Notre avenir: hebdomadaire social, chrétien belge

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31 augustus 1918
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s.n. 1918, 31 Augustus. Notre avenir: hebdomadaire social, chrétien belge. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/k649p2xk3n/
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NOTRE AVENIR PARAIT LE SAMEDI BUREAUX à GAND : 24, rue Wellinck et rue de la Caverne, 65 Comptes, Chèque*, Postaux : PARIS, N° 1159 \ * avenue ^ République (XIe) ( au HAVRE, 1, avenue des Ursulines PRIX DE L'ABONNEMENT Pour la FRANCE : Jusqu'au 31 déc. 1918 3 fr. » Jusqu'au 31 mars 1919 5 fr. » Jusqu'au 30 juin 1919 8 fr. » PR2X DE L'ABONNEMENT Pour les PAYS autres que la FRANCE : Jusqu'au 31 déc. 1918 4 fr. » J usqu'au 3 I mars 1919 8 fr. * Jusqu'au 30 juin 1919 10 fr. » ORGANE des Réfugiés Belges en France L'Union fait la Force ORGANE des Œuvres Sociales Chrétiennes de Belgique A nos Lecteurs Comme nous l'avons fait savoir à no; lecteurs « Notre Avenir » paraîtra dorénavant à Paris. Notre journal sera à partir de ce jour l'organe unique de: <( oeuvres sociales chrétiennes belges », et des « réfugiés ». Nos lecteurs connaissent notre programme et notre ligne de conduite. Il; ne changent en rien. En communion d'idées avec notre peuple, nous voulons défendre ses intérêts et être l'expression de ses idées de ses aspirations. Notre vaillant peuple si éprouvé par la guerre, désire qu< l'on s'occupe pratiquement de lui, qu« « le droit et la justice » ne soient pas des mots, mais des réalités. Pour réaliser cette saine politique réaliste, « Notre Avenir » ne cacheré ni ses convictions, ni ses tendances, n son drapeau. « Tout pour la Patrie » certes. Notre fidélité à la cause de h Patrie, à la cause alliée était et rester* inébranlable. « Tolérance pour tous et en tout >: certes encore. Des hommes honnêtes or en trouve dans tous les partis. La bonne volonté de tous suffira à peine à nou: permettre de nous relever de nos rui nés. Plus de politique mesquine, plus d< politique de clocher: De l'air, de l'ai: . pur dans la famille politique belge! Mais, pour atteindre ce but, pour ré pondre à cet appel, il ne faut ni renier ni affaiblir les principes dans lesqueL notre mouvement social chrétien a pui sé sa vie et sa force. Notre mouvement social, notre mou vement syndical même ne sont pas ex clusivement des mouvements économi ques. La base de ces mouvements es d'ordre moral. C'est ce que nous on enseigné Léon XIII, Pie X, Benoî XV ; c'est ce que "nous avons toujour accepté, toujours pratiqué. C'est ains que l'entendent nos camarades resté sous le joug de l'ennemi. Nous ne permettrons pas que quel qu'un, si haut placé soit-il, ou de quel que titre qu'il se vante, voulant parle en notre nom sans avoir reçu de man dat, tente de désorienter notre mouve ment social chrétien. Nos organisations, nos journaux son et resteront maîtres de leurs destinées Ils sont et resteront des organisations des journaux franchement, ouverte ment chrétiens et catholiques. Au point de vue professionnel nou nous occuperons spécialement des in térêts de nos soldats, de nos réfugiés de nos employés et de nos mutilés Combien de problèmes angoissants n< se posent-ils pas à nos études : la démo bilisation, la reprise du travail, la situa lion de notre industrie et de notre com merce après les hostilités, le sort di nos pauvres estropiés et mutilés. D'autres questions sociales, d'un in térêt plutôt général et moral exigent uni solution sincère, entière et patriotique Signalons entre toutes: la question lin guistique. D'aucuns ont sciemment induit ei erreur l'opinion publique à ce sujet. I faut que tous les bons patriotes s'unis sent pour déjouer cette manœuvre qu a pour conséquence de diviser la pa trie. La vérité fait d'ailleurs irrésistible i ment son chemin. Nous condamnons aussi bien les « activistes » Flamands et Wallons que ces quelques pêcheurs i en « eau trouble » qui espèrent exploiter « l'activisme » pour pouvoir frapper les bons patriotes qui désirent ardemment solutionner le problème lin-; guistique dans un sens d'union nationale et d'apaisement. Flamands et Walllons veulent s'entendre sincèrement et s'entendront. Pour s'entendre ils veulent voir clair. Pour voir clair ils veulent se ren-: seigner. Ils savent que l'unité de la Pa-: trie en dépend. 