La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1918, 05 Januar. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Konsultiert 17 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/7p8tb0zq01/
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LA MÉTROPOLE ONE PENNY FRONT: CINQ CENT HOLLANDE: VIJF CENT CONTINENT : DIX CENT! fj A Tï A TOC! A "NT HP D'O /"\T7TCl"T7'"MrTr11\T'"P A T niSITlT?! n /1T n - ¥ _ \I7 r O TJmVnoi • Hnik^ms 9! ABONNEMENT ; 25** ANNE SAMTmT fi .TANVTER 191: t LA GRANDE GUERRE I Calme sur les fronts Le coup de theatre russe I Trotsky et von Kuhlmann Un nouveau coup de théâtre vient de se produire en Russie. Les Bolsheviks semblent enfin s'être aperçu, ou forcés par l'opinion populaire de s'apercevoir, du piège où veut les attirer l'Allemagne autocratique et militariste. Us refusent d'y tomber, ils menacent de rompre les négociations de Brest-Litovsk et proclament qu'ils sont décidés, s'il le faut, à défendre, courageusement les libertés de la Révolution. L'événement est capital et peut entraîner des conséquences considérables. Il est la conséquence directe de la séance officieuse où se révéla le fond du sac allemand. Von K.uhlmann est probablement allé un peu trop vite en besogne et Bronstein, dit Trotsky, se refuse de le suivre à cette allure. La demi-rupture russo-allemande a été annoncée à une grande séance du Comité central des Soviets, qui fut tenue à rétrograde le 2 janvier. Trotsky, au nom du gouvernement— dit l'Agence télégraphique bolshevik — dévoila en termes cinglants les "hypocrites propositions de paix de l'Allemagne". -Il déclara que le gouvernement des travailleurs russes n'accepterait pas semblables propositions. Si, ajouta-t-il, les puissances centrales ne consentent pas loyalement à ce que les nations polonaise et lithuanienne disposent librement d'elles-mêmes, il sera urgemment nécessaire de défendre courageusement la révolution russe; "les besoins du front doivent être satisfaits, [• quels que soient les efforts nécessaires s cet effet". Après le discours de Trotsky, une séan ce générale du Comité exécutif des Soviets, des délégués des ouvriers, soldats et paysans, du Soviet de Pétrograde el du Congrès des délégués de l'armée nommé pour étudier la question de la démobilisation, eut lieu. Cette assemblée vote un ordre du jour énergique déclarant que la révolution russe demeure fidèle à \i politique de l'internationalisme, qu'élit défend le droit de la Pologne, de la Li thuanie et de la Courlande de dispose] librement d'elles-mêmes et qu'elle ne reconnaîtra jamais la justice d'imposer h volonté d'une nation étrangère à aucur peuple. S'adressant enfin aux peuples des Centraux, l'ordre du jour les adjure 'de ne pas permettre que les impérialistes allemands et autrichiens fassent la guerre à la Russie révolutionnaire pour la sujétion de la Pologne, de la Lithuanie, de la Courlande et de l'Arménie- L'attitude des Bolsheviks crée une situation nouvelle et qui peut conduire è des développements de toute première importance. Leur réveil est tardif, mais il n'en produira peut-être qu'une réaction plus profonde. Sans se bercer d'espérances exagérées que le pass-é et les tendresses des maxi-malistes pour les représentants casqués, bottés et éperonnés du Junkerdum allemand ne semblent pas justifier, il sers d'un haut intérêt de voir ce qui va se passer. Les négociations de Brest reprennent aujourd'hui