Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1918, 22 Dezember. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 20 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/cj87h1fn22/
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GfiftANCHE sa Dêeeffföire te*e fcwfcn'** LHJNION DAMS UUCTIOW VTNGT-QUATR1EMÊ ANNfcE Insfaurare omnia fr -Ckrfafy Redaction et Administration: 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles 10 emtlmwe la numero ABONNEMENTS pssqpTmi 31 «nar» 1919 Dhtctmr t €R TYT?1T jjiiipiMl ••9 Le cdté sodal de faffaire 4 première vae la politique économique dont ii nous est donné de contempler l'avèoement parait une étrange aventure. M. lc ministre Jaspar l'a vivenient défendue contre le reproche que, de toutes parts, on lui adresee, cerüfiant qu'elle n'est l'oeuvre »i de théoriciens, constructeurs de sysièmes, ni de fonctionnaires. Ce sont les industriels, artól dK, qui l'exigent. Nous ne savons ce qu'il entend au juste par « les industriels »; mals force nous est de ne point attribuer a ime hallucinatton les protestations et les dameurs que l'annonce du nouveau système provoque dans l'industrie. Quoiqu'il en soit, ce régime est pour Tinslant une theorie et ses plus ardents défenaeurs sont bien forces, avant de vanter rexcellence des résultats qu'ils en espèrent, d'aitendre qu'ils se soient produits. Par contre, ceux qu'elle irrite et consterne ne manquent pas de raisons. Le nouveau régime économique va certainement supprüner une foule d'mtermédiaires qui ne sont pas nécessairement des parasites, a commencer par les specialistes de l'importa&on et de Texportation, les réprésentants de commerce, les fabricants d'extraits et d'essences nécessaires a la manufacture. H va, ainsi, augmenter d'un contingent ioorme la dasse — car c'en est une — des 4éclassés. n rend praüquement impossible l'exercice avantageux des industries oü le choix des foörnisseurs, conserve jalousement secret, jone on róle essentiel. Il complique étonnamment, sril ne te supprime méme point, le retour des marchandises défectueuses. fi va supprimer tout le système des dépo- sitaires, si usités en Belgique, et qui permet- feaii a notre commerce de vivre au moyen -dos stocks — c'est-a-dire des capitaux — i étrangers. Il rend impossible les industries fondéeS ' sur un secret de fabrication, et Ton sait qa'elles sont nombreuses. Il n'est pas un industrie! dans ce cas qui consente a publier, mieux encore a livrer a des concurrents, la liste des^matières premières qui lui sont nécessaires. * "Ne parions même point des incottvénients fénéraux mm régime de contrainte, inconvénients qui sont énormes surtout dans un pays aty Tesprit public est .immuablement réfractaire a la coercition, a requisition et :è nmmixtion d'autrui dans les affaires per- ' sonnelles. Economiquement, le nouveau régime » économique »- parait extrêmement péril* leux, sinon impraticable et cela dans un moment ou il faudrait plus que jamais écarter tout peril et se preserver de toute ntöpie. Cest pourquoi il convient de se demander si le caractère économique dont il est revêtu est autre chose qu'un simple prótexte et si le système du groupement patronal qu'il institue comme un moyen n'est pas tout simple* ment un but. Le doote qui s'empare de Tesprit a ce sujet est renforcé d'abord et, peut-être, éclairci ensuite, quand on scrute attentivement l'économie du système. Si le groupe. ment devenait l'unité économique, on pourrait croire a un changement de régime. Or, il n'en est rien. Maintenant comme avant, i nous voyons a un bout de la ligne Tindustrielindividu qui commande et, al'autre bout, i'mdustrielindividu qui fournit. Entre eux vient simplement se placer toute une hiërarchie de groupements dont ils sont tenus de faire partie: groupes locaux, federations nationales et commission internationale. ! Economiquement, ces groupements sont saus intérêt propre et les inconvénients du système dont ils sont les consequences Temportent de loin sur les prétendus avantages qu'on en attend. Et cependant on y a recours, le plus délibérément du monde. La nouvelle combinaison prétendüment économique nous vient, peuten croire,des gouvernements de France, d'^ngleterre et des Ejtats-Unis, dont les hommes d'Etat sont loin dê'tre des aveugles ou des sots. Si le regime qu'ils imposent est, economiquement, inutile, il acquiert une importance extrêmement considerable sur le terrain social. Cest, tout bonnement, le syndicat patrooal total, sans exception et obligatoire sous peine de mort — de mort industrielle, s'entend. Inutilité ou, tout au moins, aventure économique et realisation immediate et de première importance dans le domaine social, voiïa, brutalement, ce qu'est le régime nouveau. Y a-t-Ü la une simple coincidence? Cette coincidence serait d'autant plus re«narquabie« quo ce régime nous vient des pays preserves pendant la guerre des exces des masses prolétaires. Leurs gouvernements ontils prévu que la concentration ouvrière se préparait chez eux ~ comme il est indéniable qu'elle se préparé — önt-ils songé aux dangers sociaux et même économiques d'une situation mettant en presence, sinon aux prises, la masse ouvrière syhdiquée et les industriels isolés et n'ont-ils pas songé è, , placer devant le groupement ouvrier le groupement patronal? N'ont-ils pas pensé qu'il fallait le faire d'urgence, en quelques | instants, sans s'adresser a la persuasion. ; N'ont-ils pas pensé que l'initiative personüelle des industriels, inspirée surtout par f esprit de concurrence, loin d'aboutir a un syndicalisme qui ne serait pas une association plus ou moins limitée de capitaux, lui . serait plutót hostile? Et n'ont-ils pas decide, alors, d'user d'ur- Igenco, de la puissance qu'ils détiennent ea cc moment grace a leur controle sur l'im- Dortaiion, Importation et les transports, >r' i m pour réaliser d'un coup la concentration integrale des industriels? On avouera que s'il faut expliquer tout cela par une coincidence, elle est prodigieusement opportune. L'inspiration du fait est, du reste, d'intérêt platonique devant le fait lui-même.Nous voièi, brusquement, arrivés au syndicat patronal, calque exactement sur le syndicat ouvrier, avec federations nationales et bureau international. Oh! nous savons bien que cela ne concerne que Jes questions d'achat et de repartition des matières premières et du materiel! mais peut-on croire raisonnablement que les patrons, disposant a présent de tous les organismes d'action commune,en oublieront l'existence et la force au jour ou la « classe ouvrière », sorfcant des revendications legitimes, serait tentée de s'adonner au grand chambardement dont ses organes, voire ses ministres, nous annoncent l'avènement, si on ne lui accorde tout ce qu'elle exige? Socialement, étant donné l'existence du groupement ouvrier, l'existence du groupement patronal est un bien. Du cóté socialiste on ne s[est pas gêne, ces jours-cij pour sonner, plus ou moins en sourdine, le braniebas de combat. Cest tout-a-fait facheux. Mais on se defend mieux contre de telles menaces avec des réalités qu'avec des senfiments. Le groupement patronal est, maintenant, une réalité. L'équilibre des armes est rétabli. Cest la meilleure des garanties de paix. Désormais, la luttè entre rindustriel et l'ouvriér ne peut plus aböutir qu'a un immense cataclysme. Dans un pays de bon sens, cette consideration suffira a l'écarter. Politiquement, dönc éfce dSfificite de leur opposer de ia résfetenice, ipitóstpie nous ne eöeposons tpe de faüMes fauces. * «M»''"'•■■■ ... Nouvelles