Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 06 März. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 16 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/pn8x922n07/
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I | 22 ANNÉF. — Série nouvelle.—N* 45 M ■BÉD VCTION&ADMINIST Il UT rus de la Bonrse — IE H Téléphone: Le Havre I Docteur : FERU» ï communications H l(} réduction doivent être B ftbu,}Tue de la Bourse,Le H LONDON OFFIC A4 Onntnn Strfifit. LEXXeSIÈCLE ABONNEMENTS I France 2 Tr. 50 oaf moi6. » 7 fi*. 53 pir tri-n cstr An&latôrre.... 2 su. 8 d. par mais. » 7 Jh. 3 J. par tri rj09tP Autres pays.. 3 fr. » par mois. » . 9 fr. » par trimestr PUBLICITÉ I S'adresser â l'Administration du journa au Havre ou à Londres Ann3no83 4* pi"jô: 0 f c. 4) la ll^ne Petites annonces** pags: 0fp.30lallgr Les petites annonces sont égaleme) reçues à la Société Européenne ds Publ c.ité. io. rue delà. Vicluin-. Paris, oui t - ... m m fl m L' Allemagne et le fer " i Dès 1814, la Prusse commença à c< tre ia richesse du bassin de la Sarre. Le domaine minier de SarrebrucK f cheié par l'Liat prussien qui reciaim sitôt la remise du travail des ingei français et en particulier du précieux de nivellement que Duhamel et Ca. avaient dresse, de 1807 à, 1811, et qui tituait la seule carte geographuji bassin. Comme le dit M. Fernund rand dans son remarquable ouvrage, frontières lorraines et ia force allema le travail des ingénieurs français p< tait> à la Prusse l'exploitation du ! de la Sarre et de ses mines fiscales. Vers le milieu du XIX0 siècle, la 1 fut tourmentée de grandes ambitio suivant îe mot d'un de .ses hommes ques, voulut tenir l'emploi de « p violon dans le. concert européen ». développait ses usines, perfectionna outillage et assurait à son pays la par le ier. Le triomphe de 1870 ne calma pa deur conquérante de l'Allemagne. E songea point à inaugurer une ère d (féconde. Pour être, elle devait être 1 forte des nations ; la seule paix pouvait consentir au monde était paix armée, moyen d'intimidation meurtrier mais plus coûteux que la j Il fallait ainsi à l'Allemagne bez de fer pour arriver à ses fins ; elle i pas assez de fe»r chez elle. Elle y n en 1871. La formation ferrugineuse de la M et de la Moselle était constituée pa sorties de minerais : les « fers forts > « minettes ». Les premiers étaient de coun les moins nombreux et, par bo la métallurgie les tenait pour seuls ! tables. |En 1871, quand l'Allemagne fixa s velle frontière, elle eut pour préoccu de s'annexer la partie de ce domai: nier qu'elle croyait la meilleure ; c1 qui expjique le tracé bizarre de cetti Mère. « Une frontière, dit M. Engeraa destinée à mettre chaque peuple che elle doit ôtre fermée, autant que pc par un obstacle naturel et qui soit à, une indication tangible et une défen: dans sa majeure partie, du sud-ou Luxembourg aux Vosges, la frontièr yelle mettait l'Allemagne chez la F Le tracé en était arbitraire et suboi à une préoccupation économique : ïttgne prenait tout ce qui avait de leur, mines et forêts ; la richesse f Jbns était, de toute évidence, la h la délimitation. La ligne-frontière î mait ni une ligné droite ni même uni be nettement tracée, mais un dérou sSnueux comme les plus capriciei fleuves, fait de boucles et de rentrai tri valants, un véritable puzzle, sou difficultés... ,rTCette annexion de La Lorraine fui llp'u.iriint certain de ce développemei tallurgioue qui entraîna l'evsv ind e>t commercial du peuple alvmand l'Allemagne enfla tellement son ind elle se donna une telle faim de fer, dépasse vite et de beaucoup les for serves que son rapt de 1871 lui ava curées. Les Allemands, avec leur n toujours croissante, doivent faire chez eux de la nourriture. Pour ba ces importations, ils doivent expor la marchandise. Donc, plus l'Aile: s?accroît en population, plus elle do du re et exporter. ■ Ln France étant vendeuse de mini acheteuse de^ charbon ; rAllemagne dieu se de charbon et acheteuse de m 0 pouvait s'entendre, mais l'orgue mand ne le voulait pas ; il ne prél plus dépendre de l'étranger, il. parlî lû bouèhé ce von Bernhardi en ces te «INous nous trouvons placés dar-« native d'augmenter notre puissant