1 A la réalisation de cette oeuvre « Notre Avenir » apportera son mo-: deste concours. 1 Pour préparer cette solution sincère, 1 Flamands et Wallons ne s'arrêteront ■ d'ailleurs pas aux foudres de certains 1 « Beulemans » qui se disent mi-wallon, 1 mi-flamand — Belge tout court — et qui ne sont ni l'un, ni l'autre ! Flamands i et Wallons — les vrais — serreront les i rangs et ils demandent au gouverne-: ment qu'il assure ou prépare le droit de ; chacun dans une patrie indivisible ! Pas - de séparation ni administrative, ni poli-: tique ni autre : adaptation de toute notre r vie publique à notre situation intérieure et nationale: le Flamand en Flandre; les Français en Wallonnie. Enfin nous continuerons à défendre i avant tout les organisations syndicales . de même que les groupements philanthropiques de guerre. Notre journal n'est pas un journal . exclusivement syndical. Il ne saurait . l'être pour le moment. Son champ d'ac-t tion est plus large; ce fut l'idée de ses t fondateurs, et restera son but. Mais nos t « syndicats », nos « groupements » 5 trouveront en « Notre Avenir » un | ami fidèle, un défenseur de tous les 5 moments ! Wallons, Flamands! Lisez, propa-. gez, aidez « Notre Avenir ». Vous . comptez sur nous, nous comptons sur r vous. La Rédaction. * gïS98iSî > La Question Féminine Dans un récent article, E.L. signale l'importance de la « question féminine » d'après-guerre. Nous estimons 5 aussi, que dès à présent, elle doit être " sérieusement examinée. Elle fait par- > tie des grands problèmes économiques * et sociaux, dont l'étude immédiate ; s'impose, et ne doit pas être ajournée " au moment de la rentrée au pays, ce ' qui aurait pour conséquence de retar- * der la restauration de la Belgique, et ; de léser tous nos intérêts nationaux. Des solutions sérieusement étudiées, - doivent être prêtes à être mises en pra-ï tique, dès la libération du Pays, sous : réserve d'approbation par nos compa- - triotes restés là-bas, ou de modifications ; mais celles-ci seront d'autant i moins importantes et de nature à re- 1 tarder la réalisation, que le travail . d'étude aura été complet, i Parmi ces problèmes, la question fé- - minine est des plus importantes, et - aussi des plus complexes; elle soulève de nombreux points d'ordre politique économique et social. Un rapide exposé de quelques-un de ces points suffira à démontrer l'im portance de la question et la nécessiti d'étudier sans retard les solution qu'elle comporte. Au point de vue politique, faut-i accorder aux femmes le droit de voti et d'éligibilité? ou l'un des deux seu lement? si oui, dans quelles limites dans quelles conditions ? Dans ce ordre d'idées, il serait utile d'étudié de près les systèmes instaurés dan plusieurs pays, et leurs conséquence sur la « vie » politique de la nation Une réforme dans ce sens peut ame ner de grands changements en Belgi que, aussi faut-il la réaliser, éventuel lement, avec intelligence pour qu'ell< soit heureuse et favorable à la nation. Non moins grande est l'importano du problème au point de vue économi que. Actuellement, nous trouvons la fem me dans les bureaux, dans les usines elle est occupée aux travaux les plu divers, assurés de tous temps par l'hom me. En sera-t-il encore de même lors que les usines de guerre auront ferm leurs portes? L'habitude prise, l'attrai de gains élevés, d'autres raisons en core, nous permettent de répondre af firmativement. La main d'oeuvre fémi nine prendra, après la guerre, un grande extension. Cette situation nou velle exigera une réglementation nou velle. Des mesures doivent être prise pour empêcher la main d'oeuvre fémi nine de concurrencer la main d'œuvr masculine et de se causer réciproque ment du préjudice; il faut spécifier le travaux qui peuvent être confiés au: femmes, fixer un âge minimum pou chaque