La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1917, 21 Februar. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 10 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/w66930qh0w/
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PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET REDACTION rew» annonce». , . ; » to ligne, tr. o.so 31, Monta&ne-aux-Heroes-F'ota&èr&S, BFiUXEILLES Réclame avant les annonces . . — 1-25 Un mois (mars) s » » fr- 2.55 bureaux: de 9 à heures Corps du journal — E.00 US EEltANDES 0'ABONNEMENT SONT REQLEd LES RECLAMATIONS CONCERNANT LESABON. DIRECTION ET A.DMINIS 1R ITIOJW / De lo 1 3 à 13 13 et d, 1B 13 à 1? heure- PRIX BES ANNONCES Fait, divers - 3.75 EXCLUSIVEMENT l'ar LES NEME.VK DOIVENT ETKE ADRESSEES 7 Nécrologie ......... — 2.30 BUREAUX 'ET LES FACTEURS DES POSTES. EXCLUS1N EMENT AUX BUREAUX DE POSTE. JOS. MORESSÈE, DIRECTEUR Coin des Eleveurs — 1.00 Aujourd'hui : SIX pages. LA GUERRE 933' jour de guerre Rien d important sur aucun front. La guerre sous-marine Bailila, 19 février : Dans le» parafes interdits de la Méditerranée, nos sous-inarias ont, au cours de ces jours derniers, coulé un assez- grand nombre do Dftvires eiuiomis rejruson-ïana une valeur ConsiiBorable. L>ans le iiumurc, il y avait un grand transport militaire it .lien, btxndré ue troupes ; deux vapeurs arm s, l un de 3,00o, i au re de 4,500 tonnes ave; d iui-porteDfleS cargaisons à destination cie fcfcilo-; le vapeur italien ,,Oceania ', de 4,Zl7 ton m -s; ie vapeur- français ,,Mont Vou-toux" (j3,23J tonnes) et le voiliej français „Aphroute" (OjIj tonnes), charge de 737 toutes de fer à destination de 1 Italie. * • * Christiania, 19 février : Le ,, Verdenegaiig" manda que le vapeur norvégien ,,fctrnlsand" (510 tonnes) allant v df'Islande en Italie avec une cargaison d© poisson* a été coulé par un sous^uaiin allemand. L'équipage a été recueilli i>ar un bateau de patrouille aiiglais et débarqué à Stornorway. * * * Londres, 19 février : L'Agence Rentier annonce que le vapojur anglais ,,Jolo" (3,903 tonues) a été coulé. * * * Londres, 20 février ; Llods annonce que le vapeur anglais „0keurent", jaugeant 4,349 tonues, a été soûlé. * * * Paris, 20 février : Le ,,Matin" apprend de G^ien que lq vapeur ,,Niobe" a été coulé. * * • Londres, 19 février : L'Agence lîeuter annonce que le vapenr ,,Val<Jlés'', <3o Liverplool, jaugeant iV-33 tonnes, a «Hé coulé sans avertissement préalable. le capitaine (A nne r-ni; <> 1 • i page ont été mis à torre. Peux marin» oui péri et neuf autres manquent à 1 appel. » * • Londres, 19 février : J e vapeur ^Worcesterskire'' (7,175 ton. nés) a été coulé. * « * Rotterdam, 19 février : Du „Ndeuwe Rctterdom.sche Courant" : — Le capitaine du vapeur néerlandais „La Campine'' annonce que son nav«ro a étr^ bombarde tfcins la Manche par un soiis. marn allemand. L'équipage étant descendu dans les canots, le capitaine du vaipeur, mini de ses connaissements, s'est rendu à, bord du sulxmersible et a dé j'iaré qu il ignorait absolume t que la guerre rei f rc e des sous-marins avait été déclarée. En pi^senco de cotte déclaration, le commanoant du submers ble a autorisé ,,La Campine"1 à poursuivre son voyage. • .* * Londres, 18 février : {suivant les domines informations des Etats-Unis, la situation ne se mocl fie guère. L'„Uni e-l Press" apprend de New-York que les effets de la guerre des soi .s -marina aliiemaruJs se fait de plus en oins s -n r et provoquent une grande j^erturKation dans 1^ trafic des chemins de fer des Etats de 1 Est; cette situation amènera nécessairement une très forte hausse des prix de certains», denrées»^ • Londres, 19 février : Le „Daity Telegraph" apprend de Was<-hinj^tou que des mesures seraient prises pour armer deux cents navires de commerce américains. Des canons sera ent placés aussi bien à l'avant et au centre qu'à larri. re. Les pièces serai eut servies par des artilleurs expérimentas. - • « * Londres, 19 février : On mn.r.co de Washington au *,Daily ; Chronic!e" : — Le département do la marine a concentré de grandes quantités cV>- canons et de muni tirai* sur les points stratégiques importants de la côte de r Atlantique. Ce. mcsiMres &>nt pns^s en vue do l'armement de* navires marchands et des Crois^urs-au.vil i aires. • * • Genève, 19 février : D aprè3 des n-fravelles arrivées dimanche de New-York, les vapeurs „0rKans'' et „Rochester" ont quitté 1© port de New-York à destination de l'Europe. Madrid, 20 février .