Le messager de Bruxelles

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s.n. 1917, 06 Februar. Le messager de Bruxelles. Konsultiert 17 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/t14th8cp76/
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JOk SHtOBW I*r *S 3KK3E31«J"3E'S On s'ationne dans tous les tuircan de poste do pays et au bureau du journal S 45, R.TJH3 MAK.OEÎÉ-AXJrSC-POXTLiHîTsI Directeur : Florent De! motte Rédacteur en chef ; Charles Desbonnet3 A.niMEXiwacflBt'vxcA.'V'JEOxv mrtc amassa» ACM'KOIW 4-5, Rue du M arché-aux-Poulets, 4-5 —o— BRUXELLES Annonces 4* page, la petite ligne « * 0.30 S Tarif Réclames, 3- page, la ligne ... . >■<*> I . Faits-divers » . . • . • 2.00 fg "6 Echos et Nouvelles » • • • • • 3 J PUbiiC'lté Nécrologie » * * * * ' 0M 1 judiciaires » • • • • • "•**> « Rupture des relations diplomatiques entre les Etats-Unis et l'Allemagne LES AMBASSADEURS RAPPELES Bemltin, 4 février 1017- — L'Agence Reu-tcir amiruonce q'eu te Gouvernement des Etats-Unrs d'Aimiéirrique a rirononcé ffla Tuiptuir© des relia t'ons dip:Ilt'm«itiq'i":B avec l"A'lteim.agne. Le Pifés'iden* Wilson ein a tHommé conna.is-sar.ee au Cong.ès de Waishim.gtrai. Les piaer «ie.p'.K"te «nt ^té ternis aiu coirtie Bainistoitff, et M. Gérard, aimba ssadleiuir des Etats-U.nàs à RfYj'iin, a ireçu ffl'ordlrie d,e quitter l'Ailler flfogi.ie. •Cette nouv«lfîte n'eist .pas encorne ocinfirlmée off.icieiltemeait ici, imais om 11e doute cependant pas' de sa véracité. LE MESSAGE DE M. WILSOM AU CONGRES Washington, 3 février. (Reiutea). — Dams «un Ai'tbiS'ctg'e au Congaès, M. Wiilson, iraip-Pflà J» Note des Etats-Unis à l'Aùieimagiiie en date diu 8 aivriil après Le -tou|pij uage diu « Su'buex u jt la •j'épccis© <ile il'Allemagne, «■a cote û'u 4 mai, ainsa que. ia réponse tiss Etats-Unis en date 'diu 8 mai aicceipt., mt les aiswasénties données ®ar l''Ailikimi&g,i,ns. M. Wi'leojï dit que l'AMieimaigne in. avait pius répondu à cou© dernière Note. M. Wilson jjta eineuite des piassa.ges du Méimioiriàndium ^ ail.tam.aind eai date ùlu 31 janvier et diiit : — En .presen.ee de cette dédliaGtetroii, qui jtMbiine aciutfain et sans notification, préalable id'aïuoun© espèce les assumantes soianineiiCes données dams la Note ailllemande du 4 (in,ad, H ne .reste «.j Gouvernement 'dles Etat» Unis d'autre alternative compatible avec la dS-gn.ité et IL'honneur des Etaits-Unis, q>ue d'entrer dans .la voie indiquée pair se Note diu 8_aiyiiitli poiuir le cias où l'A.lileimaigine ne cessa,iaiL^ pas l'appliquer ses méthode® d© guerre souis-marine. Je change 'dlonic M. Lansông d'inforimer !e ocimi „ Baiinstoir-ff die ce que lies iruiûtiioins diplomatiques a.vec l'Allemagne sicint roen-h .pmieis., .die -rappeler imunédiateimieinit lifaan'bas-siaidifiuir à BeT.idm eit cte retme'Cure ses passeports or corne Beir.netoaff. MaiLgré «ente ait-iûuJe dniattendiuie diu Goiuveirn'Pimient aife'-imand' et cetBe révocaeioin, sond-niue eit pmo-foiriri'émieji.t regi.iettt.ableis cies ascauirijinues dian-'n«ês pair iliuii à noitre Goiun.eirnieirenit en mn in.oimemit die tension .irriitoque des natations ■^x-sitau'es cintre les deux Couvernienieiutis, ;e |r.r> irfifuPe à crf"'1 te q" les àiuMo.ni;.(?s «lll' -im'-Ti '' u - j..tn.t. "léc.lieuiiemt F nteiffi. .oin' ce areMic à exécution ce qiu'eiiiles noms omit 'diiit auocir lie 'diioii.t de faire. Je ne prendis .pas Siuir .rmoii die • oroi'ire qu'eilles .n'ont aiuiouin égaitid ipouir la vieili.e aimité ^n.t.re l,tJ de»jx pieiuipileis nu.pautr leu.r asisiuiaii.oe soCennierile, nd qu'elles soien.i oréeillcim.emit déterminées à exéouiter d!e çiamig-firvid mn (progiraimirrie navalli iimpritoyalbile qiut aniéia.nit.ira't «fris- nav:ires. aiméricains eit dieis vies de .aitoyens aiméricainsi. • Semis dles faits réeils eit publics 'aoariimriis ip0ir elles pounranemt me le f-aine croire. S: cependaoï't ij sv vérifiait ima,liheuiremr<eimeinil q'ue ima coin.fia.nte enraciiniée en tenir ,pré sence d'.espir-'it et er u®iur h.a.bd.!e .pirudiemoe n'était .pas foiiiiée, si dias