métier, arrêter une échelle d salaires, sauvegarder l'hygiène-et sur tout la morale dans les établissement qui utilisent l'élément féminin, limite le temps de travail pour chaque prû fession, déterminer le « moment » d travail (défense de travailler la nuil par exemple), prendre des mesures spé ciales en faveur des ouvrières et em ployées avant et après l'accouchemenl nommer des inspecteurs et des inspec trices du travail pour surveiller la bonn exécution des règlements, principale ment au point de vue hygiène et me ralité, réglementer le travail à domicile etc. La femme prendra également un part très active, pour autant qu'on l'ini tie, au relèvement de l'agriculture e des industries qui s'y rattachent ou e dérivent: élevage de volailles, de mou tons; culture maraîchère, culture fle raie, cueillette, industrie fromagère, etc Le rôle de la femme, si marqué dan la vie économique, et j'ajoute: politi que, d'un pays, doit être également pré pondérant au point de vue social. C'est pourquoi, il importe en tou premier lieu d'éduquer la femme et d la préparer dès son plus jeune âge à 1 mission qu'elle devra remplir. Commet devra se faire cette éducation? Corn ment inculquer à l'enfant, à la jeun fille, à la femme, les principes qui e feront une bonne mère, une épouse me dèle, une maîtresse de logis parfaite Sur quelles bases se fera la révision de programmes des écoles de filles ? de écoles maternelles, écoles ménagère! écoles professionnelles? cours de pué ricultures, etc. Cette face du problème qui nous oc UNE CAMPAGNE LAMENTABLE 3 i " Nous avons déjà ^entretenu nos lec : teurs de la campagne regrettable me s née dans Les Nouvelles de La Hay< par un journaliste belge du Havre. . Le XX° Siècle semble connaître 1< personnage, et qualifie ses attaque; * contre M. de Brocqueville d'indécentes - Elles le sont, en effet. Nous n'avons > pas à défendre M. de Brocqueville j mais il serait puéril de méconn'iître le: grands services qu'il a rendus à soi r pays, et c'est la première fois qu'or s voit dans nos luttes politiques un te 5 acharnement contre un homme qui i quitté le pouvoir sans avoir démérité et que seules les plus viles rancune! peuvent expliquer. Ce n'est pas ains " qu'on réalisera l'union sacrée. Notre personnage, non content d< » piétiner l'ancien chef de cabinet, de mande la tête de trois de nos ministres Et tout d'abord celle de M. Helleputte - L'honorable ministre de l'Agricultur< - et des Travaux publics est un hommi franc et loyal. Il dit ce qu'il pense. I n'a cessé de condamner tout activisme flamand ou wallon. '■ Mais... il est partisan du mouvemen s flamand, et il a le tort de ne pa: . consulter l'oracle de Sainte-Adresse « Veni ». De là, foudres et colère contr< , M. Helleputte, qui n'a qu'à démis 2 sionner. t Ne rions pas, c'est trop grave ! La seconde victime est l'honorable E ministre des Sciences et des Arts _ M. Poullet, donit tout le monde, y com pris ses adversaires politiques, recon naissent la sage modération. Mais il ; s osé écrire dans Le Livre du Soldat, san " l'imprimatur de « Veni », un article e ayant trait à la question linguistique. Restons unis, disait l'honorable Mi nistre, et il ajoutait : « Supposé le pro gramme flamand entièrement réalisé s qu'y aurait-il de changé en Wallonnie r Rien, absolument rien. » g C'est le bon sens même, comme L proclamait le baron Beyens en citant e passage. Mais cela ne fait pas le compti S de « Veni ». Il ne faut pas que le r Wallons sachent que le mouvement fia - mand n'est nullement dirigé contr< n eux. Il faut soutenir le contraire. I faut semer la haine et la divisioi ' entre les malheureux Belges ! Veni trouve que M. Poullet est de - venu flamingant ! et qu'il est temp :, qu'il s'en aille!... * ★ * e i. Enfin, il y a le ministre des Finances M. Van de Vyvere. Il semble difficile d'accuser M. Vai de Vyvere de prendre une part indis crête aux controverses. Ses amis son e tentés de le trouver trop silencieux. I se défend en disant qu'il est entière ment absorbé par ses délicates et impor I tantes, fonctions. Mais il paraît qu II M. Van de Vyvere