Informations belges

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s.n. 1917, 13 Avril. Informations belges. Accès à 26 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/9c6rx96m28/
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N° 304 13 Avril 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 53, rue des Gobelins, JL<E HAVRE (Seine-Inférieure) l'Yance. (xx). — Les soldats belges aident leurs alliés français en pays reconquis. — « Le Figaro » (n° du 10 avril 1917), reproduit les lignes suivantes écrites par un rédacteur de « l'Agence Paris-Télégrammes », qui vient de parcourir les communes dévastées de l'Oise : « Nous roulons sur des routes faites de madriers et nous passons sur des fossés,sur des ruisseaux,sur des rivières et sur des canaux en quantité inimaginable. Les Boches devaient en fabriquer ! Partout il a fallu faire des passerelles, jeter des pontons ou construire, avec des bateaux, des ponts larges et solides. Alors, la direction des armées françaises a eu une pertsée charmante. Elle a dit aux Belges : « Venez donc nous aider, ça vous changera les idées » et c'est pourquoi ce pont de bateaux porte partout le mot « Liège » en dessous d'autres indications de régiments. Et c'est pourquoi au coin de cette route, près de ce pont léger, il y a une guérite aux couleurs belges et une sentinelle française. Et c'est pourquoi encore, sur la route, nous croisons partout des cyclistes belges, des officiers du roi Albert et des camions de l'armée belge. L'aide de nos alliés nous rend ici un nouveau service. Hier, sur l'Yser, ces braves Belges ouvrirent les eaux. Aujourd'hui, ils collaborent avec nous pour les endiguer et les vaincre. » a Le Figaro » ajoute ce commentaire, qui pour être bref, n'en n'est pas moins expressif: >i Bravo, les Belges ! » (xx). — Les mensonges de la presse allemande.— Une sévère réponse au Berliner Lokal Anzeiger.— Le 28 février 1917, le Berliner Lokal Anzeiger publiait l'information suivante de son correspondant de Roosendael : « Les déclarations, d'un ton très vif. que fait le colonel belge Debatty, habitant depuis peu de temps à Roosendael. provoquent une très forte impression parmi les 5 000 Belges réfugiés ici et dans les mi lieux hollandais de l'endroit. Le colonel a été blessé fort grièvement. Après sa guérisou, il est venu s'installer en Hollande. 11 a résumé ses impressions de la façon suivante dans des entrevues avec ses compatriotes et avec des habitants de l'endroit. « L'armée du Roi Albert, forte d'environ 60,000 hommes, est rongée intérieurement par le conflit flamando-wallon qui se manifeste de façon de plus en plus aiguë. L'enthousiasme pour la grande cause de la Belgique s'est dissipé depuis longtemps, parce qu'aujourd'hui l'on sait que l'Allemagne a entrepris son action militaire contre le pays neutre pour des raisons de légitime défense et, par suite du souci, malheureusement trop justifié, que 1 Angleterre et la France n'utilisent certaines conventions passées avec le commandement belge, que pour mettre à exécution une poussée contre la région de la Rhur via la Belgique. Aujourd'hui, l'armée belge se décompose en deux parties nettement séparées : une partie flamande et une partie francophile ». Cette note fut reprise par le Pester Lloyd. Mis ainsi en cause, le lieutenant-colonel retraité E. Debatty a rédigé la protestation suivante : « Je proteste avec indignation à propos de l'affirmation des journaux dont il s'agit, d'après lesquels j'aurais publiquement déclaré à Roosendael que l'état de l'armée belge était moralement très mauvais et que la querelle flamando-wallonne divisait profondément nos troupes, séparées de la sorte en deux fractions nettement distinctes. « C'est une infâme calomnie. « Depuis plus de deux ans je réside à Roosendael, comme réfugié. Mon état de santé ne m'a jamais permis de me présenter au public nulle part, ni de prendre la parole. Je vis en famille, tout à fait isolé du monde estropié, malade. « D'ailleurs, je connais trop bien l'armée belge, à laquelle je suis profondément attaché, pour que la pensée seule d'en médire me vienne à l'esprit. Pensionné lors de la mobilisation, j'ai repris spontanément du service dans les rangs. « Quant à la querelle flamando-wallonne je ne m'en suis jamais occupé ni de près, ni de loin bien convaincu que cette question n'a d importance, pour l'instant, que pour les ennemis de notre chère Patrie. » (xx). — Les déportations de femmes belges en Allemagne — Récit d'une déportée. — On sait que les Allemands ont étendu aux femmes leur arbitraire mesure de la déportation. Le journal Les Nouvelles, de Maestricht (numéro du 28 mars 1917) donne, sous le titre « Les déportations de femmes belges en Allemagne. Le récit d'une déportée ». les douloureux détails suivants : « C'est en territoire d'étape qu'ont commencé les déportations de femmes. A Alost, notamment, et aux environs, les affiches, placardées dans les premiers jours de décembre pour convoquer la population aux déportations, ne faisant aucune distinc-

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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