Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1917, 13 Januar. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Konsultiert 07 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/348gf0nm8d/
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ANVERS, Samedi 13 et Dimanche 14 Janvier 1917 Le numéro 10 centimes Cinquante-neuvième Année - N° 17,814 DIRECTION & REDACTION : 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS ABONNEMENTS : Les abonnements pour la ville et les faubourgs sont acceptés au bureau du journal, 14, rue Vleminckx.— Pour l'intérieur et l'étranger on peut s'adresser à la poste. LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la doubi- lu 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.— L< titres se paient d'après l'espace qu'ils occupa AVIS Toutes les heures renseignées dans notre journa soin indiquée8 d'après l'heure de la Tour. Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien rue Léopold, 51. Anvers, 13 janv. 1917, 11 h du matin.— Baromètre 744.5-Thermomètre cent |max| + — Tliermom cent. 1min . 13. -Pluviomètre : — m/m. —Vent. Sud.— ('révision : Pluie ou ueige. Astronomie 14 janvier Communiqué par l'Observatoire Roval de Belgique à Uccle tez-Bruxellesj r „„„ du soleil 8 h 40m. Liera. quart.lelô jap '.12 h.42n Coucher du soleil.... 17 4. Nouv. lune le 23 ianv 8 „ 10 Laver de la lune 24 ! „ Prem.quart. le 30janv. 2 „ ! Coucher d? la lune... 10 38 . Pleine lune le 7 févr. 4 28 Haute marée à Anvers Matin soir 14 ianv Ta45 m 1 14 janv. ... 20 h 2m. 15 ' ... 8„19 „ 1 !5 20 „ 41 „ 16 . . 9 „ 2 „ 1 16 21 16 . Hauteur du Rhin Cologne 9 ianv. 5.88 m. Strasbourg 11 janv. 3 43 m Huningen 11 „ 2.30 „ Lauterbourg „ — Kehl „ - .. Maiau „ - Mannheim 5.25 „ uermersheim „ Caub „ 4.49 „ Mayence „ 2 67 Riihrort „ 4.83 „ Bmgen „ 1.64 Duisbourg „ 4.58 „ Coblence „ 4.72 Waldshut „ h Dusseldorl „ 4.98 Lobith f. 14.53 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 11 janv. 2.48 m. Heilbronn 11 janv. 1.60 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves U janv. 3.79 m. Constance ! ianu. 3 64 m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 12 JANVIER si.m.ner Wilfohd iv, de Tamis©. Stad Amsterdam vi, de la Hollande. Telegraaf iv, de la Hollande. Remorqueur Prés. Arm. Grisar, de.Garni. » Oscar, de Gand. Brandkmh.rg, de Gand. Allège Stanislas, de Calloo. St. Barbe, de Bornhem. » CÉLF.STiNE, de Boom. » Céline, de Baesrode. » RosM;iiî, de Baesrode. Célestk, de Malines. Vereikigi ng go, de Bruxelles. Marie, de Louvain. mijn Gedacht, de Moerzeke. » Rheinstem 2, de Garni. » Heh*, de Gand. „ Hector, de Gand. » Joséphine, de Gand. Le Varba, de Gand. » Richard, de Gand. >. Ei.za, de Merxem. « georges & Maurice, de Merxem. » \nnv Luise 4503, de Merxem. » Marie, de-Schooten. » Industrie, de Liège. » Eva, de Liège. » Jan Blogkx, de la Hollande. DEPARTS DU 12 JANVIER Steamer Wilford iv, pour Tamise. » Amstel ii, pour la HoUan.de> Remorqueur Else, pour Burght. Bateau-moteur René i, pour .Boom. Rosalie, pour*Terhaegen. Allège De Jonge Joseph, pour Hoboken. Marie, pour Steendorp-Le Progrès, pour Boom. » Industrie, pour Malines. ) Teniers, pour Bruxelles. » Eva, pour Bruxelles. « Joséphine, pour Louvain.-» Jeune Jean, pour Moerzeke. » 1)e Vlaming, pour Merxem. Franco-Belge, pour Merxem. » Port de Mer, pour Schooten. » Jeannette, pour Hérenthals. » Clara 29, pour Moll » Duo 5, pour Liège. » Duo 6, pour Liège. » David Teniers, pour Liège. » Paul, pour Liège. » Pierre; pour Charleroi. » Karl Schroers 30, pour la Hollande. » Belginv, pour l'Allemagne. Au palais de justice Le bâtonnier de l'Ordre Hier, 12 courant,se sont réunis les membres du bar reau pour procéder à l'élection d'un bâtonnier qu achèvera le mandat de feu M® Delvaux. C'est M° Alfred Valerius qui a été désigné. M0 Valerius, qui a déjà été appelé antérieurement, il Y a sept ou huit ans, à l'honneur du bâtonnat, est inscrit au barreau depuis l'année 1881. il est l'un des avocats de la ville d'Anvers, et l'auteur d ouvrages de droit qui font autorité. CHRONIQUE JUDICIAIRE ... En partait état locatif » 111 ''ii rp ^v\<vvr' U}(iuellf le locataire s'engage à re Sait «ni .••U' l'InaneubS îoué eu pai la.it état locatif et a 1-entiere satisfaction du nrn pn,'taire, doit s'entendre en ce sens que lé nreifeur n'est pas tenu des dégradations provenant de H - d'apte?de^JSfes. ' ^ "ar la <•»'" Attendu que l'intimé i en louant l'immenhii . de l'appelant H..., s'est engagé à le remettre "iSi pi ration du bail, en parfait état locatif, cè \ se< frais et à l'entière satisfaction du bailleur ■ qui ; cette dernière expression ne signifie pas que iè bail leur puisse imposer au locataire toutes ses exigence* elle doit s'entendre dans un sens raisonnable et cor forme à la nature du bail, à savoir que le preneu n'est pas tenu des dégradations résultant de la v« tusiè ou de l'usage des lieux loués en bon père d famille, et suivant la destination qui leur a été doi née par le bail (Code civil, art. 1728-1730) ; Qu'à ce point de vue, l'expert commis par ordor mince "des référés, aux fins de dresser L'état de 1 propriété litigieuse, conclut- que l'immeuble se troi ve dans un état locatif parfait « tel qu'il lui a ét rarement, pour ne pas dire jamais, permis de cor stater après six années d'occupation.» ; Que le rapport ajoute que l'intimé, avant de qui ter les lieux, a fait à l'immeuble des frais considt raoLes, compensant largement les quelques réfection de détail nécessitées par l'usage normal d'une ma; son d'habitation ; ^ue' s.e basant sur ces éléments d'appre otf, Pi!!;- 1,reînier juge a sainement interprété 1; supuia ,ion verbale contestée en déclarant que l'in !