L'écho belge: journal quotidien du matin paraissant à Amsterdam

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s.n. 1915, 02 Januar. L'écho belge: journal quotidien du matin paraissant à Amsterdam. Konsultiert 22 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/542j679t32/
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tere SfflkeeTN*r"71* ^^ggjg waeatyrar B cents C1Ö Centlmef) Samedi 2 |anv!er 1&X& Journal quotidien du matin paraisteant & Amsterdam VUn'ion fait la Force. Beige est nofre nom de Familie. étre adressées Comité de Redaction: Toutes les lettres dolvent au bureau de redaction * N.Z. VOORBURGWAL 234-240. Telephone: 2797. Rédacteur en Chef: Ousiave Jaspaers. ( Charles Bernard, Charles Herbiet, ) Gustave Peellaert, René Chambry, ( Emile Painparé. Pour les annonces, abonnements et venteau numero, s'adresser a 1*Administration du journal: rV.25. VOORBURGWAL. 234240.Telephone: 177S.Abonnementf En Hollande fl. 1.50 par mois. payable par anticipation \ EtrangerII. 2.00 .,„ E Le gouverneur d3 la Banque Nationale. La nouvelle que nous avons pübliée hier en dernière heure du retrait d'emploi de gouverr, neur de la Banque Nationale a M. De Lants- aent la note comique dont les Beiges, plus heereacauséun6viyeemotion dans les mi lieux financiers et politiques belges, partiouKèrement a Bruxelles. M. De Lantsheere et M. Rombaut, celui-ci conimissaire du gouvernement pres la Banque Nationale, démis également de ses fonctioris, sont frappés uniquement pour avoir fait preuve d'honnêteté vis a, vis de ceux dont ils dépendaient. Leur crime ? Le refus de livrer aux Allemands les matrices defections, qui ne savaient même pas que des billets de banque beige, dont ces derniers chez nous, cette ,,monnaie" n'a pas cours! voulaient user a leur seul profit. Outre le fait Les voyezvous repliant piteusement les d'une mauvaise action de la part ds nos enne- mis, et que personne au monde, parmi les honnêtes gens, ne pourra approuver, une nouvelle preuve nous est fournie en cèei que l'Allemagne cheröhe par tous les moyens a battre monnaie. Son associée l'Autriche en est a ses dernièree cartouches; et elle-même qui doit encore entretenir Enver Bey, et les armées turques est irrémédiablement condamnéé a la faillite. Ce n'est pas nos 480 millions qui l'en sauveront! Ua pays qui a des ressources suffisantes n'a vraiment que faire des matrices des billets dé Il y avait une fois... Ceci n est cependant banque aeson voisin, même après avoir pesé pas un conté de fée, mais comme il 8 agit de tout son poids sur oelui-ci, sans d'ailleurs que ce voisin héroique demande grace. La Belgique, aJors même qu'elle serait inondée d'assignats, a l'ame trop bien trempée pour, un seul instant, désespérer du résultat final, qui plus que jamais, se dessine en faveur de la cause de la civilisation, de uotre triomphe! Les notaires beiges. Une circulaire qui ne f era pas moins de bruit que l'arrèté allemand dont nous venons de parler, mais qui émape au moins d'une personnalité beige, — du procureur-général pour être plus précis, — propose de considéres comme démissionnaires tous les notaires belges qui ont abandonné leur étude et se sont réfu->. giés a l'étranger. • > • Les 480 millions d'impöts. Malgré l'intervention de M. Brand Whitlock, l'Allemagne maintient l'impöt de guerre de 480 mülions qu'elle a infligé a notre pays, menace-de famine! A présent, nous connais- Depuis le début de cette guerre atroce la fee a fait des prodiges et les milliers de g^g ^ motif de rappositÜén d"'a*éwibés blanches sur les arrêtés qui annongaient a la population, le nou vel impót.!