tains à un degré tel que nous soyon du succès ou de renoncer à tout ave n'y a pas de choix : être une grand sh."ce mondiale ou s'abandonner à ^Mfcrné'liabTe décadence ». BCe fut l'armement sans fin, co ^Bnenchère métallurgique. HT'Allemagne dut chercher du u ailleurs que chez elle. Cela rendit s tfcue hargneuse envers la France, cf fl!V manquait de minerai, plus la en trouvait sur son propre sol et df !' ::jfo!onies. ■Déià, en 1911, M. Laur écrivait : B« L'Allemagne {ail la chasse en r ave acharnement de 7ous les minera, (0»s les pays du mondé, fflïe pourcha-minerais de 1er de Lorraine, de VOiu du Maroc. Noire '~t:on pro{ondi «i"' ce sera peut-i > r vne quesl fh itérai qu'elle sortira an jour son é fourreau. » EgLa guerre survint à un moment où Kgniait une crise pour la métallurgie oéenne et particulièrement pour 1'/ E'|ne. La guerre liquida des positic ■fâcheuses. ■ Dans cette mêliée, dit M. Engeram Eflemagae demanda son salut au fer. i vfriièr.e préoccupation fut «de s'assu Ici qui lui faisait défaut et dont le «allait plus lui permettre de se p< au dehors. H La France et l'Allemagne étaient ■prient vulnérables dans leur métall l'Allemagne par un désavantage n 1a France par sa faute. Celle-ci avai |.;.tee concentrer sur ses frontières de l jgil. Nord les huit dixièmes de sa sidé ■Nie tirait les neul dixièmes de son n ■fies seules mines de Meurthe-et-Mos 1 De l'autre côté, les trois quarts c (■jerais allemands provenaient de Lo v ■p-is, plus prévoyante, l'Altemagni ^■ivisé sa métallurgie, et les deux t «Etaient établis sur la houille, dans k tplialie. B L'âme de la lutte était donc sur 1 Jiiere même, sur les quelques kilc ."#u bassin de Briiey : il était aisé de ■flue celui qui prendrait l'offensive i borderait son ennemi pourrait 1'; Vite à composition en rendant presc possible son ravitaillement. ! Ce coup-là, l'Allemagne le pré longuement ; la guerre était à pein( t* qu'elle était déjà dans le bas dixièmes de sa sidérurgie alors que guierre exigeait des munitions, des n lions, encore des munitions et toujour ¥ munitions 1 '/a** Sur 127 hauts-fourneaux français en vité en 1913, 95 étaient détenus par nemi * « Le vrai miracle, affirme M. Engei ►nnaî- on né saurait trop le répéter avec lui d'avoir fait surgir une métallurgie d( ut ra- Inné, d'avoir réuni tous les élément i aus- l'industrie privée, de leur avoir donn< lieurs niême âme. de les avoir associés à r< atlas de l'Etat et d'être arrivé à ce résulte aœiet vraisemblable que, par cette impre cons- tion, la France a.insi réduite ait pu ^ dU autant, aussi bien, mieux peut-être Enge- l'Allemagne pourvue de toutes ses u* « j^es d®8 usines belges et de 83 % des u I1(ie „ françaises ». irmet- " 11 n v aura peut-être pas dans Thb iassin de notre peuple, ajoute-t-il, de page surprenante, plus glorieuse a:ussi, u 5ru«se moignage plus décisif de la vigueur ns et volonté nationale. De tels rebondisse» politi- une tel^e faculté de se retourner, c'es emier de ces impondérables qui échappent KruDD politiques les plus prévoyants, déco it son ^eur jugement, bouleversent leur force culs> démolissent leurs plans ». L'Allemagne, si prévoyante, n'a.vai s l*ar- Pr^>vu les merveilleuses ressources di ;ile ne nie français. s paix Telle est la substance du livre de M a plus ge>rand. ru'elle ^ue ceux se désespèrent' de la cette d'6 i^uerre mesurent tout ce que la moins ce a dû accomplir. Aujourd'hui, elle a -uierre. ;1 tout et c est l'Allemagne qui est ucoup tante, comme le colosse que les j l'avait abandonnent. média C'est oar Briey que rAllemagne pe nir encore. Briey î^epris par la Fran eurthe lorraine envahie par les Alliés, c'est r deux rapide, c'est la déibâcle de la puis i et les germanique, car l'Allemagne, privée i beau- principaux centres de sidérurgie ne nheur nas capable, comme la France, de exploi- faire une industrie de fortune. Un lés cul sur le front occidental, et le glas a nou- ^rnjide Allemagne aura sonné défi] pation ment. le mi- Briey délivré, c'e^t le Rhin à est ce échéance puis le « Peutectola-nd uher î fron- frappé au cœur, l'humanité débar id, est r^u Plus grand cauchemar qu'elle ai z soi • nu durant l'ère chrétienne. ssible, | Maurice des QMBSA