La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1916, 20 Februar. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 19 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/7659c6tc8v/
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Dimanche 20 Février 1910 JOURNAL QUOTIDIEN. — IL9 iVazàéPo : lO G3ni£m33 A nnafi M* ARQ LA BELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS : tÎB tnôis (œass) fr. ?.3o Its demandes d'abonnement sent reçu sa EXCLUSIVEMENT 5ux çulohcta das bureaux do poste. \ ABMMiSTRATfÔN ET RÊSACTiON Si. î-ï&tiiaîfns-s.uzc-j&cr'bcts-Po is.ffàre&% BJîUSSîEi£iBS BUREAUXiB6 9 à 57 HEURES l/CS. MORESSÉS, DîRECTKUft iPetiteê annonces • »'» » 4 » lalign», fr. 0.40 Réelajce avant les annonces i — 4 °° Corps du journal .... — 4.00 Faits divers — 8.00 Nécrologie .*;..... — Aujourd'hui : HUIT pages. LA GUERRE 564, 565 et 58Ges jonrs do gusrr D'apeès les communiqués de» Pctrogradj -en cto^ittudiotkai1 jusqu'ici ave© ccaix c Ctons&kL'itinoxd® — lcw événements miii&aire cfons lo Caucase ccsifeinïieut à être favort bl«?5 aux Baasses. Rappelons que déjà au début de 1915, il avaient remporté sur les Turcs, près' d .S^Vj taiavsc'i, un avantage considéré à toj comrao «Selslr, puisqu'il n'a pas emptchéls opérations do s'éterniser ensuite pcndai foute l'année en escarmouches et fusilàde ir.eigin if tantes. Ce n'est que depuis la 10 ju vier (former quo iailure des" ho Hîlikja s'e. modJfiÎjir' stuc oe front. A cette date, l'aimée du grancfe-êbic Niçois a entrepris ocmiço le centre turc une ofëej s:ve vigoureuse menée par dos effac-ifs non breux. Leur supériorité numérique n;a pc tardé à se manifester eu contraignant 1< O&toracnB à abandonner Le segftciw fronuca (F Olty, si fréquemment cité, et à battre c retraite le long de la valioe supérieure c l'Arax. L'avance russe devint bientôt -as grave mai ace pour Erzeroiun. Cette pJac< forte est eu effet dépourvue de oommuinicf tiens par chemin de fer avec l'ouest cl l'Asie Minerare, pour le boni motaf que le l-.usi.>es, opposas avuo intransigeance à ] construction. de tous chemins de fer otte maais se dirigeant vers le Caucase, ont tou à tour euipâcké ou retardé l'exécution de divers projets envisages. Los renforts turcs dirigés sur Erzeroiu ce peuvent, par suite, être convoyas ea vu gon« que jusqu'à Angora, ou bien, en fa. étant un long détour, jusqu'au nordt-c-i d'Alep, près de Biridjik. Or, Angara £ trouve» à 700 kilomètres à vol d'oiseau l'ouest d'EV-zeroum, et de ieîijik: à Erz< rouai, en longeant le cours, supérieur d l'Euphrate, la distance est approximative meut pareille. Le pa^s à traverser éfcai montagneux et pauvre eu bonnes routes i la mauvais© saison étant survenue, les Turc ne pouvaient guère espérer, malgré l'opinii treté de leur résistance, contrei>atana«r temps la supériorité numérique cp.ï-3 leror ac vorsuiro verdit d'affirmer sur la eet^tio: cejitrale du front dit Caucase. fout au contraire, les Russes disposent TiStis, qiri eci'Stfkii-e leur grande base ù'op rations, d?nt3 chemin. de ;er qui, par AiCisai dropol ot Sans, atteint leur frontière, <5e sv>in qoa leurs rendons et leurs ba^.^Cte proi quo quelques1 dizaine© (Je kilomètres à fira.: cliir siu rougis pour arriver à dô-;>tiafitâor Leur supériorité numérique devait dijuc Sais kfmont pesi?r de tout s<t;i poids eS forcecr le Ol ouairts à un:e reiraite de plus en piu ftinpîe. AprcS- ciuq s^niaiitc» d>i lu^.ca, ce^ <Jôj niera onl été refoulés sous les muis d'Er aoroum. dont les Iviiïssts anjnoiicent avoi pris possession». Ooncec-nant loup bu^ân ea hommes1, ca nous et matériel, 1^ mdioaitions précise font encore défait. Qsïant à la guiie» dis opérafeioDâ, il n-'esfc pas» encore pos-diUe d ^apprécier, tout dApe-iïikvnt surtoi£b da L IrapidiCé avec laqny^le. 1-ee rerafoits cfct«ma®. si^iiolés' par les Russes arriveront fâjjr 1 fcéàti-e dsf? combats. De même qu'après avoir pris pos^eesio; de Przetaiy^l, Igs llusses ont profité d leur avantage pour accentuer vig'oicreïa'ge ment leur pression d'ans les Carpitk^s, i fcst évident qu'ils vont redoubler d'effort front'rt» l'armfc de campagne ottomane < cb«î-ciier à disloquer ser:- lignes. Aussi esi». probable que [roisr rectifier lenr front l<s Turcs se décideront, leur centre a^a-nii d< sa replier en deç.a (FEczeroum, à rasneme en arrière leur aile gauche, qud sû trouv* a«3ec cfongereus^ent avancée dans la vaî lée de la Tscharueh. 