- Les journau-x disent que l'Allemagne a permis aux navires espagnols de se rendra librement dans le port do Ce te. Ceto ia formation a ét ï accueillie avec une grande « satisfaction. * • * Rome, 19 f 's rier : T>e „Messagero" publie un article du 1 député Ki-iui sur la situation du ravinai te-ment de 1 Itulio, disant qu'il ne faut plus compter sur le? importaii».3. qu'il y a lieu do rationner le!» stocks existants et qu'il s'impose de prendre sans hésiter des masures radicales si l'on veut éviter que l'Italie 1 •ci. acculée A une catastrophe. ' * * • Beme, 19 février : On esjjèie pouvoir reprendre les impôt- ! tarons d'outre-mer pour la Suisse par lo 1 port de f-'etie, l'encombrement des voies ferrvs dû aux transports militaires ayant pris fia, * * Paris, 17 février : niar, t\ la Ciumhre, M. ^fon-zio a de ? mand > à interpeller le gonvemefiùmli Rai ] la politique économique qu'il compte suivre ; pour combattre 1rs oonséque/ices de la guerre 1 ro' * » rcée des sou s ma rir.s. , D'autre part, malgré l'opposition du, Ca j l—IIBIMa— MM— fcduet, la Chambre, dans la question de la * solde des troupes, a voté un amendement accordant un supplément journalier die un franc à tout homme qui se trouve dans lu tranchée. • Paris, 19 février : Pour la première fois depuis septembre j 19i4, aucun journal anglais n'est arrivé à Paris. Le courrier postal est interrompu depuis plusieurs jours, mais le t lôgrapne fonctionne tau. ours. Paris s inqui te de c^t ét t do choses, ne sachant s il s'agit di une mesure d'ordre militaire ou si o'est une ie | conséquence du blocus allemande • ^ La Ha^yo, 19 février : Au sujet ded inc.dents qui se sont pro-ter- dtuits lors de la capture du naviie néer-landais ,,Oldambt", amené à Zeebrugge et and bombardé par erreur par les batteries de la côte — bombardeaiout qui a tué le ^ y deuxième mti.tre-timonier et blessé plu-lQn, sieurs marins — on annonce officiellement L un que le gouvernement allemand a eixjxrifnô ini- ses regrets et a oi'fert d indemniser les alo- blessés et les ayants droit du maitre-u-de mcaiiej. cu: * * * Amsterdam, 19 février : loi On a,tend aujourd'hui à Hoek van Hol-land deux vapeurs qui doivent amener le courrier posuil do 1 Angleterre, parmi lequel 1)35 sacs pour les pays étrangers1. jOur * * * lant Christiania. 19 février : de A Bergen, cinquante vapeurs ont d3j\ ^t'> al- ret rés du service. A (Jliristiania, pareil un chiffie sera bientôt atteint. La situation es: à ideuiijue à Troudthjea, à atavanger, à Chii tmr.sand et dans d autres ports. Dans le port de Christ ania, 1 animation a presque entièrement cis^jarui et la pli) sio--yaçur nomio des quais rappelle celle cJu mois lié. d'août 1914. • * * Christiania, 19 février : lais La Compagnie Norslca-Amitikft a arr't • été 'e tr.ific des passage, s, Halifax n'ayant pas encore ôté définitivement désigné comme i>oit d'examen. * • * va- Christiania, 19 février : 1/,,Aftenposten'' apprend do Trondh^'en1 que le vaficiur „Kowno", de la Wilson Liiie, est arrivé di'Angleterre le 17 février ayant evr ^ bord 2,580 colis postaux pour les pa^s 233 scandinaves, la l{us.;ie, la Roiumanie et l'Extr ane-Orient. Ou| St<-cîdio1,Y~, 19 f vr. «'a : Le c!;liulais TidVii;ig'en" annonce que la navigation a été reprise vendredi en re la Suède et l'Amérique. Deux vapeurs sont ion- partis de GotfcobOi-g : 1 un ix>nr Xew-Yor.v, l'autre pour jBaît more II ; passeront au nord des îles Féroé, où la navigation ne semble pas dangereuse. » t • * * lais Lon'rtrea, 20 fov.rier : , a La „Morning Post" annonce que lord us. Bereefordi a q: claré, au cours du d aoofurs udu qu'il a pronono> à 1 Automobile Olub, que iur, le pays ne se rend pas un com;-te exa t à de la gravité dr> la situation. Il suil'f t do ao- consulter le nombre des navires toppiilléset tes le tonnage qu'ils re^T-'-sonteiit pour s ef nco frayer de l'étendue des pertes que fait on ul>- ce moment l'Angleterre. Notre ap[<rovision-ur- nement e-^t sans conteste rendu tr's di 'ficile et. sans l'aide ce la marine marchande, il îevidàoJruit impossible. Si nous retranchons du tonnage total qj:e nous poss .'dons les des navires n cessaiirs au service de l'ara* o ire. et de la flotte, il ne reste que t ès ptfu do rlc navires disponibles pour le commerce. On ins peut paévoir que 'es Puissances centrales •H soufreront ce la famine, m:iis qu'il en se a > le de même pour le monde entier. La perte de st; ses moyens ce transport maritime rend la me situation de l'Angleterre de plus en plus eu- grave. * * * Rotterdam, 19 f -vrier : Au cours ce la huitaine nui a suivi la as<- déclaration de La guerre rouf >rc5o dtes sous-»ur maiiiis, trente vapeurs n'ont j:ri quitt r Li-né- verpool, Cardiff et Southamj t n, leurs é < i-ien pa;;es ayant refusé de prendre la mer. Une -«s partie de oes navires a enrôlé alors de irs Chinois, des Australiens et des Eusses e: a quitte les poits quelques jouis plus tard; l'un d'entre eux est bie t">t rentré ce ev dant, l'ôf|uipage ayant evigé que !e na1 i o ily f t ramené en Angleterre lorsqu'il a appris, par des marins do navires cou! 