La Métropole

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s.n. 1914, 22 September. La Métropole. Konsultiert 28 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/ff3kw58f8h/
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LA MÉTROPOLE 5 BfiB lî EiÈIÎ 21e Année No 265 Udltlcli 13 rue des Peignes, 59 ANVERS rue des Peignes, 59 ANVERS Mardi 22 septembre 1914 LA GUERRE L'avance des alliés La droite allemande cède La défaite autrichienne Les ccmmiiniqués officie s français Progrès sensible des Français entre Reims et l'Argonne Paris, 21 septembre. — (Communiqué, 11 heures, soir). — Les combat» d'aujourd'hui ont ôré moins violents, nous avons fait des progrès sensibles, notamment entre Reims et Argonno» (Havaa). Précisions sur l'avance des alliés Où se trouve la garde prussienne Anvers, 22 septembre. — (Communiqué He la Légation de France): De Bordeaux,21 septembre, 19 heures 15: A notre aile gauche, sur la rive droite 3e l'Oise, nous avons progressé jusqu'à la iauteur de Lassigny (uuest de iNo.yoïiJ. Pointes des Allemands au Sud de Roye tt vers Corbio et Montdidier. A l'Est de l'Oise et au Nord de l'Aisne, les Allemands ont manifesté une recru descenoe d'activité ; des combats violents allant jusqu'à la charge à la baïonnette, se sont livrés dans la région de Craonne. L'ennemi a été partout repoussé avec des pertes considérables. La garde est au confluent Aisne et Buippe. Autour de Reims, l'ennemi n'a tenté aucune attaque d'infanterie et s'est borné à canonner notre front avec de grosses pièces. Au centre, en Champagne et sur le re vers occidental de l'Argonne, outre Souais, nous avons pris Mesnil-lez-Hurles et M assignes. En Woevre, l'ennemi tient toujours la région de Thiaucourt ec a canonné Hat bonchatel. A l'aile droite (Lorraine et Vosges) rien de nouveau ; les Allemands se fort' fient sur le côté de Delmo et au Sud de Château Salins ; ils occupent Pont » Mousson et Blamont. (Signé) DELCASSE, Ministre des affaires éûr an gères. L'aile droite allemande cède Londres, 22 septembre. — Une dépêche du département du Nord au Daily Mail, annonce que les Allemands quittèrent Pé-ronne dans la direction de Saint-Quentin. Une dépêche d'Amiens au Daily Mail dit, que les Allemands commenceraient à manquer de munitions et seraient menacés par l'avunce anglaise. La destruction de la cathédrale de Reims L'an verse ie réputation Londres, le 22 septembre. — De notre! correspondant par dépêche : Les journaux expriment la plus vive indignation au sujet de la destruction de la cathédrale de Reims. Les télégrammes qu'ils reçoivent à ce sujet, du monde en ti-er, révèlent une universelle réprobation. Le désespoir seul peut expliquer, mais non excuser oet abominab'a forfait. L'Angleterre fraternelle Londres, 22 septembre. — Fresque 1000 ,tëfugié3 arrivèrent à Folkestojie, hier, venant d'Oste«nde, Flessingue, Calais, Boulogne et Dieppe. Un autre contingent est atteodu aujourd'hui. (Reuter'aTel. Co.) Lessympathies roumaines pour les a'Iis Londres, 22 septembre. — iJne dépêche Au Times, de Bucarest, en dat» du 20 septembre, dit : Le sentiment pjblic en fa veur des alliés, augmente chacue jour. Les journaux expriment /eur satisfac tion unanime des succès des innées anglo-Cranco-rnssea. tRauiar'* TeL Co.) Que va-t-il se passer? Paris, 20 sept — On lit dans l'« Information » : Il est probable qu'une nouvelle grande bataille se prépare et que probabienv jil même elle est déjà engagée au nord de Soisson», dans un triangle qui serait a^woxiariaiive trient délimité par la base forêt die Laigne-Cnaonme avec Laon pour sommet. Il faut reconnaître que la (josilion alflemande est par-.aiitemenit bien choisie, adossée à l ' import an: nceud de voit-s ferrée et de routes die Laon juî fournââsaim <ies lignes de ravitaillement et de dégagem.einjt vers H ir.son et Mézières, et1 appuyée sur le canal