Neptune: the Belgian shipping, motor shipping, industrial, financial and commercial paper

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04 september 1915
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s.n. 1915, 04 September. Neptune: the Belgian shipping, motor shipping, industrial, financial and commercial paper. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/tm71v5cv14/
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ABONNEMENTS. ROYAUME UNI, Un An - - - 6s. 6d. Six Mois - - - 3s 4d. Trois Mois - - ls. 8cl. —*— FRANCE &. BELGIQUE. Un An - - - 11.50 fr. Six Mois- - - 5.75 fr. Trois Mois - - 3 fr. The Belgian Shipping, Motor Shipping, Inai striai, rinanciai and Commercial Paper. Editor: Léon V \NDERSLYEIN, 24, GR aT St. HE EN'S, LONDON, E.C. SUBSCRIPTION^. UNITED KINGLOM: Oné Year - 6s. 6cl. Six Months - - 3s. 4d. Three Months - ls. 8d —❖— "Neptune" pays for ail inserted contributions. MSS. are not returned. "Neptune" paye tous les articles insérés. Les manuser.ts ne sont pas rendus. LE PROBLEME ECONOMIQUE DE LA BELGIQUE APRES LA GUERRE LA QUESTION DES DETTES ET CREANCES En ce moment où le Conseil National Economique Belge examine la question des Créances, il sera intéressant pour chacun de prendre coin aissance de l'exposé fait par Monsieur L. Janssens, secrétaire générai adjoint de l'œuvre, à la séance d'inauguration. . — Cet expo é débute précisément, en faisant a lu-sion en grande partie à çe qui va, faire l'objet des délibérations de la question des Créances et Dettes. Voici comment M. anssens, rapporteur de la Section des Créances, s'exprimâ t le 9 juillet, date, d'ouverture desdits Conseil National Economique et Congrès Permanent : "L'oeuvre qui s' mpose à l'attention de toutes les intel'ectualités du pays, à t utes les activités pensantes, que l'exil ne met pas dans l'impossibilité, comme nos malh ureux compatriotes restés au pays, de .s'exprimer et de travailler l.bre-ment—cette oeuvre est, à cô:é de l'oeuvre de sublimé sacrifice de nos brav s au front, celle de la régénération' de" notre malheureuse Patrie. Le problème économique de la Belgique après la guerre ne p-ut ni ne doit laisser ind ifférent aucun Belge éclairé. Aussi l'avez-vous compris, Messieurs, et et-e- vous aécourns nombreux, vous •qui représentez à la fo's. 'e patriotisme, la science, l'observat'on, la- per picacité dans ce qu'ils ont de pius haut .au serv'ce de la grande cause de tous 'es Belges, au service.de la reconstitution économique de la Patrie. De toutes parts : de France, d'Angleterre, d'Ecosse, d'Irlande, de Suisse ,-t du front même sont arrivées de nombreuses adhérions importantes, des premières p rstio.i if ' - ':i'el'eotnér<s '!'■ TïeVi'/u<' Tentes veuieut a)', mener appoint et leur science, de leur compét iice. de leurs . travaux à 'a grande œuvre qui nous réunit aujourd'hui. A tous, •présents et absent-, j'adresse mes modestes remerciement."La situation .de la Belg:que, vous le savez, Messieurs, est sans précédent dans l'histoire du monde, re n' -t donc pas à comparer avec des fa ts antér'eurs qu'on aura't tort de taxer de similaires."La guerre le 1870, le, tremblements de terre en Italie ont nécessité 'e bouler, rsement-de beaucoup de lo's, et ..l'applica.'on de me-.ures et lois spéciales, marquées au coin de la plus grande solidarité, et de la. p'us entière humanité. Ces mesures et o s étaient in p'rées n ature 'ement d'esprit de sauvegarde de tous les intérêts en présence, si opposés souvent. Empreintes d'équité et de justice, demandant des sacr fices moraux et matériels aux pin- forts, des devoirs de haute probité aux humbles et aux faibles, ces mesures et lois de circonstance, furent '.esmeileurs gard ;ns, les plus robuste étais de l'équ'l.bre économque. La Belgique est non pas seU1ement partiellement atteinte par une catastrophe ou une guerre courte comme celles dont je viens de par'er, mais «Te est, à part çe fietit lambeau de terre si vail'amment disputé au puissant ennemi, totalement ruinée par une