's et >n- pris à bord, des détails au sujet des tarde pillages. m- ^ ^ e; Londres, 20 février : 3nt La ,,London Gazent" annonce que les rse cargaison de neuf vapeurs hollandais sont en ce moment retenues dlans le pont] de Londres. • j]le Beilia, 19 février : ct On mande de Malmo au „BerUuor LoVni iw- Anaeiger' que le service dts pooneU t pour passagers entre la France, î'IM:e rt r Angleterre d'une port et la Buss e d > l'autre <st complètement suspendu. Depuis a quinze j »urs, ni lettres ni fonds ne son* Ira parvenus en Russ e, les nouvelles ojaumu-im- «icTtions vU VLadivostok n'étant Lde encore établies. * * + Pétif>grocï. 19 févr er : ^ Le ,, Hietch" annonce que le d'iparteme: t du ,?e' aftoires étrangères négocie en ce mole ment avec l'A lemajgne et l' A utrichepHon^rio, [ua pnr l'inteirmâd'iaire d'un Etat nem'rei, au lei, sujet de l'octroi d'un sauf-condui t pour que •i( M. Sasonoff puisse se rendre en AH't r e s Le département ftifc valoir le pr 'c^Mbnt cr;-é lie fy>!1<r l'^'^assadelir auVichien Taitiowak\. qui a re>u un sauf-conduit pour aller \-e joindre son posie à Washington, nir-gi qnc pour 1 ambassadeur allemand," le corne Berns-torff, h qui le libre passage en mer a été le accordé pour sa rentre en Al.emagne. ies Viennes, 19 févr er : * lnl L'amlxassadeur des Eta-ts Unis à Vieunr a transmis aujourd'hui, au ministre des affaires étrangère», un m'moire ra,poêlant., i*a su iet des cas de l',,Ancona" et- du ,.Per-fe- sia", la réponse du cmnernement. ans ro-;ir bongro's à la no'e américaine, réponse qu» 're admettait la manière, de voir du cabinet de to Washington;, c'est»-:W]ire que des navires privés ennemis, aussi longtemps qu'ils ne a- prennent pas la fuite ou opposent die la i la résistance, ne peuvent être détruits avamt îent que les passagers soient en sécurité. 1^ un mémoire rappelle aussi la communication i lu du gouvernement austro-hongro s du 31 janvier 1917 relative à la dô.imita.tùon de Ut zone barrée et déclare que le gouvernement américain désire être définitivement et nest-îbre tement fixé sur le point de savoir quel.e é à est la ligne de conduite que le gouverne npu ment ausiro-hongrois adopte au sujet de la pne fa<;on de menei- la guerre des sous-marins, cet il désire, eu outre, savoir si les assu-une ranoes données à propos des cas de l'„An-une Cuua ' et du ,,Persta ' doivent être cond-derées comme modifiées ou retirées. Le teuto de ce memoire est en ce moment l'objet d un examen approfondi an xro- ministère de la guerre austro-iiongrois, qui éer- y ijôpondtra ensuite. : do Berlini, 19 février : ytll_ M. 'iontchel, m.naatie des finances biiL-|0|lt gaie et chef du gi*oupe giouverueuneurjaill libé-iûié ral» a acooixlé une interview au oorivHpon-(liant de la „l>ei,iiner Zeitung am i\litjkig", ï U_ auijuel il a dit : — 'Tou/t indique que le blooos m:irit me allemiand nous rapproche de pi us eu pins dki la j>aix. En liuigurie, tout le moniie a T . la plus entière confiance duns un eificace ° " ct rapide résultat de la guerre des sous-ma- , ,^6 rins1, dont les hommes d'utat ctirigeuntUs dij l'Entente re^'onnais^eut eux-mêmes Ijs dangers qu'ils lui font couiir. Le ton de pruf dente réserve de la réponse des Et.i.s neutres i\ M. Wilson prouve clairement d a l-^t ' lours qu'eux aussi s'aiteudeut à un gia. d rii'i suspens on complète d'e la naviga.ion uea- ] succès de la guerre des sous-marins. La ^ tie exercera, pa-r con tre-cou.p, une énoruie influence sur le ravitaillement de l'Angle-•\on terre e; l'obligera à bref délai à demander ^o- la paix. lois L'Amérique s'est lourdbment tromip^e. 1 Après avoir voulu faire croire au mon. e quo la Providence l'avait choisie o^.miiie l'instrument du rétablissement d^ la pîiix, r't- elle a épousé ensuite une attitude qui a dé- 1 pa~ monùr'é qu'elle no