et ont dit que les Russes y présenteront des contre-proposition; qui placeront sans doute les Allemand: dans une situation délicate. Ceux-ci se montrent du reste très agités. Un Conseil de la Couronne présidé par le Kaiser et auquel assistèrent Hin-denburg et Ludendorfï a eu lieu. Le; chefs de parti du Reichstag — y compri; le représentant des socialistes minoritaires, M. Haase — ont discuté la situation avec von Kùhlmann. Quant av Kronprinz et à von Hertling, ils paraissent se tenir dans la coulisse. Peut-être les diplomates boches, édifiés par la facilité avec laquelle ils ont réussi à se faire passer une première fois pour des agneaux, recommenceront-ils le coup à l'aide d'une formule nouvelle qu'ils essayeront de faire avaler aux confiants bolsheviks; peut-être essayeront-ils d'amadouer les Russes en libérant Liebknecht. Mais on peut se demander si maintenant qu'ils sont édifiés sur la duplicité allemande, sur ce qui se cache en réalité derrière la fameuse "résolutio de paix" du Reichstag et peut-être auss { sur la véritable attitude des socialistes d 1 Kaiser, les maximalistes se montreront ils plus prudents. D'autre part, cependant, la situatio des Bolsheviks est rendue très difficil par le fait qu'ils ont promis la paix a peuple russe et qu'ils ont tiré presqu toute leur influence politique de l'assuran ce qu'ils ont donnée de pouvoir mettr fin à la guerre. Ils doivent donc s'at tendre à une explosion d'indignation pc pulaire au cas où leurs plans n'abouti raient pas. On peut donc encore suppe ser que leur indignation est feinte e qu'ils demandent qu'un prétexte pou mettre les pouces. Iî est non .moins pé rilleux pour eux de renoncer, à la premiè re atteinte des réalités des négociations les glorieuses visions dont ils ont nouri la Révolution. Enfin, il n'y a pas à s dissimuler — et le citoyen Kameneff 1' déclaré vsans ambages à la grande séar ce du Soviet — que l'armée ne veut ni n peut se battre. On ne peut évidemment prédire l'ave nir d'une révolution, surtout d'une réve lution comme celle qui agite le peupl russe et qui est' sujette à des soubrf sauts si brusques. Il est possible que 1 nation russe en ait assez des humiliation que les Centraux veulent lui faire subi et qu'elle ait un sursaut d'énergie ind gnée. Il est non moins possible que s désintégration soit trop avanccée pou qu'elle se réorganise dans les circonstar ces actuelles. Certains Russes pensent qu'ils peuver combattre les Allemands à coups de pre pagande, mais on connaît trop bien l'as tuce de l'enemi pour espérer que ce mod de guerre ait quelque chance de réussii D'autres croient qu'ils pourraient organ ser une "résistance passive", c'est-à-dir placer les Allemands devant la perspet tive d'une invasion de territoires déva.1 tés et habités par une population révoli tionnaire. Mais il est douteux qu'un ti argument soit de nature à impressionne les Boches, qui sont parfaitement à me me d'utiliser militairement une occupf tion de Pétrograde, par exemple, avec u minimum d'efforts, sans se préoccupe autrement de la population que pour 1 réduire en esclavage. La nouvelle situation russe a ceper dant déjà eu un avantage en l'espèce celui de provoquer par contre-coup u rapprochement entre les Russes et les A liés. Ceux-ci ne sont pas' loin, paraît-i de reconnaître, au moins de facto, s non de jure, le gouvernement Trotsky e peut-être même son envoyé à Londre; M. Litvinoff. D'autre