Informations belges

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s.n. 1917, 20 Novembre. Informations belges. Accès à 06 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/639k35n37t/
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N°521 20 Novembre 1817 InformationsBelges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur seurce première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu. être contrélée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 29, rue Jacques-Louer, LE H A.VRE (Seine-Inférieure) Fraace Une manifestation patriotique belge au « Trocadéro ». —A l'occasion de la fête patronale du roi Albert, une grande manifestation patriotique, dont le succès a été immense, a réuni, le dimanche 18 novembre 1917, les Belges de Paris dans la vaste salle du Trocadéro. La fête, très réussie, était organisée par F« Association générale belge de Paris », au profit de ses œuvres de guerre, présidée par M. Neven, membre de la Chambre des représentants. M. NEVEN a prononcé une vibrante allocution qu'il a terminée ainsi : « Laissez-moi faire renaître ici cette séance immortelle de nos Chambres parlementaire le 4 août 1914, où le chef de la nation sut trouver les pensées et les mots qui galvanisèrent notre peuple : « J'ai foi dans nos destinées », affirma-t-il. < Un « pays qui se défend s'impose au respect de tous ;ce « pays ne périt pas. » « Le destin n'a pas trahi ces mâles paroles. « La Belgique vit, et demain elle connaîtra les fins brillantes qu'appelle notre fervent et inébranlable patriotisme Oui, le Roi fut digne de son peuple ; et quand, parcourant l'histoire de cette guerre, on marque son action, on le voit guidant l'armée au champ de bataille, on le voit rester modestement en la terre de Belgique, on le voit ferme et résolu, n'ayant qu'un seul souci : L'indépendance du territoire, la victoire nationale. « Près de lui, consolatrice des pitiés et des souffrances, la Reine Elisabeth est là. Visitant les hôpitaux, se penchant au chevet des blessés, allant aux tranchées parler aux rudes soldats, se faisant aimer de tous. Cette admirable femme est aussi, pour nous, le symbole de la Patrie. « Vers ces Souverains s'en vont nos louanges et nos mercis, et notre manifestation de ce jour — semblable sans doute à celles que, dans l'enthousiasme de leur cœur, nos compatriotes célèbrent en des régions de chez nous momentanément asservies — notre manifestation n'est que l'expression bien faible de notre profonde reconnaissance. » M. de BROQUEVILLE, ministre des affaires étrangères, chef du Cabinet, empêché, par une indisposition, de se rendre à Paris, a fait parvenir le texte de son discours dont il a été donné lecture par M. Keven. Il touche à toutes les grandes questions qui intéressent, en ce moment, la nation belge. L'un de ses passages les plus remarquables est celui qui a trait au devoir de l'heure présente. « Le problème d'aujourd'hui, a dit le chef du cabinet, c'est de lutter, c'est de combattre pour mériter la paix victorieuse qui nous ouvrira le champ fécond du travail. «Cette Belgique qui résiste, cette armée qui combat n'en veulent qu'une seule : une paix pleinement réparatrice, une paix qui consacrera dans leur majesté notre indépendance et notre liberté qu'elles ont si virilement défendues. La Belgique n'a pas de longues controverses à soutenir pour définir la paix qu'elle veut. Elle fut attaquée au mépris du droit ; si elle n'obtenait pas complète réparation, il faudrait, comme l'a dit le Présidentde la République française, voiler éternellement en ce monde les statues de la Justice. « Mais nous savons que notre sort n'est pas le seul en jeu et le cœur comme la raison ont fortement marqué en nous les raisons profondes de la solidarité qui lie tous les alliés. 11 nous faut une paix durable, une paix qui satisfasse les légitimes aspirations des peuples et qui nous donne la sécurité dont nos projets ont besoin pour produire d'heureux fruits. Le bloc des défenseurs du Droit doit rester sans fissure, faute de quoi ce sera pour chacun d'entre eux le désastre. «Ah ! Messieurs, dans la guerre comme dans la paix les regards de la Belgique se tournent vers le trône. Aujourd'hui les mots que nous disait le Roi le 4 août 1914, en ouvrant le Parlement, sont encore dans nos oreilles : « Résistance opiniâtre ! ». Le pays envahi, le pays exilé, l'Armée de l'Yser ont fait de ces paroles leur devise. Pour fêter dignement le Souverain qui incarne la Patrie elle-même, nous puiserons dans les émotions de cet anniversaire la résolution farouche de continuer jusqu'au boutce que nous avons courageusement entrepris. «Et demain, dans la Belgique restaurée, victorieuse pour être restée fidèle à l'appel de son Roi, nous recevrons du Chef héréditaire, gardien des intérêts permanents de notre nationalité, arbitre des partis et défenseur de nos libertés, le mot d'ordre nouveau qui réglera notre marche vers la renaissance. « Vive le Roi, Messieurs. Vive la Reine. Vive la Belgique !» M. le comte GOBLET d'ALVIELLA, vice-président du Sénat de Belgique, membre du Conseil des Ministres, a prononcé un important discours dont il a résumé les conclusions dans cette belle péroraison : « Nos ennemis somment sans cesse les Alliés de faire connaître leurs buts de guerre. Là aussi, la sommation est ridicule et la discussion oiseuse.

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