11 est probable qtu par prudence teur aile droite, tpn comba dans la région de Melasligerti et ju^qiï'ai lao de Van, (5ervra également dessiner ua certain mouvement do recui. En revanche, il n'apparaît pas qu3 y «e tno(JSi€r l'orientatiori des opérations ir?< nées par dess armées distinctes qui comba tenr, l'une au sud-est du lac de Van, un Bi.tie entre le lac de Van et le Lac d'il inia. une autre entre lets vile» pe^sa-nea d Ramadan ©t de Kermandshah, nfiei aufci «Kfin sur le Tigre autour de Kut-eà-Àjraar tt d'À>M3&erbr>. T^urs opérations eontinm itmt vra-isemblabiemeiit à tendre, chaque jou davantage, à éfebiir un vas^e front de b? tailùa inint^arompu depuis la mer Noir juaqu-'au golfe Persique. à * 0 Sur 139 a.irf»r<» fronts, il n'est paa feu romï dans cm derniers jours le noiikîr événement important. » DANS LES BALKANS _ I^ncfOrt-eiir-le-^in, lS février : ' "Un télégramme privé eaivoj:é de Constar feiople à la „ Gazette de Francfort" ar aonee ce tfui auftt : — D'api^cs des «iép^es offioielles dî'Ati^ ûea, les minâstrefi (F Anglei^rre, de Preiic< Se tlia-foie et d-'Italie ccist Ciit une ci&xuurck collective auprès de M. S&uludis pour lu ai^viifier que le coasedl de ^i^rre tenu Paris a (Mokié Pcceu,j»tào« niiiitûre de ton îe? chemins de fer ef de tou>^a ke statioo pi-orgues de telé^mpbie qui ^e troujv€û.t & Th>*ixdie et en Alorée. L-eo rftmi.-stras die rBntente oni faSi rc mart^uer qise sS la Grèce pe se pliaiu fsa , votonto.ir^soeaiî à ecfcie décision, oa userai ôo la force. A la suite do ces&e visite, M. SènïU*fe : tSonvoquié m conseil do guerre pour (XiSibé rer sur la situation, qui vient <Pc<ie aftns créée. j Mîlazi, 1s février î I-« „Oorrfere Sara" antiosoee qu- M. P>o^îari, msofaÉre d'Ifcilie à A^iènsa, j protesté atrprès du gouvescacEnont * grec ùju •ce \q langage offensant twuu por M. 9c tetoa, d^psaé de Corfon. au couars de a prcJ^iortn^io à» la CStembra eopSre Va dk&ai ç&xam t àe t^ggSs sbokaas à Cufes. Paiis, 19 février : Oa oiaside de Bordeaux a*» ,,Matin" qu< le roi du Monténégro ^ sa famille r'mwal-leroQt prochainement: dans une propriété si tu^e^i^$t<de Lcnnoîifc, aui environ* d; $T0îM- Atroces, 1S février : Deux Grecs oat volé da*is une auttmol.ile Ô anglaise qu'ils avaient guetrée, une serviette bouiréo de éocumeaite ofiicid» anglais fou importants. Ijq vol a ea lien av. momen: «ml l'automobile atoppait. Lex auteai^s de <h c vol 04it réussi h. s'échapper. Ce fait a pro. ° voqué un sentiment pénible dans le coin-^ VBa;,d-Jaieiuï militaire anglais. s 'Berlin, 18 février : a D'après un rapport adressé à la })r^se. t au sujet des opération en Albanie, le£ s forces princijiales aastro-hongroiscs so grou. X peut au nord Je Durnzso, sur la îivi^K s Arc:en, pour- préparer les actions mil'tairei .. futures, tandis qu'au su<i de Durazzo, lï ■X côté sera bientôt atteinte et que tonitr® Icj Ug^es de commutricaferims conduisant à Va s loaa sont coupOers. i- î. Ivugano, 19 février : Les journaux de Milan, confirment la dé iS pêçiie publiée par la „Persevexanza" roi o ma in a, qui annonçait que le eomniandemen d supérieur italien a décidé l'évacuation âi e I>àrazzo. e Bucarest, 19 février : Depuis qiTelques jours, des négociationf 0 se poursuivent entre les gouvemeroientâ al ±3 lemand et roumain p»vir le transport dî a 6,50o "wagons do pétrole de Houmatiio. Ci pense que ces négociations aboûtiront j$oai v peu. s Paris, 17 février : n On annonce que le baron Mioid, rsçréaen tant d'Italie à Durazzo, est ai*rivé à Kosne où il a conféré avec plusieura^mîûistrta ai ;t sujet de la situation en Albanie. ® Sofia, 19 février : Au sujet de l'attaque aérienne contn v Stroumitaa, l'agence WoîXf apjjrerul que f e avions ennemis 0)it jeté 50 bombes su3 Stroumitza. Un soldat, un civil et un en fanfc ont éio tués; deux soldats, 4 temmes e un enfant blessas. 