déjà 'ongue guerre, dans son entiéreté de territoire, et c'est le bou'eversement total de l'économie qu'el'e appelle. Les mesures d'ordre privé, comme les lois qui- doivent intervenir, tout en s'inspirant dp l'esprit de celles prises ou fa'tes par les pays voisins d:i les cas .prérappelés, doivent être étude'es à ce point de vue de juste proportionnalité, et d'etent par con--séquent. la préoccupation maximum de !ol darité et d'humanité. Le Gouvernement et les Chambres à la rentrée, seront encombrés par une foule de quest'ons urgentes à résoudre : celles d'ordre économ:que qui demandent application immédiate, demandent des études approfondies et des compétences spéciales pour les étudier. C'est pourquoi le Conse'l d'une part, le Congrès d'autre part, fourniront ce travail d'indications raisonnées utiles et de mesures immédiates à prendre, même pendant la guerre. Dans cet o-rdre d'idées, devront intervenir les questions de réoutillage, de production, d'approvisionnement des matières premières pour équilibrer au plus tôt l'exportation avec l'importation, laquelle, vous- le savez, Messieurs, si el'e est dépassée trop^sensiblement par cel'e-ei, pourrait conduire le pays à une situation presque insurmontable. ,, La question des barrières à abattre pour nos revendications au traité de Paix, en ce qui concerne la pénétrat;on de nos productions futures en pays étrangers, doit faire l'objet de votre v'gilanee. La paix intérieure du pays, en quiétude, 'a fraternité entre tous, do t être avant tout assurée. A cet effet, le moratorium semble devoir être remp'aeé par un concordat général dont vous étudierez les conditions. Dans ce seront comprises toutes les dettes et créances quelconques : loyers, hypothèques, effets de commerce, etc. Il faut que dans l'intérêt même des porteurs de créances quelconque:, dans "'intérêt de la propriété privée et de la propriété publique, soient évitées des crises immobilières, mobil ères, et par répéta ussion, financières, qui finalement atteindraient tous les Belges, ruiné raent le pays, et ne feraient que le jeu des étrangers et même de nos ennemis. Il faut que tout le monde soit apte-en Belgique, à pouvoir, avec-du temps, faire face à ces obligations. Il faut que tout le monde devienne solvab'e. Il ne peut pas y avoir une fiile- catastrophe financière, commerciale, indus» trielle en Belgique, ayant la guene pour cause, soit directement,, soit indirectement. Il faut s'inspirer de ce grand principe que 'e bien particulier do t céder -devant 'e bien général, que chacun, par des' sacrifices momentanés, peu et doit l'asstfrer et que* plus il sera fait de sacrifices particuliers; plus rap'dement lu ra" l'aurore de 'efflorescence du progrès. Les lo's et mesures à prendre doivent être com-p'ètement imprégnées de cet esprit de large et inteil'gente solidarité, et peut-être que de grandes "brèches s' mpo ent dans l'atrcien bastion de 'é-g'slations, devenues devant les ciiconstances surannées, inadéquates, économiquement par ant, à 'a -ituat'on, et du fat .humanita r nient parlant aussi. Les questions des intérêts d'une intervention pécuniaire du Hlonde civilisé (s'inspirant de la . 'ettr-de M. Wnxwîilei à M. -Janss 1 s) lés propagandistes belge continu ait eut' oeuvre de redressement et de combattes erreurs propagées partout par ,'ennemi, do vent être examinées. La prolongation des ba.ux, la tacite reconduction dans certa'ns cas, le cours forcé des valeurs ^mobilière , immobilières, hypothèques, etc , pour éviter l'avilissement des pr x et les crises que i i: peut ' 'vit' t :,i partdit trSWSï. a,tr benéfi a* des explo tat:o"s coinmereia-'e?" a' industi ieî'es, pour éviter une incompatibilité entre le prix forcé de vente et le saa'i'e. et afin de pouvo'r effectuer, efficacement des ventes à I'é-iranger, ne sont-ils pas à ■env-'-'vaari? Le système général des 'rnpôts, la quest'on des devoirs de l'Etat vis-à-vis des vict mes directes de la guerre (b'essé , veuves et orphelins de soldats tués) le devoir sacré de tout