navires ou dles vi»s die .snij.eits améirlcains étaient sacrifiés en. vio-Jait'ion id'élr>érée diu dnoiit dlas geins eit de; ions die lr'humanité, je dam.an^lfinarjs au Con-,grès l'autoiriisaitiioin d'emipiloiyea- ,eis in-(oye,nis méoeesa/iiiec poiuir proitégeir les ntairins et 'neis icivils aimiénicaiinis dans la pciurauiite de iaairs enitire.pni'seis pacifiques et 'légitiim'es s/ui lia ha.uite meir. Je ne ipuds faune moins. Je tierns pouir urn far't ffu.e touis Iles gouvieirneiinieniti: me.itires en feront autant. Je ne difeire aucun conflit heliliq.uien.ix (k*> ■tile oomflj'Ct) avec die Gou.veirmeinrwinit alBie-■miaaidi No.u© .soimimes dies amis loiyaux «Ju empile aJilehritanid et désirons sérilieuseimeinit aecôv eir à ta ,paiiK aivec 'ie Gouverneimiant quii s'en est fait tite porte paroille. Nous jie cu ti-ironis .pas qu'il noue, est hostile, excepté sJjj va j'u.?iqu'à noms le fa.iire croire, 'et aimuts (n'aivons aaftnc chose en vue que ita défense illogique d«s diro'its indeourtables d© moitn'e .peuple. Nous ne somimvs ainnmés .d^aucunic imtemtiion égioïste, nous ivoulonis aim,plieimieinil i«s.teir fidèles à nos aniciens prinuiipes, et iproitégeir nôitine dlro-iit à 'ta liberté, à lia justice et à une vie exempt© d'inquiétuidie. Ce eonit >ïr oes prin.cipeis de paix et non dl s •(priniclpeis de guemre. Fas.se le Ciell que nous .nie soyons pas obligés, pair dit» actes d'in jus-tdioe déilribén^s dlc ta part diu Gcirv.ern.eme'nl oi.iletmain.di, id!e les défeiid're. LE POINT DE VUE ALLEMAND Berlin, 5 février. — Le « Beirliner Tuge-blaM » annonce qu'un nombre rie cornes 'Pondamits flt journaux américains on; sollicité hier une *.)tarview de M. Zimmer-mann, secrétaire d'Etat aux Affaires én-ran «■ gères. Ayarat.reçu les joumjlis.es en Cf»es tion, M. Zimnirtrmann l<rw lit la déclara-lion suivante : — Nous ne sommes pns encore e>i pos sessio'n d'une communication offlciedle. La décision An Président Wilson nous a étonnés et déçu-s. Depuis 311e I Entente a repoussé notre proposition de pa-ix, il ne iiious restai., pour la défense de notre existence, aucun anitTC m'oyen jue la guerre •de scus-ma-rlns à outrance. Dans la lutte contre les violations du droit des gens par l'Entente, les Etats-Unis nous oit .eft-sé leur appui. Nous n'avons fait aucune promesse sans conditions de renoncer à la guerre sous-marine à outrance, ei n'avons donc rompu aucune promesseï Noas espérons que le Président WWson préviendra les navires américains de ne pas naviguer dans la zone bloquée. Dans la lutte pour ontne existence, il n'y a plus auoj.n esprit <le xetouir. » » * * Le mnnistre de la guerre, général von Stein, publie, dams le « Lokal Anzciger » Ja déclaration s.uâvante : — La décisio© dans cette puerre «ist encore à Intervenir. Apiès le relus mépri sant de l'offre de pa.ix de notre auguste en.petreuir, décision doit être obtenue par la lutte. C'est pouiquoi il ne faut pas tant 'parler de paix. De tels discours endorment et font que l'esprit inquiet se raccroche toujours air fétu rte paille de la paix. Il n'y a pas de paix sans décision par les armes. Chacun doit bien se pénétrer Je cette iclAe, ceux qui sont au froit't comme ceux qui sonit restés dans le pays, fout ce enre nous a légué 'e travail intellectuel et ma-tfcu'J d.e nos ancêtres, et tout ce que nous y avons ajouté pair ntn"->e propre activité, touvt ce qui est allemand enfin, constitue notre enjeu. Il s'agit du tTavail allemand dans tous les domaines. B'che ru pauvre, grand ou petit, savant ou iguioirant, chacun ma.ntenanit doit combattre pour ce qu'il appelle „on bien. U uit nous rassembler vers un même but. Ce but, c'est ia victoire. A quoi servent les meilleurs préparatifs pour ap' ès la gu.-rre si nous sommes anéantis avant ce moment? C'est pourquoi il *'au't jeter ton nies les forces dans le combat et réserver es vrtée6 de paix. » LE DEPART DES DIPLOMATES Berlin, 5 février. — M. Gérard n'avact eincore reçu 'dunamehe sou- iucuo a s offi-; cieil ô son gouvtinneim>ent. Iil ne quiitteina i d inc pas B'arin aruijoa2d"hui:, miams d'à., s q ©i-q.ULS jours seulement, à ce qu'on diit. U s.ma aoooimpagné d,c tout lie pei-somn©i idle u'aim-. bas&aidie et pairtLra v-.