargé de cokes, s'est échoué à Valgrond, près de Landskrona, mais a pu être- renfloué par le vapeur de sauvetage Em. Z. svitzer. Kanakuk. — Balek Pappan, 2 octobre. — Le steamer anglais, Kanakuk, en route pour l'Europe, chargé de benzine, a été -totalement détruit par le feu et a sombré, à 2° 37 1/2 S. et 116° 43 1/2 E. (détroit ]- de Macassar). L'équipage a été sauvé et débarqué 5 ici. L'épave constituera probablement un danger ii pour la navigation. a Kronprins Olav. — Quebec, 3 octobre. — Le stea-r mer norv. Kronprins Olav, parti le 25 septembre de a Sydney C. B. pour Montréal, n'a plus donné de ses e nouvelles depuis lors. On présume que ce vapeur a > fait naufrage dans la tempête du 26 au 27 septembre. e Provincier. — Marseille, 5 octobre. — Le vapeur e français Provincier, a été coulé par un sous-marin IS allemand devant Cerigo, à la cote grêque. L'équipage s'est réfugié dans les canots. }p Svionia. — Sassnitz, 4 octobre. — Le vapeur Svionia a été bombardé par un sous-marin près d'Arcona. Le navire a été mis au plein près de Stubbenkammer. Dix hommes de l'équipage ont débarqué à Kolliger Ort; les autres, sont en route pour a Sassnitz. EXTERIEUR s PAYS-BAS Défense d'exportation n L'exportation ctes cokes, ainsi que celle du miel, î] est interdite. S ANGLETERRE e Le mouvement maritime i_ Pendant la semaine au 29 :septembre, un total de s 1387 vaisseaux sont entrés ou sortis des ports an-glais.s 0 Aperçu historique de l'Etat indépendant du Congo et du Congo belge (Suite. — Voir nos N08 des 22, 25, 29 sept, et 2 oct.) Disons un mot des grandes cultures : elles se résument dans la production du café, du tabac et du cacao. Le caféier d'Arabie- et le caféier de Liberia ont été surtout acclimatés en grand au Congo, où les premiers explorateurs ont rencontré une grande quantité d'espèces sauvages. De ce nombre sont le u caféier du Lomami, à graines petites, régulières, ,s possédant un arôme très délicat, propagé par les soins du capitaine Gillain ; le caféier du Lualaba, à 5 petites baies allongées, avec un arôme peu dévelop-,'j pé ; le caféier sauvage de Liberia, rencontré dans les forêts du Lualaba ; le caféier du Kwango, très rustique, demandant peu de soins et existant aussi près de la côte du Loango, qui en exporte près de 1.000 11 tonnes par an. Le Congo compte actuellement près s de 4 millions de caféiers. Les principales plantations de café sont situées e dans les districts suivants : Equateur, Bangala, Ban-zyville, Aruwimi, Bas-Congo, Matadi, Imesse, Lua-u la ha, Kasaï, Stanley-Falls. i- Le cacao est acclimaté au Congo depuis 1892. (Le s principal pays producteur est. le Brésil — 5.000 ton->t nés par an. — Au bout de six à huit ans, à. il est en plein rapport et produit 1 à 2 kilogrammes x par pied. Les essais ont parfaitement réussi et les r plantations se développent très heureusement. En 1896, les cultures de cacao se répartissaient comme n suit : Bangala, 32.475 pieds ; Irebu, 15.500 ; Equateur, f 12.300 ; Bas-Congo, 8.537 ; Stanîey-Falls, 5.800 I Le Congo possède aussi, en ce moment, une cen-x taine de mille plants de tabac.' Des essais ont été e faits, généralement avec succès, avec les principales (-, variétés : Havane, Maryland, Kentueky, Caroline, Riclunond, Sumatra, Deli, etc. On vante les tabacs du Kasaï, de la Lukunga, de Lukoléla et de Kito-bola. On prête à ce. dernier les qualités du Havane, si recherché des fumeurs. La faune congolaise est très variée. L'éléphant, à cause de son produit : l'ivoire, tient la première r place. Des troupeaux considérables de ces animaux e peuplent les grandes forêts du bassin du Congo, e L'hippopotame a pour domaine les étangs, les lacs, e les cours d'eau. On le rencontre par troupes de 15 à s 20 bêtes. On trouve au Katanga et au Tanganyika des troupes de 100 zèbres. Les sangliers pullulent, e Le Congo-compte de> nombreux représentants de la famille des antilopes et. de celle des bœufs sauvages i- ou buffles. On a signalé la présence de lions, dans e le Katanga. Le chacal et l'hyène sont nombreux dans les solitudes congolaises, dont ils