de l'Oisi? à l'Aisne. De notre côté. Soi <90 rus nous offre uin ex cal j lient centre de concentra t ion et si le généradis-siinve accepte- la bataille qui lui est vlsubiemew" offerte, nous ne devons pas douuîr qu'il a en: mains les moyens d'obtenir la décision en notre faveur. Il est aisé de se rendre compte que les événements qui vont se dérouler dans oet te région auront une influence capitale sur la suite de la campagne. Malgré l'habile position de retraite qu'îds ont prise les Allemands courent le grave risque d'être vigoureuserrifoii i>ressés sur leur extrême droite et leurs derrières suivant im.* ligne que délimite à peu près ta vallée de l'Oise. S'il en est ainsi leur situation pourra rapidement devenir or ici que. Une nouvelle retraite les précipiterait infailliblement dans les vastes plaines du camp de Sissonne et les marais de Missy. Au centre et à l'est notre situation reste excellente. Notre marche en avant entre l'Argonne et la Meuse continue. On sait que la gauche alfc mande qui. pendant toute la duré :Ie la bataille de la Marne avait si vigoureusement tenu au nLed de l'Argonne, a dû se -'.■•plier à son tour ei qutl lui a fallu, pour se Lé gager faire un effort désespéré sur le-Hauts de Meuse entre les places fortes de Verdun et Toul. C'est cette tentative qui a lonné lieu à la nouvelle de l'agence WoJff l'un bombardement de Verdun, nouvelle formellement démentie. En fait, l'ennemi a tenté ■le passer au centre de notre ligne de défense: !a résistance du fort Troyon, qui constitue 'un des épisodes fondamentaux de cetite carn vigne, a obligé l'armée du Kromprinz à remonter vers !e nord dans l'étroit couloir entr \rgonne et Meuse qui conduit directement -Air Dun et le Goulet de Stenay. Il est encore prématuré de dégager les confusions possibles, nous estimons même probables, des vastes mouvements qui s'effec-* lient à l'heure actuelile pour ra.ha.ttre 1 Vn nem: •ntre Mézières et Srenav. Cependant, il est Vident que si, comme nous en avons la ferme •onviction, la bataille qui s'engagera sur notre aile t?auche aboutit à renveloppemero' le l'aile allemande tous Vs esnoirs nous se-vnt permis. C'est alors que nous verrons st-lévelopper au sud d'Anvers, des manoeuvre* léjà amorcées vers Alost et Louvaim. et qui le viendraient vite puissamment capitales. 1 Les membres du Gouvernement en mission Ce sont des missions temporaires Bordeaux, 18 septembre. — On a vu qu'après le retour à Bordeaux de deux membre® du gouvernement, MM. Briand et; Sem-bat, qui s'étaient rendus à- Paris eit auprès du général Joffre, d'autres miniistres ont été envoyés en mission : M. Gaston Doumergue, dans la Marne, M. Thomson, dans le Nord. Il est dans l'intention du gouvernement de oonfier successivement à divers membres du cabinet des missions de courte durée à Paris ou dans d'autres régions de la France où l'ennemi a passé, afin de régler sur pieue , des affaires que la situation actueJie fait naître chaque jour. Peut-être y aura-t-il lieu pour 1e président du conseil lui-même de remplir une de ces missions. Il ne s'agit pas de missions permanentes, de délégations qui auraient pour effet de tenir éloignée les uns des autres les meaVree du gouvernement. Il a été jugé préférable qu'il reste groupé dans son intégralité autour diu président de la République. Te gouvernement s'est transporté tou/t entier à Bordeaux ; lorsque le moment sera venu, et c'est des^ événements que dépend ce moment, la même décision sera prise pour le retour. («Petit Journal») — } v . M. de Broqueville n'a pas été interviewé Le Ministère de la guerre nous communique la note suivante. Les journaux belges so font l'écho d'une interview que le baron de Broqueville, ministre de la guerre ,aurait accordée à un envoyé du Times. Le Ministre de la guerre nons prie de déclarer qu'il n'a pa3 accordé cette interview et qu'il est