â la Suisse, la Firanoei . et l'Espagne, où il s'iembaiiiquera. Le m-liiistire d^'Espagne ô'eist chargé d)e« , initérêts aiméi'icains en Aiieimia.gae, ta'-idru s q.uie lies intéiêts aillemiaindis aux Etats-Unts ont été confiés à la Suisse. Le comité Beirmis-toirff, a'mbaisSk.d'euir d'Albem»ign© a Watahiiiig-jeun, est parti p»iiir Mex,ico, aocumipagné id'u. 'd'tmiue Tairmoswki, ileqiuel n'étaiit arira.ve quie d©puis queiques jours à Wash Une activité lébiJe a Tégwé ruer d«p.iids le matin à l'ambassade aixiéricame à Ben.-iiiini. Dès samedi, on savait à l'amibassaidl; qui'une dPK.bioin était imminente, mais oin étant ternu d1obseiaveir la plus sitracte dcsonéltioni. M. Gé j-mm* passa niiai ia pins grande <se ia journée chez llud, .jù il reçut sa visone «e j miam,bues influents de 'a colon,ie am.érkan.e à Beillin. > L!jiiit-R£SSîOK i-u nUi....UûiHi: 5 Au sujet die ia ruiptuir© d'HiJornat que entre : Wash ngton et Betl.cn, lie <i Berlaneu Tage-i blï a r-t » Éiaùt : — III est contuaàrie à lia réalité de> diéclateir t oo.mnie ..5 fait le tnùSSàg'e au Congrès de - WaislringK®, que l'A'Hempgne ait retiré so 1-i da moment et tléli.ibé;émiaiiit lies asisiuirances -o-s HeninelHas qu\l-ile ava..t données dans sa Note a.ux Etats Unk.. Si M. Wilsion .irodt que 5 tous ilies gouve men ente neutres s'e.n^a.gie.,0 it i avec lui, dians ta voie qu'il a tracée, al est t proibaihle q.ue les neutres euinopéens me voient pas i©s cth .ses ^oius 't mêmit angle 3, que île Pirési'dient dtes Etats-Un.:s. De même, 3 ils ocinina'tuHu pius exa^tememi» que M. . VV'ilsi *n lia foi. oe <èt ua foitjjitfue de l'Alttemia-3 gne. La « Deutsche Tageszeiitung » écrit : 3 — La auipture 01j4.li01matr.que ,par Les Etats-. U-na's n'arrive pas à 1"improviste et n'anéan-. tijt pas toiuit espoir. Elil© n'a égaleimieiiiit î'aus-i se aiuouin caicuil. Eilile éclalr.cjrt le >atior . et place ta fermeté jt te résoilutioii ernévo-_ cable die l'AllleTuagne, dans uine liuimière qui 6«i1a saluée avec une eatlifactuon grave, ru is non mioinditie po.ur celti ». Le « Vorwarts » : — La mennace die famdnie aitrtteiint tout lé | peuple ail.iemand. Personne ne ip'.iuima idlire, . après ..a feu do cette guerre, la (test .eiirribUie I qua uii jiinraiis existé, que les soildlats, «es ouviiieirs et lies eo-cialistes allemaindis l'omt ' pas fait lemir devoir jusqui'au bout. II Vienne. 4 févmijfr. — Le comte Czernin, milnisitr© d>eis affaires étrangères, a Qu uin ; enitreu.en d une lierre aujouiiia'hiiii aivàe M. " Pcna.eid, ambabS»diear d'Améiiqua. L'IMPRESSION EN SUEDE Stockhi > 1 • tj , 5 févirictr. — Lis jounniaux sont ^ itnanimes i dé cl ai or que la nu.pt unie diipJlo ^ mat.que tinitire les Etats Unris et J'AllIiiem'agne n'est niuilieimeuiit venue à l'imiprovisitie, bien ' qu'elle a«t eu lier plus tôt qu'on mie Savait ( pensé. O.n ne rjfJt voL -nncune 'Clause iiramé-.diaite à la de'imafr.che die M. Wi'lson, tit l'on se trouve en présence d'urne %iagme. I>es .journaux <dle oliacun «Jes partis estiment que la situat-on. géréiaule n'es', pas iTudffiée «it ôérieueomerat tufliiutucée, et i'e ijeu'» avec oa1 une. EN NORVEGE Christiania, 5 féviier. — M. .Vcw.nkél, Biir'ist'i'eiprés'dent, est parti lie 2 février a.puès.midi pour Copemhagu.e, vira 'aOmbl 'ble-œe.nt poi>r y assc&ter à une conférence de bfiiu île p.Sntii que. •— —^ ; li'lilxiitiiiKioEi *laj9oiiai«e 1 On mande de La Haye que .'eux grandes compagnies de navigation japonaises ont éiabli entre le Japon et le Brésil uine nouvelle ligne dont le but principal est d'assurer le transfert de la main-d'oeuvi'e agricole japonaise vers te Brésil. D'après des nouvelles reçues p;ur l'Union des Chambres de Commerce étrangères 2n Angleten ,, le gouvernement japonais aurait l'intention d'envoyer 5,000 ,1 a.ponai® au Brésil pour y travailler dans les exploitations agricoles. D après les apports consuilakes arrivés à La Haye, la Compagnie