part, le gouverne ment britannique a relâché M. G. Tchii chérine et M. et Mme Pétroff, dont ! libération était demandée par le Sovie Il a rappelé M. G. Buchanan, l'amba-sadeur anglais à Pétrograde, dont les a taches tsaristes avaient porté ombrage la Révolution. Enfin, les Alliés prépî rent, paraît-il, une déclaration au suje de leurs buts de guerre qui sera de m ture à calmer les susceptibilités russe; quelqu'injustes qu'elles puissent être. La situation militaire a peu changé. Des raids allemands contre les ligne britanniques à La Bassée et à Epehy or échoué. Sur le front français, coups d main et activité d'artillerie. Pendant la nuit de mercredi, les avi-teurs autrichiens ont lancé des bombe sur Castelfranco, à 40 kilomètres a , : nord-ouest de Venise, et atteint deu hôpitaux. Dix-huit patients furent tué; La "Rultur" continue ! La Conférence sur les effectifs entre 1 gouvernement britannique et les trade unions s'est ouverte jeudi. Sir Aucklan Geddes déclara très nettement qu'il sera nécessaire de retirer des usines à mun tions un grand nombre de jeunes gens. LA METROPOLE EST EN VENTE CHEZ : M. E. I. BLOGG v : : no, RRIXTON HILL,. S.W. I S Le 1er janvier La réponse du Roi au Gouvernemen Voici le texte de la réponse du roi a télégramme du gouvernement : f Je remercie bien sincèrement les membre du gouvernement de leurs vœux patriotiques Puisse l'année 1918 amener pour la Belg: que la fin de ses épreuves si vaillammer supportées et la restauration d'une patri complètement indépendante dont plus qu 1 jamais nous devons nous montrer les sei viteurs ardemment dévoués et indissoluble ment unis. ALBERT. ri France et Belgique A l'occasion du renouvellement de l'an J née, S- M. le roi des Belges a envoyé ; e M. Poincaré, président de la Républiqu française, le télégramme ci-après : A l'occasion du renouvellement de l'année I veuillez agréer, Monsieur le président, me " 1 vœux les plus chaleureux pour la prospérit et le bonheur de la glorieuse nation fran çaise si admirable par la vaillance de se t armées et par les sacrifiœs qu'elle s'impos r dans la grande lutte soutenue pour le droi et les justes réparations. Au nom de tous mes compatriotes, je réi tère au gouvernement et au peuple français : mes vrfs remerciements pour le_ glorieux ac 1 cueil fait à nos réfugiés. La reine et moi e nous vous prions, Monsieur le président a d'accepter aussi pour vous-même et de fair agréer à Madame Poincaré, l'expression sir e cère de nos souhaits les plus cordiaux. ALBERT. :- M. Raymond Poincaré a répondu dan 1- les termes suivants : e Nous sommes très touchés, Mme Poincar et moi, des vœux que Votre Majesté et S a Majesté la reine veulent bien nous adresse et nous vous prions de recevoir tous deu i" les souhaits que nous formons de tout cœu pour vous, pour la famille- royale, pour votr a noble et malheureux pays. , J'espèrè vivement que l'année nouvel! r mettra fin aux cruelles épreuves de la Be gique et lui assurera, avec le rétablissemer de la souveraineté nationale, les réparation t auxquelles elle a droit. 