L'indépendance belge

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s.n. 1915, 11 Januar. L'indépendance belge. Konsultiert 29 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/9c6rx9472r/
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L'INDÉPENDANCE ANGLETERRE : ONE PENN BELGE nOMTINPMT ■ 15 CENTIME! ■ Administration et Rédaction, Tudor House, Tudor Street, TELEPHONE: CITY 3960. ;.c. LONDRES, LUNDI 11 JANVIER 1S REfiIKTF.lVET) at THE G. Conservation tar le Progrès. I L'ALLEMAGNE ERGOT ET CHICANE. Les Allemands affectent d'être surpri le la réprobation qu'ont suscitée leur i H procédés envers la Belgique. Ils s'y a' I tendaient si peu que leur Chancelier r< I connaissait ingénument au début de 1 luerre qu'en violant la neutralité d i notre pays ils enfreignaient les principe | du Droit International. Mais ce déta ! importe peu, disait-il, parce que néce; [ sité n'a pas de loi ! Le monde s'est ému d'une absenc ! aussi complète de sens moral, et l'a bie fait voir à l'Allemagne. Celle-ci s'es I alors mise en quête de prétextes pou essayer de justifier son agression. Elle a d'abord soutenu qu'elle n'avai en somme pas demandé grand'chose la Belgique, une simple tolérance ami t cale, en réclamant le droit de passag des armées allemandes par le territoir belge. Si la Belgique avait eu le bo esprit d'y consentir, au besoin sous pre I testation ainsi que l'a fait le Luxerr | bourg, elle aurait échappé aux dévasta tions et aux tueries auxquelles l'Allé ir.agne a été contrainte par suite de so refus. La Belgique a donc attiré su ! :lle-même par défaut de complaisanc les malheurs qui l'ont frappée. ■ De que I se plaint-elle ? Cette argumentation ne peut avoir ét I sérieusement mise en avant par nos ac versaires. Les savants jurisconsulte i qu'ils se vantent de posséder ignorer I moins que personne que la "neutralit bienveillante " est un mythe. En usai] H de complaisance envers l'un ùes bëllige i rants, la Puissance neutre pose un act [ d'hostilité vis-à-vis de l'autre Puissanc [ belligérante. A défaut de neutralit pure et simple, elle abdique sa neutre lité et se lance elle-même dans la mêlé des combattants. En ce qui concerne notamment l'obj« de la demande de l'Allemagne, il est es pressément prohibé par la Conventio de La Haye de 1907 qui, coordonnant le principes du Droit international en 1 | matière, stipule qu'une puissance neutr ne peut pas tolérer sur son territoire 1 passage de troupes ou de convois d munitions ou d'approvisionnement et qu'elle est obligée à punir ce actes s'ils viennent à se commettre. L'Allemagne demandait donc • à 1 Belgique nL plus ni moins que de s ranger de son coté contre la France e ses alliés ! Constatant que cette tentative de jus tification ne réussissait pas auprès de neutres, les Allemands se sont mis chercher autre chose. Ils ont fouillé le archives demeurées au siège des minis tères à Bruxelles et ont prétendu y avoi /ait une découverte sensationnelle Celle-ci consisterait dans la preuve qu ■ la Belgique avait déjà plusieurs année avant la guerre renoncé à sa neutralit en faveur de l'Angleterre ! On sai qu'il s'agit en réalité de simples entre tiens qui ont eu lieu en prévision d'un agression qui, dès cette époque parais sait probable, de la part de l'Allemagne afin de rechercher en commun la manièr la plus efficace dont l'Angleterre, en s; qualité de garante de notre neutralité aurait pu nous aider à y résister ! On connaît la mauvaise foi réelle ment extraordinaire dont nos adversai res ont fait preuve à propos de cet in cident, et comment ils ont falsifié e tronqué les textes pour essayer de don ner à de simples entretiens la portéi d'une convention d'alliance avec l'An gleterre contre l'Allemagne. Les neu très y ont vu clair et haussent le iris épaules des efforts faits pour essayer di [jrs les induire en erreur ! at_ En désespoir de cause, les Allemand: re renoncent à se justifier d'avoir violé en vers la Belgique la convention de L; Haye, qui proclame que le territoire de: de puissances neutres est inviolable. Mai: 3€S ils soutiennent que cette convention n'es :ail applicable qu'à condition que tous le: es. belligérants soient parties à la conven tion, et ils invoquent que la