Osaka-Jusen-Kaïsha a 1 intention d'établir une nouvelle licjne de navigation entre le Japon, les Philippines, les Indes néerlandaises e. tes Straits Settlements, afin de virer plus d'avantages du commerce toujojTs croissant 'entre le Japon et ces pays et d'éviter que le commerce japonais dans «s pays soit cojtt^Mitgjs après la gueir,re, — - riiraiiiMiHm^u mfiwnwi* ■«■"iwriMWMiin niwiwnw HIWHIIIMII ■■ i I '" sCOM M UNIQUES ALLEMAND ■m . .. —*1 Berlin, 3 février. (Officiel.) — Luttes s aériernes de® 1 et 2 février. — Malgré la , température généralement défavorable au : front de l'ouest, l'action des aviateurs al-; lemands a. été vive et couronnée de suc- - cès les 1 et 2 février. r Les adversaires ont perdu en combat . aérien le 1er février, 7 avions; 'e 2 février, ; en combat aérien, 5 avions, ep un wutre par i notre feu de défense. Le lieutenant Bal- » damus a provoqué la descente dans les - flammes d'un biplan Farman dans la ré-î gion de Cernay. Il a vaincu par là son 11° , adversaire. Au cours de la nuit du 31 jan-s vler au 1er lévrier, nous avons lancé 1,075 1 k.logrammes de bombes suir le campement , et le village de Pioyart. Nous avons wn-1 statié plusieurs coups qui avaient perté. Le 1 2 février, des attaques au moyen, de bombes ont u lieu sur des .cantonnements j- a nemis près d:6 Groombeke, la place d'avia- - tion anglaise Pailleul et sur les canton-s nementis de trowpes au nord 'tt, Lorce. t Une escatliille d'éclaireurs -amifinie, qui 1- s'est montrée le léir Jévritr au-dtssus de •- notri! fiont en Flandre, a été dispersée, et avec une perte de trois appareils, re-fO'utléie au delà du front. <\ l'est, un avion t de combat allemaicd avec un 1 ccu.pa.nî i- au co'Uirs des l u rite s. au tour d'Illuxi le 1er a févrieu," a obligé un biplan puisse à une ,- descente puécipfitée sur ia rive est de la a Du.na. 1- Berlin, 5 février 1917. (Communiqué of-e> ::ciel d'hien au soir.) Entre l'An cire et la Somme, grande ac-® tivi.é dte l'artillerie. A part cela, aucun 15 événement parociculier. s Berlin, 5 fevrier. (Officdel de midi.) Théâtre de. la guerre à l'Ouest Front du prince-héritier Bupprecht -! L1 Depuis la rive nord de i Àncie luisuu'à la Somme, se sont déroulés dans quelques secteurs, sous une vigoureuse '"•anonnade ég'akmemt, des combats d'infanterie. Par e .une contire-aittaque, la >lus grande partie u des tranchées à l'est de Beaucourt a été de r.ouveau arrachée aux Anglais - à-cette a occasion, environ 100 prisonniers sont neis-e tés en no a maiins. e 'L'après midi, une riolente attaque anglaise a échoué au roid d-e Beauico'iit. Au couii^ lie i,-. .. .... grandes forces contre no® positions depuis l'es* dé Grandconirt j.u&fj a'au sud de Pys. On a combattu également sur la route de Beaulen.cou.pt vers Gueudecoiurt. e Au sud Je la Somme, des détachements 1- d'attaque ont ramené plus de 'X) Français y et Anglais des lgnes ennemies, e Théâtre de la Guerre à l'Est e Front du fel d m aréc hal-gén érai prince t Léopold de Bavière : t- Sur la Narajowka, de petits ùétache-ie meints russes oni vouju s'avancer vers nos e postes do dlàense, ^jui les onit repoussés pa^ leuir feu. Au front du colonel-général archiduc Jo-1 seph et auprès du groupe d'armée Mackein-sen, la situation, ^auf le feu d'artillerie minime et les engagements d'avant-gaado, ne s'est pas modifiée. _ Front de Macédoine r Rien de nouveau. i AuraiCHiEN s Vienne, 5 février 1917 (Comm.uiiiq.ulé officiel d'hier à midi.) Front de l'Esil le Sur le front des troupes austro-îiongroi- ses, rien d'importanî. ie Front italien is Rien de changé. ut F rouit du Sud-Est Ar sud du lac d'Ochrida, nos 'roupes ont 1. ouvert le feu comtire des détachements d'é-m cla.ireurs ennemis. 