^C:^".'v. On a fait remarquer au gouverneur vonBissing qu'il était inutile d'annonoer officiellement aux Belges cette nouvelle .mesure qui nepourrait que susciter les plus vives critiques et renforcer la haine nourrie envers l'enviahisseur. Comme le versement du montaht de eetimpót ne dépend pas directement de la population, van Blissing a jugé inutile de laisser Ü. lis s etaient trouves mw^ '. , Quand j'étais enfant on me parlait des plus longtemps a la connaissance de celle-ci, le 9 Wallons, disaient avec une gravite f^ ^ ^ m>ftBitaffirméqu' elles savaient texte de ces affiches et il les a fait reoouvrir ,,Die Walen, dat ■ au plus tot. Voila l'explication que nous communique notre correspondant particulier. lanthrope, elle est aussi une réelle artiste.- Le 23 déoembre un concert de charité avait été organise par elle avec le concours de Mile Jeanne Flament, professeur de chant au Conservatoire de Bruxelles, et de Mile Charlotte Vrelust, pianiste, premier l'empire allemand dans les parties immédiateprix de la même Académie de musique. Pendant deux heures ces deux virtuoses eb la Fee, qui chante a, ravir et sait tirer de son violon des accents émus, nous tinrenb sous le charme de leur beau talent qui a maintes reprises recueillit de chaleureux applaudissements. Au cours de cette fête de bienfaisanoe Defenses, arrêtés et avis. Les defenses d'importation: H est défendu d'importer du sel sauné, du sel marin et du sel gemme des pays étant en état de guerre avec de la Belgique. Cette defense entre en viguëur 'immédia te-ment. Bruxelles, le 10 déoembre 1914. Le gouverneur general en Belgique, Baron VON BISSLNG, General de cavalerie. # * * au cours «s ww «» "~ ™. .Voici, a présent, un arrêté- qui concerne et quelques flours furent offertes a la ïee et fntéressera tous les ex-gardes civiques: Toutes les lois et tous les arrêtés beiges sur la milice et la garde civique sont suspendus. Les contraventions aux prescriptions des dites lois et arrêtés, commises avant la publication du présent arrêté, restent impunies et n'entraïnent, pour le contrevenant, consequence préjudiciable. Aucune justification de l'observation des dites lois et arrêtés n'est requise notamment pour la celebration d'un mariage, la demande et la délivrance d'un passeport ou d'une patente, ni pour la designation a un emploi d'Etat, un emploi provincial ou communal. Le présent arrêté ne modifie en rien les dispositions prises oü a prendre par le gouverneur general relativement a la surveillance des anciens membres de la milice et de la garde civique et relatives au recrutement de l'armée. Bruxelles, le 12 déoembre 1914. Le gouverneur general en Belgique, Baron VON BISSING, General de cavalerie. » * # A présent, donnons deux avis ëmanant des deux généraux qui dirigent, mómentanément, les destinées des Belges en general et des Bruxellois en particulier: Il est interdit de transporter,.ides correspondances en Belgique et au dela «les frontières belges sans passer par la poste allemandtl. Bruxelles, le 15 décembre 1914. Le gouverneur 'general en Belgique, IBaron VON BISSING, Général de cavalerie. * # * Voici le second avis, relatif lui aussi, aux gardes civiques:. La conduite des membres de l'ancienne garde civique étant satisfaisante, j'ordonne avec le consentement du gouverneur général en Belgique, que les membres . de l'ancienne garde I civique, habitant 1'agglomeration bruxelloise, ont a se présenter, jusqu'a nouvel ordre, seulement deux fois par mois, c'est a dire le 2 et le 16 du mois. La prochaine presentation aura done lieu le 2 janvier '1915. Bruxelles, le 20 décembre 1914. Le gouverneur de Bruxelles, VON KRAEWEL, Général, porte Vaz-Dias qu des milliers d'hommes en comparaison de la mortalité sur les autres champs de bataille „Que, vouk2-vous, ajoute-t-ü, telle J^Jmab^aeatle■ JKmhi93esréfu^ésénM, volonté de l'autorite superieure de vouloir ^^ oeux^ doiyent^ faire.S^.