♦ i, r.\ai!. €ntlèreiRent satisfait à ses engagement «L!L' SSSainnailt Appelant à lui restituer la som I în -3Lc vncs constituant la garantie de l'exécu i 1 t ♦ obligations de locataire ; que, toutefois il, aPiÎs , uu comPte que la résistance de l'appe in-i Mtfi'i na^de justifiée de l'intimé avait port aux droits de ce dernier t ,I',.' yma,lt uu en, conséquence adjuger à l'intimé ' ,e 'réparation, les intérêts judiciaires sur h "f me dont, avec raison, il ordonnait la remise : fiftiiffïïf U ^^.l a.PPélant a aggravé le dommage déji ci si tuf Ça! IIltimé en se pourvoyant contre la dé (•irpAnel rv'eiîllei par un aPPeI revêtant, dans le: vf-xatoii^n-GeS cause, un caractère téméraire e son^V^'V*^ l'appelant sans griefs; me iufferr£E? 'V n(?aj1|t' î en conséquence, confirme h laiît -i . attft?»é.^n tant qu'il a condamné l'appe fixé h KPr ;i rintirné une somme de 1000 francs cier et îJ contributive de l'intimé dans l'impôt fon charge dl v xe communale et mas les dépens î formé n-»r Y,lI)P.elant ; statuant sur l'appel inciden met enVht. •m é' ^ déclare recevable et fondé eu tant le Jugement dont appel à néan <lumni;iffes i„M^ bouté ''uitimé de sa demande er à n c f s et Qu'il lui a alloué les intérêt* lion • èmeiiiinit Somme dont il ordonnait la restitu . ant quant à ce, alloue à l'intimé du che irete u,« tfll,e lui a ^»sé l'appelant: V par Iz «ans titie ni droit de la somme de 1000 francs susvisée, les intérêts judiciaires sur la dite somme;-2° par le présent appel, lequel est téméraire et vexa-1 toire, la somme de 100 francs ; condamne l'appelant aux intérêts-judiciaires sur cette somme. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Cari Cords. — Delfzijl, 10 janvier. — i.e steamer allem.- Cari. Cords, allant de la Suède à Delfzijl, a encouru de.graves avaries et est entré à Brème pour réparer. Hudwortii. - Londres, 11 janvier. — Le steamer anglais Hudworth a été coulé. : EXTERIEUR FRANCE v Le sucre On annonce, comme complément de notre nouvelle d'avant-hier d'après laquelle la population serait rationnée pour .le sucre, à partir du Jr février, que la ration serait fixée à 750 grammes par habitant et par mois. ITALIE Dénonciation du traité de commerce italo-espagnol Le « Temps » apprend de Barcelone que d'après un avis du ministre espagnol des affaires étrangères, l'Italie a dénoncé le traité de commerce et de navigation qui avait été conclu le 30 mars 1914 avec l'Espagne. Ce traité a cessé d'être en vigueur depuis le 31 décembre 1916. RUSSIE Le pont sur la Neva Le nouveau pont jeté sur la Neva, au centre de rétrograde, a été inaugurée cette semaine. Ce pont a une longueur de 280 mètres et une largeur de 24 nu très. L'arche centrale permet à tous les navires qui entrent dans la Neva, de passer. ETATS-UNIS Les chemins de fer On annonce que l'Angleterre a acheté tout le matériel roulant du chemin de fer Chicago-Anemosa-Nord.U. S. Steel Corporation Le nombre d'ordres non exécutés de la U. S. Steel Corporation s'est augmenté en décembre de 488.000 tonnes et comportait donc à la ftn de ce mois IL.)W.(MK). Ci-après tableau comparatif : 1916 1915 * 1914 1913 (Tonnes) Janvier 7.923.000 4.? 49.000 4.614.000 7.827.000 Février 8.569.000 4.3*5.000 5.026.000 7.657.000 Mars 9.331000 4.255.378 4.654.000 7.469.000 Avril 9.830.000 4.162.000 L277.000 6.979.000 Mai 9.938.000 4.264.354 3.998.000 6.324.000 Juin 9.64Û.000 4.677.592 4.033.000 5.807.000 Juillet 9.594.000 4.929.000 4.158.589 5.399.000 Août 9.660.000 4.908.000 4.213.331 5.223.000 Septembre 9.523.000 5.318.000 3.788.000 5.004.000 Octobre 10.015.000 6.105.000 3.462.000 4.514.000 Novembre 11.059.000 7.189.000 3.325.500 4.396.000 Décembre 11.547.000 7.806.000 3.837.000 4.282.000 La conservation par le froid — 4 — Suitk.- Voir Li.oyd Anversois du 6, 7, 10 et 12 cour. Lorsqu'on n'a pas d'air froid et sec à sa disposition, il faut placer Ja viande à dégeler dans un courant d'air qui emporte la vapeur d'eau à mesure de sa production. Les bouchers anglais qui achètent et débitent des viandes congelées sont bien au courant de cette manipulation et, sans la différence de race de moutons, il serait bien difficile, dans certaines boucheries, de distinguer le mouton importé congelé du mouton indigène fraîchement abattu. La détérioration des viandes congelées, quand on les découpe, provient principalement de l'humidité atmosphérique qui s'y dépose. Pour dégeler convenablement ces viandes, certains les enferment dans des chambres spéciales de décongélation, organisées en vue d'un dégel rationnel de la viande. La viande ainsi dégelée ne diffère en rien de la viande fraîche. Nous.ne sommes en Belgique que dans la période d'essai du transport des viandes congelées ; on ne peut donc pas encore dire que celles-ci ont une clientèle faite. La vente en détail n'en est du reste pas encore réglementée sérieusement, et l'on ne peut guère fixer le prix de vente au détail de la viande congelée, qui s'est déjà maintes fois vendue