La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

2006 0
close

Warum möchten Sie diesen Inhalt melden?

Bemerkungen

senden
s.n. 1916, 31 Januar. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 03 Juli 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/c824b2zm1v/
Text zeigen

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Lundi 31 Janvier* 1916 A JOURNAL QUOTIDIEN. — Le Numéro : ÎO Centimes. 2m* Année, - N" 439 LA BELGIQUE PRIX DES A80MEÏÎSMÎ3 s mots (février, mars), fr. 4.80 | Ua mois (février), fr. 2.33 Lcf demandes d'abonnement sont reçues EXCLUSIVEMENT eux guichets des bureaux de poste. ADMINISTRATION ET RÉDACTION 32,. Mont&grns-aux-Iler'bes-Fotaçrères, BRXJ2CISL£jES BUREAUX : DE 9 à 17 HEURES Jos. 1V30RESSÉE, Directeur bqz r-_ • ~=~w,.rrrt*cx*v*-r*v r^trmnv-tzr-. I Petite»annonces la ligne. fr. 0.-40 Réclame avant les annonces . — 1 00 Corps du journal .... - 4.00 Faits divers — 3.00 l Nécrologie . • . — 2.00 LA GUERRE 546e Jour de guerre On oonisftate une reprise d'activité en Franco. Lae est manifeste au nord dTArras, àans ie secteur de Neuville. De>s le 'J>'2i janvier, des ex>mtxits provoques par reujnosion tki niiireiS aile mannes y étaient signades. Dupons lors, atcaquies et contno^itfUquds Se sonrt. succodé efcukî 'la région ; les Aiio-Biands ont proce*»k près de la ferme lie ia r oue, sicuee sur la route de Neuville à , Isnny, a une offensive locale d'une cortaine envergure. lia ont livré d'autres assauts encore, nouuumens au sud ue (j-ivtutujy et près de ïiUnD-i^aaimt, au norei-est dArras. Ce n'e^t pas uniquement en Artois que les Aliemanus ont prononcé ksurs ! Entre iiraj-sur-aoïnme et Péronne, lions une région ou il ue a étant rien passé cteçiuis un an, ils se sont emparés du vma&e ue Frise, assis sur la rive méridionale dtej la Somme, et êtes positions environnamte®. Entre la oommie et. lioye, au sud de Lifaons, un de leurs détajciiemonts a effectué une re-| connaissance qui l'a porté jusqu» dans le® Ugnus française®. En Champagne, la lutte d'artillerie et ete m Lues est egalumejut très vive, mais on n'y signale pas d'eugtagémeute d'infanterie. Ko lovauohe, l'explosion d'une mine française a provoqué un combat aa^ez serreux sur la hauteur de Oombres, au suef-est de Vetduu. i» • * Les hostilités conservent leur allure habituelle dans l'Est et sur le front austiro-iljilieu. i>ans les Balkans, la nouvelle de l'ocoujpation par les A utriohieiiis de San-! Giovanni-eit-Medira et d'Aiessio confirme que ta oouqueAe d« l'Albanie constitue l'objectif (e plus immédiat des puissances centrales. La „6tampa", faisant état diurne déclaraition officielle de M. Sonnino, easpère que la marche de l'armée von Kovecs sur Du-razzo sera retardée par l'absence des oom-i trvciuioajtions et la nature très difficile du î ftorrain. A1. Sonnino considère aussi que les troupes d'Essad pacha pourront, dans tous i les cas, tenir à Durazzo pendant un œr-tain temps. Il ne regrecte qu'une chose, à E savoir l'occupation do Berat par les iBui-! gares. Berat domine, en effet, Vlhintei^and [ do Valona et a par le fait unie valeur 6tira-I tegiquie importante : c'est pour cela préoi-■ sémont que, dans le pat»é, l'Italie a toujours protesté ex>ntre l'oocu^paJion de iBerat par les Grecs. En attendant, a dio M. Son-nino, l'Eutento a reconnu qu'elle devait te-j uir Valona. dont elle compte faille un petit ! Salon ique capable de briser les eii'ior&s de | l'adversaire. UN DERNIER MOT sur la QUESTION DES DETROITS L/ôminent jurisconsulte que nous avons interviewé naguere sur la question des Détroits, nous a fait l'amabilité de nous communiquer une couple de noies eiestintes aux lecteurs de „La Belgique". Nous nous empressons de déférer à son désir, df autant plus volontiers qu'elles condensent, résument et éclairent de façon remarquable oe.te ôpmeuse question. I*arlant de la fermeture dos Détroits, Gortschakoff, le célébré dipkw»aie, a dii qu'elle constituait la page la plua sombre de t'histotie russe. i>ès 1841, ceîAe ferme-turo avait été décidée, dans le seuft but do nuire à la Russie. La convention dfe cette annéo-là était destinée, dans l'esprit de l'Angleterre et> de la France