9 t —— ■»? » —■ ••■■■■■ ■■■■ M /- ï SUR MER 3 î Genove, 18 février : à \jj. capitxtiae cU vapeur françaks ^ qui est arrivé à tOarrjiage, vanojià dPCraa -• a raconté à ufn collais/rateur du ^JfTuxnril' 3 qu'il a été poursuivi par iro soi^mari» ennemi di-ns le ctotroit ôa Gibraltar. ; DÉPÊCHESDMBSES i Mi1 an, 17, février : Deux peisonnes blessées pondant l'attaq® r aérienne faite sur Milan eut succombé y Leurs blessures; le nombre des moits tf'élèV| " ainsi à quinze. Plus de oûvMSQ personnes or-t assisté aos fuofcraiites des vicùm<is. il n'y a py^ eu f d'iocident. * * 3 e * 3 Pétorograd, 18 février : On mande do Pékin au 1tîïta3skoj-3 SLovo" : 1 — Par l'entremise des diplomaîes é^an-a ger», le gouvernement chinois a prvpcsé aus . rebelles d© Yunnan et du Kweiîsohao les I condraojas de peix suivantes : 3 •— YiianrShi-Kaï jgaramtefi I^vi^îabâliîJé :t du Parlemont et accorde uaiie amnistie géné- il r^le; les chefs de la rébellion occuperaient 3 des postes élevés dans le ftikir gouverne- < ment de TEmpire. Yaan-Sbi-Kai insiste poui : quo les rebelles acceptent la restauration oç 3 la mouaroliio. Los robedles ont refusé les conditions de s Yuaai-Shi-Kai. 1 Pôtrogrâdi, 18 février : 1 On mandé de T<ikio au „Hietsch" que l'important et inHuCat parti det> K<>kumi. a au cours d'une réunion extraordinaire qui J" s'est occupée ex^lusiveaiewt de la situation k" en Chiae, a voté une motion saoScUionnelle ® rendant à prier le gouvernement d'appuyer. daus l'intérêt de la situation future du Ja-8 pon en lixtr^nef- Orient, les rébelles du e Yunnan dans leur lutte contre Yuan-Shi-Kaï.• r » • Rome, 17 février : Q Hier, le ministre dzt Trésor, le mini être de la guerre, le ministre des travaux publics et le ministre de l'agriculture ont discute la question do l'i^nrovisionuemant du pa\ ?_ en produits alimentaires et la question des " frets. 3 * a • Coblence, 18 février y Depuis hier matio, le niveaa du Ithin a • au^maenté'tîe 119 ^ 6 l»eur«w du mafcia, il atteignait mMr^s. L'eau monte de 5 à 6 eentimètres par heure. Ije niveau de la Moseile s'est égaleanent f;/rtemcmt élevé et la navigation a dû être ■" interromçxie. ^jckholm, 17 février : In Rcïiîibre (Îes colis posianx reieo-oa à ' Gôt^ohTirg et HiparPîida en ^nisa de r». . rtréoailles c<mtr6 li ' suirifl par lia Aa^J_-is ^ : de la posto Buédotee s'élivo uctei»llem«iTt à 0 m.tra: h'Jattfttem dirige à prient les j polis poste nx Atcxiofn h U -Riu®ie pa; ® ir'Aménqae, le J.ipfsn et la Sibérie. Ccxeo. : li-* uitâtent psr c-:--!'o voie decx moia poui J aWirer à destination. :a«»-*rJ ■ i i t Po-ite, 1S îévricïr : M. Garroni, ajioie«j aro,oSJisa<ter d'Italien v Con-rtant'taople, a pris sa retraits. • J Arastc-rrfem-, 18 fArrra- : Par s.ufti 3« îa tenijsSa, feç ooensttusiît»-t5n>s «Sé^-auMques avee L'AlUmsurna sont iKKieiles. d . * « 1 Coppnhagne, 18 f.-Wrîer : Conformfeiaînt à mm déôsfea dn mteia - ®r« de rinfcsràsiï-, on reeansera. da 2l aa I ® février, ta» tel «5oeî * da htt, de laar. . ngen, ie pmann fa terre t» te!*5uil aôt an Daccmaric. Paris, rr février : > Ou mantfe de Tanger au, „Teânps" : — Dans la région de Fez-Taza, il y, < ■ ea rpj ocmlxifc outre la police mai-octùixe e > les troupes da Dbttii-Quarain. L<« indu, gènes ont fortement résisté, mais ilià on ete finalement mis en fuite. dr côt6 frai: ç&Hs, il y ft eu deux maris, écet b.u offi 1 cier. I n » * * >V:% Copenhegue, 1S février : . Le major ^ suédois Pra/wit&, qui faisa ' partie jusqu'à présent de la g^dhrtasri persane, a été arrêté à Bakou, alors qu'i était en roiite poua* rentrea* dams sa pair* Le ministre de Suède à Pétrofrad a pre au(près du gouvernement russe conii'-cette aitrestafeion, dont on ne eomi^iç pa encore les motifs. * * # , Berne, 13 février : Les "journ-ause suisses annoncent que , Banque ^Et.it russe enverra également impK.vrt.inte quantité d'or à Londres. * * t Berlin, 13 février : On mande de Keiv-York à hi ,,G<Àzett «Je Francfort'' qua l'Allensagne aurait) re tardé jusqu'en avril proci'^iin le torpillag • des vai^icrs marchands», p.aur que le gou vei-noment &si Etats-Unis ait le temps d » mettre en gtarde les citoyens américains1 qu de&nand'ûat tfes passeports à l'étranger. Dans les: m Lueatx officiels de (Beiiin1, oj ne sait rien à ce sujet. e » U Amsterdam, 