chereJiait qu'à m nager une son appui à l'Entente et, qu'au fond, elle désirait la continuation do la guerre. Ce qui constitue la force de la Qund'ru-plico, c'est l'unité qui pn-éside à tous se-î que actes, à ses pônsiées, à ses d' cisioi s et, à 1 i4le, leur exécution. L'Entente cherche vainement anx & réaliser" Ctjtte unité. Ses hommes d'Etat aç. s ont beau procl mier sans répit 1 idon-ti^J d a 0l in i ûrôis de tous les «pays de l'Entente, coi intérêts sont eu réalité diam erak-ment « p-j»osi/s et mnme les engagements que ^es T'.t. ts do l'Entante prennent vL&'-ù-vis les uns de? q.Uc autres, manquent de sine'-rité. »C'est ainsi iijvy que l'Angleterre, la Franco et l'L.: lie rnl iaat pr<>mis aux Russes Constantinople où Ls ,rv i)étroifeg, alors qu'ils savaient fort lie^ que aù cette promesse était irréalisable. La paix ro. n0 venue, cette promesse perdra toute valeur et n'aura pas d'autre intérêt que celui d'un souvenir historique." S LES NEUTRES EMBARRASSÉS... quo a,' L'extrait suivant, publié par le ,,Nieuwe 8 ei Rotterdamsche Courant" du 7 février, d in exposé du Bureau de correspondance néer-s( landais à La Haye, ro.atif aux compilations qui surgissent dans le règlement fi-uanCier des exportaiions des proûu>ts agricoles de la Hollande en Angleterre, mon ro 1 (|ue La prolongation de ki guerre met 1 s ."® neutres en présence de difficultés coin mer-. ciales de plus en plus grandes. ■, v et exposé rappelle 1 ;io*x>ra conclu l'an- : .. née dernière entre les représentants du com- i i '' mer ce d exportation néerlandais i.e |iroiîuus, '"~s alimentaires ct un groupe anglais, acc irvi < °ia d après lequel les prodmts de 1 agr cuit, re ' néerlandaise qui sont livrés à l'Angle.erru :a doivent être payés jusqu à concurrence de i lus «00,000 !'■ n:cnsueilement en Unis du Tré- : sor. La livra son de ces produits agric(>l,s ] était la condit ion pos'e par leei AngH ns|p.our i l'envoi, en Hollande, d engrais chimiques ; la et de fourrages. | us- Les négocia:eurs néerlandais avaient cru Li- pouvoir accepter les conditions fiia cières i. précitées raison de l'aisance extr me à rne l'époque du marche monétaire : le paiement ! •lo, en fonds publics rappor ant un bon m- ^ e: ter^t leur avait paru pr fia lie au paie- . ment en or destiné à îester improductif 0.^ dîuis les caisses des banques n 'er'an'aises. s i i>re', los bureiMx d e iport 'tion agricole ont a alors conclu pour six mois un accord ave; , .. un groupe de banques au s i.,et de la reprise J de bons du Trésor anglais leur remis en ^ paiement- Peu après, une convention c analogue at été conclue avec l'Allemagne. Mais dans 1 entretemps les circons^anc s sq sont modifiées, l'argent, est devenu cher, la r 1rs guerre continue toujours, de sorte que ce ^ ^t quj eta't acceptable il y a six mois, ne le paraît plus ajajourd hui. Les banques n'ar-rivent plus que difiicilement à f=e déljar- ( rasser des bons du Trésor anglais : le c marché en e^t encombré. ral A la suite de ce mécompte, le gr/upehol-t landais demanda aux Anglais le paiement °t des produits agricotles leur expéd>)s, en es-de pèces ou en traites, celle:-ci à renie tre on lis contre-valeur des importations anglais'», r yn+ mais cette exigence, pourtant l'^itime, ne fut d îu- pas acceptée. Non seulement las Angteis de-ios mandant que tes stocks plus ou moins consi- <] (.érables de n> rebandises néerlandaises 'e r t so eut envoyas, mais ils veulent obtenir c que la livraison se fasse sans paiement, e' a ïti| qu'il leur soit accordé un crédit d'au moins [ io- un an j io. Le Bureau do correspoindlanoo do La c au Haye fait remarquer nue s'il est fait (Droit r j.ne ^ cette exigence, l'Allemagne formulera, à h e ,on tour les mémos d'sirs. Bref, on ne se ■' ^ demanôe pas si les Pa^s-Bas sont en m n s re de s'engager ainsi à long 'erme po r r ] 'G des sommes aussi importantes. Le Bureau ' de oorrespoaid'înce sirejcrère ensuit)© que 6 les producteurs indigèt es, ainsi que les ^ ^ acheteurs de produits chimiques et de four- j( rages, se charger t eux-nn' mes de r gl r ! conditions des cr'dits. Il faut to'.ir c an: te -m il n'existe c^i'ï plus d'éqnili' re entre le-; Çl exportations et les imr>ortitions. et que qui - ^ . ^ tité de choses manquent da s le ra-. s. Mais n 1 * on no veut songer à interdire le; e o t.i- ^ nt'' tirais, parce qu'alors 1 étranfrer trai^mit " -r- sans doute les Pa s-''as e core plus d re H ■o- ment. Finalement. 