parallèlement à la viande fraîche, sans qu'une indication apparente ait fait connaître exactement son état et sa provenance. Tout ce que nous pouvons dire, c'est que les grands établissements d'entreposage de Bruxelles et d'Anvers eu avaient continuellement en. dépôt des quantités relativement importantes dans ces dernières années. Mais si nous voulons voir en \ngleterre où en est l'importation des viandes congelées, nous pourrons augurer des bienfaits dont le marché belge des viandes pourra leur être redevable dans un certain avenir. En Angleterre, la cause de la viande congelée est définitivement gagnée, et il faut renoncer à la légende qui la réservait uniquement aux gens de petite condition. Le chiffre de l'importation de ces dernières années prouve, d'une1 façon évidente, que toutes'les cbisses de la société participent à la consommation. La viande congelée paraît aussi bien sur la table des restaurants à la mode de la City et des familles de la bonne société que sur celle des restaurants modestes des docks. La faveur dont jouit la viande congelée est due à l'extension du commerce, qui permet le choix en harmonie avec toutes les bourses. Quelle que soit la qualité de la viande congelée choisie, elle sera toujours moins chère et aussi bonne que la qualité correspondante de la viande fraîche ; les' gourmets eux-mêmes sont souvent perplexes quand il s'agit de distinguer des gigots et côtelettes «le mouton frais et de mouton congelé (rôtis et servis simultanément). En Angleterre, le commerce des viandes congelées procède par bonds successifs. Il a été inauguré en 1880 avec un modeste effectif de 400 moutons australiens ; ma.is le mouvement s'accentue rapidement et 1 de façon prodigieuse. En 1883, les importations s'élèvent à 20.200 carcasses congelées ; en 1888, ii peu près de 2 millions ; en " 1891, à 3.358.000; en 1895, à 5.053.000; en 1897, à 6.232.000 ; en 1900, à 6.433.000. ' E-ufin en 1901 les importations atteignent 7.093.638 caTcus,ses de moutons et 767.633 quartiers de bœufs. ^ 1 <>u compte en poids, cela correspond déjà à 260 mimons kilogr. de viande congelée, soit pour les 30 mmiioiis d'habitants de l'Angleterre, environ 9 kilos a par habitant. & r?«C'' (l :uiU'e part, les quantités de viandes frigo-Si!1? v,'es *u Angleterre en 1905 : ~ !J.a 250.000.000 kg. pour 200.000.000 fr. Mouton 175.000.000 » » 165.000.000 » Lapins _ }) 12 500 000 » L importation de porc frais augmente aussi forte-s ment. - Au total nous n'arrivons pas loin de 400.000.000 francs de viandes importées. Dans ces quantités, près (je 9/3 ,|u bœuf sont arr-i-1 ves a 1 état frais, sans congélation, par simple refroidissement. Le mouton, au contraire, est congelé com- > pletement. Les prix au kilogr. de viande congelée sont tout aussi éloquents. Alors qu en 1883 le prix de la viande congelée s'élevait à fr. 1.50 par kilogr., dans ces cinq - j ou six dernières années, le prix de gros du mouton î argentin était, à Londres, de 55 à 60 centimes le. kilogramme. En 1902, à cause de la concurrence créée au pays de production, il a été augmenté de près de 1 quinze centimes, surtout pendant les trois derniers mois. Quant à l'agneau congelé de la Nouvelle-7/>-l lande, il se vend de 20 à 25 centimes plus cher, par kilogramme, que le mouton argentin. Le kilogramme > de mouton, de 80 à 90 centimes, n'est-ce pas l'idéal ? t et le froid n'est-il pas le moyen de conservation propre à nous amener, dans de bonnes conditions "de qualité et de prix, la viande qui manque, particuliè- > renient, à nos classes populaires ? Voilà, pour les grandes coopératives de consommation, un vaste champ à exploiter au plus grand avantage de leurs sociétaires . C'est là un moyen d'être vraiment utile à Ja classe laborieuse, sans pour cela craindre d'écraser le petit commerce, car, chose qui pourra paraître étonnante, la baisse des prix des viandes congelées a plutôt profité qu'elle n'a nuj à l'élevage national. Que ceux qui considèrent cela comme un paradoxe examinant l'extension de l'élevage et le prix de la viande indigène en Angleterre ; ils verront que celui-là a pris an développement considérable, et que les cours des viandes fraîches se sont tout 1-e temps maintenus au- dessus du niveau, des conr-s français — cependant suffisamment protégés — d'environ fr. 0,10 en moyenne par kilogramme. Et cela, parce que l'Angleterre s'arrange de façon que le bétail sur pied qui approvisionne son marché soit en grande partie composé d'animaux indigènes et que, d'autre part, les viandes congelées, vendues sous leur vrai nom, fassent le moins de concurrence possible à la boucherie nationale. Ajoutons encore que le fait, que la viande congelée est vendue à des prix abordables pour toutes les bourses, a eu cette conséquence naturelle que la viande devient de plus en plus nécessaire, je dirai même indispensable à toutes les classes de la société et que les besoins augmentent proportionnellement à l'abondance des produits offerts ; cela explique en partie aussi que l'élevage national n'ait pas souffert de la concurrence que lui fait la viande congelée. Il est d'ailleurs à noter que la viande congelée n'est pas seulement débitée dans les localités pourvues d'entrepôts frigorifiés; car de ceux-ci, qui sont ordinairement raccordés aux grandes voies ferrées, partent des