18 février : L'eau vient de monter de nouveau, daLi 'es parties inoîxiéea, au nord d'Ainst3Kfcam 1 Le bourgmestre d'Amsterdam fait construir une digue de fortune près: de la douane ai nord du port. La Meuse e£t sortie de son lit près d Maastricht. ("SU j Paris, 1G 'évrier : „ ^tuj-ourd'hui, à l'ordre Su joue de L | séftnce de la Chambre des députés, figurai jr \& discussion de la motion Ferry priant 1 l gouvernement de faire respecter son droit d i contrôle vis-à-vis de toutes les forces natio [j naîcs mobilisé^. ? t Au début de la séance, M. Briand a dé ï ciaré qu'il s opposait à la discussion immé diate. Le président du Conseil a exposé qu le Cabines exerçait son. droit de contrôl d'une manière normale y conformément! au: désirs du Parlement!, les me&ures néoessai res ont d'ailleurs été prises à cet égard. M. Briand a rappelé la réponse que 1< , laini- tie de la guerre a faite le mois der > aier à la Chambre, au sujet de la m£ni ■ question, c'est-à-dire quo des inspecteurs on i été envoyés auprès des armées et qu'ils ac compli-ssent actuellement lerar tâche. M. Briand a ajouté qu'il était absolumon inutile de recommencer auiourdr'hui cette dis cussion, qui ne serait, au reste, pas san, inconvéaionts. Si la "Chambre passait outre a dit en terminant le président du Cor.se} le gouvernement quitterait la salle et n; suivrait pîis les dél«afcs. Par 349 voix contre 169, la Chambre s'e< ; alois prononcée contre la discussion imm^ diate. . saa*c±"^--& - i*^Rs, 18 février : On télégraphie de Cuba au „Petit Jour nalr' que te gouvernement des Etats-Uni réclame l'extradition du colonel mexioai Villa, frire dn général du même nom, qui i été> arrêté pour avoir participé aux trou bic-a au cours desquels plusieurs Américain; Oîit «été tués.- * ♦ Genève, 18 février : i La „Gazet-te de Lausanne" affirme avoi appris de très bonne source, à Paris, qu, le gage du nouvel emprunt russe con^ract • au Japon sera constitué par File de Sakha line, qui, après la conclusion de la p».àt serais cédée au Japon à titre d'échange Pour le moment, le Japon a obtenu un droi d'option sur Sakhaline. « \ * * Christiania, 19 février : Le ministère aîlomand des affaires ctrun geres a fait savoir à la légation norvé gienne à Berlin qu'une enquête minutieuse i été faite au sujet de la perte du va pou norvégien JBouhorre". Les communication qui ont été faites par le capilaiue du va peur au sujet des circonstances spéciale qui ont entouré la perte de son navire on été comparées avec les derniers rapports d tous les commandants de sous-maiins qu étaient de service dans la région où l „JBoulierro" a coulé. Il en résulte qu'iu sous-marin allemand n'a pu être cause d la perte du navire. o — La Douma va siéger Un regard en arrière. — Lo Taar devan le Parlement. — Un grand ospoir. Dono la Douma russe va être appelée siéger une fois de plus. Dans les milieu politiques on ne s'ttttendiak oarfc» pas ; cet événeânent et l'opinion régnante était qc les portas chu palais de ÎYiuridje rasfcoraiec closes tout au moins jusqu'à la fin do 1 guerre. I^e IVar, grand maître des destinées d soutes les Paries, en a décida antrcmecil Ati«iKlons maintenant le résultat de cas dé libérations. ; Depuis le printemps de 19oG, où l'emp: cfcur Nicolas II a solennellement ouvert, c la salle Saint-Georges de £i*n palais imn. rial, la première Douma d'empire, la vieil Russie autocratique est devenue un EU jkmstifcntiaonei. Cependant on l'a ton jour ' 'contesté jusque dans l'entourage m&ne d monarque, q?ii donna à son peuple la chari du 17 octobre 1005. Tout Je monde, du bos en1 haut d r échelle sociale, est. convaincu que ht TCu* sie est et reste malgré tout, comme par 1 passé, sous lo régime de l'autocratie et r. penc sa prévaloir du titre con^k tionnd. Cette opinion a été procLaotée d'ai leurs presque dans l'enorante dœ Ciiaimlireî L.A RUSSIE A-T-ELL.E UME COMSTITUTIOM C'est la question que l'on s'est posée, «Ketance. Sans ausan doute ««atte Con#tUi tijjci existe, ocite Constitution feûtiiûoato; i pz^oaxre quelle seeaMait k sa mirai) mi r ; . sïc«a«*Sa qtj'die fàI 4sav ^Vai vton, elle a duré. Le Parlement s'est réuni cliaquo année sur la