Serbie, li Monténégro, et la Turquie n'y ont pa: ?Ce adhéré. ,en MM. les Allemands oublient-ils que 1: est neutralité de la Belgique ne devait pa: )ur seulement leur être sacrée en vertu d< la Convention de La Haye, à laquelli les deux pays ont adhéré, mais de pa: :d les engagements formels pris par l'Aile . magne en même temps que par les au très Puissances garantes de cette neutra lité? Que répondent-ils à cela? ife Par le " scrap of paper " qui les : l0n à jamais rendus célèbres! ro" L'argument ne peut donc s'applique: m" à la violation de la neutralité de la Bel ta~ Rique pour l'Allemagne. S'applique-t-i Ie" davantage aux autres violations des loi: ;on et des coutumes de la guerre relevée: >ur à charge des Allemands—bombarde ice ment de villes et villages non défendus pillages, massacres en masse,destructioi de monuments historiques— en un mot été à cette série innombrable de crimes qu id- a fait frémir l'humanité toute entière e tes nous a ramenés aux temps les plus som înt bres de l'histoire? lté Aucunement, car la Convention de L; mt Haye de 1907 n'a rien changé, elle con jé- state qu'elle ne fait que définir avec phi: cte de précision les lois et coutumes de 1; ice g-uerre existantes, en y traçant certaine: ■ité limites destinées à en restreindre autan ra- que possible les rigueurs, et même poui lée les cas non prévus expressément, ell< laisse les populations et les belligérant: 'jet sous la sauvegarde et sous l'empire de: sx- principes des droits des gens tels qu'il: on résultent des usages établis entre na les tions civilisées, des lois de l'humanité c 'a des exigences de la conscience publique tre A défaut de traités l'Allemagne osera-t le elle reconnaître qu'elle ne se tient pa: de liée par ces dernières règles? ats L'exception invoquée par les Aile :es mands n'est d'ailleurs pas applicablf dans l'espèce. En effet la Turquie n'es la entrée en campagne que longtemps se après les autres Puissances, à un momen et où les plus criantes cruautés étaien' commises, et l'on ne peut d'ailleurs pa: is- admettre que des hostilités en Orient les à .laquelle la Belgique et l'Allemagne n< à prennent pas part, pouvaient changer le les caractère des hostilités entre ces der is- nières puissances tel qu'elles l'ont régit air contractuellement à l'avance. le. On le voit, toutes les arguties de: ue Allemands sont vaines. Ils demeuren' :es convaincus devant le monde civilisé d< ité la plus criante violation du droit au dé-ait triment d'un peuple innocent avec leque re- ils n'avaient aucun sujet de querelle, e: ne auquel ils ont infligé des souffrances is- sans exemple pour le seul motif que Cf îe, peuple faisait son devoir en s'opposan: :re à l'invasion. Ce peuple peut se réclame) sa de l'art. 10 de la Convention de La Haye té, relative aux droits et aux devoirs des neutres, conçu comme suit : "Ne peu: le- être considéré comme un acte hostile k ai- fait, par une puissance neutre, de rein- pousser même par la force, les atteintes et à sa neutralité." Malgré cela les Aile-in- mands le torturent et le pressurent, el ée prétendent même se l'annexer finale-n- ment ! ■il- Vit-on jamais pareille ignominie ! les M. MAUVAISE BESOGNE ET VILAINE ACTION. Nous ne pouvons laisser passer sans protester urre lettre, publiée par le "Daily Mail," signée : " Des Belges," et qui est datée de la Panne... Le journal contenant cette lettre a été envoyé à de nombreux Belges et Anglais... On ne peut donc la laisser sans réponse. Les gens loyaux qui nous lisent savent que notre journal a toujours dit : " Pas —V-1 is de querelles entre Belges! "... Et c'est y avec douleur que nous avons appris que ri des mal intentionnés répandaient à Bru-î- xelles des bruits calomnieux, affirmant le que " l'Indépendance Belge " faisait ie campagne contre nos compatriotes restés sous le joug allemand. ît Déjà, du territoire de la Belgique oc-ls cupé par l'Allemand, est venue l'injure Ede la " taxe sur les habitants " ayai quitté le pays envahi... Aujourd'hui survient la nouvelle il jure contenue dans la lettre du " Dar Mail." Le devoir qui incombe à notre journa :r -'e dont le titre est symbolique, et doit êti médité en ces jours cruels, est de d< ands fendre contre de telles opinions