qui la dictèrent, à arrêter la descente russe vers Constantûiople. Oï, celle-ci avait été l'un des buts des plus directs de la politique des tsars depuis que, en 1774, par le traité de Koutchouc-Kainardji, le village bulgare depuis lors càlèbre, La mer Noire avait cessé d'être un lac ottoman, et que la libre navigation y avattt été accoitic© aux navi^ russes. On sait comment Alexandre 1er essaya plue tard, après 'Pilait, d'obtenir de Napoléon 1 Ooustautinople, le cle£ de la mer Noire, et la réponse fameuse de celui-ci, liante par le rêve oriental : „ Constantinople, jamais l C'est l'empire du monde V9 Plus tard encore, en 1833, c'est par une alliance avec le sultan contre Ibrahim soulevé, que la Russie poursuivit son but. Le traité dUnkiar Skelessi lui accorda, en récompense de ses services, un quasi-protectorat sur Constantmople et les Détrouts. Un écrivain distingué, M. Charles Laimar-fcinike, dans son très1 intéressant ouvrage „Los Hoawnes et la Question d?Orient", résumait cette question importante dans les lignes suivantes qui demeurent d'un intérêt égal à celui qu'elles présentaient à l'époque lointaine déjà où elles furent écrites : —* Venise, qui n'est aujourd'hui qu'une ville impuissante, perdue entre la terre et l'eau, a pesé d'un grand poids et pendent longtemps sur le monde, parce qu'elle disposait (l'u2*e flotte formidable. .La force maritime peut, jusqu'à un certain point, suppléer à la force terrestre ; mais la force terrestre, si étendue, si redoutable qu'elle puise© être, n'a jamais pu équivaloir à la puissance sur moi-. Il a donc fallu que la Russie, en s'agran-dissant et en so constituant, et par la raison môme qu'elle s'agrandissait et se constituait, oherebât un débouché sur la mer. Or, ce débouché, c'est la nature m^ime qui l'avait mis à se» frontières dans des coa-ûitions admirable» ; car Coasi'mtinopîe, par sa position sur le Bosphore, domine cteux fondes : F Europe et l'Asie. Aussi la préoo-•upation constante, perpétuelle do la Russie * été, toujours et invariablement, la prise CoaîHajitinopîe. Quelques personnes, qui n'ont pas étudié 'a oaite, répondent que la Russie possède la Noire, qu'elle y a- construit des étahiis*-maritimes et des flofite» ecitièresa. v Ç'1 ! la r^>onse est bien simple. La mer ^°ire R'ast qu'une mer do plaisance, comme ?®JMèce an milieu d'un parc, d'est- m bo, HB tFime Tafit» étett» . due, mais sans issue autre que le dtëtroi des Dardanelles,, qu'il faut traverser d'uj bout à l'autre sous le canon des forts qu dominent les deux rives et que la Turqui peut fermer à son gré, quand bon lui sera ble. Là mer Noire n'est donc, en réalité qu'un immenee cul-de-sac dont la Turqui tient l'ouverture. Le seul débouché donc que puisse jamaî conquérir la Russie, c'est le port de Coi stantinople, et du jour où elle s'en s&r rendue maîtresse, on peut dire que la hSÀ diterranéc deviendra une mer -russe.0 Et l'historien ajoutait : — Aujourd'hui donc, malgré son étendu* son or, son fer, ses blés, sas soixanlo-sej: millions d'habitants (elle en a 140 million maintenant), ses cosaques qui vivent de pe et ses chevaux qui vivent de rien, la Rus sie est un Etet énorme, mais impuissant il lui faut un port pour donner 1 essor tous ses éléments de force, de prospérité c de domination." Voilà l'explication tout entière do la ques tàon d'Orient. La question d'Orient n'a jamais été qu la complicaaon jetée dans les monde par le efforts de la Russie pour conquérir un place dans le domaine des mers, et) « efforts, coratno chacun sait, ne datent pt) d'aujourd'hui; ils datent de Pierre le Crans: Pierre 1er, parmi les enseignements qu' recommande à l'aifcentsion constante de se descendants de même que Moïse avait r< comm&udé les Tables ae la Loi au peupl juif, stipule en un paragraphe IX : — Approcher le plus possible do Con stantinople et des Indes. Celui qui y ri gnora sera le vrai souverain du monde. Ki conséquence, susciter des guerres continuel les, tantôt au Turc, tantôt à la Perse, £ta blij* des chantiers sur la mer Noire...'' £t, se conformant à ces vœux, le Grand Catherine allait fonder Kersone, Odessî après avoir ouvert et assuré le commerc de caravanes