décidé à ne pas en accorder dans l'avenir. Les fils dn Kaiser Le qua'rième est blessé aussi ! Londres, 21 septembre. — Un télégram- 1 me de Berlin, arrivé à La Haye, annonce que le prince Auguste-Guillaume, qua- 5 trième fils du Kaiser, a été blessé pendant ' la bataille de la Marne. Il a reçu une balle dans le bras gauche. { (Exchange Telegram Co.) Conséquences tragiques de la défaite L'Autriche fait fusiller un de ses généraux Rome, le 22 septembre. — De notre correspondant par dépêche: Le Giomale d'italia dit que les défaites autrichiennes en Galicie eurent des conséquences tragiques. Le général slave Wodinaski et le chef de gare de Lemberg, furent fusillés sous l'accusation de haute trahison. Le général Fioreicid ( ?) qui fut disgrâcié se suicida. Les aus'.rc-sRenands cernés en Galice Londres, 22 septembre. — Une dépêche au Morning l'ost, de Pétrograde, dit que la position de la Galicie ouest, après La poursuite qui a duré une semaine, devient de moins en moins bonne, les armées autrichiennes-allemandes, après la défaite à l'Ouest de Lemberg, sont cernées à PËst sur une étendue entourée par le fleuve San à Przemsyl et le fleuve Vislok. La population s'e<nfuit déjà de Craco-vie. Les restes des armées autrichiennes Londres, le 22 septembre. — De notre correspondant par dépêche : Les restes des armées autrichiennes se concentrent derrière les fortifications au Nord-Est de la Galicie. Les Russes sont à une journée de marche du chemin de fer de Pzremysl à Cracovie, qui est fortement L'aveu de la défaite par le généralissime aulrichien Rome, le 22 septembre. — (De notre correspondant). — A un télégramme du bourgmestre de Vienne, qui lui adressait des condoléances pour la mort de son fils, le général Conrad, chef d'état-major général de l'armée autrichienne, répondit : < Nous combattons pour Vhonneur et la flaire de VAutriche, mais l'ennemi est Wap supérieur en nombre ». Cet aveu a provoqué à Vienne une profonde sensation. Les populations sont îonsternées. Les tronpes allemandes tentent de rallier les armées antri-i chiennes battues. Pétrograde, 18 septembre. — On annonce îue les troupes allemandes qui opéraient ' ians la. province de Kieloe, ayant appris les * défaites de Krasnik et de Tomasciioff, se ' ;ont rapidement repliées vers le Sud, dans ! le but de rallier les armées battues. L'a-rrivée continuelle de trains amenant J les centaines et des <f en tain es de b!et?sés des .•hamps de bataille impressionne vivement la ' xxpulàtion viennoise. Les journaux publient luesi oertaines phrases vagues qui trahissent 1 /a préoccupation générale. («Petit Journal»). ! Dn officier allemand déserteur s On nous écrit d'Alost: Au passaga des troupes du générai ven • 3oehn, un officier allemand entra la soir t la ne une maison particulière et demanda anx îabitants de lui procurer un costume civil, I >ouir lui permettre de s'enfuir. Il était écœu- 1 é, disait-il, des vilaaies commises par les c roupes. Le visiteur rencontra un refus. Il insista, r e jeta à genoux, devant la dame de ïa mai-on, en hri tendant une petite bourse remplie p ['or; rien n'y fit. Les habitants, placés entre 1 eur patriotisme et la crainte de représailles, I conduisirent l'offioier qui partit, désespéré, i Il ne fut œ ut-être oas seul dans son cas Je Maastricht bombardé par un aéroplane allemand 1 Amsterdam, 22 septembre. — Le correspondant du Telegraaf mande de Maes- 1 tricht : Aujourd'hui, à 8 heures du matin, la : population de la ville fut effrayée par une violente détonation. On vit un aéroplane don.t la nationalité -est inconnue, survolant la ville. Il laissa tomber une bombe. L© projectile pratiqua un tron dans un mur et de nombreuses maisons environnantes eurent leurs vitres brisées. On n'a pas tiré sur la machine, qui a disparu dans le direction du Sud. • (Reuter's Tel. Co.) Note. — Il est oertiain qu'il