1- La France, aussi fermement résolue qu jamais à lutter jusqu'à la victoire finale e ne distingue pas sa propre cause de celle qu Votre Majesté personnifie avec tant d'écla D ^vj«A\Tn DniMrjpi: 1- Angleterre et Belgique Un télégramme de M. Lloyd Georg 'l M. Lloyd George, premier ministre d Grande-Bretagne, a envoyé au baron d Broqueville le télégramme suivant : A l'occasion du renouvellement de l'anné n je tiens à adresser de la part du Cabinet d guerre au gouvernement et au peuple be ' ges un message de cordialité. Chaque jou a qui s'écoule doit nous faire comprendr plus clairement que les espoirs du genr humain reposent sur le triomphe de notr cause» et chaque jour nous prouve que l'am n tié et le respect que nous éprouvons les un |- à l'égard des autres sont de plus en plu I comme le ciment d'une allianœ qui est mair ^ tenant la gardienne de la justice et de 1 liberté à travers le monde. Nous tenons particulièrement à remercie l'armée belge'pour le courage déployé a cours de l'année dernière et pour sa détea mination à continuer la lutte jusqu'à ce qu n justice soit faite et que le monde soit débt rassé de la domination de cette autocrati militaire dont le discrédit et la défaite sor ; essentiels à une paix durable. ^ Aucune de mes paroles ne peut rendr i exactement l'idée que nous nous faisons d ce que nous devons aux armées qui combat tent et souffrent afin que ceux qui sont dei " rière les lignes puissent jouir de la liberté e ■i de la paix ; nous ne pouvons que les remei cier du fond du cœur, fermement convaincu que la nouvelle année verra le fruit de leur », sacrifices, c'est-à-dire la victoire de la libei t ' té- e Le baron de Broqueville a répondu : T^e gouvernement du Roi a été très sens ble au message du Cabinet de guerre. Su s l'Yser et en Afrique, nr>tre armée poursu u sans défaillance la lutte contre l'ennerr x commun. En pays occupé, nos concitoyens endurer toutes les privations et résistent à toutes le perfidies de l'envahisseur, montrant ainsi 1 e patriotisme et l'union qui sont le fondemer '"* indestructible de notre nationalité, d Nous sommes heureux de voir que nos a t liés britanniques apprécient nos efforts. Nou les continuerons aussi longtemps qu'il faudr pour que soient sauvées la patrie et la libei té du monde. De tout cœur, je vous remercie et voi - adresse les vœux ardents que nous formor pour la grande nation britannique et so 1 éminent Premier Ministre. DE BROOUEVILLE. 1 \ ' La ville d'Anvers et la cardina Mercier f Contre les traîtres activistes On lit dans la Libre Belgique (noverr bre 1917^ : Il nous revient que tout dernièrement ur délégation composée des membres les pli éminents du monde politique, de la magi ^ trature, du barreau et du haut commerce c notre métropole commerciale s'en fut à M; fines en guise de protestation contre l'ir qualifiable attitude de quelques activistes loi de la dernière visite pastorale de Mgr Me cier à Anvers. Une adresse fut lue et présentée. Au nom de l'immense majorité de la pope lation, on y exprime le respect profond < ■ l'admiration enthousiaste qu'à Anvers, con . me dans le reste du pays, l'attitude héroïqL "• de notre Grand Cardinal inspire à tout bo * citoyen ; et les excès flamingants s'y troi s vent énergiquement réprouvés par ceux-1 mêmes qui sont les plus autorisés à parle au nom de la population d'Anvers. s L'Echo belge ajoute que parmi les ne ^ tables anversois qui sont allés à Maline se trouvaient MM. J. De Vos, bourgme: ® tre; A. Ryckmans, sénateur; L. Franc! ^ député, et E. Castelein, ff. président d la Chambre de commerce. Une autre adresse de protestation a été s , gnée par la direction et le corps professor; de l'Institut Sainte-Ludgarde, d'Anvers. O , n'ignore pas que cet Institut, où toutes le , branches sont enseignées exclusivement e e flamand, a été fondé par Mlle M. E. Belpa re, très connue pour ses idées flamingante; Enfin, le clergé d'Anvers a fait parvenir Son Eminence une protestation énergique 1 s motivée contre l'activisme; il a tenu en mi me temps à exprimer au vaillant Cardin; sa piété filiale, son attachement inébranlab é et son admiration. a Vraiment, si Anvers est le foyer du moi r vement flamand, on peut en inférer que 1< K Flamands sont loin d'approuver la poigne r des traîtres activistes. o—o e M. Camille Huysmans viendrai l~ en Angleterre Au cours d'une reunion tenue mercn e di dernier par les dirigeants de la Coi férence de Stockholm, le secrétaire, IV e Camille Huysmans, annonça qu'il ava :. été invité par le Labour Party britann que à assister au Congrès de Notting; ham. Il a été décidé que M. Huysmans ; rendra en Angleterre pour exposer le e vues du Comité au sujet de la situatic e actuelle. e Le comité exécutif décida aussi de coi voquer tout le comité organisateur à ur e réunion qui sera tenue à Stockholm lui e di prochain. Les membres russes faisai partie du comité se trouvent déjà Y r», 11 1 e • • • e La conférence socialiste allié i- Le Labour Party s'est mis en rappo: s avec les socialistes dans les pays allie s en vue de la réunion «d'une conférene socialiste alliée traitant de la guerre e de la paix préparatoire à la convocatio r d'un congrès international au sein duqu< u les socialiste^ des pays belligérants < neutres seraient représentés, e Un dirigeant du parti socialiste frai 1- çais se trouve en ce moment à Londre e pour conférer avec le Comité directeur d f Labour Party britannique. Il est inte ressant de savoir que Camille Huysman: e secrétaire du Bureau socialiste internatie nal, qui a résidé pendant un certai temps à Stockholm collaborant avec N t Branting pour faire revivre l'Internatie nale, sera présent à la Conférence ai s nuelie du Labour Party, qui sera tenue s Nottingham le 22 janvier.— Daily Chn vicie. * o—o Une mission japonaise au fron r belge t" Une- importante mission militaire japonai: '■ a visité le front belge. Conduite par le colon W iUanube, elle se composait des lieutenant t colonels Sato, Takheshi, Kwitaru et Hatter s des majors Jamada Kuromu et Katsuki, et c ^ us-intendant Kate. t Les officiers japonais ont été reçus succe sivement par le général de Ceuninck, ministi i- de 1 1 Guerre, et par le général Rucquoy, chi s d'état-major général. Le roi Albert a accorc a également une audience à la mission japonai; au grand quartier général. No-- alliés cl'extrême-Orient ont visité li s tranchées avancées de Dixmude et de Me s ckem, les installations de l'aviation et de n télégraphie sans fil, la ville de Furnes, l'hôj. tal ele Beveren-sur-f'Yser el diverses orgar salions nv'ita res. Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfant se meurent de faim. Dr. SCHUYTRN. Chef du Service pédo'togiqu de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. TRENTE-ET-UNIEME LISTE Report £ S10 3 Fr 21 Collectes faites à Cardiff au bénéfice de 1 Noël des petits pauvres d'Anvers, c/o joui nal La Métropole : Marg. et Geo. Samsoen, Cardiff, 5 sh. ; L. Nagels, 2 sh. ; Les enfants de l'école belge de Cardiff, à l'occasion de leur fête de Noël, se souviennent de leurs petits compatriotes restés au pays, £1 8 sh. 6 d. ; Mlle M'arg. WilmS, Cardiff, 1 sh. ; C. et M. Masschelein, Cardiff, 2 sh. ; Par