1 ind-strie pourrait to 5 lui mise dans l'impossibilité d'éxrlo'tc. Arss< d de est-1 à espérer que les croupes irt'ros>:s a •es feront preuve die conciliation, <v. oo'iv.i a.r- 1; ne rangement interviendra pour éviter toute j s; la complication i i, r, POUR LA PAIX tion jajl_* plaidoyers anglais i la Certains journaux angla s mènent, en ce aent moment, grand tapage autour de la pu-roest Olica ion, dans di\ers journaux am ricains, .el.e d ar&iCies en faveur de ia paj.x transmis s rne .sefw-\or^ à 1 insu do la censure anglaise, e la Le prem er de ces appels a eue lance pai ins, ie professeur Bertrand Itussell ; le second 5SU- émane de M. C. P. Trevelyan, membre du An- l'iidjuient, dont 1 exemple a ét-i suivi pai uoi- eux autres hommes pol' tiques en vue, chefs de la ,,Union of Démocratie Cou-rno- .roi : M. Aniiur Ponsonl^y, meuiore d|j an Parlement, et M. Charles iloden -Biuton, qui frère du parlementaire et diplomate eu Vue ao 1 Buixton. 11 faut dire que MM. Ponsonby et Bux-ton n'y son» pas alli-s de main morte. Dans un aro cle de ueuix colonnes qu a publié le bulr „New-ïork Times' du t> janvier, ie i>re-ibo- mier de ces pao.listes s'efforce de convainr )on- cre lo publio américain : g' i 1° Que le peuple anglais ne se bat pa« pour son propre salut; 2° ni pour la mie Franco; 3° ni pour la Belgique; 4° m poua r'lus ii tierbae, ni pour délivrer la Pologne; e a qu'il ne [>eut espérer une victoire mi-ïaco lit aire décisive; 6° qu il n est, pas à même m.a_ ao punir 1 Allemagne; et 7° que la guerre dl2 continu» à cause d accords secieis conclus tau- par 1 Angleterre avec la Russie, llta-ie et -trur ia France. ieu- Puis, M. Ponsonby demande aux Ami> al- rioains : ad ■— Désirez-vous que la guerre se pro-îea- longe parce que vous vous figurez que nous La luttons pour la liberté et- la justice con.re raie le militarisme et 1 oppretssion H t*le- La liberté et la justice ne constituent der l'apanage d'aucun gouvernement. Le militarisme et l'oppression sont caractéristiques L>"e. de tous à des degrés variables. Qu-1 a >-t n e le r'sulta-t de notre tentative d'icr ser le une militarisme alio.uand par la torce di« iix, a r nés ? Nous avons introduit le militarisme dé- chez nous. Nous avons privé nos citoyens ger tX* jeur Libellé, puni nos troup.-s qui ug;.-.-elle saient selon leur conscience, censuré 1 opinion publique et supprimé la lib rté de la iHi- parole. Le militarisme ne peut cire écrase se- oiie par le peuple 1 ui-m^me, dans un pays à où ô-visfe une d m ocra tie libie. Nous n.. u ni poiivwiS [Ais Uvhvr^r le peuple allemand t?n •ltix guerroyant; nous ne pouvons qu'asservir d;3 notre peuple à nous... Plus vous fûtes du-COj îer ce conflit europé-m, fruit d intrigues tii-op- pio ma tiques, résultat do l'ambition duuiesu-t. t-, ''e ^vS gouvernements, plus longtemps la (]c. guerre véritable perdurera." in.-i v prose d'o M. Buxton n'est p is moins (,n{ énergique; elle es- r su niée comme suit en les soui-nure p.r ie ,,.\ew-Vor^ limes'' : que »»l''i*xGon djelare que l'£]r.tenta travaille pour ro. des annexions et en laveur d une guerre eilT commerciale. ' !'un ^L linxfcon, qui est d'avis qu'une paix raisonnable aurait pu être o! tenue, se demande pourquoi on ne fait pas la p.'.ix : — A oela, dit-iU il n'y a qu": ne réponse. ( C'est que le gouvernement n aspire pas à une paix raisonnabJe. Je no pr tmds pas connaître le but exact «ni'il envisage. 0e iwe nue je suis, c'esit qu'il doit nourrir d'au-L in *res des e ns que ceux pour la réalisation 6er- desquels le peuple anglais a pris les armjs. .ca- Uti do oes dessei îs a été publiquement t'i- avoué. Le gouvernement a approuvé les ré-,ri- solutions de la Conférence économique de i ro Paris, comportant l'organisiation d'un bo/cot-l.'S tago économique des Puissances Central s. icr- Cette ajoute à nos buts de guerre signifie la prol-xigat'oîi' de c lleci l»i>n iong^iia[»â an- aprè9 l'époque où elle aurait pu êtie te -^n- miiue de t >ute autft façon. A part cela, i.ts, ubas» tâtonnons (MEns l'o'oscurité. Mais il uvl est probable que les desseins du gouverne . ro ment comportent, ea outre, plus ou moins urj l'annexion o!e la plus grand1 partie ou de de la tfîtalité de l'empire colonial do l'Alic-'nv magne, l'armexion de Constantinopîe par 1 s la Russie, l'annexion do la côte se tentrio-3ar noie de la Dalmatie par l'Italie, ou peut-uos Atre — pour employer l'expression de box£U£ do L4oyd George — im ,,knock-ciut", Cru saus aucun objet précis quelconque. re? La question est maintenant clairement 'J posée. Il faut choisir entre les buts Je |;| guerre primitifs et l '-"i ri mes, dont la réali-• * sat on eût pu conduire à une paix per-;v; • i-ente, et i^s buts nouveaux, buts agres-~os sifs et partiellement cactus qui pourraient ont ame'.etr l'Europe f tare ^ })e.r;>ii.uer da ^verre." v 3 — Si ft] r s co'a, conclut la ,,Morning .. o Posfi", qui critique avec emporten'e>u MM. 