troublent, par leurs s cris déchirants, les nuits silencieuses. Un carnassier e assez commun au Congo est le léopard. Il ne manque pas de rongeurs clans notre i- colonie. Dans les arbres,, les écureuils ; sur le sol, e le porc-épic et le lièvre. Dans les huttes des indigè u nés, "des rats par centaines, parmi lesquels la variété musquée qui oblige les habitants à changer de de-^ meure, chassés par l'odeur caractéristique et insiip " portable de ces rongeurs. Beaucoup de singes surtout, notamment le cercopithèque. e Dans les plaines, l'autruche, l'aigrette ou le héron à, blanc ; près des rivières, les marabouts et les pélicans. La gent rapace est représentée par de riorn-e breux vautours. i- L'estuaire du Congo, le fleuve lui-même, ses nombreux affluents et les lacs qui sont les tributaires de leurs eaux contiennent un grand nombre d'espèces j de poissons, raies, mormyrides, cyprinides, perci-des, protoptères et surtout des siluirides. Parmi les animaux domestiques, le chien, introduit d'Europe et qui devient aphone au Congo pendant. plusieurs mois, tandis que le chien indigène s pousse de longs hurlements ; le chat, qui existe éga-! lement à l'état sauvage ; le mouton, le porc, la chè-B vre. Enfin, les basses-cours sont peuplées de poules, de pintades, d'oies, de dindons et de canards. Une des grandes richesses du Congo est. l'ivoire. L'ivoire se divise en ivoire doux et ivoire dur. Certaines contrées de l'Afrique, et surtout de l'Afrique centrale, étaient encore, il y a quelques années, de véritables entrepôts d'ivoire. Les peuples indigènes, afin de soustraire cette richesse, dont ils ont deviné de tout temps l'importance, sans en connaî-^ tre toutefois la valeur monnayée, à l'accaparement 3 des blancs et surtout des Arabes, avaient enfoui, dans le sol, des réserves d'ivoire. Bien que des J mesures de conservation aient été prises par l'Etat t Indépendant, l'éléphant disparaîtra comme disparaissent. lentement, mais fatalement, tous les animaux sauvages, qui vivent dans le voisinage de l'homme. Les richesses minérales du Congo sont encore imparfaitement connues. Mais, dans ses terrains ar-chéens, primaires, métamorphiques ou non-méta ( morphiques, dans ses formations post primaires continentales,dans ses formations détritiques superficielles, doivent se trouver bien des gisements que les explorations géologiques et des études spéciales et approfondies feront découvrir. Quoi qu'il en soit, le géologue, par suite de Tab-; sence de fossiles, rencontre une grande difficulté dans l'investigation géologique du bassin du Congo Dans la région occidentale, les indigènes extrayenl le cuivre et le plomb, dont les minerais sont accompagnés d'oxydes ou de sulfures de fer, de zinc et de manganèse. Au Sud du Congo, il existe des gisements de cuivre. Dans le Congo français, qui doit avoir une connexité topographique avec la partie a voisinante de l'Etat Indépendant,on a signalé l'existence de la malachite dont un gisement est, du reste, exploité dans la région orientale du Congo belgei près de M'pala. Le Katanga contient des gisements très riches de cuivre et aussi de fer (limonite, oligiste et magné-tite), abondants. Le fer spéculaire a été signalé par Cameron près de Katanga. On a signalé, la présence de cobalt et de charbon au Katanga. Résumons-nous. En tous les points de notre immense domaine colonial en Afrique, la nature se montre prodigue de ses dons. Que de progrès accomplis en ces trente années d'exploration et de coloni-s;ttionJusqu'à ces dernières années, nos expéditions manquaient de vivres. Aux fatigues venaient s'ajouter les horreurs de la faim. Aujourd'hui, dans divers districts, notamment dans la riche contrée du Mayumhe, l'élevage et la culture maraîchère ont pris un développement considérable. La table du blanc est pourvue de viandes fraîches de produits végétaux sains et abondants, qui rappellent, à nos colons le régime de la patrie absente. L'outil le plus indispensable pour le développement commercial et économique d'un territoire colonial, est ,1e chemin de fer. Aussi la construction d'une ligne