Patrie!: journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut

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01 augustus 1916
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s.n. 1916, 01 Augustus. Patrie!: journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/nv9959d525/
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PATRIE! Journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut. « Ils jurent barbares et menteurs comme toujours. » « Jamais unr"jémme ne m'a parlé sur ce ton », dit le Roi. « C'est, reprit-elle, que vous n'avez jamais parlé à une Liégeoise. » Voir à la 2e et 3° page : Riposte ALLOCUTION DU CARDINAL MERCIER prononcée à Sainte-Gudule, le 21 juillet 19-10 (Extraii) « Quelles que soient nos douleurs, nous ne vouons point de haine à ceux qui nous les infligent. La concorde nationale s'allie, chez nous, à la fraternité universelle..Mais, au-dessus du sentiment de l'universelle fratiniit , nous plaçons le respect du droit abolu, sans lequel il n y n p;.p de commerce possible, ni entre les individus, ni entre les nations.' iii Ttr. ."fuig lie ;—;.s .. - jui i ;. lv tU r plus autorisé de la théologie chrétienne, nous proclamons que la. vindicte publique est une vertu. Le crime, violation de la justice, attentat à la paix publique, qu'il émane d'un particulier ou d'une ^collectivité, doit être réprimé. Les consciences sont soulevées, inquiètes, à la 'torture tant que le coupable n'est pas, selon l'expression si saine et si forte du langage spontané, remis à sa place. Remettre les choses et les hommes à leur place, c'est rétablir l'ordre, rasseoir l'équilibre, restaurer la paix sur les bases de la justice.La vengeance publique, ainsi comprise, peut irriter la sensiblerie d'une âme faible, elle n'en est pas moins, dit saint 1 h -.nas d'Aquin, l'expression, la loi de la charité la plus pure et du zèle qui en est la flamme. * Elle ne se fait pas de la souffrance d'autrui une cible, mais une arme, vengeresse du droit méconnu. Comment voulez-vous aimer l'ordre, sans haïr le désordre : souhaiter intelligemment la paix, sans expulser ce qui la ronge; aimer un frère, c'est-à-dire lui vouloir du bien, sans vouloir que, de gré ou de force, sa volonté se courbe devant les imprescriptibles rigueurs de la justice et de la vérité. C'est de ces sommets qu'il faut considérer la guerre, powr -en comprendre la grandeur. » N O T F, Notre rotative, fatiguée d'avoir tiré inlassablement les innombrables exemplaires du dernier numéro de i Patrie », avait besoin d'une urgente réparation. Mais on ne trouve pas comme on veut un mécano sur notre coteau de Famenne, et nous nous étions adressés à un pon-frère obligeant pour le tirage du présent numéro. Chez notre collègue, un accident plus grave encore que le nôtre s'est produit... Nous avons réparé tant bien que mal, ot voici notre numéro tout de même. Que nos lecteurs, qui sont nos amis, nous soient indulgents! PROCLAMATION DU GENERAL VON RIS SING, affichée à Munster en septembre 191 (extrait de la «Kolnische Volkszeitung», n° 78 du 8-9-14). Mais si de valeureux enfants de notre peuple, qui e'exp-s nt aux dangers et à la mort pour la patrie, si des blessé des médecins, des infirmiers sont misérablement égorgés dai Us lâc'nss attaques de la population aveuglée et décha n i (!!?'?), si des bandits menacent par derrière la sûreté c notre armée, dans ce cas, l'intérêt de notre propre existe» «. xîgïÀ ... <• un T< voir suci d , çheta. î 1 i ta ires, dlagir av< la dernière rigueur : dans ce cas, les innocents DOIVEK pâtir avec les coupables. Le commandement de notre armée, à la suite de nombxei se., proclamations, n'a laissé aucun doute de ce que les vi< humaines ne seraient pas épargnées dans la répression de a atrocités. Que quelques maisons, voire des vdlages florissan et des villes entières, soient en même temps anéantis, c'es sans doute, regrettable, mais cela ne doit cependant vas rr roquer d émotion injustifiée. Ces maisons, ces villages ne pei vent pas valoir autant pour nous que la vie d'un seul do ni soldats. Cela est évident et il est vraiment superflu de le dir OU EL RE AU PEUPLE ! Quel beau peuple que le peuple belge, et comme on est fier d'en être ! ("es derniers temps, les arrestations et les exécutions se multiplient et néanmoins, après deux ans d'occupation, les offres spontanées pour des missions dangereuses ou des dévouements à jamais ignores ne tarissent pas. La brutalité allemande a beau aggraver ses rigueurs, plus lourde s'appesantit la botte du retire, plus ingénieux se lait le patriote pour échapper à la contrainte teutonne. Ils ont beau couper des têtes, il en repousse tous les jours à cette hydre qui fait trembler des gens si sûrs de leur force et si satisfaits de leur coup. De ces braves gens et de ces héros — ceux que von Bissing appelle des-bandits menaçant la sûreté de l'armée allemande — il en meurt tous les jours, comme on sait mourir en Belgique, sans bandeau et avec un dernier cri de « Vive le Roi ! ». Ils en ont fusillé quarante depuis un mois — plus d'un par jour — et nulle affiche ne,l'annonce au grand public. Naguère ils comptaient sur les effets de l'intimidation ; aujourd'hui ils craignent la contagion de l'exemple. Deuxième année. — N. 19. Août 1910.

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Dit item is een uitgave in de reeks Patrie!: journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut behorende tot de categorie Clandestiene pers. Uitgegeven in S.l. van 1915 tot 1918.

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