partage les idées d - ses deux collègues. Comment « Veni » va-t-il stigmatise s " cupe, en est peut-être la plus impor " tante. Au point de vue social, l'influence t de la femme est sans limite. Qui plu e qu'elle, par exemple, est qualifié pou a combattre l'alcoolisme? pour réglemen it ter le travail des femmes? pour assu - rer le bon fonctionnement d'oeuvres de e charité? Et puis n'est-ce pas elle qui ; n la lourde charge d'élever les enfants e d'en faire des citoyens honnêtes, travail ? leurs et robustes? s Aussi, faut-il préparer la femme i s son rôle. , J'arrête cette énumération qui sem - ble suffisante, bien que fort incomplète à prouver l'importance du problème - Dans des articles prochains, j'exposera • cette effrayante perversité? Voici c ■ qu'il a trouve : M. Van de Vyvere a ; aistait à l'Assemblée générale de clôtui des trois journées sociales tenues a ; xlavre, sous les auspices du bureau c ; .a « Confédération des Syndicats enr . tiens et libres de Belgique ». > IN os lecteurs ont vu dans nos rappor i que durant ces assises, les homme > a'œuvres se sont exclusivement o 1 cupés de questions sociales : démobil 1 sation, reprise du travail ; enseignemei ' professionnel, etc., et que la questic 1 linguistique n'y a pas même été disci i tée. Elle a fait seulement l'objet d'ur ; déclaration qui, dans les milieux le 1 plus autorisés, a été considérée corun un acte du plus haut patriotisme. M. Veni n'a vu dans ces journées s< ciales qu'une manoeuvre électorale fii tningante, et M. Van de Vyvere n'y e: ' venu manifestement que pour prépare [ sa réélection ! ! [ « Personne n'avait pu imaginer — d « le maladroit — que M. Van de V\ « vere fût un syndicaliste, ou seul t «.nient un partisan des syndicats. » 5 On comprend aisément que' Veni i ; connaisse l'existence de nos syndica ; que depuis la guere. Ce monsieur avai - avant la guerre, d'autres chats à foue ter-. La campagne contre les missioi naires, aussi indécente que celle qu' mène maintenant, l'absorbait beaucouj et ce n'était pas dans certain journa paraissant « le soir » à Bruxelles, qu'c ; étudiait l'activité des syndicats chr > tiens. Nous voulons bien lui apprendre poi gouverne que, jusqu'au moment où * est entré au Gouvernement, M. le m ' nistre Van de Vyvere faisait partie c « bureau du secrétariat général », dirij par le Père Rutten, qu'il était le co: seiller juridique attitré de nos syndica et que, pendant vingt ans, il a gratu ^ tement plaidé pour eux. Ajoutons à cela que, jamais, M. Vc 3 de Vyvere n'a tenté de mettre la ma: I sur nos organisations sociales. Il sa 3 que nous voulons rester maîtres che . nous, et il a toujours scrupuleuseme: . respecté ce sentiment. Sans l'avo a voulu, Veni rend hommage à la m j destie du ministre des Finances, qui j travaillé pendant si longtemps pour syndicalisme chrétien sans avoir jama songé à se tailler la moindre réclam 5 Nous connaissons des syndicalist amateurs qui ne se donnent pas tant < mal pour cacher leurs services. ★ ★ * > Que ce personnage continue ses car 1 pagnes indécentes. La vérité se fait joi ~ malgré lui, même à Sainte-Adresse, j II serait triste que ceux 'qui aime: sincèrement notre pays, et qui veule: s'entendre loyalement, ne s'aperçoive: a pas où mène la politique d'égout do; ^ des messieurs comme Veni refuse: d'oublier les pratiques. r * Vidi-Vici. - mes vues sur certains points: droit c vote et d'éligibilité des femmes, régi ; mentation du travail des femmes. Con 5 ment préparer la femme à son rôle s< r cial. Ces idées pourront servir de bai - à la discussion de ce grave problèm - qui ne peut être solutionné, vu son étei ; due et sa complexité, qu'avec le coi i cours d'économistes, de sociologues, c t moralistes et d'hygiénistes. Faisons aj - pel à ces compétences et à leur coi cours immédiat, souhaitons d'en troi i ver parmi les intéressées elles-mêmei le concours des femmes serait des pli - précieux, si pas même indispensabl ; pour l'étude du problème. : Aymé de Féty. i Nouvelles du Pays « BRABANT s" On prépare actuellement, dans les bure reaux du Comité National, la publica-lU