1 BULGAfiE Sofia, 4 février 1917 (Communiqué offi-t ciel du 3 février.) > Front ïîïacédo-nieai e Sur tout le front, faibie activité de 3'aT- n tillei.ie. A.ux anvirons de Bitolia et te long t de la Stirouma, fusillades eïiitra avant-pos-tes. Dans la vallée du Vardar, grande ac- n tivité des aviateurs. s Front roumain s Fusillades entre postes établis ces lïeus l! côtés du canal de Saint-Georges. • FRANÇAIS r 11 1* r-g Paris, 4 fétrier 1917. (Communiqué de > 3 h. p. m.) — Entre Oise et 'riwiie, nous ,r avons exécuté un coup tbe main sur les manchées ennemies de la Tégion. de Traey-e le-Val, e» ramené 22 prisonniers. Sur le front de Vca Jun, actioms 'IVrirille-4 rie intermittente dans les tectejrs - du Mort-Homme et de l'ouvrage dHardau-mont.s Aviation. — Nos avions de bombardemeint ont lancé de nombreux projectiles sur les • baraquemcnlts «i ks voies ferrées d'Apil- - 'ly et de Tenginter. Une de nos escadrilles • a bombardé les usines militaires de Thion-ville.1 Paris, L février 1917. (Communiqué de 1 de 11 h. p. m.) — Un coup de main sur les tranchées enmemies dans la région de Moulin-sous-Touvenit, ne us a valu unie dizaine de prisonniers. Aux Eptirgie-y une tentative cRr.iîïiic pour occuper un eotonnoir a échoué sous notre feu. Nous avons exécuté de® tirs efficaces sur »es ouvrages ennemis en divers points du front», no.amitteïit daus le secteur de kt côte 304. ANGLAIS Londres, 3 février. — Prés de Boucha-vesn.es et d Arias, nous avons repoussé deç fmyjlaiii^. Le feu MJtps .Cfc. • ; mons a infligé des partes sensibles à l'en-' neini -n retraite. :s Au nord de l'Ancre, nous avons encore a aihélioré nas positions sur la crête des 11 collines situées près ite Beaumont-Ha.mel. Au nord de la Somme, nous avons ef-"* feciué aujourd'hui d'efficaces bumbarde- maibs. * ITALIEN ' -ni - ir ] (orne, 3 février. — Sur te front du Tren-tin, canonnades habituelles, assez vioten-,s te; dans la vallée de Sugana. 3i:r le col d_ Tonale, puès de Rarcarola, diafis la vallée de l'Astico, à Marmolada t'A,vi'=io), dans la région de To'an.i (Boite) 0 et!dams la vallée1 d'Ir.ferno (Alto f-egano), 1 esc 'am.oitiichss. Nous avons partout repoussé; l'ennemi en lui infligeant des pertes ' sejisibles. 11 Suir te fronî diss Alpes Juliennes, pendant la nuit du 1er février, l'ennemi a concentré un feu violent sur nos lignes établies à l'est de Gorz. L'intervention rapide de . notre artillerie a réduit aussitôt ".w silence le$ batteries autrichiennes. ^ La journée d'hier a été plutôt calme. Le '' feu efficace dirigé pa,r nct-^e artillerie sua: m les versants méridionaux du monte Ger-t m w'la a -provoqué «ne exp'^s;on s i'ïie d'un wic^ndie. R»J£iSE^ îa Pétrogîad. 3 février. — Sur ie fronit en Roumanie, duels d'artillerie. Sur te front à l'Ouest, après un violent bomtoaxdememt, des détachements ennemis c- om passé à l'attaque à l'est de la route in <3e Kalnstec, à l'ouest de Riga. Ne tre feu a enrayé te premier assaut de l'ennemi sai.f sur un po'im.t de notre aile droite, on ine compagnie russe a légèrement fléchi. Nos renforts ont prononcé des contre-atta-à ques, grâce auxquelles tes Allemands ont îS été repousses et notre ligne ~éta»lie. L'en-'e noaai a ensuite renouvelle à deux ie,prises îr S05V attaque.; il a été chaque fois repoug. :le sà iar notre feu. Nos automobiles olintiées. Ite s'avançant jusqu à notre première ligne, te nous ont efficacement aidé à repousser les lS' auaques emnensies. ■a aviat; 'tir allemand a lancé plu sieur-n" bo'nbes sur un train-express qui quittait la • ip d Kreuzhuirg, située au nord-est de K JSLwO'W'v.-i.'r lvs -AlJlO^IUljS i'U.IC |C Vvv.Li. JS sionné de dégâts. ®- Um autre aviateur allemand, survolant k te village de Gogoda, situé à 7 verstes au sud-est d® P<j»tawy, a jeté des tombes ^ deux soldats «fat été tués. ôs PétTcgrâc\, 8 février. — Le 26 janvier, tand.is q.ue l'oa procédait, sur un d^.s quais d'Arkhangej, au déchargement du brise. =e glaces « Tscheljuskin », une explosion suivie d'un incendie, s'est produite ' les "lam e" mes se sont rapidement propagées à 'ton 3's le secteur du quai. L'incendie a occaxiomin^ L's des dégâts aux bâtiments e* aux abords de la gare, ainsi que dans quelques dépôts, hangars et baraquements. Outre le «Tschêl juskin », un remorqueur a éuô détruit ei •e eint, vapeurs ont été endommagés, onl e> trois légèrement. Parmi les 344 blessés, se trouvent -3 officiers et 299 