s'agit ici s d'un aéroplane allemande qui a ainsi vio- i lé brutalement la neutralité hollandaise. ^ ^ — j Vêtes descend ( son troisième loche1 Les deux méthodes ! < Paris, 20 septembre. — Une lettre privée, publiée par La Liberté, donne un récit de la destruction d'un aéroplane allemand par l'aviateur français bien oonnu, \ M. Védrines. Un «Taube» apparut au-dessus des lignes françaises. Védrines le poursuivit dans un puissant «Blériot», portant une mitrailleuse. La chasse dura huilt minutes à l'altitude de 2500 mètres. A oe moment le «Taube» fut < atmeint par le feu de la mitrailleuse et * s'abattit, criblé de balles françaises. C'est le troisième aéroplane allemand J que Védrines a desoendu. (uTimesn). s P.-S. — Pour marquer oe fait la T. S. F. c du Kaiser annonoe dans tous les pays neutres que «d'aviateur Védrines a été con- I damné du chef de haute trahison et fu- 1 sillé ». 1 Védrines descend les «Taube» avec sa mitrailleuse. s Les Allemands fusillent Védrines à j coups de fausses nouvelles. 3 C'est ce qu'on peut appeler <c les deux r méthodes » de faire la guerre ! r c ç Leurs aviateurs ' et les nôtres t d Bordeaux. 18 septembre. — Le correspon- c dant du «Temps» à Troyes dit que, suivant t< les déclarations de prisonniers, les aviateurs sHamaiwis ne survolent pi us nos Lignes parce s qu'ils manquent s'es6ence. <i Par contre, nos aviateurs accomplissent 9 des prouesses. L'un d'eux, près de La gare f; de S..., envahie par les troupes allemandes n en retraite, fit sauter la voie ferrée, immobilisant dix trains prêts à les emporter; un n autre détruisit deux trains de ravitaillement, g (Havas). e d AU CONGO • Un corps de volontaires à Elisabethville Londres, 22 septembre. — Suivant une 1 dépêche d'Elisabethville, en date du 21 J septembre, un fort corps de volonitaires a 3té formé par des Belges. Le sentiment j'amitié cordiale entre anglais et belges augmente, les Belges étant reconnaissants ie l'intervention anglaise, et les Anglais î/dmirant le courage des Belges coanre .'attaque allemande. (Reuter's Tel. Co.) le ^ ^ ^ Ol p Les Allemands sont forcés i de manger du pain de patates I ^ De la «Kolmischo Volkszeitung» : «A l'initiative du secrétaire d'Etat <îu mi-îistère de l'intérieur des conférences ont été a éunies dans ie but de discuter l'utilisation a plus efficace et la p'jus appropriée de l'ex- ^ ;éo'e-nt de l>a récolte de seigJe ainsi que de la U( noisson, qu'on attend très abondante, des ^ >ommes de terre. La question de manipula- ^ ion des pommes de terro pour consommation >opiîlair© est comme succédané à la nourriture . bran gère d*efrtinée au bétail, e6t d'une Lm- 1.9 >ortance extrême, tandis que la production le la pomme de terre peut enoore être très ictive. Pour rendre possible une manipulation 80 ur une grande étendue de lia pomme de terre, ce 1 est nécessaire de trouver un moyen de la (ïl onserver, et à cet effet, il faut le sécher, iprès quoi il y a moyen dJen exti-aire une a-rine. Grâce à l'appui du gouvernement, de u3 lombreuses installations de ce genre ont été ^ éalisées sur grande échelle. bt «La guerre actuelle fournit une excellente ét icoasion pour faire Fessai de cette farine utant pour la consommation humaine que «>ur la. nourriture d"u bétail. Au point de vue <!1 !e la consommation humaine notamment, iî h« r a lieu de considérer la fabrication du pain Pa u moyen die cette farine. Des essais ont déjà ^ té faits à ce sujet. Un pain a été fabrique -vec de la farine de seigle et de la fécule, et sa e pain n'est pas seulement de bon goût et de gl tonne conservation, mais est même frès reur-iesant et fort digestif. Différentes sortes de av ►ain se fabriquent seioo 1» r*ne"r en fécule, re «Grâce à la colkbora'ioi de la «Berlir.er sé Jackerei-Innung» de nombreux bo.i-Iiangers de fr Empire ont entrepris la façon « u nouveau ar ain. En outre, on