traversant la région e.i aval du Stanley Pool et rattachant le Bas-Congo au Haut-Congo, avec son important sous-réseau fluvial navigable, s'imposa bientôt. Sur cette partie, le fleuve était coupé de rapides, infranchissables et le sentier.qui suivait le fleuve était, en quelque sorte, impraticable. La demande de concession d'im syndicat accapareur anglais fut repousseé, en 1885. Le colonel Thys fit adopter par la Compagnie du c ngo pour le commerce et l'industrie, qui se constitua le 9 février 1887, un programme d'études ayant pour objet la construction et l'exploitation d'un chemin de fer reliant le Bas-Congo au Stanley-Pool. La construction de la ligne fut confiée à la Compagnie du chemin de fer du Congo, fondée le 31 juillet 1889, au capital de 25 millions de francs. Le gouvernement belge prit, dans cette souscription, une participation de 1C millions de francs. Les débuts des travaux furent marqués par un chiffre de mortalité effrayant. En deux ans, l'entreprise perdit. 20 p. c. de ses travailleurs. Le 30 juin 1892, on avait dépensé 11 millions et demi et on n'en était encore qu'au 9e kilomètre, En 1893,-la locomotive atteignit le col de Palabala, kilom. 16 A partir de ce moment, les travaux avancèrent plus rapidement. La première section de la ligne (42 kilom.) fut inaugurée le 4 décembre 1893 par le gouverneur général VVahis. La station de Tuinba (188 kilom.), qui constitue le point centre de la ligne, fut inaugurée le 22 juillet 1896 par M. Wangermée, vice-gouverneur général. A la fin de l'année, on était à Sona-Gongo (kil. 234). Le 16 mars 1898, la ligne atteignait Dolo, sur les bords du Stanley-Pool. (Voir le Lloyd Anversois, du 23 août dernier). D'autres lignes de chemin de fer sont construites au Congo. Un chemin de fer secondaire relie Borna à la région du Mayumhe. Son parcours est Borna, Lengi, Bonia-Sundi sur la Lukula. Cette voie a environ 60 kilomètres. D'autre part, Borna-plateau est relié à Boma-rive par un tramway à vapeur de 2 kilomètres, construit par la Société des Magasins généraux. La navigation fluviale augmente chaque année. L'année 1887 a été le point de départ de la constitution de sociétés belges pour le commerce du Congo. La première, en date, fut. le syndicat de Mateba (Anvers), suivie, la même année, de la San-ford Exploring Expédition (Bruxelles), enfin, en 1887, se place encore la création de la Compagnie du Congo pour le Commerce et l'Industrie (Bruxelles;, capital 1.227.000 francs. A l'initiative de cette dernière, furent successivement fondées : la Compagnie des Magasins généraux (1888), capital 1.200.000 francs ; la Société anonyme belge pour le commerce du Haut-Congo (1888), capital 5.050.000 frs, fusionnée avec la Sanford Exploring ; la Compagnie du Chemin de fer (1839) ;la Compagnie des Produits du Congo (1889), capital 1.200.000 francs, qui fusionna avec le Syndicat de Mateba ; la Compagnie du Katanga (1890), capital 3.000.000 de frs, qui organisa, en 1891, le Syndicat commercial du Katanga. Les années suivantes furent créées : La Société auversoise du Commerce au Congo,, capital initial 400.000 frs porté dans la suite à 17.000.000 de frs et l'Anglo Belgian India Rubber and Exploration C° (Abir.) (1892), au capital de 1.000.000 de frs; la Société des Produits végétaux du Haut Kasaï, capital 1.000.000 de frs; la Société d'Agriculture et de Plantations au Congo (SAP.), capital 600.000 frs; le Comptoir commercial congolais (CCC.), capital 5.000.000 de frs ; la Société de la Djuma, capital 250.000 frs ; la Société agricole du Lubefu ; la Ka-saïenne, capital 150.000 frs ; la Centrale africaine ; la Société Equatoriale ; la Société des Produits du Mayumbé, etc., etc., Au nombre des sociétés ayant pris la nationalité congolaise, il convient de citer : la Société Générale africaine, capitale 3.000.000 de frs : l'Abir ; la Société des Chemins de fer vicinaux du Mayumbé, etc. Vingt-cinq sociétés étrangères, ayant ensemble un capital d'environ 60.000.000 de frs, se sont'formées à l'étranger, c'est-à-dire en Belgique, eu Hollande, en Portugal, en vue de l'exploitation