'en Ponsonby et Buxton, le peuple américain a ion enoor3 dans la cause dés Allit's, ce ne ne. P:1S fa,?te de M. C. Rodm F'-uvton." Dans sa colère, la ,,Morning Post ' de. ja mande nue des mesures rigoureusr-s soient ^ prises d'urgence contre les personne l t s an-10 o;l'i»«es qui ont. eu le tort- grave d'enjoindre ar_ les prescpîptions do la censure fywir d'fen-a l dire publiquement une opinion diff rente de ' j0 celles admises par les sphères officielles. s DÉPÊCHES DIVERSES es- Cologne, 17 février : en On télégraphie du grand quartier g'né-ral à la ,,Gazette de Cologne", en date fnt du 17 courant. : do- — Malgré la déclaration de la légat/ion i'1- d'Allemagne à La Haye rela.tivo à une in, ' r format1 on inexacte do l'Agence Penter erm-i!ir cernant lo Comité de recours hispano-e' am ricain, un rad ot'l gramme anglais de L"S Po'r.lhu anmonce ce matin, à 1 h. 50, que l'Allemagne a obligé les employés améri-La cains du Comité de secours hispano-amé-ricain. à quitter la P^'lgique et les terri-toires occupés du Nord de la France: que se lo ministie de France h Londres avait ax-1 ~ primé au Comité las remerciements de la ' r Fiance pour le travail fourni et qu'il avait 'n' ' en m'me temps formulé l'espoir que l'oeu-vre de secours pourrait être condnu'e par 8 les soins de l'Espagne. J'apprends par l'a-imi ni si ration chargée du contrôle de l'alimentation de la population civile frau-ie_, ça'se, quo ce.to nouvelle est absolument fausse. 11 a été, au contraire, evpressé-,js ment déclaré anx délégués du Comité que ^ bs pour la Belgique . pouvaient , ; t rester sans empêchement dans ce pays et re. «pie les délégués qui, jusqu'à pr'seut» l'Q s'»Vaient occupés du ravite^'lemejo-taœ Kord ssi de la France pourraient v retourner sacs ;:,s aucuns entrave, malgré la iuptuie d-s re-rr- lailons di; l unatiques avec l'Amérique e. rte j sans se s nui r d une aggravation de l'atti-i tudô hostile des Etats-Unis.' COMMUNIQUÉS OFFICIELS Couimauiqués des l'uissances Ceatrales. » iS di ^ ŒJer.in, 20 février. — Officiel de ce midi : se- Théâtre de la guerre à l'0u<st. p iaj' Armées du fcldknar-ciial duc Al>recht) de ^ ud Wui temberg : IUr Dans la matLiée, une attaque prmoncée r< ie, ^.ar ^ après une prejjaracion d ar- ►n ' * 1er-es à l ouest de Messine, a tchouié. Un (jj j oificier et 02 hommes sont rest a entre nos r] m, mains. cL ne Armées du feldmaréclial prince-héritier 0i Ruprprecht de Bavière : 01 Sur le front ue 1 Artois, quelques atta- n* ques de reconnaissance anglaises ont été rr ^ tepoussees ,J! ^ Sur la rire septentrionale de l'Ancre, un 0t di tachement de reconna issance a attaque par e; ias surprise un poste anglais et en a ramené c la ^ prisonniers. U(r Après une courte action de l'artillerie, nos e. troupes d attaque ont pris d'assa .t un point. ni', d appui situé au sud du Trausloy et en n0 ont rame;ié les défenseurs, au n ombre de 3HJ. a re Arméis du prince-héiitior allemand : En Champagne et dans Ijs Vosges, de pe t£ et tites opérations faites par les Frauda s sont ^ resl) es siuis r su»tat. lw" Sur le front sudt-est de Verdun, nous avons entrepris avec succès un coup de aiain con tire un poste ennemi qui a été rV us enlevé en plein jour. ro * J Thcâtre de la guerre à l'Est. le nt Front du feldmaréchal prince Léopold de li- Bavière : ^ 18 Dans certains secteuis, l'artillerie russe a tS p] s active que ies jours précédents, ie iKirt Calièi-ement au sud du lac die Dr s.v- m ^ jtty et sur la rive orientale de la Nara- di ne jowka. d; ns ^ -, Front du général-colonel arch d ic Joseph : i- Dans les Carpathes, où sévissent d'os jt la temp.tes do neage, leoonnaissances fructueu- n se ses j«our nous. ^ ys Nous avons fait sauter un blockhaus rr.ssj n.