envois, expédiés en wagons frigorifiés, dans toutes les parties de l'Angleterre. Ces wagons ne doivent du reste être utilisés que lorsque le trajet doit être d'environ 18 heures, pour aller par exemple de Londres à Glasgow. Pour des trajets de moindre, durée, le transport en wagons fermés ordinaires non frigorifiés peut s'effectuer sans inconvénients séweux. Mais le mou ion et le bœuf 11e forment pas seuls toute l'alimentation et. c'est pourquoi que le boucher est. obligé d'ajouter le veau et le porc à ses achats ; il fabrique des saucisses et des saucissons, et bientôt « toutes les délicatesses» de la saison suivent. Mais les consommateurs deviennent dke plus en plus exigeants et il faut bien fournir en plus gibier, volailles, poissons, etc. Gibier, volailles, poissons Pas. plus que dans le commerce des viandes, le froid n'est pris en défaut, car tout ce que nous ve nous de dire pour la viande s'applique en général aux volailles et au gibier, que l'on conserve également soit par la simple réfrigération, soit par la • c ir.gélation La réfrigération a pour but l'organisation du ccm-merce local et la conservation du produit pendant quelques jours. Pour cela, une température de 0° à + 3° est suffisante. La congélation, par contr?. vise le transport, à de grandes distances, .des animaux sacrifiés dans des pays lointains. La conservation, pendant plusieurs mois et jusqu'à un an, est souvent nécessaire. Dans ce cas, il faut porter ies produits à une température très basse, d'abord 20°, puis les maintenir ensuite à 5° ou 6° sous zéro. La conservation des volailles par congélation ne se pratique guère actuellement qu'en Russie et au Canada. Les poulets congelés de Russie sont vendus, à Londres, à raison de fr. 2,00.1a pièce au printemps; ce sont des volailles de 2 à 3 livres, d'une qualité plutôt médiocre, achetées sur place — c'est-à-dire dans les steppes russes, où ces oiseaux sont élevés en liberté, dans un état demi-sauvage, à un prix très minime, variant, suivant la grosseur, de fr. 0,30 à 0,75. La plupart de Ces volailles russes arrivent à Londres à l'état congelé ; il en est de même des volailles canadiennes, qui sont, transportés! dans les cales frigorifiques des bateaux. Dans nos pays, surtout dans des pays tels que la France, où l'abondance des volailles est très grande pendant toutes les saisons, le succès d'une telle opération serait plutôt problématique. Mais si la conservation des volailles pendant plusieurs mois n'est pas toujours indispensable, par contre, leur conservation temporaire s'impose pendant les mois de chaleur.Actuellement, tous les marchands de volailles sont obligés de se.servir de glacières pour cette conservation. Nous avons dit les inconvénients de ce procédé, la glace rendant l'atmosphère humide ét hâtant la décomposition du produit dès qu'on l'expose à l'air. Alors qu'avec de la glace on ne peut conserver les volailles que deux ou trois jours relativement en bon état, au contraire, à l'aide d'une chambre froide, maintenue à + 1° C, il est possible de conserver les volailles de 15 à 20 jours et plus. Quelques grands épiciers et des marchands de volailles, possèdent des installations de cette nature. Mais de toutes les denrées alimentaires, celle qui supporte le mieux l'action des basses températures, es.t incontestablement le giblier. Alors que pour permettre à la viande de boucherie de développer toutes ses qualités nutritives, il faut la maintenir à des températures variant entre 2 et 4° C, pour le gibier au contraire, il faut l'amener en dessus de 0° pour accentuer sa sapidité.; c'est ce qui est universellement admis. Et c'est ainsi .qu'aux halles de Paris, on vend couramment, sans dépréciation, des faisans congelés venant d'Angleterre, des bécasses de Turquie, des lièvres d'Autriche, des grouses d'Ecosse, etc. La raideur de ces animaux, qui égale celle du bois, n'écarte pas les acheteurs. Au point de vue économique, cette conservation du gibier par le froid constitue, certes, le moyen le plus rationnel de l'écoulement de cette denrée, qui tantôt abonde, tantôt se fait rare, suivant les caprices de la chasse. Dans certains pays à grandes chasses, comme en Allemagne, le législateur a cherché à utiliser les vastes hécatombes d'animaux de chasse au profit de l'armée. Dans ce pays, en effet, n'importe quel marchand de gibier a le droit d'écouler le trop plein d'une chasse dans les régiments de sa ville, moyennant un prix déterminé, modéré évidemment, et.ee en prévenant simplement vingt-quatre heures d'avance l'intendance. Celle-ci fait remplacer, le lendemain la viande de boucherie par le gibier. On sait que la loi sur la police de la chasse interdit chez nous de mettre en vente, d'acheter, de colporter et de transporter du gibier pendant le temps où la chasse n'est pas permise. Il est à espérer que tôt ou tard l'extension de la conservation du gibier par le froid amènera le législateur à modifier les dispositions actuellement en vigueur. Des dispositions très strictes devraient sans doute réglementer cette vente, et l'administration devrait intervenir au moment, de la. fermeture de la chasse pour constater le nombre de pièces emmagasinées, ainsi que pour en contrôler plus tard les sorties pendant la vente. Cette conservation du gibier aurait' l'avantage de fournir à la