Informations belges

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s.n. 1917, 14 Decembre. Informations belges. Accès à 26 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/cf9j38m921/
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N» 548 14 Décembre 1917 InformationsBelges Observation, importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il e»t seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractère» suffisants àe vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les oommunioaüons de servioe : 39, rue Jacques-Louer, M-.E HAVRE (Setne-latértenre) Fr»noe. Violation, par les Allemands, du Droit international au Congo.— Le gouvernement belge dément, catégoriquement, que les Belges aient ouvert, les premiers, les hostilités en Afrique. — Le gouvernement allemand, dans un article, évidemment inspiré, de la Gazette de Cologne, du 27 novembre 1917, no 1126, essaie d'accréditer une fois de plus la légende que les Belges, notamment, ont ouvert les premiers les hostilités en Afrique. Tout en reconnaissant que ceux-ci ont d'abord essayé de faire neutraliser le Bassin conventionnel du Congo, conformément à L'art. II de l'Acte de Berlin, il argumente du fait que, le 8 août 1914, nonobstant les négociations qui se poursuivaient à ce sujet entre les nations de l'Entente, le commissaire de district belge Tummers aurait attaqué le poste allemand de Singa sur l'Ubangi et l'aurait remis aux Français. Le gouvernement belge oppose, à nouveau, à cette allégation le démenti le plus formel. Ni M. Tummers, ni aucun agent de la colonie, ni aucune troupe coloniale ne participèrent à la prise de cette localité. Dès l'ouverture des hostilités, le gouvernement belge avait prescrit aux autorités du Congo de se tenir strictement sur la défensive. Cette attitude fut scrupuleusement observée jusqu'au 29 août. Ce n'est qu'à cette date que le gouverneur général put, sur l'ordre du ministère des colonies, donner des instructions en vue de « cesser la défensive et de prendre toutes mesures militaires » Encore, la frontière ne fut-elle franchie que dans le courant du mois de septembre. Ce changement fut nécessité par les attaques que les Allemands dirigèrent, le 22 août, sur la frontière orientale de la colonie (attaque de Lultuga). En fait, ainsi que le gouvernement belge l'apprit par la suite, les Allemands avaient, déjà auparavant, fait acte de guerre vis-à-vis du Congo. Le 15 août, en effet, ils étaient venus avec leur vapeur en un point situé au Sud d'Uvira, avaient tiraillé sur un village gîte d'étape, avaient coulé une quinzaine de pirogues et coupé le fil télégraphique en 14 endroits. Les Allemands ont donc violé le droit international au Congo comme en Belgique, car le Congo belge comme la Métropole, était soumis au régime de la neutralité. Un démenti aussi catégorique doit être opposé à l'allégation du même journal, qu'aussitôt après le commencement de la guerre européenne, la liberté individuelle des Allemands établis au Congo fut limitée. L'autorité coloniale ne prit certaines mesures, pour se protéger contre les agissements de ces sujets, que dans le courant du mois de septembre 1914, c'est-à-dire après les premiers actes d'hostilités commis par l'Allemagne. Le gouvernement belge poussa même si loin le respect des dispositions pacifiques de l'Acte de Berlin, que les 2 et 23 septembre, soit donc dans ce dernier cas près de deux mois après la déclaration de guerre en Europe, il laissa respectivement les navires allemands Ingbert et Ingraban quitter sans encombre les eaux territoriales du Congo. Il se borna à vérifier s'ils ne transportaient aucune contrebande de guerre. (xx) — Un office central belge pour les prisonniers de guerre. — Un arrêté royal, en date du 1er décembre 1917, institue, au Havre, un office central belge pour les prisonniers de guerre. Voici, d'après le rapport au Roi, signé par M. H. Carton de Wiart, ministre belge de la Justice, quel est le rôle de cette institution nouvelle : Dès les premiers temps de la guerre, le gouvernement, soucieux d'apporter un allégement à la situation si pénible des prisonniers, institua l'Œuvre d'assistance aux prisonniers de guerre belges en Allemagne. Par l'octroi de larges subsides et la coordination des initiatives charitables, il avait en vue d'aider, de faciliter et d'harmoniser l'action d'œuvres diverses et hautement louables consacrées au soulagement moral et matériel de nos compatriotes réduits en captivité pendant la guerre. L'Œuvre d'assistance aux prisonniers de guerre belges en Allemagne était placée sous la direction de M. Cooreman, ministre d'Etat, président, assisté de M. Louis Huysmans, ministre d'Etat, vice-président. L'activité de ce Comité central dut élargir sans cesse le champ de ses travaux, surtout depuis qu'elle eut à s'étendre aux prisonniers belges qui, réunissant les conditions voulues, sont transférés en Suisse, où ils bénéficient du régime beaucoup moins dur de l'internement. Le développement continu de l'Œuvre d'assistance, son organisation de plus en plus complexe, ses ramifications et son fonctionnement dans les pays alliés et dans plusieurs pays neutres, la nécessité d'une intervention pécuniaire de l'Etat toujours plus importante, tous ces motifs justifient la consécration officielle de l'Œuvre d'assistance par l'établissement, d'un statut propre et l'attribution d'une mission définie. C'est dans ce but qu'un Office central belge pour les prisonniers de guerre vient d'être institué.

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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