soldats ; 59 personnes son1 grièvement atteintes. '.Le nombre des tués n'est t>as encare établi ; ils sont enviror , unn trentaine. I ëWÀ^GËjRf AMERIQUE NERVOSITÉ A LA BOURSE DE NEW-YOBE nt Le « Petit Parisien » et le « Petit Jour / nal » apprennent qu'à lr Bourse de New york les cours cmt baissé de 3 à 17 points Les grosses banques s'efforceont .'ans ré sultai;. de mettre un frein à la panique. Ai fi- eauus de l'après-midi, 2 millions d'actions ont été jetées suir te narché. j^es DT'ime" d'assurances maritimes n'ont jamais été t- sj élevées. ig ANGLETERRE "s" TOUS LES NAVIRES SONT RETENUS "G" Stockbolrii, " Fv-ier — Le 'ninistre de. A.'fai.es étira gères anron •» que l'Amirauté britantiique a interdit provisolidement à IX tous les navires de sortir des norts an glais. Un se»' b. i°..u à passagers est ex-cerné de cette mesure. *e DANEMARK JS LA GUERRE SOUS-MARINE ,s Copenhague, 2 février. — Dans un arti y. ele de fond consacré à la nouvelle guerre s0as-marine allemande, le « Politikem >1 e. exprime la confiance diu peuple dJinois ,u dan® le gouvernement et espère que ce u. dernier réius6ira, dans a situation critique présente, comme dans les iuuations parfois épineuses du passé, à éviter au ,s Danemark, ta catastrophe d'être entiaî-[j_ né dans la guerre eii'ropéenine. n FRANCE 1- AU CONSEIL DE REVISION Paris, 3 février. (Havas.) — ^pres un 'e discours du général Lyautey, la ''hamb.re a lr adopté par 398-voix contre 85 te projet de 'f loi sur la -Tévi'lon ies ajournés et réfor-niés. Les débats relatifs à et projet de loi avaient! commencé jeudi et, nalgré la ir déclaration d'urgence ©t !e nouvel ordre du e joitfr, ils avaiei,.. traîné en longueur par J" -ïui.-c tVun.e série interminable <i amende-s ment®. HOLLANDE LA PECHE NEERLANDAISE On mande d'Ymuidcn que la 'iottille de 1- pêche ne petit user de l'autorisation du s gouvernement néerlandais de pêcher à i^i'ijiitjéîitjH d'uo» zone côtière de 20 miiles, les assureurs ne voulait! pas en assumer les risques. ARRIVEE DE SIR W AL TER TOWNLEY Amsterdam, 3 février. Sir Walttr Tovvn-ley, nouveau ministre britannique près la ' Cour des Pays-Bas, est arrivé par te va peur « Kopenhagen » ->t e": descendu à l'Hôtel Amate.l où il résidera piotoabtement » quelques jours. RUSSIE A LA LIGUE DU PEUPLE BUSSE D'après le « Rousskoie Slovo <■ la ligue des monarchistes réunde à Moscou a oé-libéré sur H création d'une nouvelle société populaire pour ia défense du Tsar et de la Patrie. On a décidé de fonder à Pé trograd, ainsi qu'en province, on grand nombre d'organisations néo-monarchistes ' qui remplaceront les sections inactives de ^ la Ligue du PeuDit russe. ' LE NOUVEAU CHEF D'ETAT-MAJOR ' Londres, 2 février. — On mancle de Pé-trwgrad au « Times » que, d'api ès une coiiimunicatitw. officielle, le généial Goar-t ko, îhef-adjo:.nt du girand étal-rnajoir, s'est rendu à Tsarskoié Selo afin de -emettre au Tsar son rapport sur les opérations -nili-taires.Ceci est la première nouvelle officielle anmonçamit que te général Gourko succède e provisoirement au général AlcKeieff à la tète du grand état-major russe. DANS LE CABINET ^ le « Russkoie Wjedemosti » paraissant à Moscou, annonce la probabilité de la démission du nouveau ministre-'résident russe, M. Golitzin. Celle-ci aurait lieu avani 3 la réouverture de la Douma et trouverait sa cause dans les dissentiments persistants fc entre Protocopoi et lui. s Or. envisage, comme successeur éventuel, e la candiidature du comte Bobrinski, ancien u. ministre de l'Agriculture. D'autres parlent i de Sjisjeglobitof, <e .piésidemt du Conseil 1 d'Etat, comme du candidat réunissant . éveintuellement 'e plus de chances d'être i- assuré du pouvoir. t SUEDE LE MANQUE DE COMBUSTIBLE s On mande de Stockholm, que par suite du manque de combustible, te gouverne-> ment suédois a recommandé la » ius gra/v '' de économie dams 'la consommation du : charbon et de l'huile. t DÉPÊCHES DIVERSES e L'AiLEMSGME ET Î.ES ETATS SCANDINAVES e On mande de Berlin que la .