consommation, pendant toute l'année, 1111 mets très apprécié et de restreindre, pendant la fermeture de la chasse, les dégâts du braconnage. Celui-ci n'aurait plus de raison de s'exercer sur une vaste échelle, tout le monde pouvant se procurer, à des prix raisonnables, du gibier congelé. Ce dernier, mis en chambre froide pendant la bon-ne saison, serait de beaucoup supérieur, comme qualité, au gibier braconné en .arrière-saison, qui est dur et coriace. (A suivre). L'assurance sur la vie Nous assistons en Belgique a une évolution complète de la jurisprudence en matière d'assurance-vie.Autrefois, c'est-à-dire avant la guerre actuelles il était accordé à l'assuré un délai de trente jours pour effectuer le paiement de la prime échue. Bien que la prime fût « portable » aux termes de la convention, la Compagnie ne prononçait pas encore la déchéance ou la résiliation à l'expiration de ce délai, mais elle accomplissait, conformément d'ailleurs à une clause générale du contrat, une toute dernière, formalité, afin d'obliger l'assuré à manifester sa volonté de continuer l'assurance ou de l'abandonner : elle lui envoyait une lettre recommandée pour lui rappeler l'échéance de la prime, et l'expiration du délai de-grâce. Par cette lettre recommandée, détachée d'un livre à souche, la Société accordait à l'assuré retardataire un tout dernier délai de huit jours pour se libérer, faute de quoi l'assurance était, par le fait, définitivement résiliée. En conséquence, aussi longtemps que l'assuré n'avait pas reçu cette lettre-sommation, ou que la Compagnie ne pouvait exciper de son envoi par la production du livre à souches dont elle était couvent ionnellement extraite, l'assurance restait juridiquement en vigueur. L'arrêté du 18 août 1914, en vue d'obvier à un désastre possible en matière d'exécutions d'engagements, stipula qu'aucune clause de déchéance pour non paiement Mie pourrait être appliquée. Par conséquent, les contrats restaient en vigueur, nonobstant l'inertie des assurés et leur silence concernant le règlement des primes échues. La. levée du moratorium a apporté un changement radical dans la situation des assurés, et dont, plusieurs 11e se doutent, pas peut-être. Ceux-ci 11e peuvent plus faire le mort. Ils doivent régler leurs primes 011 prendre des engagements à ce sujet. Ils ne bénéficient plus de la suspension de la clause de déchéance. Mais ce n'est pas-en ce point que réside l'évolution du droit. C'est dans la thèse inventée par les auteurs d'une brochure : « Les assurances et la guerre ■>, par un assureur et un avocat à la Cour d'appel de Bruxelles. D'après eux, l'assurance sur la vie est un suite d'issurancés annuelles qui ne peuvent s renouveler que par le paiement de la prime. C'es donc à l'assuré à manifester son intention d'opére ce renouvellement en faisant connaître à la Comp; gni.e s 1 résolution de lui verser le montant de 1 prime. Si donc le décès se produit sans que l'assui ait, Ja prime étant échue, ou plutôt, l'assurance ai nuelle étant à renouveler, notifié à la Com.pagni son engagement de payer la prime, le capital n'e: pas dû. Telle est la thèse nouvelle. Assurément, ell apparaît comme la logique même, et les tribunau belges, séduits, l'ont immédiatement adoptée. C'e: ainsi que la jurisprudence subit cette évolution cî ractéristique signalée au début de cet article. Ma: ■si nous devons admirer l'ingéniosité de cette coi ception du droit, nous devons aussi faire toutes m réserves au sujet de la situation de fait qu'elle crét rait dans le monde des assurés, si elle était génér; lisée. Il faut tenir compte des usages dans l'in te: prêta tlon du droit, et si l'on n'en tient pas compti on sort de l'équité. Tant de circonstances se présentent au cours <1 l'exécution d'un contrat d'assurance sur la vie, -qu' faut bien se. garder de prononcer à la légère. C'e: ainsi que l'on aperçoit immédiatement différents ca où les ayants droits d'un assuré pourraient être le innocentes victimes de cette nouvelle théorie. NeToi blions point : les trois quarts des assurés ne coi naissent la compagnie à laquelle ils sont affiliés qu par l'agent avec lequel ils ont traité et auquel i: paient les primes. C'est surtout en cet. agent qu'il ont foi S'il leur promet verbalement de tout arrai ger au mieux de leurs intérêts — ce qui est le lai gage courant en province — les assurés sont trai quilles et ne se soucient pas autrement de leur assi rance. Pourquoi donc leur appliquer la déchéanc pour avoir ou n'avoir pas posé tel acte en vue d maintenir tous leurs droits, alors que, 011 ne saura trop y insister, ils s'en rapportaient en tout et pou tout à l'agent qui avait gagné leur confiance? il a là une question d'usage et de bonne foi dont 1 jurisprudence devrait tenir compte avant d'admetti et d'appliquer une thèse dont la séduction n'empècli pas qu'elle manque d'équité et qu'elle est en cou plète opposition avec ies théories les plus répandue sur l'assurance sur la. vie. INFORMATIONS FINANCIERES BOURSE OFFICIEUSE D'ANVERS Séance du 12 janvier. — On relève plus ou moin dans tous les groupes des traces des bonnes dispe sitions dont notre marché reste animé. Les cours de fonds d'Etats sont bien tenus, les valeurs caou choutières conservent des acheteurs et la deniand eu valeurs d'électricité s'étend, entraînant un raffe: missement sensible des.prix. Les transactions en rentes belges et en lots il villes laissent leurs prix inchangés. Belge 3 % ma 71,75-72,75; émission anglaise, 80-81; Annuités 3 76,50-77,50 ; Bon du trésor 1917, 100,50-101,25 ; Anvei 1887, 82,25-83,25 ; Anvers 1903 , 73,25-74,25 ; BruxeUc 1905, 72-73,25 ; Gand 1896, 61,75-62,75 ; Liège 1897, 63,7! 