avec la Perse et la Chine < donné déjà quelque essor au commerce d la mer Noire. En 1833, l'Angleterre — pas plus qu la France — ne pouvait accepter une vie lation de l'intégrité ottomane. Lord Palme ston obtint du sultan qu'il déchirât} le traii d'Unkiar Skeiessi, signé cotte année-là. I fut l'œuvre do la Convention de Londr< de 1843, devenue l'année suivante^,,la Coi vention des Décroits". Le rêve russe dev naît irréalisable : les flottes" do l'Euxi n'avaient pt'us d'aocès vers) Constantdnop e£ la, mer libre. La fermeture des Détroits a eu sur 1 politique russe une influence déoisive. Ces parcs que Constantmople lui avait échappé qu'elle se rejeta sur l'Asie. Pendant tout La seconde moitié du XIXe sdiScle, L'effoi slave s'est concentré sur la conquête asia tique, à la recherche de débouchés en mç libre. Et après les défaites qui marqu^rer sa_ lutte contre le Japon et lui formèrent e fait les mers de l'Extrême-OHent, elle r< porta ses vues sur l'Asie occidentale. T. possession de Constamfeinople, que l'Angle terre efc fia France faisaient miroiter au: yeux (Te la Russie, devait ctro le prin.oi]>a attrait pour entrer dans la Triple-Entent<| Nous savons à quel point est arrivée, d ce moment, la réalisation do ce rêve sécTj laire. DANS LES BALKANS Fra nefort_«-ur-le^tern, 29 janvier : Ou mande de Stockholm à la „Gaze8b0 d Francfort" que certains diplomate^ ruwst assureut que le roi Nicolas a il'imiBautio de renoncer à son trône et se retirera titan le sud de la France. Milan, 29 janvier : i>'après des nouvelles de source! sérïeufs le gouvernement italien, ne disposant pt; de troupes suffisantes poiar défendire l'Aiif nie, a demandé des renforts à l'AngioûeÉ et à la France. Milan, 29 janvier : Les journaux do Milan annoncent qù touBes les troupes rdaliênnes qui se urouvçi on Albanie ont été concentrées à YlitloSi en, attendant des renforts. Paris, 29 janvier : On mande do Rome à la presse parisienijk —11 n'est pas douteux que les homaâe d'Essad pacha, ont rejoint les Italiens ; i fortifient Valona et d'autres endroits de l'A bande méridionale dans le but d'arrêter c ficacemeivi l'ennemi. Belgrade, 28 janvier : Le gouvernement général autrichien Èe Serbie a fait îeimettre en eKploitation dive^e mines de eharbon, do minerai de fer, r- d plomb, d'argent et de mei^oure du p&y: Deux mille ouvriers mineurs sont déj࣠a travail. Lçron, 29 janvier : D'après le „Eépublic&in", M. Paschit^î! président du Conseil des ministres serb», quitté Corfou et t^t parti pour l>Italie,^*) le prince héritier Alexandre s'est égaloi»:: rendu. Ils iront vraisemblablement à Pski: Paris, 30 janvier s L'agence Havas dit ce qui suit! au du débarquement de troupes alliées à Kaki Bui-nuj : — Le 28 janvier, au lever du jour, jSdc soldais de marine de l'Entente ont défei; que sur la presqu'îlo de Kara4Bttxrun,| . on» occupé la forteresse. Le débarquement de détachements de se dats de marine anglais, italiens ut rufcs a eu lieu le matin efc s'osfc fait) sous la gr tection eanaas des navires. Les détachements ont occupé, sans qu# garnison' i-ésisto, la forteresse siUuée <: côté do la rade. Le commandiantj die 1a to tei-^se a été forcé cfévacuer la place. Il pioUîsi-:;. L'inffantoî-ie française a cerné la fort resse du ei^té de la terre. Cette occuçiatic par 1q; Alliés était û<dispejnsablo poinr & motifs d'ordre stiat%ique. C"n croit qu'un sous-niaria alleimantl se r viteiliaït près de la côte." A&ènjùB, 29 janvier : Ofeï annonce cffickaif^m^nï que) neuf n pouiïï5, ohar^és de 20,000 toitoQ9 da o réalui âe*ès2Ôas à la Gièeejj <mS (jirit SUR MER 3 Londres, 28 janvier : Lloydgà a déclaré définitivement perdu le 5 vapeur suédois ,,Karin". Ce steamer a dis-e [jaru pandiauk son voyage cHa Suèda en: E£-X>agne.s Londi'eN, 28 janvier : L" LloydSs a déclaré perdes le vapeur norvé-1 gien „Sferaastad" et les va^jours anglais ,,Nbrthumbria" et „Avetoro", qui auraienl dû cftrG arrivés depuis longtemps à dc^tii nation et dont on est sans nouvelles. t Lisbonne, 28 janvier : s On annonce officiellement qu'un graine r pourf>ro de mine» so sont échouées dans le - goîfe de Biscaye efc sur la côte nord di: i; Portugal. Il s»'agit de