~uède est u entrée en négociations avec l'Allemagne à ; propos de sa guerre sous-marine, les deux autres Etats scandinaves feront de mê--, me. Jusqu ici chacun des trois Etats agit s isolément i- D'après des reniseignemenis d.e source b'Cn informée, il est probable que ces né-1- gociiations ont pour but d'assurer aux rt Etats Scandinave® les mêmes facilités qui é ont été accordées à la naviga ion améri-e cairne. i, LA NAVIGATION ENTRE 1 L'ANGLETERRE ET LA HOLLANDE •t On mande d Ymuiden que le vapeur néer-rt landais « Ystroom » a poursuivi vendredi soir soin voyage vers Londres, après qu'il '- eut reçu an nouivel êquiioage d'Amsterdam, t, Le vapeur anglais « Amsterdam, » destiné s à Leith, a jeté l'amere dams 1 rade, aptès n avoir quitté ie port. OPTIMISME D'UN ARMATEUR HOLLANDAIS Le correspondant de 1' « Alge,neen Han-delsblad » à Rotterdam a eu v.n entretiien avec uin armateur qtii lui a déclaré qu'il était très optimiste en ce qui regarde la navigation, et il a ajot-.é qu'il croit que g les naviies néerlandais pourront prendre r. de nouveau la rov«e de haute mer, la se-T. maine . rochaine. i. EN PERSE i- Constantinople, 4 février. — L Agence u MilH apprena de Bagdad que des troubles s O'nt éclaté dans la province persau.j de s Fars. é Les troupes anglo-indiennes ont dû se retirer. Sur la côte sud-est de la mer Caspienne, dans la région d'Actiria, des 00m-a bats ont eu lieu entre Turkmènes et Rue- 0 ses. 1 AUX BALKANS 1- TURQUIE Remaniement ministériel Constantinople, 5 février. (Mill\) — Le grand-vizii, Halil Pacha, a oTiort sa àe-mission au Sultan pot.11 motif de santé. Le e Sultan a accepté cette dém s si on et a " chargé Tataat Bey, mii.nistre ds l'I.nté'ieur 5 de -ecoastituer le Caburet. T'abat Bey a e accepté cette mission., et k nouveau Ca- l)ini»t est constitué comme su 1* : s Talaat Bey, grand-vizir, Intérieur et, J p" 7v i soi re ment, Finances; M-esso K:enzin Effendi, Che.ik al Islam et Wakouffs ; Nes-siny Bey, Affal.es éiTangères ; Walil Bey, Justice et présidence du Gonseil d Etat ; Enver Pacha, Gneure; Djemal Parha, Ma-1 rime; Choukir; Bey, Ins.ruction publique ci, j provisoirement, Postes et Tél.; Cherig Bey, » député de Césarée, Commerce ^ Aigir-'cul-. turc ; Air Muse.it Bey, gouverneur Au Li-s ban^ Travaux publies. j Le Sultan » conféré à Talaat Bey les ti-1 très de grand-vizir cil de Pacha. r Le nouveau Cabinet Talaa-J Bey rencon-. tre l'approbation générale. Le nouveau ministère, qui comprend plusieurs membres de l'ancien Jabmeï, continuera la polkique suivte jusqu ici, notamment la continuation de la guerre aux cô-5 nés des alliés de ta Turquie et jusqu'à J la victoire finale. Lorsque le cortège du 1 grand-viziT s'es* rendu à la Grande-Porte, il fut ovatiominé p.ar ia foule, ~ LE TEMPS QU'IL FAIT 37* jour de l'année 1917, reste 328 l'ours N. L. le21 févr P.Q. le 23 févr P.L. le 7 févr. D Q. le 15 févr. Baromètre de la veille, à midi 5 Température de la veille d Maxiira moins 6 centigrades—Minima moins 15centigrades Prévision pour le lendemain : Froid-Sec > La tête du jour : Saint-Am^nd ® La tête du lendemain : Saint-Ror.uald 3 LA GUERRE SOUS-MARINE t ™ j — Amsterdam, 4 février. — Relativement aui télégramme Reu.ter de Washington, une dépêche du consul américain de Ply-, mouxh est arrivée, disant que ie vapeur I américain « Hansatanic » a été averti avant ! sa destruction par uin sous marin allemand et qu'on lui a donné l'occasion de sauver l'équipage. Lloyds annonce que te t capitaine et l'équipage du « Hansatanic » i auraient débarqué. t — l Les intérêts néerlandais après la guerre i 3 En juillet 1916 déjà, un groupe de commerçants 'néerlandais s'étaient conioenlés • en vue de créer iin oirganisme dont le but 1 serait de favoriser les intéiêts néerla,n-f dais après la gueare dans les pays voisins. ' Cet organisme, dont 1e siège devait être 1 éiabli à I.a Haye, créerait des ^ous-comités 3 eii Belgique, en Allemagne et en Angleterre ; ceux-ci devraient se documenter sur les possibilités de trotuver des débouchés pour tes produits agricoles et indirstiriels e de la Hollande et de ses