64,75 ; lot du Congo, 83,50-84,50. Parmi les valeurs internationales les Sud-Amér ■ caiiis conservent une bonne orientation, les Cédule maintiennent leurs prix élevés, les fédéraux arger tins sont très appréciés par le portefeuille qui ri cherche e;i outre du Brésil et de l'Uruguay, de rnêm que du Chilien ; Cédules nouvelles 111,75-112,75, Ci dules L 117,50-118,50, les H 120 environ, les K 96,5< 97,50, les or 112-113. E11 titres libellés en pesos papie citons encore les Pavimentation à 88,50-89,50 pour 1 nouveau et 87,75^88,25 pour l'ancien. Argentin 5 < 1905 96 A., Argentin 4 1/2 intérieur et extérieur d< mandés à 96,oO 11e se présentent qu'au-delà de 9' le 4 1/2 1911 a acheteur à 97,25^98,25 et reste 97,50 A Argentin 4 % 1897 84 P., Buenos-Ayres 4 1/2 96-97. Dettes brésiliennes : Funding 1914 102-103, Brés 4 1/2 1883/88 81,50 A., le 4 % 1910 73,25-74,25, le 4 ^ 1889 72 7/8-73 7/8, le Rescission 73-74, Uruguay 3 3/ 73,50 A., le 5 % 1914 91-92, Cédule uruguayenne 10î 103, Chili 5 % 1911 97 environ, le 4 3/2 3889 93,25-92,2: Cuba 5 % 303,75-105. Dettes asiatiques : Le Railways Japonais est lour à 103,75-104,75, le 4 1/2 1905 est immobilisé à 101,7; 102,75, le 4 % 1905 fait 92,50-93,50 et le 4 % 1899 es 88 A. Le Chinois 4 1/2 a acheteur à 88,50, vendeu à 89. Dettes continentales : Bonne tendance des russe? le reste varie peu. Russe 3 % 1859 64,25 A., le 4 1902 70,75-71,75, le 4 % 1880 80-81, le Nicolas 89,50-90,51 le 5 % 95-96, Roumain 1890 79-80, le 4 % 3908/30 68,7f 69,75, le 4 % 3894 69,50 A., 70 P., le 4 1/2 1913 73,2; 74,25, le 5 % 1903 83,75-84,75, Serbie 55,50-56,50, Bu gare 74 A., Portugais 52 P., Hongrois 4 % or 64,50 A Métalliques Nationales 60,50-61,50, Lisbonne 58-59. Actions diverses : Liebig 585-605, dividende Créd: Général du Canada 80 P., jouissance Crédit Foncie Sud-Américain 1780-1800, ordinaires Crédit Nation;1 Industriel 267,50-272,50, les privilégiées 277,50-282,5( L'absence d'offres entrave les transactions en ve •leurs d'électricité pour lesquelles les demandes s'a< oentuent. E11 capital Escaut on est nominalement 12 environ, mais il ne paraît y avoir véritablement ver deur qu'à 130 pour un nombre limité de titres, e: capital Electrique Anversoise on payerait. 307,50 er viron, et la jouissance 305 A. Le marché est tou aussi étroit en valeurs de tramways. Les titres hypothécaires ont été l'objet d'échange assez suivis. Privilégiée Crédit Général du Canad 1007,50-1021,50, Banque Belge de Prêts Fonciers 1092,5 et 1102,50, l'oblig. 484,50-489,50, pri vil. Tornquif 1032,50-1092,50, Sansinena 997,50-1007,50, Crédit For cier Sud-Américain 30^5-3095. l'obligation 483-488. Les pétrolifères 11e s'écartent pas sensiblement de prix antérieurs. Ordinaire Grosnyi 2640-2677,50, la pr vilégiée 2955-2990, Astral Romana 1090-1120. Le marché des valeurs caoutchoutières ne manqu pas d'activité. Les cours faits ne sont pas en gérn ral beaucoup plus élevés qu'hier, mais il est remao quable que la demande s'adresse plus particulière mentaux titres de plus gros import. C'est ainsi qu'o recherche la Federated qu'on paye de 662,50 à 68£ Kuala 145-150,50, Sennah 67-69,25, Kalitengah 43 4; Galang 5,90-6,25, Kuang 67-69, Financière 157.50-16J capital Tjisalak 63-65,50, la part 177,50 à 1 S2,50. cap tal Deli Moeda 247,50-253,50, la dividende 76 A-77,50 F Telok-Dalam 335 A.-345 P. Actions Tanganvika 74 environ, oblig. 200.enviror BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES Skance du 12 janvier. — La semaine se termine dan des conditions assez satisfaisantes. Les cours for preuve généralement d'une bonne résistance ce qr fait supposer que les vendeurs ont une tendance se retirer et que les acheteurs, d'autre part, s'ei: hardissent à nouveau. Il est à souhaiter que ces tei da'nces s'accentuent pour la semaine prochaine. Toujours rien de particulier à signaler en rente et lots de villes. Voici les cours faits : Rente belg 3 %, 70 1/8-72 1/2 ; Congo lots, 83-83,25 ; Anvers 188" 83,50-84,25 ; Bruxelles 1905, 71,75; Gand 1896, 61-61,25 Liège 1905, 65,50. En obligations industrielles, on rencontre toujour des demandes intéressantes, surtout dans les 1101 veaux types 5 %. On recherche toujours les 5 c Sambre-Moselle à 485, les Banque Belge de Prêt Fonciers à 480, les 4 1/2 Chemin Congo à 477,50, le Ans à -465 et les Glaces de Charleroi à 475. D'autr part, on cote 470 en 4 % Espagne Electriques, 407,5 en 4 % Tramways de Rosario et 455 en 4 % Final cière de Transports. Les valeurs bancaires ont un marché assez étroi aujourd'hui. On relève des vendeurs en Crédit Ar versois à 407,50 et en cap. Crédit Général de Be! gique à 105. Les valeurs de transports en général sont un pe plus calmes que les jours précédents. L'ord. Chenil Congo est en reprise à 1195 et la jouissance se mair tient à 445, 450, Ans-Oreye est à 157,50 argent, jouis* Bîlbao continue à progresser à 63, 64, la div. Espagn Electriques est soutenue à 50,50, 50,75, et la fond, es discutée à 1235. En cap. Koursk, 011 fait 50, 53,5( 52,50, en ord. Madrid-Espagne on est bien à 305, e cap. Saratoff on se tasse à 87,50, en ord. Belge d Tramways on est mieux à 5, en fond. Financière d Transports on cote encore 990 et en pri vil. Véron on est à 130. Les affaires en valeurs sidérurgiques sont plu restreintes également, avec des cours assez irrégi liers. I^es Usines Allard sont, à 260 papier, les Ar gleur ont bonne contenance à 720, 725, la Clabecq -s porte bien à 765, l>i Métall. Sud-Oural est. demandé à 40 et la jouissance Tôleries de Konstantinowk fait 2750. 