mines qui âuraienl 'i été placées par des sous-marins. it DÉPÊCHES DIVERSES ,s raris, au janvier : e L'agence Xiàvas annonce que, samedi soir s vers U heures, à la faveur d'un épais s brouillard, un zeppelin a survolé Paris e L a jeté plusieurs bombes, qui ont fait d asne2 Ll nombreuses victimes. A un endroit, quinze 3 personnes ont été tuées et, à un autre eu-t- droit, un homme et trois femmes ont iperdi; b la vie. Une maison a été détruite. Il y £ . eu des dégâts matériels sur différents pointe La poursuite des avions n'a pas donné de résultat. ^ Paris est resté dans l'ol>sourité juequ'^ 4 1 hdure du matb. A ' • * Paris, 30 janvier : i- L'agence Havas annonce que, pendant sor ^ raid sur Paris, le zeppelin a jeté plusieurs if • bombes, dont de nombreuses personnes on été victimes à l'endroit où une maison i ï été détruite. Le brouillard couvrait la ville jusque r» une hauteur de 700 à 800 mètres^ affaiblis | sant l'action des projecteurs et contrarian > le feu des canons de défense. /Plusieurs é avions (>nt poursuivi le dirigeable alleanane e qui volait à une grande hauteur et ont tire » sur lui au moment où il s'Joignait. J> i- 1 11; 10, l'éclairage a été rétabli à Paris e > la fin do l'alarme a été sonnée par les u om n pes des pompiers. 0 • * * Pans, 30 janvier : a L'agence Havas donne les renjsJcrignemtetiM | oomçplémenrtaires suivants au sujet de l'at £ taque du zeppelin effectuée sur Paris eJanis la nuit 'dn samedi au dimanche : ? — A 9 h. 4,5, la police parisienne a pri k toutes les mesures de sécurité orebonn <i r lorsqu'une attaque de dirigeables est sigma t lée. En quelques minutes, la ville a ét< | plongée dans une complète obscurité. Ces à 9 heures du soir qu'un zeppelin se diri 3- géant Sur Paris a été annoncé, efc l'aLarm. a été iramédiatement sonnée. Les peroje» i teurs ont illuminé le ciefl. Le soua'srjoré | taire d'Etat jx>ur l'aviation et le eolono l Mayer, son chef de cabinet, se sont ren?ùuï 5 au Bourget. Les pompiers ont traversé let '» rues principales de la capitetlo en ex>rnan'fc i On voyait Tes avions de défense circiiei dans les nues au-dessus de la ville noire Sur les boulevards, les nombreux pro f meneurs suivaient des yeux les faisceaux lu mineux des projecteurs et des rassemblement: se formaient partout. L'animation est deve l; nue particul ièremont intense à la sortie de ë théâtres, dont l'alarme qui avait été sonnée a n'avait pas interrompu les représentations On entendait très disfcinejtewient le bruit dto s moteurs des avions. La fofcle est restée cal me efc paraissait plus curieuse qu'inquiète. Vers 11 heures, plusieurs explosions d bombes so sont fait entendre. '» * o * * Dunkerque, 28 janvier : L" Cinq aviateurs ennemis ont) survolé Dun kerque. Les dégâts matériels occasionné) par les bombes qu'ils ont jetées sont insi gnifiarrûs, mais huit personnes ont été d< Q u ou veau blessées mortellement. Six maisons Lt particulières ont été légèrement endomuna géeis. Il no s'est pas produit de panique. ' » • • Paris, 29 janvier : Le sous-lieu tenant Chausse esst tombé hie . au cours d'un vol effectué au-dessus di * Bourget. I/aviateur s'east tué. * s * • Paris, 29 janvier : r>. Au sujet de l'attaque du aeppeflin, don parle le dernier communiqué" français, ur journal dit qu'il a paru vers 11 heures du soir au-dessus de la région d'Epernay. a Le zeppelin a lancé plusieurs bombes. s qui ont occasionné des dégâts matériels. Les e explorions produites ont creusé des excava * tions de deux mètres de profondeur eb dt u huit mètres de diamètre. Les éclats des pro. jectilos permettent d'établir que le dirigeable était! pourvu d'engins do gros oailibre. ayant uno grando puiss.