- ,iu suc' de Smotrek, après avoir iîa.it les aé- en tenseurs pris nniers. nr Au noixl do la vallée de Slanic, anrC-s p> 'u- avoir mis en fuite des postes ennemis etre. i- poussé des ^ontre-attaques, nous avons port j u- notre première ligne en avant sur ut.e i i m la le nauteurs. Armées du feldlmaréchal von Maekenseni : gjj Sur la Seretih, des ti-oupes û1'assaut ont lé . pénétré dans une position russe établie pr es U1 e Riduslesti, et, après y avoir détruit des m re abris, en ont ramené 11 prisonniers et plusieurs mitrailleuses. d' lx Front, macédonien1 : 1 " En tie le Vardar et le lac de Doirau, nos ^ positions ont. été prises jusqu'au s ir. sous & un violent feu ; il n'y a pas eu d'attaque. ^ ai * * * Je (Berlin, 20 février.—'Officiel d'hier soir : u- Emis la matiiue, une poi te anglaise a 3n échoué au std'-ouest cîie Messines (au norl s. LArmentières). Sauf cela, rien d e-sen i l, 1 nt l'activité étant, entravée par le temps oou-é- vert, d'ans l'Ouest, par le froid rigoiuieux de dans 1 Est. •S1 >t- .i>* Berlin, 19 février. — Officiel : i!s -^ll (ours des combats livrés samedli dans 03 _ la vrl.c'e de l'Ancre, après une violent o a" (réparation darti»l!ere, le- Anglais ont lancé trois division^ à l'assaut sur un , e front large de 6 kilomètres. La ferme do c' ^ Mou lin-Ruine, située au nord de l'Ancre, ^ et les tranchées oontiguës ont été le théâtre c" d'un combat acharné, qui s'est poursuivi 1K pendant fou e la journée avec des alterna- (|L Q_ tivcis diverse», au cours desquels nous avons |'c / abamlonné aux Anglais cette partie do notre ar [K>S tion. i su 1 i m anche, nous avons mis à profit le ' temps couvert pour effectuer de nombreuses ^ {jet: les opârn.fi» uis e» des coups de main . heureux, tandis que les patiouilles etunc- inies ne romportn.ient auonn succès. ne l* Pendant la nuit du 17 au '18 février, une Pc r" acDivitn part ouiièi*e a régné dans le sec- ia . teur de notre ligne situt^ en Ejelgique. î; Trois tentatives faites par 1 ennemi pour n pôiixtrer dans nos tranchées établies uans d': p la région d'Ypres ont échoué sous notre feu; sir un point, l'ennemi a été repoussé au cours d'un corps à corps. Nous avons ,, infl'gé de fortes pertes à nos adversaires. g Vers 4 heures de 1 après-midi, 1 ennemi a ^ dirigé une forte canonnade contre un assez 1 va^te secteur de nos positions au 3ud de la Bi voia ferrée Langemarck-Ypres. Après avoir lei 2 fait des démonstrations à un autre endroit, l'ennemi a pusse à l'attaque dans ce ses- a e leur; comme cela a été ie cas pour les trois la: attaques que nous venons de signaler, il jet a. été repousse partiel emen* devant nos tranchées et a été rejeté des points où il avait réussi à pénétrer dans nô-ire ligne. Des prisonniers sont restés entre nos mains. da ^ Le 17 févr er au soir, des opérations al- p, te lemandes ont ét* couronnées de succès au nord de Wytsohaete et au nord du canal |e; •n Com mes-Y près. [0 i- I^a nuit de dimanche à lundi a été go-iu n oralement calme. Entre 1 Ancre et la >• Somme et au nord de l'Ancre, des pa-'e ironilles ennemies ont été repoussées. :0 • • * (V. Berlin, 19 février. — Officiel : lr( Le 18 février, un de nos d'rigeables de ,6 la marine a lancé des grenades explosives et incendiaires sur le port et le? installa- a tions militaires d'Arensburg, situé sur 1 îlo f :1 it d'Ocflèd. Ce lx>mba.rdement a été visible- tu< u nient couronné oe succès. Le feu do défensp !•'» r ennemi est resté 'nef'ioace. ou r te V cane, 20 février. — Officiel â'hior midi: ^ U lt Front do l'Est. qu ^ Arm'es du Cenlmaréchal-g<>néral von Mao- v : io keaisen et armées du colonel-général arclii- c:e it duc Joseph : -t Pas d'événements par ieuliers. l t i"e| j Armées du feîdmaréchal-général prince qu s Léopold de Bavière : ch 3. A l'est de Lipnica Dolna, sur la Nara- e^f jovka, les Busses ont f•-it sauter, sois n^>s i- toutes premières tranchées, un fourneau de gli .mines. <k>nt ils Ont occupé le cratère par de* S. UQe prompie irruption. Toutefois, nos cou^ ti*e-attaqu45S nous ont renais en possession . du cratère. Au sud de Brzeczuny, nous avons re-pou&Si une attiujue eunomie tentée i la suite de dune vigoureuse pré|jaraaon de lai.cemines. Ln Volhynie, nos groupes ue clioc ont .£0 réussi plusieurs coups de main, f" Front italien. -111 Au cours de ces jouis dornieis, l'ai^i'liô-°® ne italienne a repris son _ activité aussi clans certains secteurs des frônts qu eJe oo-er oupe dans les montagnes. Tarvis a ctj ce». njomié plusieurs fois. a_ *-e uiatin., des patrouiller du 73e régti-ité m^IIL ^ infanterie ont amené 22 prisouniiors qu elles avaien, captnr s a l'occasion d'un in main exici.t' contre les positions ,lr ennemies à l'est diu monte Ze^io et au nord aé t^Asiago. Front du Sud-Est. os Le long de la Vojusa, rien d'importante nt » * • f1 Vienne, 20 février. — Officiel de ce y* midi : Théâtre de la guerre à l'Est. ^ Au nord-Cit de l'ocsaui, d,s trOirpes e/ai-taque ont pénétré dans les tranchées en-neiuies et eu ont ramené un certain nom. „s bro de prisonniers, 3 mito-aalleifâes, at 1 tanco-miinàa. to - Dans la région de Ludowa, nous avons fa.