^ ^^ Vingt-mah, soldats occupent et défendent en- ; Passercoüte J™ ^^^wf.onUnutilS' **&?*" ^néraldu Somerset House, ou des core le territoire beige - que suivant les con- P°ur™aPart ' nUes larmes de ceux qui pleurent. èaille oü leur sang genereux se mela.... HA quand ils revemaient du „front", éolopeó ou ou nman- wj bats avec j teut faire. J'avoue que je n'y croyais guère! Aujourd-hui j'y crois car la Fée de Dom- admirative ren ^L^^^Sl^lmestuïlf ! taSÏ* B ce lien mystérieux unissant les ames qui valent et qui. peuvent des lore communier, sans que le langage ait a intervemr. Sana toujours se comprendre, Flamands et Wallons s'estimaient. Et mieux que tous les discours, mieux que toutes les concessions qu'ils eussent pu se faire en temps de paix, cette guerre lea avait rapprochés. Combatibre et souffrir, vamcre et meme périr ensemble, oeLi, rapproche, 6 psyoho- losrues!. un Beige en profita pour lui dire combien tous les réfugiés de Domburg éteient reconnaissants a, l'amie de Mademoiselle Van den Arend, a, Monsieur Van Voort Huysen, bourgmestre de Domburg, a, Madame Van Voort Huysen, a Madame Sprenger et a. Mademoiselle Des Tombes de la générosité et de la bonté avec 'lesquelles tous ont été accueillis dans l'ile de Walcheren-. „Honneur, „dit-il aussi, au peuple hollandais tout en„tier„ qui a senti jusque dans les fibres les „plus prof ondes de sa conscience nationale „que le Nord par son sublime élan de misé„ricorde„ devait en quelque sorte stigmati,,ser,, la barbarie et la oruauté qui nous sont „venues de l'Est." De tout notre coeur encore merci a, la bonne Fee qui sut jeter un sourire dans nos ames angoissées. L'éternelle reconnaissance de tous les Belges lui est acquis© et elle peut être assurée que eet engagement moral vaut, mieux qu'un engagement écrit car, les écrits... on sait ce qu'ils valent et ce que certains en font! Les Belges ne sont pas de oeux-la!! X. Pour le Jour de Ni. Nous avons Tecu de nombreuses felicitations pour l'idée que nous avons eue de faire paraitre des cartes de visite dans notre numero du Ier janvier, Nos lecteurs ont compris I'intérêt qu'il y avait pour eux. a faire connaitre, avec leurs souhatts, leur adresse a ceux de leurs parents, de leurs amis dont Us ignorent le lieu de residence actuel. Malheuseusement, Dans nos villes, dans nos campagnes, les populationsnon combattant®», les femmes, le* enfants, les vieillards, les riches et les pauvres se sont rapprochés aussi, dans le coXmun malheur. Une même pensee une vokraté unique, un seul espoir les soutienr.enti Belges elles sont, Belges elles resteient, et l'heure des reparations et de la délivrance sonnera. Torturees, affamees, xuinées, toutes leurs forces ferventes mon-bont- vers la Patrie mutilée, mais non vamcue non soumise. Toutes ces population's vivent en pensee constante avec. notre Boi et sa vaillante armee. Elles attendent, ellea ont confiance. elles espèrent. Pour parvenir jusqu'a elles — e* si vite les psyohologuies-commis-voyageurs en defection ontdü patauger dans le sang encore ohaud de nos enfants, traverser «tosruines encore fumantes. Mais cela ne lesgêne point pour tenir aux Belges demeuireaau pays de petite discours dans ce gout-ci: „Vous réclamiez une université flamande?Nous vous en donnerona deux", disentilsaux Flamands.j ■ „Dites-nous ce que vous désirea, susurrent-ils aux Wallons, nous tenterons l'impossible pour vous