a l'intention d'organise! es cours de boulangerie ou la fabrication du P: ouveau pain sera mise a -'étu.te. bo »0n espère que dans un avenir prochain, ce à >ain pourra servir à la consommât on rogu di ère au peuple en Allemagne. On a également intention de faire usage de ce pair dans m entretien des prisonniers de guerre au cours .lie e Ira cuarre actuelle.» [<i« Sur Mer A Kiaotcheou Jn croiseur allemand coule un torpilleur japonais Londres, 22 septembre. — Suivant une lépêche de Pékin, en date du 21 »eptem >re : Selon une nouvelle de Bimo, un oroi- i ^eur allemand a coulé un torpilleur japo-îais, à la hauteur de Kiaochéou. (Reuter's Tel. Oo.) Perte d'un sous-marin1 australien Londres, 21 septembre. — Le secrétaire le l'Amirauté en Angleterre a reçu un ! élégramme d'Australie, annonçant oue Le ious-marin «A E 1» s'est perdu d'une açon mystérieuse. Le «A E 1» avait un équipage do 44 lommes et était commandé par le lieute- J Lant Thomas F. Besant. Le «A E 1» avait été vu à Melbourne en lernier lieu le 14 septembre, au retour ' l'une patrouille. On croit que cette catastrophe est due k in accident. Le <«A E 1» était parti de Portemouth e 28 février dernier, en compagnie du A E 2». Son tonnage était de 810 tonnee >t son rayon d'action 2500 milles. C ( uS tandardm). i r c .a cathédrale de Reims ^ c apprsoiee parun Allemand ' Afin do donner à nos Lecteurs urne idéf du ^ ésasitre smôpainaWe aooorruplî. dans unie ioten-ion purement méchant*, d«nts le bua exckusaf q e déi ruâne nos chefs-d 'œuvre par barbare ^ m mondes que la fanvur d'Attila II a déchaî- t iés stur la France, citons l'appréciation émise ur la cathédrale de Reims" par «un arch^olo- ç ;ue « aWemand i» ! Voici comment s'exprime «te hw G. von 6 lezoid » diainis son 1/ivne in«tituiLé : « D"ie vrutsteh'unig ùrad AnsibitlduBig der Godschcn îaïukuflisst m F nankreich » : « La cathédrale de Reims est peujt-être fa ou le cathédrale gothique où 1 *extéri<njr soi t omplètemenir en rapport avec Kumérieirr... | je- système des contreforts avec sie-s douhW** j ,rcs-bouitainits et ses piliers d "une riche ordotv ance est «de p'fus beaiu qn'^ ait iarruai* Aaliâé». On voit se manifester nertem«K ans la construction un <« effort pour sur-pas-er tout oe que l'en avait fait jusqu'alors h . :.n beaucoup de points ie but h été atteinrt. c 'lus qu'en tourte autre église gothique, on h d pérô avec des moyens si-mples «* nudssarws o )» Quand le reigord s'arrête sur 1«*« piVwrs u e la nef. l'effet est considérable et l'on pensr ^ •une rangée de colonnes amtiques. I>« déam-lulatoire diu chœur avec sns chapefiW «e«i r 'une beauté hors K<gne»; l'architecte herrfianrt. à donner à son œuvre un carac-ine tjrandliose a pleinement réussi. » 1 Va voilià la merveille utnioue crui viemt d'ètrr roj-pidemenit anéantie au nom de la <« Kudairr » f canonique qui se propose sans doure dV jibatitiuer une de ces bfltiisses où le pVus par- t; lit ma<U'Vai« goflt s'allie si bïen à la lourdeur imîïsîve amitant qu 'insolente. _ j On dirait vraiment qur l'épais esprit q-?r-îanêque i alou x de la grâce e< de la beaiurt^ " ui fon.r le prix des merveilles de l'art latin. S désespérant d'v atteindre» jamaâs. a résobu n: 'effacer ce qu'iH ne pourra iamaâs imiiopr. r. Comment à l'heure qulil est tout le mond-1 utin n'est-ill pas encore levé pour a/franchir p • monde de la barbarie teuitonne ? l^a croi îde générale d»» la ci.viHsaition ne va-t-eile pois iifin commencer ? r ( 1 ) Extrait de l'ouvraige de Loud« Demai-yn : u La Cathédrale de Rfims m . vie l à Bruxelles! v: Un journal ^ Les Allemands publient en ce moment saw ^ s presses de M. Guyot, rue Pacheco, ou'ils C H confisquées et d'où sortent toutes leur* B ■odamations, un journail, inititajdé « Le B ■uoiidien ». B Naturellement, personne oe lt? ^ lût et 00 a g. uson, car il n'en \'au« pas la peine. B 8 voyage de g