Be--ge, par le fait, sont à examiner quant aux moyens pratiques d'.en assurer l'accomplissement de façon normale. La questOn des brevets demande ure nterven-tion imméd'ate. La colon'ration, "l'émigration organ sée en connexion avec le commerce et 'industrie b'elges, e développement industriel et commerçai belge à l'étranger, 'a reconstruction des voies de transports, les abris en commun (Pentapo'£), pour rétablir de suite 'es pet'ts commerce- et petites industie', la balance des. compensations du par t'culier, de l'Etat, les assurances, 'es crédits industrie et commercial : petit, gland, moyen, l'échange, la question monétaire, la consolidation des portefeuilles : Banque Nationale, banques et particuliers, commerçants, 'a situation murère, forestière, le rétablissement du cheptel national, les semences, 'a navigat'on, 'a flot'e marchande, etc., etc.. sont autant de questions qui, dès à présent sont"à examiner attentivement en Congrès permanent et en Conseil économique. Les travaux publics enfin, et "es expertises solliciteront l'intervent'on de nos Ingénieurs ici représentés en grand nombre et .de façon si distinguée, et en tête desquels se trouve précisément leur dictingué Président, il. Hubert, notre président du moment. L'examen de toutes ces questions mérite d'être effectué dans un esprit de concorde et de large solidarité. Celles d'intérêt général et celles d'intéiêt propre à chaque-branche d'intérêt et d'activité sont donc à exam'ner en Conseil, en Congrès, selon un ordre et des attributions à établir pratiquement. Dans les moments actuels, il est nécessaire que chacun apporte à l'édifice' de la Belgique Nouvelle un peu de son travail, en s'inspirant du b'en général qui doit dominer les préoccupations particulières. A cette, condition, le succès couron-ners nos travaux, et peut-être trouverons-nous ainsi des solutions qui permettront à nos compatriotes de recouvrer force et vigueuer dans une Belgique libérée, plus fraternelle que jamais ! (Applaudissements.) @© CIE DES METAUX D'OVERPELT LOMMEL Amsterdam.—Les banquiers belges François. Phi'ippson et Léon Cassel ont donné leur démission du Conseil d'admin;stration. On sa:t que cette société.est sous 'es contrôle de la maison Beer, Sondheimer, d|e Francfort. •- ROTTERDAM Une nouvelle cale sèche sera lancée à Schel-lingwoude, Hollande, pour le port de Rotterdam. El'e jauge 11,(XX) tonnes. Avi i Import ant. TOUTES communications devront deso: niais etre adressees au • Neptune " 24, Qreat Si, ttelen's, Loiidon, E.C. RESEAU FERREi S"». RESEAU NAVIGABLE XX\ lll. En France des tichnic ns ' va'eur ent affirmé que Etat a tout pr ne à - re-- '■ver ses forces financières au développement; u i-ailway, l'exploita t on de celui-ci procurante un uendfHv'nit appré . ibre tandis que l'-entiet&r. 'es. canaux susc te des . dépenses élevées. Râfché» issant encore, un universitaire belge.gjsayei,î\er 1912. de démon-Li a qu? les chemin de i'ei sont aptes à remplacer avantageusement ers vo s 1 vdiau iques art;fi-eielles. - - Ne serait ' pejs plu- \au de d're que les leuves,le: rivières t 1 s rai ux so l'c'tent les iiansport de matières pui.de; "uses, des masses ;ncombrant°s, tt que la préf rence es. donnée uix chemins de 1er pour 'i c i ulat'on des fabri-•a'ts ainsi qu * pour l'e ii . de- mai chaud ses de ieui ? Ces prémi. se- • • la céduct on • -t-\ i ut.-s ma- -^5 coir..u . :s reneoiiti-. i e mo'ns d'obstacles t de chaig s. I> p us grande !omme d'avantages et de faci ités, a teindra le naximum de la puissance e'conom'que. Les berges, des ( ours d'eau formant des quais le débarquement, transforment les contrées qu'il; eraversent en zones ii 'd.ustr lies. Les usines Ych ioniient le lorg de leui ■ rivés parce que .s transport par au î.venitent à un prix no'ndre -que celui- ptr 'ignes ferrées et que leurs a ns f cl .ent les c ér' rgem nts. Des théori-s ont, il est vra;, sbut' nu qu'un réseau ferré J'ai est à même de transport.r à 7, 8 et/9 mil-'ares la tonne kilométrique : fn réalité, deur-[ii