convocation du souve-t raiu et les deux Chambres entre lesquelles i il tëe partage, la Douma d'empare eC le Con- • seîi de l'empire, ont délibéré sur le projet t soumis par les ministres, voté de» laoâs, dis- - cuté les budgets, bref, ont donné l'illusion - tout au moins d'un régimo constitutionnel. Tout cela n'a pas marché sur det3 rou-i€^%es, mais enfin cola a marché tout de môaie, quoique de iesnpa en temps un télé-fc gramme laconique nous apprit que l'ussem-3 blée avait été dissoute. C'est que le Tsar l n'avait pas fait abandon do tous ses droits. • Il n'en pouvait &r&, d'aillesars, -autrement. >- -Aussi, «ans le courant do ces dix dei-3 nièros années, avoas-nous vu que les scu-3 disan» di-oits de ce Parlement avaient été impunément violés. La loi électorale fn-'J profondément modifiée par un ulceBîa, sur un orefre dhi souverain seul, sans l'agré-l cnent des doux Chambres, en dépit dujtexto 5 formel dks lois dites ,,fondaman*:les)', é&-tées par ce manie souverain'. IL y a parlemekt et pafileinsnt 3 Lq réggne constitutionnel, nous diront tes doctes professeurs de sciences politiques1, a est un régime difficile à é&iblir, plus diffi-" ci'< encore à faire fonctionner. 11 exige de a la part, des gouvernements et de» peuples ^ une sagesse, une maturité, une confiance réciproque qui, le plus souvent, ne s ac-1 qnièi-ent que lentement. Presque partout, ce r.'. iTms, dans son enfance» a éti aooompa-git/.! — sinon interromx^1 — par des conps iflUtat ou des révolutions. Coinmeat y eût-il échappé claua ua empire comme la l-Uis-1 sie, où pareil régime rencontre des obsta- • oies non seulement dans le3 habitudes du ï pou voir et les défiances' mutucile& des clas- 1 sus sociales, mais dans les traditions ropu-lai res, dans la diversité des populations, des ^ nationalités, des religions i Aussi le coup d'Etat ne se fit pas atr te;-itre. Agissant en autocrate, Nicolas II - réduisit lo nombre des députés et les aroits t des électeurs!, passant _ par-de#sàus les lois t fon'îamentales. La loi «électorale fut jug'éo 2 par lui hop démocratique ; il l'a amendée 3 à sa manière, tout en maintenant les nou- - Yeiles as.senvl»lces politiques. Il a dissous • les .premières Doumas d'Iimpire, rnais il n'a pas supprimé toute Douma. Les portes ôxi palais de Tauride restèrent ouvertes, mais les diverses oiasses et les divers peu- > pies d'Empire y furent représentes d'une :J autre manière, dans une autre propoitûoni que dans les premières Doumas. Sais.îssez-vous la différence 1 La Douma, c'est le à parlement, peut-on dire, des Russes ortho-Ciixcs, c'est-à-dire do la natLcniaiite dom^-y aante. La rie n'en a pas moins un Par-t- liment, par suite du régime "constitoitionnel, ^ niais cela ne veut pas dire qu'elle ait le | régime parlementaire. ê une attitude rèvgî.utiofjwaire I/'erreur d'un grand nombre de Kusses, p q]"and- on leur esit dbn!n)é leur embryon de Chambre législative, tiiet de confondïQ le - Parlement même avec le régime parlcancii-3 toire Iîs se sont persuadés qu'on passait, j, su:is peine et sans retard do l'une à l'autre, do l'obtention d'un Parlement à la tome-puissance ou à la prédominance de ce Parlement. Eî c'est ce qui explique l'étrange attitude des membres de la Duuma, lors de la • dernière révolution intérieure russes lorsque 3 ceito mémo Douma parla déjà sur uu ton 1 de diciateur, affichant ou ver tain ont son iu-1 teution de modifier l'exislence du régime ' gouvernemental. Les hommes les plus pru-3 dents avaient perdu la tr^te et déraison- naient comme des illuminés, au sujet de thèmes u topiques qui no pouvaient être résolus que par lo feu î4 dans le sang pour f le peuple. r 'Bien plus, ces mêmes hommes, qui se - réclamaient de leurs droits, allaien* plus knit qu'aucun autre Pai'lenasentj et ce qui » ne s'était jamais vu en Franco, ni en An- • gâterie, so pi-odaisit à la Douma : les par-« ïtf.aentaires refusèrent d'entendre le drilégué du ministre de la guerre, le général Pav-loff, e?. lo ministre refusa d'envoyer, dans L* suite, un autre représentant à la Dou- - ma, ce représentant ne potuvant rccucdllir que des insultes. Il eût été étonnant que t la Couronne n'exerçât pas ses droite nen : encore abolis. ? Les choses s'améliorèrent dhns la sui^e, - grâce au doigté et à l'habileté paliiique des i chefs de groupe, qui comprirent leur er-t leur d'nne minute. L'homme qui a fait le 3 plus pour défendre la Douma et, aveo eile, i le novice régime constitutionnel, est ceitaa-3 nement Stolypme. L'avenir dira quelle fut i son œuvre. C'est grâoè à lui, penib-on &re, 3 quo Ja Douma est toujours debout. 