de Fétranger o FRANCE. — Le Maréchal Jofire a été recu jeudi a l'Académie francaise et y a prononcé un discours tres applaudi auquel a répondu M. Jean Richepin. Le Président dé la République et le Président Wilson assistaient a la séanCe de i'Académie. SIAM. — Une information oüioielle de Bangkok dit que bien que le Siam ait des raisons de se plaindre de l'attitude fortement germanophile du ministre des Pays-Bas, il &'a pas demandé le rappel de celui-ci; Le M passé en revue, l Tirlemont, des troupes fraocaises et belges Vendredi, le Roi a passé en revue a Tirlemont, la 77° division d'infanterie francaise a laquelle s'étaient joints le lerregiment de carabiniers et le 3e groupe du 6eregiment d'artillerie belges. La division a laquelle ilflt eet honneur a pris une part glorieuse a l'offensive des Flandres et porte sur sesfanions les noms d'HoQglede, de la Lys et de Deynze.?|Z*f Le Roi est arrive a cheyal a l'entrée-de la ville. Le prince Leopold et le general Degouttes, commandant la 6earmee francaise, l'aecompagnaient. Après avoir été salué par le general Serigny, commandant la division, il s'avanca par les rues étroites qui mènent a la grand'place, süivi par un' état-major nombreux. Sur tout le parcours, l'infanterie formait la haie. L'artillerie était massée dans les rues adjacentes. Toutes les maisons étaient pavoisées et décorées de guirlandes. Des arcs de feuillage ornés de grandes inscriptions : « Vive le Roi », « Gloire aux vainqueurs » étaient dresses. La foule se pressait derrière les troupes sur les trottoirs étroits ainsi qu'a toutes les fenêtres et poussait des acclamations. Au milieu d'une ovation enthousiaste, le cortege s'arrêta sur la Grand'Place autour de laquelle les carabiniers belges et les chasseurs a pied francais formaient le carré. Tres dégagée, dominee par la haute tour d'une belle église ogivale, dont toutes les clóches sonnaient, cette place constituait pour la cérémonie un magnifique decor. Toute la population se pressait aux fenêtres et derrière les troupes. Partout on agitait des mouchoirs. Le Roi étant descendu de cheval, remit alors des decorations a un certain nombre de militaires belges et francais. Parmi eux se trouvaient quelques-unsdes généraux qui, au cours de l'offensive des Flandres, commandaient les grandes unites francaises ; le general Massonet, commandant le 7e corps d'armée, le general Penot commandant le 30e corps d'armée, les généraux de Roig, Chabord et Babolon, commandants les 5e , IE6et 416divisions. ga Majesté leur adressa ses éioges, en quelques mots. Ces éioges iront aux troupes en même temps qu'aux chefs qui les ont conduites^ ces troupésr-qui, du, 14 octobre au ïl^öovembre, ~ont repousse l'ennemi de Rooiers a l'Escaut.^ Le défilé commenca ensuite, Dêbouchant des rues éirqpis, les troupes traversent la Grand'Place au centre de laquelle se trouve le Roi. Derrière le general Sorigny ,qui avait reclame l'honneur d'etre a leur tête pour cette cérémonie, se sont d'abord les carabiniers en longue capote khaki,les carabiniers delTser et d'Houthulst. Lorsque s'incline leur drapeau aux coulëürs passées, une acclamation jaillit de toutes parts.Puis, souple, rapide, en vestes bleu-sombre, apparaït le 14* groupe de chasseurs alpins. Ce sont les 55e , 60° et 61ebataillons de chasseurs a pied qui, le 14 octobre, ont enlevé la fameuse crèie d'Hoogiede et qui,les 22 et 23 octobre, ont frahchi la Lys-de vive force. Derriere eux en costume bleu-horizon, coiffés du béret noir, les hommes des 97° et 159° regiments d'infanterie alpins. Masses en colonne par huit, les bataillons se succèdent. L'artillerie les suit, pieces accolées : l'artillerie beige 75 et 155 lourds. A peine le general Sorigny a-t-il salué du sabre le Roi* qu'une grande clameur jaillit. La foulë envahit la place et malgré tous les efforts du service d'ordre, entoure le Roi, le porte littéralement a sa . voiture dans un mouvement d'enthousiasme débordant. Pendant ce tëinjïs, les Alpins se rendent dans leurs cantonnemènts en passant par les rues pittorèsquf» de la ville. «e» " 1 propos do passage des Bocnes par la flollaade .