-inoe destructive. ù On aimonoo que le nouvel emprunt ruas< il intérieur de 2 milliards de roubles sera du }. type 5 y2 p. c. On ne connais piis encore son cours d'émission. • * * Londres, 29 janvier : ^ Au sujet de la fermeture des mu&ées ei Angleterre, le gouvernement a dédlaré qr-f la, mesure a été prise surtout i^areiei qu les autorités ont besoin des gajpciiens. * « » « , Londres, 28 janvier : D'après le „i\îorning' Post", M. UU>y< ^ George, ministre des mundtioms, a faûfc sa voir auix syndicats ouvriars anglais que 1 ^ gouveraement est disposé à abolir lie tua ^ vaiï dominical dans les fabrique» de n»sni t>_ fions, ù condition que les ouvriers fa^eai des herares suppiém enta ires pendtai^ la se maine. * * * ^ Borne, 29 jmviea- : ^ Les efforts do M. Marconi n'ayant j\ai abouti, le gouvernement a envoyé esn An ^ g'kfterro le mapr 13es Blanchev, ancien an-bassa^3iir à Washington, pour obtenir de concessions pour les frets efc les prix d charbon. « * • à- Lorudrœ, 2Q janvier : é Lgs jocicnalKfeB anglais, (Micsi lia» dua ' ftw ■ïrvrvT^n-.-** »» oo» ■*-' aux agence télégi-apiiiques, »on< libérés du , servioo militaire. • * • La Haye, 29 janvier : Le bourgmestre d'Ymuâd'en a prié télé-graphiqueme^t le gouvernement néerlandais de j^>remh.-e des mesures contre le© vec&es d*e chalutiers à vapeur qui sont sisr ie point df&re faites ©u Norvège. Cfes v^iteB affecteraitint Kuufcibiome«% ia sitaauLoa du port d'Ymuideu. » * d Londres, 29 janvier : A Londres, d:'.jns le hall du Lloycfe», la cloche a sonné hier à cn*i reprises. Cda signifie que cinq navires, assurés jK>ua' des sommes particu'kèreîûent importantes, sont considérés comme perdu»*. Jainais. au Lloyds, cai une mémo j^ur^e® i la cloche ne ta'.-esîi fait auiani du fois entendre.9 « * Londres, 29 janvier : Quatre aimiYoaujx groupes de rccrdoi Derby seront appelés bientôt) sous les armés. £1 s'agit des célibataires âgés de 27 à 30 ans. On pense que l'appel se fera pour le 3 février ; endéans un mois, les recrue» 1 devront être incorporées. * * * Duseeïdorf; 29 janvier : ! Par suite du brouillard, à l'entrée de la • gare ele Calcum, un train rapide s'est jebs», • ce matin vers 6 heures, sur un train ambit* • lancier. L'accident a coûté la vie à deux personnes. *** . . Santiago (Californie), 29 janvier. A la auitô des inondations, usnw digue s'est rompue. Cinquante personnes se qont noyées; des centaines d'autres sont sans abri. Les dégâts matériels sont imponfei-nts. • -Ki * ; Londres, 26 janvier. Les marchandises suivantes ont encore été inscrites sur la liste des produits considéré comme contrebande de guerre absolue ; .\ le savon, le liège, les os, les fibres végé-taies et» les fils fabriqués au moyqn. eîo ces ., fibnes, l'aci'ie acétique, le phosphore, toutes ; | espèces do pièces détachées d'automobiles et !» le plocib en lingots. 1 ♦ * • Homo, 20 janvier : , . M. Salaneka part samedi pour Turin. ) Rome, 29 janvier : Le voyage de M. Briand a été retardé. Il est attendu à Rome le 2 février. • £ Zurich, 29 janvier : i > Un jouraal roumain avait annoncé que. je 16 mars 1916, un Congrès mondial dee > yitats neutres se tiendrait à Madrid. Trente : et un Etats devaient y être représentés. - g Des renseignements pris à' Berne, il ré-i ^ulto que pareil projet est inconnu; en tout t ëas, la Suisse n'a pas été pressentie. ♦ * * 3 L La Haye, 29 janvier : f. D'après un télégiamme re;.u par le gou-yernemant néeu-lanciais, une patrouille a, ét^ attaquée sur l'Ile ele Sumba. Un solelat i.w^-gène a été tué et trois autres oné été bfcs- ^és. Les assaillants ont eu huit morts. \ '' * 3 La Haye, 29 janvier : | On dit qioe M. Meester serait disposé À ^icjcepter le portefeuille des finance». * « * 1 f Du3seleiorf, 29 janvier : ■ | Dans l'accident de Calcum, un royageui s fdu train rapide aurait été tué et ejuatre an- 5 -très a-uraieait été blessés, en deliors du ma- ■ 'chiniste et du chauffeur, qui ont été égale î | ment blessés. ■ i r Du train ambulancier, em a retiré un mojj/ •r ^ct quarante-sept blessés. Il n'est pas eoedr: 'S èétabii si ces blessures sont ducs à la cifti; | [.sion ou si elles ont été repuee cur les champs |f de bataille. * * * Was4iington, 30 janvier : î D'apràs l'„AssocLiteJ' Press", M. Tjanaông,£ - fait sa voir aux puissances lielligérames j<iu< > les navires marejhanels armés ne seront > i torisés à entrer dans les ports améric&Jp que s'ils se conforment à certaines cof|& tions imposées par les Etats-Unis. S'ils èfy | rtifusent, ils «eront considérés comme navires de guerre et traités comme tels. • * * i Amsterdam, 30 janvier : Les journaux annoncent qua Ia poste des-tinée aux lxides uceriunoiiisecs, ejui