être agréablee". „Quelles sont ces lois sociales que le gouvernement beige n'a pas eu le temps de réaliser, disentile aux plus rouges de nos syndicalistes et aocialistes? Nous allons vous les dormer"..... Et tous de répondre: „Nous ne voulonsrien q u e de notre Roi et de notre Gouvernement. Rien ne presse, nous avons le temps" Ils ne disent pas: „Repassez un peu plus tard" eb pour cause.... Les psycbologues-commia-voyageurs n'en reviennént pas: Ha demeurent teut esbaubis devant la porte qu!on leur a claquée au nea, en leur laissant tout juste »^»>m.Vuuuwuuu.^a.u, plusieurs le temps de rengamer le traditionnel „Et inB6rtionB,iOUSsont parvénues au moment oüavec 9a, Madame?" qui devait evidemment -^ miseenpage était faite. Nous avons done suivre des offres aussi aUéchantes.j décidé de consacrer une place spéciale, dans Leur déconvenue est énorme, et prodi! notre numero de mércredi prochain aux insergiéux leur étonnement. Hs ne comprennent I tions qui nous sont parvénues trop tard et a paa que tous leurs efforts pour placer leur" celles que d'autres lecteurs ne manqueront pas „ \ jiiT.j i_ rv~_~.»«,.»» _..:_„ de nous adresser. Lo prix- de 1 insertion, soit25 marohandise^ „Made m Germany puisse ^n^doitnousêtreldressééntimbre's po6te, echeuer aussi piteusement. Ik ne oompren- pn^,kme temps que le texte et ce avant naa»nt paa qu'un peuple youlant demeurer 1 dimidi> elgique. A An vers. Nous recevons une lettre de M. Devos van JKleef, imprimeur anversois, dont les ateliers dé la rue Rouge impriment un nouveau jourMal: „L'Avenir". M.' Devos van Kleef nous aft'irme que ce journal n'est pas allemand et que le pomité dê redaction se compose excluiövement d'anversois „dont les convictions pa«riotiques«, ajoutet-il, ne font de doute a personne . Seulement, M. Devos van. Kleef ne nous cite pas les noms des rédacteurs de i,;L'Avenir". Ce sont ces noms que nous désijJBerions cependant connaitre. M.. Devos van Kleef ne nous les refusera certainement pas. [fBTous les publierons aussitöt, mais nous le prévenons qu'a Anvers (ce que peut-être il ignore, fetant actuellement a Leiden), on dit. que aiL'Avenir" est beige... pour autant qu'on accepts comme un fait accompli la domination allemande. .• • • . On se souvient que la place de secrétaire communal, laissée vacante par le depart de M. Possemiers, devait être pourvue d'un titulaire au mois d'aoüt dernier. Les événements ne permirent pas alors de • s'oocuper de cette nomination. On n'a pas oublié que cette nomination avait été entourée d'une ardente polémique jentre les candidats dont les plus qualifies semblaient être MM. Gyselynek et de Brauwere. C'est entre eux, en effet, que la lutte devait être circonsorite. Or, qu'apprenons-nbus aujourd^hui ? La nomination officielle de M. Hubert Melis, ex-secrétaire de M- ^eVos, ^f. f. de secrétaire-communal! Coup de parti, diront les uns, injustice, clameront les autres. Et la majorité sera même d'accord pour diro que c'est a la fois une injustice et un coup de parti. En effet, M. Hubert Melis, quelles que soient ses qualités, ^nullemeut en cause ici), n'était pas qualifié pour exercer une telle .fónction. En temps de paix, cette nomination n'eut pas été faite. On a done profité d'une situation anormale, ce qui est profondément regrettable, f Si ca continue, disait un des chefs de l'hötel de ville, Melis sera bourgmestre avant l'entrée dés allies a Anvers. Oui, mais alors M. Jan De Vos ne serait sans doute plus d'accord avec son protégé! An ffaltiaut. La Belgique s'ihonore, a cöté dé ses valeureux soldats dont nous ne parlerons pas aujourd'hui, mais sur lesquels notre regard demeure fixé