T f<Elisabethvi!Iefl " La maille congolaise « hJla&abekhville > qui b ivait arriver a Anvers U 17 août dernier, g ou un voyage plutôt mouvementé. Ge fut entre Grand Ba»£»jwn et Las Palana& q ie les passagers de La malle appnr«mt la ^ ►uveilo de La déclaratooo de guerr# de l'AJ- r; ui-agno à la Belgique. Deox jour» plu» tard ( s passagers eurent connaissance dy la re«u»- B nce héroïque de Liège et le eomnuuidani B randt fit pavoiser le navire et l'oruhastrc B ua la « Brabançonne ». Ce jour là il j eut te à bord. p Un peu au-delà de Grand Bassani, 1' t Eli- q bethvigile » rencontra F « Anversvill» » et ^ iui-oi débai-qua deux passagers allemand» „ li furent mis en sûreté à bord de 1' eElaaa-ithviilie- ». A Las Palmas,où se trouvaient imanobiltisée te quinzaine de vapeur» allemands, les bimanes d'équipage allemands de 1' « Hfcsa- ci •thvLUlo » furent enfermés h l'avant ; il» aient 22. _ \ Ce fut pendant le séjour de 1J «Elisabeth- ^ Ide » à I>as Pakmas qu entra le « Galician », li avait été poursuivi par le « Kaiser Wil- ] 4m der Grosse». Quelque jours après les ,A ssagers apprenaient avec une satisfaction ta n déguisée le sort dn t Kaiser Wilhekm ». Une semaine plais tard la plupart d<* passera prirent piao© à bord d'un vapeur an- se a.is qui les ramena en Angleterre. Au cours de son voyage 1 «Elissbethviile» ait été arrêté plusieurs fois par des navi- ^ 3 de guerre, dont trois fois par des ouira»- A i anglais, une fois par un croiseur auxiliaire ïnçais et deux rois par des sous-marins " glais. C< Après un séjour d'environ un mois à L«f tr ilnias le restant de l'équipage prit place b rd du «Highland Pride » qui les conduisit Tilburg. La malle est allée s'ancrer à Car- ,_r Ff. ... de L' «Elisabethville» avait à bord un charge-?n^ très précieux, estimé k plusieurs mîl-as, dont beaucoup destinés a une banque La place. et Tous au travail ! La guerre économique Matières colorantes pour la teinture des laines, cotons 6oles, Jutes, etc. On nous demande où l'on peut) se procurer ces matières. Rasoirs On nous assure qu'à Bruges il serait tiffioile de se procurer un rasoir be«lg» ou anglais. 3oup les piles électriques et accessoires Ci trois adresses (citer la Métropole omme référence): Brush Electorial En ;ineeri'n.g Co., Victoria Works Belveder toad, London 8. E.; General E'eotric Co.Ltd, Carbon Works I Oueen Victoria Streot, London E. C. Su Mrs Johnson et. Philip» - Old Charl- on - Ken«t. Machines à briques Adresses à retenir II va falloir des briques pour rebâ/tir. )r toutes les machines relatives à l'indus-rie briquetière étaient presqu'exclus!ve-iemt fournies par l'Allemagne. Nous ous faisons un p'aisiT de faire savoir à os 00mpatriotes que la maison Vve E iabbe-Masehs, à Rouler», rue du Nord, onst.ruit toutes ces machines, force mo rioa 00mprise. Il existe en magasin des ischines finies de qualité supérieure. 'our nos bières nationales Un agent anglais, exportant de fortes uantités de Lager-Bier vers l'Afrique Est et Ouest), demande d'entrer en rela ion avec un brasseur belge. S'adresser, rue St Jacques. 19, Anvers, liège du Comioé de défense du Commerce l de l'Industrie belges. Houes et hachettes A.u même endroit on demande l'adresse Ine excellente initiative Une Ca.;S30 des prêts Nombreuses sont les personnes, qui en arte triste période, jouissant néanmoins une certaine fortune da/ns le commerce a l'industrie, en fonds publics ou en im-leubles, ne parviennent, pas à se procurer > strict nécessaire pour pourvoir aux remiera besoins de 1a vie. Malgré toutes a garanties possibles, il est devenu dif icile, voire impossible, de se procurer de argent. Il résulte de ce fait un malaise qui *appe autant le fortuné que le pauvre. Ndare Banque Nationale a pris l'initia ve de remédier à oet état de choses. En effet il a été formé un consortium 9 banques et de financier» de la place ii