euui partie le 22 janvier à bord du vapeur „Rem-! brandt", a été saisie par les autorités britanniques.I-a poste transportée par le vapeur „7ee landia'', qui est parti le 19 janvier poui l'Amérique eûti Sud, a eu le môme sort. « , f • Londreis, 28 janvier : La reine d'Angleterre eè1i lé^rflmaiè in disposée. * * Washington, 29 janvier : L',,Associated Press" annonce quelanot-de M. Lansing demande aux pays belligé -T"an;s d'adopter La proposition suivant» : i 1» Un non-oombattant a lo droit de tra verser lee mers à bord d'un navire mar 1 chand battant pavillon d'une puissance bel ligérante et de compter pour sa protectioi sur les proscriptions du droit des giecs if de l'humanité; , 2° Un navire marchand, de quelque natîo 2 nalité qu'il soit, ne peut être attaqué san , avertisseôneni) préalable; 3» Un naviro marchand d'une puissanc belligérante doit se conformer immédiate ment à l'ordre de «topper qui lui es \ donné; ' 4« On ne p®it tiner &nr rrn wariro mar . chand que cùinh le cas où il tenterait 6 1 résister ou de fuir. M&me alors l'afefcafjw doit ceoser aussitôt qae la fuite ou la ré l «â»3ftoco pr«nd fin ; 5» La destruction d'us navire nfe^fl per mi*o qiïo s'il ost impo^fffcle cfy mettre lia équipage de prise ou de le capturer ; en e ca?i, les persorm-cs qui w trouvent à bor< 6 doivent être mises en sûreté. - Beroe, 29 janvier : s Le „Bnnd" annonce que la Frauee a au i toriso l'eKpétîrtion de 16,000 balles de coton de fil de coton et de tissus destinées à 1; Suisse «4 «f»i se trouvent en <9épèl ats Ha vtb et à BouW^ne. Il reste à régler 1: s osaasiien As truawycrt. On a dit ça» l'marre . A AAM M Cmm*r* COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués aliomands BcfHn, 30 janvier. — Officiel do ce inidi T huître de la guerre à l'Ouest. Sui* la route et au sud de la route c NeuviSle, les combats ont continué pour 1 possession des positions dont nous noi somaues emparés, Une attaque française été repoussée. Ivis positons que nous avons conquis* |au sue! de la Sommet ont une étei*iue c |>,5QP mètres et une profondeur de ^ ®re>s. Au to;fa4, 17 c^eiors et 1,270 hou '%ie<>, parmi lesquels quelques Anglais, soi ®mbés eeitre nos mains. Les Franra'o n^oi aLi^é qu'une ïaiblo contre-attaque, qui a c i%K)ussie. En Champagne, de vifs duels d'artillor so sont livrés par intermittence. Sur le reste du front, l'activité do l'a tillerie a été entravée par le teanps bri rneux. A la soirée, le temps s'étant écUirc les Français ont ouvert un feu violent coj tre notre front j\ l'est do Pont-à-Moussoi Nouh avons rendu vainejs des attaques t détachements d'infanteirio ennemie. Théâtre de la guerre à l'Est et dans les Balkans. Pas d'événements d'importance spéciale sigualer. ♦ * « Berlin, 29 janvier. — Officiel : Le 18 janvier, un de nos sow-marins détruit dans la méditerranoe, l(e vâ|K5iir d transport) armé anglais „Marere" et, le 2T3 jai vior, il a eîéiruïl un vapeur trumaportivi dos troupes anglaises dans le golfe eio Sal nique. Le 17 janvier, à 10 heures du marin, 1 sou^ruarin «a arrêté, à 150 milles marins g l'est de Malte, un vapeur qui battait pavi g Ion hollandais et qui portait à L'avant ] ; nom die „Mélanie". Le va pour a stoppé et signalé : „J'ai stoppé et mis un caruot à 1 mer." Mais lorsque 'le sous-marin s'est a Drcohô pour vérifier les coniiaissemenàs, 1 vapeur naviguant sous pavillon hexlaneia: a ernvort un \aoleiat fiou au moyen eio pli I sieurs canons et da mitrailleaiscs et a tenl d'éperonner le sous^marin. Celui-ci n; réussi à se sous tra no à cette attaque coi | traire au droit des gens qu'on piougesn I rapidement}. Vienne, 29 janvier. — Officiel d'hier : Front misse. La redoute du pont au nordk)ncst e¥U cie^ko sur le Dniester «a .