tion d'un relevé général de l'action des Ie diverses œuvres d'assistance subsidiées é ou annexées au Comité central. •Cet ouvrage, qui nécessite, comme ts bien on le pense, un travail formidable, es sera tiré à un nombre restreint d'exem- c- plaires. Il constituera un document de li- guerre du plus haut intérêt. □.t Les arrivages de farine et de céréales >n non moulues continuent à parvenir de a- façon régulière aux entrepôts bruxel- ie lois. Le relevé habituel de quinzaine n'a es plus été publié depuis trois semaines. BRUXELLES La Gale a- Un phénomène inquiétant se constate er de plus en plus dans certains milieux. La gale, cette gale, cette affection dont on peut dire pour le moins qu'elle est malpropre, se développe d'une manière * tout à fait anormale, surtout parmi les classes nécessiteuses. On l'attribue à la pénurie de savons, d'antiseptiques de ie toute espèce, et au manque de vête-ts ments de rechange. Le fléau a pris une t' telle extension qu'un cri d'alarme vient :t~ d'être poussé dans les milieux médi-eaux. Des mesures prophylactiques vont il être prises, et il n'est question de rien P> moins que de visites corporelles à effec-'!> tuer sur certaines classes de la popula->n tion, sur lesquelles les pouvoirs publics e" ont une action directe, aux cantines populaires par exemple, nr II vient également d'être décidé que il la quantité de saindoux délivrée aux û- pharmaciens va être augmentée. Actuel-lu lement, la quantité mensuelle maxima gê accordée à chaque officine pharmaceu-n- tique ne dépasse pas 3 kilos par mois, ts Les pommades et onguents jouent un ii- grand rôle dans la lutte contre la gale ; on comprend donc la raison pour la-m quelle il est important que les officines in pharmaceutiques ne soient pas dépour-iit vues des matières grasses indispensa- ez bles. , ★ nt ** iir On a ramené ces jours derniers un o- si grand nombre de blessés allemands a du front ouest de France et de la Lys le que non seulement les hôpitaux, les lis couvents et les écoles de l'aggloméra- e. tion bruxelloise sont bondés de blessés, es mais les Allemands ont dû requérir des de habitations privées dans la région au sud de ' Bruxelles, notamment à Hal et Buisingen, et les ont aménagées comme lazarets. Pendant la semaine écoulée, il y a eu plusieurs jours où une quaran- n_ taine de trains entrèrent à la gare de ur Bruxelles-Nord. +** n(; Pendant le mois de mars écoulé, on nt a vendu à la minque de Bruxelles un nt colis de plies et 1.573 colis d'autres nt poissons venant de.la Hollande, qui ont nt été vendus pour un prix global de 3.240 francs. Il est arrivé de la Hollande, au quai de l'Entrepôt, quatre bateaux, qui ont amené 71.663 kilos de moules, lesquelles ont été débitées pour la plupart — à des revendeurs. Pour le Comité de ravitaillement du 'e Grand-Bruxelles, ou a déchargé au ma-e- gasin du Comité, avenue du Port, 2.080 a_ barils de harengs fumés, qui seront dis-D_ tribués entre les différentes communes composant le Grand-Bruxelles, pour 5e être vendus dans les magasins commu-e, naux à raison de 200 grammes par péril- sonne, au prix de o fr. 20 la ration. n_ L'établissement de la rue du Pont-j Neuf, connu sous le nom de « Café de Madrid », et tenu par, M. de Barbosa, ?' vient d'être fermé par ordre de l'au-n- torité militaire allemande, qui soupçon-u_ nait les rédacteurs de la Libre Belgique de s'y réunir fréquemment. ^ » LIS *** SCHAERBECK Le Comité de secours a publié l'avis ci-après : « Le Comité National a décidé d'allouer un secours supplémentaire aux Première Année.— N° 24 * 15 "Centimes le Numéro Dimanche 31 Août 1918 i— i ■iM.i.ii ii i i i Tir i n i iiiiimnu m rw " ^urn rirrrirrmniiiinwi raina innniiiHiiniiniiiimii ir in——Mmm—iiiiitui «ii iibiitti iinwMWMrnrw~Ti«>iiiMrBiii biii nw—!■—n« ■ ■ n i ibih an m 11 lainMiim mu i i m ■■nu i ni mu n

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Dit item is een uitgave in de reeks Notre avenir: hebdomadaire social, chrétien belge behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Le Havre .

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