pays aussi peuplé, aussi bâti que la Be'g que, prix ce revient atte'n environ 25 millime-s a tonne, contre 20 Snillimes, piix moyen payé ni' notre réseau fluvial: Privées- des services u -bateau, bien des fabr qties bé'ges d'.spara" i aient, de nouvel'es ne pourraient être ntro-uite~. leurs bénéfices restant souvent dans la large qui sépare le prix du rail et celu' dei'eau. L'E at faillirait à tous ses devo'rs s'il négli-: ait d'entretenir et de moderniser sans cesse l'ap-areil admirable que consti ue son réseau fluvial t s'i1 ne cont'nuait pas à creirer entre les vo'es aturel'e^ de navigat'on. superbes artères à puis-iince de trafic presque i limitée, et dont le main-ien en bon état est peu dispendieux Ne pas lettre Anvers et les autres.ports belges en com-umicatioli fluv'a e avec nos"ixploitat'ons extracives—y compr's celles du Limbourg—ainsi u'avec nos régions manufacturières, reviendrait refuser de tirer profit de la précieuse position éograplrque de notre port d'exportation et à riv r les plaies maiitimes secondaires, comme industrie" belge, d'un facteur de toute -prem ère nportance-. Pour mettre nos voies hydrauliques en état e fonctionner à la satisfaction de tous les in-îiessés, bien des progrès sont à réa'iser. I' faut rapprocher le wagon du bateau. Cette érité nspira la loi française du 3 décembre 1908 ccordant des facilités pour le raccordement des oies ferrées et des voies d'eau en vue des trans-orts mixtes; elle permet, dans les ports établis e raccrocher les voies ferrées des quais aux , gnes ferrées du voisinage et l'établissement sur >s voies de navigation intér'eure de nouveaux orts pour y assurer un service public de trans-ordement de bateau à wagon ou inversement, l'article 2 de la loi_d'spose' que des décrets peu -est nrescrire l'exécution de bassins dans les iations des chemins de fer- Ainsi sont obtenues es l-'aisQns régu'ières et constantes entre les eux systèmes des points de contact intensifiant éciproquement leurs trafics. Les quais de nos grands ports sont longés par es voies mu'tip'.es et. à moins d'encombrje-rents momentanés, les embarquements et les ébarquements s'y effectuent d'une, façon eonve-able. Des progrès sont encore possibles dans ' tte direction, comme sous le rapport des rat-tch'ements à créer entre les voies hydrauliques t 'es lignes ferrées même vicinales—convergeantes Urre util sation plus efficace du îéseau fluvial i serait réalisée si l'Etat arma c es pr ncipales < altères fluviales de la traction é'ectrique,^ ou 1 organisait un servioe payant de remorquage à"*~! l'usage des batel ers, régierait ie groupement des liteaux à reiiiorquer. et, tout en la ssant une ( i.i léprii lanc. entière! aux expéd teurs et aux 1 transporteurs s'mtermettrait entre-eux pour que 1 les piemiei aient toujour à leur dsposii.'on les ' véh'cules nécessaires et que, d'autre part, le « moins de matérie' flottant reste inoccupé. L'ex- : tens on de l'emploi du bateau à force moti'ce corn- ' piiqu le prub ème en dira nuant le nombre des unités à remorquer. : (A Suivre.) TEUGELS DE VOS. s 1 LES LOYERS A AÎS'VERS 3 La Comni ss'on intercommuna'e vient de sou- t mettre au Collège échevina' un projet de rég'e- 1 mentation sur le paiement des loyers. Ce projet, dont voici la teneur, se base sur 1 les trois principes eu'vaBts: 1er Pr:ncij . — Jusqu'à la pa x. rem'se du 1 paiement^ devra être accordée aux locata res in- 1 digents et de bonne fo' non eulement pour les ( loyers déjà du» ma s encore pour 'es termes à ' payer ultérieur ment. ( Cet e furirif cont ent une so'ution.teime entre 1 d ux systèmes, absolus : ( lo. Le nroratoriunr général pour 'a 'ocation E des immeubles. i ' 2o. L'application "pure et simple des 'o s sur 1 la propriété. R'en n'empêche de commencer par 1 appliquer une prorogation de 3 à 6 mo's Les comités ne s'occuperont que des petits loyers ; des f petits négociants qui sous-louent une partie de ' l:ur maison à des ouvriers, des employés; etc ^ Lorsque, ces locataires, manquant de travail de- ' >yl ) 1C ' ■ ' ■. ' ■■ n a .. r. 