a pour o&j. t de procurer à chacun l'ar s>nt nécessaire pour subvenir aux pre ier» besoins de 'a vie, moyennant gain tie. Le consortium fonctionnera sans aucun rélèveinent de bénéfices. Les admiini3trajneu.rs, les commissaires . le personnel travailleront sans aucune ^raunération. • Cette institution se présentera sous for-e de Société Anonyme sous la dénomma-on de <« CAISSE DES PRETS » Le maximum des sommes à obtenir s'é-ivera à cinq cents francs par mois et par énage, représentant donc un total de si* lile francs par an et oe à un taux d'in »rét très minime, soit 5 %. Voici la liste des souscripteurs du capi-J, qui s'élève à frs. 250.000.— et ne serina que comme garantie envers la Ban ie Nationale de Belgique, Laquelle four-jra les capitaux nécessaires : anque d'Anvers fr». 10.000.— rédit Anversois 10.000.— anque de l'Union Anversoise 10.000.— anque de Commerce 10.000.— anque de Orédit Commercial 10.000.— >cié é F rançaise de Banque et de Dépôts 10.000.— anque Générale Belge 10.000.— ainque d'Epargne Anversoise 10.000.— aisse Hypothécaire Anversoise 10.000.— rédirt. National Industriel 10.000.— anque-Italo-Belge 10.000.— moue Anversoise de Fonds Publics et d'Escompte 10.000.— a.nque Populaire Anversois» 10.000.— inque Populaire pour l'Ar- rond issement d'An ver» 10.000. lisso Internationale 10.000.— lisse de Liquidation 10.000.— lisse des Valeurs Indusfcriel.ïes 10.000.— Jnque Jos. J. Legrell» 10.000.— uique de Kinder 10.000.— j.nge et Co. 10.000.— unbert, L. 10.000 — 1. Cardon et Co. 10.000.— pdebeek, Joe. 10.000.— iinque Centrale Anversoise 10.000.— ijrard Selens 5.000.— ton Keuster» 5.000.— M. Carlier, directeur de la Banque Na->nale de Belgique, méa-iite de vive» féli-vations pour oette belle initiative. D'un autre côté la Banque de l'Union îversoise mérite les remerciements de ute La populamion pour avoir bien voulu sttr© gracieusement à la disposition de nouvelle Société, des bureaux dans l'é blissement de la Banque de Reports de mds Publics et de Dépôts. Le Conseil d'Administration s© oompo-ra comme suit : M. Maurice Gevers, Banane d'Anvers, ésident ; Ed. Bunige ; Bellemane, Ban e d'Epargne en. de Crédit ; L. Crauwels, ynque Populaire pour l'Arrondissement ] Anvers^ Léon Keuster», président de la 1 ►mmission de la Bourse ; Ed. Selens, feorier de la Commission de la Bourse. Le» commissaires seront : MM. le comte mis Legrelle, de la Banque Jos. J. Le-elle; Paul de Kinder, de la Banque G. Kinder. Sont désignés comme administrateurs-tégués : MM Edgard Selen», Crauwels 0«uwenber«i^ ! de fabricants belges de Houes et Hache^ tes. Fours à ciment Nous connaissons une adresse pou-r oeu* que cette fabrication intéresserait^ Châssis de fenêtres pour ateliers et usines On demande des représentants Dana le même ordre d'idées, M. Léon Moreau (Fonderies Centrales de Louvatn) nous prie de faire savoir qu'il fabrique des châssis de fenêtre en fonte, avec 01" sans ouvrants pour ateliers, usines, écuries, avec ou sans paravants. Fermeture» automatiques, escalier» droits ou tournants.Les personnes qui voudraient représenter oette firme sont priées de s'adresser à M. L. Moreau, Canal, Louvain. Lisses et cadres mètalllq o) pour tissages Encore un article allemand remplacé. La Maison Edmond Van Loo, de Renaix, Fabrique à l'aide de matières premières^ venam. d'Angleterre et de France, les articles ci-dessus. Les cerfs-volants belges supérieurs aux allemands Tous les habitués des plages connaissent les cerfs-volants «Belgica», qui sont d'origine allemande et portent en Allemagne ie nom de Roloplan. Ils sortent de chef Steiff à Giengen, le plus petit modèle coûte 8 frs. 60 et le grand 58 frs. Or les cerfs-volonos «Georges», fabriqués par M. Cokaiko, à Embourg-lez-Liége, ont remporté à Spa, en 1912, le pre mier prix de rendement, le 1er prix d» soulèvement et le lei* prix d'ascension. Avis donc aux villégiatureurs. Achats de charbons Garantie par le gouvernement de l'assurance contre les risques de guerre. Le Ministre des Finances, Vu l'ainrôté noyaJ dai 5 «eptenibre 1914, mstaiurani dans des condlitcorfc» d>ei** manéo» 4 ^amafloe par Le «ouverneniem beige de 1W s/urance comre lès risques de gn«re en oe 4 uj concerne : i° les achats de charbons faisant l'objet de conjurai* conclus ou à conduire en An^H>-ieme par des maisons belges ou des m«a.