d'affaires commerciales au Congo. A celles que nous venons de citer plus haut, il convient d'ajouter la Nieuwe Afrikaansche Handelsvennootschap (1885), capital 3.000.000 de florins ; la Compagnie portugaise du Zaïre (1886), capital 2.250.000.000 reis ; la Compagnie des Magasins généraux du Congo (1888), capital 1.200.000 frs ; la Compagnie du Chemin de fer du Congo (1889), capital 30 millions ; la Belgika (1897), capital 2.000.000 de frs ; la Congolia (1897), capital 450.000 frs ; la Compagnie agricole de l'Ouest africain (1897), capital 400.000 frs ; la Compagnie anver-soise des plantations du Lubefu (1897), capital 600.000 frs ; la Compagnie générale pour ie développement du commerce au Congo (1898), capital 750.000 frs ; la Centrale africaine (1S98), capital 300.000 frs ; l'Equa-toriale congolaise (Ikelemba) (1898), capital' 400.000 frs ; la Compagnie du Lomami (1898), capital 3.100.000 frs ; le Trafic congolais (1898), capital 100.000 frs ; l'Africaine (1898), capital 3.000.000 frs ;le Crédit Commercial congolais (1898), capital 1.200.000 frs; la Société de la Lulonga (1898), capital 300.000 frs; la Société de l'Ikelemha (1898), capital 300.000 frs, etc. Un tel développement, en un espace de vingt ans à peine, ne tient-il pas, en quelque sorte, du prodige ? Le siège du Gouvernement local est installé à Borna, depuis 1885. Le représentant du Gouvernement central, en Afrique, porte aujourd'hui le titre de gouverneur général, il est assisté d'un vice-gouverneur général, d'un ou de plusieurs inspecteurs d'Etat, d'un secrétaire général et de plusieurs directeurs.Les grandes directions administratives sont au nombre de sept : la direction de la justice, la direc tion des transports, de la marine et des travaux publics, la direction de l'intendance, la direction de l'agriculture et de l'industrie, la direction des travaux de défense, la direction de la force publique et la direction des finances. Le territoire de l'Etat est divisé en 14 districts, dont les noms suivent : Banana, chef-lieu Banana ; Borna, chef-lieu Borna ; Matadi ,chef-lieu Matadi ; Cataractes, chef-lieu Tuinba ; Stanley-Pool, chef-lieu Léopoldville ; Kwango oriental, chef-lieu Popokabaka ; Oubanghi, chef-lieu Banzyville : Stanley-Falls, chef-lieu Stanley-Falls; Lualaba-Kasaï, chef-lieu Lusamho : Lac Léopold II, chef-lieu Kutu ; Equateur, chef-lieu Coquilliatville ; Aruwimi, chef-lien Basoko ; Bangala, chef-lieu Nouvelle-Anvers ; Ouellé, chef-lieu Djabbir. L'évaluation de la population indigène varie entre 11 et 28.000.000. Cette dernière paraît se rapprocher sensiblement de la vérité. Voici un côté pittoresque de l'histoire des emprunts d'Etat, le Congo ne saurait oublier le danger que lui a fait courir le prêt de Browne de Tiège, qui, s'il n'avait été payé par la Belgique, obligeait l'Etat Indépendant à livrer à un syndicat financier, pour le prix de quelques centimes par hectare, un territoire représentant, plus de cinq fois la superficie de la Belgique, et comportant la plus grande partie des bassins de l'Aruwimi, du Rubi, du Manyéma, de la Lukengé, du Lomami et du lac Léopold IL Le Congo est un Etat jeune, en voie de bonne organisation. Il ne saurait échapper à la nécessité, de se créer des ressources financières et il est du devoir de tout Belge d'y collaborer. L'œuvre congolaise, est de ne pas ternir l'éclat d'une gloire que la Belgique a payée, sans compter, du sang de ses enfants et des trésors de son épargne. Nous donnerons prochainement un résumé de l'examen du Budget du Congo de l'année 1914 par le groupe d'études coloniales de l'Institut de Sociologie Solvay. (A suivre). Bibliographies Vient de paraître, éditée par les établissements Aug. Gilles, rue de Mérode, 96, Bruxelles, une intéressante brochure in-8° : « Le Moratorium et le Commerce », par Mr Maurice Tienrien, avocat à la Cour d'appel de Bruxelles, secrétaire de la section de droit commercial de la Chambre de commerce de Bruxelles, avec préface par Mr Brunard, sénateur, président de la section. En voici le sommaire : Chapitre I. — Arrêtés royaux des 3, 4, 9, 