'r. t.OQ 11 r r, rp. î j âyer leurs' terrr.es, 'c devo'r" ;*iu propriétaire, ! f n'étant pas dans lê beso'n ui-rrême, sera d'agir f dé 'a même façon que le porteur d'une tra'te c acceptée ou qrie le titu'a're d'un campte-courant c à là banque, c'est-è-d-"r? de se p er aux c'rcons-tance i acte que font du reste de 'eur p'e'n gré la major té des-propr'étaires. " Les autorités pub'iqucs prendront d'à ".leurs, sitôt "a paix conclue, les mesures équitables ' qu'ex'gera 'a iqu dat on de e. tte Situation. 2e Princ'pe. — Les locata'r s de mauvais vou- loir ne pourront pas" tirer profit de la concil'a- ^ tion dont on usera à Tégard des 'ocataires sars n ress ure es. Seule, une enquête permettra de d's- ^ tingusr le locata re qui ne sera plus solvable par ■ uite des temps durs, et sans qu'il y a t faute ^ de sa part, de ce'ui qui sera en mesure de s'ac-ipiitter paitiellement de sa dette ou de montrer pour le moiusTja bonne vo'onté. L'expérience ne us apprendra 'e barêire fixabèe, ma-s i est probab'e que cette d stinction jncK-i v'duelle restera toujours une queseion d'équi Q t rbie éva'uition. Ce r i 'a tâiche des com'tés que ^ de s'acquitter de cette he ogne ardue. Nous croyons iiutilè d'insister sur 'a portée sociale et patriotique de ces tentatives de concil at'on et 1'nterven io:r personnelle. 3e Principe. — Le propr'éta're qui se. trouve p lui-même dans le. besoin par suite des sacrifices g faits en fav.ur de ses locataires mér'tera aussi je que'que soutien. Par la mise en pratique de ces princ'pes, les c, comités pourront trancher ma ntes quest'ons à it l'amiable, so t en invitant le propr'étaire à héberger gratuitement un locataire reconnu com- plètemeiit indigent, soit en mèttart d'accord les v deux part es sur le point de rég'er partielle- ment ou de remettre le paiement de la somme n, due. d. Dans d'autres cas une in ervent on matér'elle ;il s'imposera. Cette médiation pourra se présenter de trois, manières : ,j a. Séjoui du locataire dans un des immeubles v, mis à la disposition du comité. En ce cas un e, acquit du loyer sera ex gé du propriétaire ou au al mo'ns une réduct'on, et Je pa ement en sera prorogé jusqu'à la fin de la guerre. sc A Bruxelle'',,les comités disposent gratuitement à de nombre de maisons inoccupées à condition, p; dans la plupart des cas, de les mainten:r en bon état. Il importera de tenir compte évidemment de 'a situation, socia'e des locataires. ta En d'autres cas, on a octroyé aux propr'éta're® L un pet:t dédommagement pas p'us élevé que le revenu cadastral Nous eommes convaincus que les propriétaires an ver.sois agiront de la même m manière et 'avec 'a même générosité que leurs b: confrères bruxe'lois. te Nous faisons un appel à tous les membres des 1' comités cantonaux aussi bien qu'à ceux du comité central pour chercher parmi leur entourage des propriétaires dte maisons inoccupées 'prêts à a' procurer un abri à leurs conc toyens infortunés. t( b. Une seconde espèce de médiation cons:ster.a se à allouer un petit secours (15 ou 25 frs.) au n; Iocata:re qui doit quitter par cas de force ma- B eure son domicile, somme qui couvrira ses frais le déménagement et lu. permettra de payer un ►rentier terme. En oe cas, une quittance des ri'iéiés sera également exigea. c. Un d&urier moyen consistera en la signature 'une avance au propriétaire, propot'tionnelle-rent aux sacrifices que ce dernier aura faits en aveur de son locataire. Cette avance lui sera ersée, au nom du Comité, par la Caisse des vances et des prêts, p'aoe' de Meir 48. Ces van ces ne s'élèveront en aucun cas à pus de 100 rs. par mois. E les seront garanties par un compte hypothécaire remboursable six mois près Ui pa x, à moins que d'autres dispositions 'aient été prises. Même au cas où l'immeuble erà t déjà chargé d'une hypothèque trop lourde .oui' justifier une avance dans les conditions nor-aales, un créd't pourra être accordé, si l'atti-ude du propriétaire vis-à-vis de ses locataires le aérite, selon l'avis