été, attaquée ce matin. Les vaillant eit;?eTksan oit r^MSg^" P'érfnemi. l^e terrain de va i nos positions est jonché do oadavros russe Uno (H(^vlri]]o d'avions misses a aurvo hior notre ligne de "^îront aê "Ha S11 «y p i "eux des onze appareils russes ont été t™s en p'.oin et"TfteTîfs par ê notre arfliilerie, tandis que troisauçraswx | été forcés d'a t terril' à la hâte 'fltfBSe l lignes ennemies". Près de Brestiany sur la Sfcyr, n« gaines avancées ont repoussé les attaqiu d'importants détachements e^éclaireurs ru«s< Front italiesn. , Pas d'événemouts notables. Fronlt du Su<ï-Est. / N(X) tiiemp^es ont occupé AJetefio et poit de SainHGiovanni-dln'Mescguàr^ur" les bor do l'Adriatique. Elles y ont capturé eies a provistionnements importants. Dans le Morrtônqgro, la situeikm rec calnie. Ocr mande de différante <x>àc>~rtt* e pays que la population a fait un. «eoyx (solcBinijl à^nos troupes. Y œnïprîs" te butin capturé sur lo Lo cen, les armes saisies et livrée» aux cîôpô eemtraux sont, jusqu'ici, de :îl4 canon plus do 50,000 fusils et 50 mitrailléuse On n'a pas encoro fini de Xaire ie relevé. • * » Constantinople, 30 janvier. — Officiel t quartier général : Lo lieutenant aviateur ButScfecke a de ceiidu plusieurs avions ennemâs qui »urv laient les Dardanelles. Près ih Sedài-i Bahr, un avicm piloté par le lieuUna Ali-Riza bey a, au cours de la m&m jou née, descendu deux avions ennemis. Constantinople, 29 janvier. — Officiel : Les communiqués russes du 36 janvier ceux parus avant cette date, provenant c front) du Caucase, sont faux ei ei^igur teneloncieusement). bravoure et Itieiôvou menti dont ont fait preuve nos trou$ e» ' » partir du 27 janvier, eu face de forces e " mériquement supérieures, dans les corps corps qui durèrent huit jour», dans les i . sitions entre les fleuves Arassi et Idi, . fait que l'ennemi a subi des pertes con dérablos, sans que nous puissions obtes j des renforts en raison de la neige at froid très rigoureux, et que les batailles sont livrées sur quatre lignes situées l'u . derrière l'autre, conformément aux oïdi - reçus, ainsi que 1a retraite snr Erzeroi qui s'est accomplie régulièrement, voilà 3 realiUâ des actes héroïques dignes d'être : . scrit» aux pages d'honneur des «ommu: t qués de guerre. T^s défaites que les Russes cnnk subi maintenant ainsi que la résistance q'ri 5 rencontrent actKiel'leflnent devant nos) p<H î tions à l'est d'Erzerouim, doivent desneul - leurs communiqués fanfarons, qui veulenè e poser, malgré la réalité des faits, la reir< . ta régulière de nos trompes, simple coîvj i quenca de notre position, comme une fui 3 éperdue." 1 Nkrevï avons la conviction absolue cjttfc sup'riorité morale eîont nos trewipes c fait preuve de tout temps, remportera vicJiKjiro suer la supériorité purement Jiujn - riquse, qui n'e^O toutefois que peseag'à-e , que la première rendir*» tou^>urs ia ©occsi i inefficace. Le centre de nottre awuée ^ - trouve mainikinant ù 15 kilomètre* ù V. i d'TOrzeroum, tandis qiie nous mw4itei»ic i ixftvQ positioM primitive mm lâfl nJ* nomtel Communiqués des armees alliées Paris, 29 janvier. —Officiel de 15 heures: En Artois, à l'ouest de la côte 140, nous 0 avons ce matin, par une contre-attaque, re-a pris une purtie des éléments de tranclicexs A occupées hier par l'em.emi. ^ Au sud de la Somme, après un violent bombardes*)eut, i'enneimi a atta<iué hier nos ^ positons sur un front de plusieurs ^iiomè>-„ iro^, à £)nrtir de Tenibouchiure do la Sommo U f^h^rise et plus au sud. i- : ' $ I^us toute la partie sud, son attaque a ït\ ^ouiptîM-eenenfc échoué; c:.lo n'a r-jussi que ''sur la riv© rr.vme de la Somme contre ie : valage eio Frise, adossé à la rivière et qui é^ait tenu par uno (!e nos avant»-gardts. f ia JL^attuque ennemie est actuellement enr^ ôe et i(âs premières contre-attaques efieotaiée^s nous ont pormis de reprendre quelques-unes de» ^ tranebérs enlevées ixir l'ennemi. i, Dans la région de îahons, l'ennemi, au i. éours de la nuit, a dirigé une attaque, qui i. -h été immédiatement arrêtée. [ç. | Dmis la vallée de la Kecht, à l'est de 'Munster, le tir de notre artillerie lourde a i provexiué un incendie dans une usine trans- j formée en dépôt de munitions. De nombreu» £ ses explosions ont été entendues. * • * Paris, 29 janvier,. —Officiel de 23 heures. En Artois, à l'ouest de la côte 1401, nous ^ avons continué à reoccuper successivemenv ies éléments de tranchées eulevceis liior pur ^ 1 ennemi. Au cours de ces actions, nous J" J avons délivré une cinquantaine de soldats i ^ faits prisonniei's par l'ennemi. Au sud du cheiiuin de la Folie, l'ennemi a tenté de reprendre les eleux entonnoir» ^ ; reconquis par nous; son attaque a été re-[ ^poussée. e c Entre la Somme et l'Oise, grande activité a 'ries deux artilleries. Dans la région d'\r-a uuincourfc, au sud de Lassigny, nous avons > ^lispersé un convoi de ravitaillement et dé-■ truit un observatoire eimemi. . - Au nord do l'Aisne, notre aitillerie a démoli des observatoires à la oôte 108 (sud de f&erry-au-Bac) et bouleversé dea organisa»-tions ennemies du plateau de Vauclerc. En Lorraine, tir efficace de notre arti.Ua>. rie sur les ouvrages ennemis entre Nomeny et Mply. * .