la fois se. Or, m îst du ™=: LES FAITS DU JO' 'donné >K)(i l'Aile- la va- Qn prêie au président Wiïson des 'U les ^e" fions très énergiques faisant prévoir i ise de iure dcs relations diplomatiques avec Le for- magne, et peul-élra la guerre, dans ■ cour- fl'une réédition du torpillage du Lus ement jxs nnuvenes de Washington ont p îx des line panique vendredi à la Bourse de . îts ex- furt. îoe do ^wwwwwt La Chambre italienne. à la demar 1 in^" M. Salandra, a repoussé la proposait 't mê" s octal-aies officiels d'anticiper la dise Af- (^n budget de l'agriculture, par 228 voi MaiSi tie '38 et 1 abstention. Cesi une nouvel astrie, taire du gouvernement sur les an tint W elle Listes, tes ré- | pro. WMWWVM atalité Une agence italienne affirme que venir bey s'est /ail le porte-parole de ceux < lancer les Turcs qui regrettent de voir teui ter de l")r^ & l'Allemagne, et a fait des ojf nagne paix aux Alliés. it pro- i/wwvww A la note-ultimatum qui lui demain irai et lever la saisie sur les navires de com : ven- allemands, le Portugal a répondu p inerai. refus. Il faut s'attendre à une ruptu, 1 aile- • endait — lit par SKri Ses Etats-Unis «tlHIksi?! > mili- s sûrs »o«—— nir T1 3 puis LE PRESIDENT YV1LSON ESTIME ine ir- l'oi^â.àV.Vir Y A\l)IH IU l' I LU Au couis de diverses conversalions lossale tes avec des hommes politiques, le pre Wilson a expliqué son atliUide très fr linerai ment. La paix, a-t-il dit, a été toujours a poli- de sa diplomatie et elle continuera à ir plus Quant à la possibilité d'une guerre, il France claré qu'il craignait qu'une autre ti ins ses analogue à celle du « Lusitania » n'a une rupture des relations diplomî a\ ec l'Allemagne. Cette rupture, per taie ci Ppnrrait conduire à la guerre. i i riVionse fi une ipicstion sur l'el'f •spinc Pro<luirait ''entrée dos Etats-Unis d< •n-aft èuerre- 'e président a dit qu'il cro.v; i "-Vsi cetle entrée pouiTait amener la pai: ion de tô1 1u'on ne l'atténd. , du " famine beaucoup d'Amér '1 qu'une action semblable de la pat Etats-Unis ébranlerait la déterminati se des- fmuple allemand et que d'autres neutr : euro- m aient les Etats-Unis. LA PAMOLE A LA BOURSE DE FRANCFORT 1 l'Ai- Suivant un télégramme de Zuri( Dre. jrmrnanx allemands publient des rn< rer ce prommes de Washington, faisant r« blocus 1 ;ravité de ia situation g>.riiiaiio- lurvoir caine- Bourse de Francfort, qui reflète é^ale- Inerrt l'opinion de la haute financ ir5i« • mande, a elAturé vendredi en paniqu -il gat; . aturel, I/ACTIOtf PERSONNELLE DE M. \V laissé i. n'est pas prématuré de dire que i\ 'Est et FOn a presque surmonté la crise la ph rurgie; poreuse qui se soit produite depuis le linerai ^ . ia guerre. elle. pour obtenir ce résultat, le présidei es mi- recourir ù des moyens énergiques. A rraine, n,cncement de tti semaine, il prév ; avait chefs du parti démocrate de son inlen iers en démissionner si le Congrès ne le so > West- pag. Cette déclaration causa une vérita a fron- | nique dans le parti. -mètres yi. WiLson déclara en outre que 6i prévoir grès paralysait ses négociations ave< et dé- magne, il ne serait pas le candidat d amener $ |a prochaine élection présidentielle [ue im- cette menace produisit son effet. la motion germanophile / médita CHAMBRE DES DEPUTES : decla- . , , . sin de Les chefs de parti de la Chambre mm- Les titres au porteur perd* [2 volés ou détruits l'en- »o« •and, DES MOYENS D'EN RECOUVRER fut LA JOUISSANCE : 'or' . , s de (De notre correspondant particulier) ! une Paris le 4 mars 1911 ïffort t in- Un magistrat belge, M. Ch. Genaxt, j Ivlsa- d'instruction à Numur, expose dans la « faire forme sociale » quelques idées intéressai qUe sur un sujet que le givujd boulevei senn lines, actuel a rendu d'actualité. La propriété sines titres au porteur repose tout entière sut Ijossession d'un morceau de papier. Part ;toire cia'é OLI créance, le dixàt représenté sut plus titre dont la transmission e'oipere par sin n té- tradition. Le détenteur illégitime se prés< je ia avec toutes les apparences du vrai prof ients laire; comme lui, il peut transmettre le t • i'Un et normalement l'acheteur sera de bonne ' aux lin Belgique, le dépossédé involontaire noer_ aucun moyen