2740, 2730. Enfin la jouissance 01 kc vaïa qui finissait au cours précédent à 475 se rétro i ve à -4-40, 430, 420 pour rester à 430 aTgent sur le bru: de l'arrêt forcé d'un haut-fourneau. Les charbonnages n'offrent que de légères modif cations de cours ; à noter pourtant que la résistanc domine un peu partout. .Si le Centre du Donetz s tasse à 162,50, la Fontaine-l'Evêque par contre n prend à 3222,50 et la La ura-Vereeni gin g est ferme 1490, 1500 en capital et 890, 895, 885 en dividende. C- lui tria nue-Kacuure, ij \ u .1 itu, <->1 e sales il y a argent à 1340 et en Mariemont a 2400. ;t Mmiceau-Bayeinont se retrouve en reprise à 190, r Nord Flénu est à 195 argent en capital, 46 argent en l- ordinaire, Varvaropol capital est en hausse à 740, 745 u et Willem Sophia s'améliore à 1000 pour rester à 1000 é . argent. 1- Aux petites rubriques, 011 note encore de bons e cours en Mines Réunies à 192,50, 194, 196,50, 197,50 ; a la bonne qualité des acheteurs est tout à fait remar-e quable en cette valeur. x Les Mines de fer de Bacarès sont bien travaillées it à 84,75 ; l'ordinaire Maiogne est demandée à 25, la 1 _ capital Electricité de Nantes est offerte à 93 et la s capital Lainière Barcelonaise est en nouveau progrès à 525. s Les valeurs caoutchoutières jouissent d'un léger regain de faveur, du moins pour certaines d'entre 1- elles. La capital Deli Moeda voit ses cours s'améliorer à 252,50, 255, 260, 262,50 : la dividende repart de l'avant aussi à 76, 77, 77,50, -80. La capital Java est ferme aussi à 138,75, la Galang e Besar est ferme à G. l'Hévéa reprend à 230, 235, 233,75, il la fondateur Mopoli est bien à 800 et la capital se it retrouve'à 155. En Sennah, oh note un peu de tasse-s ment à 67,75, la Soengei Lipoet est hésitante à -465, s 460, 455, 457,50 et la Zuid Préanger revient à 127,50. Les coloniales débutent dans des conditions peu satisfaisantes, mais elles parviennent dans la sifite e à se ressaisir. L'ordinaire Katanga ouvre à 2315 seu-s lement pour atteindre au plus haut le coui s de 2360 ; ô 1\ capital Lacourt n'est pas mieux à 425, la capital i'_ Union Minière est mieux de 1475 à 1497,50 et la Tan-, ganvika se redresse de 73,25 à 74,75. Les diverses font mine de se ranimer. En tous cas, les < ipital Courroies Lechat parviennent de nouveau e, à gagner du terrain à 335, 345 et restent demandées c en clôture à 340. l^es Brasseries de l'Etoile sont hési-jt tantes à 30, les Explosifs Favier ont fait précédem-r ment 69 et 6S seuls cours, l'Oxhydrique est offerte à y 90, mais les Sucreries de Saint-Jean, sur de bonnes \ nouvelles sur la campagne actuelle, se raniment à ' 92,50, 91, 92,50, 95, 97,50 en capital et à 136,25 137,50, e 140, 143,75 en fondateur avec de belles perspectives pour les prochaines séances. La Sucrière Européenne s .est bien également à 71, 73,50 en capital et à 45, 46 en fondateur. De la résistance en valeurs étrangères. La Kaïping est en belle voie à 56, 55,50, 55,25, 56,50, la Rand-Mi-nes est demandée à 130. l'Argentine est soutenue à 26,50, 27,50, la Brazil Traction fait encore 280, la Barcelona est lourde à 78, le Mexico-Tram est ferme a 195, 197.50 197,50, la Lujar a bonne allure de 830 à s 835, la Rajah reste à 1080, la Ligure Toscana est sou-' tenue à 246, la Burbach progresse à 1700, 1710 et reste s demandée à 1720, la Dniéprovienne reste discutée à L 3425 3390, 3400 et la Métall. Russo-Belge est mieux e à 2110, 2115, 2120, 2125. COURS DU CHANGE Rotterdam, Il janvier. — Londres, fi. 11,68 1/4 ; e Berlin, fi. -40,82 3/2; Paris, fi. 42,05. '• Amsterdam, 31 janvier. — Londres, fl. 11,63 3/4 : Berlin, fl. 40,87 1/2 ; Paris, fl. 42,30 ; Suisse, fl. 48,70 ; s' Vienne, fl. 25,77 1/2; Copenhague, fl. 67,20; Stock BOURSE DE PARIS i-' Paris, 11 Janv. 11 Janv. 10 Janv.i 11 Janv 10Janv. s 3% rente française. 62 00 6? 40 ;Est français. - — — Russie 1 «89,Con.4% (Rio Tinto, paris .1769 — — — 41/2 % Russie 1909 76 76 10 ;Mexique Int. 5% ' Serbie 4% 1895 -- Lots Turquie . — — —— e Espagne 4%, Etr '02 60 103 — Chane« Berlin, court — Portugal 3% . . 57 '0 Chï*s.Âmsterd„court 237 50 237 50 , Turquie 4% unifié . 60 50 60 20 ! Che» s. Londres, court 27 79 27 79 " Ranoue ottomane 415 — lEscomote . . i — è BOURSE DE LONDRES Londres 11 Janv. 1! Janv. 10 Janv 1 11 1 Janv. 10 Janv. >- Consols. . 54 1/fi 54 */4 South. Railway. . j 32 "4 33 Répuoiiq Argentine. — — 65 1/8 Union A . . . '51 ^2 j Brésil . ■ 49 l/i 491/2 Wab., préf. . . — — | 4% Japon . . 70 1/4 70 1/.1 j U. S. ù tel A-. . 116 te '20 1,2 Japon 1905. . 95 1/2 951,2 Amalg. C. . . . - — ] Mexique inter. . . — — fireat Cobar. . . - — — — Pérou, ord. ... — Columbia ... 48 — 48 — ^ Pérou, préf. — — Ver.. Dipl. ... - Portugal. . . 5? 3y Mexic. pr. . . . — - 1- Russie 1889 . . 