II! f 0 R M A T I 0 IÎS BELGE S. ju x.i j.- u xi, j.<a -i-x j. _u j_> ,_i o-i w -!_J U-/ • I® 784, au 18 août 1918. (XK) SUISSES SEQUESTRES PAR LES iiLLEILàlIDS El BELGIQUE OCCUPEE. Daas la ïribune de Lausanne du 9 août 1918, Ie 2E0, un collabo- rateur occasionnel qui signe J.C. se plaiiat de ce que les Allemands refusent depuis deux: ans de délivrer des passeports à des sujets suisses établis en Belgique. Les Allemands ne fournissent aucune explication sur les motifs de leur refus. (XX) LES HQLKES DU ÏÏAIITAUT AUX PREVAUX MILITAIRES FORCES» Les hommes -environ 400 - de Leuze, Barry-kaulde, Havinnes, Chapelle à Wat-tines et dTautr®s localités des environs de Tournai (Hainaut) ont reçu, des Allemands, l'ordre de ce tenir prêts à partir pour effectuer des travaux d'ordre militaire dans la région de l'Yser. (XK) "LA MEGALOLiunE LE L* ALLEkiiGIE , C,USE PROFONDE DE La GUERRE"-dit un^capitaine prusien.- Dans une 'brochure éditée à Zurich, chez Orell FTlssli, et intitulée Deutsche Schuld am Kriege, le capitaine prussien von Hartwig Schubart examine la responsabilité de l'Allemagne dans la guerre. L'auteur conclut que c'est dès 1Tannée 1902 et dans la mégalomanie de l'Allemagne - datant de 1890 - quT il faut rechercher les causes profondes de la guerre mondialeo (XX) LES CAPUCIIS BELGES AUX ALLEES.- Le journal La Liberté, de Pri-bourg (Suisse)' du 8 août 1918, publie, d'après la presse italienne mie statistique établissant que plus de 2000 Capucins sont mobilisés dans les armées alliées. En Belgique, y est-il dit, 48 Capucins sont mobilisés comme aumôniers, brancardiers et infirmiers, dont une quinzaine ont été cités à l'ordre du jour. Plusieurs Belges se trouvent également parmi les 40 Capucins affectés au service religieux des troupes der Indes Anglaises. (XX) h,3 .JLEwJDS BOUT T0IDR3 LES kOUÏOIS.- L'après le journal "LeS nouvelles", de L. Ha^e, (1° du 9 août 1918) , en Belgique Occupée tous les moutons doivent etre conduits dans une tannerie désignée par l'autorité teutonne et là un tondeur allemand leur enlève la laine, qui est payée à un prix dérisoire.. (XX) II HATERaS, II SOULIERS A AERSCHOT.- On écrit^d'Aersohotï "Les quelques matelas restés encore dans la ville ont dû être livrés aux Allemands; aussi à l'heure qu'il est tout le monde dort-Il sur des plumes de six pieds, ou, si vous aimez mieux, sur la paille, l'out le monde est chaussé de sabots ou de vieilles bottines ressemer» lées de bois î"

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