colonies, ainsi que sur jeites d'introduire la ina'.nd'œu-vre hollandaise dans les régions où celle-j ci viand-ait évenrttellement à .nanquer. iL'appel lancé par les initiateurs a reu-- contré um accueil irès favorable dans les milieux commerciaux <rt Industriels néerlandais. Il s'est tenitj^en effet, mardi dernier, à I.a Haye, une réumion de personnalités qui se iûnt déclarés prêtes à faire 1 partie du Comité cemtral die l'organisation ' projetée. M. F. Fokkers, §lu président par A acclamation, a dit à cette réunion qu'il x ©s. occupé à former des sous-comités en " Hollande et qu'il s'est déjà mi'S en ra.p-■* port avec les consulats des Pays-Bas en Belgique, afin de solliciter l'euir ? ppui pour e la constitution des sous-comité s en Belgi-" que. x M. Fokker a donné également lecture d'une lettre du ministre des Affaires étran-gères qui lui donne l'assurance de l'intérêt qu'il porte à l'entreprise en formation et exprime la conviction que les consuls deo " Pays-Bas contribueronii à sa :éussite. En 7 suite, la réunion a décidé d'élaborer le? 1 sativfcs de la nouvelle société et de solli-' citer l'octroi à cette dernière t'e la pei- • sonnalité civile. ^ Le C o m i té- dire ete ur a été constitué com-s me suit : M. F. Fokkw, président ; M. van der Mandere, secrétaire ; M. van Leeur wen, trésorier. Membres effectifs et hono-® raires : M. H.-C. Dresselhays, membre de la deuxième Chambre ; M. Bielefeld, ° président du Comité international « Aide à la Belgique » ; Amth. Fol mer/ M. Joih. a C. Hoos, Me H.-W. Methorst', tlirecteur e du bureau central de statistique, «t MM. e de Munninck, Oving, J. de Stearke et Ver-scho osr. ^ Aimons te» bêtes. Un dto nos poèfcs — il y cm a ffiif'iiwa-'niiie «fe grao i «ailenit tliez noue et je saie vous ta<i uiiiwc em r» tous le Bonumamt pas — vin de nos poè-p tes donc s'oa wnaàt hier matin ■d'avoir «té Itudt-ç, rr"*'iLo — poèies oat \Ju temps du reste — faire bis petites jm,.ilultiee au rmvguom a'alumontut'on do " ea connimmno. Il no rapportait pas ocs pirovis'or.B a en masse, vous pena>z bien, los poè tes sont d'har biuvuc à court dt pécuoe et <ï'aum<e patt magar a siinB «'aOianennatk)» ne iîislii'il>uein.t pas d® irai.ions a- p4vntagn-uélii<jues. Oe^Jnclaot, motiio poète mayorn-ina.i; Wamo, ou. vencvit cfe mi oonmer, rareté pamiii t ies raretés, dla ruert-; pas beaucomp, ill est vrai» ^ roais du siu.rc <fiia.nd même, ai irar avence M soior geaa au goût dCHdonx «»a'«nmiti, après wor, 5" te. toiiéat me wliliituoniiée d'un pou de café et o»tt« r> fois eorugniumbot sucrée. Voiii qu'au, ootour d'Uine j rue ill rencontra rcn clieval, iitn vœux chevai touft t- loitrou «.'aller par Kos ol.iimins et ma.ig.Tei, fiaoKota-, bit et ta-©te comme fou Roesiawmte, <)ui ottenidlait ;t «Wino le 'roi-d <j™i pcnçse't, sans aine mn'gre coiu-l_ veAuiiv foui' piotéger ecs pauvics lianes où per-i ça«-.i}t wks os. attclié &. um kwimdi toiiilxiiicaii. Voaii, fe. cheval faisait piwé à voir- Les poètee sosit tk braves bougnes- Ije nôtio s'aurôta, tira son pa<juet de eame, tit « Ticno, mon vieu-x » et îégnla l» vioux ehnvall. Voua voyez la fè.e. Un moi\-eam à i)Q - foie, 'le pa<iœm y passa. Ii poèie iicst» ioteirdwt «fa cette constatation, puis iâ eai«ç<ia les naseaux <B» i» la bête et p£r.lt:t en Âiïwnt : « Bah 1 ça 4uà a goôtéi j. c'est Jk. iï»T'iiK'ipœl ». Oe <ptii m'a fâché, e'œt r^i'uine -rôeBlte oîame, toute 6è(iie, s'éiait amrêiio à regiaivlisr te jeo', eiruit Jevotr, entee ses dtots, manniotiter ; < C'est 1 dégoûtant I » f Moi je ce trouve p.ae ; atnssi iinn;-ie remer ta ■, main à mon poète, car il ne eaut fias flue je l'ai vu, — . . PIUB, \lar«!ifi^V. Ϋ,. «98S (Edition P. t. 6.) ^ s®» DIX CENTIMES LE NUMERO (AU<i£URD'HU. QUATRE PAGES) * : , -, W**- ~ ^ ^ III II. Il m m m I—lin I pi mwmrnmm—i m m i rrr-Trir-nr ' - 1 '■L'"

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le messager de Bruxelles gehört zu der Kategorie Financieel-economische pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1946.

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