les Belgi 3 en" qui se trouvent à l'étranger—et qu'ur ; ^-'a telle lettre atteint dans leur dignité < ; des dans leur honneur. Nous le ferons sar Mais coière—et même avec douceur... Pou ti est qUOi? Parce que nous» croyons que i les Cette lettre anonyme a pour auteurs d< iven- Belges, ces Belges se trompent incoi e> 'e sciemment—et que leur vilaine actic Pas n'est pas raisonnée... Ont-ils songé au mal qu'ils allaiei ue la faire, injustement? Ont-ils songé qu'i Pas allaient donner un véritable coup de po u de g-nard dans le dos de leurs compatriott uelle qUi f0nt leur devoir, aussi bien que n'in Par porte quels Belges? Ont-ils songé qu'e Aile- fixant arbitrairement l'âge de 17 à A • au" ans pour l'engagement volontaire (aloi Litra- que le gouvernement belge n'accepi que les volontaires de 18 à 30 ans), i ;s a allaient induire cruellement nos hôtes ai glais en erreur? Ont-ils songé aux c; quer lomnies qu'ils allaient susciter, à l'effi Bel- moral déplorable, injustifié, qu'ils alla e-t-il ent produire? Ont-ils songé qu'en voi ; lois lant atteindre quelques vagues indiv :vées dualités belges, ayant l'âge et les qu; irde- lités physiques requises pour s'engage 'dus, ej- qui ne font pas leur devoir, ils allaiei ;tion atteindre en même temps l'immense m; mot, jorité qui accomplit le sien? Ont-ils soi ; qui g.^ qu'ils allaient blesser profondémei re et en même temps les Anglais parmi le; som- quels tant de jeunes gens ne sont p; volontaires? e La rtr.fjic A» A JNiii W Dir ja-JrXj.lv» lyant reux égarés qui, se servant de la près étrangère pour 'jeter le discrédit et ' in- mesestime sur leurs compatriotes cor Daily mettent ainsi une action réellement fr tricide?... rnal, Non, ils n'y ont pas songé — car s'i être y avaient songé, ils auraient recont : dé- qu'ils se trompaient. îlges Mais on aurait peut-être dû y song 1 ,une pour eux. te et Notre journal savait qu'en venant d sans fencjre ja vje morale belge sur le s 0U17 étranger, il aurait de lourdes luttes 16 M soutenir — et il savait qu'il y aurait d< eS heures douloureuses. Mais il ne se do icon- pas ^ue jes COUpS donnés aux exil ~ 10D le seraient par des Belges ! a;ent II lui semblait que ceux donnés p; |U'ils les Allemands suffisaient... poi_ Il s"est trompé — et la réalité e iotes plus triste encore que celle qui était pr l'im- vue... [u'en Ah! les pauvres égarés, qui oublie: à 48 ou méconnaissent toutes les horreu alors commises en Belgique — et dont 1 ;epte exilés des villes torturées ont encore ), ils cauchemar dans l'âme! Ah! les pauvr s an- égarés qui injurient ceux qui ont fu : ca- quitté pour amoindrir la force allemani effet en Belgique ; qui ont quitté le home f allai- milial, qui se sont ruinés pour n'ave vou- pas à servir l'envahisseur !... divi- Non, nous ne voulons pas discuter i qua- telles questions — nous l'avons répé iger, plusieurs fois déjà— car cela serait am aient patriotique à l'heure présente... ma" Mais la douleur des Belges conscien son" est grande de voir ainsi maculer l'h roïsme belge — et cela par des Belge pas dans des journaux étrangers, et qui ob gent d'autres Belges à se défendre co MÊiàKÈiÊÊiaÊKtÊÊiiÊfiÊàËiamBÈfSÈH^f9EœïmmmmmmÊmiÊmaiÊmmmaKmmBÊaimmmKaMKÊÊÊÊÊmiÊmBmaBtùi><3asmmimam^^MmÊmmimm LA "NOTE" DES ETATS-UNIS. ies mt >ur On connaît aujourd'hui le texte de 1 lie réponse préparatoire que le Gouvern îts ment britannique a faite au Gouve les nement des Etats-Unis au sujet de la 1 ils berté commerciale des Etats neutres di ia- rant la guerre actuelle. et Cette réponse est de nature à chasse ie. le nuage que, bien à tort, certains e: -t- prit sceptiques avaient cru voir gross ias — et créer une menace pour la cordialii des relations existant entre les deu le- puissances. 3le La réponse à la "Note" est conçi: ;st dans le meilleur esprit, ainsi qu'on ps verra dans nos Nouvelles de l'étrang( ,nt — et elle est de nature à impressionnt :nt favorablement l'opinion publique amér ias caine. 