Mme Braive, Cardiff : A Cardiff: A.B.D.R.M.M., 2 sh. ; Mme H. Zellien, 2 sh. 6 d. ; Fr. Van Laenen, 2 sh. ; Mme Van de Venne, 1 sh. Messrs. Merrett's, Ltd., 2 sh. ; X., s sh. ; Mme P. A. Otten, 2 sh. 6 d. ; R. Donner Morgan (par la pet-ite Mathilde), £1 ; Miss Bâton, 6 d. ; Mme Smets, 1 sh. ; Mme Van Cant, 1 sh. ; En espérant de retrouver notre père, 6 d. ; Par Mlle E. Spinnox, consulat de Belgique Cardiff : A Cardiff : E. Lowder Downing, consul de Belgique à Cardiff, £2 2 sh. ; L.E.L. Downing, chancelier du consulat de Belgique, à Cardiff, 10 sh. 6 d. ; L. Verstraeten, S.S. Comte de Flandre, 5 sh. ; H. Zellien, 2 sh. 6 d. ; J. Sarens, S.S. Serésia, 2 sh. 6 d. ; S.S. Paul : J. Segers, s sh. ; V. Devos, 3 sh. ; G. Zonnekeyn, 2 sh. ; P. Carlsson, 2 sh. 6 d. ; F. Berkmans, 2 sh. 6 d. ; H. Verwilst, 2 sh. ; A. Williams, S sh. ; A. Douglas, s sh. ; I. Horalombos, S sh. ; S. Wyngaarde, s sh. ; R. Rye-kebush, 5 sh. ; G. Peterson, 10 sh. ; J. Maripinn, s sh. ; S.S. Chilier : V. Delgoffe, 5 sh. ; M. Robin, 5 sh. ; E. Morel, 5 sn. ; P. Schoolmeester, 5 sh. ; E. Delmée, s sh. ; Antonissen, 2 sh. 6 d. ; S.S .Prince Charles de Belgique : E. Weysen, s sh. ; Mme Weysen, 5 sh. ; Delanghe, 2 sh. ; Verduyn, 2 sh. ; J. Malbrant, 2 sh. ; A. Goderis, 2 sh. ; M. et Mme Praast, 5 sh. ; C. Moriau, 2 sh. ; Antonio dos Santos, s sh. ; Suyker-buyck, 4 sh. 4 d. ; Rodil, 5 sh. ; Hanssen, s sh. ; A High-Wvcombe : Par M. Fernand San soen : L. Hufkens, 10 sh. ; E. Hufkens, 5 sh. ; J. Deschutter, 5 sh. ; E. Ele-baers, 5 sh. ; G. De Mets, 10 sh. ; F. Samsoen, 5 sh. ; G. J. Young and Co., 5 sh. ; R.K.S., 2 sh. ; C. Jus-suilant, 5 sh., J.K.C., 2 sh. 6 d. ; J.K. Taylor, 5 sh. ; St. Bernard's Con, 5 sh. ; Th. Vandevoot, 2 sh. ; J. Vandevoot, 2 sh. ; L. Vanheu-ven, 2 sh. ; H.J. Mistler, 2 sh. 6 d. ; M.E. Orsler, 4 sh.; O. Morris, 2sh. ; G. Cnudde, 2 sh. ; M. Pros-per, 2 sh. ; D. Jacobs, 2 sh. ; H. Line, 3 d. ; L. Hillier, 3 d. ; E. West, 3 d. ; H. Warren, 3 d. ; W. Clinkard, 3 d-; Mrs. Healey, 6 d. ; N. Howlett, 3 d. ; J. Letawe, 1 sh. ; B. Smith, 6 d. ; F. Dormales, 1 sh. ; D. White, 3 d. ; D. Wakes, 3 d. ; G. Dallen, 3 d. ; I. Baker, 6 d. ; L. Sloper, 6 d. ; E. Olivier, 6 d. ; S. Boswell, 6 d. ; Mrs. Styles, 1 sh. ; K. Dean, 6 d. ; D. Bidgood, 6 d. ; F. Hoare, éd.; M. Stone, 3 d. ; M. Stone, 3 d. ; Mrs. Maoarthy, 3 d. ; E. Perfect, 1 sh. ; M. Hartfing, 6 d.; A. Durrant, 3 d. ; W. Leesh, 3 d. ; M. Church, 2 sh. ; D. Curtis, 1 sh.; H. Rogers, a ch.; F. Opde-beeck, 1 sh. ; L. Pym, 3 d. ; W. Flint, 1 sh.; D.M. Pym, 1 sh. ; E. Milner, 1 sh. ; E. Facey, 3 d. ; E. Bunce, 3 d. ; Mrs. Madelin, 1 sh. ; P. Chapman, 1 sh. ; G. Wright, 1 sh. ; G. Morris, 1 sh. ; P. Hutton, 3 d. ; E. Hives, 6 d. ; E. White, 6 d.; D. Baker, 6 d. ; V. Smith, 1 6 d. ; M. New, 6 d. ; G. Pearce, 6 d. ; A. Smith, 3 d. ; M. Letawe, 1 sh. ; M. Bauwelerrs, 3 d. ; N. Letawe, 6 d.; L. Bauwelerrs, 6 d. ; i M. Bauwelerrs, 6 d. ; U. Bernaerts, r sh. ; M. Verstrepen, 1 sh. ; J. Hawkins, 3 d. ; Van der Cloosen, v sh. ; T.H. Glorv, 1 sh. ; L. Struyfst, 2 sh. 6 d. ; Van Loon, 1 sh. ; L. Huysmans, 1 sh. 6 d. ; F. Maurrissens, 6 d. ; J. Vanthuren- . hout, 6 d. ; O. Vandescasteele, 1 sh. ; C. De Strooper, r sh. ; L. Ja-cobs, 2 sh. : R. Adrîaensens, 1 sti. ; (Voir suite, 3e page, 3e colottni.)

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Londres von 1914 bis 1919.

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