vraiment efficace de recoui ) cal- droits. Il pourra faire opposition et éi tueUement recourir au parquet, mais auc t oas loi n a encore organisé ni sanctionné l'oj i tré- sition et ce n'est guère qu'un appel i bonne volonté pour être aidé dans ses jjn. cherches. Les articles 2279 et 2280 du C civil ne laissent que des chanoes de sui j,)riSo bitn problématiques Frari PouI' M- u,n« loi est nécessaire, paré est urgente. ,haJe; « il a fallu, on France, écrit-il, les douloui orces évônofnenls de 1870 pour en provoquer une, puis lors elle a rendu les plus grands serv nt te- à preuve le nombre même des lit; es que le « ce, la letin officiel » des oppositions signale coi la fin frappes de déchéance, c'est-à-dire qui onl sauce 6lre remplacés. Au 15 juin 1914, il en men ïp nail plus de 12.750 et cola, pour une périod îe ^ouze ans au maximum, car avant la lo 9eya 1902 la publication de déchéance ne devait se re- rer q.UG dix ans et actuellement elle ne dure er re- vantage que s'il restait des coupons alla de la pour une plus longue période. C'est, en tout litive- nn minimum de plus de 1.000 titres par an l.\ loi a permis de recouvrer la propriété. A v.rw.p il faudrait ajouter les titres primitifs qui on ttiJL 6tre revendiqués, les intérêts, dividende ïfie. » remhoiu-semo.nts qu'il a été possible d'enca 'assee grûco à la loi. d t con- Voilà pour une période de calme com UX. Qu'en sera-t-il après la guerre ? En toul à pal,tiI, du 30 juin 1915, la liste des op] ti-uus est devcii e telle qu'il n'a plus été sible de la répéter chaque jour et le « B fl D tin quotidien » n'a plus contenu que la U 1% des titres dont la publication a eu lieu de celte idte. M. Genarl estime qu'il y a un moyen : . simple de réduire les risques de déix)sse« n run et en niftmc tem.ps de faciliter la reconi r \\L~ sanoe des droits du>légitime propriétaire i -nô I ^sséd Ce moyen est parfois déjà emp' forf.o il faudrait en organiser, en consacrer léj & n'ent les effels- ^fane- M lieu de tenir le titre entier, on le p ge en deux part es gardées séparément, on ble déjà ses chances de conservation. - Or de de courage le voleur, du moins le « prnfessit m des du vol •>. qui ne prendra pas plus un moi ission de tilre qu'il n'enlève actuellement un titre r con- minntif. Que pourrail-il en fnire ? Le mm . • de titre est sans valeur en mains d'un tiers te vie- conqUe . isolé, il n'est pas négociable, pers ttiona- n'en voudrait déjà maintenant, ce sei-a plus tain encore avec 1a nouvelle loi. Le légitime priéta.ire, au contraire, fort de la conserv T ] d'un d<*mr-titre. sera dnns la situation la pli l aïaai vorable, il n'aura guère qu'à compléter la pi l entre de son bon dro;t et, dès qu'il l'aura fait. ri( pays s'opposera à re qu'il lui soi! attribué <*e res de un nouveau titre. Quels droits cela pouri léser ? Il ne peut y avoir de tiers porteur dtr» n1 foi de l'autre morceau de titiv. à rmur supposer une celui qui veuf 'pvotnd:(fiK>r Ips r de fie proprfétnire ne soi! le détenteur de mau merce foi lui-mAme. Hvprrlhèse one la !->i do'! rr ar un irréalisable a cet effet, elle exicre d'abor ■e avis r»u procureur du roi qui a pr<V:sémen! mission dp poursuivre éventuellement l'a d'une opposition faite de mauvaise foi. er ellp impose à l'opposant de donner une put spiV-hle à sa pré'ention de propriété du enfin il faut rinfpn'pntion du pouvoir ii>d»< pour donner à l'opposition un effet définilii Or Ace à ces mesures, l'opposition pa (.élentvur de mauvais foi e«l pratique: QU IL. éeartô*. L'inconvénient pour les tio-s. S quiers et agents de change notammeir récen- devoir consulter les listes d'oppositioi ibidem tr^n minime pour qu'il suffise h on-w un he- une mesure d'intérêt ffénérnl. L'expéri le bat démontre d'ailleurs qu'on s'y fait : l'êlre. evisfo en France denuis 18~2. M. O- a dé- termine sa savante étude par une pro agédie tion de loi nui reproduit les grandes li menât de la loi française du 15 juin 1872 cor itiquçs tée par celle de février 19Ô2. ise-Hl, fl vm£ et que ~ if,n|a Dans lamarine bel I plus >«JII icains, Une école pour les enfants •t di de nos pécl on du A l'initiative de l'Administration i es sui- Marine, une école primaire flamande créée