©- Un de nos amis habitant Turnhout nous donne le curieux détail que voici: Jusqu'ici il n'a été question dans les communiqués belges et hollandais que du passage des boches par le Iimbourg. Or, plusieurs milliers d'Allemands ont emprunté la voie de Turnhout-Baarle - Nassau-Tilbourg pour rentrer chez eux. La population de Turnhout a été témoin de eet exode qui s'est opére de nuit comme de jour. Les Hollandais ont eu bien des complaisances pour les boches! *««» bes Hoogmis sont üawés Mfo ^iahïsoö pdes ^oamains On ofegoifó d» Hoogrie des iodicafeion® intéTTessaiDtes dontoéee par 'h, préëae nuagyaire su» la eètmatkm en Tramyibvande resultant des/ déoiskms de V Assemblee natajaniailb temu-e a Alba Jdlba. ' Le go flfRQ&J^ Bttu^^sai^. TARIF OESJNNONCES Annoncescommerc, petite ligne fr. 0.50 Reclames avant les annonces, la ligne fr. 2.00 Faitsdhrers . • • • . 5.00 et 4.00 Sports. ....... .fr. 2.00 Reparations judiciaires ...»3.00 Necrologies ....... i 3.00 Nos petite* annonces, paralssant simnltanément daas le « XX* Siècle » •t le « Journal de Bruxelles » an tarif reduit del FRANC, lee 3 ligne», chaque ligne supplementaire 40 centimes. i Payement par anticipation. H pi r limin rBlrospeeti¥B La róponae de rtrnlvsrsité de Liége au manifeste de l'Allemagne Intellectualis au monde clvlllsé. On nous éontó : Le Comseüt laoadémiquie' de I^Uni^etc^iitié de Ldiegie saisit lï'oocasèon die sa preano/èn© rén> ' nioin d'apiuöjs que Jia ifiibertté de piaflrlófe imd est resnd'Uie, pour< £aire (entendre one pTo^eSifaaüi on qiuj'ifl lm pèse idb t^ebemiir diep'ufe p5!u© ëe' quiafere années. Le 4 octobre 1914, Sa «Gezette die Coi«i> grue» puibüfeaifc, sous Èe tóttrie de : «Das Geaistiige DieuitscMiand aan óüe Kuflifeurwieflifc», 3b om* ruïfleste desarniais famemx ou qnatrie-vingttnettae tsavianibs, écrivaiiDs et öffstósbes, ooUr vonaiemifc de 3enr hoameur perBonneli les orimes die l'arméo aüilemandé Oe 'cBaemmient soïulliöva chez te< pvofee&eoni de ft'pinfflveöisïfcé de Liiégie ia pAufe yswe kwKgmattiiosi. Au momenit oü ües sigmafcaiTies dtui ma«n^> f eate, -aui mópós die toutbe mêbhode soietoJtÊfic?uie, afnxnmiieniti, föans av-oir pirS» la peónie da s'irrfarmer, des Éait® dooft ite ne poawaéenÉ viétrifiier I'eHaofatuidejinoiuis avionis, noms, sfons te yeux, Èes ptreiuivies édtatfioifaes Be ftsaÉ mienisange. S2j9 affiraöaffieiriJfi quia «r anaMe tefc mitle Dod», csü maiügré tonB 'fes avietftiiöeniieinitiSjia population belige avtaófc itóré tnaitrieusement sur Ses troupes aiSfeanande© *. Noriö & vu, aji aofiiurojtre, que diansi n/osn'bïfe de \7&HBagieis du pay® de Bervie, ai Moiiiand, a Bennteau, a Barohon, a Ba hat gesabofi9eni» servad4> sÜibpLenuenit dfe prétexte a iLa fépocfcfeé d"es soliiats. Piusdieniffs d'teotove onus a\nadent paitaeizH «neut, scdierfltiFfiquemenfc chearché des fraocfif'* tpneuirs et pexsfonime n/ein avait troiuvé uo laeuL Au oonitriak>e }nous avions cossföafcé « mnffiBe et nwfllb© fois » qxne les incenidies et Öeis inBassajcHes aviaileut été prepares e& executes par ordrei, a des endtaotsts erb a des lieurea fixés; asoiuis sawoais cgoè des soldat» qüömiande -awaiernt tójré au naament vouïu pon»» aoouser la po-putLation beige. • C'osfe oun de mbus, M. Se pitofegseur Mien> rüoe, qiuQ siubèt, commse boiutgpnfiBfoe de Viséy fte plliisa od&eux et ie pBus ata-ooe des raarty1-ïJes, pom: avonir répondu de JfaanOcaace de ses adknnjniijstirj&st, qtuiaiidt fes irpempGs