1 a aunpris qu'il importait avant tout d'habituer lei souverain qui, à Pexempïe do son père, se pare toujours du titre (V B-utocrate, à vivre et à gouverner. avec un rai^jecnent Les premières Dooinas, trop plcdnes» ues souvenirs de la Révolution francise, n'é-i toient pas propres pour inculquer cette ac-couUxmanoo au Tsar russe et à ses conseillers.h ® Ih CRISE Stl P&PïEB i Ixi crise da papier e!o AngMerre oom-raaKoa A entrer d.wa sa piriode aigus «4 da a grands jerarnaux quotidiens, hier si fier® c« lwu' a&ï»3«5t voiuoiiiicux, psrdeui cinquante {k>ur caal de leur poids, ae pouvant csl ca E<iiîrjïs soutoa'ir la hausse iaoaàsmto du pa-y Pie1'- a Ea taœ^ps de paix,i'ifl la dodaigiieraiout, afi-suris do la oon^^aa«er par do miitipto «n-e aoaflms. Jlais bos oooîi-Gres sa plai- tt gaanl du mauvais itaéaaeat de leur pul'lt-s cité, qui ne ccnipor>«o giièpa îojrs fiais,réel-u laiaiiut éam-.-aes. Ils s-ni doac ooudao*iés e i .a moutrar moiîiis fémérerrï aavœ-ft loui-3 Iccwiirs et Londres gardera ces jouroanx, 3 rn.iiDo vripîeiix qae jf>îis, m,iiî toujours >- acurris de feéta cîe gi^iCrre. e Lo , Paiîy TtSegvaph", le «Dafly Km»*", e le ..Dsiilor CSîrsaicle", lo „DaiÎT Mail" ar.; - dhninu^ d'ua t?«rs tour nombre do pages, ■- P„E\-eniiig News" d'un quart, V^Otserver" et le (jWeekiy DiapateV d'mi tkirs, le ,,Be-j foreeT di'uo siïiime, etc. i II paraît que l'achat da papier ne tar-t- (fora pas à ftfcre mouopolisé et réparti au rt proraia. d« tirag» coubauieir das jourB&ox, à kà «ju'il Sate^stait avaat l'airacjffiKDt an-i [acsisé. COMMUNIQUÉS OFFICIELS CoKimuniqués allsrr.ands Berlin, 19 fé-vrier. — Officiel de ce œiii: Théâtre de la gluerre à l'Ouest. Hier encore, nos troupes ont fait échoues*, au sud-est d'.Ypres, une attaque anglaise préptvrée par une forte canoiinéKic. Guerre de mines es combats à la grenade àans le secteur a voisinant Arras par le nord et 1© nord-est. Nous avons occupé un entonnoir creusé par l'explosion d'une ue nos mines. Sur le front allant de l'Aisne à la Meuse, l'ennemi a, par emîroits, fait un us»£e assez énergique de son artillerie et de 6e3 lance-bombes. In faisant exploser un gros fourneau de mine, nous avons, en partie, détruit la position française sur la hauteur de Cotnbres. Au nord de Largitzen (à proximité de la frontière française, au sud-ouest d'Allzircb) des détachements allemands ont pénétré dans I03 positions ennemies. Après avoir détruit les ouvrages do défense et les obstacles de l'adversaire, ils «ont rentrés avec quelques prisonniers et doux lance-mir.es ennemis. Nos aviateurs ont, avec succès, attaqué la station d'aviation d'Abc io (au sud-ouest de Poperinghe) ainsi que des installations do chemin de for appartenant à l'ennemi. Théâtres de la guerre à l'Est et dans les Balkans. Pas d'événements d'importance particulière. * * * Vienne, 19 février. — Officiel d'hier : Front russe. Pas d'événements, sauf les luttes d'artillerie ordinaires. Front italien. ^ Ilier, l'artillerie s'est montrée, en ral, moins active que les jours derniers. L-'ennemi a repris Malborghet soua son feu. Bu déblayant le terrain d'accès devant notre position dans la région du Kombon, nous avons capturé 37 prisonniers et une mitrailleuse. Une aittaque tentée par plusieurs compagnies italiennes a été repoussé.Près d'Oslavija, le butin amené depuis le« récents combats comprend 7 mitrailleuses, 2 lance-tK>iûbas et 1,2£0 fusils. Front du Sud-Est. Un groupe de volontaires albanais plaisons notre commandement et renforcé -par des troupes au s.ro-hongroises a occupa Ka-vaja. I^es danseurs de cette plues et les gendarmes d'Essad pacha n'ont pu échapper à la captivité qu'en s'embarquant sur des bateaux. En mer. Devant Durazzo, le 16 février au malin, un de nos