1t) " Laissez-moi dire, écrit Sir Edouar ne Grey dans sa réponse à M. Page, le m le nistre des Etats-Unis, que nous recoi îr- naissons le très amical esprit de voti rlé Excellence, et que notre désir est de ri Xutftw JLma M « m. m» m** w * w « » « : la croyance que, comme votre Excellent ne- le dit, la franchise sert mieux la continu: ■er- tion des cordiales relations entre les deu li- pays." du- En effet—et c'est là une théorie mi raie que la diplomatie de tous les pa^ ser auraient dû et devrait toujours observ< es- pour éviter le déchaînement des passioi >sir mauvaises auxquel cette guerre noi lité fait assister — par suite de l'attitude c ;ux la diplomatie allemande, n'ayant aucur sympathie pour la franchise et la vérit pue Les explications données par le Goi le vernement Britannique sont, on pei ger s'en convaincre par la lecture du text ner de nature à écarter les malentendus et £ri- montrer le désir sincère et franc de re: pecter le bon droit de tous. ard C'est dans de tels sentiments qu'o mi- peut trouver la source des meilleures ri on- lations — et nous croyons que, cette fo ■tre encore, la joie qui s'était manifestée ré- Berlin lors de l'envoi de la "Note" p£ 'a les Etats-Unis aura été de courte duré< IFS ASPIRATIONS ROUMAINES' é- • < cl , et La réception à Paris des députes <*o» esL mains, MM. Diamandy et Costinesco, ce et les déclarations faites par M. Diaman-nt dy à la presse, sont de nature à inspirer er confiance pour l'avenir, quant à l'atti-,e tude des Etats neutres en général... Peu gS à peu, dans cette guerre, qui débuta ,]t par les mensonges et les calomnies de [e l'envahisseur allemand, qui se continua e_ et se continue encore par les mensonges pS et l'hypocrisie de la diplomatie alleman-^ de, il semble que l'atmosphère politique et se fait plus pure dans les milieux influ-e ents internationaux—et qu'un souffle de sincérité pousse au loin les sentiments barbares qui cimentent les relations aus-tro-germaines.«■ Les déclarations de M. Diamandy nous montrent que l'opinion puissante relative aux aspirations des peuples latins se répand de plus en plus — et que ce sont ces aspirations-là qui, finalement, triompheront. • Il est certain qu'en ce qui concerne la st Roumanie, les intérêts économiques s'al-le lient aux intérêts moraux —et les pa-u- rôles de M. Diamandy, dont la présence at à Paris est officieuse, sont de nature à il faire espérer que l'action effective de ;s tant d'intérêts ne se fera pas attendre. Et ce qu'il y a de plus réconfortant, en c- somme, dans l'attitude actuelle de cer-:c tains des Etats neutres, c'est que l'on :- sent que les opinions internationales sont », tournées au vent de l'optimisme, en fa-i- veur des Alliés, et que l'heure ne tardera r pas à sonner où l'Allemagne, absolument i- démarquée, mise dans l'impossibilité de u mentir encore, verra se tourner définiti-a vement contre elle toutes les nations qui e conservent dans leurs traditions le res-a pect de la vérité et le respect des sen-s timents nobles... La Roumanie se rend compte de l'uti-e lité de se mettre à l'abri de la force bru-~ taie germaine... Toutes les nations qui e furent civilisées selon les principes de s liberté et de respect individuel devraient '- avoir les mêmes-préoccupations. I BILLET PARISIEN. e Dans une lettre que M. Fabreguettes, " conseiller à la Cour de Cassation, adresse au journal " Le Temps," cet honorable a magistrat donne des renseignements sur - la situation à Lille et sur le méfait des - Allemands. e " Je viens vous faire lire, écrit M. à Fabreguettes, quelques précisions que je e tiens de source absolument sûre, mais • qu'il ne m'est pas permis d'indiquer par n crainte de représailles." C'est là, évidemment, ce qui rend la i situation difficile pour ceux qui connajs- Conservation tar le Progrès.- resse [a nos allies belges et francai! et la Grande mise en vente à partir de ce iou com- . ,, „ . , . 0 t fra- lus<lu a de 'a semaine. Nous recommandons tout spécialemen • s'ils à notre clientèle la visite de nos maga onnu sins cette semaine ; elle y trouvera de occasions extraordinaires en articles d >nger m°de> de ménage, etc. Nous tenons un nombreux personne it dé- d'interprètes à leur disposition. : sol R. 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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel L'indépendance belge gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Londres von 1914 bis 1918.

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