à Brixham ù l'usage des enfant! pécheurs belges réfugiés en Angleterre ea'anls la fréquentent déjà. Le Ministère des Sciervces et des Art: h. les Xutorités anglaises et les Autorités & laires belges ont prêté leur concours è ssortir vre. L'instruction religieuse est conf uuiL-r. un aumôniej- belge. fidèle- —1>~ e aile L'entretien des bateaux de pêcl e. Un certain nombre de barques de ] ILSON uni été obligées de chercher un > 1 Wil ^;ms lc' P°rt Soint-Malo. lin vue dV is dan la détérioration de ce matériel, un d< début t'ateaux-pitotes a été envoyé sua' avec mission, pour l'équipage, de v< ja dans la mesure du possible, à l'entretii a corn- ':es chaloupes. int les '°~" tion de Une nouvelle injustice alleir utenai' Le steamer belge « Ambiorix », ca I y a plusieurs mois en eaux neutre) ble pa les Allemands, es* toujours détenu. Malgré l'évidence de l'illégalité de 11 le Con- ia relaxation du navire a été refusé : l'Aile- in première juridiction. L'affaire a'faii u parti on. l'objet d'un appel devant la Cou prème de Hambourg. i LA — Le mariage de Mlle Yvonne Joffre ce du" généralissime, avec M. Pierre des dé- chon, fils d'un grand industriel parisi , i/ A r'À TAÎir»/» Vii^xr1 n ri l'Àcfli«n Rniflif-M. Après la prise Bitlis tipui Aéfl pTwy KV ftii —— »(*«-—— Les Eusses exploitent MïïîaM leur v ILS ENLEVENT 20 CANONS KRt Pétrograd, 5 mars. — Ojliciel. — De '• seignements complémentaires prêt if/e que nos troupes ont avancé à la lave la tempête de. neige sur la position I itus de Bitiis qu'ils enlevèrent à la baïonn oni 'J heures du malin. des Les Turcs ont été délogés après une ■ in tance acharnée de l'artillerie qui jut 60. véc après des corps ù corps, dans leqi I |e défenseurs ont été tous tués dans la ,,p;3 tion ou poursuivis. ■nte Nous avons enlevé 20 canons du no rié- système Krupp, Ions utilisables, un lue munitions, de l'artillerie et nous foi l"'1 de nombreux prisonniers dont U n'a ciers. Ter LE FRONT ENNEMI EST DE NOU1 '"-n- ENFONCE, ET LFS APMEES Tt une QUES COUPEES Avec l'occupation de Bitlis, toute , gion de Van passe aux ynains des F et, en même temps, ce succès cou , deux les forces turques qui opèrei unes dans la région de Mouch, lee i ,,e dans la région du lac d'Ourmia. La prise de Bitlis, après celle d rowill, enfonce pour la seconde 'ront turc. Les renforts turcs venant c je. sopotamie seront forcés maintenant di ces, un détour et de chercher une nouvell Bul- pour rallier la troisième armée turque finie L'AVANCE CONCENTRIQUE des FC :ANGLO-RUSSES ET LA SITUAT ' de DES TURCS A BAGDAD i de Commentant la situation militai] (|u" Asie-Mineure, la « Nationalz.eit.ung » < J" le croit que les armées turques d' cas abandonner- de grands territoires jx>u flon{ voir faire face à l'avance concentriqv cela forces anglo-russes. t pu 11 serait possible aux Turcs de r ? et leur situation critique, par des conjr isser ques énergiques ; mais le même jour q'j'il est impossible aux Turcs d'à assez rapidement les renforts néceî plet. sur ies points menacés, vu le manqi so'u de commun ira l ions. )Osi- Bes décisions importantes sont imn tes ; seulement maintenant les suc ci II Je- »»ac;i en Arm^Vli^. r,r^»r>vr»û.nfvvrit à r°:* rim.portancè de l'abandon de grands P^113 foires et de Bagdad, ce qui me,lia né rement le gouvernement turc_ aux . avec de graves difficultés politiques s1 on nerures. îai-s- : dé- r- îaie- La Turquie et la Guerr )>0« Arta- TAUAAT BEY, A DEUX REPF AURAIT PRIS L'INITIATIVE in„çJ NÉGOCIATIONS DE PAIX «eau On mande de Londres au Coniert ' n°- Sera : nneil « A deux repr'ses, Talaat bey, p r>nrie compte du comité Umoi? et Progrès, ^er- pris rinrUatôv*» d>e négociations dp oai pro- les Al iés. S'il fout en cro:re les inforn îtion données au journal arabe le Mokattr, ffl" Caire, dernièrement Ta tant bey àur en«e I voyé deux émissaires en Suisse. Lps ti"on« demandées pour traiter étaier reoonstitution du khédivial en Rg.vpt bon- îe prince Saïd-Hahm comme khéd ve, s rie cuation par les Russes de l'Arménie irn'is iqnelV serait offerte l'autonomie sous vnise zeraineté russe; l'évacuation de la N n',re tamie pa.r Ips Anglais; enfin une a de pnur G'^re conS€n^e Par ^es à '.o Tu itr>ur "* suite gr = egho: p nn ),0(( f' n! Le transport de nos soldat h"P- en Ant -, de i est 1/Administra tion de la Marinv pourparlers avec les Autorités mi enre belges et les services anglais com>i Ceja au su/) de la possibilité de créer ur ,r,ce régulier belge de transport en kn nosi- !los soldats qui se rendent en congé Jnps gleterre. iplé- 0 Une bonne m Y. L'Administration des Postes ex an possibilité d'accélérer la transmissi la correspondance de la Belgique r Hj© vahie vers le Havre par la forma tic ^ nailière d'une dépêche directe. —o— A l'école de bienfaisance de ;€urs La démission de ses fonctions d le la directeur à l'école de bienfaisance di \ été à Yprès, offerte par M. Westendo ! des est acceptée. ' Q i, les *' msu- Par aou-èté royal du 20 février, la l'œil- tion donnée par M. le bourgmestre d ée à port à M. Jules Huyghebaert, éehevi iwrr.'plir les fonctions d'officier du M public près le tribunal de police de ton est approuvée. leurs —o— >èche Pour les phil: Les collectionneurs de timbres ivitev dront sans doute avec plaisir qu'ils ! .nos acheter, et rué rue faire estampiller, place reau (jes Postes de Sainte-Adresse, 1 'h.<er, veaux timbres-taxes de 5, 10, 20, 3 m de centimes. Antérieurement, il existait, en ou timbre de fr. 1 ; il a £té supprimé, laïuie mément ù une décision arrêtée en I ptoré »vanl 'a guerre. i oar Le dessin de ces timbres n'a pa: gé ; mais les teintes ont été qoeli t prj. modifiées. Ils 6ont imprimés en t, e par phie. , dit- r su- Les Ephéraérides de la 6 mars 1915. — Dans les Vosges, Munster, les Français enlèvent le g , nié- le petit Reichakerkopf, et lnborg, si Boa- ve Nord de la Kecht. en, a — Victoire des Anglais à Basso Jr4in_ Vt (lit La neutralité itllil( et la îermBîflreJo l'Esci QUELQUES OPINIONS INTERESSAN tPP SUR UNE QUESTION MAL RESOLl ? ren- I>es journaux hollandais ont cru ni lisent saire, ces derniers temps, de détend ur de nouveau la tnèsse que le gouvernement urque Pays-alis a invoquée pour justifier la Slle à meture de l'Escaut. On sait — et on l'a durement senti résis- qne depuis août 1914, les Pays-Bas ont enle- nié i'Lscaut et exclu la Belgique de IN iel les eice des droits que nous conférait le T: posi- des 24 articles. La tkèse hoilandaisse est simpliste : weau saut coule en Zé.ande, entre deux rivet dépôt nous appartiennent, nous désirons r< avons neutres, donc nous fermons l'Es, au t. ) 0{[i- A première vue -et quand on ne s'est donné la peine d'étudier la situation rpAri torique et juridique du fleuve, cette t R paraît fondée. Mais, quand on l'exami la lumière deis accords intervenus enti eBlgique et les Puissances garantes d< ia ré- indépendance, d'une part, et les Pays-usses d'autre past, on n'ia aucune peine ; P0 en persuader que la vérité est toute autr it, les Remarquons, tout d'abord, que l'atti Mitres pi*ise officiellement par la Hollande, n< te pas de longtemps. Le fameux géi 'Erze- hollandais den Beer Portugael a été le 0 s le mier à lui donner les honneurs de ls e Mè- blicité vers 1905, pour la reprendre > faire vigueur lors des discussions relatives s voie fortifications de Flessingue. Le géi den Beer Portugael avait du reste dév RCES pé fort logiquement son erreur en v ; [ON tant un double corollaire. Tout d'aboi contestait à la Belgique le droit de for ■e en Anvers et se fondaient pour cela, si le BA- traité de Vienne qui avait stipulé qi yvront vers ne oo^rrait plus être port de guei r pou- 0,0 ^ déduisait que la Belgique n le des pas autorisée à entretenir sur l'E: des navires armés... Faut-il dire que c-MaWir M. den Beer Portugael disait, «aurai e-a.tto- juste, 6i de 1815 à 1831 la Hollande îal dit vait !>as- elle-même, fortifié Anvers e mener tretenu sur l'Escaut, une flottille de «aires re importante, s'il n'v avait pas eu c< le ab- ne " Convention des Fortifications de 1 et si en fait la Belgique n'avait pa ninen- un/> o-iiprre iu.