Patrie!: journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut

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s.n. 1916, 01 Juli. Patrie!: journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/222r49gv1k/
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PATRIE! Journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut. « Ils furent barbares et menteurs comme toujours. » « Jamais une femme ne m'a parlé sur ce ton », dit le Roi. « C'est, reprit-elle, que vous n'avez jamais parlé à une Liégeoise. » NOS ILLUSTRATIONS (Dessin de Raemaekers.) C'est ma petite Lucie qu'ils ont fusillée comme franc-tireur. ENCORE LES » ZENTRALE » Les malheureux lecteurs de la « Belgique » sont (comme on sait), imbus de l'idée qu'ils sont exploités par les paysans. S'ils n'ont pas eu de pommes de terre au printemps, c'est la faute des paysans. Si aujourd'hui ils en ont, c'est grâce aux <t Zentrale ». Nous aurions beau leur dire que si aujourd'hui ils ont des pommes de terre, c'est parce qu'il s'en e6t présenté de telles quantités que les chemins de fer n'ont pu les transporter toutes en Allemagne et que, plutôt que de les laisser gâter, les « Zentrale » nous les vendent avec un très malhonnête bénéfice; que cette situation est éminemment passagère. Ils ne nous croient pas. Qu'ils lisent donc le « Vorwaerts » du 27 juin dernier. Ils seront édifiés sur la façon dont les « Zentrale » comprennent leurs devoirs vis-à-vis des habitants de la Belgique. On accuse les « Zentrale » de conserver les produits de la terre : les fruits, les légumes, la chicorée, etc., pour les vendre dans les provinces belges et même en Hollande. C'est, assure le « Vorwaerts », une calomnie. H n'est donné d'autre destination qu'à ce que les villes allemandes ne peuvent employer. Ainsi, par exemple, la chicorée a été totalement (nahezu restlos) envoyée en Allemagne. Les raisins, à la vérité, ont été vendus en Hollande, mais cette vente a été faite contre fourniture de betteraves et d'autres objets qui, sans exception, ont été envoyés aux communes allemandes. Et nunc erudimini. Tout est transporté en Allemagne, et ce dont l'Allemagne n'a- pas emploi est bazardé au profit de l'Allemagne. Est-ce clair ? LEUR CULOT Le toupet allemand dépasse décidément toutes les bornes permises. Après nous avoir dépouillé, ruiné, incendié, frustré de toutes les manières, après avoir enlevé nos récoltes et volé notre outillage industriel, après avoir massacré des milliers de malheureux civils, violé nos femmes, nos filles, et organisé le pillage d'une manière systématique, voilà que ces boches misérables ont le front de nous demander l'aumône et d'agi- . ter devant nous leurs sébilles. Nous n'inventons pas, nous n'imaginons rien. Le document que nous avons sous les yeux est irrécusable. Voici le texte de la circulaire que ces pouilleux ont eu le front d'adresser à nos autorités communales : VERBAND DEUTSCHER KRANKENPFLEGE-ANSTAL-TEN VOM ROTEN KREUZ Arbeitskommission VII. Abgeordnetenhaus Saal 9. Berlin-Schoneberg, Tag des Poststempels. N° R. 24. — 2323 Bitte bei allen Sehdengen und Zuschriften anzugeben. A votre haut bien né ! La terrible guerre pour l'honneur de notre chère patrie nous a injposé de grosses dépenses, pour le règlement desquelles nous avons aussi besoin' de votre aide. Nous nous permettons donc de vous envoyer ci-joint un petit nombre de cartes de chawté de notre Union, avec la prière obligeante de les accepter et de favoriser par conséquent notre œuvre charitable. Nous vous prions de nous en envoyer le monîant de 10.05 M. en compte chèque postal n° 15555, au bureau des chèques postaux à Berlin. Confiant en votre aide et secours, nous signons avec la plus haute considération Union Allemande des Installations Sanitaires de la Croix Rouge (Commission de Travail VII). A Monsieur le Bourgmestre de. Après celle-là, tirons l'échelle, n'est-ce pas ? C'est un devoir pour tout patriote de faire circuler ce journal auprès du plus grand nombre possible de lecteurs. Deuxième année. — N. 17. Juillet 1916.

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Dit item is een uitgave in de reeks Patrie!: journal non censuré paraissant comme, où et quand il peut behorende tot de categorie Clandestiene pers. Uitgegeven in S.l. van 1915 tot 1918.

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