a^Oensaindjas, afntes luuéb jowb óVo>ooupe&cra, organasèpent ra^iodTsejaesnemfe 2e pÉa-ge, le sac et (FïDaeakffiie de 3ia ofaaMnianifee petónbé v*Ê$&, die nai&SBaore dte 42 citoy>etr^ et^a (Mpoa^batküns de 660 auto-es N50US tö^avioïEs pafi? beSofiu du témoigntage — amréctiasBfciè et oaafirmé d'aalïeurs — cfo öds .ooflfllègue» dfe Louwaa» pour metfare esr] deflects qrtiefies toaupids la&feanandiös eaB&eré r« bomba-rdé a coü^ö^ereceuijr^ nteé^ga*ae d-e 5a vdlCle pour ëxekber ' des . jsepiiëj^Éles. oonim wae popuïaliion-^frè^iacfue o^^Ssë.'aèhaqiEai* .fraïtne»»éoné!nt dans Keurs üögeanéniB' ». j Nohbs «jvofon© vat «öidfeour deis looaux nmaivse^sitasrea du cenifare de Liége comnient se prepare uoe édiauffourée qui lamène dtes mas» saores et de» iucendii es de ptedietRK rues. C'est de notee paTsais aoadéniaq«e qnfuaji* troüpe alemamdè affoïée tua 17 habitei^g iannocentei de Ja p'iace de ens5té, efe c'iesé 5è. qti'on vü't des AMemsaods repousser dans 'Tes flamanes des mallbeureux qui se tsauviadenit. Lee «"cènfes qui se piassèrent les 20 eb 21 aoüt 1914 a lTInötótuifc Zoologiqmie et è. ii^Inettitufc dPAnatomie, on fun de nous, M. Ie Pro£esseur Damas et son personarel couwineafc dix fioufe fei danger d^être fiusiHiés, nous édifièrent compflètemeiiife sur Jes ptrocédéa terroristesi de f lawstóe al'Iiennande. Atössb, quand nous I-i^ans dans fis miamfeste^ q«ie £es sold'ats a38&ands n'avaiené jam>aas paufbé esi frappées de peine» coi3eotdfves, nos usdmes diépouülil'ées de leurs miachones, les requisitions défpiasisant (Bes besoin® dte la gueaine pour appaufvtrdr un conourjvenfc; ooufe n'avious q-uja| montiner nos propre® pfliaies, Ja facon dont. ee reapeotaait 'ia paxvpróété privée des afcaMissemeints coinaaorés a 3ta soieiuoe : nos Jfetboratodffes de physiquie, de chimie, de méteEur-fijie dévastléiS', cos hdpitaux, nos daniquea désoirigpjQiiBéB etf* diÜJapidés, ies vo3s opéré» dans notre bibËotihèquie et damis nos coileotöons. Quand 00 nous dasiait, enfin, que « Ïöbi so§> dat® aöecóandfei sont étnanger© a tout» oruiauit2é conibnailre a-la dasoipflSine », nous n'aVBons qu^a pairooaffar nota'© piays a quel que» kallomèferes de distance pour dénonnoror les tombes dfenffianifcs', de fiemmes, de vajeiferds exébuibée comme francs-tbreuire, ou écoutber 3b récat des suppitóees iufligés aux yiotfemes avant leur mort. Et qnii'on n'iaüVocfue point ^excuse) de (Fivresse dteïa victoire lbrs de '? invasion. Sa ces abflooités ont cessé pendant l?cK3cuipataon propi€aBaenit date, c'est patfQé vque le terroiisiDie a'étaèfc pttusi' jugé nécessaire. Mais nous avons rettóuvé Ea. mêrne oruauté et & méme pervexsité dans tes 1*aiateimJents ajipBqués aux prisonniers owilte;' dans oe cramw a jamaas iatoufoÜiabSle de lia deportation en masse des ouvdlers et, tout, réoemment encore, to© explosions retaadées et les exces sans nombre commas lors de la retiraaito des armétes. Fa«ix dans Sés raits, iajurïieux dans Is&| forme, f e mianilEeste nous blessaat pa^óuiièremciDt dans sa. maniere de raisonnier. La vioi'ataon db ia neiutitaüaité de 3*a Belgique était presentee comme condition de Texatstence de FAMle^nagaie, contre toute vérite, coaDfor© toute vïaasemblanoe, — «^6 coman© une operation avTantagseuse au poin^t de vue ©twatógique, alors qu'il s^&gksaJSB d'oblogation jua^dique et d'obsewotooin , de l'a paooie donaiae. Le miitmtaansme prussaeo était en outre in*« Voqu» comme $e soutien de lts. ou&bure alaiomaaide, comme ei Ie génie, Ia science et l'^fiü dépendaient du nomore de canon® et de regiments. Les quiatre-^ngfb-treize sagnataires du m*nifeste ot«*j «mifa leur honat^ur cu jeu : « Notts conduiffons oette gusawe on peaspSe- civilÉsé, disenfb4ftö. Notare nom et notre hünöeujs ent sont

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