* * Londres, 28 janvier. — Officiel du grandi quartier général briûannique : Hier, vers la fin do l'après-midi, protégé par un viîoleînt feu de fusils, de uiitrail-[U ioiuaes et cie canons, l'einnenii a tuntiJ une "iJtaque <i infanterie conuro lo point saillanl ,l6 do notre ligne de tranchées étab.ies au nord-B> est de Loos. Cetto attaque s'est éciouiee lé cous notre feu. i. La nuit dernière, l'art'illerie epneanie a <t. été active à Pesât d'AnuuiDièiws. Notio ar-rc titlerie a répondu à son fou. ij Fou d'artillerie eunomio tiès violent au >3 noiti cfe Maricourt. eaitre Loos et le canal de la Bussée, ai.isi (juie sur d'autres pomus. N'ous avons riposté à ces canonnades et nous avons eaudomniiigé les trauoheieB unne 3# mies en divers ensdroits. » <• * « Rome, 28 janvier. — Officiel du gnand quarâea* général : \ Activibé de l'artillerie sair tout le fi-ont ^ ôtefe atîti\dué a éb6 spécialement vieileut* ^ 2* Otxtains secteurs à ia froutiere de U ?~g (i'Surittîtkie. i^e II janvier au soir, après une fort* 53 préparivtiion par U'aitOlorife, l'emutimi f tenté, avec dimpoïtantJcs forces, ob nou< rejoeer hors eifee positions qui le iue4nao0i> Éle potiiS Javorcek et sur l'isuuzo supé ' ; il a été repoussé dès sa première) »tiive. Il a uenouvelé une dmxièanu et troisième fois son attaejue avdo eks xys fraîches, mais il a toujours été repu u*sé et a subi de forjes pertes. Sur lus hauteurs situées à l'ouest d<î Gorz, nos troupes ont réoccupé une partie -U élu terrain qu'elles avaient été forcées d'abandonner pendant la nuit du 25 janvier, »- et elles y onl pris fainemeni piecL Dans ce y- secteur, il n'y a eu hior qu'un eluol d'ar-1- lilvcrie, un fou de uiitriuilleuses et de3s oom-aè bats au moyen de grenades à main, r- Du Karst, on signale une haixi'io atSaejuo d'un eîe nos détochenienlis eontre uwe tranchée tumemie établie au sud-ouest eia San Horfciûo. * * * Pé&rogr&d, 28 janvier. — Officiel du grand :u état major général : Dans la région de Riga, feu d'ar^Uerie. Y Peneiint un bombardimient de Sohlock, des avions allemand.^ qui opéraient 'lo feu lV des batteries ennemies ont lancé de» bombes ' sur plumeiars points. 'Dans la région de Plakanesn, on s^nale a; un feu efficace de notre artillerie. Plusieurs zeppelins ont survolé la région ÎjV, cîo Dwiusk et ont joué des bombets. Dans la région du lac de Swenteai, 1a fou eîe notro artillerie a dispersé un impor-,CSx tont eléflachemeiit allemand. m Sur lo h'onfe oejoupé par las troupes du ei3J général Everf, le calme a régné. u> Les AUdmauds ont fOté l'anniversari'O de p empereur Guillaume; toutefois, nous n'avons pas " remarqué d'animation spéciale dans «s leurs lignes. j3 Sur la Stoypa moyenne, nombreuses es- ,i. oarmoaohes entre patrouilles. ir Dacis la nuit) du 22 janvier, sur la route! da Buczftcz, uoo automobile blindé s'est i- approchée des réseaux do fil d»o fer de» Peu-&. nomi et a ouvert le feu ec*rtre uni poste et V3 eouti*e un grand nombre eîe fcrajvaflllours* H la a infligé de gi-osset3 pertes à l'ennemi la ot l'a &rcé à se retirer. n-ij tDans la i*égion située au nord uio Bojan, la i la frontière î'.o la Heeaii-abie, «os trtrn-,6- pee, i l'aide <$0 grenades à mai», ont n> (S içià l'mnemd hors de tvote entonnoirs oren-Jc ses l»r des esplosions ilo mineB. Dans la ao racine région, lia petite détachemente ramo-ai»à mis oat do nous alittKfuier, nwis ils ns oiïs été ïepon^iîs par ivotro f«i- Après la as itiruitc de ces déiociiomcnta, l'emnanJ nou* n er.roji tes gaa aaphjxianls.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Zufügen an Sammlung

Ort

Zeiträume