sous-marins a torpillé un vapeur français, qui est allé s'échouer 6ur un bas-fond. * « * Conecaotinople, 19 février. — Officiel du quartier général : Sur lo front de l'Irak, près de Kut-eLj Amara, oancxnnades et fusillades. Dans lo seo-eur de Falaiiie, des forces ennemies cul essayaient do pousser en avant sur la rive droite du Tigre, ont été, après trois heure! de combat, obligées de se replier ; nous les avons poursuivies jusque dans leur deu^ xiôane ligne de retranchements. A. la suii<j d'un combat où l'ennemi avait engagé ur* escadron do cavalerie, ce dernier a pris ls fuite, laissant plus de- 30 morts kut le teiv rain. En Penss, au sud-ôuest d'Hamadan, l&e Russes ont esquissé un mouvement d'atfc-que contre Kleeagaver, mais un de nos détachements, composé de volontaires persans, les a mis en déroute à la suite d'une centre-attaque. Ils ont essuyé des pertes consi déraldee. Sur le front du Caucase, rien d'important. Aux Dardanelles, les 15 et 16 février, un croiseur et quelques torpilleurs ennemis qtû f-'e trouvaient au large du détroit, ont lat&6 quelques obus, pour se retirer aussitôt aps£i avoir été oontrebaltus par nos batteries. Trois avions qui survolaient le détroit, o£ été chassés par notre tir. Jfr Communiqués des armées alliées Paiis, 18 février. — Officiel de 15 heures : Nuit calme sur l'ensemble du front. u * ♦ Paris, lS février. — Officiel de 23 heures : En Artois, an nordi-oimst de la côte 140, noms avons fait exploser une mine sous une tranchée endémie, qui a subi de graves dégâts. Uiie autre de nos miues a produit, entre loi deux tranchées, un vaste entonnoir dont nous avons occupé la lèvre sud. Une tentative en»oatie pour nous en chius-sar a été arrêtée net par notre feu. Dans la régHou au< surf1 die Frise, motre artillerie, de concert avec l'artillerie britannique, a etfîecteié des tirs» cfci barrage, qui (Hi'j fait avorter l'attaque ennemie en préparation.Au nord dfe l'Aisne, nous avons exécuté dans b région de la ferme du Choléra, stl un soi^ont (k> la li^e ennemie, un tir d>e d3Ktroiot«).u, qvsi a dt«î*é de bons résuit^-. En HjMi&tà 'sace, ajrrèa une intense pré-paraBon (Partitler», l'ennemi a dirigé uîîjp strr m>s positions au nord ckî ï.ar-ffAteciï et a j«i jirfaadtre p4ed un instant ckvus nos tr*3®'&>36F. Une conire-a^aqnîe l'en a iaHn65iatcnieTi<, rcsjaté. • * ♦ Londi'es, 17 février. — Officiel du grand quartier général britannique : Ce matin, l'ennemi a fait sauter deux arinea : l'une à proximité do la Fostf^n. 8, l'autre au sud de Loes. A ce dernier en-<I« oit, les ABènoand» ont tenté d'occuper Teutonneir iiroduit par l'explosion, mais ila ont été rfij»onK«*s. Notifl nous maintenons sui la lisière de l'excavation. Notre artillerie a bombardé les tranchéci engxiwâofl étabîica pi'ès d* la redoute 11 ohen-zôilern et à l'est d'ArmentièieS. &itre le «anal d'Y près à Comines et le «iKBûiu é» kfj ïà «ituaUen est inch^gée. Borne, 17 février. — Officiel du grand quartier général : Dans la région de Kombon (bassin Plez^o), un fort détachement ennemi, >i avait tenté d attaquer i>ar surprise un de nos postes avancées, a été atta<jué et repoussé. L'officier qui commandait lo détachesnsitt eiiûixjai et quelques soldats ont été faits prisonniers. De hardies entreprises de nos patroni •!*?*? dans lo secteur du monte Sabotino et £ n le Karst, nous^j>nt valu la prise de nombreux fusils abandonnés. Hier ev.vr, sur le front de Calvaria, vi, t canonnade ennemie qui a cessé lorsque notre artillerie est intervenue. -Dans les environs do Gorz et de Savojr.a, les batteries ennemies ont été réduites au silence après un violent combat avec- le^ nôtres. Un do nos avions a jeté des bombes sur Nabreeina. « « « Péfcrograd, 17 février. — Officiel dit grai'd quartier général : Sur le Dwiïia, entre Jakobstadt et D-wiask, l'ennemi a violemment bombardé La gare do Nizgall et le sectoir qui s'étend de ka gare de Lavvrenskaja jusqu'à Zargrad. Dans le secteur de Dwiusk, l'ennemi a entrepris une nouvelle attaque contre Oar-bunowka, mais il a été repoussé. Nos av in-tours ont lancé quelques douzaines de bombes sui* un caanp en*cmi. En Galicie, sur le Dniester, dans la région du village de Miohalcze, situé au nord d^UscieCzko — rive méridionale du. Dnié-?