®rrue vers 18fi ,s ni<5_ L'auteur hollandais reprit sa théor « • 1907, puis en 1910; dans son ouvrage « terri- caut et la neutralité permanente » < cessa - 1911, dans un nouveau travail intit "prises « La Neutralité sur l'Escaut ». inté- i. opuauti outrancière du général Beer Portugael n'avait guère eu d'écl Hollande. On lui avait fait observe) 1 rien dans ce qui s'était fait depuis . n'autorisait des conclusions aussi fo G les mais que bien au contraire, le si gardé pendant près de 80 aînées sui question aussi importante suffisait USES, montrer que la solution qu'il proj DE était en contradiction avec les text l'esprit des Traités. Le député néerla . délia Patyn alla jusqu'à proclamer en j Chambre (dès 1910) qu'il lui semblai les théories nouvelles de M. den Beer r)1is" tu.o-ael étaient outrancières et que loii a,11>0 voir le droit d'entraver par la ferm x avec l'Escaut, l'exercice de la garantie ations rt^po-ndan^e donnée à la Be^'oue p? m, au Puissances, la Hollande avait le devo participer et de la faciliter en maint coïKi'.- ]'j7Scau-t ouvert au profit de la Belgu ^ • !a Les nrét<inti'VTes néert^n^?a.i«^es, poui e.,^vcC von* été exprimées fru'offic'eu^ement, eva- ebaî^p^nt en pn , à la- Anpfleterre un vérité Mo mouvement la su- orotestnt.ion : Ernest Nvs, Paul esoifio- Tsj^vpz, le h.oron Giuli^nme. A^hur finan- rquie.» ^ Avares. 1^ c^l^el Bit»ni>?*tnri. )\q,f«net et la. n'-^n^rt ^es i^urna-nx h ef anglais d'^ontr^ren» vp>t ^rnwt oo^h'e.n la théori" ^n gén,ér« R'wr Port-ns^e! était ^ontraître p"v t.;ions nui ovo|p<nt présidé à la rédad' K de 18°9. fr, Aonpfonf An IVrn^Pri dn T\ me le nrinn'ne général de l'ohligatior s in TTn'inp«rtn *r> c^ntr:hn,e(r a" ma.:Tit; [leterre t.ra'té rlio — or-»! lu vahn Ipc m ey en fl"11 m d™r»r>.c | ntaires îm-^o^s"hve df dA^.orer qu^ 1 létents, ^"ol^rai* en n^utre^i'é on main 1 sei'vi- S"r l'F°e^nt 'o rétimo inç4îh1é on r reur de nfl'ion avec nnr les Puissances en An- rlp ]o MMftîrpiP. TVm* pn 1qao hâ**on nv flivp opms <50"10-«'Pr' auenrip rfirî w pp cn't r»r.v.o traita pu)- es'Lfe opntr^^'é de 1p » ; une ki „ t o ivxit^rvfv» ^îccpr le pn^snf On de nîiy foT"»pç "irvnpli'*PC f\ O0rt^■1"r,'v', ?> l'pvf" IOÎ1 en- Jn rMfpncp ri*» 1^ TVOfn'mtp n"!1 n jo^ir- ToUp AYirrpn^p n. fl npl'p /1p «?'n nny hpllîrf/i.^n»«: fITcppii» nmr rnipr ln Pp1rrï/tiv>) f) Hf*«p cr\^?"l âi c rvT lpopiw^lc In Wnll^r^Ap n row" 1 l'Flll f,r"l'l/> npTTnn^p^fp fV T\r,}rt(k. i f,r>\*o 1" p' ln TTr.U"^flp) %>t In f 5 SOUS- pnïcoo^^Ac rfo 19^0 P^fiv^ ln 3 l'Etat p} n<r>n r>> iîççort/-'Pc T.n rirv^r-fnHr\r> p''o" flAuVv'p nouf A'tv> /Vniif^pf v\1uc V» rr-r»^1 of rrnp ]n PplTÎpnp. ppTv>mp 1 npl^q l0" r"r\r>fA*Y\T\s<o fV> T pnrlrvxc cor* Inf' dp Ron Wîté flp hmjipviTvl fl"v Pov<;-Pn.<î » isticc 'n^hornn ava' déléga- aussi caté<?/>rnuement affirmé : e Nieu- „ jj r,,n,nr^"."i''pnf nns n.nx P" <s-nn«; rlp n, pour r>hc'"pl^ * Vpvé*nMnn Tr^Héc nnynn inistère r»nt. rw.rtir.i.né. Tic rip ronrr«ien» te faire «j*1 Ce can- "m npf/> hncfUp f» not^e é^nrd P'e«;t nlnpin.pt ir^Ampnf pntiv mus n' r'^c P1 pri m/>vpn,<; de défp^^P r»"p rPi^nnp tiaiis n itélisles l'ncc#>nKrr>P'»rif dp r»r»c VA^'r»S — porr>p n'1 appren- rm? Ve rrfin-i _ onn T'^ y»! m,°nrnîP',n'f nnx dpi'nî»*c rfp In npiitmlif En dépit de tout cola 'a Hollande a Q et 5U l'Escaut en août 1914, elle a arrêté et i les navires armés belges qui se ren tre un d'Anvers fi Ostemde, elle a arrêté les t contfor- belles qui se trouvaient sur d'inof elgiciue navires marchands. Pourquoi des journaux hollandais j 5 chan- 111 ^ propos de rappeler ces faits en < pie peu ment ? (■pogra- * chez"nos ennem prtie de »o,( ïvnû et DES EMEUTES A COLOGNE {' .v la ri- L' « bkho Belge » annonce rçue le 'ali, en vrier des émeules ont éclaté à Cologn vnvnctpnirs ft.rrivaut nar chemin de h DERNIÈRE HEURE rs8 EkbVEWt E ^ Communiqué officiel français des —°— fer- Paris, dimanche 15 heures. j — EN BELGIQUE, au sud de Lombert-fer- zyde, l'action de notre artillerie a boule-xer- versé les tranchées ennemies. aité . ARGONNE, nombreux tirs de nos batteries sur les tranchées et les voies de communication de l'ennemi dans la région de la Haute-Chevaucîiée et de Boureuilles, ster un incendie a été allumé. Dans la région de VERDUN, la lutte, lo-t>as ^ s^e au viîtage de Douaumont, s'est éten-his- ^ue soirée d'hier; à 18 heures, ïen- îèee nemN après un violent bombardement, a îe à 'anc^ corl'lre nos lignes, depuis le bois & la d'Hauduemont jusqu'au fort <i0 Douaum-otni, son une très vive qui a été