parce qu'ils sont parmi les héros les plus purs, — la Belgique done s honoro o» compter, parmi les siens qui ont a tache de veiller aux destinées civiies du pays, tant de patriotes iervents, convaincus, irrésistibles. M. Max était dé ceux-la dont le courage bien trempé osa affronter les menaces, les colères, même lorsque ces colères et ces menaces promettaient plus rudes chatiments. Le vaillant bourgmestre de Bruxelles paie actuellement un terrible tribut a la souffrainoe morale. Mais il a la consolation supreme d'avoir fait son devoir, d'etre resté Beige jusqu'au bout, avec honnêteté, avec vaillance, avec courage. Et c'est bon de se rappeler les noms dé ceux qui ont défendu, soit par les actes, la parole ou la plume, leur malheureux petit pays, si odieusement violé, si lamentablement détruit. Nous nous ferons toujours une joie de rendre hommage, dans oes colonnes, a ceux qui honorent le nom des Belges. C'est pourquoi aujourd'hui que nous parlons uniquement des autorités civiïes après Max, après Buyl, après Mettowié et d'autres, dont les noms ne sont pas encore arrivés jusqu'a nous, il faut qu'on s'incline devant M. André, le conseillér provincial socialists du Bainaut dont l'attitude a été superbe au cours de la séance du 19 décembre qui réunit tous les conseillers de la province. Cette reunion avait été ordonnée par les Allemands, nous dit le „Rotterdamscbe Coulant", afin de discuter la question de l'impöt de guerre qui doit frapper le pays entier. Le sdce-president M. P. André, député du parti socialists, a prononcé la un discours qui défcujtg&it par un vibrant hommage de reconnaissance et d' admiration au Roi des Beiges et a ses soldats. .Nous sommes réunis ici, poursuivit' M. André, peur accepter, par ordre,' des contBrbutiorfi (fa guerre qui frapperont le pays entier. Les membres des différents conseils provinciaux discutent entre eux des mesures dont ils auront a decider de oommun accord, a propos de questions qui ne sont. pas de leur compétende. f En vertu de la Loi Beige, qu'aüoune decision allemande n'est venue suspendre, ils commetbent ainsi un abuB de pouvoir. En attendant l'instant oü les autorités allemandes auront le droit de lever des impête sux le pays entier, il est certain —a l'heure oü nos cent pour sauver son honneur et s'est précipité de fortemenit endommagé. Les beaux vitraux sang froid dans un abime de misère et de gloire! L' armee allemande, violant les traites .solennels, a done envahi la Patrie. „C'est une faute, a dit le chancelier de l'empire allemand; les destinées de l'Allemagne nous ont obliges a la commettre. Mais nous réparerons l'injustice qu'a subi la Belgique par le passage de nos troupes." i'iu-uii toutes nos misères, nous ne sentons sont totalement anéantis. La fidele reproduction d'un de ces vitraux pend en bonne place au café ,,Aux .CShambrea" — précieux cadeau de Mr. Reydams, géomètre du cad&atre. * # « Malines a vu rentrer 37,000 (sur 60,000) de ses habitants. 29,000 sont, sans moyens de subsistence. Le depute Dr. Lamborelle que ,,1'iniustice" dont notre patrie est victi- L, car seuls nous pouvons sonder l'étendue def\ le«• ^ bourgmestre Francis -Dessain,notre malheur.fiere du bourgmestre touyours absent, fontM. André oonsacre quelques mots ensuïte atout leur devoir et parviennent, sans dispola mémoire de M. Hadelin Piret, membre duser d'un sou, a nourrir tous ces malheureux.Conseil provincial, ce •vieillard admirable dontNourrir dans la mesure du possible, s'enla fin fut si tragique. _fe^ c'est horriblement triste. La mendi- EtmvoIlaTiSustice que l'on veut réparer:

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