-ter — nous avons repoussé des tentatives faites par l'ennemi pour attaquer nos tran-chém., mpœhef *0f9StôSt ' •— Londres, 18 février : i Un avis oificiel annonce que le gouverne-ment anglais, résolu à motire fin aux a'^us aréaaltanfc do miiitijp^es manoeuvres de se i feeurs aux Bçîe,cs, s est mis d uceoivl a-, ec fies •tuitorit^Ss. beiges pour imposer- dés coa; i--•tions très striefes aux organisateurs et Coi-lecteurs do ces œuvres. Ils devront désormais avoir une autorisàtion formelle du gour ■.yeinemeut pour pouvoir s'adresser à la J aérosiié du public. inaini't + ô Londres, 19 février : | Lord Kjitchener a déclaré ce qui suit à |a Chambre dos lords : 5 — Des divisions indiennes ont ét) reti- i jréss du théâtre do la guerre en France et | en Flandre. ■ ; Lorsque les Allemands se sont ouvert la 4 r route vers Constmicinoplc, l'arméo turque. ■ ^ renforcée par des troupes allemandes, J; vaioat ou; bien exécuter un mouvement cou- | j tre l'jEgypts ou bien renforcer ses forces eu | • Mésoxxjtoïuie et exécuter, en même temps 9 une puissante attaque d'artillerie contre nos î | positions à Gallipoli. Voiià iiourquoi no'.b -â avons décidé d'évacuer Gallipoli et de reci-| forcer nos troupes à Saloni jue et en Eg'yp.c. ; L«5 Turcs menaçant sérieusement d atta-\ quer l'Egypte, nous avons pris les mesui'as i': nécessaires pour défendre le ""Canal de ibuez. -f L'iufluenco germ&no-turquo sur les chefs ? des Senoussis a eu pour résultat de noua \ rendre hostiles les Arabes dans la Cyr-> 1. naique et en Tripolitamie. La première atta-t que des Senoussis a complètement échoué ; | mais l'agitation dans la partie occidentale | du désert i>rovoque encoro une certaine in-: quiétude. Toutefois, il faut lo dire, l'admirable Loyalisme du peuple égyptien est une bairilre contre toute invasion dos tribus rebeli.es- dans les i-égions civilisées. Au sujet de la Llésopotamie, lord Kil-^ic-ner a déclaré que la position turque a été attaquée le 27 janvier, mai» qu'elle et il trop forte pour, êtro conquise. Le général Aylnier attend l'arrivée de nouveaux re.i-forts avant de recommencer à marcher, da .r 1/avant et d'opérer sa jonction avec le gé- . nôral Townshond. Celui-ci a suffisamment t d'approvisionnements pour tenir bon péndan' une période assez longue. La campagne de Mésopotamie, qui était . au début dirigée par les autorités militaires ; drss Indes, est actuellement dirigée par le War Office. * * * Copenhague, 18 février : Le major suédois Prawitz, qui a ét»j arrêté à Bakou, voyageait avec de nombreuses autres personnes. Tous étaient munie, d'un double sauf-conduit; l'un délivré par le ministre do Russie à Téhéran et l'antre par la grand-duo Nicolas, vice-roi du Caucase.L'arrestation du major Prawitz a été ordonnée par les autorités militaires d'Odessa, qui ont pensé, étant donnée la consoa-uance du nom, avoir à faire à un major de l'armée allemande. • * » Berna, 18 février : Le Conseil d'administration des Chemins de far fédéraux s'cet rallié à la décision de la direction générale de mettre à l'électricité, courant monophasé, la seeiion Brstfaldr (Bellinzona de la ligne de Saint-Gothard. «5 • • Lon^'ss, 18 février : Le Comité national anglais des économies qui s'imposent en tsmpg do guerre, a adres&l un appel au public le priant de renoue^ aux voyages d'agrément en automobile. » » Milan, 17 février : Le ,,££''o1o>*' annonce qu;au cours d'un GoaSœl d-t> nasjisti^ ten-o hier, il a ét'. -lé^idé d'abolir les droits d'entrée sur io-msehigwss e.t les matières premières qui sont indispendableà' pour créer de nouvelle* industries, pour améliorer la fabrication ac-tueUe ou pour expérimenter de nouvelles métlicKÎe« industrielles. En outre, tous 1^* bâtiments et less terrains qui seraient utilisés daas ee but, aiiHri que les bénéfice donnés par des entre]/rises de ce genre, seront exonérés de tout impôt. * ♦ • Amsterdaan, 18 février : Par suite du gros taaips, le paquebot de EoUamie n'est pa» paita attja«KMkui pour l'Ajijflettirïe.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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