du comité. La ville d'An-ers, bien que ne se croyant pas ob'.'gée 'égalèrent d'intervenir, a consenti, à la demande de a commisision intercommunal©, à soutenir le omité national en prenant à ta charge la ga-antie des tro's quai ..s des avances jusqu'à con-urretice d'une somme de 100,000 frs., qui sera ersée, sur la proposition des comités, par la aisse hypothécaire. De semblab'es aceords se-ont conclus ave.c les autres communes. D'ores t déjà, Borgerhout, Berchem, Meixem et Deurne ont prêtes-à négocier. Les ressources nécessaires .ux comités feront procurées par le comité a trônai de secours et d'al mentation, départe-îent des sans-abris. L'oeuvre similaire - à Bruxel'es dispose d'un ubside mensuel de 10,000 frs., somme uï n'a jama:s été distiibués jusqu'ici en entier, .es comités remarqueront que les moyens sont mités et qu'il 'eur faudra user de beaucoup de arcimdnee. U va de oi que les com'tés se tien-l'OHt tmijnui-s à la disposfr' m ue.s jug.-- d- pai.v our leui-pro urer tous les rénsei'gnemeiits dont es magistrats auront besoin, au sujet des cas ui n'auront- pas pu être traités à l'amiable. ' — LES CHOMEURS EN BELGIQUE Arrêté1 du gouverneur provisso're en date du â août 1915. concernant les chômeurs qui, par aresse (?) se soustraleçt-au travail: Article 1er. — Qu'nconqué, sc'enrment ou par ég'igence, fa-'t de fausses déclarations au sujet e sa situation personnele lors d'une enquête des-née à établir- son .indigence, est pa s'b'.e d'une eine d'emprisornement de six semaines au plus, moins que les lo's en vigueur ne prévo'ent Implication d'une- pe:ne plus forte ; en outre, il aurra être condamné à une- amende pouvant 1er jusqu'à 1.250 francs. Art. 2. — Quinconque est secouru par l'assis-,nce publique ou privée et, sans motif suffisant, ■fusé d'entreprendre ou de -continuer un travail l'on lui a proposé et qui répond à ses capacités, r quiconque, en refusant un tel trava", tombe charge de l'ass'stânce pub'"'que ou privée, sera issible d'une peine d'emprisonnement de 14 urs à 5 mois. Tout motif concernant le refus de travailler ra valable s'il est admis par le droit des gens I. D. L. R. : U reste à savoir ce que le.-oches entendent par "droit des gens." Est-ce droit des Boches?) Le tribunal peut, en outre, ordonner l'app'i-tion de la mesure prévue à l'article 14 de la i du 27 novembre 1891. Art. 3. ■— Qu:conque, sciemment, favorise par ■s secours ou d'autres moyens le refus de tra-[;ller punissable en vertu de l'article 2 est issible d'une amende pouvant al'er jusque 12 ille 500 francs : en outre, il pourra être, con-imné à une peine .d'emprisonnement d'un an i plus. Art. 4. —1 Si des communes, associations ou autres groupements favorisent le refus de tra-liller de la manière prévue à l'article 3, les chefs i seront rendus responsables conformément à cet ticle. At. 5. — S'il est prouvé que certaines sommes nt destinées à secourir les personnes désignées l'article 2, ces sommes seront confisquées au ofit de la Croix-Rouge de Belgique. Art. 6. — Les infra.ct;ons au présent arrêté ront jugées par les chambres correctione'les des ibunaux belges de prem ère instance. \ CONSTRUCTION MARITIME SUR LA CLYDE La guerre réduit sérieusement la construction arit'nae. Sur la Clvde on a lancé en juillet deux .teaux jaugeant 10,000 tonnes, contre 16.030 nnes en juillet et 14,490 tonnes en août de • m dernier. LA MORATOIRE EN BELGIQUE Nous pouvons confirmer la nouvelle que nous ons donnée antérieurement, c'est que le mora-ire, eu Belgique, a été prorogé jusqu'au 30 ptembre. Il en est de même des décrets concer-nt l'enlèvement des so'des créditeurs dans les mques. 4 SEPTEMBRE 1Q1 C 4 SEPTEMBER I 7 I J. lie ANNEE. \T O f 1 ith YEAR. INO. J l

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Dit item is een uitgave in de reeks Neptune: the Belgian shipping, motor shipping, industrial, financial and commercial paper behorende tot de categorie Vakbladen. Uitgegeven in - van 1905 tot 1929.

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