61 3.8 64*4 Rock Isl. ... 1 Marc, of A. . . — — 15% Randmine . . . — - Turquie- Marine, pr. . — — - J',2 % Uruguay. . 64 8/4 Shell . . . . — ' 5% Uruguay . — — - - Rio Tinto . . — - — - 1- Acht. Top . . 169 V-i — — Anaconda . . - — t Préf. d° A . .103 5/8 — - iSchib., préf. . - - — - v Oenver.Ç R.o Grande 17 1/2 Schib., ord. . - — Erie, ord. . . . 34 % 35 7/8 Kon. Petr. . . — — Missouri ..,97/8 10 - Escompte . . . 518 0, b 1/18 d Ontario A. . , , Argent . . . ..351/8 d 361/4 d '0 South. Pacific . . '02 — i i. BOURSE DE NEW-YORK New York, i i janv. 11 Janv. 10Janv. ''I Janv. 10 Janv, Hypothèques 2—2Ui i1l/2-l% Onlar o«£Western,or 28— 281/2 Cnan8«s.Lontir. C.T 1.76.60 4.76 *5 Nortnern Paci.'., ord. j 10/1/4 10-7/8 Ch?»s. Lundr.60d.v 4,71 50 4./1.25 Norfo.KîVVestern.ord !32 1/4 1 '331,2 , Changes. Paris vue. 5.84 12 5.84 1/2 Norf.4West.4%c.obl:133 - '33 — Change s. 8erl n 70 - 70 — Pennsylvania, ord. ' 56 3/3 561/2 r Argent .... 74 5/8, 75 — Philao. & Read., ord. 98 2,<2 99 1;8 1 1 Philad.iRead.,1»préf 43 1/8 -131/4 1. FONDS GreatNortherr, 1 °préf! 116 V4 : • '• 6 7/8 Amérique 2 p. c. obl| 99% ' 99 3/4 Texas & Pacific, ord., 17 Ùi j 1T Vg Atch. 1. & S. F. '•% ; 105 -- 105 - Southern Pacif.. ord.! 96 1/2 96 1/4 •; Aich. T. S. F. a ord 104 1/4 104 1/8 Southern Rail*., ord.! <0 3/8 j 7 5 Atc.T.AS.F.Mgb.4% , 95 fyj j 95 7/8 Southern Rai lw., préf J 68 — f9 Atch.T.àS.F. a.préf. 98 1/2 98 a/4 Union Pacific, préf.:i<î2 % ' 7-., ! Arn.CarâFoundryor. 65 1/2 65 UnionPacif.4%, obi.' 99'5/8 ' '5/8 Baltim. &.ûhio,ord. S;< 3/8 83 % Wab.S'LouisiPac ,0 ' i',3 4-.2 Canad. Pacific, ord.!'ô8 — '.581/8 Wab.S'LouisAPac, pr; 54 — 53 7/8 ' Chesa-j & Oliio, ord. 63 V4 i 63 3/4 Amalgamat.Copper,o | — Chic.iÊNorlhWest.0.1120 1/2 .'20 — AnacondaGopper, n. 82— 1 82 — s Chic.Milw.«5St.Paulo 88 — 89— U.S.SteelCorp..ord. Ml i/3 i '-'0 — , Rflck Islano ord. . 31 1/4 34 ^2 U.S. Steel Corp.,préM >9 7/8 '18 7/8 ,x Am.Smelt£Ref.C°,o. 105 - ; 104 7/8 U.S. Steel Corp. 5% ! " Bethl. Steel Corp.,ord 475 - 455 - 2e H. Obi. 106 3/4 -06 5/8 t Oenv.^ Rio Grande,0. '5— 15- Americ.BeetSug.,ord i 93 7/8 9? 5;8 Erie Railway, ord. . 31 5 8 1 32 - American.Can. ord.. 45 1/4 45 7-8 Erie Raiiw., I9 préf. 47 — 47 5'8 Unit. SugarC0,ord. ; 44 - -+4 - Q Erie Raiiw., 2& préf. 37'2 i ^7 1,2 Amer.KideALeath.,pri 87 3/« R?— Erie Railw. Gen.Lien, 73 1/8 73 Amer. fei.ïTel.,oid,: 123 1/S 123.1/1 Illinois Central,ord1C - !!G4'/2 Am.Tel.4%conv.obl,j 98 — -98 — Kans Cily South., ord 23 «4 24 — intern.Cont.Rubb»',o 12— ; 12 — e Kan~. Cily South., pr. 57 - 56 |nterr.Merc.Mar.,ord 241/2 23 \;2 Louisv.ANashv.,ord. '31 — i3! - ntern.Merc.Mar.,pr. 80 1/2 78 3/4 Nat.Rlw.ofMex.,1 pr. '.3— 13 int. Merc. Marine Nat.Rlw.ofMex.,2pr. 6- 6- 41/2%. obi. 94 — 94 — Miss.Kans.<£'Tex.,ord 8 1/8, S1/8 Pittsburg Goal, ord. 441/2 43 — 1 Miss.Kansas&Texas 1 CentralLeather,ord. 90 1/4 90 - 2« h.g.-obl, i 52U 531,2 lnterbor.Metrop.,préf 69 1,2 68 Missoun Pacific.,ord i 31- j 3! - lnterbor.Metrop.,ord, 15 — ! 15 — '• i ! Nhn'.Dom.S'.CerJ 67 V4 ! - — Le Canal du Panama. — Les recettes de l'année sociale finissant le 30 juin dernier, s'élèvent à •S 27.339.888 contre s 29.327.504 de dépenses, le déficit a donc été de s 1.987.616. D'après une communication de New-York, il y aurait des chances que le Congrès des Etats-Unis consente à une augmentation des I droits de passage au canal. j Syndicat du zinc. — Les délibérations du syndicat , du zinc ont commencé à Berlin. La situation des affaires y a été examinée. 11 a été déclaré que la vente en zinc est extraordi-11a i rement forte. s Zuid Preanger. - Pour le mois de décembre e écoulé, la production s'est élevée ;'i 13.500 livres de caoutchouc, la production totale de l'année 1916 s'est ; ainsi élevée à 116.500 livres. The National Discount Cy distribue un dividende s de dix pour cent. The Union Discount Cy distribue un dividende de 13 pour cent, plus un bonus d'un shilling. g The London and South Western Bank a déclaré e un dividende de 17 pour cent. l) La Banque Commerciale Pétersfcourgeoise portera son capital de 10 à 15 millions de roubles. MEMENTO DE L'ACTIONNAIRE ASSEMBLEES ANNONCEES 15 janvier ' Brasserie Tivoli, société anonyme, à 3 heures de 1 relevée, 51, rue Pycke, à Anvers. Société Générale de Sucreries, société anonyme, à 3 heures de relevée, au siège social, place,Saint-R Paul, 14, à Liège. t Société anonyme des Bateaux-Mouches, à Liège, à 3 heures de relevée, à l'1-Iôtel Verlhac, boulevard 1 de la Sauvenière, 153, à Liège. 16 janvier p Société Générale Belge de Déglycérination, société p anonyme à Bruxelles, à l'heure statutaire, au siège social, 4, rue du Grand-Hospice, à Bruxelles. s Société anonyme d'Armement, d'Industrie et de Commerce, à Anvers, à 12 heures, au siège social, avenue des Arts, 99, à Anvers. e Société anonyme des Usines Bonehill, à 12 heure?, 9 au siège social, à Marchienne-au-Pont. 1 Anciens Moulins de Namur et de Jambes, société anonyme à Beez-Namur, à 3 heures, à la Banque Centrale, rue Godfroid, à Namur. t L'étude concernant « L'Avenir de la culture du e caoutchouc aux Indes néerlandaises » publiée par le ^ « Lloyd Anversois » paraîtra complètement LUNDI | prochain 15 janvier et sera obtenable dans nos bureaux au prix de 25 centimes.

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