Brief van den soldaat: aan zijne verdrukte medeburgers

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s.n. 1917, 01 Decembre. Brief van den soldaat: aan zijne verdrukte medeburgers. Accès à 20 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/s46h12wg4q/
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NUMERO 11. DEGEMBRE, 1917. Lk Lettre du Soldat A GEUX DU PAYS ENVAHI. diers Amis,öbiali Le Roi.—Je suis heuretix de pouvoir vous envoyer aujourd'hui•vm récent portrait du Roi; Ce n'est pas un de ;öes portraitsd'avant' la guerre, si populaires aujourd'hui a l'étranger, oil leÉfetftferain apparaissaït souriant aux cötés de la Reine et de ses^efafants. Le Ro^ïamilier et fafctirial est devenu le roisoldat.Sous le casque, son rflale visage révèle les souffrances éprouvées•«Jo«» de ces tn* ' ,V,,', dermeres annëës y-lb^ éxptirae aussi Tl'jïft11^domptable resolution de lüttefti jü&jTi'aubout pour délivrer son peüple de l'opprèssionétrangère. Lorsque,après la bataille del'Yser, la situation sestabilisa sur notrefront, nous fümesd'abord étonnés de lamodestie extreme duRoi Albert et du soinrfciupuleust i qM*!! rnettait a éeiter toute manifestation qui püt•le mettre tffi vue. Auxisque de blessef lessusceptibilités de nosiAmis de France, d'Angleterreetd'Amérique, il ne consentit a quitter lefront beige que pourvisiter l'une ou l'autre portion du front occidental. Jamais chefd'Etat moderne ne semontra plus sauvagement rebelle a las%écl#ime et a l'interview,- eII a fallu un certain temps pour ,g}$e nous norgpremionscette attitude a uneépoque oü un voyage du Roi a Paps, a Londres ou a NewYork eüt soulevé jaavjienthousiasme indescriptible et favorisénaturellement notre cause. Mais aujourd'hui nous comprenons, et noussommes infinimentreconnaissants a notre 0ch^fjXj« d'etre reÊfté^j.|dftns son pays, parmises :ispldats. Nonseulement cette ligne ,§§ conduite, d'une^dfgru$& irréprochable,lui a valu la profondeestime de ses Allies^ et a mjiï, une foia pour toutesrf',sa personnalit4„r,k „aii^dessasi. tde toute> ét> taan&atssfaaa h attaque, njais elle lui vaudra, dansa'.avenrr, , la gsaiatude dft,s«n peuple. Lft Rpicyeut partager la .vjfc.d'exil, de-H^btude et de 0Uibeur de ses soldats^dTant que son people souff^sptts l'oppres•sjjon• allemande, Jj ne veut joujg( dja-uBun rep0s,j)d'9ycnn.-flueets. Les seules acclamations .qui puissent r^jcrair son coeurj sont ie_ejles des Belges. La seule entree . triornphale iqu-'ifcv,euille.-faire esjiia Bruxelles. Ce n'est pas l'arrqée sfjtïlerrtepi.-qiSi }gtfitsügmi-t&-fslwt le pays même, gü restesur1?» f«5'«i es ife^t pas seutoflent, pour -êtoeinbi^ prés de nous, c'est ap'^ VBM-ffiTifieP^oWèsde yqjjj. ■ fa?entendu crifiquer ce portrajt,. On iuijreju-oche de A'lftte pas assez flatteur et'~d'accuser certaines rides. C'est precisément pour cela que je le reproduis ici, afin que vous sachiez bien que, si le Roi se bat avec nous, il souffre et il résiste avec toute la nation. Un discours programme.—A l'occasion du 15 novembre, M. de BroqueviUe a prononcé au Trocadéro a, Paris un discoursprogramme qui vous intéressera, car il vous prouvera que le Gouvernement se préoccupe avant tout de vos besoins et de vos .aspirations. On m'a dit que ce#ains d'entre VQPS,:s$hSSftteBttlP peu isoleer En 1'absence de tout renseignement précis, il est en effet bien naturel que dans la situation actuelle, vous vors demandiez ce que font nos mjnistres, et si 1'ori ne négligé' rien pour vous aider a traverser cette crise cruelle. Je crpis dpnc bien faire en réSumant certains, points du dignpurs de M. de BroqueviUe. Pensons au paxsoccupé. —Après avoir fait allusion au pw}longement probable de la guerre, lePremier Ministre a msisté snr la situation dans laquelle se trouvela majorité de noscompatriotes: " Estcea nous de nousplaindre? Si jamaisun sentiment de lassitude s'infiltrait dajisnos ames, il suffirait pour nous de songer a nos frères du pays envahi pour banflirtoute faiblesse et forb tifier nos resolutions. Cette Belgique qui souffre un martyre telque Thistoire en offrepeu d'exemples ne seprésente pas en suppliante devant l'univers civ4i§éw Elle nedemande pas la pitié,ejle reclame la justice et, silencieusé, jenduedans un effort surhumain, qui absorbetoutes les energies de son être, elle lutte pour l'obtenir. . -.,ja-Nous., qui parlons en son nom, nous savonsque nous ne tirons pasde nousmêmes leprestige qu'acquifrtdansje .monde civiljséla voix de la Belgique.Elle reveadique des droits pour lesquels,des deux cötés dufront, le sang coulechaque jour, elles'élève au nom d'unenationalitéd o n t l'épreuve a mis a nule fondement indestructible ;;--, elle interprète les aspirations d'un Etat qui, parvjecourage de ses enfarits, sa[la, force de ses ingfjT,j-jtutions, l'ardeur .de sonnationalisme ,1 Êetrouvéi jf'est réyéïé , (xpmme un facteur 'esJjËhtiel de ,1a'politique, de l'Eórope occidental^' ;• La Crise alimentaire.—Le Mjiustre montre ensuite que les amende&.fês .féquisitions^larrêt du travail et les deportations ont contribué a ruiner le paysysi-.a provoquer la famine pa^mi certaines classes'de la population. Jusqu'au printemps dernier le Comité National du rayitaillément avait pu attenuer Igjmal. Le Gouvernement beige, grace a l'intervention de la Commission for Relief, avait réussi a, fournir une partie ^pujt.au moins des vivres nécessaires. Mais, . la campagne des sousmarjn^f.Gprh-promjt ces efforts. Plusieurs bateaux du Relief furent impijayablement coulés; on eut énormément de difficultés a les remplacer, étant donné la crise de tonnage, et une situation grave se produisit menagant la santé publique. "Les mesures prises ont garanti une amelioration sérieuse, mais encore insuffisante. Nous n'épargnerons aucune démarche, aucune initiative pour accentuer ce progrès." Une Calomnie.—J'ai spécialement mis ce passage en relief parce qu'il m'est revenu ici que les Boches veulent endosser la _

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