* Siiutcr un bloCiduius russo. feur la Narajowka, violent duel d'artillerie-jo Près do Radziwilow, un de nosi avions a descendu un avion rus--e. a Th<-£ tro do la guerre ital'en. j ■'i Ilier apros-midi, le feu de 1 artillerie en. v- neuiie a augmenté d'intensité sur le fr.mt a- da Kusteniaud, e tro Pl.ua et la mer.Pon. dant la nuit, il n'y a eu que dies actions j. d» artillerie l>oalos. Sur i© front da. Tvrol, l'arr'l'erie itau ^ iieniie a utâ plus active que de coutume, no raniment dans le s.acteur situé entae Torr IajIo et Lopvo. s,i é- Théâtre de la guerre au Sud-Est. Au s.id-est de Borat, escarmouches eatye ès postes d© campaguo. e. « t -, » • Sofia, 19 février. — Officiel de l'état- I major : Front macédonien. Tout lo long du front, canonnades iso-nt lées. •s Au nord-ouest du lac de Doiran, escar-es mouches entre d tachoments do gai de. a- Dans ia vallée du Vardar, grance activité d'aviateurs. A la suite d'un com liât aérien, un avion ennemi a été abattu aux environs de Gev-^ ghe!i. ^ Un autre avion ennemi a été abattu, pr&i de Drama, par le lie..tenant von Eschwege. Front roumain : A 1 est o^Isaccea. can nnades isol%s>. A l'on st de Malunutlié, duel d artillerie r |jeu iuiense. t, • u- * * lx Constant morte, 19 f'vrier. — Officiel du » grand quartier-gén r.tl : Front du Tigie. Tout s'est borné à de f 'ibles échange^ de is canonnailes et de fusillades. Front du Caucase* ;J1 Tans le sectiur tenu par notre aite gtau-che, un t'oit détachement d éclairours en-i«L ^ uns a att. aui iint:i> ligue d avant-fKas-tes. ro D ai wird, il a réussi à pôn trer dans u «titJ ^ posiii »n, mais à la site dune contie-atta». ^ que, il en # a < t.i expuls . En outre, 1 en- 1S nemi a pris co sectoar sous le feu de s rQ artillerie, sans cependant obtenir aucun ré- , sultat. le Nos troupes opérant en Roumanie ont re- ;s pouss * par leur fe i de forts d tachements u !e chasse r issos q i allaient attaquer* o. En Gali ie, le 18 f.vr er, l'ennemi a renouvelé ses .e litiges d attaque oontie nos 1€ post i ms de Dziolvilany. Cette attevj(ue a > iniinv internent échoué sous notre feu très 3. efticace. lr Sur les auties fronts, aucun événement is d'importance. .rj Communiqués des armées alliées a Paris, 19 février,— Officiel de 3 heures : iz Ac-ivit de patrouilles dms la r girn de a 'Burnhaupt-le-Haut. Nuit calme partout ail- ir leurs. fc, Dans la nuit du 17 au 18, un zeppelin a survolé la cote fr.m^aase du Pas-ùio-Ca- s lais, jusqu'aux environs de Boulogne^ et & d jeté plusieurs bombes sans résultat. s * * * Paris, 19 février.— Officiel do 11 heures j !* Assez grande activité dos deux artilleries •* dans les secteurs d Avocourt, de la odie du ■" Poivre et de Bezoavaux Nos butterius ont II exécuté des tirs de destruction e fioaœ 6ur i les organisations ennemies au nord de Dam-i loup. y En Alsace, un coup de main sur les IL 1 gnes ennemies au Barrenicopf (nordi (ie ^ Munster) nous a permis de faire une di. za-inc .de prisonnieis- Canonnade intermittente sur le reste du front. * o Londres, 18 févri r. — Off ciel eu soir t lje nombre de-* pi i^>uniers que nous avons 0 f. its tuer, au cours des opérations ecîoc-:- tués sur l'Ancie, s est élevé à 773, doat <3 1.5 < fi ici ers. Nous nous sommes eaquar s, <» outre, d'un certain nombre die mitrniUcais^s et de mortiers de trinchée. L'annemi a di« rigé ce "matin une forte ataque coiutre nos : nouvel e> positions établies sur le saillant qui domine la ferme de Baillesoourt. Trois >. v : os d^assoi t, hppu''. es juir ces trouj«es _ c:e réserve, se sont successivement lancées I ; t pie c.mtie n tri- Inrne; elles ont été prises sous le feu de notre ar.illerie e»t iCjKmss -es avec de fortes psitos, s<i(ns e qu'îles a.iç t r'us-si A atto'nvd're nos tiun^ cliées sur aucun point. Nous n'avons pas - essnvé de ports. s Pendant la nuit, des oé'achcments an>-e glais ont p'ai tré dans les lignes nllnnaai-r des au sud.ouest et au iwird-oucst d'Anra®, Mercredi 21 Février 1917 JOURlîAIi QUOTIDIEN — JLe Numéro : lO Centimes A' Année. — N" 816

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