18, 22 août 1914 ; loi du 4 août 1914 Chapitre II. — Section I : Les retraits de fonds sur les dépôts en banque. — Section II : Le payement des valeurs négociables. Motifs et examen des arrêtés des 3 et 9 août 1914. Rappel de la loi fran çaise du 13 août 1870. Débition des intérêts par le tiré accepteur ou non ; par le tireur qui a remis des effets à l'escompte. Les effets impayés par suite du moratorium perdent le caractère des dettes exigibles. Ils ne peuvent être inscrits au débit d'un compte courant, ni être opposés en compensation. La Banque qui omet d'aviser le tireur du non-payement des effets remis à l'escompte ne peut lui réclamer le payement des intérêts moratoires. Chapitre III. — La situation actuelle au point de vue économique Le prix de cet opuscule est de fr. 1,60 (port com pris). On souscrit au bureau du Lloyd Anversois, 14, rue Vleminckx, à Anvers. Nous recommandons à nos lecteurs le très bon opuscule de Mr Ar. Carlier, avocat à Charleroi : La Question des loyers et la Guerre, (Pasque, Charleroi, 60 centimes) (port compris). C'est certainement ce qui, jusqu'ici a été écrit de mieux sur le sujet. Mr Carlier, aux dernières nouvelles, en préparait une nouvelle édition. Il faut espérer qu'elle sera bien vite entre les mains de tous les propriétaires, de tous les locataires, et qu'elle deviendra le petit code pratique des tribunaux d'arbitrage. On souscrit aux bureaux du Lloyd Anversois, 14, rue Vleminckx, à Anvers. Mr Emile Bousin, avocat à la Cour d'appel de Bruxelles a publié un volume de 150 pages : Le Droit et la Guerre (G. Meert & C°, Bruxelles ; 1,10 franc) auquel la Société générale des voyageurs de commerce de Belgique a accordé son patronage. On souscrit au bureau du Lloyd Anversois, 14, rue Vleminckx, à Anvers. Federated Malay States Rubber Company Limited SOCIETE ANONYME BELGE Conformément, à l'article 35 des statuts, l'ASSEM-BLEE GENERALE ORDINAIRE des actionnaires aura lieu le mercredi 27 octobre prochain, à 3 heures de relevée, au siège social, 21, rue Arenberg, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Communications du Conseil d'Administration et des Commissaires ; approbation et décharge aux Administrateurs et Commissaires. 2° Nominations statutaires. 3° Remise éventuelle de l'assemblée générale ordinaire à une date ultérieure. Conformément à l'article 37 des statuts, pour assister à cette assemblée, les actionnaires doivent, cinq jours au moins avant la réunion, déposer leurs titres au siège social, 21, rue Arenberg, à Anvers. Comptoir Général d'Alimentation SOCIETE ANONYME, A ANVERS Messieurs les actionnaires sont convoqués en ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE, qui aura lieu le jeudi 14 octobre 1915, à 10 heures du matin (H. B.), au siège social, 7, place Van Ryswyck, Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapport du Conseil d'administration et du Collège des commissaires ; 2° Lecture et approbation éventuelle des bilans et comptes prolits et pertes des exercices 1913-1914 et 1914-1915 ; 3° Décharge à donner aux administrateurs et commissaires de leur gestion ; 4° Nominations statutaires : a) d'un administrateur, en remplacement de M' C. Bleunar, décédé ; b) éventuellement, d'un commissaire. Pour assister à l'assemblée. Messieurs les actionnaires sont priés de se conformer à l'article 24 des statuts. Le dépôt des titres devant se faire a la caisse sociale. SERVICE REGULIER ET DIRECT entre Anvers, St-Nicolas, Lokeren, Gand, Bruges, Ostende, Blankenberghe, Heyst et tout le littoral BRUGES, GAND, ALOST ET BRUXELLES pour marchandises et petits colis j. saeysTde caluwé BRUGES Pour ANVERS s'adresser 45, Rue Nationale, 45, Départ toys les mercredis, à midi ROTTERDAMSCHE LLOYD Prochains départs de ROTTERDAM vers les ports habituels des INDES NÉERLANDAISES S/S « BANDOENG » le 13 oct. (s. i.) S/S < PALEMBANG » le 27 oct. (s. i.) Pour frets et tous autres renseignements, tels que eux con cernant l EXPÉDITION D ANVERS, s'adresser aux Agents RUYS & Co„ 9, Quaiî"Van Dyck, Anvers.

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