repoussée 3as Par 1108 tirs barrage et nos feux d'infan-sé terie- | Au cours de la nunt, le bombardement a ,ude assez intense sur tout notre front» da- ^ l'es^ de la Meuse. îi l'ouest sur « Moi*t-éraJ d'Homme » et la « Côte-d'Oie ». pre- — n . pu- aux £cs pertes prn5sfctis2cs éral :lop- >>0(( iou~ Les ving.Ucinq dernières listes de perlai a, H prussiennes mentionnent 37,829 tués, bles- nier sés et manquants. Ce chiJfre porte le total r le des pertes prussiennes à 2,374,925. Il cctn- An- vient d'ajouter l'existence de 252 listes ba- re ». vaJMises, de 257 listes saxonnes, de 340 -tait vvurtemhourgeoises et de 67 de la marine, caut Les dernières listes mentionnent 43 avia- que leurs tués, 27 blessés, 15 prisonniers et-1 été manquant. n'a- Dans la liste des tués, figurent les nome • en- de quatre généraux et dans celle des blesser- sés celui du prince Oscar de Finisse. rtai- $3 » 1 ■;;; £es Aliénante reconnaissent î€ leur ^chec pris d tyres lié : Genève, 3 mars. — Les Allemands recon- 0 naissent qu'au sud-esl d'Yprcs, sur le canal, que Anglais ont j>énétré dans la position dito ' du Bastion au'ils leur avaient enlevée le 14 TOeI' février et qu ils sont même parvenus sur un ence étroit jusqu'à l'ancienne tranchée avan- u?\e cée allemande. Les Anglais se maintiennent (1V7 diuis certaines parties des bastions. osait s et ——— m j tdais jjSe NOUVELLES BRÈVES Por- „y, d13.- >tare — Oïl reçoit de bonnes nouvelles de la d'in Seine, c'est-à-dire qu'elle a baissé à Paria ° " de 24 centimètres, et l'on -ens? tue ce mou. J. veni'ent va s'accentuer. nant — En 1915. la production du aiamipa^pia ue. a atteint le total de 112.922 <iou7,aiines da n'a- bouteilles. On reviendra certainement,, en ,3<i. 1916, aux chiffres d'avant la guerre. "" — La ville de Toulouse vient d'être auto, nblic risée à ouvrir une exposition d'une partie rrerf. des ceuivres du Louvre qui avaient été expé-Pot- diées à Tojlouse en août 1914. _ — Trente-seipl villes de l'Autriche et de ta Hongrie sont atteintes du <-holAra. T.'épidé-mie es: surtout violente dans les camps de . " concenlraton. Le typhus est encore plus „.(<sn? répandu. n dn — L'explorateur polaire danois Knud P>as-smussen projette pour le printemps prochain •nblî>- une expédition dans le Groenland s pt ntrio-pnur nal. Il compte exp orer l'isthme entas Reary-„ land el Groenland. l'rio*1!? S ÛIïllE IMil ,it »0« m do LES ALLEMANDS AURAIENT PERDU « T.n A CE JOUR 125.000 HOMMES Une information de Berne à l'Agencia Li-jthre ^ qUe> ,j"après les déclarations de plu- ccîrtt>° sieurs b.essés a.lema'nd.s. le nombie des ,noefv». morts, à Verdun, a été supérieur à celui des ~i»n. blessés. s froi Les Allemands ne pouvaient pas retirer . po". leurs blessés et ceux-ci, continuant à être 1 10^° exposés à la mitraille ennemie, étaient tués , pour la plupart. On croit que les pertes totale^ allemandes iiendant leur offensive n'auraient pas été in-> létrieures à 125,000 hommes, parce que omnr,f rétat-mnjor avait résolument déendé de n'arrêter l'offensive qu'après de très gros sa-: tout orifices, si cela était né<essaLne. L Echo Belge apprend de la frontière nue huit trains ont passé par Cologne, ge diri-,ÎQ :lc géant vers Dusseldorf, avec du matériel iç rvo- d'artillerie mis hors d'usage au cours de ïa on c* bataille. 'T'I UN DÉPUTÉ FRANÇAIS BLESSÉ „v<v AU COMBAT Le duc de Rohan, député de Ploermel, nvo-bilisé comme capitaine de cava'erie et af-' tecté. suir sa demande, à un bataillon d st-. . taquê de chaaseurs à pied, vient d'être blessé deux fois à la tête dans les parages - , du fort de Douaumont. Ses blessures ne ™ mettent pas sa vie en (lancer; le duc a été évacué sur Paris. Il avait été précédemment ensus oité à i-or(jre de l'armée. iffent- "°" Le grave échec allemand de Yaux 4 mars. — C'est avant-hier soir, vers 8 heures, après un bombardement d'une ef-' froyable intensité, que commença l'attaque 23 U':- de Vaux-devant-Damloup. Simultanément, . Des au nord et. au nord-est, les bataillons aJle-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique gehört zu der Kategorie Katholieke pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1940.

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