>an« de nationalités étrangères agréées a/u préaia» Ole par le M im^tre de la Guerre; 20 le corps des navires transportant ce» charbons; Revu les dispositions du même arrêté rela-tiyes à l'insiÊPutton par le Ministre de» 1- Lniaincv-s d'un comité chargé de certaine» obérai ion>î> de awvtrôle; Consàdénanit cyu'ill y a Keu de créer. L-*ié-œndainmeni du comité étabii à Anvers cv*o. formémenrf à l'art, ter de l'arrêté mirastér*eé du 5 sopiemb/e iq14, des organismes sirnikni-rtis dans d'aïutne# villes du pays; Vu la vis conforme de M. le Ministre d/j l'Intérieur, Arrête : Article ter. — Des comités pour l'assis* rânee des charbons et du corps des navire» 1 ra/rMportarki ces marchandises soru crées 4 B-ruges et i* Gard; leurs attributions s'éi««v dent respectivement, d'une part, aux ports d« Zeebrugge, Bruges. Ostemde « Nieuport, l'auitre part, aux ports de Selzaete et <4f Gand. .Art. 2. — Les comités ssusdits sorut composés chacun d'un membre de la Déput»tion ■>erma.ni'in/re de» Conseils provinciaux de t» Flandre occklemale et de la Flandre ori-eav naJe. et d"un courtier en charbons habitant 'a province. Ceux-ci sont nommas par le» (iouverni! urs des provinces inaér**sisées. (t leur est adjoint, en qualité de sécrétaine-tréso-rier. un fonot ionnaâre des conjiTilbu'tnvxn» diirvo-res. douanes et accises, qui sera désigné par le directeur provincial d<e cette administration», Art. v — I^e membre d>* la Députa non manenfe dés^^rté par le Gouvmnpw assume les fonctions de président dtu comité. Art. 4. — disposiaions des art. 2 è 6 de l'arrêté mânâ^ériel du c sept**mbre 1014 précité sont TPndiues applicables, sous réserve le la dés* du sécréta ire-trésorier qut doit recc.;*ir les pfliememrs visés è l'art. iiux opérations du contréV» à exercer par le» comités de Bruet de Gand. Art. — 1^ twésent arrêté est exécutxïirt \ partir diu 25 septembre iqi4. Anvers, le 18 septembre 1014. a va y nr vwT7T?tr À ANVERS Le prix des abatis RECTIFICATION Dans IVtfTrêté de M. le bourgmestre de la .•ille d'Anvers du 17 courant, on dow lire : Coeur de bceuf : fr. 0.50 le kilogr. au fietf ie fr. 0.60 la pièce. Pour la bourgeoisie Nous rappelons à nos lecteur» que le comité ie la Li(fuo dtis csLa/*»es moyennes «De Kl«ne Bmr^er» m tient à lia disposition de» oonun^e-^anitu et détaillant® jyiix leur fournir d«e *en»eign«rne.nts. Nul n'ignore que ootts ;nté-•essante olut-^e de citoyens ne trarnr»© deo noments difficiles; beaucoup ne sont pas à a h/tuteur de leurs droit» ou de leur» devoirs. 3t cependant, dans les circonstances Uh •■u elles, oeLa est de première nécessité. À ami bpprendront-ils avec plaisir la résolution dt îotrs puissante T^igue de petit» oo-mmwroant*. Lo comité sesrs à ia disposition deo comme*» ?ants tous les wwnedis de 4 à 6 he-urea du sert* iu local «Hôtel du Midi», marché aux Œufs, 14, An-rer». Les réunions de 1* .seetwm po-a# o recouvrement des mauvaises orésnoss *Q« •ont Idem provisoirement le même jour. MONHTEÛR Bourgmestre. — Nomination. — Par arw été royal du 20 septembre 1014. M. J. De-ardiin, membre de la Chambre des repré«artv ants, échevin de la commune de B^rne. leusay (province de Liérel, esc nornoW x>urginestte de ladite commune-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Métropole gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in - von 1914 bis 1918.

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